Alertes à la bombe et tentatives d’assassinat dans l’Hérault en début d’année 2012 16 juillet
En début d’année 2012, j’avais évoqué sur mon blog « Un petit coucou » chez OverBlog plusieurs affaires successives d’alertes à la bombe et de tentatives d’assassinat dans l’Hérault, à Montpellier et à proximité de Béziers.
Cliquez sur les images suivantes pour les agrandir et retrouver les articles en question :
Où en sont aujourd’hui toutes ces affaires ?
1/ la bombe au sauna libertin de Montpellier le 31 décembre 2011
Un suspect incarcéré fin 2012 a été libéré au mois de juillet 2013, après sept mois de détention. Il a toujours nié les faits, se disant victime d’un coup monté. Ce sont les dernières nouvelles qui aient été publiées sur cette affaire.
Un homme mis en examen pour avoir placé une bombe près d’un club échangiste de Montpellier
Le propriétaire d’un club libertin, a été mis en examen à Montpellier pour avoir déposé une bombe devant l’établissement d’un concurrent. L’engin a été découvert par hasard avant qu’il n’explose.
- Par Fabrice Dubault
- Publié le 22/11/2012 | 19:38, mis à jour le 22/11/2012 | 20:05
Jean-Jacques Amouroux, 54 ans, déjà connu pour braquage, association de malfaiteurs, proxénétisme et trafic de stupéfiants, nie toute participation, sans donner d’explication à la présence de son ADN près de la bombe.
Retour sur les faits du 31 décembre 2011
La bombe avait été découverte par un vigile qui faisait une ronde le soir 31 décembre 2011 vers 19H, alors qu’elle devait exploser vers 21H30. Elle avait été placée dans un colis près d’un mur de l’établissement, le Kalyptus, et aurait pu, selon les experts, faire de nombreuses victimes si elle avait explosé.L’enquête menée par la police a pu aboutir grâce à une trace ADN retrouvée sur l’engin explosif, a-t-on encore précisé de même source, qui précise que l’homme interpellé mercredi nie les faits.
Soupçonné d’avoir posé une bombe dans un club libertin à Montpellier, il est écroué
La chambre de l’instruction de la cour d’appel de Montpellier a demandé ce jeudi matin l’incarcération du propriétaire d’un club libertin de Saint-Jean de Védas, soupçonné d’avoir déposé un engin explosif près d’un établissement concurrent à Montpellier fin 2011.
La chambre de l’instruction de la cour d’appel de Montpellier vient de trancher dans l’affaire de la bombe au sauna échangiste. Le patron de boîte de nuit et de club libertin suspecté d’avoir posé ou fait poser l’explosif va être placé en détention provisoire.
Mis en examen pour tentative d’assassinat
Ce quinquagénaire a été mis en examen fin novembre pour « tentative d’assassinat » et « tentative de destruction par explosif » . Ses empreintes ADN ont été retrouvées sur la bombe placée contre le mur du sauna échangiste le Kalyptus, le 31decembre 2011. La bombe avait été découverte par un vigile qui faisait une ronde, le soir du 31 décembre 2011 vers 19 h, alors qu’elle devait exploser vers 21 h 30, selon les enquêteurs du SRPJ de Montpellier chargés de l’enquête. L’engin aurait pu, selon les experts, faire de nombreuses victimes s’il avait explosé.
Déjà connu des services de police
Né en 1958 et très connu de la justice, notamment pour braquage et association de malfaiteurs, cet homme nie être l’auteur de cette tentative d’attentat et affirme qu’on a voulu le piéger.
Montpellier : écroué pour avoir tenté de faire sauter un club libertin concurrent
La chambre de l’instruction de la cour d’appel de Montpellier a demandé l’incarcération d’un patron de club libertin de St Jean de Védas accusé d’avoir poser un engin explosif devant le Kayptus à Montpellier le soir du réveillon.
