Je décline toute responsabilité quant aux mentions qui s'affichent dans les cinq lignes ci-dessus du pavé "Recherchez aussi" sur lequel je n'ai aucun contrôle.
Mes statistiques sont bloquées depuis le 2 février 2015.
7 février 2015
Mes statistiques sont de retour, tout fonctionne.
16 février 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 12 février.
22 février 2015
Mes statistiques "basiques" ont été débloquées hier soir après la publication de mon dernier article concernant NEMROD34. Belle reprise simultanée de l'activité du Chinois.
23 février 2015
Statistiques "basiques" toujours sujettes à blocages : le 21 février au soir, à peine étaient-elles débloquées, puis à nouveau hier, 22 février, à peine étaient-elles débloquées.
24 février 2015
Statistiques "basiques" débloquées. Pas de nouveau pic d'activité du Chinois depuis le 21 février.
25 février 2015
Je n'ai pas mes statistiques "basiques" du jour, ça bloque encore... et Justinpetitcoucou est toujours bloqué depuis le 8 février... Faudrait penser à le débloquer, lui aussi, il y a du laisser-aller, là...
26 février 2015
Statistiques "basiques" des deux blog débloquées. Merci pour Justin, il était temps !
27 février 2015
Statistiques "basiques" des deux blogs de nouveau bloquées depuis le 26 février. Ce petit jeu pourrait-il cesser ? On n'en voit pas l'intérêt... Complément de 22 h: merci de m'avoir rendu ces statistiques !
25 mars 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 20 mars.
26 mars 2015
Merci de m'avoir débloqué mes statistiques "basiques". Encore une fois, je ne vois pas l'intérêt de ce petit jeu. Ce serait aussi bien de cesser de bloquer ces statistiques pour oublier de les débloquer jusqu'à ce que j'aie signalé le problème.
31 mars 2015
Merci de bien vouloir me débloquer les statistiques "basiques" de Justinpetitcoucou, restées bloquées depuis le 14 mars - cf. avis du 25 mars sur Justin.
2 avril 2015
Merci de m'avoir rendu les statistiques de Justin.
7 mai 2015
Je n'ai plus de statistiques depuis deux jours, ni "basiques" ni "avancées".
10 mai 2015
Retour des statistiques "basiques". Merci. Manquent encore les statistiques "avancées".
14 mai 2015
Toutes mes statistiques sont de retour depuis hier. Merci.
3 octobre 2015
Depuis hier, les compteurs de mes statistiques avancées sont tous à zéro. Merci de me les rendre.
Les informations parviennent au public dans le même désordre que celui constaté lors des agressions.
L’Allemagne n’est pas le seul pays concerné.
En Finlande, la police dit avoir reçu des informations selon lesquelles des agressions contre des femmes auraient été planifiées au Nouvel An.
Si les Français autorisés à s’exprimer dans la sphère publique ou à commenter les articles de sites d’information comme Rue89 ne sont pas plus « coincés » que certains migrants, en revanche les Allemands le sont et le manifestent.
Leur chancelière Angela Merkel aussi, qui s’est prononcée ce samedi 9 janvier 2016 en faveur d’un très net durcissement des règles d’expulsion de demandeurs d’asile condamnés par la justice, l’autorisant même pour ceux condamnés à une peine avec sursis.
Les 9 Algériens figurant parmi les suspects identifiés à ce jour après les violences commises le soir du Nouvel An à Cologne sont en majorité des réfugiés, a affirmé hier le gouvernement allemand, qui réfléchit à un durcissement du régime des expulsions.
Selon un porte-parole du ministère de l’Intérieur, la police fédérale effectue des vérifications sur 31 suspects, dont 18 demandeurs d’asile, pour des violences et vols survenus le soir de la Saint-Sylvestre dans la ville rhénane (ouest). Ce groupe de personnes comprend, en plus des 9 Algériens, 8 Marocains, 4 Syriens, 5 Iraniens, un Irakien et un Serbe, a-t-il détaillé.
Mais une certaine confusion règne sur l’état d’avancement de l’enquête : du côté fédéral, le ministère ne fait pas état de suspect concernant les agressions sexuelles proprement dites ni ne mentionne d’interpellation ; de son côté, la police de Cologne a fait état de plus de 120 plaintes, dont les trois quarts pour des faits de violences sexuelles, et évoque 16 suspects. Mais faute de communication coordonnée à Cologne et en raison d’une communication très restrictive et de ce fait controversée des forces de l’ordre, impossible de savoir si ces chiffres se recoupent ou s’ajoutent. La police locale a indiqué pour sa part, hier, que deux voleurs à la tire de 16 et 23 ans, originaires de Tunisie et du Maroc, présents le soir des incidents, ont été interpellés en possession de téléphones portables contenant des vidéos d’agressions sexuelles.
Violences à Cologne: le chef de la police de la ville mis à la retraite
belga Publié le vendredi 08 janvier 2016 à 16h55 – Mis à jour le vendredi 08 janvier 2016 à 17h32
Monde
Le chef de la police de Cologne (ouest), Wolfgang Albers, sous le feu des critiques depuis les agressions du Nouvel An, a été suspendu de ses fonctions, ont annoncé vendredi les autorités régionales dans un communiqué.
M. Albers a été mis « en congé provisoire » à la suite des vols et violences sexuelles commis le soir de la Saint-Sylvestre en plein centre de Cologne, a précisé le ministre de l’Intérieur de Rhénanie du Nord-Westphalie, Ralf Jäger.
Cette décision vise à « regagner la confiance du public et la capacité d’action de la police de Cologne », notamment « dans l’optique des grands événements à venir », a poursuivi M. Jäger, allusion au carnaval de Cologne début février.
Le « congé provisoire » est une sanction administrative en Allemagne qui dans les faits équivaut à une mise à l’écart le plus souvent définitive.
Les critiques n’ont cessé de pleuvoir contre le responsable policier de 60 ans, auquel on reproche à la fois l’inaction de ses services le soir des faits et le manque d’informations livrées ensuite sur l’ampleur des violences et le profil des suspects.
La situation restait confuse vendredi, le gouvernement faisant part de 31 suspects dont 18 demandeurs d’asile pour des « vols et violences », sans mentionner les agressions sexuelles, pendant que la police locale évoquait 16 suspects, sans plus de précisions.
« Les gens veulent savoir ce qu’il s’est passé », soulignait Rainer Wendt, chef du syndicat de policiers DPolG, déplorant auprès de l’agence allemande DPA la communication désastreuse de Wolfgang Albers.
La maire de Cologne, Henriette Reker, a regretté d’avoir été si peu tenue au courant par la police de la ville, s’interrogeant sur les motifs « politiques ou tactiques » de cette rétention d’informations, selon son porte-parole.
Qualifié de « risque pour la sécurité » par le patron du parti libéral FDP Christian Lindner, qui avait réclamé sa tête, M. Alberts avait jugé vendredi « complètement absurdes » qu’on l’accuse de « dissimulation ».
Il a assuré à la presse avoir « de nombreuses fois » indiqué que parmi les personnes contrôlées par la police sur les lieux des faits se trouvaient beaucoup de demandeurs d’asile, sans qu’on puisse pour autant leur attribuer les violences commises.
L’affaire a provoqué de vives réactions en Allemagne à mesure que s’accumulaient les plaintes de victimes – environ 200, selon le dernier décompte du Spiegel non confirmé par la police.
Avant même que l’origine des quelques suspects identifiés ne soit connue, le débat s’est focalisé sur l’intégration des migrants dans la société allemande, qui a accueilli en 2015 le nombre record de 1,1 million de demandeurs d’asile.
