Olivier Cuzon, militant de la « gauche radicale » brestoise

Les amis de Josette Brenterch du NPA de Brest n’ont jamais été et ne seront jamais des miens.

Leur inimitié à mon égard est publique en ce qui concerne tous les politiciens qu’elle fréquente puisqu’aucun d’entre eux n’a jamais condamné aucune de ses exactions à mon encontre.

Je rappelle que depuis de nombreuses années, cette femme me maintient dans une situation d’isolement quasi total notamment en orchestrant à mon encontre des campagnes de calomnies sans fin et sans cesse renouvelées de manière à m’interdire toute forme d’insertion sociale ou à réussir à me faire exclure très rapidement de tout groupe où je commence à m’insérer. Pour être en mesure de cibler au mieux les destinataires de ces calomnies et obtenir qu’elles produisent l’effet recherché, elle me fait constamment surveiller par divers moyens illégaux qui lui permettent d’appréhender ou de voir venir toutes mes relations avec des tiers sans que je lui en fasse part. En outre, pour parvenir à les faire cesser au plus vite ou empêcher qu’elles ne débutent, elle n’hésite pas non plus à faire menacer de mort ou violemment agresser par ses sbires toute personne qui refuse de lui obéir à mon sujet, comme moi-même.

Ses amis de l’extrême-gauche ne peuvent l’ignorer et savent aussi comme de très nombreuses autres personnes comment toutes ces exactions sont devenues partiellement publiques depuis les années 2008 à 2010. Pour autant, ils ne l’ont jamais exclue de leurs rangs. Ils en sont donc clairement complices.

Olivier Cuzon qui depuis quelques jours fait tout un foin de menaces de mort qui lui auraient été adressées sur la page Facebook d’un de ses opposants en fait partie.

J’avais eu l’occasion de le rencontrer à plusieurs reprises lorsque je participais aux activités de l’association AC ! Brest en 2004 et 2005.

Aussi, connaissant ses positions d’alors sur la question des droits de l’homme, qui étaient celles de ses camarades de la LCR, je m’étonne de les voir aujourd’hui le présenter comme un militant des droits de l’homme et par la même occasion paraître s’en revendiquer eux-mêmes.

En effet, comme le rappellent par ailleurs ses camarades de SUD Education, ils se sont toujours violemment opposés à toute notion de droit individuel, qu’ils qualifient d’individualisme dans leurs discours publics habituels.

A l’instar de leurs idoles soviétiques ou cubaines, ils s’opposent de manière dictatoriale aux libertés individuelles, et donc aux droits de l’homme. La liberté d’expression en faisant partie, il n’est pas surprenant de les voir régulièrement tenter de museler leurs adversaires par tous les moyens, légaux ou non, y compris les plus violents.

Que font-ils donc aujourd’hui à la LDH, sinon de l’entrisme et du contrôle, comme partout ailleurs ?

 

http://npa29.unblog.fr/2015/12/01/brest-un-militant-des-droits-de-lhomme-of/

01 décembre 2015

brest, un militant des droits de l’homme (of)

 
Antifascisme Antiracisme Justice & libertés Questions bretonnes

Yann_goulet

Le chef des « Bagadou Stourm (qui ont failli être « Strolladou Stourm » pour faire « ss »), un modèle pour les actuels « Breiz Atao »

Menacé de mort sur le Net

 

Sur la page Facebook d’un blogueur nationaliste breton, Olivier Cuzon, militant de l’association, subit des propos très violents. Il a porté plainte ce lundi.

 

« J’en appelle à la justice pour qu’elle fasse appliquer la loi. » Ce lundi, au commissariat, Olivier Cuzon, professeur de physique, a porté plainte pour menaces de mort contre la page Facebook de Boris Le Lay, blogueur finistérien, créateur du site internet nationaliste breton, Breiz Atao.

Le militant de la Ligue des droits de l’Homme, syndiqué à Sud Education, explique: «Suite à des articles concernant l’expulsion d’un jeune lycéen tunisien, je suis la cible d’atta- ques violentes de la part du Breiz Atao ». Il y est décrit comme « un traître trotskiste  immi- grationniste et pro-musulman»! Ce texte est repris sur la page Facebook «communauté» de Boris Le Lay, provoquant des commentaires virulents, dont des menaces de mort de certains internautes.

Déjà condamné Boris Le Lay, qui résiderait au Japon, a déjà été condamné plusieurs fois pour racisme. Ses propos contre le sonneur noir Yannick Martin lui avaient valu, en mai der- nier, une condamnation à six mois de prison ferme. Peine non exécutée à ce jour. Selon Olivier Cuzon, il aurait été « aperçu plusieurs fois, récemment », dans le Finistère

30 Novembre Laurence GUILMO

 

Reprise de :

 

http://www.ouest-france.fr/bretagne/brest-un-militant-menace-de-mort

Brest. Un militant des Droits de l’Homme menacé de mort sur le Net

Brest – 30 Novembre
  • Ce lundi, au commissariat, Olivier Cuzon a reçu le soutien d’autres militants associatifs, également « fichés » par les nationalistes bretons.
    Ce lundi, au commissariat, Olivier Cuzon a reçu le soutien d’autres militants associatifs, également « fichés » par les nationalistes bretons. | Ouest-France

Laurence GUILMO.

