Mon Chinois de Thaïlande : poursuivons le jeu de piste

Comme nous venons de le voir dans mon précédent article, le Chinois de Thaïlande me renvoie au Pakistan ainsi qu’à Josette Brenterch du NPA de Brest, et aux difficultés qu’elle rencontre en appel dans la procédure qu’elle a engagée en 2011 afin de me faire taire sur toutes ses exactions à mon encontre, et sur ma propre biographie, dont elle a décidé de faire rédiger et publier une version calomnieuse par son complice le cyberdélinquant Pascal Edouard Cyprien Luraghi.

En effet, si elle a réussi à me faire condamner en première instance sans aucune difficulté, ce ne sera pas le cas en appel. Non seulement les magistrats ne seront pas les mêmes, mais mon avocat non plus, et aucun d’entre eux n’est à sa botte. Il est ainsi d’ores et déjà acquis que je serai réellement défendue. Alors qu’à Brest Josette Brenterch et son défenseur avaient pu me calomnier très librement durant trois heures d’audience, à Rennes sera notamment plaidée pour ma défense l’exception de bonne foi. Aussi, au mois de mai 2014, l’avocat de Josette a reçu communication de tout un ensemble de pièces dont il s’avère dans l’incapacité totale de contredire les contenus.

Pour ne rien arranger à ses affaires, son complice en escroqueries Jean-Marc Donnadieu a été débouté de toutes ses demandes au fond contre mon hébergeur de blog OverBlog par un jugement du tribunal de grande instance de Béziers rendu le 26 mai 2014, ce dont il ne se vante pas beaucoup, et son chaperon le cyberdélinquant Pascal Edouard Cyprien Luraghi encore moins, qui afin de tromper tous ses lecteurs continue à n’afficher sur son blog que les décisions de justice qui leur sont favorables.

Ce dernier, un Français originaire de Strasbourg qui vit dans le Lot depuis au moins vingt ans, aime à se dire Indien depuis l’époque de ses séjours en Inde.

Or, en date du 3 juin 2015, très précisément à 11h18, j’ai reçu une visite de cette provenance pour l’article suivant, que j’avais publié le 22 janvier 2015 :

 

http://satanistique.blogspot.in/2015/01/les-freres-kouachi-ont-fait-de.html

 

J’en rappelle le début :

 

Les frères Kouachi ont fait de réguliers séjours dans l’Hérault

 

Il est curieux de constater que les journalistes étrangers semblent plus enclins que leurs homologues français à enquêter sur les auteurs des attentats de ces derniers jours sur un terrain qui n’est pourtant pas le leur.

L’hebdomadaire allemand Der Spiegel a ainsi publié un reportage sur l’adolescence des frères Kouachi, ponctuée de réguliers séjours à La Grande-Motte, dans l’Hérault, à 16km au sud de Lunel et 25 km à l’est de Montpellier.

Seuls deux journaux français ont relayé cette information.

 

Suivent les copies de plusieurs articles de presse à ce sujet.

 

Adresse du visiteur :

 

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Organisation: Direct Internet Ltd.
Region: Chennai (IN)

 

 

 

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Chennai

 

Chennai

Mon Chinois de Thaïlande : poursuivons le jeu de piste dans AC ! Brest 45px-Question_book-4.svg
Cet article ne cite pas suffisamment ses sources (septembre 2012).
Si vous disposez d’ouvrages ou d’articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l’article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références » (modifier l’article, comment ajouter mes sources ?).
Chennai
சென்னை / Madras
Administration
Pays Drapeau de l'Inde Inde
État ou territoire Tamil Nadu
District Chennai, Kanchipuram, Tiruvallur
Maire M. Subramaniam
Index postal 600 xxx
Fuseau horaire IST Indian Standard Time
(UTC+5.30)
Indicatif +91 44
UNLC INMAA
Démographie
Population 6 221 782 hab. (2011)
Densité 14 581 hab./km2
Géographie
Coordonnées 18px-Geographylogo.svg dans Attentats13° 05′ 24″ Nord 80° 16′ 12″ Est
Altitude Min. 0 m – Max. 60 m
Superficie 42 670 ha = 426,7 km2
Divers
Classement CCA A-1
Classement HRA A-1
Localisation

Géolocalisation sur la carte : Inde

Voir la carte topographique d'Inde

City locator 12.svg
Chennai
Liens
Site web http://www.chennai.tn.nic.in/
modifier Consultez la documentation du modèle

Chennai (en tamoul சென்னை), également connue sous son ancien nom de Madras, est la capitale de l’État du Tamil Nadu dans l’Inde du Sud1. Chennai, par sa superficie, est la quatrième ville la plus grande d’Inde.