Agressions sexuelles le 31 décembre: 4 Syriens soupçonnés de viols en Allemagne
Rédaction en ligne
Mis en ligne jeudi 7 janvier 2016, 18h42
Quatre jeunes Syriens de 14 à 21 ans sont soupçonnés d’avoir violé deux adolescentes de 14 et 15 ans durant le réveillon de Nouvel An dans un appartement de l’un des suspects à Weil am Rhein (Allemagne), en région bâloise. L’un des suspects est un requérant d’asile de 14 ans séjournant en Suisse.
Les deux victimes, qui habitent elles aussi à Weil am Rhein, connaissaient l’un des agresseurs, indique jeudi la police allemande. Les six jeunes gens ont d’abord échangé des caresses consenties dans l’appartement du suspect de 21 ans. Ces échanges ont ensuite viré au viol des deux jeunes filles à plusieurs reprises. Les deux victimes ont alerté la police après avoir quitté l’appartement. Les suspects ont été arrêtés. L’un d’entre eux, âgé de 15 ans, a toutefois réussi à s’enfuir. Toujours recherché, il s’agit du frère du locataire de 21 ans. Agés de 14 ans, les deux adolescents arrêtés viennent des Pays-Bas et de la région zurichoise.
Le scandale des harcèlements de la Saint-Sylvestre ne cesse de prendre de l’ampleur. Pas moins de 200 plaintes, dont 170 pour la seule ville de Cologne, ont été déposées pour vol, agression sexuelle ou viol, perpétrés dans la nuit du 31 décembre par des groupes d’hommes ivres, «d’apparence arabe ou maghrébine», selon les témoins. Des faits similaires ont été observés à Hambourg, Stuttgart et Francfort, mais aussi à Zurich (Suisse), à Salzbourg (Autriche), ainsi qu’en Finlande.
Liste d’insultes. A Cologne, 31 suspects ont été identifiés par les enquêteurs, «18 d’entre eux ont le statut de demandeur d’asile», a révélé vendredi un porte-parole du ministère fédéral de l’Intérieur. Ce groupe comprend neuf Algériens, huit Marocains, quatre Syriens, cinq Iraniens, un Irakien, un Serbe, un Américain et deux Allemands. Par ailleurs, deux hommes – un Marocain et un Tunisien – ont été arrêtés à Cologne. Ils avaient en leur possession des téléphones portables contenant des vidéos des agressions sexuelles de Cologne, ainsi qu’une liste d’insultes à caractère sexuel traduites de l’arabe en allemand. La police a également localisé plusieurs des téléphones portables volés à des jeunes femmes lors de la Saint-Sylvestre dans des foyers de demandeurs d’asile ou à proximité.
La commission «nouvel an», chargée de l’enquête, qui a vu ses effectifs passer de 80 à 100 hommes, doit visionner 350 heures de matériel vidéo. Ces renforts sont à la hauteur de l’émoi provoqué par cette affaire dans le pays, alors que les reproches aux autorités policières régionales s’intensifient. Vendredi, Wolfgang Albers, 60 ans, le chef de la police de Cologne a été limogé.
Extrême droite. Le scandale fait aussi monter la pression sur Angela Merkel, dont la politique de «portes ouvertes» aux réfugiés syriens est de plus en plus contestée. Jeudi soir, la chancelière a promis une réponse ferme contre les auteurs de ces «actes criminels répugnants» et un renforcement de la politique de reconduite à la frontière pour les étrangers auteurs de délits. «Le sentiment – de femmes dans ce cas – d’être totalement livré à soi-même et sans défense est pour moi insupportable», a-t-elle dit. Selon un sondage de la chaîne ARD, 57% des Allemands souhaitent le rétablissement des contrôles d’identité aux frontières, et 37% des femmes ont l’intention de se tenir à distance de gros mouvements de foule. Le petit parti d’extrême droite AfD ne cesse de progresser dans les sondages (9%), alors que trois régions sont appelées à renouveler leur parlement régional le 13 mars.
A Cologne, les réfugiés craignent de trinquer pour les agressions
Par AFP — 8 janvier 2016 à 12:15 (mis à jour à 12:19)<
A Cologne, les réfugiés craignent de trinquer pour les agressions
«Notre première réaction a été: maintenant, les Allemands vont nous détester», confie Asim Vllaznim, lorsqu’il évoque le moment où lui et sa famille ont découvert l’ampleur des agressions du Nouvel An à Cologne, devant leur vieille télévision cathodique.
«C’est une honte ce qu’ils ont fait à la gare centrale», s’indigne ce Kosovar de 32 ans, dans la chambre d’un foyer de demandeurs d’asile de la métropole rhénane (ouest), où il reçoit en proposant le thé.
La nuit de la Saint-Sylvestre s’est transformée en cauchemar à Cologne, lorsque des groupes d’hommes en bande et décrits comme «arabes» ou «nord-africains» s’en sont pris aux femmes aux abords de la cathédrale et de la gare.
La police a reçu plus de 120 plaintes pour agressions sexuelles ou des vols, parfois les deux à la fois. Au-delà des attouchements, deux femmes auraient été victimes de viols caractérisés. A moins grande échelle, des faits similaires ont eu lieu à Hambourg (nord) et Stuttgart (sud). Les autorités locales n’ont aucune preuve à ce stade de l’implication de réfugiés, et nombre de responsables appellent à éviter les amalgames. Mais certains en Allemagne font le lien alors que le pays accueilli 1,1 million de demandeurs d’asile en 2015.
- Pression -
«Ce ne sont pas de bonnes nouvelles pour Merkel», soupire M. Vllaznim, pendant que ses deux plus petits sautent insouciamment sur leur lit.
Ce père de cinq enfants a foi en la chancelière et son «wir schaffen das» («nous réussirons») qu’elle a martelé aux Allemands, lorsque l’afflux de réfugiés a commencé à inquiéter. Mais il sait que «Mama Merkel» est sous pression.
«Je remercie les Allemands de nous avoir accueillis. (…) Je voudrais leur dire de ne pas avoir peur», reprend le Kosovar, à Cologne depuis un an et demi.
Fatigué des discriminations dont sont victimes les Ashkalis, la minorité ethnique à laquelle sa famille appartient, il a quitté les Balkans avec l’espoir que ses enfants grandiront ici.
«Nous ne sommes pas de mauvais individus, nous cherchons juste une vie meilleure», plaide-t-il, en espérant que l’alcool n’a pas fait déraper certains jeunes réfugiés. «Ce serait terrible», songe-t-il, en réclamant «la prison» pour tous les agresseurs.
«Dans toutes les cultures, il y a des gens qui se comportent mal», soupire une Bosniaque de 36 ans, qui souhaite garder l’anonymat.
«Il ne faut pas mettre tous les réfugiés dans le même sac», lance-t-elle dans un couloir du vaste bâtiment en briques, qui héberge 623 demandeurs d’asiles au lieu des 550 autorisés. Cologne en héberge actuellement 10.150 dans ce genre de centres d’urgence, au milieu de son million d’habitants.
- Méfiance -
La méfiance menace des deux côtés, constate cette mère de deux filles. Musulmane, elle ne porte plus son foulard depuis quelques mois et ne quitte plus le centre passé 16H00. La faute aux incendies volontaires d’hébergements de réfugiés et aux agressions qui émaillent régulièrement l’actualité allemande.
