Mon pirate : des adresses en Allemagne et en Italie 8 février
Le 12 novembre dernier, j’avais eu la surprise de découvrir que mes archives contenaient plusieurs messages électroniques infestés de troyens en pièces jointes. Le plus ancien datait du 12 novembre 2008 et n’avait jamais été décelé plus tôt par mon antivirus. Les autres étaient tous de 2015 et n’avaient pas plus été repérés lors de leur réception. Mon antivirus m’avait toutefois alertée à plusieurs reprises au cours de cette année, j’ai bien été bombardée de virus tout au long de l’année 2015, particulièrement au cours du mois d’avril, les 15, 21, 27 et 29 avril.
Comme je l’indiquais le 12 novembre dernier, le tout premier des troyens alors découverts m’avait été envoyé le 12 novembre 2008 par un pirate utilisant une adresse localisée à Oufa, en Russie.
Le 5 février 2015, j’avais déjà publié le corps d’un des messages de l’année dernière, reçu la veille, 4 février 2015, à 15h01, en évoquant sa pièce jointe horodatée du 4 février 2015 à 14h00, un virus que je croyais avoir été immédiatement anéanti par mon antivirus qui me l’avait bien signalé.
Il convient de noter à propos de ce « spam » personnalisé que l’audience devant la cour d’appel de Rennes que Cyprien Luraghi attendait avec impatience depuis le 12 juin 2013 afin de voir confirmer ma condamnation du 11 juin 2013 et alourdir les peines prononcées à mon encontre en première instance à Brest, était alors fixée au 4 février 2015 à 14h00 depuis le précédent report, du 5 novembre 2014, et que nous avions été prévenus quelques jours plus tôt qu’elle donnerait lieu à un nouveau report, cette fois inattendu.
Comme je l’avais déjà indiqué l’année dernière, la « plaisanterie » du 4 février 2015 semblait venir d’Allemagne, plus précisément de cette adresse à Hürth, à 9 km de Cologne :
IP-Adresse: | 92.204.27.245 | |
Provider: | QSC AG | |
Region: | Hürth (DE) |
Le premier des troyens de l’année dernière, du 19 janvier 2015, provenait pour sa part de cette adresse, à Schio, en Vénétie, dans le nord de l’Italie :
IP-Adresse: | 95.226.164.41 | |
Provider: | Telecom Italia | |
Region: | Schio (IT) |
Et le 30 avril 2015, j’avais publié un nouveau message infesté que j’avais reçu trois jours plus tôt et qui provenait de cette adresse à Turin, dans le Piémont, toujours dans l’Italie du Nord :
IP-Adresse: | 151.32.86.159 | |
Provider: | WIND Telecomunicazioni S.p.A | |
Region: | Torino (IT) |
https://fr.wikipedia.org/wiki/H%C3%BCrth
Hürth
Hürth | ||||||||||||
Héraldique |
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Administration | ||||||||||||
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Pays | Allemagne | |||||||||||
Land | Rhénanie-du-Nord-Westphalie | |||||||||||
District (Regierungsbezirk) |
Cologne | |||||||||||
Arrondissement (Landkreis) |
Rhin-Erft | |||||||||||
Nombre de quartiers (Ortsteile) |
12 | |||||||||||
Bourgmestre (Bürgermeister) |
Walther Boecker (SPD) | |||||||||||
Code postal | de 50354 | |||||||||||
Code communal (Gemeindeschlüssel) |
05 3 62 028 | |||||||||||
Indicatif téléphonique | +02-233 | |||||||||||
Immatriculation | BM | |||||||||||
Démographie | ||||||||||||
Population | 57 418 hab. (31 décembre 2005) | |||||||||||
Densité | 1 122 hab./km2 | |||||||||||
Géographie | ||||||||||||
Coordonnées | 50° 52′ Nord 6° 52′ Est | |||||||||||
Altitude | Min. 54 m – Max. 154,8 m | |||||||||||
Superficie | 5 117,3 ha = 51,173 km2 | |||||||||||
Localisation | ||||||||||||
Géolocalisation sur la carte : Allemagne |
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Liens | ||||||||||||
Site web | www.huerth.de | |||||||||||
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Hürth est une ville allemande d’environ 57 000 habitants, située près du Rhin dans le sud du land de Rhénanie-du-Nord-Westphalie, dans l’arrondissement de Rhin-Erft et le district de Cologne, à 9 km au sud-ouest de la ville de Cologne.