- Par Laurence Creusot
- Publié le 06/12/2012 | 14:44, mis à jour le 06/12/2012 | 14:58
La chambre de l’instruction de la cour d’appel de Montpellier a demandé jeudi l’incarcération du propriétaire d’un club libertin de Saint-Jean de Védas, soupçonné d’avoir déposé un engin explosif près d’un établissement concurrent à Montpellier fin 2011, a-t-on appris auprès de son avocat.
L’engin avait été découvert par hasard dans la soirée du 31 décembre 2011.
Cet homme avait été mis été en examen jeudi dernier pour « tentative d’assassinats » et « tentative de destruction volontaire d’un établissement recevant du public ».Le parquet avait requis un mandat de dépôt mais il n’avait pas été suivi par le juge de la liberté et de la détention.
Né en 1958 et très connu de la justice, notamment pour braquage et association de malfaiteurs, cet homme nie être l’auteur de cette tentative d’attentat et affirme qu’on a voulu le piéger.
La bombe avait été découverte par un vigile qui faisait une ronde, le soir du 31 décembre 2011 vers 19H00, alors qu’elle devait exploser vers 21H30, selon les enquêteurs du SRPJ de Montpellier chargés de l’enquête.
L’engin de fabrication artisanale avait été placé dans un sac près d’un mur de l’établissement, le Kalyptus, et aurait pu, selon les experts, faire de nombreuses victimes s’il avait explosé.
L’enquête a pu aboutir grâce à une empreinte ADN retrouvée sur le sac dans lequel l’engin explosif avait été placé. Elle a permis de remonter au mis en examen, qui faisait d’ailleurs partie des suspects de la première heure.
http://www.midilibre.fr/2012/12/07/bombe-au-sauna-le-suspect-incarcere,607599.php
Bombe au sauna libertin de Montpellier : le suspect incarcéré
Son ADN retrouvé sur lengin.
Retenant le grave trouble à lordre public, la cour dappel de Montpellier a décidé, hier, de placer Jean-Jacques Amouroux en détention provisoire dans laffaire de la bombe au Kalyptus, un sauna échangiste. Il devrait être incarcéré ces jours-ci à la maison darrêt de Villeneuve-lès-Maguelone.
Le quinquagénaire, patron de boîte de nuit (le Bellano à La Grande-Motte), de restaurant ou dun club libertin à Saint-Jean-de-Védas (le Bouddah) est soupçonné davoir voulu se venger dun concurrent avec lequel il avait aussi eu un litige commercial de 4 000 .
Mis en examen pour tentative dassassinat et tentative de destruction par explosif, il avait initialement été laissé libre, sous contrôle judiciaire. Interpellé par le SRPJ le 20 novembre, il conteste toute implication dans cette affaire. Mais les enquêteurs possèdent un élément à charge de poids : son ADN.
Le 31 décembre, par hasard, des employés du Kalyptus avaient découvert un pain dexplosif de 750 g incrusté dans le mur de létablissement et relié par des fils à un réveil Droopy réglé pour exploser dans la soirée ou quelque 150 libertins étaient attendus pour fêter la nouvelle année. Onze mois après, les empreintes retrouvées sur la bombe et un sac à dos sur lequel était posé le réveil ont parlé : ce sont celles de Jean-Jacques Amouroux.
Lengin devait-il exploser ?
« Mon client était devant la télévision ce soir-là » conteste Me Gilles Gauer. Pour lavocat, il a été piégé : « Cest un sac à dos quon lui avait confié fin octobre 2011, il la manipulé pour vérifier quil ny avait pas darme. » Et ce coup monté serait luvre des mêmes individus qui ont voulu tuer Amouroux, victime dune tentative dassassinat à coups de 9 mm sur le parking de la Dune (lactuel Bellano), fin novembre 2010. « Ceux qui nont pas réussi à léliminer essayent de limpliquer judiciairement » affirme Me Gauer.