Située sur la côte de Coromandel, la ville de Chennai compte plus de 4 millions d’habitants et constitue le centre commercial, culturel et économique majeur de l’Inde du Sud.

Sommaire

Géographie

220px-Madras_surroundings dans Calomnie

Chennai et les villes environnantes

Chennai est la sixième ville d’Inde par sa population. Elle comptait 6 221 782 habitants au recensement de 2011 contre 4 216 268 habitants au recensement de 2001, mais la superficie de la ville est passée de 174 km2 à 426,7 km2. La zone métropolitaine s’étend sur 1 189 km2 et compte 8 696 010 habitants. Elle possède un grand port et la seconde plage du monde par la longueur, Marina Beach [réf. nécessaire].

Transport

Chennai est le siège de nombreuses entreprises, en particulier manufacturières, de construction automobile et d’informatique. Chennai est bien desservie par route, avec la NH-5, la NH-4, la NH-45, la NH-205 car elle est l’un des sommets du Quadrilatère d’or,

Toponymie

La ville portait le nom de Madras jusqu’en 1996. Ce nom proviendrait de Madraspattinam, un village de pêcheurs au nord du fort Saint-George2. Toutefois, il n’est pas certain que ce nom ait été utilisé avant la colonisation. Des cartographes attribuent également le nom Madras à Mundir-raj3 et d’autres suggèrent que les Portugais, arrivés par la mer au XVIe siècle, ont nommé le village Madras de Deus (Mère de Dieu). D’autres théories suggèrent encore que le nom proviendrait d’une famille portugaise, les Madeiros, d’un prètre chrétien4, d’une école coranique (médersa) ou du mot madhu-ras (miel en hindi).

Comme de nombreuses villes en Inde, le nom colonial de Madras a été changé ces dernières années. En 1996, la ville est officiellement devenue Chennai, qui est une forme abrégée de Chennapattanam, la ville construite autour du fort Saint-George5. Ce nom proviendrait soit du roi télougou Damarla Chennappa Nayakudu (en), père de Damarla Venkatadri Nayakudu auprès de qui les Britanniques ont acquis la ville en 1639. La première utilisation du nom Chennai daterait du 8 août 1639 dans un acte de vente de la Compagnie anglaise des Indes orientales6. Selon un autre récit, Chennai proviendrait du temple Chenna Kesava Perumal, le mot chenni signifiant visage en tamoul et le temple étant considéré comme le visage de la ville7.

Histoire

220px-Situationsplan_von_Madras_%28Chennai%29 dans Corruption

Carte de la ville coloniale (1888)

Madras est l’un des premiers avant-postes de la British East India Company. La ville est fondée en 1639 lorsque la compagnie choisit Madraspattinam, un petit village de pêche, pour s’y installer. Le fort Saint-George, construit par les Anglais, est aujourd’hui le siège législatif et administratif officiel de l’État. Le port est un enjeu important de la rivalité franco-anglaise pour la domination de l’Inde au XVIIIe siècle lors de la guerre de Succession d’Autriche et de Sept Ans. En 1746, la place est prise presque sans combat après une brève bataille navale et un débarquement du gouverneur de l’Île-de-France, La Bourdonnais8. Dupleix, le gouverneur de Pondichéry, fait raser la ville qui est cependant rendue à l’Angleterre en 17489. En 1758, elle est de nouveau attaquée par les Français, mais résiste au siège des troupes de Lally-Tollendal.

Après la défaite de la France en 1761 et la destruction de la ville rivale de Pondichéry, George Town s’est développée peu à peu, devenant la ville moderne de Madras et absorbant plusieurs bourgs voisins. La ville n’est pas épargnée par la Première Guerre Mondiale : elle subit un bombardement en 1914 faisant trois morts et 13 blessés. En 1996, le gouvernement a abandonné le nom de Madras et rebaptisé la ville Chennai.

