Première condamnation pour le chauffard de Nantes du Marché de Noël,Sébastien Sarron

Il n’y a guère que Sud-Ouest qui semble en avoir informé ses lecteurs, le chauffard qui avait foncé dans la foule à Nantes le 22 décembre 2014 a été récemment condamné pour détention et usage de stupéfiants.

Avant de commettre cet acte meurtrier, il avait passé l’après-midi à s’alcooliser à Nantes.

Il avait foncé dans la foule place Royale en déboulant du quai de la Fosse, une artère célèbre pour ses bars à hôtesses, dont celui de l’assassin présumé de l’ancien proxénète brestois Bernard Algret en décembre 2005, Antonio Freitas, voisin de cellule d’Amedy Coulibaly à Fleury-Mérogis.

En voilà encore un qui aura peut-être trop lu Cyprien Luraghi et bu à la lettre tous ses discours et mots d’ordre, comme celui-ci :

 

Cyp’ le 30/08/2009 à 12:12

@ les RG :

Je préfère écrabouiller les folles furieuses qui se jettent sous les roues de ma bagnoles alors que je roule pépère sur la départementale, plutôt qu’aller me frotter aux CRS ou planter ma caisse dans un platane pour éviter ces cinglées.

D’ailleurs, vous faites plaisir aux CRS, quand vous manifestez : c’est grâce à vous qu’ils peuvent écouter Sardou et payer les traites de leur pavillon Phénix ultra-moche.

Sans vous, ils n’existeraient pas et le monde serait plus sympathique.

Vroum !

 

Rappelons qu’il est originaire de La Rochelle, à proximité de Rochefort, où vivent ou d’où sont eux-mêmes originaires au moins deux « déconnologues » de la bande de Cyprien Luraghi, Tigerbill et lamorille/Astro Zombie/Laurent Morillon, ce dernier connaissant également bien Nantes pour y avoir été étudiant.

Sébastien Sarron a aussi vécu à Béziers, où il a commencé à abuser des mêmes cocktails de stupéfiants que NEMROD34. Il était arrivé dans l’Hérault à l’âge de 19 ans pour y suivre une formation de paysagiste à Agde, lieu que fréquente assidument NEMROD34, et avait été impliqué dans une affaire de vol et recel à Béziers en 2006.

 

http://www.sudouest.fr/2015/10/02/drame-du-marche-de-noel-de-nantes-le-chauffard-devant-le-tribunal-de-saintes-2142414-1391.php

Drame du marché de Noël de Nantes : le chauffard devant le tribunal de Saintes

 

L’homme avait foncé dans la foule du marché de Noël, le 22 décembre 2014. Originaire de Berneuil en Charente-Maritime, il comparaissait ce jeudi devant le tribunal pour détention et usage de stupéfiants

 

Drame du marché de Noël de Nantes : le chauffard devant le tribunal de Saintes

Sébastien Sarron avait foncé dans la foule au marché de Noël de Nantes, faisant un mort et neuf blessés. ©

AFP GEORGES GOBET

 

Le véhicule avait semé la terreur. Lundi 22 décembre 2014, Sébastien Sarron, un homme de 38 ans habitant à côté de Saintes, avait foncé avec sa camionnette dans la foule du marché de Noël de Nantes, tuant un jeune homme de 25 ans et blessant neuf personnes. Avant de se frapper au thorax de plusieurs coups de couteau.Lors des perquisitions qui avaient suivi à son domicile, à Berneuil, en Charente-Maritime, les enquêteurs avaient saisi 717 grammes de cannabis.

 

Première condamnation pour le chauffard de Nantes du Marché de Noël,Sébastien Sarron dans Crime

Drame de Nantes : les prélèvements sanguins avaient révélé un taux de 1,80 g d’alcool par litre de sang, soit près de quatre fois la limite autorisée.© Photo AFP

 

C’est pour détention et usage illicite de cette substance que Sébastien Sarron comparaissait ce jeudi devant le tribunal correctionnel de Saintes. Crâne rasé, regard vide, l’homme est resté quasi mutique.

Il n’avait pas d’avocat. Consommateur régulier de cannabis, il l’était aussi d’alcool, et en particulier de rhum. Le nombre de bouteilles trouvées chez lui a laissé le président incrédule. Le ministère public avait requis quatre mois de prison avec sursis. Le tribunal a condamné M. Sarron à six mois avec sursis.

