A Brest, un bras cassé de Sud-Solidaires porte plainte

Excusez-moi si je ris un peu, hein, mais c’est exactement l’image que vous diffusez avec ces articles de votre copain Steven Le Roy, messieurs dames de la « gauche radicale » brestoise.

Pour ce qui est du fond, c’est comme d’habitude : votre obstination à priver vos opposants de leur liberté d’expression à votre sujet par tous les moyens possibles et imaginables – en l’occurrence, demander l’application de la loi dans des affaires qui ne concernent aucun d’entre vous à titre personnel – est à vomir, surtout quand on sait ce que vous faites vous-mêmes avec les cyberdélinquants de la bande de Cyprien Luraghi, et bien d’autres criminels.

Au demeurant, il est toujours assez paradoxal que vous saisissiez dans ce cas la « justice bourgeoise » que vous reniez systématiquement lorsqu’elle daigne écouter les victimes auxquelles vous empêchez toujours tout accès au droit par de multiples crimes et délits supplémentaires.

 

http://www.letelegramme.fr/bretagne/brest-plainte-nominative-contre-boris-le-lay-30-11-2015-10869839.php

 
Brest. Plainte nominative contre Boris Le Lay

30 novembre 2015 à 16h56


Brest. Plainte nominative contre Boris Le Lay par Letelegramme

 

Olivier Cuzon, militant syndical de Sud, a porté plainte contre Boris Le Lay pour des menaces de mort qu’il aurait reçues via le mur Facebook de Boris Le Lay, reprenant un article écrit sur son site Breizh Atao.

 

« Boris Le Lay est propriétaire de ce mur et la jurisprudence est constante. S’il ne me menace pas directement, plusieurs commentaires le font très clairement »‘ explique celui qui n’entend pas céder à la peur.

A Brest, un bras cassé de Sud-Solidaires porte plainte dans Corruption

Par ailleurs, le même site Breizh Atao avait déjà publié des contenus à la suite d’une manifestation qui avait opposé l’Adsav aux antifas dans les rues de Brest en octobre.

Le 11, il avait notamment publié une première  » note de renseignements sur les collaborateurs pro-islamistes de la ville  » de Brest où figuraient 7 personnes.

Dans un courrier adressé au procureur, six d’entre-eux demandent instamment à la justice de faire le nécessaire pour retrouver Boris Le Lay afin qu’il purge la peine de six mois de prison ferme prononcé par le tribunal correctionnel de Quimper en mai dernier, à la suite d’insultes à caractère raciste proférées contre un musicien de couleur noire.

 

http://www.letelegramme.fr/finistere/brest/menaces-de-mort-nouvelle-plainte-contre-l-auteur-du-site-breiz-atao-01-12-2015-10870480.php

Menaces de mort. Nouvelle plainte contre l’auteur du site « Breiz Atao »

 

1 décembre 2015 / Steven Le Roy /

 

photo-steven-le-roy_2644761 dans Crime

 

Le militant syndical de Sud, Olivier Cuzon, a porté plainte, hier, contre le nationaliste breton, Boris Le Lay, pour menaces de mort. Par ailleurs, six des sept personnalités que Boris Le Lay avait « fichées » sur son blog, « Breiz Atao », ont écrit au procureur pour qu’il effectue la peine de six mois de prison à laquelle il est condamné.

