Le juge brestois Raymond André serait-il turc ?

http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20141124.OBS5990/turquie-pour-erdogan-l-egalite-homme-femme-est-contre-nature.html

TURQUIE. Pour Erdogan, l’égalité homme femme est « contre nature »

L'Obs avec AFP

Publié le 24-11-2014 à 19h49

Le président islamo-conservateur turc ne veut qu’un rôle pour la femme dans la société : la maternité.

Une femme qui passe devant une affiche de campagne présidentielle de Recep Tayyip Erdogan à Istanbul, le 8 août 2014. (OZAN KOSE / AFP) Une femme qui passe devant une affiche de campagne présidentielle de Recep Tayyip Erdogan à Istanbul, le 8 août 2014. (OZAN KOSE / AFP)
 
« Une place pour les femmes dans notre société : la maternité ». C’est en ces termes que le président islamo-conservateur turc Recep Tayyip Erdogan a défini, lundi 24 novembre à Istanbul, le rôle des femmes dans son pays, lors d’un sommet sur la justice et les femmes.

Devant un parterre très largement féminin, il a affirmé sans détour que les femmes ne pouvaient pas être naturellement égales aux hommes, et a vertement critiqué les féministes, les accusant d’être opposées à la maternité :

Certaines personnes peuvent le comprendre, d’autres non. Vous ne pouvez pas expliquer ça aux féministes parce qu’elles n’acceptent pas l’idée-même de la maternité. »

 

La femme : une « nature délicate »

Sur sa lancée, le chef de l’Etat a assuré qu’hommes et femmes ne pouvaient pas être traités de la même façon « parce que c’est contre la nature humaine ». Il a insisté :

Leur caractère, leurs habitudes et leur physique sont différents. Vous ne pouvez pas mettre sur un même pied une femme qui allaite son enfant et un homme. »

 

« Vous ne pouvez pas demander à une femme de faire tous les types de travaux qu’un homme fait, comme c’était le cas dans les régimes communistes », a également estimé le président Erdogan, « vous ne pouvez pas leur demander de sortir et de creuser le sol, c’est contraire à leur nature délicate ».

Sollicitant l’histoire turque à l’appui de sa démonstration, l’homme fort du pays a rappelé la condition des femmes dans l’Anatolie des dernières décennies : « Nos pauvres mères ont énormément souffert et ont fini bossues pendant que les hommes jouaient aux cartes ou aux dés dans les maisons de thé. »

« Un crime d’incitation à la haine »

Le parti de Recep Tayyip Erdogan, qui dirige sans partage la Turquie depuis 2002, est régulièrement accusé par ses détracteurs de dérive autoritaire et de vouloir islamiser la société turque, notamment en limitant les droits des femmes. Sans surprise, sa nouvelle sortie a suscité de violentes réactions, à commencer par celles du principal parti d’opposition.

« Erdogan a publiquement commis un crime d’incitation à la haine », a jugé Aylin Nazliaka, une députée du Parti républicain du peuple (CHP, social-démocrate), l’accusant d’avoir « ostracisé » les femmes. « Je vais continuer à combattre cet homme qui ne fait aucune différence entre les terroristes et les féministes », a ajouté la parlementaire.

Sule Zeybek, présentatrice de la chaîne de télévision Kanal D a profité d’un bulletin d’information pour riposter en direct aux propos présidentiels:

Je suis féministe mais, Dieu merci, je suis aussi une maman. »

 

Incitation aux violences conjugales

L’actuel président, qui a dirigé le gouvernement pendant onze ans avant son élection à la tête de l’Etat en août, a suscité à de multiples reprises la colère des mouvements féministes turcs, en tentant de limiter, sans succès, le droit à l’avortement et en recommandant aux femmes d’avoir au moins trois enfants.

Le vice-Premier ministre Bülent Arinç s’est récemment illustré sur ce front. D’abord en recommandant aux femmes de ne pas rire à gorge déployée, au nom de la « décence », puis en critiquant celles qui dansent autour d’une barre verticale.

Les associations de défense des femmes dénoncent systématiquement les sorties jugées sexistes du gouvernement, qu’elles accusent d’encourager les violences conjugales. Selon elles, plus de 200 femmes ont été tuées en Turquie par leur mari ou leur compagnon depuis le début de l’année.

Comble de l’ironie, les déclarations de Recep Tayyip Erdogan interviennent alors que son pays s’apprête à prendre la présidence du G20 : lors de son récent sommet à Brisbane (Australie), le club des pays les plus riches du monde s’est accordé sur une « réduction de 25% d’ici 2025 du fossé qui existe entre homme et femme sur l’accès à l’emploi ».

 

Vu toutes les violences qu’il me fait subir depuis le début des années 2000 au moins, j’ai quand même bien du mal à croire que le juge Raymond André partage en tous points la religion du président turc.