Isolé dans un village de 800 habitant

L’affaire de Nantes avait bouleversé la petite commune de Berneuil, située à 13 km de Saintes. Le lendemain du drame, ses  800 habitants s’étaient réveillés sous le feu des projecteurs. En urgence, le maire Joël Reignier, élu pour un premier mandat, avait dû organiser en urgence une conférence de presse pour faire face au déferlement médiatique.

 

« Il n’était pas connu du CCAS, des services sociaux ou des élus pour des faits de violences ou comportements anormaux »

 

 dans Folie

Pour le maire Joël Reignier, rien ne laissait présager le drame qui s’est déroulé à Nantes.© Photo Pascal Couillaud

 

C’est que personne dans le village ne connaissait réellement Sébastien Sarron, qualifié par tous de personnalité très discrète. Ce natif de La Rochelle s’était installé dans une ferme charentaise achetée le long de la départementale 137 il y a un peu plus de six ans, visiblement seul…

 

« Il est venu chez moi deux ou trois fois lorsqu’il a emménagé et je ne l’ai plus revu »

 

 dans LCR - NPA

Nadine Grassiot est gérante du Bistroquet, situé juste en face du domicile de Sébastien Sarron.© Photo Pascal Couillaud

 

Toutefois, quelques jours avant le drame, il avait fait parler de lui en faisant brûler, dans son jardin, du plastique ou des pneus. Des matériaux qui, en se consumant, avaient dégagé une forte fumée noire.

« Mon frère n’est pas un monstre »

La police judiciaire de La Rochelle, qui avait mené la perquisition à son domicile, avait découvert dans son véhicule, un carnet contenant des écrits confus témoignant de difficultés psychologiques et… familiales.

 

 dans Le Post

La maison de Sébastien Sarron, le long de la route départementale 137, au lieu-dit La Jard, sur la commune de Berneuil. C’est la police judiciaire de La Rochelle qui a mené la perquisition à son domicile.© Photo Pascal Couillaud

 

La procureur de Nantes Brigitte Lamy avait dévoilé une partie de ce contenu. L’homme y affirme notamment que « sa famille le dénigrait sur Internet ». Le 12 décembre, il avait porté plainte dans une brigade de gendarmerie pour ces dénigrements.

 

Drame de Nantes : «Je sais que mon frère n’est pas un monstre» … via @le_Parisien http://t.co/yasOXn1xxf pic.twitter.com/JJLr3yX7Rk

— TopTrends.io (@Toptrendsio) 24 Décembre 2014

Sa soeur, elle, était sortie du silence deux jours seulement après le drame. C’est au « Le Parisien » qu’elle a livré son témoignage, apportant ainsi quelques explications sur la personnalité de Sébastien Sarron, et déclarant :  » Mon frère n’est pas un monstre ».

Elle y expliquait toutefois que son petit frère s’est isolé au fil des années, prenant des distances avec sa famille. Elle le décrivait comme un homme « passionné par les plantes et les animaux » mais aussi asocial. Sans pour autant expliquer ce geste, qu’elle évoque « un pétage de plomb ».

Après le drame de Dijon

Le drame avait été un choc d’autant plus fort que la veille, un automobiliste avait foncé sur la foule à Dijon, blessant 13 personnes, en criant « Allah Akbar ».  L’homme de 40 ans avait indiqué aux enquêteurs que par ces mots, il voulait ainsi se « donner du courage ».

 

 dans Luraghi

Le conducteur de la voiture qui avait foncé sur des passants dimanche 21 décembre 2014 à Dijon a une « pathologie psychiatrique ancienne et lourde », avait indiqué le procureur.© Photo AFP ARNAUD FINISTRE

 

Mais la procureur de Dijon avait affirmé qu’il ne s’agissait pas d’un acte terroriste. Avec « 157 passages en unité psychiatrique entre février 2001 et novembre 2014« , le quarantenaire avait de lourds antécédents psychiatriques.

 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/pays-de-la-loire/2014/12/26/drame-du-marche-de-noel-de-nantes-comment-la-voiture-folle-est-arrivee-place-royale-619892.html

Drame du marché de Noël de Nantes : comment la voiture folle est arrivée place Royale

 

Sébastien Sarron, d’après les premiers témoignages a suivi un taxi pour accéder à la place Royale. Là, il roulait à 70 km/h quand il a foncé sur la foule du marché de Noël.

  • Par Xavier Collombier
  • Publié le 26/12/2014 | 09:55
En suivant un taxi, Sébastien Sarron est arrivé place Royale par le quai de la fosse. © NATHALIE BOURREAU / MAXPPP© NATHALIE BOURREAU / MAXPPP En suivant un taxi, Sébastien Sarron est arrivé place Royale par le quai de la fosse.