Sur la page Facebook d’un blogueur nationaliste breton, Olivier Cuzon, militant de l’association, subit des propos très violents. Il a porté plainte ce lundi.

 

« J’en appelle à la justice pour qu’elle fasse appliquer la loi. » Ce lundi, au commissariat, Olivier Cuzon, professeur de physique, a porté plainte pour menaces de mort contre la page Facebook de Boris Le Lay, blogueur finistérien, créateur du site internet nationaliste breton, Breiz Atao.

Le militant de la Ligue des droits de l’Homme, syndiqué à Sud Education, explique: « Suite à des articles concernant l’expulsion d’un jeune lycéen tunisien, je suis la cible d’attaques violentes de la part du Breiz Atao ». Il y est décrit comme « un traître trotskiste immigrationniste et pro-musulman » !


Menacé de mort sur le Net, Olivier Cuzon porte… par OuestFranceFR

Ce texte est repris sur la page Facebook « communauté » de Boris Le Lay, provoquant des commentaires virulents, dont des menaces de mort de certains internautes.

Déjà condamné

Boris Le Lay, qui résiderait au Japon, a déjà été condamné plusieurs fois pour racisme. Ses propos contre le sonneur noir Yannick Martin lui avaient valu, en mai dernier, une condamnation à six mois de prison ferme. Peine non exécutée à ce jour.

Selon Olivier Cuzon, il aurait été « aperçu plusieurs fois, récemment », dans le Finistère..

 

http://www.sudeducation.org/docrestreint.api/15237/82864f0fbbcb4730b5fcf24b5f9ece90c4eb6217/pdf/communique_olivier_cuzon.pdf.

Fédération SUD Éducation
17, Bld de la Libération, 93200 St Denis
Tél. : 01 42 43 90 09
fede@sudeducation.org ∎ www.sudeducation.org

 

Face aux tentatives d’intimidation et aux menaces de l’extrême droite

Soutenons notre camarade !

Notre camarade Olivier Cuzon, avec d’autres militant-e-s politiques et syndicaux brestois-e-s, est depuis plusieurs semaines, la cible d’at- taques extrêmement violentes de la part d’un site « nationaliste breton » Breiz Atao.

Il fait l’objet d’un « fichage de résistance patriotique » de la part de ce mouvement d’extrême droite fascisant.

Depuis quelques jours, ces attaques ont été doublées de menaces de mort via la page Facebook du responsable de ce site. Ce dernier, Boris Le Lay a pourtant déjà été condamné à de multiples reprises pour des propos racistes et antisémites, et à une peine de prison de 6 mois ferme pour « provocation à la discrimination raciale ». Ces menaces et intimidations sont inacceptables. Nous les condamnons avec force.

La fédération SUD éducation apporte tout son soutien à notre camarade et engagera toutes les procédures nécessaires à ses côtés pour que cessent ces agissements et tentatives d’intimidation.

Dans un contexte où les idées haineuses de l’extrême droite ont le vent en poupe, la justice doit prendre ses responsabilités et condamner ces tentatives de museler les militant-e-sengagé-e-s.

Nos luttes syndicales, les valeurs de solidarité et d’égalité contre le tri social et l’individualisme, sont à l’opposé des idées et des pratiques de ces groupes fascisants.

Notre combat est aux cotés de ceux et celles qui luttent contre tous les groupes d’extrême droite !

Saint Denis le 4 décembre 2015



A Brest, un bras cassé de Sud-Solidaires porte plainte

Excusez-moi si je ris un peu, hein, mais c’est exactement l’image que vous diffusez avec ces articles de votre copain Steven Le Roy, messieurs dames de la « gauche radicale » brestoise.

Pour ce qui est du fond, c’est comme d’habitude : votre obstination à priver vos opposants de leur liberté d’expression à votre sujet par tous les moyens possibles et imaginables – en l’occurrence, demander l’application de la loi dans des affaires qui ne concernent aucun d’entre vous à titre personnel – est à vomir, surtout quand on sait ce que vous faites vous-mêmes avec les cyberdélinquants de la bande de Cyprien Luraghi, et bien d’autres criminels.

Au demeurant, il est toujours assez paradoxal que vous saisissiez dans ce cas la « justice bourgeoise » que vous reniez systématiquement lorsqu’elle daigne écouter les victimes auxquelles vous empêchez toujours tout accès au droit par de multiples crimes et délits supplémentaires.

 

http://www.letelegramme.fr/bretagne/brest-plainte-nominative-contre-boris-le-lay-30-11-2015-10869839.php

 
Brest. Plainte nominative contre Boris Le Lay

30 novembre 2015 à 16h56


Brest. Plainte nominative contre Boris Le Lay par Letelegramme

 

Olivier Cuzon, militant syndical de Sud, a porté plainte contre Boris Le Lay pour des menaces de mort qu’il aurait reçues via le mur Facebook de Boris Le Lay, reprenant un article écrit sur son site Breizh Atao.

