Pourquoi Josette Brenterch du NPA de Brest hait-elle tant François Heilbronner ? 4 octobre
Mais qui est donc François Heilbronner ?
PDG du groupe GAN de 1986 à 1994, il est aussi connu comme un ami de Jacques Chirac.
Mais ce n’est pas pour cette raison que Josette Brenterch du NPA de Brest peut tellement lui en vouloir, elle dont le père a été gaulliste et qui a elle-même appelé à voter Chirac au second tour de l’élection présidentielle de 2002.
Non. Surtout, par-dessus tout, deux directeurs du groupe GAN ont jadis témoigné en ma faveur et contre ses amis proxénètes, ceux-là même avec qui elle tente de me contraindre à la prostitution par tous les moyens depuis des lustres.
C’est rédhibitoire.
Le PDG du groupe s’est ensuite laissé entraîner dans des opérations douteuses de son beau-fils Imad Lahoud, le même qui jouera plus tard un rôle très trouble dans l’affaire dite Clearstream 2.
Le monde est petit.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_Heilbronner
François Heilbronner
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Cet article est une ébauche concernant le droit fiscal et la fiscalité et une personnalité française du monde des affaires.
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François Heilbronner (né le 17 mars 1936) est un homme d’affaires, ancien haut fonctionnaire français (Inspecteur des Finances).
Biographie
D’origine juive alsacienne1, François Heilbronner devient, en 1972, chef de cabinet du ministre de l’Agriculture, Jacques Chirac puis de 1975 à 1976, directeur adjoint du cabinet du Premier ministre Jacques Chirac2 De 1986 à 1987, il est directeur adjoint du cabinet du Premier ministre Jacques Chirac2et de 1986 à 1994, président de la compagnie d’assurance nationalisée le GAN2 Il est mis en examen dans l’affaire Clearstream 2 en 2002.
Vie privée
François Heilbronner est le beau-père d’Imad Lahoud, cité dans l’affaire Clearstream 2. Sa fille, Anne-Gabrielle Heilbronner, l’épouse d’Imad Lahoud, a travaillé au cabinet d’Éric Woerth, secrétaire d’État de la réforme de l’État, puis de Philippe Douste-Blazy, ministre des Affaires étrangères.
Notes et références
- ↑ La guerre des Trois, de Serge Raffy
- ↑ a, b et c «La chasse aux corbeaux» [archive] Le Point le 17 janvier 2009
http://fr.wikipedia.org/wiki/Imad_Lahoud
Imad Lahoud
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Imad Lahoud (Arabe: عماد لحود), né au Liban le 7 octobre 1967, est un homme d’affaires français, actuellement professeur de mathématiques, cité dans plusieurs affaires politico-financières, en particulier l’affaire Clearstream 2. Dans cette affaire, les médias lui associent généralement le qualificatif d’« informaticien ».
Sommaire
Liens familiaux
Imad Lahoud est le fils de Victor Lahoud, et frère de Marwan Lahoud, ancien chief executive officer de MBDA, la branche missile d’EADS issue de la fusion de l’Aérospatiale et des missiles Matra et nouveau directeur général d’EADS, nommé en juin 2007.
La parenté supposée d’Imad et Marwan avec le général Émile Lahoud, président de la République du Liban a été longtemps entretenue par Imad lui-même1. Du fait de l’ampleur prise par l’affaire Clearstream 2 en France en avril 2006, la présidence de la République libanaise a dû affirmer dans un communiqué que Imad n’avait aucun lien de parenté avec le chef de l’État Émile Lahoud, mais que ce dernier a par contre un neveu prénommé Imad2.
Imad Lahoud épouse Anne-Gabrielle Heilbronner le 9 juillet 19912. Celle-ci a été conseillère chargée du budget et des questions économiques internationales auprès du ministre des Affaires étrangères Philippe Douste-Blazy. Elle était auparavant directrice de cabinet d’Éric Woerth, secrétaire d’État à la réforme de l’État.
Imad Lahoud est ainsi le gendre de François Heilbronner, ancien directeur adjoint et directeur du cabinet du Premier ministre Jacques Chirac (de 1975 à 1976 et 1986) avant d’être nommé président directeur général du groupe d’assurances Gan2.
Parcours
Imad Lahoud est né dans une famille chrétienne maronite du Liban. Après des études au lycée jésuite Saint-Louis-de-Gonzague à Paris 16e, Imad Lahoud obtient une maîtrise de mathématiques, puis deux DEA en 1990 et 1991, l’un de physique des solides, l’autre de probabilités et processus aléatoires, qui lui vaudront une embauche chez Merrill Lynch à Londres.
Imad Lahoud a débuté sa carrière financière en gérant les fonds de riches familles arabes. Il passe quatre ans à Londres dont un séjour chez Salomon Brothers.
En 1998, il crée le fonds Volter Fund : 40 millions d’euros hébergés aux îles Vierges et gérés par HL Gestion (HL pour Heilbronner et Lahoud). Gan, Fortis et les AGF y investissent. Imad Lahoud fait alors l’objet d’un reportage d’Éric Rochant, Traders, programmé sur Arte le 10 avril 20012.
Le fonds fait faillite en trois jours à la rupture de la bulle des nouvelles technologies, à l’été 2000. Fortis porte plainte en juillet 2000 pour escroquerie et usage de faux. Imad Lahoud fait trois mois de détention provisoire à la prison de la Santé.
Début février 2003, il collabore ponctuellement avec la DGSE (Direction générale de la sécurité extérieure) pour lutter contre le financement du terrorisme, mais cette collaboration prend rapidement fin à la fin du mois de mai.
Selon le journal Libération du 3 mai 2006, il prétendait détenir des informations sur des opérations de « noircissement d’argent » propre vers des fonds clandestins autour de la famille Ben Laden jusqu’à début 2001. À la demande du général Philippe Rondot, une dizaine de rencontres sont organisées entre la DGSE et Imad Lahoud de janvier à avril 2003. Des missions de récupération de documents sont alors programmées, mais « à chaque fois quelque chose ne collait pas »[évasif]. En avril 2003, la DGSE arrête cette collaboration. Les juges saisissent le « dossier de contact » avec Imad Lahoud pendant leur perquisition à la DGSE fin mars 2006.
Jusqu’en juin 2004, il travaille aux côtés du général Rondot, chargé au ministère de la Défense de la coordination des services de renseignements et des opérations spéciales.
Il est alors recruté en 2004 par Jean-Louis Gergorin à EADS comme consultant puis est nommé en 2005 directeur scientifique au centre de recherche de Suresnes. Il est licencié par EADS en mai 2006.
En juillet 2009, suite à deux tentatives infructueuses en 2007 et 2008, il obtient l’agrégation de mathématiques, au 196e rang sur 2503, et est, suite à un stage dans le secondaire4, enseignant en classe préparatoire aux grandes écoles (CGPE) en tant qu’enseignant remplaçant tout d’abord puis titularisé à la rentrée de septembre 2010. Il enseigne au lycée Carnot en semaine et à Intégrale les week-ends et pendant les vacances scolaires5,6 . Il quitte le lycée Carnot en 2013 à la suite d’un conflit d’intérêts : ses collègues l’accusaient de débaucher ses meilleurs élèves pour qu’ils le rejoignent à Intégrale. Il enseigne à présent à plein temps à Intégrale et n’a plus aucun lien avec le lycée Carnot.
Etc…