Violences faites aux femmes : paroles de récidivistes

« Or, dans ses blogs, [Petitcoucou] prétendait être ingénieur informatique et avoir travaillé entre 1994 et 2004 pour la défense, sur un projet classifié; elle aurait même fait part à ses parents de la satisfaction des autorités militaires eut égard à son travail, et sa mère, dans une très longue lettre, attestait au juge ces faits manifestement chimériques. » (Isabelle Johanny, Vice-Procureur, Tribunal de Grande Instance de Brest, 7 août 2014)

 

« Or, dans ses blogs, [Petitcoucou] prétendait être ingénieur informatique et avoir travaillé entre 1994 et 2004 pour la défense, sur un projet classifié; elle aurait même fait part à ses parents de la satisfaction des autorités militaires eut égard à son travail, et sa mère, dans une très longue lettre, attestait au juge ces faits manifestement chimériques. » (Pierre Jourdin, Vice-Président chargé de l’Instruction, Tribunal de Grande Instance de Brest, 4 novembre 2014)

 

Excellent, le copié-collé ! Même les fautes d’orthographe sont reproduites !

 

Effectivement, j’ai bien toujours travaillé comme ingénieur d’études en informatique tant que j’ai pu bénéficier d’un emploi, et j’ai bien aussi travaillé pour la Défense nationale sur plus d’un projet classifié, Secret Défense ou Confidentiel Défense selon les cas, mais je n’ai jamais donné les dates indiquées par les magistrats du Tribunal de Grande Instance de Brest, dont l’imagination perverse extrêmement fertile n’a pas grand-chose à envier à celles des cyberdélinquants ou criminels Josette Brenterch, Pascal Luraghi dit Cyprien et comparses.

Et ma mère a bien attesté au juge de faits que mes parents connaissent bien tous les deux pour en avoir été témoins lorsqu’ils se sont produits.

Rappelons quel est le juge d’instruction qui aura orienté et coordonné selon ses convenances personnelles toutes les procédures qui me concernent depuis l’année 2011 au moins :

 

http://www.letelegramme.fr/local/finistere-nord/brest/ville/tribfd/juge-dinstruction-chef-duvre-en-peril-20090113-4510061_1597927.php

Juge d’instruction. Chef d’oeuvre en péril ? 13 janvier 2009 Raymond André est le coordonnateur du pôle de l’instruction finistérien depuis… Raymond André est le coordonnateur du pôle de l’instruction finistérien depuis sa création, en mars 2008. La possible disparition des juges d’instruction ne va pas sans remous. Au pôle de l’instruction brestois, Raymond André, juge coordonnateur, rappelle sa préférence pour la collégialité et explique le rôle pivot de ce magistrat « indépendant ». « 15 h 48, mercredi : heure officielle du décès » : c’est par une boutade que le doyen des juges d’instruction brestois, Raymond André, évoque la disparition programmée du magistrat instructeur. Il n’a pourtant pas le coeur à rire. Membre de l’Union syndicale des magistrats et sympathisant de l’Association française des magistrats instructeurs (Afmi), ce juge chevronné entend rappeler la place essentielle du juge d’instruction dans la fragile architecture du système judiciaire français. De l’indépendance En premier lieu, Raymond André s’attache à répéter l’indépendance de ce juge et qui pourrait être remplacé par un magistrat du parquet selon les voeux présidentiels. « À leurs différences, nous ne sommes pas hiérarchisés et nous sommes nommés par avis conforme du conseil supérieur de la magistrature et du président de la République, alors que pour le parquet, seul celui de la Présidence importe ». À ses yeux, ce distinguo suffirait presque à emporter la raison, car garant d’une indépendance respectant l’essentielle séparation des pouvoirs sur laquelle s’est édifiée la République. D’autant que la création du pôle d’instruction départemental, à Brest, ne date que de début mars 2008 et devait s’accompagner d’un changement du système qui aurait préféré la collégialité au proverbial isolement de ce magistrat, revenu sous le feu des critiques lors du fiasco d’Outreau. « La collégialité, c’est ce que la commission parlementaire réclamait et nous étions d’accord. Mais on ne nous a pas laissé le temps : on aurait quand même pu voir comment ça fonctionnait ». Et le magistrat d’ajouter que la solitude lors de l’instruction est aujourd’hui plus relative que naguère, notamment grâce à la mise en service d’un site intranet où les magistrats instructeurs s’échangent informations et conseils. Quels moyens ? Pourtant, le président André se propulse dans un avenir judiciaire débarrassé de l’instruction telle que menée aujourd’hui, celle qui tend à « rechercher la vérité sur les faits et les auteurs présumés d’un crime ou d’un délit complexe ». Plusieurs interrogations le hantent, à commencer par le temps consacré aux enquêtes. Si l’accent a été mis sur l’étouffement des affaires politico-financières en cas de réforme, ici, ce sont des cas concrets que cite Raymond André. « Lors de l’affaire des prostituées nigérianes, nous avons mené un an d’enquête. Tout a été contesté, ça a demandé un temps infini. Le parquet ne l’aura pas ». Comme il n’aura pas « le temps d’écouter des mineurs victimes de viols, selon lui.« Ce ne sont des choses que l’on ne peut voir qu’ici ». Et si réforme il doit y avoir, elle devra nécessairement débuter « par le statut du parquet garantissant son indépendance. Mais ça n’en prend pas le chemin. Le juge de l’instruction, ce sera qui ? Un juge tampon ? Quels moyens aura-t-il ? Qui financera les expertises ? » ne se lasse pas d’interroger le juge. En 2008, 95 dossiers ont été ouverts à l’instruction. Pour 63 d’entre eux, il s’agit de procédures pour crimes. 34 sont situés sur la zone brestoise, 22 sur la zone quimpéroise et sept sur la zone morlaisienne. Les 32 autres dossiers ont été ouverts pour des délits dits complexes, comme ceux de délinquance financière.