Il a suivi un taxi

Selon de nombreuses sources proches de l’enquête relatées ce matin par nos confrères de Presse Océan , Sébastien Sarron au volant de son Peugeot Expert a suivi un taxi pour accéder au secteur piéton de la fin de la rue de la Fosse vers la place Royale. Grâce à un badge le taxi a abaissé la borne, Sébastien Sarron s’est engouffré derrière lui, profitant du temps de latente de l’automate, réglant l’accès à la zone piétonne. « Il n’y aurait pas eu de dysfonctionnement du système » selon la source du quotidien nantais.
Le conducteur a ensuite accéléré son moteur, le faisant ronfler sur les 400 mètres séparant le quai de la Fosse de la place Royale, les 70 kilomètres heure auraient été atteints selon de nombreux témoins, avant que le véhicule termine sa course dans les stands du marché de Noël.

Témoignages des rescapés

3 jours après le drame, les témoignages se succèdent. Dans Ouest-France, ce matin, un retraité normand explique « après le choc, je me suis retrouvé au sol, à plusieurs mètres du point d’impact (..), lorsque j’ai pu me relever, la première vision que j’ai eue, c’est le bras du chauffeur dans sa camionnette. Il se donnait des coups de couteau au niveau du thorax. Sur le moment, je n’ai pas eu trop le temps de réaliser. J’avais peur qu’il s’agisse d’une attaque terroriste. »
Le fils d’une blessée témoigne dans Presse Océan : « C’était la pagaille. Ma mère était sous la voiture. Elle ne savait pas si le conducteur allait redémarrer ou tout faire exploser (..) Il y a des fous partout. On ne peut pas mettre un policier derrière tout le monde. Personnellement , je n’ai pas de haine envers lui. Est-ce que je lui pardonne ? Difficile de répondre à cette question ».
Une quarantaine de personnes ont été reçue par la cellule d’urgence psychologique mise en place par les autorités. De nombreux commerçants de la place Royale et du marché de Noël y ont consulté, des passants et des témoins de la course folle de Sébastien Sarron également.

Une information mondialisée

Le drame de Nantes a été relayé par les médias du monde entier. De New-York à Sydney, le triste fait divers en cette période de fête a fait la Une lundi et mardi.

 

http://www.presseocean.fr/actualite/nantes-drame-de-noel-le-suspect-avait-passe-lapres-midi-en-centre-ville-20-01-2015-146639

Nantes Drame de Noël : le suspect avait passé l’après-midi en centre-ville

 

0 21.01.2015 06:00
Avant de foncer dans la foule, le suspect a passé l'après-midi du côté de Gloriette à Nantes

Avant de foncer dans la foule, le suspect a passé l’après-midi du côté de Gloriette à Nantes

Photo PO-RB

empty dans NEMROD34

Sébastien Sarron, le conducteur de la camionnette, a passé l’après-midi à Nantes, avant de foncer sur la foule.

Les enquêteurs cherchent toujours à déterminer à quel moment précis Sébastien Sarron, le conducteur de la fourgonnette, est arrivé à Nantes. Ils ignorent toujours quand il a quitté sa maison de Berneuil, en Charente-Maritime, pour parcourir les 250 km qui le séparaient de Nantes, où il n’avait aucune attache.

Ils sont cependant certains, désormais, que le suspect se trouvait sur le parking Gloriette dès 14 h. Des tickets d’horodateur, retrouvés dans sa voiture, en attestent. Il s’y trouvait même encore à 16 h 30.

Le suspect, en effet, est retourné payer un autre ticket, valable jusqu’à 18 h. Pendant plus de quatre heures donc, il est resté dans les environs de la place Royale. Mais qu’a-t-il fait pendant ce temps ? Est-il resté dans sa voiture à boire des bières ? A-t-il écrit dans le fameux carnet retrouvé à ses côtés ? Est-il allé dans un bar voisin ou s’est-il baladé dans les rues ?

Une autre découverte leur pose question…

 

Lire la suite dans Presse Océan ce mercredi 21 janvier



Le riverain de Rue89 Ben85 n’a jamais compris son ami Cyprien Luraghi

Je devrais plutôt dire son ex-ami ou comparse « déconnologue » Cyprien Luraghi, puisqu’ils viennent de rompre, à la suite de ce commentaire du premier sur le site d’information Rue89 sous un article dont le sujet relève des cyberviolences faites aux femmes, c’est-à-dire très précisément une part des violences qui constituent les lynchages publics réguliers ou permanents qu’organise le chef de meute ultra-violent Cyprien Luraghi à mon encontre sur Internet depuis maintenant sept ans :

 

Publié le 23/10/2015 à 11h25

routier

Ben85

routier

Putain ça me gave de lire certains messages (de mecs surtout, au passage : coïncidence ?) minimisant ce que vit cette fille et remettant en cause la façon qu’elle a eue de réagir à ces attaques, la faisant passer du statut de victime à celle de mytho voire de coupable.