Sommaire
Géographie
Hürth est située au sud-ouest de Cologne, dans le nord-est du massif de Ville et fait partie du Parc naturel de Rhénanie.
Histoire
Les premières traces de peuplement sur le site de Hürth sont antérieures à l’époque romaine. La ville a conservé un précieux patrimoine des époques romaine et franque. Parmi cet héritage, la curiosité archéologique la plus surprenante est peut-être les restes de l’aqueduc de l’Eifel, un des plus longs aqueducs de l’Empire romain, approvisionnant Cologne en eau.
Vers la fin du Moyen Âge et au début de la Renaissance, le secteur a été partagé entre Cologne et le duché de Juliers. La zone de Hürth a ensuite fait partie du duché de Brabant, sous l’autorité des Valkenburg et appartint donc à l’Espagne, puis plus tard aux Pays-Bas autrichiens.
Lors de l’occupation de la Rhénanie par les troupes françaises, en 1797, deux municipalités furent créées sur le secteur de la ville actuelle de Hürth : Hürth et Efferen.
Politique
Économie
Hürth était autrefois un centre important de l’industrie minière avec l’extraction de lignite. Elle a dû faire face, après 1988 à la fin de cette exploitation et à la nécessité d’une reconversion industrielle qu’elle semble avoir réussie. Dans des zones industrielles nouvelles, s’est constitué un tissu de petites et moyennes entreprises performantes. Des sociétés innovantes se sont installées dans le parc chimique et dans la technopole de Knapsack. La ville est aussi, avec ses trente studios de télévision, un important centre de la production audiovisuelle allemande.
Administration
Quartiers
Hürth est divisée en douze quartiers :
- Alstädten-Burbach
- Alt-Hürth
- Berrenrath
- Efferen
- Fischenich
- Gleuel
- Hermülheim
- Kalscheuren
- Kendenich
- Knapsack
- Sielsdorf
- Stotzheim
Enseignement
Monuments
- Église Saint-Martin (Pfarrkirche St. Martinus), église catholique néo-gothique.
- Château fort de Kendenich
- Château fort d’Efferen
- Château fort de Gleuel
- Château fort de Fischenich (en ruines), datant des XIIe / XIIIe siècles, un des témoignages les plus importants de l’architecture militaire féodale du haut Moyen Âge en Rhénanie.
Culture
Hürth possède une œuvre du sculpteur allemand Hubert Bruhs (1922-2005), « Der Schrei », réalisée pour rendre hommage aux victimes du nazisme. Elle est exposée dans un parc.
Musées
Personnalités nées à Hürth
- Ferdinand von Lüninck (1755-1825), abbé de Corvey (1794-1802), puis évêque de Münster (1820-1825).
- Paul Henckels (1885-1967), acteur.
- Josef Metternich (1915-2005), chanteur d’opéra.
- Wilhelm Hoffsümmer (° 1941), prêtre et écrivain pour la jeunesse, auteur du livre Wir freuen uns auf die Predigt, publié en 1984 et vendu à plus de 1,1 million d’exemplaires1.
- Klaus Lennartz (° 1944), homme politique, député au Bundestag.
- Michael Schumacher (1969) pilote de Formule 1, détenteur de sept titres de champion du monde.
- Ulf Heppekausen (° 1969), juriste, historien du droit, auteur du livre Les Statuts de Cologne de 1437 (Die Kölner Statuten von 1437)2.
- Joachim Frenz (° 1969), photographe.
- Reinhard Kleist (° 1970), auteur de bandes dessinées.
- Christophe Kamps (° 1973), économiste.
- Ralf Schumacher (° 1975), pilote de Formule 1.
Jumelages3
- Argelès-sur-Mer (France) depuis 1988 ;
- Kabarnet (Kenya) depuis 1988 ;
- Skawina (Pologne) depuis 1996 ;
- Spijkenisse (Pays-Bas) depuis 1966 ;
- Thetford (Royaume-Uni) depuis 1966.