http://www.letelegramme.fr/local/finistere-nord/brest/ville/juges-d-instruction-serge-durand-prochain-doyen-26-07-2012-1787079.php

Serge Durand prochain doyen 26 juillet 2012 L’organisation de la justice àBrest changera quelque peu àla prochaine rentrée avec, notamment, le départ du doyen des juges d’instruction, Raymond André, qui reste dans le même palais mais en qualité de vice-président chargé de l’enfance. Il sera remplacé par un magistrat qui connaît bien la juridiction brestoise pour l’avoir fréquentée, il y a quelques années. Serge Durand, de retour de Nouméa, occupera cette fonction dès la rentrée judiciaire de septembre. Deux autres changements En outre Anne-Cécile André, juge, est déchargée du service du tribunal d’instance de Morlaix et chargée du service du tribunal d’instance de Brest. Gwenaëlle Schulz, substitut placé auprès du procureur général près de la cour d’appel de Rennes, rejoint, pour sa part, le parquet en qualité de substitut du procureur de la République.

 

Eh oui, c’est le juge Raymond André.

Arrivé au Tribunal de Grande Instance de Brest en 1989 pour y occuper un poste de juge d’instruction, il y a quasiment toujours exercé cette fonction jusqu’à l’été 2012.

En cette qualité, il avait eu jadis à connaître des difficultés extraordinaires que je rencontrais dans l’exercice de ma profession depuis que j’avais refusé de mettre mes compétences d’ingénieur d’études en informatique au service du crime organisé.

Lorsqu’au mois de juin 2010 Josette Brenterch a commencé à faire écrire et participer elle-même à l’écriture de sa version imaginaire et hautement calomnieuse de ma « biographie » sur les blogs publics de son complice Pascal Luraghi dit Cyprien, celle où je serais une mythomane ou une malade mentale délirante extrêmement dangereuse qui sous couvert d’anonymat sur Internet s’inventerait une vie et un passé professionnels qu’elle n’aurait jamais eus, le juge Raymond André savait donc depuis fort longtemps quelle était la réalité.

Les Brestois connaissaient déjà fort bien les comportements habituels de leurs magistrats dans les affaires de moeurs, dissuadant même les plus téméraires des victimes de se risquer à porter plainte.

Ils apprendront bientôt en long en large et en travers qu’il n’est pas non plus question d’évoquer devant eux les différentes formes de sexisme ou de violences sexistes dont les femmes sont régulièrement victimes, puisqu’ils sont les premiers à nier totalement, preuves en main, et avec une constance effrayante, la réalité des parcours professionnels de ces « sales putes de femmes ingénieurs qui volent la place des hommes dans le travail », dont ils soutiennent à l’instar de Josette Brenterch que ce seraient des prostituées, et favorisent, encouragent autant que possible le viol et le meurtre, le massacre, l’extermination.

Mes avocats sont sidérés par les manifestations de haine de ces magistrats à mon encontre.



Violences faites aux femmes : chiffres, vérités

http://www.20minutes.fr/societe/1487195-20141125-video-violences-faites-femmes-cinq-chiffres-chocs

VIOLENCES Une étude publiée ce mardi dresse un état des lieux chiffré des violences faites aux femmes en France…

VIDEO. Les violences faites aux femmes en cinq chiffres chocs

 

Le 3919 est une plateforme téléphonique gratuite et anonyme d'écoute et d'aide aux femmes victimes de violences.
Le 3919 est une plateforme téléphonique gratuite et anonyme d’écoute et d’aide aux femmes victimes de violences. – F.DURAND/SIPA

Anissa Boumediene

    • Créé le 25.11.2014 à 07:13
    • Mis à jour le 25.11.2014 à 07:13

«Combattre toutes les violences faites aux femmes, des plus visibles aux plus insidieuses». Tel est l’objectif de l’étude publiée ce mardi au nom de la Délégation aux droits des femmes et à l’égalité du Conseil économique social et environnemental (Cese), à l’occasion de la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, le 25 novembre. Blagues sexistes, agressions, viols, harcèlement et autres frotteurs dans les transports, les violences à l’encontre des femmes prennent de multiples formes et font chaque année en France de nombreuses victimes. 20 Minutes vous révèle les cinq chiffres forts du document.