Après le drame de Cologne, «nous comprenons que certains Allemands aient peur», poursuit-elle. Mais les coupables «sont peut-être d’autres que des réfugiés», espère-t-elle.
Entretemps, fausses informations et rumeurs prolifèrent sur Internet. La police a identifié 16 suspects, mais n’a dévoilé aucune information à leur sujet. A la gare de Cologne, le flou alimente la colère chez les habitants.
«Ce serait vraiment super si on savait de qui il s’agit, pour qu’on arrête les coupables et qu’on les renvoie chez eux, peu importe de quel pays ils viennent», lâche Rute Graca, 42 ans, sur le chemin du travail.
«Les gens sont plus méfiants que le mois dernier», croit remarquer Abdul Baldeh en attendant son train. A 28 ans, il vient de fuir la Guinée.
«On n’est pas venu pour créer des problèmes. Ce que je veux, c’est apprendre l’Allemand, avoir un travail et être libre», raconte-t-il.
Débat enflammé sur l’immigration en Allemagne à la suite des agressions de femmes au Nouvel An
Mise à jour le jeudi 7 janvier 2016 à 17 h 02 HNE
Reuters
La cathédrale de Cologne Photo : Wolfgang Rattay / Reuters
Angela Merkel a réclamé jeudi que les services allemands fassent toute la lumière sur les agressions dont ont été victimes une centaine de femmes le soir du Nouvel An à Cologne, en plein débat sur la crise migratoire en Allemagne.
D’après la police allemande, qui évoque une « nouvelle dimension dans la criminalité », quelque 90 femmes ont porté plainte pour menaces, agression sexuelle ou vol à l’arraché par de jeunes hommes, pour la plupart ivres, dans le quartier de la cathédrale. Environ 120 femmes seraient au total concernées.
La police dit avoir identifié 16 suspects. Le chef de la police de Cologne a ajouté que les auteurs de ces agressions semblaient être d’origine « arabe ou nord-africaine ».
Les journaux Focus et Die Welt ont déclaré que la police avait trouvé des papiers d’identité sur certains suspects montrant qu’ils ne sont que récemment arrivés dans le pays. Les autorités n’ont pas confirmé l’information.
Lors d’une conférence de presse jeudi à Berlin, Angela Merkel, dont la cote de popularité a diminué l’an dernier lorsqu’elle s’est opposée au plafonnement du nombre de réfugiés en Allemagne, a déclaré que « ce qui s’est passé au Nouvel An est absolument inacceptable ».
« Le sentiment qu’ont éprouvé ces femmes d’être absolument sans défense et à la merci m’est personnellement intolérable. Il est par conséquent important que tout ce qui s’est passé (cette nuit-là) apparaisse au grand jour. » — Angela Merkel, chancelière allemande
« Nous devons aussi continuer de parler des bases de notre coexistence culturelle en Allemagne et ce que les gens attendent à raison, c’est que les actes suivent les discours », a dit la chancelière.
À Cologne, la communauté turque, établie dans cette ville depuis des décennies, condamne vivement les attaques perpétrées contre des femmes durant la soirée du Nouvel An. Photo : AP/Frank Jordans
Des agressions signalées dans d’autres villes
L’opinion allemande a été choquée par ces agressions, qui se seraient également produites à une échelle plus réduite dans d’autres villes allemandes comme Hambourg.
Des événements similaires pourraient également s’être produits dans d’autres pays. Une demi-douzaine de femmes ont porté plainte pour des vols et des agressions sexuelles subies lors des célébrations de la Saint-Sylvestre, à Zurich, rapporte la police suisse dans un communiqué publié jeudi.
En Finlande, la police dit avoir reçu des informations selon lesquelles des agressions contre des femmes auraient été planifiées au Nouvel An.
En Allemagne, des partis d’extrême droite dont l’AfD (Alternative pour l’Allemagne) ont réclamé une limitation du nombre de réfugiés accueillis par l’Allemagne.
Il faut défendre l’état de droit, selon Bild
Le quotidien à grand tirage Bild a publié les extraits du rapport d’un policier en fonction le soir du Nouvel An à Cologne, dont la police a par la suite confirmé l’authenticité.
Un homme aurait ainsi déclaré à l’agent: « Je suis syrien. Il faut être gentil avec moi. C’est Frau Merkel qui m’a invité ici. »
Le Bild estime que même s’il n’est pas prouvé que les agressions de Cologne sont le fait de migrants fraîchement arrivés en Allemagne, elles confortent les craintes d’une partie de la population. « Cologne est un tournant. La politique envers les réfugiés ne doit pas être réinventée en raison de ces agressions mais elle ne pourra être résolue avec succès que si l’état de droit est défendu avec détermination », écrit-il.
Vague d’agressions sexuelles à Cologne : une trentaine de suspects identifiés, dont 18 réfugiés
Ce vendredi, le chef de la police de Cologne, très critiqué, a été suspendu à la suite de ces violences.
Enquête
Publié le 8 Janvier 2016
L’enquête sur les violences commises lors de réveillon de la Saint-Sylvestre à Cologne avance pas à pas. Le porte-parole du ministère de l’intérieur fédéral a annoncé, ce vendredi 8 janvier, que « 31 suspects, dont les noms sont désormais identifiés », étaient soupçonnés de violences physiques et de vols. Parmi eux, on compterait 18 personnes possédant le statut de demandeur d’asile.
En revanche, aucune information n’a été donné concernant des suspects pour les agressions sexuelles proprement dites, ni mentionné d’interpellations à ce stade.
En tout, sur les 31 personnes identifiées, neuf sont de nationalité algérienne, huit de nationalité marocaine ; cinq de nationalité iranienne ; et quatre sont Syriens.
Deux Allemands, un Irakien, un Serbe et un Américain sont également soupçonnés d’avoir participé à ces violences.
Par ailleurs, selon des informations du DailyMail, des réfugiés auraient moqué ouvertement la police allemande, qui tentaient de stopper le chaos. « Je suis Syrien, je dois être reçu chaleureusement; madame Merkel m’a invité » aurait notamment lancé l’un d’eux.
Angela Merkel, mise sous pression depuis la médiatisation de ces événements, a promis une réponse ferme contre les auteurs de ces »actes criminels répugnants » et un renforcement de la politique de reconduite à la frontière pour les étrangers auteurs de délits.
Dans l’après-midi, il a été révélé que Wolfgang Alberts, le chef de la police de Cologne, a été mis »en congé provisoire » à la suite de ces violences.
Agressions à Cologne : Angela Merkel pour l’expulsion des réfugiés condamnés, même avec sursis
Le Monde.fr avec AFP | 09.01.2016 à 13h37 • Mis à jour le 09.01.2016 à 14h58
Alors que le scandale de multiples agressions de femmes lors du Nouvel An à Cologne secoue l’Allemagne, la chancelière Angela Merkel s’est prononcée samedi 9 janvier en faveur d’un très net durcissement des règles d’expulsion de demandeurs d’asile condamnés par la justice, l’autorisant même pour ceux condamnés à une peine avec sursis.
« Si des réfugiés ont commis un délit », cela doit « avoir des conséquences, (…) cela veut dire que le droit [de séjour] doit s’arrêter s’il y a une peine de réclusion ou même avec sursis », a déclaré Mme Merkel, faisant référence aux agressions sexuelles survenues le soir de la Saint-Sylvestre à Cologne (Ouest), qui impliqueraient des demandeurs d’asile.