Notes et références
- ↑ Willi Hoffsümmer, Wir freuen uns auf die Predigt — Beispiele für Kinder-, Jugend- und Familiengottesdienste, 119 pp., M. Grünewald, Mainz (1984) (ISBN 3-7867-0574-7)
- ↑ Ulf Heppekausen, Die Kölner Statuten von 1437, 331 pp., Böhlau (1999) (ISBN 3-4121-3098-2)
- ↑ (de) Site sur les villes jumelées avec Hürth [archive]
Lien externe
https://fr.wikipedia.org/wiki/Schio
Schio
Schio | ||||||||||||
Le centre culturel |
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Administration | ||||||||||||
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Pays | Italie | |||||||||||
Région | Vénétie | |||||||||||
Province | Vicence | |||||||||||
Code postal | 36015 | |||||||||||
Code ISTAT | 024100 | |||||||||||
Code cadastral | I531 | |||||||||||
Préfixe tel. | 0445 | |||||||||||
Démographie | ||||||||||||
Gentilé | scledensi | |||||||||||
Population | 39 566 hab. (31-12-20101) | |||||||||||
Densité | 591 hab./km2 | |||||||||||
Géographie | ||||||||||||
Coordonnées | 45° 43′ 00″ Nord 11° 22′ 00″ Est | |||||||||||
Altitude | Min. 200 m – Max. 200 m | |||||||||||
Superficie | 6 700 ha = 67 km2 | |||||||||||
Divers | ||||||||||||
Saint patron | San Pietro, Santa Felicissima | |||||||||||
Fête patronale | 29 juin | |||||||||||
Localisation | ||||||||||||
Géolocalisation sur la carte : Italie |
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Liens | ||||||||||||
Site web | http://www.comune.schio.vi.it | |||||||||||
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Schio est une ville italienne de la province de Vicence en Vénétie.
Sommaire
Personnalités
Personnalités nées à Schio
- Renato Baron (1932-2004), ancien conseiller municipal, qui aurait bénéficié à partir de 1985 de nombreuses apparitions de la Vierge Marie et de Jésus, à San Martino de Schio, où s’est développé un important sanctuaire : Regina dell’Amore.
- Pierre Tresso (1893-1943), homme politique, militant communiste, trotskiste
Autres
- Mario Lanzi, (1914-1980), athlète, mort à Schio
- Joséphine Bakhita (1869-1947), sainte de l’Église catholique
Administration
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
28 juin 2004 | en cours | Luigi Dalla Via | Centro-Sinistra | |
Les données manquantes sont à compléter. |
Hameaux
Aste, Cabrelle, Giavenale, Monte Magrè, Piane, Poleo, Santa Caterina, Santa Maria, San Rocco, Sant’Ulderico, Magrè, Liviera, Cà Trenta, Ss. Trinità, Santa Croce
Communes limitrophes
Marano Vicentino, Monte di Malo, Posina, San Vito di Leguzzano, Santorso, Torrebelvicino, Valdagno, Valli del Pasubio, Velo d’Astico, Zanè
Évolution démographique
Habitants recensés
Jumelages
Notes et références
- ↑ (it) Popolazione residente e bilancio demografico [archive] sur le site de l’ISTAT.
Voir aussi
Sur les autres projets Wikimedia :
- Schio, sur Wikimedia Commons
https://fr.wikipedia.org/wiki/Turin
Turin
Turin | ||||||||||||
Héraldique |
Drapeau |
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Noms | ||||||||||||
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Nom italien | Torino | |||||||||||
Nom piémontais | Türìn | |||||||||||
Administration | ||||||||||||
Pays | Italie | |||||||||||
Région | Piémont | |||||||||||
Ville métropolitaine | Turin | |||||||||||
Maire | Piero Fassino 2011-2016 |
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Code postal | 10100 | |||||||||||
Code ISTAT | 001272 | |||||||||||
Code cadastral | L219 | |||||||||||
Préfixe tel. | 011 | |||||||||||
Démographie | ||||||||||||
Gentilé | torinesi, en italien turinois, en français |
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Population | 897 265 hab. (30-11-20141) | |||||||||||
Densité | 6 902 hab./km2 | |||||||||||
Géographie | ||||||||||||
Coordonnées | 45° 04′ 00″ Nord 7° 42′ 00″ Est | |||||||||||
Altitude | Min. 240 m – Max. 715 m | |||||||||||
Superficie | 13 000 ha = 130 km2 | |||||||||||
Divers | ||||||||||||
Saint patron | Jean le Baptiste | |||||||||||
Fête patronale | 24 juin | |||||||||||
Localisation | ||||||||||||
Géolocalisation sur la carte : Italie |
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Liens | ||||||||||||
Site web | http://www.comune.torino.it/fr/ | |||||||||||
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Turin (Torino en italien – Türìn en piémontais) est une ville italienne, chef-lieu de la ville métropolitaine de Turin et de la région du Piémont. Turin fut la capitale des États de Savoie de 1563 à 1713, du royaume de Sicile de 1713 à 1720, du royaume de Sardaigne de 1720 à 1861 et du royaume d’Italie de 1861 à 1865.