1/5

Largement occulté auparavant, le harcèlement de rue est mis en lumière dans cette étude, qui révèle que près de 20% des femmes interrogées, soit une sur cinq, ont subi au moins une forme de violence dans l’espace public au cours des douze derniers mois, allant de l’insulte à l’attouchement. Un phénomène viral, illustré par de nombreuses vidéos, tournées notamment à Paris, New York ou encore Bruxelles et qui touchent en majorité les jeunes de 20 à 24 ans.

200.000

Chaque année en France, plus de 200 000 femmes se déclarent victimes de violences conjugales. Le plus souvent, il s’agit de violences répétées, puisque 70% des victimes reconnaissent avoir été agressées à plusieurs reprises au cours des deux dernières années. Des chiffres bien en deçà de la vérité compte tenu de la proportion importante de victimes qui gardent le silence.

83.000

D’après les chiffres publiés par l’Observatoire national des violences faites aux femmes en 2013, environ 83.000 femmes de 18 à 59 ans ont déclaré avoir été victimes de viols ou tentatives de viols en 2012. En moyenne, 75.000 femmes sont violées chaque année, soit plus de 200 par jour. L’année dernière, 1.275 d’entre elles ont été violées par leur conjoint. Mais là encore, beaucoup de victimes ne parlent pas et les chiffres avancés sont inférieurs à la réalité.

10%

Omerta, honte, peur des représailles : à peine 10 % des femmes qui se déclarent victimes de violences au sein du couple ont déposé plainte. Dans leur grande majorité, les femmes n’osent pas se tourner vers la justice. En 2013, selon le rapport annuel de l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP), 24.985 femmes ont porté plainte pour coups et violences volontaires contre leur conjoint ou ex-conjoint. Si parfois elles arrivent à confier leur calvaire à un proche, une partie d’entre elles s’adresse à des services sociaux ou des associations d’aides aux victimes. Toutefois, plus d’une femme sur cinq victime de violences conjugales ne se confie à personne.

121

En 2013, 121 femmes sont décédées à la suite de violences conjugales. Soit une femme tuée tous les trois jours en France par son conjoint ou ex-conjoint. Dans le même temps, l’étude révèle que 25 hommes ont perdu la vie du fait de leur conjointe. Le document souligne toutefois que 17 d’entre eux étaient violents avec leur compagne. Chez les hommes, la non-acceptation de la séparation est la principale motivation de l’acte meurtrier. Autre chiffre édifiant révélé par le rapport, dans près de la moitié des meurtres au sein du couple (47,7 %), des faits de violences antérieures étaient connus des services de police ou des unités de gendarmerie.

 

Et chez les magistrats, quelle est la principale motivation de l’acte meurtrier ?

 

http://www.letelegramme.fr/local/finistere-nord/brest/ville/tribfd/juge-dinstruction-chef-duvre-en-peril-20090113-4510061_1597927.php

Juge d’instruction. Chef d’oeuvre en péril ? 13 janvier 2009 Raymond André est le coordonnateur du pôle de l’instruction finistérien depuis… Raymond André est le coordonnateur du pôle de l’instruction finistérien depuis sa création, en mars 2008. La possible disparition des juges d’instruction ne va pas sans remous. Au pôle de l’instruction brestois, Raymond André, juge coordonnateur, rappelle sa préférence pour la collégialité et explique le rôle pivot de ce magistrat « indépendant ». « 15 h 48, mercredi : heure officielle du décès » : c’est par une boutade que le doyen des juges d’instruction brestois, Raymond André, évoque la disparition programmée du magistrat instructeur. Il n’a pourtant pas le coeur à rire. Membre de l’Union syndicale des magistrats et sympathisant de l’Association française des magistrats instructeurs (Afmi), ce juge chevronné entend rappeler la place essentielle du juge d’instruction dans la fragile architecture du système judiciaire français. De l’indépendance En premier lieu, Raymond André s’attache à répéter l’indépendance de ce juge et qui pourrait être remplacé par un magistrat du parquet selon les voeux présidentiels. « À leurs différences, nous ne sommes pas hiérarchisés et nous sommes nommés par avis conforme du conseil supérieur de la magistrature et du président de la République, alors que pour le parquet, seul celui de la Présidence importe ». À ses yeux, ce distinguo suffirait presque à emporter la raison, car garant d’une indépendance respectant l’essentielle séparation des pouvoirs sur laquelle s’est édifiée la République. D’autant que la création du pôle d’instruction départemental, à Brest, ne date que de début mars 2008 et devait s’accompagner d’un changement du système qui aurait préféré la collégialité au proverbial isolement de ce magistrat, revenu sous le feu des critiques lors du fiasco d’Outreau. « La collégialité, c’est ce que la commission parlementaire réclamait et nous étions d’accord. Mais on ne nous a pas laissé le temps : on aurait quand même pu voir comment ça fonctionnait ». Et le magistrat d’ajouter que la solitude lors de l’instruction est aujourd’hui plus relative que naguère, notamment grâce à la mise en service d’un site intranet où les magistrats instructeurs s’échangent informations et conseils. Quels moyens ? Pourtant, le président André se propulse dans un avenir judiciaire débarrassé de l’instruction telle que menée aujourd’hui, celle qui tend à « rechercher la vérité sur les faits et les auteurs présumés d’un crime ou d’un délit complexe ». Plusieurs interrogations le hantent, à commencer par le temps consacré aux enquêtes. Si l’accent a été mis sur l’étouffement des affaires politico-financières en cas de réforme, ici, ce sont des cas concrets que cite Raymond André. « Lors de l’affaire des prostituées nigérianes, nous avons mené un an d’enquête. Tout a été contesté, ça a demandé un temps infini. Le parquet ne l’aura pas ». Comme il n’aura pas « le temps d’écouter des mineurs victimes de viols, selon lui.« Ce ne sont des choses que l’on ne peut voir qu’ici ». Et si réforme il doit y avoir, elle devra nécessairement débuter « par le statut du parquet garantissant son indépendance. Mais ça n’en prend pas le chemin. Le juge de l’instruction, ce sera qui ? Un juge tampon ? Quels moyens aura-t-il ? Qui financera les expertises ? » ne se lasse pas d’interroger le juge. En 2008, 95 dossiers ont été ouverts à l’instruction. Pour 63 d’entre eux, il s’agit de procédures pour crimes. 34 sont situés sur la zone brestoise, 22 sur la zone quimpéroise et sept sur la zone morlaisienne. Les 32 autres dossiers ont été ouverts pour des délits dits complexes, comme ceux de délinquance financière.