 

« Boris Le Lay est propriétaire de ce mur et la jurisprudence est constante. S’il ne me menace pas directement, plusieurs commentaires le font très clairement »‘ explique celui qui n’entend pas céder à la peur.

A Brest, un bras cassé de Sud-Solidaires porte plainte dans Corruption

Par ailleurs, le même site Breizh Atao avait déjà publié des contenus à la suite d’une manifestation qui avait opposé l’Adsav aux antifas dans les rues de Brest en octobre.

Le 11, il avait notamment publié une première  » note de renseignements sur les collaborateurs pro-islamistes de la ville  » de Brest où figuraient 7 personnes.

Dans un courrier adressé au procureur, six d’entre-eux demandent instamment à la justice de faire le nécessaire pour retrouver Boris Le Lay afin qu’il purge la peine de six mois de prison ferme prononcé par le tribunal correctionnel de Quimper en mai dernier, à la suite d’insultes à caractère raciste proférées contre un musicien de couleur noire.

 

http://www.letelegramme.fr/finistere/brest/menaces-de-mort-nouvelle-plainte-contre-l-auteur-du-site-breiz-atao-01-12-2015-10870480.php

Menaces de mort. Nouvelle plainte contre l’auteur du site « Breiz Atao »

 

1 décembre 2015 / Steven Le Roy /

 

photo-steven-le-roy_2644761 dans Crime

 

Le militant syndical de Sud, Olivier Cuzon, a porté plainte, hier, contre le nationaliste breton, Boris Le Lay, pour menaces de mort. Par ailleurs, six des sept personnalités que Boris Le Lay avait « fichées » sur son blog, « Breiz Atao », ont écrit au procureur pour qu’il effectue la peine de six mois de prison à laquelle il est condamné.

 

Le nationaliste breton Boris Le Lay n’en a pas fini avec la justice. Après de multiples condamnations pour xénophobie, prononcées dans des affaires contre le sonneur Yannick Martin et la conseillère départementale Marie Gueye, il se pourrait qu’il retourne devant les tribunaux si la plainte du militant syndical et associatif, Olivier Cuzon, aboutit. Il y a quelques jours, Boris Le Lay, réputé comme vivant au Japon où il serait crêpier, a publié sur son blog, « Breiz Atao », un article sur le soutien apporté par Olivier Cuzon à l’élève tunisien, de Dupuy-de-Lôme, qui devait être reconduit à la frontière. Il a ensuite partagé cette prose sur son mur Facebook, laissant aux commentateurs le soin de menacer clairement de mort Olivier Cuzon à de multiples reprises. « Si l’auteur ne l’a pas fait directement, il est aussi maître de son mur et de ce qui s’y trouve. C’est pourquoi je porte plainte », fait valoir Olivier Cuzon, jugeant que Boris Le Lay « est le seul maître de sa ligne éditoriale ». D’autant « que rien ne dit qu’il n’est pas l’un des auteurs. On lui connaît cette faculté à se cacher derrière des pseudonymes. Mais ça, ce sera à l’enquête de le dire ». Une capture d’écran a été réalisée sous contrôle d’huissier.

empty dans Folie

Une fiche qui alerte

 

Sur les marches du commissariat, Olivier Cuzon n’est pas venu seul. Il a reçu l’appui du Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (Mrap) et de la Ligue des droits de l’homme. Il a également reçu le soutien de cinq autres personnes qui avaient déjà été les cibles du blog « Breiz Atao ». La charge date du 11 octobre. À la suite des deux manifestations simultanées sur la place de la Liberté ? l’une était menée par l’Adsav ! et l’autre, en réponse, par les antifas ? l’auteur de Breiz Atao a publié une « première note de renseignement sur les collaborateurs pro-islamistes de la ville ». Sept personnes sont passées au crible, pour le moins orienté, et empruntant une rhétorique chère aux nationalistes d’extrême-droite. En premier lieu, le même Olivier Cuzon, réputé « trotskiste » et dont l’activité est détaillée jusqu’à donner l’adresse où il tient une permanence associative. « Nous avons discuté avec des avocats pour savoir comment réagir. Mais il semble qu’il ait le droit d’écrire ce texte et nous ne voulions pas porter plainte pour rien », explique Julie Le Goïc, elle-même citée sur la note de blog.

« Que les décisions de justice s’appliquent »

 

Après réflexion, les personnes incriminées ont donc décidé de saisir le procureur par lettre. Ils demandent notamment que Boris Le Lay purge la peine de six mois de prison ferme prononcée par le tribunal de Quimper en mai. « On sait qu’il était là cet été, on sait qu’il revient fréquemment en Bretagne où vit sa famille. Nous sommes dans un État de droit, nous demandons simplement que les décisions de justice s’appliquent », disent-ils d’une seule voix. « En rendant publique cette lettre et cette plainte, je veux juste lui dire que je n’ai pas peur. Moi, je suis un militant syndical et associatif et je n’ai pas besoin de me cacher pour prendre position », termine Olivier Cuzon. La balle est désormais dans le camp de la justice.