On ne sait pas tout d’elle ? Certains messages sont mal traduits ? L’article est incomplet sur le sujet ? ET ALORS ? Ça excuse le fait qu’on puisse la menacer de viol ? C’est anodin ? Bah putain de merde…

Faut vivre aux côtés de quelqu’un qui s’en prend plein la gueule tous les jours pour se rendre compte que, même en étant vachement stable, se faire traiter de « pute » ou de « bougnoule » au quotidien, c’est usant. Qu’est-ce qui reste à faire, alors ? La fermer ? Nan, la moindre des choses, si on ne soutient pas ces personnes, c’est au moins de ne pas rajouter une louche au tas de merde que tout un paquet de connards leur verse déjà dessus.

Après, comparer les cas de harcèlement, dire « moi, c’en est du vrai, du labellisé, l’autre, là, avec ses histoires de viol, c’est juste une petite joueuse et si ça se trouve elle cherche un peu », c’est vraiment à gerber.

 

Ce commentaire correspond exactement à celui qu’aurait pu faire au sujet des campagnes de calomnies publiques assorties de nombreux appels publics au viol et au meurtre et autres menaces de mort de Cyprien Luraghi à mon encontre n’importe quel internaute censé et courageux étant tombé sur ses « tas de merde » me concernant. Certains l’ont d’ailleurs fait à plusieurs reprises, mais jamais Ben85 qui avait rejoint le groupe de « déconnologues » de Cyprien Luraghi dans la période de février à juillet 2009, où ces pervers me harcelaient déjà tous en meute au quotidien sur le site Rue89.

Cela dit, l’intéressé s’exprimant actuellement sur Rue89 sous le pseudonyme de Max Schultz ne s’est pas trompé sur le sens de ce discours tout à fait nouveau de son condisciple de six ans et demi, puisqu’il n’a pas tardé à y réagir comme rappelé ci-dessous, puis à rompre à la suite de ses explications publiques :

 

1 réponse
Publié le 23/10/2015 à 11h31

oskar

Max Schultz

génocidaire

Parler de quelqu’un par allusions, c’est pas terrible, Ben. C’est manquer de franchise, voire de courage.

Pour faire court : dans l’affaire que j’évoque à mots couverts parce qu’elle est en cours et que la discrétion s’impose encore, je ne suis pas seul. Il y a une femme aussi qui en est une autre victime. Or ce que cette femme s’est mangé dans la gueule est sans commune mesure avec ce qui est rapporté dans cet article. Je précise bien : dans cet article. Qui d’après ce que j’ai pu comprendre en lisant plusieurs commentaires sur ce fil, semble minimiser les faits.

Ce sera tout : je n’ai plus rien à te dire.

1 réponse
Publié le 23/10/2015 à 12h19

routier

Ben85

routier

Si je manquais de courage, je me serais tu. J’ai bien vu que tu intervenais juste au-dessus et qu’il y avait des chances que tu voies mon message. Une partie de celui-ci t’es adressé, mais pas qu’à toi, et toute une autre est plus générale par rapport à tout un tas de réactions sur ce fil. Désolé de ne pas t’avoir envoyé de faire-part et d’avoir préféré la formule « tir groupé », hein.

Je sais que tu te trimbales des folles au cul, je ne minimise pas ça, ce serait incohérent avec ce que je dis plus haut. Je dis juste que, par principe, quand on sait ce que « harcèlement » veut dire (et c’est ton cas), on doit quand même ménager ses commentaires à l’égard d’une personne victime de telles attaques.

Voilà.

1 réponse
Publié le 23/10/2015 à 12h08

oskar

Max Schultz

génocidaire

bye

 

Et voilà, les spécialistes en l’inversion de toute chose que sont les pervers Pascal Edouard Cyprien Luraghi et sa commanditaire Josette Brenterch du NPA de Brest ont visiblement bien réussi à imprimer de manière indélébile dans le cerveau de Ben85 qu’ils seraient l’un et l’autre les victimes de folles, notamment moi qu’ils ont toujours harcelée ensemble depuis 2008, et depuis bien plus longtemps pour la donneuse d’ordres.

Il est vrai que Ben85 n’a pas toujours tout suivi et ne doit même pas comprendre pourquoi le Konducator le dit aujourd’hui « versatile ».