Pour l’affaire des prostituées nigérianes, deux coups de fil m’avaient suffi à vérifier une hypothèse qui me sautait aux yeux. Je ne comprends pas que la justice brestoise n’ait jamais pu remonter la filière.
Quant aux affaires de viols, par ici, que les victimes soient mineures ou non, elles ne sont généralement écoutées que de manière illégale pour satisfaire aux desideratas des violeurs, pédophiles ou proxénètes.
 


Plus de 150000 « visites » pour le Petitcoucou !

Mon Chinois de Thaïlande me tanne à ce sujet depuis deux jours.

Nous allons donc le satisfaire en actualisant par cet article le bilan de ses exploits depuis le 25 juillet dernier.

Pour commencer, le nombre total de « visites » de pages de ce blog : grâce à son activité hallucinante de ces dernières semaines, ce nombre avait allègrement dépassé la barre des 100000 clics il y a quinze jours et vient de franchir celle des 150000 « lectures » depuis dimanche.

Aujourd’hui, mon Chinois me signale avec insistance être de nouveau très excité.

En effet, alors que depuis le 12 novembre son hyper-excitation de ces dernières semaines diminuait jour après jour, depuis hier elle repart à la hausse :

 

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En parallèle, les statistiques de ce blog résultant des visites réelles qu’il reçoit quotidiennement n’évoluent pas :
 

Visiteurs – 30 derniers jours

Date Visites Unique Rebonds
18/11/2014 12 11 9
17/11/2014 31 29 23
16/11/2014 33 29 23
15/11/2014 23 22 17
14/11/2014 33 33 29
13/11/2014 21 20 14
12/11/2014 26 24 21
11/11/2014 35 29 32
10/11/2014 25 23 19
09/11/2014 29 28 21
08/11/2014 31 28 23
07/11/2014 33 29 23
06/11/2014 32 30 25
05/11/2014 29 29 20
04/11/2014 47 47 38
03/11/2014 37 35 32
02/11/2014 39 35 31
01/11/2014 43 38 35
31/10/2014 36 33 31
30/10/2014 33 28 22
29/10/2014 33 25 21
28/10/2014 23 19 14
27/10/2014 33 32 25
26/10/2014 28 26 25
25/10/2014 20 18 14
24/10/2014 31 30 22
23/10/2014 34 29 24
22/10/2014 28 26 23
21/10/2014 24 24 17
20/10/2014 22 22 20
Unique TOTAL Somme: 831 Moyenne: 28

 

Vue d’ensemble – aujourd’hui

Visiteurs 12
Visiteurs uniques 11
Pages vues 19 (Ø 1.6)
Pages vues max.par visite 4
Temps total passé 0h 11m 2s
Temps par visite 0h 0m 55s
Nombre de sauts 9 (75%)

 

A titre de comparaison, je rappelle les statistiques de mon blog « Un petit coucou » chez OverBlog à un an et neuf mois d’existence ou un peu plus de 21 mois d’âge :

 

2012-01-13 Pause - Un petit coucou

 

Ce blog-ci, créé le 19 mars 2014, soit il y a maintenant tout juste huit mois, n’a toujours pas le tiers des lecteurs quotidiens de ce précédent blog.



Déconnologie sans frontières

http://www.metronews.fr/info/grande-bretagne-il-decoupe-son-pere-et-le-transforme-en-meuble-de-television/mnkm!3p9yaEX863Sqc/

Il découpe son père et le transforme en meuble télé

 

Mis à jour : 13-11-2014 15:44

- Créé : 13-11-2014 14:26
 

FAIT DIVERS – Le procès d’un parricide particulièrement sordide se tient actuellement en Angleterre. Nathan Robinson, 28 ans, est jugé pour avoir tué son père avant de le démembrer et de cacher les parties de son corps dans des boîtes de rangement faisant office de meuble de télévision.