Thomas, l’un des douze apôtres, est associé à Madras. Selon les chrétiens locaux, il serait venu en Inde pour évangéliser la colonie juive qui y était installée depuis le VIIe siècle avant notre ère. Il serait mort en martyr à Madras en l’an 72, transpercé par une lance. Les noms de deux banlieues de Madras, SanthomeMylapore) et St. Thomas Mount, y font référence.

Peuple et culture

"Photographie de trois acteurs, dont l'un maquille le visage d'un autre."

Acteurs de la troupe de théâtre Koothu-P-Pattarai (en) se maquillant.

La majeure partie des habitants de Chennai sont tamouls et leur langue maternelle est le tamoul. L’anglais est largement parlé, mais est presque exclusivement employé dans les affaires et l’enseignement.

Chennai est connu comme berceau de la cuisine indienne traditionnelle du Sud. La cuisine des restaurants est habituellement bon marché au regard de la qualité qu’elle offre. Les plats typiques sont les dosas (crêpes), le idli (un gâteau de riz), le sambhar (ragoût fait de lentilles, piments, graines de coriandre et d’autres épices).

Chennai est également un centre culturel important. École de Madras. La ville est célèbre pour la musique classique, appelée musique carnatique, et la danse classique, appelée Bharata natyam. Des milliers de personnes et de très nombreuses écoles y enseignent la musique et la danse, comme la fameuse Fondation Kalakshetra.

Les visiteurs affluent à Chennai pendant les mois de décembre-janvier, période du festival de musique carnatique, connue sous le nom de « Music Season ».

Économie

  • Industrie automobile : Hyundai, Renault, Robert Bosch, Nissan Motors, Ashok Leyland, Daimler AG, Caterpillar Inc., Komatsu Limited, Ford, BMW et Mitsubishi y ont des usines.
  • Informatique
200px-Tidel_Park_Chennai dans Crime

Tidel Park

Jumelages

La ville de Chennai est jumelée avec les villes suivantes (par ordre chronologique) :

Administration

Politique

La ville est administrée par la Corporation municipale de Chennai. Établie en 1688, c’est la plus vieille administration municipale d’Inde, mais aussi des pays du Commonwealth en dehors du Royaume-Uni. Le conseil municipal comprend 155 membres, représentant autant de districts.

Chennai est la capitale de l’État du Tamil Nadu. Le gouvernement et la législature de l’État, ainsi que la Haute Cour de Madras dont la compétence s’étend sur le Tamil Nadu et Pondichéry, sont situés à Chennai. Chennai est divisé en trois circonscriptions pour la Lok Sabha (Chennai Nord, Chennai Central, Chennai Sud) et 14 pour l’Assemblée législative du Tamil Nadu.

Lieux d’attractions

Centres commerciaux

Zoos, parcs nationaux,…

Plages

Parcs d’attractions

Patrimoine

Climat

Chennai bénéficie d’un climat tropical de mousson correspondant au type Am de la classification de Koppen. Le climat est chaud et humide une bonne partie de l’année, avec des températures journalières excédant fréquemment 40 °C pendant l’été. La ville connaît, lors de la mousson nord-est de septembre-décembre, l’essentiel de sa période humide.

Relevé météorologique de Madras-altitude : 16 m (période 1971-1990)
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 20,4 21,6 23,5 26,2 27,7 27,4 26 25,6 25,3 24,4 22,7 21,5 24,4
Température moyenne (°C) 24,6 26,2 28,4 30,9 32,9 32,4 30,7 30,1 29,7 28,2 26,1 25 28,8
Température maximale moyenne (°C) 28,8 30,7 33,2 35,6 38 37,4 35,3 34,5 34 31,9 29,5 28,4 33,1
Précipitations (mm) 27 34 4 12 39 71 121 138 161 373 409 152 1 541
Nombre de jours avec précipitations 1,9 1,3 0,4 1,3 2 7,6 9,8 10,9 10 12,1 11,8 6,9
Source : Le climat à Chennai (en ° C et mm, moyennes mensuelles) Hong-Kong Observatory

 

Sports

 dans Folie

Match d’IPL entre Chennai Super Kings et Kolkata Knight Riders.

Le cricket est le sport le plus populaire de Chennai. Le stade de cricket M. A. Chidambaram Stadium (en), situé a Chepauk (en) est l’un des stades de cricket, le plus vieux d’Inde. Le stade a été rénové pour accueillir la coupe du monde de cricket de 2011. Le stade Chemplast Cricket Ground (en) appartenant à l’Institut Indien de Technologie de Madras est un autre stade très important. La ville possède aussi l’équipe de cricket Chennai Super Kings de l’Indian Premier League et Chennai Superstars de l’Indian Cricket League.