Rappelons donc en deux commentaires du chef l’essentiel de sa doctrine, lui dictant toujours sa conduite :

 

- sur Rue89 :

à Hulk_ De Cyp_

Kondukator Cosmoplanétaire | 00H12 | 22/03/2009 |

J’ai fait ça, et pas qu’une seule fois :  mais je n’initie jamais le délire ;  je prends le train en marche ou alors je papote sur des fils totalement déserts.

Sauf chez Serraf :  mais là c’est normal.

[rajouti]

C’est dur pour lui la vie. OK, mais c’est lui qui l’a voulu. Je n’accorde jamais la moindre excuse à ceux qui se font chier dans la vie. Je suis d’une cruauté sans borne à leur égard.

Quelle que soit  sa condition sociale, son milieu familial et tout le reste, se faire la vie belle est une question de choix, de détermination, de tripe et de couilles. Même pour les filles.

2 votes

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- sur Le Post :

Cyp’ le 30/08/2009 à 12:12

@ les RG :

Je préfère écrabouiller les folles furieuses qui se jettent sous les roues de ma bagnoles alors que je roule pépère sur la départementale, plutôt qu’aller me frotter aux CRS ou planter ma caisse dans un platane pour éviter ces cinglées.

D’ailleurs, vous faites plaisir aux CRS, quand vous manifestez : c’est grâce à vous qu’ils peuvent écouter Sardou et payer les traites de leur pavillon Phénix ultra-moche.

Sans vous, ils n’existeraient pas et le monde serait plus sympathique.

Vroum !

 



Le cyberdélinquant Cyprien Luraghi continue à s’isoler

Depuis 2008, le cyberdélinquant psychopathe et mythomane Pascal Edouard Cyprien LURAGHI mène une guerre d’extermination totale de victimes de harcèlements qui sont dès lors devenues les siennes.

En 2009, il en perdait déjà plusieurs de ses bons amis riverains du site Rue89.

Cela a toujours continué, même si dans le même temps il parvenait à élargir le cercle de tous ses alliés ou complices en ses entreprises criminelles à l’encontre de ses cibles.

Il a encore perdu très récemment de ses vieux amis riverains, notamment Ben85, comme le montre cet extrait de la discussion sur le site Rue89 rapportée sur ce blog il y a deux jours à propos des cyberviolences faites aux femmes :

 

Publié le 23/10/2015 à 11h25

routier

Ben85

routier

Putain ça me gave de lire certains messages (de mecs surtout, au passage : coïncidence ?) minimisant ce que vit cette fille et remettant en cause la façon qu’elle a eue de réagir à ces attaques, la faisant passer du statut de victime à celle de mytho voire de coupable.

On ne sait pas tout d’elle ? Certains messages sont mal traduits ? L’article est incomplet sur le sujet ? ET ALORS ? Ça excuse le fait qu’on puisse la menacer de viol ? C’est anodin ? Bah putain de merde…

Faut vivre aux côtés de quelqu’un qui s’en prend plein la gueule tous les jours pour se rendre compte que, même en étant vachement stable, se faire traiter de « pute » ou de « bougnoule » au quotidien, c’est usant. Qu’est-ce qui reste à faire, alors ? La fermer ? Nan, la moindre des choses, si on ne soutient pas ces personnes, c’est au moins de ne pas rajouter une louche au tas de merde que tout un paquet de connards leur verse déjà dessus.

Après, comparer les cas de harcèlement, dire « moi, c’en est du vrai, du labellisé, l’autre, là, avec ses histoires de viol, c’est juste une petite joueuse et si ça se trouve elle cherche un peu », c’est vraiment à gerber.

1 réponse
Publié le 23/10/2015 à 11h31

oskar

Max Schultz

génocidaire

Parler de quelqu’un par allusions, c’est pas terrible, Ben. C’est manquer de franchise, voire de courage.

Pour faire court : dans l’affaire que j’évoque à mots couverts parce qu’elle est en cours et que la discrétion s’impose encore, je ne suis pas seul. Il y a une femme aussi qui en est une autre victime. Or ce que cette femme s’est mangé dans la gueule est sans commune mesure avec ce qui est rapporté dans cet article. Je précise bien : dans cet article. Qui d’après ce que j’ai pu comprendre en lisant plusieurs commentaires sur ce fil, semble minimiser les faits.

Ce sera tout : je n’ai plus rien à te dire.