 

Photo d'illustration. Nathan Robinson avait soigneusement rangé les parties du corps de son père dans des boîtes de rangement, empilées les unes sur les autres pour former un meuble de télévision.

Photo d’illustration. Nathan Robinson avait soigneusement rangé les parties du corps de son père dans des boîtes de rangement, empilées les unes sur les autres pour former un meuble de télévision. Photo : SIPA

 

Quand la dépouille de William Spiller avait été retrouvée en juin 2013, une odeur pestilentielle et des mouches envahissaient son appartement. La police avait alors fait une découverte particulièrement sordide : son corps de 158 kilos, démembré, était dispersé dans des boîtes de rangement en plastique empilées les unes sur les autres. Le tout servant de meuble de télévision. Le procès de son fils, qui reconnaît avoir commis un « homicide involontaire », se tient actuellement en Angleterre. Et les détails rapportés par les médias britanniques sur ce parricide font froid dans le dos.

Nathan Robinson et son père, un chauffeur de taxi de 48 ans, venaient de se disputer lorsque le jeune homme a commis ce crime dans l’appartement qu’ils partageaient à Bournemouth (côte sud de l’Angleterre). A l’aide d’un couteau de bricolage et de deux petites scies à métaux, il avait ensuite « soigneusement » découpé son cadavre, avant d’emballer tout aussi précautionneusement les morceaux dans les boîtes de rangement. La tête de la victime avait reçu un traitement spécial : Nathan l’avait placée dans un classeur rangé dans la chambre à coucher.

« Est-ce que c’est une blague ? »

Un voisin du dessous, remarquant qu’un « liquide rose » perlait depuis le plafond de sa salle de bains – du sang mêlé à un produit nettoyant selon le procureur -, était venu toquer à sa porte peu après les faits. Ce témoin a décrit un homme « très calme, tout à fait normal ». Car Nathan, aujourd’hui âgé de 28 ans, a fait preuve de de sang-froid dans les jours suivants, allant jusqu’à envoyer des messages avec le téléphone portable de son père pour faire croire qu’il était encore vivant. Il était même parti faire la fête à Glasgow (Ecosse), où il avait dépensé l’argent de son père.

Un mois après les faits la police, alertée par un collègue du chauffeur de taxi, a arrêté Nathan alors qu’il se trouvait au domicile de sa mère à Birmingham. « Est-ce que c’est une blague ? », leur a-t-il alors lancé. Pour sa défense, le jeune homme assure qu’il « dans son état normal au moment du drame ».

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Louis Hamet

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http://www.leparisien.fr/faits-divers/il-avait-decoupe-son-pere-pour-en-faire-un-meuble-tele-13-11-2014-4288565.php

Il avait découpé son père et fait un meuble télé avec son corps

 

Publié le 13.11.2014, 12h01 | Mise à jour : 14h40

C'est dans l'un de ces petits immeubles de la ville de Bournemouth, au sud de l'Angleterre, que Nathan Robinson a découpé son père en morceaux avant de ranger sa dépouille dans des boîtes en plastique et d'en faire un meuble télé.

C’est dans l’un de ces petits immeubles de la ville de Bournemouth, au sud de l’Angleterre, que Nathan Robinson a découpé son père en morceaux avant de ranger sa dépouille dans des boîtes en plastique et d’en faire un meuble télé. | Capture Google Street view

 

Un Anglais de 28 ans comparaît actuellement devant la justice anglaise pour avoir tué et découpé son père dans des circonstances effroyables. Nathan Robinson, qui fait face aux juges de la Cour de la Couronne (Ndlr : la juridiction britannique qui traite des affaires criminelles les plus graves), reconnaît avoir commis un homicide involontaire, non le meurtre intentionnel pour lequel il est jugé, selon le Telegraph, qui raconte l’histoire.

Le 16 mai 2013, après une dispute sur de l’argent dans l’appartement familial de Bournemouth (Dorset), Nathan Robinson a tué son père, William Spiller, chauffeur de taxi de 48 ans, avec qui il vivait. Puis avec un couteau de bricolage de la marque Stanley et deux petites scies, dont une à métaux, il a «soigneusement» découpé son cadavre malgré une corpulence hors norme : 1,83 m et 158 kilos. Il a ensuite rangé les morceaux dans de grosses boîtes en plastique d’archivage, qu’il a ensuite empilées pour dessiner un meuble-télé.C’est le voisin du dessous qui, dans l’après-midi, a remarqué qu’un «liquide rose» tombait en gouttes du plafond de sa salle de bains. Selon le procureur, il s’agissait de sang mélangé à un produit nettoyant, que Robinson était allé acheter après son crime. Quelques heures avant de voir le sang goutter, ce même voisin assure avoir entendu William Spiller crier chez lui : «Tu crois vraiment que je vais te subventionner toute ma vie ?» Frappant à la porte de l’appartement pour évoquer cette curieuse fuite, il décrit un Robinson «très calme, tout à fait normal» après son geste fatal. Le jeune homme lui aurait simplement confié s’être disputé avec son père.

