Cyprien Luraghi a révélé mon identité à ses lecteurs à compter du 19 juin 2010 à la suite d’une conversation téléphonique qu’il venait d’avoir avec sa complice Josette Brenterch du NPA de Brest qui lui aura manifestement donné son feu vert pour cette publication et toutes celles qui vont suivre à mon sujet, en violation de l’intimité de ma vie privée.
La même femme est l’auteure de tous les romans calomnieux que son complice Cyprien Luraghi va dès lors écrire sous sa dictée et publier à mon sujet sur tous ses blogs et sites de prédilection en les présentant comme différents éléments ou épisodes de ma « biographie ».
Elle « renseignait » toute sa bande de « déconnologues » sur mon compte depuis le début de leurs harcèlements à mon encontre, en 2008, ou plutôt, me calomniait auprès de ces malades mentaux, pervers ou psychopathes, comme elle l’avait toujours fait depuis des lustres auprès de toutes les personnes que j’étais amenée à rencontrer ou fréquenter, et les incitait à m’injurier et me diffamer publiquement comme ils le faisaient depuis le début, à me traquer partout sur le net, à me harceler et me calomnier auprès de tous en vue d’obtenir mon exclusion de tout site ou blog où je tentais de m’exprimer, même anonymement et sur des sujets anodins, ou à défaut d’y parvenir, de décrédibiliser totalement tous mes propos, et aussi, comme toujours, de m’empêcher absolument de me lier durablement avec qui que ce soit.
Elle finira par l’avouer à mots couverts dans un de ses commentaires mensongers sur mon blog « Un petit coucou » chez OverBlog en 2012 :
Commentaire sur La France n’est pas indifférente aux problèmes de la Mafia, elle les résoud ! Yeaaah !
Laissé par : Mme B. le28/03/2012 à 20h31
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- Je signale aux lecteurs/trices de ce blog que je ne suis ni menteuse ni grosse… et que je ne lisais pas Rue 89 ni Le Post en 2008. Je n’ai su que bien plus tard, par des amis brestois, que j’y étais déjà l’objet de propos peu sympathiques de la part de l’auteure de ce blog-ci.
Je ne comprends pas que quiconque, hors mes proches évidemment, m’accordent un tel intérêt. Je suis, comme l’auteure de ce blog semble-til, quelqu’une de très ordinaire.
Je n’avais jamais rien publié nulle part à propos de cette femme avant d’être obligée de démentir toutes ses allégations mensongères à mon sujet sur les blogs de son complice Cyprien Luraghi à compter de l’été 2010.
Il est donc totalement faux que des amis brestois de la dame aient jamais pu l’informer que j’aurais tenu à son égard des propos peu sympathiques sur les sites Rue89 et Le Post en 2008. Je n’écrivais d’ailleurs que sur le premier où je m’étais inscrite au mois de décembre 2007 sous le pseudonyme « existe », et réinscrite après la suppression de ce premier compte sous le pseudonyme « jexiste » au mois de septembre 2008. Je n’ai jamais rien écrit sur le second avant la fin août 2009. J’étais alors définitivement bannie du premier en conséquence des harcèlements que j’y avais subis à compter de l’été 2008.
Mais il est exact que tous mes écrits publics anonymes étaient bien scrutés par des Brestois depuis le tout premier sur le site Rue89.
Josette Brenterch me faisait déjà illégalement surveiller lorsque j’ai fait sa connaissance dans l’association AC ! Brest en début d’année 2004. Elle a toujours continué.
Je m’étais rendu compte très tôt de ces surveillances dont j’étais toujours l’objet en 2008 alors que j’avais commencé à commenter anonymement des articles du site Rue89.
J’en avais parlé sur mon blog « Un petit coucou » chez OverBlog dans les articles dont copies ci-dessous à la suite de cet n-ième semi-aveu public de Josette Brenterch :
Egalement dans l’article dont copies ci-dessous, qui avait été abondamment « commenté » par mes harceleurs du net lors de sa publication au mois de mars 2011 :
Et dans cet article relatif aux piratages informatiques dont j’étais toujours victime en 2009, lesquels se sont toujours poursuivis au cours des années suivantes :
Cliquer sur les images pour les agrandir et lire les textes.
Cyprien Luraghi et ses amis « déconnologues » apparaissaient alors très clairement comme les auteurs de ces piratages informatiques dont j’étais victime depuis le début de leurs harcèlements à mon encontre, en 2008, alors qu’ils étaient déjà « renseignés » à mon sujet par Josette Brenterch qui me faisait toujours illégalement surveiller par divers moyens frauduleux depuis plusieurs années.