 



Le fisc envisage de rémunérer ses informateurs

Cette pratique, ancienne, avait été abandonnée il y a dix ans en raison de dérives que je connais bien pour en avoir moi-même été victime de la part de bons amis de Josette Brenterch du NPA de Brest.

Après avoir vainement tenté de m’assassiner à plusieurs reprises, ces proxénètes et trafiquants d’armes s’étaient rendus coupables de dénonciations calomnieuses à mon encontre et contre tous mes proches auprès de l’administration fiscale. Certains de ses agents les avaient bien suivis et se sont acharnés sur nous durant plusieurs années sans que nous puissions jamais nous défendre contre eux, leurs exactions diverses et variées se succédant les unes aux autres pour faire échec à toutes nos réclamations, tandis que d’autres, au contraire, et au grand dam des premiers, manifestement CORROMPUS, refusaient de procéder à des redressements fiscaux arbitraires ou injustifiés.

Mais dans l’intervalle, après leurs premières attaques à mon encontre, ces criminels qui ont toujours fraudé le fisc avaient eux-mêmes été contrôlés et redressés pour des sommes très importantes.

Or, sous prétexte que j’ai travaillé pour le fisc à une époque où le ministre des Finances était déjà Michel Sapin, ils m’accusaient de les avoir dénoncés à l’administration fiscale en guise de représailles à la suite de leurs premières exactions à mon encontre, d’une gravité déjà très prononcée.

Voilà pourquoi leurs complices de la LCR de Brest m’ont toujours traitée de « délatrice ».

Mais je n’ai jamais dénoncé personne au fisc et ne vois pas comment j’aurais pu le faire en ce qui concerne ces malfrats, vu que je n’ai jamais travaillé dans aucun de leurs services comptables et n’y disposais d’aucun accès.

Délinquants et criminels sont quasiment tous paranoïaques et je n’y peux mais.

Accusée à tort par de vrais fraudeurs d’être ce que l’on appelle aujourd’hui un « lanceur d’alerte », non seulement je n’ai jamais bénéficié d’aucune sorte de protection à cet égard, mais de plus j’ai bien pâti de toutes leurs dénonciations calomnieuses à mon encontre, encouragées par l’ancien système de rémunération des informateurs du fisc.

Certains se réjouissent aujourd’hui que le débat avance sur ce sujet.

Mais il nécessite la réouverture de vieux dossiers purulents.

Ils ne peuvent pas en faire l’économie s’ils sont honnêtes.

Le déni de réalité ne permet aucun débat.

On n’avance pas sur le purin, il faut d’abord épurer.

 

http://www.la-croix.com/Actualite/France/Fraude-pourquoi-le-fisc-francais-projette-de-remunerer-ses-informateurs-2015-12-05-1389169

Fraude : pourquoi le fisc français projette de rémunérer ses informateurs

 

5/12/15 – 15 H 56

L’administration fiscale envisage de rémunérer les personnes fournissant des informations sur les fraudeurs fiscaux, a confirmé samedi 5 décembre le ministère des Finances. Un tel dispositif, qui reprendrait une pratique suspendue voilà dix ans, est « à l’étude », rapporte le quotidien Le Parisien/Aujourd’hui en France, citant le ministre des Finances Michel Sapin.

Le ministre précise en outre comment devraient être rétribuées les personnes fournissant des informations débouchant sur des redressements fiscaux: « en pourcentage (du montant global récupéré par le fisc, NDLR) non, mais une rémunération (forfaitaire, NDLR) oui. Tout ça doit être très calé en termes de procédures », ajoute le quotidien.

Le Parisien affirme que le projet pourrait être présenté au Parlement « au printemps prochain » dans le cadre de la loi Sapin 2. Cette pratique existait en France dans le passé et avait été suspendue il y a dix ans, car elle était mal encadrée.

Indics et chasseurs de primes

Auteur d’une proposition de loi relative à la protection des lanceurs d’alerte, le député socialiste Yann Galut fait part au Parisien de son inquiétude: « encourager les personnes à déclarer contre rémunération, c’est prendre le risque de créer de fausses alertes. Les indics ne doivent pas se transformer en chasseurs de primes ».

Au contraire, Vincent Drezet, secrétaire général de Solidaires Finances Publiques « se réjouit de voir que le débat avance. A partir du moment où c’est un mécanisme relativement protecteur sur le plan juridique, cela envoie un message aux entreprises et aux éventuels lanceurs d’alerte ». En matière de lutte contre la fraude, « l’accès à l’information est crucial », or l’administration fiscale peine aujourd’hui à « détecter la fraude le plus en amont possible », explique-t-il.

Le dirigeant du premier syndicat de Bercy admet toutefois qu’il faudra que le mécanisme soit « bien encadré pour éviter les dérives »: qu’il s’adresse uniquement « aux personnes qui, dans le cadre de leur activité professionnelle, ont connaissance de schémas de fraude » et qu’il revienne à l’administration fiscale de vérifier les éléments de preuve, afin d’éviter des manipulations.