Lenquête de la PJ dans lentourage de cet homme de la nuit, qui se dit rangé du grand banditisme (un casier judiciaire très ancien témoigne de son activisme lorsquil était à Paris : proxénétisme, association de malfaiteurs ou détention darme) va donc se poursuivre. Pour tenter de retrouver ses complices ou les vrais auteurs, sachant que huit profils ADN auraient été retrouvés sur la bombe…
Surtout, le juge en charge du dossier devra déterminer si lengin devait bel et bien exploser, causant des dégâts certains (matériels et humains). Ou si, comme le soutien la défense du mis en cause, il a été posé pour être vu et nétait pas en état de fonctionner.
Bombe dans un sauna héraultais : Jean-Jacques Amouroux reste en prison
La chambre de linstruction de la cour dappel de Montpellier a refusé ce jeudi la remise en liberté de Jean-Jacques Amouroux, patron de discothèques et dun sauna libertin dans lHérault.
Jean-Jacques Amouroux est incarcéré pour tentatives dassassinats, après la découverte de son ADN sur un engin explosif déposé le 31 décembre 2011 devant un sauna libertin de Montpellier, le Kalyptus. Il nie toutefois être impliqué dans ces faits.
Mais la cour dappel estime quil doit rester en détention, pour éviter tout concertation frauduleuse, pour garantir sa représentation en justice, et à cause du trouble à lordre public créé par les faits.
Bombe au sauna libertin de Montpellier : le patron de discothèque libéré
Soupçonné d’avoir voulu faire exploser un sauna libertin de Montpellier en décembre 2011, Jean-Jacques Amouroux a passé sept mois derrière les barreaux.
Jean-Jacques Amouroux, un patron de discothèque soupçonné d’avoir voulu faire exploser un sauna libertin de Montpellier, a été remis en liberté vendredi dernier, après avoir passé sept mois derrière les barreaux.
Il a été placé sous contrôle judiciaire par le juge des libertés, avec obligation de résider dans la région parisienne.
Ce quinquagénaire, qui a été propriétaire de la Dune à la Grande-Motte, où il avait échappé à une tentative d’assassinat par arme à feu, et d’un sauna libertin à Saint-Jean-de-Védas, avait été incarcéré en décembre 2012, lorsque son ADN avait été découvert sur un sac contenant un puissant explosif et un dispositif de mise à feu, déposé le soir du 31 décembre 2011 contre les murs du Kalyptus.
Ce sauna échangiste, avec qui Jean-Jacques Amouroux avait un litige, devait accueillir plusieurs dizaines de personnes pour la Saint-Sylvestre.
Jean-Jacques Amouroux, qui nie catégoriquement les faits, reste mis en examen pour tentatives d’assassinats.
2/ la tentative d’assassinat contre Patrick Serra le 19 janvier 2012
Tout aussi extraordinaire que l’affaire de la bombe posée contre un mur du sauna libertin de Lattes, au sud de Montpellier, cette tentative d’assassinat semblait pouvoir lui être liée. Elle n’est à ce jour pas davantage résolue.