Chennai possède une équipe de hockey, les Chennai Veerans (en) de Premier Hockey League (en). Un tournoi de tennis, l’Tournoi de tennis de Chennai, s’y déroule.

220px-Nungambakkam_SDAT_Tennis_Stadium_floodlit_match_panorama dans LCR - NPA

Open de Chennai dans le stade Sports Development Authority of Tamil Nadu Tennis Stadium à Nungambakkam (en).

Chennai est aussi la ville natale de plusieurs grands joueurs d’échecs indiens : les grands maîtres Ramachandran Ramesh (qui a ouvert une école d’échecs à Chennai) et Krishnan Sasikiran10 et Viswanathan Anand, plusieurs fois champion du monde d’échecs (2000, 2007, 2008, 2010 et 2012)11. ChessBase écrit en 2008 qu’il est courant de trouver dans l’équipe nationale indienne d’échecs plusieurs joueurs natifs de Chennai10.

Le Championnat du monde d’échecs 2013 s’est tenu à Chennai du 6 au 26 novembre ; c’est là qu’Anand a perdu son titre face au norvégien Magnus Carlsen11. La ville avait déjà postulé pour l’organisation de la précédente édition en 2012 où Viswanathan Anand affrontait Boris Guelfand mais c’est la candidature de Moscou qui avait été retenue, la Fédération internationale des échecs promettant alors à Chennai l’organisation du match 2013 en cas de victoire d’Anand11. Pour l’édition 2013 Chennai était pourtant en concurrence avec Paris, offrant 2,55 millions d’euros pour cette organisation contre 3,45 millions pour la capitale française mais la FIDE a préféré tenir l’engagement qui avait été pris sur décision de son seul président, Kirsan Ilioumjinov11.

Galerie

16px-Information_icon.svg dans Luraghi Cliquez sur une vignette pour l’agrandir
  • 120px-Musee_madras dans NEMROD34

    Le Government Museum

  • 120px-MylaporeKapaleeshwararTemple dans Perversité

    Le temple de Mylapore

  • 120px-Santhome_beach_by_LMB dans Politique

    La plage de Santhome

  • 80px-St_Thomas_Basilica%2C_Mylapore%2C_Chennai

    La basilique St Thomas à Mylapore

  • 120px-Jawaharlal_Nehru_Stadium_Chennai_panorama

    Stade Jawaharlal Nehru

  • 120px-Gcp_patrol_car

    Patrouille de police à Chennai

  • 120px-Chennai_Royapettah_clock_tower

    Métropolitan Transport Corporation

  • 120px-Tidel_Park_junction_panorama

    Le IT Grande route à Chennai avec le pont de MRTS

  • 120px-Tidel_Park

    Tidel Park

  • 120px-EID_Parry_headquarters

    Parry’s Corner

Notes et références

(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Chennai » (voir la liste des auteurs).

  1. The A to Z of Hinduism par B.M. Sullivan publié par Vision Books, page 122, ISBN 8170945216
  2. (en) The Geography of India: Sacred and Historic Places, Britannica Educational Publishing,‎ 2011 (ISBN 978-1-61530-202-4, lire en ligne [archive])
  3. F. H. Scott, Routes in the peninsula of India, Pharoah and Co., Athenaeum Press (1853), p. iv. Google Books. [archive]
  4. (en) Sudhangan, « Down memory lane: Triplicane revisited » [archive], Sify (en),‎ 16 août 2008 (consulté le 28 décembre 2012)
  5. (en) Paul Wagret, Nagel’s encyclopedia-guide, Geneva, Nagel Publishers,‎ 1977 (ISBN 978-2-8263-0023-6, OCLC 4202160), p. 556
  6. (en) « District Profile – Chennai » [archive], District Administration, Chennai (consulté le 28 décembre 2012)
  7. (en) Srinivasan T. A., « Face behind the name », The Hindu,‎ 28 février 2002 (lire en ligne [archive])
  8. André Zysberg, La Monarchie des Lumières, Nouvelle histoire de la France moderne, éditions du Seuil, Point Histoire, 2002, p.233.
  9. Sur la prise Madras on peut consulter le plan en couleur dressé en 1750 sur le site des archives de l’outre-mer avec possibilité de zoom sur les détails [archive] des quartiers détruits par Dupleix.
  10. a et b (en) Praful Zavery, « Ramesh is the Commonwealth Chess Champion », ChessBase,‎ 1er février 2008 (lire en ligne [archive]).
  11. a, b, c et d « Chennai capitale mondiale des échecs ? », Europe Échecs, no 634,‎ juillet-août 2013, p. 32-33.