Un dangereux terroriste à l’Université de Nice Sophia Antipolis

Les dangereux terroristes inscrits sur le blog de Cyprien Luraghi comptent au moins deux membres résidant à Nice ou à proximité, celui de Saint-Laurent-du-Var, et celui-ci :

 

Host Name: cepam86.unice.fr Navigateur : Firefox 42.0
Adresse IP : 134.59.79.86 Système d’exploitation : Win7
Emplacement : Nice, Provence-alpes-cote D’azur, France Résolution : 1920×1080
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Durée de la visite : Non applicable FAI : Universite De Nice Sophia Antipolis

 

 
Qui est-il ? Que fait-il dans la vie ? Etudiant ? Professeur ? Autre employé de l’université ?



Nouveau témoignage dans l’affaire de l’attentat de Karachi

Révélée au public vendredi 13 novembre 2015 à la première heure, cette information a été vite éclipsée par les nouveaux attentats commis le soir même.

Notons que dans l’article publié par l’Obs à ce sujet, le nom de « Verger », pseudonyme d’un agent de la DST, a été remplacé deux fois par celui de « Verdier ».

Probablement s’agit-il là d’une facétie de journaliste.

Le nom de Verdier est en fait celui de la juge d’instruction brestoise ultra CORROMPUE qui de 2012 à 2014 a multiplié les violations éhontées de tous les articles de loi auxquels elle était censée se référer pour instruire mes plaintes.

Sachant très bien quelles étaient mes fonctions sur un projet classé de la Défense nationale en 1994, et toutes les attaques que je subissais alors de la part de criminels en relation avec Josette Brenterch du NPA de Brest, tentatives d’assassinat y compris, lesquelles attaques se sont depuis lors toujours poursuivies, elle cherchait visiblement à obtenir un non-lieu dans l’affaire de l’attentat de Karachi du 8 mai 2002.

 

http://www.franceinter.fr/depeche-nouvelles-revelations-sur-lattentat-de-karachi

Dépêches > justice du vendredi 13 Novembre à 11H00

 

Nouvelles révélations sur l’attentat de Karachi

 

Nouveau témoignage dans l'affaire de l'attentat de Karachi dans Attentats maxnewsworldtwo126316La stèle érigée en mémoire aux victimes de l’attentat de Karachi à Cherbourg © MaxPPP/L’Est Républicain/Alexandre Marchi – 2015

« L’homme de l’ombre » de l’affaire Karachi était bien dans le radar des services secrets français. C’est une information France Inter/Le Monde. Des documents récemment déclassifiés permettent d’en savoir un peu plus sur le possible commanditaire de l’attentat de Karachi (11 français employés de la Direction des constructions navales, tués au Pakistan, le 8 mai 2002), le saoudien Ali Ben Moussalem. Officiellement, les services secrets français n’ont jamais travaillé sur cet « homme de l’ombre » de l’affaire Karachi. Or, pour la première fois, un ancien membre de la DST (Direction de la surveillance du territoire) reconnait avoir enquêté sur ce Ben Moussalem avant la présidentielle de 1995.

 

Ali Ben Moussalem est un peu « le fantôme de l’affaire Karachi ». Mort en 2004, en Suisse, ce sulfureux intermédiaire saoudien se trouve au cœur de « l’argent noir » des gros contrats d’armements conclus par les balladuriens avant la présidentielle de 95. La vente de sous-marins au Pakistan et de frégates à l’Arabie Saoudite. Après la victoire de Jacques Chirac en 95, une partie de « l’argent noir » de ces contrats est réorienté, échappe à Ben Moussalem, qui aurait pu vouloir se venger.

 

POUR EN SAVOIR PLUS :

Ali Ben Moussalem, le fantome de l’affaire Karachi

Ben Moussalem, l’homme de l’ombre de l’affaire Karachi

 

Ecoutez les explications de Benoît Collombat

 

 

 

Officiellement, les services secrets français n’ont jamais enquêté sur Ben Moussalem

Pourtant, au moment de l’attentat de Karachi, Ben Moussalem finance des mouvements djihadistes. Or, pour la première fois, un ancien membre de la DST (Direction de la surveillance du territoire) reconnait que les « services »  ont bien enquêté sur Ben Mussalem, suite aux informations données par l’une de leurs sources, un certain Gérard Willing, qui, lui aussi, a été entendu dans la procédure judiciaire.

 

Le témoignage écrit de cet ex-agent, dont le nom de code est « Verger », a été entièrement déclassifié, après le feu vert du ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve. L’homme confirme également que la DST suivait à la trace les rencontres entre Ben Mussalem et les balladuriens, dans une boutique, en plein Paris.

 

Lire un extrait du témoignage de l’agent « Verger » en poste à la DST de 1969 à 2002 :

En 1994-1995, je me suis intéressé aux activités de Cheikh Ali Ben Moussalem et de son bras droit Ziad Takieddine. Gérard Willing m’avait indiqué que la boutique Arije était une plaque tournante de trafic en tout genre et d’armes en particulier.