Montpellier: La santé de Patrick Serra blessé par balle s’est améliorée
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21 Jan 2012
- Publié le samedi 21 janvier 2012 11:05
- Écrit par Actucity
La police judiciaire poursuit ses investigations….La santé de Patrick Serra, le caïd marseillais âgé de 52 ans et proche de Raymond Mihière, dit le Chinois, s’est améliorée hier. Il est toutefois toujours inconscient, et n’a pas pu être entendu par la PJ montpelliéraine, chargée de l’enquête par le procureur Brice Robin. La victime, qui a fait l’objet jeudi d’une tentative d’assassinat près de la gare de Montpellier, alors qu’elle se déplaçait à vélo, a reçu trois balles : une dans la tête et deux à l’abdomen…. Un briquet, un téléphone portable, un vélo sans cadenas et quatre balles de 38 mm. Voici quasiment les seuls indices dont disposaient hier matin les enquêteurs de la PJ de Montpellier chargés d’enquêter sur la tentative d’assassinat dont a été victime le repris de justice marseillais. « Serra, c’est un mec qui est dans le banditisme depuis trente ans, et qui a été proche de beaucoup de monde. Incontestablement quelqu’un d’un certain niveau dans le milieu » précise une source policière. Braqueur dès 1980, il avait été grièvement blessé en 1995 d’un coup de fusil, dans une villa de Marseille. Il s’était remis de ses blessures, mais ne s’était pas éloigné du milieu des armes : en 2001, il était incarcéré plusieurs mois avec plusieurs comparses pour association de malfaiteurs, après la découverte dans un box, toujours à Marseille, de plusieurs gros calibres et de gilets pare-balles. Libéré, il avait disparu, et avait écopé en son absence de sept ans de prison en 2006 à Aix-en-Provence. En cavale, il avait été repris en 2007 en Espagne. (source la provence.com et le midi libre)
http://www.midilibre.fr/2013/03/22/peine-plancher,664516.php
Montpellier : Patrick Serra, le truand miraculé, replonge dans les stups
Alain Crucia et Patrick Serra, des « voyous d’autrefois », ont été pris avec 33 kg de haschich le 12 juin 2012. Le premier est condamné à quatre ans de prison, le second, qui a survécu à deux tentatives d’assassinat, à trois ans ferme.
« Faut pas se moquer du monde ! », tonne Claudine Laporte, la présidente du tribunal correctionnel. Dans le box, Alain Crucia et Patrick Serra, « des voyous dautrefois », tentent de la convaincre de ce scénario improbable : si lun, Crucia, a bien convoyé une trentaine de kilos de haschich depuis lEspagne, lautre, Serra, fiché au grand banditisme, ny est absolument pour rien. Et sil a fait laller-retour jusquà la frontière, il na pas du tout servi de voiture ouvreuse…
Tentative d’assassinat
Laffaire sest déroulée le 12 juin 2012 et prend dautant plus de relief que, cinq mois auparavant, Patrick Serra a réchappé à une tentative dassassinat. Ce matin du 19 janvier, à côté de la gare de Montpellier, il sortait de chez Crucia, sur son vélo, lorsque des individus à moto lui ont tiré dessus.
« Pourquoi on vous a tiré dessus ? », interroge la présidente.
« Je sais pas, ils ont dû se tromper », ironise le Marseillais de 53 ans, dont la carte de visite indique des condamnations pour braquage, proxénétisme et association de malfaiteurs.
« Sûrement, on doit vous confondre avec le quidam ! », rétorque la magistrate.
Un premier « contrat » en 1995
« Jai pris une balle dans la tête et une dans le dos et je me suis enfui », poursuit le miraculé, boule à zéro et bouc blanc, qui avait déjà survécu après un premier contrat en 1995, époque où on le disait proche du Chinois, Raymond Mihière, parrain des machines à sous.
À peine remis sur pied, et faisant fi des surveillances de la BRB (brigade de répression du banditisme) de la PJ chargée de lenquête sur sa tentative dassassinat, Serra accompagne donc son vieil ami Crucia pour lEspagne, depuis Montpellier.
Jouer la mule pour 3 000 euros
« Cest la première fois que je faisais un transport de stupéfiants », promet Alain Crucia, pourtant condamné à sept ans de prison, en 2007, pour trafic de drogue. Il venait de finir sa libération conditionnelle et ce cuisinier émérite – plébiscité par ses codétenus – se serait retrouvé sans argent, accumulant les loyers impayés, contraint daccepter de jouer la mule et daller chercher 33 kg de hasch pour 3 000 de salaire.