Aucun d’eux n’a donc « appris » de cette femme mon identité au mois de juin 2010.
Pour la plupart, ils la connaissaient déjà depuis l’été 2008 au moins.
Cependant, pour éviter de dire la vérité sur ces harcèlements dont j’étais victime depuis l’été 2008 à l’instigation de leur complice Josette Brenterch du NPA de Brest qui jusque-là était toujours restée dans l’ombre, Cyprien Luraghi racontera alors à ses lecteurs qu’il aurait découvert mon identité et celle de cette femme censée très bien me connaître, suffisamment pour lui donner la totalité de ma « biographie », et jusque dans ses détails les plus intimes, c’est-à-dire précisément tout ce qu’il attendait pour écrire à mon sujet le « bouquin » qu’il annonçait depuis déjà un an, qu’il aurait donc découvert nos deux identités grâce à mes propres commentaires sur le site Rue89, puis l’aurait appelée pour lui demander de confirmer tout ce qu’il aurait déjà « su » à mon sujet, ce qu’elle aurait fait tout de suite, sans rencontrer aucune des difficultés qui eurent été les siennes en cette occasion si réellement elle n’avait pas déjà été avertie de mon activité d’internaute jusqu’alors parfaitement anonyme.
Dans la mesure où je n’avais encore jamais évoqué ni mon rôle dans une quelconque association de chômeurs, ni l’association AC ! Brest, ni aucune des personnes que j’y avais rencontrées ou y fréquentais quand j’en ai fait partie en 2004 et 2005, Josette Brenterch ne disposait à la date du 19 juin 2010 d’aucun moyen de m’identifier à la lecture de mes seuls commentaires publics anonymes sur le site Rue89 ou ailleurs, textes qu’elle aurait quand même dû entièrement compulser en quelques secondes ou quelques minutes tout au plus pour pouvoir confirmer mon identité à Cyprien Luraghi qui à l’en croire venait de l’appeler par téléphone à cet effet.
Cyprien Luraghi qui lui ne m’avait jamais rencontrée dans aucun autre cadre que celui de nos participations communes à des discussions de forum où j’étais toujours restée anonyme et n’avais jamais publié aucun élément qui aurait permis à quiconque de m’identifier était encore moins capable de me reconnaître.
Cette fable à laquelle Josette Brenterch elle-même n’avait pas manqué de donner du crédit en l’appuyant très lourdement dans ses propres commentaires sur les deux blogs alors publics de son complice Cyprien Luraghi après être venue y confirmer toutes ses inventions calomnieuses à mon égard à la suite des premiers démentis que j’avais publiés à ce sujet sur mon blog « Un petit coucou » chez OverBlog fin juin 2010, est toujours restée depuis lors leur version officielle commune pour leur rencontre et pour la découverte de mon identité par Cyprien Luraghi avant qu’il ne l’eût révélée à ses lecteurs.
Aux autorités judiciaires brestoises, Josette Brenterch dira pour sa part à compter de l’automne 2010 m’avoir identifiée grâce à mon « style d’écriture », qu’elle aurait reconnu…
Mais Cyprien Luraghi a aussi écrit à maintes reprises sur ses différents blogs avoir en fait toujours eu mon identité et « su » depuis le début à quoi s’en tenir à mon sujet, comme par exemple dans cette discussion publique du 28 mai 2010 que j’avais rapportée dans l’article de blog dont copie ci-dessous :
Cliquer sur l’image pour l’agrandir et lire les textes.
En date du 28 mai 2010, il avait bien écrit, en réponse à sa complice la « déconnologue » « Dodu » me disant « frappadingue » :
« Ben oui, ça on le savait depuis le début… mais dans la Rue (de merde) ils ont tout de même mis plus de deux ans avant de s’en rendre compte, et plusieurs mois sur Le Post. »
C’est bien Josette Brenterch du NPA de Brest qui me faisait passer pour une malade mentale auprès de ces « militants » extrême-gauchistes ultraviolents, comme elle viendra elle-même le confirmer avec moult précisions et détails de son invention sur les deux blogs alors publics de son complice Cyprien Luraghi à compter du 30 juin 2010.
Les pseudonymés Charles Mouloud, Hestia et Pomponette75 s’étaient bien montrés « renseignés » par elle à mon sujet dès l’été 2008. Cyprien Luraghi faisait bien partie de leur bande.