 

Le nationaliste breton Boris Le Lay n’en a pas fini avec la justice. Après de multiples condamnations pour xénophobie, prononcées dans des affaires contre le sonneur Yannick Martin et la conseillère départementale Marie Gueye, il se pourrait qu’il retourne devant les tribunaux si la plainte du militant syndical et associatif, Olivier Cuzon, aboutit. Il y a quelques jours, Boris Le Lay, réputé comme vivant au Japon où il serait crêpier, a publié sur son blog, « Breiz Atao », un article sur le soutien apporté par Olivier Cuzon à l’élève tunisien, de Dupuy-de-Lôme, qui devait être reconduit à la frontière. Il a ensuite partagé cette prose sur son mur Facebook, laissant aux commentateurs le soin de menacer clairement de mort Olivier Cuzon à de multiples reprises. « Si l’auteur ne l’a pas fait directement, il est aussi maître de son mur et de ce qui s’y trouve. C’est pourquoi je porte plainte », fait valoir Olivier Cuzon, jugeant que Boris Le Lay « est le seul maître de sa ligne éditoriale ». D’autant « que rien ne dit qu’il n’est pas l’un des auteurs. On lui connaît cette faculté à se cacher derrière des pseudonymes. Mais ça, ce sera à l’enquête de le dire ». Une capture d’écran a été réalisée sous contrôle d’huissier.

empty dans Folie

Une fiche qui alerte

 

Sur les marches du commissariat, Olivier Cuzon n’est pas venu seul. Il a reçu l’appui du Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (Mrap) et de la Ligue des droits de l’homme. Il a également reçu le soutien de cinq autres personnes qui avaient déjà été les cibles du blog « Breiz Atao ». La charge date du 11 octobre. À la suite des deux manifestations simultanées sur la place de la Liberté ? l’une était menée par l’Adsav ! et l’autre, en réponse, par les antifas ? l’auteur de Breiz Atao a publié une « première note de renseignement sur les collaborateurs pro-islamistes de la ville ». Sept personnes sont passées au crible, pour le moins orienté, et empruntant une rhétorique chère aux nationalistes d’extrême-droite. En premier lieu, le même Olivier Cuzon, réputé « trotskiste » et dont l’activité est détaillée jusqu’à donner l’adresse où il tient une permanence associative. « Nous avons discuté avec des avocats pour savoir comment réagir. Mais il semble qu’il ait le droit d’écrire ce texte et nous ne voulions pas porter plainte pour rien », explique Julie Le Goïc, elle-même citée sur la note de blog.

« Que les décisions de justice s’appliquent »

 

Après réflexion, les personnes incriminées ont donc décidé de saisir le procureur par lettre. Ils demandent notamment que Boris Le Lay purge la peine de six mois de prison ferme prononcée par le tribunal de Quimper en mai. « On sait qu’il était là cet été, on sait qu’il revient fréquemment en Bretagne où vit sa famille. Nous sommes dans un État de droit, nous demandons simplement que les décisions de justice s’appliquent », disent-ils d’une seule voix. « En rendant publique cette lettre et cette plainte, je veux juste lui dire que je n’ai pas peur. Moi, je suis un militant syndical et associatif et je n’ai pas besoin de me cacher pour prendre position », termine Olivier Cuzon. La balle est désormais dans le camp de la justice.

 



Le fisc envisage de rémunérer ses informateurs

Cette pratique, ancienne, avait été abandonnée il y a dix ans en raison de dérives que je connais bien pour en avoir moi-même été victime de la part de bons amis de Josette Brenterch du NPA de Brest.

Après avoir vainement tenté de m’assassiner à plusieurs reprises, ces proxénètes et trafiquants d’armes s’étaient rendus coupables de dénonciations calomnieuses à mon encontre et contre tous mes proches auprès de l’administration fiscale. Certains de ses agents les avaient bien suivis et se sont acharnés sur nous durant plusieurs années sans que nous puissions jamais nous défendre contre eux, leurs exactions diverses et variées se succédant les unes aux autres pour faire échec à toutes nos réclamations, tandis que d’autres, au contraire, et au grand dam des premiers, manifestement CORROMPUS, refusaient de procéder à des redressements fiscaux arbitraires ou injustifiés.

Mais dans l’intervalle, après leurs premières attaques à mon encontre, ces criminels qui ont toujours fraudé le fisc avaient eux-mêmes été contrôlés et redressés pour des sommes très importantes.