Lors d’une réunion à Mayence (Sud-Ouest), la direction du parti conservateur de la chancelière CDU s’est accordée pour demander que la perte du droit d’asile en Allemagne soit plus systématique en cas de délit. Cette position doit désormais être discutée avec l’autre grand parti présent dans la coalition gouvernementale à Berlin, les sociaux-démocrates du SPD.
« Il est important que là où la loi n’est pas suffisante, elle soit modifiée », a déclaré Mme Merkel lors d’une conférence de presse, y voyant là aussi « l’intérêt de la grande majorité des réfugiés ».
A ce jour, selon la loi allemande, l’expulsion d’un demandeur d’asile n’a lieu qu’après une condamnation à au moins trois ans de prison, mais à la condition que sa vie ou sa santé ne soient pas menacées dans son pays d’origine.
L’Allemagne a vu affluer en 2015 1,1 million de demandeurs d’asile, et les violences du Nouvel An à Cologne ont créé un choc dans le pays, faisant croître les critiques à l’égard de la politique d’ouverture aux demandeurs d’asile suivie depuis septembre par la chancelière.
DIRECT. Allemagne : heurts à Cologne entre des manifestants d’extrême droite hostiles aux migrants et la police
Plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées dans la ville, à l’appel du mouvement islamophobe Pegida. Celui-ci tente de récupérer l’émotion suscitée par les dizaines d’agressions sexuelles commises à Cologne le soir de la Saint-Sylvestre.
Par Francetv infoMis à jour le 09/01/2016 | 17:43 , publié le 09/01/2016 | 16:58
Des heurts ont éclaté à Cologne (Allemagne), samedi 9 janvier, entre des manifestants d’extrême droite hostiles aux immigrants et les forces de l’ordre. Après avoir reçu des bouteilles et des tirs de feux d’artifice d’un groupe de manifestants, les policiers ont utilisé du gaz lacrymogène et des canons à eau, pour tenter de disperser les militants.
• La manifestation s’est déroulée à l’appel lancé par le mouvement islamophobe Pegida, qui tente de récupérer l’émotion suscitée en Allemagne par les agressions sexuelles, les vols et les viols commis à Cologne le soir de la Saint-Sylvestre. La police fédérale a identifié 32 suspects, dont 22 demandeurs d’asile.
• Au total, plusieurs centaines de partisans de l’extrême droite se sont rassemblés aux abords de la cathédrale, certains avec des pancartes « Rapefugees not welcome » (« Les Réfugiés violeurs ne sont pas les bienvenus ») et des drapeaux allemands.
• A quelques encablures et par-delà d’importants barrages de police, un millier de contre-manifestants se sont regroupés au cri de « Nazis dehors ! » et avec des pancartes clamant que « le fascisme n’est pas une opinion, c’est un crime ».
Retrouvez ici l’intégralité de notre live #COLOGNE
17h31 : Bilan des heurts qui ont suivi une manifestation de Pegida à Cologne : deux personnes ont été blessées lors des échauffourées et la police a procédé à plusieurs interpellations.
17h01 : Quelques chiffres : d’après Der Spiegel, les manifestants de Pegida étaient environ 500, encadrés par 1 700 policiers, qui ont aussi sur les bras 1 300 contre-manifestants d’extrême gauche.
16h58 : La police a utilisé du gaz lacrymogène et des canons à eau pour disperser les manifestants, qui leur avaient jeté des bouteilles et des pétards. Les forces de l’ordre demandent la dispersion de la manifestation.
16h50 : ESKALATION – PEGIDA KÖLN: weitere Böllerwürfe und Wurfgeschosse gg. Polizei u Presse. Demozug gestoppt
16h50 : Hat sicher nur so ein unangenehmes Jucken im Arm. (Bild: Reuters)
#nopegidanrw
16h50 : A Cologne, la manifestation du mouvement xénophobe Pegida dégénère.Des heurts ont éclaté entre manifestants et forces de l’ordre. Le slogan des manifestants, souvent coiffés d’un bonnet avec des lunettes de soleil : « les hooligans contre les salafistes ».
Allemagne: heurts entre manifestants d’extrême droite et policiers à Cologne (Photos)
Belga
Des heurts ont éclaté samedi après-midi à Cologne entre des manifestants d’extrême droite hostiles aux immigrants et la police qui a utilisé du gaz lacrymogène et des canons à eau, a constaté un journaliste de l’AFP.
Après avoir reçu des bouteilles et des tirs de feux d’artifice d’un groupe de manifestants, les forces de l’ordre ont mis fin au rassemblement, demandant aux gens présents de se disperser.
Rien de bien méchant, cette fois : il n’y a pas mort d’homme, les victimes ne sont que des femmes.
Elles n’avaient qu’à se couvrir davantage et se tenir à distance des inconnus de la longueur d’un bras…
Les violeurs n’ont pas le bras long, non, non, non…
A ce propos, un nouveau « déconnologue » de la bande du cyberdélinquant Cyprien Luraghi se targuant tout comme « Homere », le bras armé du NPA en Thaïlande, d’avoir un nom et des relations, je leur rappelle à tous, d’une part, que je ne pouvais décemment pas voir confirmer ma condamnation du 11 juin 2013 dans l’enceinte du Parlement de Bretagne, et d’autre part, que le conseiller de François Hollande Bernard Poignant ne les aime pas et Mohammed VI encore moins, puisqu’il les soupçonne de vouloir lui trancher la tête.
Berlin a condamné une centaine d’agressions sexuelles commises à Cologne la nuit de la Saint-Sylvestre et attribuées par la police à des hommes d’origine nord-africaine, mais s’est refusé à toute «instrumentalisation» visant les réfugiés.
Allemagne : vague d’agressions sexuelles à Cologne, «un millier de personnes» impliquées
Le gouvernement allemand a condamné mardi une centaine d’agressions sexuelles commises à Cologne la nuit de la Saint-Sylvestre et attribuées par la police à des hommes d’origine nord-africaine, mais s’est refusé à toute «instrumentalisation» visant les réfugiés.
L’affaire, qui a pris de l’ampleur à mesure que se multipliaient les plaintes de victimes, suscite désormais une forte émotion en Allemagne en raison de la «dimension nouvelle» de ces actes impliquant «plus d’un millier de personnes» ayant agressé ou protégé les agresseurs, selon le ministre de la Justice Heiko Maas.
«Il s’agit d’une nouvelle forme de criminalité organisée» et «il va falloir qu’on réfléchisse, qu’on pense aux moyens à mettre en oeuvre pour y faire face», a estimé M. Maas mardi devant la presse. Alors que les témoins ont décrit des suspects «d’apparence arabe ou nord-africaine», selon la police, le ministre de la Justice a mis en garde contre toute «instrumentalisation» de cette affaire dans le débat sur l’afflux de migrants en Allemagne. L’apparence des agresseurs «ne doit pas conduire à faire peser une suspicion générale sur les réfugiés qui, indépendamment de leur origine, viennent chercher une protection chez nous», a renchéri le ministre de l’Intérieur Thomas de Maizière.
Parmi les réactions pour le moins surprenantes (ou idiotes, c’est selon) dénichées sur Twitter, on citera celle d’un journaliste autrichien pour le quotidien Der Standard. Basé à Bruxelles d’où il couvre l’actualité européenne, Thomas Mayer s’est risqué à un pseudo-éclairage à la pertinence très relative, écrivant qu’«en France, le phénomène des abus sexuels commis par des bandes de jeunes hommes («les tournantes») est connu depuis longtemps», tout en partageant un article de Libé paru en 2012 sur une sordide histoire de viol collectif en Val-de-Marne en aucune manière comparable aux débordements de la Saint-Sylvestre outre-Rhin.