Après son effroyable ouvrage, Nathan Robinson a dressé la liste des choses qu’il devait faire, ce qui démontre, sinon la préméditation, du moins une conscience aiguë de son geste : «Payer le loyer, louer du matériel de nettoyage», avait-il noté, de même qu’envoyer des messages avec le téléphone portable de son père pour le faire passer pour vivant. Il avait ensuite quitté les lieux, prenant la direction de Glasgow (Ecosse) où, avec l’argent dérobé à son père, il avait «passé du bon temps» à «manger, boire et rencontrer des gens». Puis, de retour, il avait vécu dans l’appartement avant de retourner en Ecosse puis d’accompagner sa mère lors d’un «weekend végétarien» à Bristol.

La dépouille de Spiller n’a été retrouvée qu’un mois plus tard, le 17 juin 2013, après qu’un collègue s’est inquiété de ne plus le voir et de ne pas recevoir de réponse à ses messages. La police du Dorset, en arrivant dans l’appartement, a été assaillie par l’odeur et par le nombre de mouches qui pullulaient, mortes et vivantes, dans le couloir. Les boîtes qui supportaient la télévision étaient pleines, de même qu’un casier dans la chambre à coucher, dans lequel Nathan Robinson avait rangé la tête de son père.

Lorsque la police s’est présentée au domicile de sa mère, à Birmingham, le jeune homme l’a accueillie avec étonnement, demandant s’il s’agissait «d’une blague». Il ne nie pas avoir tué son père à qui il devait un prêt de 36 000 livres sterling mais, devant la Cour de la Couronne, assure qu’il ne jouissait pas de toutes ses capacités mentales au moment des faits, ce qui réduirait sa responsabilité. Les experts sont partagés.

LeParisien.fr

 

http://www.planet.fr/societe-angers-il-imite-dexter-pour-tuer-un-homme.726581.29336.html

Angers : il se prend pour « Dexter » et projette de dissoudre le corps de celui qu’il a prévu de tuer

 

Publié par Stéphanie Thibault le Samedi 08 Novembre 2014 : 10h32

 

Angers : il se prend pour "Dexter" et projette de dissoudre le corps de celui qu'il a prévu de tuer

Arrêté par la police d’Angers, un homme qui avait prévu de tuer un habitant de la ville avait mis au point un scénario digne de la série télé à succès « Dexter » : après avoir tué sa victime, il comptait dissoudre son corps à l’aide produits chimiques.

Avait-il trop regardé la télé ? Un homme, interpellé par la police d’Angers dans la nuit de jeudi à vendredi, s’est visiblement pris pour Dexter, le héros de la sérié télé à succès, policier le jour et tueur en série la nuit. Cet homme originaire de la région parisienne, avait vraisemblablement prévu de se débarrasser d’un habitant de la ville : il avait ainsi tout le matériel nécessaire pour dissoudre le corps de sa victime après l’avoir tuée. Ce sont des habitants de l’immeuble qui ont alerté le services de police. Vêtu d’une combinaison de protection blanche, de gants, d’une cagoule et d’un bâton, indique Ouest-France, il se dirigeait vers l’appartement de celui qu’il voulait occire.

Une dette de stupéfiant

La brigade anti-criminalité d’Angers est alors rapidement intervenue et a appréhendé l’individu. Selon le ministère de l’Intérieur, « les premières constations laissent présumer dans un premier temps que l’homme (était) venu de région parisienne pour régler une dette de stupéfiant ». Dans sa voiture, dont le coffre avait été tapissé d’une bâche en plastique indique le quotidien, plusieurs bidons de produits chimiques ont été saisis par les enquêteurs. Une perquisition du domicile du suspect en région parisienne a également été diligentée.

 

 dans Insolent - Insolite

Publié par Stéphanie Thibault le Samedi 08 Novembre 2014 : 10h32

 

http://www.ouest-france.fr/faits-divers-angers-il-tente-de-tuer-un-homme-en-imitant-dexter-2958457

Angers. Il tente de tuer un homme en imitant « Dexter »

 

Angers – 07 Novembre
  • La série "Dexter" met en scène un serial killer qui se débarrasse de ses victimes après une mise en scène macabre.
    La série « Dexter » met en scène un serial killer qui se débarrasse de ses victimes après une mise en scène macabre. | DR

Par Arnaud Wajdzik

Vêtu d’une combinaison blanche et de gants, un homme est soupçonné d’avoir voulu tuer et dissoudre un Angevin, dans un quartier sud d’Angers. Il a été arrêté.

 

Découvert dans la nuit de jeudi à vendredi, à Angers, boulevard Bédier, un break familial, appartenant à un habitant de la région parisienne, contenait tout le matériel nécessaire au crime. Le coffre du véhicule était tapissé d’une bâche plastique, sans doute pour contenir les éclaboussures de sang. Dans un coin, un caisson contenant plusieurs bidons de produits chimiques en cours d’identification.