1 réponse
Publié le 23/10/2015 à 12h19

routier

Ben85

routier

Si je manquais de courage, je me serais tu. J’ai bien vu que tu intervenais juste au-dessus et qu’il y avait des chances que tu voies mon message. Une partie de celui-ci t’es adressé, mais pas qu’à toi, et toute une autre est plus générale par rapport à tout un tas de réactions sur ce fil. Désolé de ne pas t’avoir envoyé de faire-part et d’avoir préféré la formule « tir groupé », hein.

Je sais que tu te trimbales des folles au cul, je ne minimise pas ça, ce serait incohérent avec ce que je dis plus haut. Je dis juste que, par principe, quand on sait ce que « harcèlement » veut dire (et c’est ton cas), on doit quand même ménager ses commentaires à l’égard d’une personne victime de telles attaques.

Voilà.

1 réponse
Publié le 23/10/2015 à 12h08

oskar

Max Schultz

génocidaire

bye

2 réponses
Publié le 23/10/2015 à 12h28

routier

Ben85

routier

Ouais, c’est ça, t’as raison, faisons comme ça.

1 réponse
Publié le 23/10/2015 à 12h33

oskar

Max Schultz

génocidaire

bye

1 réponse
Publié le 23/10/2015 à 12h38

routier

Ben85

routier

Allez, je te laisse le dernier mot, tu as l’air d’y tenir.

Go :

1 réponse
Publié le 23/10/2015 à 12h49

oskar

Max Schultz

génocidaire
TIBET-14

.

Publié le 23/10/2015 à 12h40

dawn

Astro Zombie

Lost in the supermarket

E la nave va.

1 réponse
Publié le 23/10/2015 à 12h50

routier

Ben85

routier

Eh oui, c’est pas dramatique, juste un poil désespérant.

 

La rupture est effective et tout à fait officielle, il l’a annoncée le jour même sur son blog :

 

Alliances contre Nature

Par cyp | Publié : 23 octobre 2015

Ça ne se réchauffe pas et pourtant c’est du réchauffé qui nous est servi. Il s’agit de choisir son camp : les chiens de guerre se grognent au museau. Oui mais voilà : je suis un adepte de la non violence et de ce point de vue tous les camps sont de mauvais camps, actuellement. Ce choix obligatoire ne me concerne donc pas. Je reste en dehors de tout ça, comme toujours. Après tout je n’ai pas été objecteur de conscience pour faire joli, dans les années 70. Mes convictions sont invariables ; celles de nombre de gens autour de moi sont versatiles, par contre. Donc si des amis ou des copains choisissent leur camp de la mort, eh bien je les raye de mon carnet d’adresses d’un trait de stylo-bille et ça n’a aucune importance.

…/…

 

Voilà. Violer ou massacrer des femmes et tous ceux qui tentent de s’interposer entre elles et leurs agresseurs, cela reste pour lui de la « non violence »…



Attentat de Karachi : nouvelles déclassifications en vue

Elles étaient attendues depuis longtemps, mais curieusement, seuls deux journaux ont informé leurs lecteurs de la décision récente du ministre de l’Intérieur à ce sujet.

 

http://www.ouest-france.fr/attentat-de-karachi-les-souvenirs-dex-agents-de-la-dst-declassifies-3743687

Attentat de Karachi. Les souvenirs d’ex-agents de la DST déclassifiés

 

France – 06 Octobre

Les souvenirs d’anciens agents de l’ex-Direction de la surveillance du territoire (DST) vont être déclassifiés dans l’affaire de l’attentat de Karachi.

 

L’attentat avait tué quinze personnes, dont onze ouvriers français de la Direction des constructions navales. Une des thèses est celle d’une attaque menée en représailles à la décision des autorités françaises d’arrêter le versement de commissions sur des contrats d’armement.

Les parties civiles réclament la levée du secret-défense

Les enquêteurs s’intéressent notamment à un financier saoudien, Ali Ben Moussalem, décédé en 2004. Le juge Marc Trevidic avait demandé dès 2012 une déclassification des informations sur ses liens possibles « avec des organisations terroristes, dont notamment et surtout Al-Qaïda ».

Le nom d’Ali Ben Moussalem avait notamment été évoqué en 2013 devant le juge Trevidic par Gérard Willing, un professionnel du renseignement, auteur d’une note faisant le lien entre l’attentat et cette piste financière. Il avait affirmé avoir transmis ses informations à un de ses contacts à la DST.

En conséquence, les parties civiles réclament depuis des années la levée du secret-défense sur les documents, ainsi que l’audition d’agents de la DST (chargée du renseignement intérieur, devenue DCRI puis DGSI).