La police avait déjà enregistré 90 plaintes mardi matin, allant du harcèlement à au moins un viol en passant par des dizaines d’agressions sexuelles et des vols, et s’attendait à en recevoir de nouvelles, a indiqué un porte-parole à l’agence allemande DPA.
Ces agressions, attribuées à des groupes de 20 à 30 jeunes hommes ivres encerclant les victimes, se sont concentrées autour de la cathédrale et de la gare centrale de Cologne, mais la police a aussi signalé une dizaine de plaintes à Hambourg. La mairie de Cologne, qui accueillera du 4 au 10 février des centaines de milliers de fêtards pour le carnaval, tenait mardi une réunion de crise à ce sujet.
VIDÉO – Durant la nuit de la Saint-Sylvestre, des bandes de jeunes se sont livrées à des violences sur des femmes au cœur de Cologne.
La gare centrale de Cologne se trouve à quelques centaines de mètres de la cathédrale, au cœur de la ville. C’est là, durant la nuit de la Saint-Sylvestre, qu’un millier d’individus se sont rassemblés. Par groupe de vingt à quarante, des hommes souvent alcoolisés de moins de 30 ans et «d’origines arabes ou nord-africaines», selon les témoins, ont cerné et agressé des femmes mêlant vol à la tire et attouchements. Au moins un viol a été signalé.
Mardi, le nombre de plaintes déposées s’accumulait au fur et à mesure que l’affaire prenait de l’ampleur: 60 en début de journée, 90 à midi. Ces «agressions sexuelles de masse», selon les termes employés par la police de Cologne, ont suscité l’indignation dans toute l’Allemagne. La chancelière Angela Merkel a notamment exprimé sa «révolte» face à ces «agressions scandaleuses» et réclamé une «réponse forte». «Il s’agit d’une nouvelle forme de criminalité organisée», a commenté à Berlin le ministre de la Justice allemand, Heiko Maas. «Il va falloir qu’on réfléchisse, qu’on pense aux moyens à mettre en œuvre pour y faire face», a-t-il ajouté, alors que d’autres faits similaires mais sans avoir la même ampleur ont été signalés à Hambourg et Stuttgart.
Un contexte de tension
Mardi, cinq jours après les faits, aucun suspect n’avait encore été arrêté. Le nombre d’individus recherchés, parmi le millier de personnes présentes, n’était pas non plus précisé. Mais les autorités promettaient une grande fermeté. «Les auteurs, quelle que soit leur origine ou leur religion, doivent être rapidement entendus et devront rendre des comptes. Avec toutes les conséquences», a insisté la ministre de la Famille, Manuela Schwesig.
Dans un contexte de tension, lié au défi de l’intégration d’un flux sans précédent de réfugiés dans le pays, le profil décrit des agresseurs provoque le malaise. Heiko Maas a mis en garde contre «toute généralisation». L’apparence des agresseurs «ne doit pas conduire à faire peser une suspicion générale sur les réfugiés qui, indépendamment de leur origine, viennent chercher une protection chez nous», a renchéri le ministre de l’Intérieur, Thomas de Maizière.
Cologne compte environ 10.000 réfugiés. Jusqu’à présent, l’arrivée massive de demandeurs d’asile n’a pas provoqué de hausse de l’insécurité en l’Allemagne. Si les centres pour réfugiés ont été la cible d’agressions et si des violences y ont été commises entre demandeurs d’asile, le taux de criminalité des réfugiés n’est pas plus élevé que pour le reste de la population, a conclu un rapport des services de renseignements en novembre dernier. À Cologne, l’hypothèse de bandes organisées n’était pas exclue. «Rien ne permet de penser pour l’instant que des demandeurs d’asile seraient impliqués», a affirmé la maire de Cologne, Henriette Reker. Quoi qu’il en soit les habitants de Cologne s’inquiétaient mardi pour leur sécurité. Certains appelaient à une manifestation contre les violences faites aux femmes. Mardi, la maire Henriette Reker a convoqué une réunion d’urgence de tous ses services. «Nous ne pouvons pas tolérer de zone de non-droit dans la ville», a-t-elle insisté. Quant à la police, elle est sommée par les autorités d’accélérer son enquête. Le 1er janvier, faute de plaintes, elle avait conclu à «une nuit calme».
La maire de Cologne moquée pour ses conseils aux femmes après une vague d’agressions
Publié le 06/01/2016 à 15:20 | AFP
La maire de la ville allemande de Cologne, théâtre à la Saint-Sylvestre d’une vague d’agressions sexuelles, faisait mercredi l’objet de critiques et quolibets, particulièrement sur Twitter, pour son conseil donné aux femmes de se tenir à bonne distance des inconnus.
Henriette Reker, maire sans étiquette de la métropole rhénane, a recommandé mardi aux femmes de respecter « une certaine distance, plus longue que le bras » avec les inconnus pour se protéger d’éventuels assauts. Elle s’exprimait lors d’une conférence de presse suite aux agressions sexuelles qui ont choqué toute l’Allemagne, et en réponse à une question sur le meilleur moyen de se protéger.
Son conseil a déclenché une vague de commentaires sarcastiques sur Twitter, le hashtag « ArmlaengeAbstand », mot allemand pour « distance de plus d’un bras », s’imposant rapidement mercredi dans les cinq plus partagés en Allemagne.
L’Inspecteur Gadget avec un bras téléscopique, ou les déesses hindoues aux bras multiples faisaient partie des références utilisées, et les commentaires allaient bon train. « Les effets pernicieux d’une distance de plus d’un bras… Je ne peux plus payer à la caisse », se moquait une utilisatrice, « je ne me suis plus sentie autant en sécurité que depuis que je me promène les bras écartés », ironisait une autre, tandis qu’un commentateur faisait valoir que « si les gens dans les régions en guerre savaient ça, il n’y aurait plus aucun problème! ».
« Shame on you » (« honte à vous »), s’indignait une utilisatrice, outrée qu’on suggère « aux femmes de changer de comportement et pas aux agresseurs ».
Un point de vue également exprimé par la ministre de la Famille, des Femmes et de la Jeunesse, Manuela Schwesing, qui sur Twitter, a affirmé: « nous n’avons pas besoin de règles de comportement pour les femmes, ce sont les auteurs des faits qui doivent rendre des comptes ».
Le ministre de la Justice Heiko Maas y est lui aussi allé de son commentaire sur le réseau social: « Ce ne sont pas les femmes qui portent la responsabilité » de ces agressions, a-t-il jugé.
Mme Reker s’est défendue mercredi, déplorant selon des propos rapportés par l’agence DPA que « les compte-rendus raccourcis dans la presse (de ses propos) aient pu donner l’impression que (ses) mesures de prévention se limitent à des recommandations aux femmes et aux jeunes filles quant à leur comportement ».
Maire de Cologne depuis octobre 2015, Mme Recker avait été poignardée la veille de son élection par un homme revendiquant des motivations racistes, mais avait maintenu sa candidature.
La nuit du réveillon de la Saint-Sylvestre, au moins une centaine de femmes ont été victimes sur une grande place de Cologne d’attouchements et de vols, commis par plusieurs dizaines de jeunes hommes d’origine apparemment immigrée.
L’Allemagne est sous le choc après les agressions sexuelles du Nouvel An à Cologne, commises par des « jeunes apparemment d’origine arabe ». Les opposants à la chancelière Merkel tentent de faire le lien avec sa politique en faveur des réfugiés.