La DST a placé cette boutique sous surveillance. A notre grande surprise, sa campagne électorale étant lancée, nous avons observé que des membres du Parti républicain de F. Léotard se rendaient dans l’immeuble abritant Arije. Selon G. Willing, Arije bénéficiait d’un réseau de prostituées qui recevaient leurs clients dans des studios munis de caméras et de magnétophones.

P. Donnedieu de Vabres aurait rencontré Cheickh Ali Ben Moussalem à l’hôtel prince de Galles. Ce dernier lui aurait remis deux valises, pleines, selon G. Willing, d’argent. P. Donnedieu de Vabres aurait alors remercié Ben Moussalem en lui disant : « Merci pour la France, on vous le rendra ».

 

Pour l’avocate de victimes de l’attentat de Karachi, Marie Dosé, ce témoignage est la preuve que des documents concernant Ben Mussalem ont été détruits…

Non seulement les « services » ont travaillé sur Ben Mussalem, en effectuant des surveillances techniques, mais ils ont également découvert un lien entre Ben Moussalem et certains membres du Parti républicain qui travaillaient pour la campagne d’Edouard Balladur. Ce genre de surveillance donne toujours lieu à un document classifié. Les « services » nous ont menti en nous disant qu’ils n’avaient jamais travaillé sur Ben Moussalem. Quand on demande la déclassification des informations écrites sur Ben Moussalem, ils nous répondent qu’il n’y a pas de documents. Mais ce n’est pas parce que les services n’ont jamais travaillé sur Ben Moussalem, c’est parce que ces documents ont probablement été détruits après l’élection de Jacques Chirac, en 95 ! 

 

En revanche, tous les responsables des services de renseignement qui témoignent dans le volet terroriste de l’affaire Karachi, instruit jusqu’ici par le juge Marc Trévidic, disent n’avoir aucune information particulière sur Ben Moussalem.

 

Il s’agit de Raymond Nart (membre de la DST de 1964 à 1997), de Jean-Jacques Pascal (directeur de la DST de 1997 à 2002) et de Eric Bellemin-Comte (affecté à la DST en octobre 2001, aujourd’hui conseiller auprès du Coordinateur pour le renseignement à l’Elysée).

13 Novembre 2015 à 11:00

 

 

http://www.lemonde.fr/police-justice/article/2015/11/13/attentat-de-karachi-le-temoignage-qui-revele-les-dissimulations-de-la-dst_4808707_1653578.html

Attentat de Karachi : le témoignage qui révèle les mensonges de la DST

 

Le Monde.fr | 13.11.2015 à 06h52 • Mis à jour le 13.11.2015 à 13h10 | Par Soren Seelow

 

Sur les lieux de l'attentat de Karachi, le 8 mai 2002.

Personne ne connaît son nom. Dans le dossier d’instruction de l’attentat de Karachi, qui a fait quinze morts dont onze employés français de la Direction des constructions navales (DCN) le 8 mai 2002 au Pakistan, il apparaît sous son seul alias : « Verger ». Verger est un ancien agent de la Direction de surveillance du territoire (DST), l’ancêtre de la DGSI. Il n’avait encore jamais été entendu par la justice. C’est désormais chose faite. A la faveur d’un tour de passe-passe inédit, les magistrats instructeurs sont parvenus à contourner le secret-défense qui leur est opposé depuis le début de cette enquête.

 

DEPUIS 2009, LE JUGE MARC TRÉVIDIC CHERCHE À SAVOIR SI LE MOBILE POLITICO-FINANCIER A ÉTÉ VOLONTAIREMENT ÉTOUFFÉ AU PROFIT DE LA PISTE ISLAMISTE

 
Le témoignage de Verger, que Le Monde a pu consulter, a été déclassifié par le ministre de l’intérieur, Bernard Cazeneuve, le 23 octobre. Il vient confirmer des informations longtemps tues par les responsables des services de renseignement : la DST, chargée en 2002 de l’enquête sur l’attentat, avait bel et bien travaillé dès les années 1990 sur un certain Ali Ben Moussalem, aujourd’hui considéré comme un personnage clé de l’affaire.

Depuis 2009, le juge Marc Trévidic – chargé de l’enquête jusqu’à son départ du pôle antiterroriste en août 2015 – cherche à savoir si la DST a enquêté sur cet homme et le lui a caché. En d’autres termes si le mobile politico-financier a été volontairement étouffé au profit de la piste islamiste. Les anciens responsables des services qu’il a auditionnés sur ce sujet se sont systématiquement retranchés derrière le secret-défense. Et ses innombrables requêtes en déclassification concernant Ali Ben Moussalem se sont jusqu’ici heurtées à la même réponse : la DGSI, qui a succédé à la DST, ne retrouve aucune trace de ce travail dans ses armoires.