Sommaire
- 1 Géographie
- 2 Histoire
- 3 Administration
- 4 Démographie
- 5 Économie
- 6 Transports
- 7 Éducation
- 8 Culture
- 9 Sports
- 10 Gastronomie
- 11 Monuments et curiosités
- 12 Personnalités liées à la ville
- 13 Résidents notables
- 14 Jumelages et accords de collaboration
- 15 Galerie de photos
- 16 Notes et références
- 17 Voir aussi
Géographie
Situation
Turin est traversée selon un axe nord-sud par le fleuve Pô, et selon un axe est-ouest par le 45e parallèle. La ville est bordée à l’est par la colline turinoise qui surplombe la ville, et à l’ouest par les Alpes avec le val de Suse.
L’agglomération de Turin compte près de 1 700 000 habitants, tandis que son aire urbaine compte 2 200 000 habitants, ce qui en fait la quatrième plus grande ville d’Italie.
Les activités économiques sont très nombreuses : automobiles et sous-traitance (Fiat), micro-informatique (Olivetti), construction ferroviaire, assurances (Toro, Reale Mutua), banques (San Paolo, CRT), transports routiers, mode et textile (Borbonese, Carlo Pignatelli, Kristina Ti, Fisico, Brooksfield, Jaggy, Kappa, Superga) industrie agroalimentaire et dérivées (Lavazza, Martini) ; ce qui en fait un des poumons économiques de l’Italie. Turin a longtemps constitué avec Milan et Gênes le triangle industriel du pays, maintenant beaucoup plus diffus. Le boom économique (« il miracolo ») des années de l’après-guerre y a été particulièrement puissant (migration intérieure des gens du Sud et de la Vénétie vers le Nord-Ouest).
Climat
Le climat de Turin est de type subtropical humide (Cfa selon la classification de Köppen), avec comme particularité de forts écarts de température entre l’hiver et l’été qui lui donnent une tendance continentale. La pluviométrie est abondante et atteint un maximum au printemps (et un maximum secondaire au mois d’octobre). En outre, la ville est soumise à la proximité climatique des Alpes et à des vents de foehn.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | −3 | −1 | 2 | 6 | 10 | 14 | 16 | 16 | 13 | 7 | 2 | −2 |
Température maximale moyenne (°C) | 6 | 8 | 13 | 17 | 21 | 25 | 28 | 27 | 23 | 17 | 11 | 7 |
Ensoleillement (h) | 4 | 4 | 5 | 6 | 6 | 7 | 8 | 7 | 6 | 5 | 4 | 4 |
Précipitations (mm) | 41 | 53 | 77 | 104 | 120 | 98 | 67 | 80 | 70 | 89 | 76 | 42 |
Humidité relative (%) | 75 | 75 | 67 | 72 | 75 | 74 | 72 | 73 | 75 | 79 | 80 | 80 |
Histoire
Origines
L’histoire de Turin débute au IIIe siècle av. J.-C. quand, le long de la rive du Pô, s’installent les premières tribus celtiques à la recherche des plaines cultivables. Elles sont appelées taurines, d’où le nom de leur première implantation : Taurasia. En 218 av. J.-C., le petit village, allié de Rome, est assiégé et pris par l’armée carthaginoise d’Hannibal avec ses fameux éléphants.
À l’époque de Jules César, on fait construire la Porta Palatina présente aujourd’hui à côté de la place de la république.
Toute la Gaule cisalpine, dont la cité des Turins, est soumise peu à peu par Rome au cours des IIIe et IIe siècle av. J.-C.
Turin a été fondée à l’époque romaine par Auguste, sous le nom d’Augusta Taurinorum. Le blason municipal illustre cette origine avec son taureau doré. En 312 la ville est prise par Constantin Ier. Après la chute de l’Empire romain, la ville fut conquise par les Lombards, puis par les Francs de Charlemagne (773). Elle est ensuite contrôlée par la dynastie d’Arduin d’Ivrée du milieu du Xe siècle jusqu’à 1050. Après le mariage d’Adélaïde de Suse avec le fils d’Humbert Ier de Savoie, la famille des comtes de Savoie en a pris le contrôle. En 1419, la Savoie annexe l’ensemble du Piémont.