Une centaine d’agressions sexuelles commises contre des femmes durant la nuit du Nouvel An à Cologne, en Allemagne, a provoqué un vif émoi, mardi 5 janvier, dans le pays.
Ces agressions sont attribuées à des groupes de 20 à 30 jeunes hommes ivres qui ont encerclé leurs victimes au milieu de plusieurs centaines de personnes qui s’étaient rassemblées autour de la cathédrale et de la gare centrale de Cologne. La police a également signalé une dizaine de plaintes à Hambourg, dans le nord du pays.
Au total, 90 plaintes ont été déposées et selon le chef de la police de Cologne, Wolfgang Albers, « d’autres devraient suivre ». Les plaintes visent des faits allant du harcèlement à au moins un viol en passant par des dizaines d’autres agressions sexuelles et des vols.
« Un groupe d’une dizaine, vingtaine, trentaine de jeunes hommes étrangers s’en est pris à nous », a raconté une victime sur le plateau de la chaîne d’information en continu N-TV. « Ils se sont mis à nous agresser, nous prenant l’entre-jambe, touchant nos décolletés, sous les manteaux », a-t-elle expliqué, ajoutant que « seules les femmes » étaient visées.
Mardi en début de soirée, entre 2 et 300 personnes (selon la police) se sont symboliquement rassemblées devant la cathédrale de Cologne pour appeler à plus de respect envers les femmes.
« Madame Merkel, que faites-vous ? Ça fait peur », s’interrogeait sur une pancarte une des manifestantes.
Les explications de notre correspondant en Allemagne
Des « jeunes apparemment d’origine arabe »
Selon le chef de la police Wolfgang Albers, les policiers intervenus ce soir-là font état « dans leur très large majorité de jeunes hommes, âgés de 18 à 35 ans, apparemment d’origine arabe ou nord-africaine », un constat corroboré par les descriptions des victimes.
Sans attendre, plusieurs personnalités politiques ont commencé à utiliser l’événement. Après ces incidents, « Est-ce que l’Allemagne est suffisamment ouverte sur le monde et multicolore pour vous, Madame Merkel ? » a lancé, provocatrice, Frauke Petry, la patronne du parti populiste Alternative für Deutschland (AfD) qui progresse dans les sondages.
Au sein même de la coalition gouvernementale, les conservateurs bavarois de la CSU, qui tempêtent depuis des mois contre la politique favorable aux réfugiés de la chancelière, ont trouvé aussi matière à alimenter leurs griefs.
« Si des demandeurs d’asile ou des réfugiés se livrent à de telles agressions [...] cela doit conduire à la fin immédiate de leur séjour en Allemagne », a lancé Andreas Scheuer, secrétaire général du parti, qui recevra mercredi Mme Merkel en Bavière lors d’une réunion prévue de longue date.
Pour l’heure, la police n’a fait état d’aucune arrestation spécifiquement liée aux incidents.
« Aucun indice montrant qu’il puisse s’agir de réfugiés »
La maire de Cologne Henriette Reker a à son tour réagi, jugeant ce rapprochement entre réfugiés et agresseurs « inadmissible ». « Nous n’avons aucun indice montrant qu’il puisse s’agir de réfugiés séjournant à Cologne » ou dans les environs, a-t-elle déclaré.
Le ministre de la Justice Heiko Maas a lui aussi mis en garde contre toute « instrumentalisation » de ces agressions dans un pays où l’afflux de réfugiés a parfois suscité de vives tensions ces derniers mois.
Son homologue de l’Intérieur a abondé contre « la suspicion généralisée » à l’égard des immigrés mais demandé aussi qu’il n’y ait « pas de tabou » s’il devait se confirmer que les auteurs sont d’origine étrangère.
Un renforcement des effectifs des forces de l’ordre ainsi que de la vidéo-surveillance a été annoncé par le président de la police de Cologne qui se prépare à accueillir du 4 au 10 février des centaines de milliers de fêtards pour le carnaval, l’événement emblématique de cette ville.
La chancelière allemande Angela Merkel fait face à de vives critiques sur sa politique d’immigration à la suite d’une série de viols et agressions sexuelles à Cologne la nuit du 1er de l’An. L’extrême-droite a saisi l’occasion pour accuser des migrants, alors que l’enquête ne fait que commencer.
Les détracteurs de la chancelière cherchent désormais à lier l’agression d’une centaine de femmes à sa politique d’ouverture envers les réfugiés.
Une centaine de femmes agressées sexuellement
Plus d’une centaine de femmes ont déposé plainte pour agressions sexuelles et deux ont déposé plainte pour viol. Tous ces actes auraient été commis à Cologne la même nuit, lors d’un rassemblement de plusieurs milliers de personnes autour de la gare. Les détracteurs de la politique d’immigration de Merkel affirment que des victimes parlent d’agresseurs étrangers, venant d’Afrique du Nord. A ce stade, les autorités affirment ne disposer d’aucune information à ce sujet. Les enquêtes sont en cours.
La chancelière face à sa propre famille politique
Angela Merkel va affronter la branche locale de sa famille politique, la CSU, ce marecredi après-midi en bavière. Elle était justement invitée de longue date à la réunion de rentrée de la CSU. Ses pairs comptaient lui redire à quel point elle juge le cap du gouvernement sur le dossier des réfugiés, dangereux pour le pays.
Si des demandeurs d’asile ou des réfugiés se livrent à de telles agressions » comme à Cologne, « cela doit conduire à la fin immédiate de leur séjour en Allemagne, a lancé le secrétaire général de la CSU, Andreas Scheuer
L’Allemagne a accueilli un million cent mille demandeurs d’asile en 2015 (en majorité de Syrie, Afghanistan, Irak, Albanie et Kosovo), soit environ cinq fois plus qu’en 2014.
Le mea culpa de la télévision publique
Les thèses complotistes fleurissent sur internet et dans les mouvements populistes, accusant les grands médias d’avoir à dessein passé sous silence les événements de Cologne pour ne pas alimenter le discours anti-migrants. Elles sont en partie alimentées par la chaîne publique ZDF, qui a fait son mea culpa pour ne pas avoir mentionné les événements de Cologne avant mardi, parlant d’une « négligence ».
Comme nous venons de le voir on ne peut plus clairement, les comportements du psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi sur le site Rue89 ont toujours été ceux d’un authentique fasciste.
Ceux de ses amis « déconnologues » aussi.
Leur bande ou « meute » de harceleurs du net n’est ni plus ni moins qu’une milice de type fasciste dans ses comportements publics.
Ce qu’ils font hors champ public est évidemment bien pire et relève d’activités criminelles comme celles des nazis et de leurs collaborateurs les plus zélés. Ainsi, par exemple, ai-je encore découvert très récemment de leurs dénonciations calomnieuses remontant aux années 2010 et 2011, alors que j’avais commencé à me défendre contre leurs exactions publiques à mon encontre, et à m’en plaindre. Ils m’ont réellement dénoncée un peu partout pour des tas de faits imaginaires, ce qui a eu pour effet de rendre totalement inefficientes mes propres dénonciations à leur encontre pour les faits bien réels que tout le monde connaît.
J’y reviendrai plus tard.
L’ancien riverain « tilou », ou « chat de garde », déconnologue de son état depuis le printemps 2009, avait alors fait son apparition sur Rue89 dans le sillage des riveraines « Banana », « Mon-Al » et « kk ».