« Jétais dans la misère totale mais cétait une quantité minime de haschich, vous voyez ça tous les jours », tente-t-il de minimiser, sattirant les gros yeux du parquet. Pour tirer son vieux pote daffaire, Crucia affirme quils se sont croisés par hasard, ce 12 juin, sur un parking. « Javais personne avec qui faire la route, je lui ai proposé mais il était pas du tout au courant », jure-t-il. En garde à vue, il avait pourtant expliqué que « Patrick devait se douter de quelque chose ». La présidente lui fait remarquer quau prix de lessence, ils nauraient dû prendre quune voiture…
Serra clame son innocence
Serra, lui, clame son innocence, même si son téléphone a mis au jour des contacts répétés avec le fournisseur, un certain Vi. « Cest un agent immobilier, je cherchais un appartement ! » Il pleurniche – même contre les policiers qui ont été obligés de larrêter avec force alors quil tentait de senfuir – avec un sens de lexagération très marseillais : « Ils étaient vingt, avec vingt calibres et des cagoules. Ils mont dit : Si tes pas mort la première fois, on va te tuer nous. » Bien en vie, il na pas convaincu le tribunal.
3/ les alertes à la bombe à la gare de Montpellier
L’alerte du 2 décembre 2011 avait été précédée d’une alerte semblable à la suite d’un autre appel téléphonique anonyme le 4 mars 2011, alors que NEMROD34 venait d’assigner la Société JFG NETWORKS (OVERBLOG) en référé devant le Tribunal de Grande Instance de Béziers deux jours plus tôt.
Une nouvelle alerte, sérieuse, a nécessité l’appel aux démineurs le 9 janvier 2015.
Vous voulez conserver ce reportage ? Téléchargez sur http://myreplay.tv/v/bRaoOiey .
La gare de Montpellier a été évacuée. Un coup de fil anonyme a déclenché une alerte à la bombe. (DROITS RESERVES . Pour toute exploitation sur TV, web, mobile, aller sur http://wizdeo.com/s/banqueimages )
Alerte à la bombe à la gare SNCF de Montpellier
Un paquet suspect a été découvert sur la voie F, vers 16h15, à la gare SNCF de Montpellier. L’alerte a été donnée rapidement et la gare a été partiellement évacuée. Les démineurs sont sur place depuis 17h. Le trafic ferroviaire n’était que peu impacté.
- Par Fabrice Dubault
- Publié le 09/01/2015 | 17:22, mis à jour le 09/01/2015 | 17:49
Vraie ou fausse alerte à la bombe, un colis suspect a été trouvé sur le quai F de la gare de Montpellier.Les démineurs sont sur place depuis 17h et la gare SNCF a été partiellement évacuée par mesure de sécurité.
Prise d’otages dans une bijouterie de Montpellier : le braqueur s’est rendu
Le 09 janvier à 17h49 | Mis à jour le 10 janvier
Un homme armé s’est finalement rendu aux négociateurs du GIPN dans la nuit de vendredi à samedi. Jusqu’à 2 heures du matin environ, il avait retenu deux femmes d’une quarantaine d’années en otage depuis le tout début de soirée.
Des négociations ont duré plusieurs heures entre le preneur d’otage et le GIPN. Un braquage qui a mal tourné serait la cause de cette prise d’otage qui se déroule en plein centre ancien rue de l’Argenterie. Selon le procureur de la République de Montpellier, cette affaire n’aurait aucun lien avec les suites de l’attentat contre Charlie Hebdo.
Selon les informations de notre correspondante sur place Rosanne Mathot (@rosannemathot), les hommes du GIPN sont arrivés sur les lieux vers 19h. Trois voitures ont pris place à proximité de la place de la Loge. Le centre-ville est resté bouclé de longues heures et l’alerte à la bombe levée à la gare.
Photo R. M.
« Impossible de s’approcher de la rue de l’Argenterie qui est perpendiculaire de la rue de la loge, à une cinquantaine de mètres. Effectifs de police nombreux. Les gens sont confines à l’intérieur. Le GIPN est arrivé sur place. On ne sait pas si les négociations ont commencé.« , nous écrivait-elle.