Annexes

Article connexe

Liens externes



Des connexions de mon Chinois de Thaïlande

Comme je m’y attendais, mon dernier article de la journée d’hier, à nouveau consacré à mon Chinois de Thaïlande, a donné lieu à d’intenses consultations entre l’escroc de Béziers Jean-Marc Donnadieu et ses différents complices, dont je vois déjà à cette heure quelques retombées dans mes statistiques de blog.

Signalons donc pour commencer, à 9h19 ce matin, une visite de mon blog Satanistique en provenance de Lahore pour cet article du 5 octobre 2014 où j’avais rapporté le contenu d’une attestation que m’a faite un ingénieur agronome prénommé Didier à propos de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest et de plusieurs de ses exactions à mon encontre, ainsi qu’à l’encontre d’autres personnes dont lui-même, attestation dont l’avocat d’icelle a reçu communication au mois de mai 2014 :

 

http://satanistique.blogspot.fr/2014/10/pourquoi-josette-brenterch-du-npa-de_72.html

 

Adresse du visiteur :

 

IP-Adresse: 203.124.28.49
Provider: WARID Telecom is a GSM service provider in Pakista
Organisation: WARID Telecom, Cellular Service Provider, Pakistan

 

 

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Lahore

 

Lahore

Lahore
Administration
Pays Drapeau du Pakistan Pakistan
Province Pendjab
Démographie
Population 7 129 609 hab. (est. 2010)
Densité 4 023 hab./km2
Géographie
Coordonnées Des connexions de mon Chinois de Thaïlande dans AC ! Brest 18px-Geographylogo.svg31° 32′ 32″ Nord 74° 20′ 04″ Est
Altitude 217 m
Superficie 177 200 ha = 1 772 km2
Localisation

Géolocalisation sur la carte : Pakistan

Voir sur la carte Pakistan administrative

City locator 14.svg
Lahore

Lahore (ourdou : لاہور) est une ville du Pakistan située sur la rivière Ravi, affluent de l’Indus. Elle compte plus de 7 millions d’habitants, faisant d’elle la deuxième ville du Pakistan après Karachi et la 45e du monde. Capitale de la province du Pendjab, elle est un grand centre universitaire et culturel et dispose de la plus grande mosquée d’Asie, Moyen-Orient exclu.

Sommaire

Histoire

220px-Pakistan_Lahore-vue_a%C3%A9rienne-2 dans Attentats

Lahore, vue aérienne de la vieille ville (années 1970).

La légende attribue la fondation de la ville à Loh, fils de Rāma. On ne connaît précisément l’histoire de la ville qu’à partir de 1021, lorsque les Ghaznévides conquirent le Pendjab. Lahore devint alors un centre islamique important. Après avoir subi des périodes de troubles avec, notamment, les pillages des hordes de Gengis Khan et sa destruction en 1398, Lahore connut son apogée durant l’Empire moghol, fondé par Bâbur en 1526. Abandonnant Fatehpur-Sikri pour contrôler et étendre ses marches occidentales, Akbar fit de Lahore sa capitale, entre 1584 et 1598. Durant cette période faste, la ville connut de grands embellissements.

Avec le déclin de l’Empire moghol, Lahore vécut à nouveau une période de trouble, marquée par les nombreuses invasions des Perses et des Afghans. En 1767, la ville fut dirigée par les Sikhs, qui l’endommagèrent et la pillèrent grandement. Puis en 1849 Lahore fut prise par les Britanniques.

Elle devint enfin pakistanaise lors de la partition de l’Inde en 1947.

Article détaillé : Conflit armé du Nord-Ouest du Pakistan.

Lahore a été frappée en 2009 par des attentats-suicides organisés par les talibans, ces derniers répondant aux opérations militaires menées contre eux par l’armée pakistanaise dans le nord du pays.