La première, résidant comme lui à Strasbourg d’où est originaire le faux écrivain et authentique cyberdélinquant Pascal Edouard Cyprien Luraghi, avait rejoint la bande un peu plus tôt, début mars 2009, comme le pseudonymé « Hulk », « Gros con de droite ». Le « Konducator » venait tout juste de réintégrer sa fine équipe de « déconnologues » sur le site Rue89 après avoir boudé ce dernier durant près de trois mois du fait qu’il n’avait pu lui imposer ses points de vue en matière de modération, à savoir la charte des commentaires qu’il a toujours appliquée sur ses différents blogs : liberté totale pour lui-même et ses amis, censure et bannissement pour toutes les cibles de leurs harcèlements internétiques.
Les deux autres, les alors inséparables « Mon-Al » et « kk », étaient déjà de la bande en 2008.
A peine arrivé, « tilou » m’avait mise dans ses voisins pour pouvoir me suivre plus facilement et m’agresser à chacune de mes interventions sur le site, comme le faisaient déjà « Cyp » et « kk ».
Le harcèlement des cibles de ses amis a toujours été son unique activité de riverain de Rue89, lui valant régulièrement la suppression de son compte.
Il revient toujours avec un nouvel avatar de chat, sauf le 22 décembre dernier où exceptionnellement il a opté pour le lapin, une mesure de prudence tout à fait superfétatoire, vu que le site Rue89 nous fait actuellement sa supernova avant de disparaître à tout jamais, ce qui nous rassure au moins sur un point : ses journalistes n’iront jamais jusqu’à faire moquer par des gamins de maternelle des « complotistes » comme les victimes du terrorisme d’extrême-gauche.
L’ancien ascensoriste de Strasbourg Jean-Marie Idoux (identité trouvée sur Blogacyp au cours de l’été 2009) était ces derniers temps le chat ou lion « Herbert.Gédéon.Glutzenbaum » :
Tiens, rappelle-toi…
’’En 1940, l’Etat français décidait par décret de dénaturaliser un certain nombre de Français, ceux qui avaient moins de quinze ans de nationalité française et les Juifs algériens naturalisés par le décret Crémieux de 1870. Ainsi étaient remises en cause des naturalisations sous le seul prétexte qu’elles ne plaisaient pas aux gouvernants de l’Etat français né de la défaite de 1940 et de la démission des parlementaires français dont on peut rappeler qu’ils étaient les élus du Front Populaire.’’ Lien
Je sais que tu aimes bien faire des longues batailles de commentaires qui se terminent généralement par un appel à la modération.
Ce qui t’a fait gagner un prix magnifique.
Considère cette réponse comme la dernière.
’’La déchéance de nationalité ? Un « débat nauséabond » pour Manuel Valls. « Un danger », selon François Hollande. Oui, c’est ce que disaient les deux têtes de l’exécutif… en 2010, quand Sarkozy avait proposé cette mesure. Les temps ont bien changé.’’ Ce n’est pas la girouette…
A propos de chat…
Un mari qui hait le chat de sa femme décide de l’emmener en voiture à 20km de là.
Il l’abandonne et retourne à la maison, à son arrivée le chat l’attend sur le pas de la porte. Nerveux il reprend le chat et l’emmène à 40 km de là puis l’abandonne de nouveau, à son arrivée à la maison le chat l’attend sur le pas de la porte.
Furieux il reprend le chat et fait 10 km par la droite, puis 25 par la gauche, 30 km vers le Nord, et 25 km vers le Sud. Il abandonne le chat et repart.
Au bout d’un moment il appelle sa femme avec son portable :
– Chérie, juste une question, le chat est-il là ?
– Oui il vient d’arriver pourquoi ?
– Passe moi ce connard au téléphone, je suis perdu.
Les trois gouttes servent juste à se donner bonne conscience, en laissant le paysan qui cultive son maïs arroser en plein soleil, sous la pluie, bien brave, ce petit colibri.
Le riverain de Rue89 « Hulk » ou « Gros con de droite » a intégré la bande de trolls de Cyprien Luraghi au mois de mars 2009.
A cette époque, il disait « bouter les gauchistes » sur Rue89 et venait tout juste de perdre un précédent compte pour cause d’injures.
A l’inverse, Cyprien Luraghi et ses amis « déconnologues » qui se revendiquaient tous de l’extrême-gauche venaient sur Rue89 y faire la chasse aux « fascistes » ou aux victimes, ces dernières étant toujours à droite, c’est bien connu…
Pour se faire admettre sans réserve comme un des leurs par ces « antifascistes » auto-proclamés en dépit de professions de foi paraissant radicalement opposées, il a su en séduire le « Konducator » de la seule manière qui pouvait convenir, c’est-à-dire en prenant part très activement à tous ses harcèlements ou agressions à mon encontre…
Voici un extrait de leurs discussions d’alors ayant définitivement scellé leur amitié :
On dirait Chirac. « est-ce que j’ai la tête de quelqu’un qui veut restreindre les libertés » vous vous souvenez ?
non, vous devriez vraiment aller sur facebook
ici c’est pour échanger. Pour essayer d’évoluer. Essayer de comprendre celui qui ne pense pas pareil.
Comment voulez-vous que le monde s’en sorte ? Comment pourrions-nous nous comprendre avec les autres peuples si notre passion est justement de chercher les différences entre nous pour pouvoir nous affronter ?
vos solutions sont encore bonnes dans la cour du collège mais
après il faut être sérieux.
Toi, tu commences à me les brouter sérieux : tu déboules sur un fil de discussion où on parle du Tibet depuis 24 heures.
Tous les intervenants avant toi, sans aucune exception, sont restés dans le sujet, qu’lis soient d’accord ou pas entre eux ou qu’ils posent des questions à l’un ou l’autre.
Tu nous sors un laïus parfaitement insignifiant auquel nul d’entre nous ne peut répondre, et tu t’incrustes comme un morbaque. Et tu me fais la leçon. Sur quoi et pour quelle raison, je l’ignore.
Quand Haina, sur ce fil, est en désaccord avec moi, je lui réponds ; pas otujours de manière affable, mais lui non plus.
Mais quand ce même Haina poste des choses intelligentes sur un autre fil (l’article de Pierre Haski sur le syndicaliste chinois libéré), non seulement je lui fous la paix, mais en plus je lui colle un cinq sur cinq.
Bardamu, que je ne peux absolument pas pifer (et c’est très réciproque), est en ce moment en train de deviser sur Sade et Nietzsche sur Rue69 avec Egide, et il ne me viendrait pas à l’idée de lui coller aux basques : je lis attentivement ce que ces deux hommes ont à se dire, et c’est très intéressant.
En même temps, il faut que je rassemble mes souvenirs, mais je jurerais que ça t’est déjà arrivé de t’autoriser quelques légers hors-sujet dans tel ou tel fil ; -))
Je sais même pas pourquoi tu t’énerves après ce pauvre 643franc. C’est le fils caché de jexiste et de casimir, et en plus il a été bercé trop près du mur. C’est dur pour lui, la vie…
J’ai fait ça, et pas qu’une seule fois : mais je n’initie jamais le délire ; je prends le train en marche ou alors je papote sur des fils totalement déserts.
Sauf chez Serraf : mais là c’est normal.
[rajouti]
C’est dur pour lui la vie. OK, mais c’est lui qui l’a voulu. Je n’accorde jamais la moindre excuse à ceux qui se font chier dans la vie. Je suis d’une cruauté sans borne à leur égard.
Quelle que soit sa condition sociale, son milieu familial et tout le reste, se faire la vie belle est une question de choix, de détermination, de tripe et de couilles. Même pour les filles.