Or, sous prétexte que j’ai travaillé pour le fisc à une époque où le ministre des Finances était déjà Michel Sapin, ils m’accusaient de les avoir dénoncés à l’administration fiscale en guise de représailles à la suite de leurs premières exactions à mon encontre, d’une gravité déjà très prononcée.

Voilà pourquoi leurs complices de la LCR de Brest m’ont toujours traitée de « délatrice ».

Mais je n’ai jamais dénoncé personne au fisc et ne vois pas comment j’aurais pu le faire en ce qui concerne ces malfrats, vu que je n’ai jamais travaillé dans aucun de leurs services comptables et n’y disposais d’aucun accès.

Délinquants et criminels sont quasiment tous paranoïaques et je n’y peux mais.

Accusée à tort par de vrais fraudeurs d’être ce que l’on appelle aujourd’hui un « lanceur d’alerte », non seulement je n’ai jamais bénéficié d’aucune sorte de protection à cet égard, mais de plus j’ai bien pâti de toutes leurs dénonciations calomnieuses à mon encontre, encouragées par l’ancien système de rémunération des informateurs du fisc.

Certains se réjouissent aujourd’hui que le débat avance sur ce sujet.

Mais il nécessite la réouverture de vieux dossiers purulents.

Ils ne peuvent pas en faire l’économie s’ils sont honnêtes.

Le déni de réalité ne permet aucun débat.

On n’avance pas sur le purin, il faut d’abord épurer.

 

http://www.la-croix.com/Actualite/France/Fraude-pourquoi-le-fisc-francais-projette-de-remunerer-ses-informateurs-2015-12-05-1389169

Fraude : pourquoi le fisc français projette de rémunérer ses informateurs

 

5/12/15 – 15 H 56

L’administration fiscale envisage de rémunérer les personnes fournissant des informations sur les fraudeurs fiscaux, a confirmé samedi 5 décembre le ministère des Finances. Un tel dispositif, qui reprendrait une pratique suspendue voilà dix ans, est « à l’étude », rapporte le quotidien Le Parisien/Aujourd’hui en France, citant le ministre des Finances Michel Sapin.

Le ministre précise en outre comment devraient être rétribuées les personnes fournissant des informations débouchant sur des redressements fiscaux: « en pourcentage (du montant global récupéré par le fisc, NDLR) non, mais une rémunération (forfaitaire, NDLR) oui. Tout ça doit être très calé en termes de procédures », ajoute le quotidien.

Le Parisien affirme que le projet pourrait être présenté au Parlement « au printemps prochain » dans le cadre de la loi Sapin 2. Cette pratique existait en France dans le passé et avait été suspendue il y a dix ans, car elle était mal encadrée.

Indics et chasseurs de primes

Auteur d’une proposition de loi relative à la protection des lanceurs d’alerte, le député socialiste Yann Galut fait part au Parisien de son inquiétude: « encourager les personnes à déclarer contre rémunération, c’est prendre le risque de créer de fausses alertes. Les indics ne doivent pas se transformer en chasseurs de primes ».

Au contraire, Vincent Drezet, secrétaire général de Solidaires Finances Publiques « se réjouit de voir que le débat avance. A partir du moment où c’est un mécanisme relativement protecteur sur le plan juridique, cela envoie un message aux entreprises et aux éventuels lanceurs d’alerte ». En matière de lutte contre la fraude, « l’accès à l’information est crucial », or l’administration fiscale peine aujourd’hui à « détecter la fraude le plus en amont possible », explique-t-il.

Le dirigeant du premier syndicat de Bercy admet toutefois qu’il faudra que le mécanisme soit « bien encadré pour éviter les dérives »: qu’il s’adresse uniquement « aux personnes qui, dans le cadre de leur activité professionnelle, ont connaissance de schémas de fraude » et qu’il revienne à l’administration fiscale de vérifier les éléments de preuve, afin d’éviter des manipulations.



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