Ce cheikh saoudien était à la tête d’un réseau d’intermédiaires – dont faisait partie Ziad Takieddine – imposé par le gouvernement Balladur dans plusieurs marchés d’armement en 1994 : la vente des sous-marins français Agosta au Pakistan et des frégates Sawari II à l’Arabie saoudite. Il est le pivot de la thèse selon laquelle l’attentat serait une mesure de rétorsion après l’interruption des commissions prévues par ces contrats. Quelques mois après son accession à la présidence de la République en 1995, Jacques Chirac avait décidé de mettre fin aux versements, qu’il soupçonnait d’avoir financé la campagne de l’ancien premier ministre devenu son rival dans la course à l’Elysée.

Ali Ben Moussalem – qui est mort en 2004 – est considéré comme la principale victime de cette décision, avec un préjudice estimé à 120 millions d’euros. Ses connexions avec les services secrets pakistanais et la mouvance terroriste en font, pour les tenants de la thèse politico-financière, un suspect potentiel.

Lire aussi : Attentat de Karachi : comment Bernard Cazeneuve a permis de contourner le secret-défense

« Merci pour la France, elle vous le rendra »

Le témoignage de Verger ne suffit pas à étayer le mobile financier de l’attentat. Il confirme en revanche que le renseignement intérieur a bien observé des transactions entre Ben Moussalem et des membres du gouvernement Balladur dans les années 90. La scène qu’il relate a été immortalisée par des « sous-marins » de la DST, des véhicules placés devant la boutique Arije – qui occupait le rez-de-chaussée de la permanence de campagne de Balladur à Paris – en face de l’hôtel Prince de Galles, propriété de Ben Moussalem :

« En 1994-1995, je me suis intéressé aux activités de cheikh Ali Ben Moussalem et de son bras droit, Ziad Takieddine. Gérard Willing [le correspondant de la DST dont Verger était l’officier traitant] m’avait indiqué que la boutique Arije était une plaque tournante de trafics en tout genre et d’armes en particulier. La DST a placé cette boutique sous surveillance. A notre grande surprise, la campagne électorale étant lancée, nous avons observé que des membres du parti républicain de François Léotard [ministre de la défense du gouvernement Balladur] se rendaient dans l’immeuble abritant Arije. (…) Donnedieu de Vabres [chargé de mission auprès de François Léotard] aurait rencontré Ben Moussalem à l’hôtel Prince de Galles. Ce dernier lui aurait remis deux valises, pleines, selon Gérard Willing, d’argent. Donnedieu de Vabres aurait alors remercié Ben Moussalem en lui disant : Merci pour la France, elle vous le rendra. »

Aucune trace de cette surveillance n’a été retrouvée dans les archives de la DGSI. Ce témoignage tend ainsi à confirmer les soupçons des parties civiles, convaincues depuis des années que l’appareil d’Etat leur cache la vérité. « Soit la DGSI ment à la justice et à son ministre de tutelle, soit les souvenirs de cet épisode peu reluisant de la rivalité entre Chirac et Balladur ont été détruits », explique Me Marie Dosé, avocate de plusieurs parties civiles.

Durant les sept premières années de l’instruction, une seule piste a été creusée par la DST : celle d’un attentat perpétré par la nébuleuse Al-Qaida. Il faudra attendre 2008 – et la divulgation par la presse d’un rapport confidentiel commandé par la DCN dès septembre 2002, le rapport « Nautilus » – pour que la piste d’une vengeance liée à l’arrêt des commissions s’impose comme une alternative.

Lire aussi : Affaire de Karachi : si vous avez raté un épisode

Pendant six ans, le juge Marc Trévidic se heurtera au secret-défense opposé par les témoins qu’il auditionne. Faisant suite à de multiples demandes d’actes déposées par Me Dosé, il requiert en 2012, 2013 et 2014 la déclassification des notes de la DST sur Ben Moussalem. Il n’obtiendra qu’un seul document : l’analyse d’un article du quotidien suisse Le Temps, copieusement caviardée et ne présentant aucun intérêt pour l’enquête.

Les déclarations de Verger confirment – pour partie – celles du seul acteur de ce dossier à s’être montré prolixe sur le travail réalisé par la DST durant cette période : Gérard Willing. Cet « honorable correspondant » de la DST a affirmé dans le bureau du juge, le 28 janvier 2013, avoir enquêté sur Ben Moussalem dès 1994 et en avoir rendu compte à Verger, son officier traitant. Il précisait encore avoir transmis une note étayant la piste politico-financière cinq jours après l’attentat.

« Non – Non plus – Non plus – Non »

Son témoignage a depuis été régulièrement contesté – voire discrédité – par plusieurs anciens responsables de la DST. Aucune trace de son travail n’a jamais été retrouvée. Afin de vérifier ses assertions, le juge Trévidic a envoyé le 6 mai des questionnaires à remettre à cinq témoins qu’il n’avait pu entendre ou qui s’étaient retranchés derrière le secret-défense. Les réponses à ces formulaires ont été envoyées directement au ministre de l’intérieur – sans passer par le cabinet du juge – afin que le secret-défense ne puisse lui être opposé. A charge ensuite pour le ministre de les classifier, pour les déclassifier dans la foulée, ce qui est chose faite depuis le 23 octobre.