Ce n’est ni une pensée de droite, ni de gauche : y a des poltrons et des planqués partout ; des qui manquent de courage ; des frileux ; des tout petits.
2) Va donc sur un site de bisounours de gauche leur raconter ça, tu vas voir ta gueule. Et ensuite, va sur un site de droite ; tu seras pas accueilli pareil. On dira « Cyp, il est des nô-au-tres, il est de droite comme les au-au-tres ! »
Le 12 décembre dernier, Hulk a encore perdu un de ses multiples comptes sur Rue89 pour cause d’injures. Il s’était à mis à vociférer en majuscules et a sitôt recommencé avec un de ses autres comptes, ouvert depuis au moins deux ans.
Ah mais quand le rapport de force est en faveur de celui qui a besoin d’argent public, c’est différent. Là, on parle de clientèle électorale qui ne voterait pas pour nous même si on leur laissait leurs subventions, et qui n’ont aucun pouvoir de nuisance significatif par ailleurs. Donc on s’en fout.
Je ne nie pas leur utilité économique. Je voudrais juste qu’ils ferment leur claque-merde au lieu de songer à philosopher. Qu’ils s’occupent de bosser, de consommer, de pondre des mômes qui prendront le relais, et qu’ils en restent là, merci.
« Le budget n’est pas changé, il est juste réorienté, un détail qui ne manquera pas d’en étonner plus d’un. Le département arrose là où ça repoussera…. politiquement pour lui »
Tout comme le conseil général précédent arrosait là où c’était politiquement rentable pour lui. Changement de majorité, changement de clientèle, voilà tout.
Que la clientèle de l’ancienne majorité s’en offusque, ça fait partie du jeu, c’est sans importance.
PS : Bruxelles ne fait pas respecter la règle des 3% puisque la France ne l’a jamais respectée depuis le déclenchement de la crise de 2008.
Ça me rappelle un riverain d’ici qui il y a quelques années nous expliquait qu’il y avait autant de poésie, de profondeur romanesque, voire de métaphysique dans certains jeux vidéos que dans les Frères Karamazov.
Avant, les imbéciles ne recevaient pas d’éducation, et du coup n’emmerdaient personne. De nos jours, ils reçoivent une sorte d’éducation dite supérieure, ce qui leur permet de se croire intelligents et de proférer toutes sortes d’âneries, à l’image de cet article.
On vit vraiment dans une époque de trouducs. Trouducs éduqués certes, mais trouducs quand-même.
L’article précise bien que le budget reste le même, par conséquent où est le problème économique ?
Ce ne sont peut-être pas les mêmes artistes qui vont en profiter, certains vont y perdre et d’autres y gagner, c’est au contraire très sain, ça fait respirer l’écosystème.
Personne ne reproche aux Allemands de 2015 ce que les Allemands des années 40 ont fait. De la même manière, personne ne reproche aux Turcs de 2015 ce que les Turcs des années 1910 ont fait.
Nous sommes en France, vous avez le droit d’avoir pour opinion qu’il n’y a pas eu de génocide des Arméniens. Personne n’est interdit de professer des opinions fausses et ridicules.
Il n’y a que deux possibilités pour expliquer que vous disiez ce que vous dites :
1) soit vous êtes mal informé, et croyez vraiment ce que vous dites. Auquel cas vous êtes un imbécile ; il est si facile de s’informer à des sources contradictoires sur ce sujet qui ne peuvent amener l’esprit doté d’esprit critique qu’à une seule conclusion : il y a bien eu génocide des Arméniens par le gouvernement turc.
2) Soit vous savez très bien tout cela, mais avez choisi de verser dans la propagande nationaliste (votre couplet mensonger sur les Kurdes ainsi que cette recherche de « nuance » (ben voyons) font que nous sommes vraisemblablement dans ce second cas. Auquel cas vous êtes un salopard de la pire espèce, un prêcheur de haine et de violence qui ne mérite que mépris.
Dans les deux cas, il est légitime qu’on se foute copieusement de votre gueule, pitre grotesque et malfaisant que vous êtes.
Ah voilà, typique !
Le bon bobo peinard chez lui qui n’était pas dans le quartier où ça a pété ramène tout à sa pauvre pomme et s’en contrefout des malheurs du monde du moment que son compte en banque va bien.
« Comment des cambrioleurs pourraient-ils revendre ce qu’ils ont volé s’il n’y avait plus de cash en circulation ? “
Argument habituel, quel que soit le sujet, qu’ont en commun les fachos et les biomormons de centre-gauche quand il s’agit d’interdire et de fliquer les gens (pour leur bien, bien entendu).
Je suis sûr que vous dites ça à cause de mon pseudo, mais en fait c’est pas moi, j’ai eu la flemme de me refaire un n-ième compte alors j’ai braqué un riverain qui déambulait par là.
Oh bah moi je m’en branle pas mal. Je suis même sûr qu’avec la Murène La Pine au pouvoir je paierais moins d’impôts et que mes domestiques fileraient doux.
Pas du tout. Ce qui décourage les commentateurs ce sont les causes suivantes :
a) la calamiteuse V3 qui ne marche pas, et qui quand elle marche à peu près propose une ergonomie qui fait fuir
b) la nullité accablante dans laquelle se vautre rue89 depuis son virage vers la revnum
c) les commandos d’extrême-droite que la modération laisse prospérer dans les commentaires en toute impunité
d) la posture de dame patronnesse de la rédaction envers les commentateurs.
ON S’EN FOUT DE VOTRE FAMILLE. MON PÈRE A ÉTÉ TUÉ PAR LA POLICE FRANÇAISE EN 1961 ALORS QU’IL EXPRIMAIT SES OPINIONS EN MANIFESTANT, ALORS VOUS POUVEZ VOUS GARDER VOS LEÇONS DE MORALE À DEUX BALLES.
AH BON, ON N’A PAS LE DROIT DE CONSIDÉRER QUE LA DÉMOCRATIE EST PERVERTIE EN FRANCE PAR UNE CERTAINE CLASSE ÉCONOMICO-INTELLECTUELLE QUI IMPOSE PAR SON SOFT-POWER SES CONCEPTIONS À LA SOCIÉTÉ, RENDANT LE VOTE INUTILE POUR QUICONQUE SOUHAITE DÉROGER ?
NE SERIEZ-VOUS PAS UN PEU FACHOTE TENDANCE CONTRÔLEUSE DE LA PENSÉE CORRECTE, VOUS ?
LA MEUTE DES ENNEMIS DE LA LIBERTÉ D’EXPRESSION QUI USENT DE HARCÈLEMENT MORAL POUR FAIRE TAIRE QUICONQUE PROFESSE DES IDÉES QUI LEUR DÉPLAISENT ICI, ET QUI OURDISSENT LEURS VILES EXPÉDITIONS DEPUIS LEUR BLOG SECRET DE NERVIS.
« Ca me semble assez prudent et scientifique comme démarche. »
Peut-on savoir sur quel corpus de savoirs acquis vous vous appuyez pour vous permettre de juger de la pertinence d’une approche scientifique ? On apprend ça en filière littéraire ?
Si des pirates s’amusent à copier à l’identique le site de la BNP avec exactement le même système pour taper son code « à la souris », c’est bien pour le récupérer non ?
De toute façon pour piquer un mot de passe un email de phishing renvoie sur un faux site, que ce soit un code au clavier ou à la souris n’y change pas grand chose.
Qu’est-ce qu’ils sont lassants avec leurs jérémiades. Vous allez vous sortir les doigts du cul et prendre votre vie en main oui ! Au lieu de geindre comme des gamins.