La plus violente attaque a eu lieu le 28 mai 2010 et a couté la vie à environ 100 personnes. Des groupes armés ont attaqué deux mosquées Ahmadis, mouvement religieux non considéré comme musulman au Pakistan. Le chef de l’exécutif de la province du Pendjab, Shahbaz Sharif, a réagi en dénonçant ces attaques.

Politique

Lahore est la capitale de la province du Pendjab et accueille donc l’Assemblée provinciale du Pendjab. La ville est un fief électoral de la Ligue musulmane du Pakistan (N), et les frères Sharif y sont populaires. Shahbaz Sharif est le chef du gouvernement local de la province depuis 2008. Durant les dernières élections législatives de février 2008 la Ligue musulmane du Pakistan (N) a réuni 55,8 % des voix (contre environ 20 % au niveau national), le Parti du peuple pakistanais a réalisé 25,2 % des voix et la Ligue musulmane du Pakistan (Q) 12,4 %1. Sur les 12 circonscriptions dans lesquelles le scrutin s’est tenu, 10 ont été remportées par la Ligue musulmane du Pakistan (N) et 2 par le PPP1.

Géographie

Lahore est située sur la berge orientale de la rivière Ravi, dans la plaine de l’Indus supérieur, à une trentaine de kilomètres de la frontière indienne. La ville compte 7 129 609 habitants selon une estimation établie en 20102.

Monuments célèbres

Lahore est célèbre pour les jardins de Shalimar et de Shahdara, parmi les plus beaux du monde. La vieille ville, héritage de l’Empire moghol, contient notamment les mosquées Dorée et Badshahi et le Fort royal.

  • 120px-Wazir_Khan_Masjid_2007 dans Calomnie

    Wazir Khan Mosque

  •  dans Corruption

    Tollinton Market (Old)

  • 90px-GCU_Tower_in_Lahore dans Crime

    Government College University

  • 120px-Close_view_of_Lahore_Museum dans Folie

    Lahore Museum

  • 120px-Bawa_Dinga_Singh_Building dans LCR - NPA

    Bawa Dinga Singh Building

  • 120px-Ferozsons_Lahore dans Luraghi

    Ferozsons Library

  •  dans NEMROD34

    Data Durbar Shrine/Complex

  •  dans Perversité

    Qutub-ud-Din Aibek’s Mausoleum

  • 120px-Asif_Khan%27s_Mausoleum dans Politique

    Asif Khan’s Mausoleum

  • 120px-AllamaIqbal_Tomb_Night dans Statistiques de blog

    Allama Iqbal’s Mausoleum

16px-Information_icon.svg Cliquez sur une vignette pour l’agrandir

Économie

Lahore est desservie par l’aéroport international d’Allama Iqbal, lui permettant d’être un grand pôle touristique. La ville est le siège d’une importante industrie textile, et également d’industries du caoutchouc, mécanique et sidérurgique.

Enfin, la ville dispose de centres de recherches importants, notamment dans le secteur nucléaire.

Transport

La mise en service d’un réseau de métro est prévu pour 2011.

Personnages célèbres

À Lahore sont nés :

Culture – musique

À la veille de la partition entre l’Inde et du Pakistan, en 1947, la ville de Lahore pouvait se targuer d’être le centre musical le plus bouillonnant de l’Inde du Nord (dans son acception pré-indépendance). Si elle a su conserver cette hégémonie au sein du Pakistan actuel, la ville n’a pas su recouvrer les pertes dues à la partition. Lahore a produit les pionniers de la musique classique moderne hindustani, a révélé les grands noms des musiques populaires (musiques de film), et bénéficiait au sein de ses enceintes de nombreuses institutions, personnalités et parrainages favorables au rayonnement musical de la ville.

L’un des aspects les plus intéressants de l’organisation de l’activité musicale à Lahore est qu’elle fut axée sur l’existence de « takiyahs » (hôtels) et « baithaks » (tavernes – littéralement lieux où s’asseoir) où les musiciens majeurs de Lahore se produisaient. Au XIXe siècle, de nombreux établissements de la sorte existaient autour de Lahore et offraient aux artistes un public régulier de voyageurs, qui résidaient dans ces lieux quand de nuit, les portes de la vieille ville étaient fermées.

Ces établissements, outre l’exposition à un public d’amateurs, offraient à chaque artiste reconnu un lieu ou enseigner et transmettre la tradition musicale. Les Baithaks de Ustad Barkat Ali Khan, Ustad Sardar Khan et bien d’autres furent à cette époque de vibrantes institutions.