Les destinataires de ces questionnaires étaient : Jean-Louis Gergorin (ancien directeur de la stratégie du groupe Matra), Raymond Nart (ancien directeur adjoint de la DST), Eric Bellemin-Comte (ancien chef du service de la DST chargé des contacts avec Gérard Willing), Jean-Jacques Pascal (ancien directeur de la DST) et le fameux Verger. Le seul à avoir fait état dans ses réponses d’un travail sur Ben Moussalem est celui dont l’identité demeure à ce jour un mystère. Interrogé sur l’existence de cet agent, l’ancien directeur adjoint de la DST, Raymond Nart, affirme pourtant que l’alias « Verger » ne lui évoque « aucun souvenir ».

Eric Bellemin-Comte – aujourd’hui conseiller auprès du coordinateur national du renseignement à l’Elysée – continue lui aussi d’assurer que, « de mémoire », aucun travail n’a été effectué sur Ben Moussalem par son service. Quant à Jean-Jacques Pascal, ses réponses sont une succession de variations lapidaires sur le thème de la négation :

« J’ignore tout de Monsieur Gérard Willing – Non – Non plus – Non plus – Non – J’en ignore tout – Je ne connais pas le Cheikh Ali Ben Moussalem – Rien – Non. »

Treize ans après les faits, cet ancien patron de la DST continue de se dire convaincu, « à tort ou à raison », que l’attentat est le fait de « la mouvance taliban ».

 

 Soren Seelow

  • Journaliste

 

 
http://tempsreel.nouvelobs.com/justice/20151113.OBS9364/attentat-de-karachi-les-secrets-de-la-dst-se-devoilent.html

Attentat de Karachi : les secrets de la DST se dévoilent

L' Obs

Publié le 13-11-2015 à 10h34

Selon un ex-agent de la DST, le contre-espionnage a bien enquêté sur un certain Ali Ben Moussalem après l’attentat de Karachi.

 

Cérémonie en hommage aux victimes de l'attentat de Karachi perpétré en 2002, en présence de Bernard Cazeneuve, le 8 mai 2015, à Cherbourg. (AFP PHOTO/CHARLY TRIBALLEAU)Cérémonie en hommage aux victimes de l’attentat de Karachi perpétré en 2002, en présence de Bernard Cazeneuve, le 8 mai 2015, à Cherbourg. (AFP PHOTO/CHARLY TRIBALLEAU)

 

En 2002, l’attentat de Karachi tuait 15 personnes, dont 11 ouvriers français de la Direction des constructions navales. Une des thèses est celle de la piste islamiste, mais une autre étudie le mobile politico-financier. A savoir une attaque ourdie en représailles à une décision de mettre un terme au versement des commissions, prise par Jacques Chirac, adversaire politique d’Edouard Balladur.

Or, parmi les témoignages d’ex-agents de la direction de la Surveillance du territoire (DST) qui viennent d’être déclassifiés, l’un fournit des éléments susceptibles de corroborer cette dernière thèse, indique « Le Monde », vendredi 13 novembre.

Le témoignage d’un certain « Verger », que le quotidien a pu consulter, « vient confirmer des informations longtemps tues par les responsables des services de renseignement : la DST, chargée en 2002 de l’enquête sur l’attentat, avait bel et bien travaillé dès les années 1990 sur un certain Ali Ben Moussalem, aujourd’hui considéré comme un personnage clé de l’affaire. »

Ben Moussalem, un cheick saoudien à la tête d’un réseau d’intermédiaires

Qui est cet Ali Ben Moussalem ? « Le Monde » le présente comme un « cheikh saoudien [...] à la tête d’un réseau d’intermédiaires - dont faisait partie Ziad Takieddine. « Ses connexions avec les services secrets pakistanais et la mouvance terroriste en font, pour les tenants de la thèse politico-financière, un suspect potentiel », selon le journal qui précise que Ben Moussalem est mort en 2004.

En planque devant la boutique Arije à Paris, « Verdier » assure avoir « observé que des membres du parti républicain de François Léotard [ministre de la défense du gouvernement Balladur] se rendaient dans l’immeuble ».

Citant son supérieur, Gérard Willing, « Verdier » évoque même la remise de valises pleines par Ben Moussalem à Donnedieu de Vabres [alors chargé de mission auprès de François Léotard].

Donnedieu de Vabres aurait alors remercié Ben Moussalem en lui disant : « Merci pour la France, elle vous le rendra », déclare Verdier, comme le rapporte  »Le Monde ».

« Verger » n’est pas le vrai nom de l’agent, mais son alias, précise « Le Monde », qui rappelle les difficultés rencontrées par le juge Marc Trévidic - chargé de l’enquête jusqu’à son départ du pôle antiterroriste en août 2015 - pour que soient déclassifiés les souvenirs d’anciens agents de l’ex-Direction de la surveillance du territoire.

E.H. (avec AFP)



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