Notre reporter Rosanne Mathot (photo) poursuivait : « Un silence de mort sur la place Jean Jaurès à Montpellier, qui donne sur la rue de l’argenterie. On ne sait pas si Les hommes du GIPN ont démarré les négociations. Une source de la police espère « qu’il ne s’agit de rien d’autre qu’un « braquage ».
R. M.
Braquage à main armée avec prise d’otages dans une bijouterie de la rue de l’Aiguillerie à #Montpellier Rues bloquées pic.twitter.com/uwqCnq9mSY
— Rémy Cougnenc (@RemyCougnenc) 9 Janvier 2015
La police avait pris position tout autour de la bijouterie et cerné les braqueurs alors que l’électricité a était coupée dans tout le centre et que la place de la comédie était bouclée.
4/ l’alerte à la bombe à l’école de Montady le 3 février 2012
Aucun média n’a semble-t-il jamais rien publié sur cette affaire par la suite.
En revanche, de nouvelles alertes ont été enregistrées, à Montpellier le 21 janvier 2013 puis les 2 et 9 octobre 2014, et à Florensac, tout comme Montady près de Béziers, le 21 janvier 2015.
Alerte à la bombe dans cinq écoles d’infirmières de l’Hérault
L’alerte a été donnée en début d’après-midi par téléphone aux pompiers de l’Hérault. Cinq établissements ont été évacués par précaution et en raison du renforcement du plan vigipirate. L’alerte a été levée vers 16 h 30.
- Par Laurence Creusot
- Publié le 21/01/2013 | 16:34, mis à jour le 21/01/2013 | 19:17
Aussitôt les deux écoles de Castelnau-le-Lez, le centre de formation du CHU de Montpellier et les écoles d’infirmières de Béziers et Sète ont été évacuées par précaution.
Un millier de personnes au total.
L’alerte a été levée vers 16 h 30.
13:10 – MONTPELLIER, ALERTES À LA BOMBE
Après une alerte à la bombe à Richter, nouvelle alerte à la CPAM -Caisse primaire d’assurance maladie- de Gambetta à Montpellier (sur notre photo), la police, les démineurs de la Sécurité civile et les pompiers sur place (JMA)J’aime · Commenter · Partager · 2 octobre 2014 · Modifié
https://www.facebook.com/heraultH24/posts/692889157463932
12:00 – MONTPELLIER, ALERTE À LA BOMBE
Une alerte à la bombe mobilise les sapeurs-pompiers et les services de police à la maison et à l’école des avocats dans le quartier des Arceaux à Montpellier. Les démineurs de la Sécurité civile sont intervenus, il s’agissait une nouvelle fois d’une fausse alerte.
(JMA)
Hérault : le collège de Florensac évacué après une fausse alerte à la bombe
Un appel anonyme a alerté la direction de l’établissement scolaire de la présence d’une bombe.
Ce mercredi, vers 11 h 15, le collège Voltaire de Florensac a été évacué en urgence. Un appel anonyme venait d’alerter la direction : « Il y a une bombe, ça va sauter évacuez le collège. » Bien entendu en pareil cas, l’ensemble des élèves ont été mis en sécurité alors qu’ils étaient en pleine épreuve de brevet blanc.
« C’était un canular, a confirmé le maire de Florensac, Vincent Gaudy. Fort heureusement. En attendant les services de la ville ont été mobilisés pour accueillir tous les élèves et les professeurs. Mais il y a eu aussi les secours et les gendarmes qui sont intervenus sur place. C’est proprement scandaleux parce que pendant que les pompiers étaient ici, quelqu’un pouvait avoir besoin d’eux pour être vraiment secouru. Je suis très en colère. »
Trois mineurs, de 17 à 13 ans, ont été interpellés.