Dette de stupéfiants

« Les premières constatations laissent présumer dans un premier temps que l’homme, venu de région parisienne pour régler une dette de stupéfiant, avait l’intention de tuer un homme et de transporter le corps pour le faire disparaître à l’aide de produits chimiques », indique le ministère de l’Intérieur.

Combinaison blanche

La police a été alertée par un témoin. Une personne a prévenu le « 17″ car elle a remarqué la présence d’un homme inconnu dans le hall de son immeuble. Il était vêtu d’une combinaison blanche de protection, à usage unique, porteur de gants en caoutchouc, d’une cagoule et d’un bâton.

Rapidement sur place, un équipage de la brigade anti-criminalité a pu entrer dans le bâtiment et l’a interpellé avant de le placer en garde à vue. Les sapeurs-pompiers sont ensuite entrés dans l’appartement de la victime supposée, vide de tout occupant.

La sûreté départementale est chargée de l’enquête. Les agents techniques ont réalisé des prélèvements et constatations d’usage, sur place, ce matin.

Ce vendredi après-midi, les enquêteurs effectuaient une perquisition au domicile du suspect, en région parisienne.

 

http://www.parismatch.com/Actu/Faits-divers/Le-suspect-se-prenait-pour-Dexter-648288

Le suspect se prenait pour Dexter

 

Le suspect se prenait pour Dexter

Le suspect était accoutré à peu près de la sorte lorsqu’il a été interpellé. © T.C.D / VISUAL Press Agency

 

Le 08 novembre 2014 | Mise à jour le 08 novembre 2014
T.L.

 

Un homme suspecté d’avoir voulu commettre un crime inspiré de la série «Dexter» a été arrêté à Angers, et placé en garde à vue.

Un homme a été arrêté, dans la nuit de jeudi à vendredi dans le quartier de la Roseraie à Angers, soupçonné d’avoir l’intention de commettre un crime en s’inspirant de la série télévisée «Dexter», dans laquelle Michael C. Hall interprète un tueur en série «justicier». C’est une résidente inquiète d’avoir vu cet individu entrer dans le hall de son immeuble qui a appelé la police, raconte le «Courrier de l’Ouest». Et pour cause : il était vêtu d’une combinaison blanche de protection à usage unique, de gants en caoutchouc, d’une cagoule et d’un bâton…

Sa voiture était aménagée pour l’occasion

Une équipe de la Brigade anti-criminalité (BAC) s’est rendue sur place et a interpellé le suspect. D’après les premiers éléments de l’enquête, l’homme, venu de région parisienne pour une dette liée au trafic de stupéfiants d’après «Ouest-France», projetait de «tuer un homme et de transporter le corps pour le faire disparaître à l’aide de produits chimiques». En effet son véhicule, un break familial, était parfaitement aménagé pour ce genre de crime, et contenait tout le matériel nécessaire.

On ignore tout pour l’heure des intentions exactes du suspect, de ses motivations, et de son identité. Il a été placé en garde à vue et son domicile a été perquisitionné vendredi après-midi. L’enquête a été confiée à la sûreté départementale.

 

http://www.metronews.fr/info/le-fait-divers-du-jour-le-chauffeur-de-camion-gardait-des-esclaves-sexuels-dans-sa-remorque/mnko!6nQJWez7GhfU2/

Le fait divers du jour : le chauffeur de camion gardait des esclaves sexuels dans sa remorque

 

Créé : 15-11-2014 10:32

 

ETATS-UNIS – Sur une période de 20 ans, l’individu avait enlevé et agressé des femmes à de multiples reprises, sur des périodes de quelques mois. Il plaide non coupable.

 

Six femmes ont été enlevées par le chauffeur de camion, sur une période de vingt ans. Photo : AFP

Metronews a fait le tour de l’actualité internationale et vous livre le fait divers du jour.

Un chauffeur de camion américain est poursuivi devant la justice pour avoir gardé, pendant sur une période de près de 20 ans, des esclaves sexuels dans la remorque de son camion. Timothy Jay Vafeades, 54 ans, originaire de l’Utah, en aurait ainsi eu pas moins de six pendant des périodes plus ou moins longues, rapporte le Huffington Post.

Six victimes, enlevées plusieurs mois

Les enlèvements ont commencé dans les années 90, avec une femme qu’il avait rencontrée alors qu’il séjournait dans un hospice. Vafeades l’avait d’abord épousée, avant de la forcer à le suivre en Utah, où il l’avait retenue contre son gré et agressée à de nombreuses reprises jusqu’à ce qu’elle prenne la fuite, six mois plus tard. En 2005, c’est une employée de supermarché qui avait à son tour été enlevée et agressée pendant trois mois. Quatre autres ont également dû subir la loi du chauffeur avant qu’il soit finalement arrêté par la police, alertée par la présence dans son camion d’une jeune fille de 19 ans portant des traces de coup.

Devant le juge, Vafeades plaide désormais non coupable. Mais même si le délai de prescription est écoulé pour les faits les plus anciens, il aura du mal à convaincre les jurés de son innocence. L’audience est prévue le 17 décembre

Thomas Morel

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