 Que les témoins répondent directement

Ceux qui avaient été entendus, comme Eric Bellemin-Comte, alors devenu coordinateur national du renseignement à l’Elysée, s’étaient abrités derrière le secret-défense. Et la commission consultative du secret de la défense nationale (CCSDN) s’était opposée à la levée du secret sur des documents.

Pour contourner cet obstacle, les magistrats instructeurs avaient obtenu en décembre 2014 que les témoins répondent directement à leurs questions via la présidente de la CCSDN, mais celle-ci avait refusé.

Les juges Laurence Le Vert et Trevidic avaient alors envoyé en mars aux agents concernés des questionnaires destinés à être remis directement au ministre de l’Intérieur. « Ainsi, avaient-ils écrit à Bernard Cazeneuve dans une lettre consultée par l’AFP, les personnes concernées n’auront aucun motif d’arguer du secret de la défense nationale pour ne pas répondre aux questions posées et la commission consultative pourra donner l’avis exigé par la loi sur les documents écrits qui lui seront présentés ».

Les questionnaires seront transmis aux magistrats

Dans un avis paru le 2 octobre au JO, la CCSDN s’est refusée à statuer. Mais, selon Me Dosé, dans la foulée, Bernard Cazeneuve a décidé de passer outre cet avis et d’autoriser la déclassification des questionnaires qui doivent être transmis aux magistrats.

« C’est l’aboutissement d’une volonté des magistrats instructeurs, des parties civiles, et aussi d’un ministre de l’Intérieur, de voir enfin versées à un dossier des informations essentielles à la manifestation de la vérité », a commenté Me Marie Dosé.

 

http://www.leparisien.fr/espace-premium/actu/un-succes-a-retardement-08-10-2015-5165137.php

Un succès à retardement

 

P.É. | 08 Oct. 2015, 07h00 | MAJ : 08 Oct. 2015, 05h23

Karachi (Pakistan), le 8 mai 2002. Des documents classés secret-défense seront versés au dossier d’instruction dans l’affaire de l’attentat de Karachi.

Karachi (Pakistan), le 8 mai 2002. Des documents classés secret-défense seront versés au dossier d’instruction dans l’affaire de l’attentat de Karachi. (AFP/Aamir Qureshi.)

 

Des demandes de déclassification de documents estampillés « secret défense », le juge Trévidic et ses collègues à l’antiterrorisme en ont lancé beaucoup. « Il y en a d’autres en cours, par exemple sur le Rwanda ou l’affaire de vos confrères de RFI (NDLR : assassinés au Mali en 2013) », indique-t-il.

Dans l’affaire de l’attentat de Karachi (15 morts dont 11 employés français de la Direction des constructions navales le 8 mai 2002), cette bataille, conduite dès 2012 par les juges Trédivic et Le Vert, avec l’avocate de plusieurs des familles de victimes parties civiles, M e Marie Dosé, vient de porter ses fruits. Au terme d’un singulier bras de fer avec la Commission consultative du secret de la défense nationale (CCSDN), hostile ou « sans avis », tranché in fine dans un sens favorable par le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, les questionnaires d’anciens agents de l’ex-DST ( Direction de la surveillance du territoire, aujourd’hui DGSI) devraient être versés au dossier d’instruction. « Il fallait contourner l’absence de documents, qui nous était opposée, en recueillant des informations via les témoignages d’anciens agents », rappelle Me Dosé qui, satisfaite de cette décision de déclassification, espère que leur contenu « permettra d’avancer dans la manifestation de la vérité ».

Dans cette affaire, Trévidic avait ouvert la piste d’un acte de terrorisme d’origine politico-financière, lié à l’arrêt du versement de rétrocommissions dans des contrats d’armements avec le Pakistan et l’Arabie saoudite.



Un Luraghi finlandais condamné pour cyberharcèlement

Le psychopathe Pascal Edouard Cyprien LURAGHI et ses complices s’obstinant à me calomnier sur des sites publics comme Rue89, sans compter leur blog ordurier, où ne sont inscrits que des criminels, et à s’y présenter mensongèrement comme victimes de prétendus « harcèlements » de ma part, je rappelle que depuis au moins sept ans, ces cyberdélinquants violent quotidiennement l’intimité de ma vie privée comme celles de nombreuses autres personnes, notamment mes proches et toutes mes relations présentes ou passées qu’ils parviennent à appréhender à l’aide de leurs piratages informatiques et écoutes téléphoniques illégales à mon encontre.

Bien évidemment, ces viols ne sont pas gratuits, ils sont le préalable indispensable pour de nombreuses malveillances. Ainsi plusieurs de mes proches ont-ils perdu leur emploi dès l’année 2011 à la suite de harcèlements orchestrés par ce malade mental. Nous déplorons aussi plusieurs décès.