Ces lieux de rassemblement d’artistes étaient à la base du système de gharana (en Urdu mot désignant la famille, la filiation – dans le contexte de musique, ce terme désigne un style d’interprétation) et du mode d’enseignement par voix orale, le ustad-shagird, qui se caractérisait par une relation académique fusionnelle entre maître et élève. Reconnu pour sa faculté à produire de grands artistes, ce paradigme était généreusement financé par d’influents sikhs et hindous qui quittèrent la ville après la partition.

Les jardins de Shalimar.

La musique a été un des modes d’expression artistique les plus affectés par la division du sous continent. Bien que le Pakistan ait hérité des plus grands artistes de la région, la disparition de fait du patronage de la classe moyenne aisée Hindoue et Sikh a dépossédé les musiciens Lahoris, musulmans pour la plupart, de la perspective de vivre de leur art.

La radio était la seule institution vers laquelle les musiciens purent se tourner. En 1947, le Pakistan hérita de deux radios publiques, l’une à Peshawar et l’autre à Lahore qui devinrent les seuls moyens de promotion et de support pour les musiciens.

Radio Lahore comptait au sein de son personnel permanent des auteurs, instrumentalistes et vocalistes de renom. Au moment de l’indépendance, la liste des artistes contribuant à la station comprenaient certains noms légendaires comme le tablaiste Mian Qadir Bakhsh (professeur de deux des plus grands tablaistes de notre époque, Ustad Allah Rakha, père de Zakir Hussain connu en Occident avec sa formation Shakti, et Ustad Shaukat Hussain, professeur de toute la nouvelle génération de tablaistes pakistanais). Le staff de Radio Lahore comprenait également Bhai Lal, de la famille rababi, Ustad Niaz Hussain Shami (compositeur), Shamshad Begum ou Surinder Kaur. Radio Lahore a également lancé la carrière de deux des plus populaires chanteurs pour film du sous continent, Noor Jehan et Mohammed Rafi.

Après 1947, outre la perte du patronage financier des populations migrant vers l’Inde, la scène musicale lahorie s’est confrontée à l’orthodoxie musulmane, influente politiquement, qui a systématiquement découragé la musique classique, considérée comme sensuelle et incompatible avec la conception d’un état musulman.

Alors que les instrumentalistes ont pu se regrouper en orchestres pour survivre, les vocalistes n’ont pour la plupart pas trouvé de voie de reconversion. Des styles ancestraux tels le thumri ou le dhrupad ont graduellement perdu les voies qui ont transmis ces traditions depuis des générations. Nombreux sont les talents qui ont été forcés de s’orienter vers d’autres carrières, souvent non artistiques pour subvenir à leurs besoins matériels.

Parallèlement, des instruments classiques tels la veena, les pakhavajs, le sarod ou le sarangi, ont quasiment disparu de la scène lahorie, et ne comptent plus que quelques rares musiciens capables de faire résonner ces instruments.

Bibliographie

  • (fr) Les Fables de La Fontaine aux Indes, Imam Bakhsh Lahori et L’école artistique de Lahore, Jean-Marie Lafont, DGRS, Université de Delhi Commissaire de l’Exposition de Lahore 145 p. Après avoir brièvement retracé le voyage des fables animalières indiennes jusqu’en France, l’auteur rappelle l’influence qu’elles ont eue sur La Fontaine, avant et après sa rencontre avec François Bernier. Il s’attache ensuite au « retour » en 1837 dans le Pendjab des Fables de La Fontaine pour y être illustrées, sous la bienveillante surveillance des généraux Allard, puis Ventura, anciens officiers de l’Empire, par l’artiste musulman Imam Bakhsh, de Lahore, protégé par ces officiers militaires qui eux-mêmes servaient Ranjit Singh, le Maharaja sikh du royaume du Pendjab (1799-1849). Ce texte étudie la mise en place et le déroulement d’un extraordinaire programme artistique et culturel franco-pendjabi entre 1837 et 1840.

Jumelages

La ville de Lahore est jumelée à :

Notes et références

  1. a et b (en) Résultats détaillés des élections de 2008 dans les circonscriptions [archive], Commission électorale du Pakistan
  2. (en) Lahore [archive], World Gazetteer. Consulté le 11 septembre 2010

Voir aussi

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