 

http://www.slate.fr/story/108663/cauchemar-hacker-famille-harcelement

Quand des hackers transforment la vie d’une famille en cauchemar

Repéré par Robin Panfili

Tech & internet

21.10.2015 – 12 h 52mis à jour le 21.10.2015 à 12 h 52

Julius Kivimaki, le hacker à l'origine du harcèlement contre la famille Strater |  Capture d’écran d’une vidéo Sky NewsJulius Kivimaki, le hacker à l’origine du harcèlement contre la famille Strater | Capture d’écran d’une vidéo Sky News

Trois années durant, la famille Strater a été harcelée par un groupe de hackers anonymes qui a transformé son quotidien en un véritable calvaire.

Tout a commencé avec des pizzas, livrées quotidiennement sur le pas de leur porte, alors qu’Amy et Paul Strater n’avaient pourtant rien commandé. Un harcèlement anonyme et quotidien qui, au fil des mois et des semaines, s’est montré de plus en plus agressif: leurs boîtes mails ont été hackées et des alertes à la bombe ont été déclenchées en leur nom.

En trois ans, la famille Starter a tout perdu, ou presque. «Ils ont perdu leur boulot, leurs amis. Ils ont développé une forme d’anxiété chronique et souffrent d’autres problèmes psychologiques. Plus d’une fois, ils décrivent leur vie comme “ruinée” par leur mystérieux bourreau», raconte le magazine Fusion, qui consacre un article aux nombreuses mésaventures de cette famille.

Le point de départ de cette histoire, c’est un différend entre leur fils, Blair Strater, et un autre hacker résidant en Finlande, Julius Kivimaki. Sur un réseau de discussion en ligne où les deux jeunes ont pris l’habitude de dialoguer, ils s’écharpent à propos de l’accueil d’un nouveau hacker sur leurs serveurs respectifs. «C’était un incident mineur, le genre de dispute qui arrive tous les jours sur ces réseaux de discussion», explique Fusion. Sauf que cette fois, Julius Kivimaki –qui dit appartenir au groupe de hackers «Lizard Squad»– n’a pas l’intention de céder et décide de s’acharner sur Blair Strater.

Pizzas, sable et livraisons surprises

Pendant trois ans, des pizzas, donc, mais aussi des grandes quantités de gravier ou de sable, des fleurs et des objets en tout genre sont livrés au domicile de la famille Strater, dans la petite ville de Oswego, dans l’Illinois. Parfois, le canular va plus loin: des abonnements de la famille sont résiliés contre leur gré, tout comme des contrats qui leur assuraient l’arrivée de gaz et d’électricité.

Pour illustrer le harcèlement dont ils ont été victimes, la famille Strater ne manque pas d’exemples. Comme ce 24 octobre 2013 où, en pleine nuit, la police s’est ruée à son domicile après le coup de fil d’un anonyme qui se faisait passer pour Blair, le fils, et qui affirmait avoir tué sa mère.

Cet harcèlement systématique a bouleversé la vie de la famille Strater. Amy et Paul ont divorcé, ils ont perdu leur travail et ont perdu tout contact avec leur entourage. «Nos voisons nous ont complètement ostracisés, dit Amy. Ils ne nous parlent pas parce qu’ils ne savent pas ce qu’il se passe.» 

Une vie bouleversée

Pendant plusieurs mois, Amy Strater a dû abandonner sa recherche d’emploi car la première page de résultats associée à son nom sur Google laissait apparaître son profil LinkedIn et son compte Twitter, tous deux piratés et remplis de messages racistes et antisémites par les hackers. Aujourd’hui, elle se dit dévastée:

«Je me sens livrée à moi-même. Je ne peux pas retrouver de travail, mon mariage a été brisé. Il n’y a pas un jour qui passe sans que je me demande s’il ne serait pas plus simple de mettre fin à mes jours. Je n’ai plus rien.»

En juillet dernier, Julius Kivimaki a été arrêté et condamné avec sursis par la justice finlandaise à deux années de prison pour les 50.700 actes cybercriminels dont il est tenu pour responsable. Interrogé sur le harcèlement subi par la famille Strater, le jeune hacker finlandais a minimisé son rôle et n’a exprimé que peu de regrets.

Si la famille s’est montée déçue par cette sanction, elle préfère désormais penser à la suite. Un avenir qu’elle espère dépourvu de livraisons surprises et de piratages de comptes Facebook, LinkedIn ou Twitter.



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