Développement
La ville prend son essor en 1563, lorsqu’elle devient la capitale de la Savoie à la place de Chambéry. En 1706, pendant la bataille de Turin, les Français assiègent la ville pendant 117 jours sans la conquérir. Elle devient la capitale du royaume de Sicile quand cette île est attribuée au duc de Savoie par le traité d’Utrecht en 1713, puis de celui de Sardaigne en 1720 après échange des îles et des titres royaux. Devenue la capitale d’un royaume européen, Turin compte environ 90 000 habitants à l’époque.
En 1798, Turin est prise par les Français, lors de la constitution de la République piémontaise. Le 13 mai 1799, la ville est occupée pendant deux semaines par les troupes austro-russes du général russe Alexandre Souvorov . Celui-ci proclame la restitution du Piémont au roi Charles-Emmanuel III de Sardaigne . Mais la ville est reprise par les Français, en 1800, après la bataille de Marengo.
De 1802 à 1814, Turin devient le chef-lieu du département du Pô. Au XIXe siècle, après l’occupation française sous la Révolution et le Premier Empire, elle devient en peu de temps une imposante capitale.
Turin va lancer le processus d’unification de l’Italie, grâce à Victor-Emmanuel et Camillo Cavour, personnalité politique qui donne le nom de Risorgimento à ce processus d’unification. Avec la participation active de Giuseppe Garibaldi, et l’appui militaire du Second Empire français, ces trois hommes vont réussir à unifier l’Italie.
Ainsi, en 1861, Turin est la première capitale du royaume d’Italie, avant de perdre ce rôle en 1865 au profit de Florence, puis de Rome en 1870. En 1871, le tunnel du Fréjus est ouvert, ce qui transforme Turin en un nœud de communication important entre l’Italie et la France. La ville compte alors 250 000 habitants. Quelques-uns des monuments les plus emblématiques de la ville, comme le musée égyptien ou le Mole Antonelliana, sont construits durant cette période.
La ville industrielle
Depuis 1899, Turin est le siège historique du constructeur automobile Fiat. Une exposition internationale des arts décoratifs modernes se tient à Turin en 1902, à l’apogée de l’Art nouveau, et la ville accueille l’Exposition universelle en 1911. À l’époque, Turin passe à 430 000 habitants.
Après la Première Guerre mondiale, les conflits entre les travailleurs et les industriels s’aggravent. Les premières grèves ont lieu ; en 1920, l’usine du Lingotto est occupée. Turin devient un centre industriel important au cours de la première partie du XXe siècle, grâce principalement à l’industrie automobile, de sorte que la ville gagne le surnom de la capitale de l’automobile.
Turin est la cible de bombardements stratégiques des Alliés pendant la Seconde Guerre mondiale et est lourdement endommagé par les raids aériens. La ville est une cible en raison de sa production industrielle, dont Fiat, qui produit des avions, des chars et des automobiles pour l’effort de guerre de l’Axe. Turin n’est conquise par les Alliés qu’au cours de l’offensive du printemps de 1945, et, après une insurrection générale, elle est libérée par les partisans italiens le 25 avril 1945.
Turin moderne
Après la Seconde Guerre mondiale, Turin est rapidement reconstruite et sa base industrielle connaît un développement considérable durant les années 1950 et 1960, ce qui attire des centaines de milliers de migrants venus des régions du sud de l’Italie. En 1957, la ville partage avec Bordeaux le Prix de l’Europe2. La population atteint 1 million d’habitants en 1960 et culmine à près de 1,2 million en 1971. Dans les années 1970 et 1980, la crise de l’industrie automobile frappe durement la ville, et sa population commence à décroître fortement, perdant plus d’un quart de son total en 30 ans.
En 2006, Turin accueille les XXe Jeux olympiques d’hiver. Les investissements effectués à cette occasion dans la ville et les infrastructures – tel que le métro – contribuent à la modernisation de Turin.
En 2012, Turin accueille la dix-huitième édition du festival international de chant choral, Europa Cantat.
Administration
Le maire de Turin est directement élu tous les cinq ans. Piero Fassino, le maire actuel, appartient à la coalition centre-gauche. Turin est divisée en 10 arrondissements qui ne correspondent pas nécessairement aux quartiers historiques de la ville.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
1945 | 1946 | Giovanni Roveda | PCI | |
1946 | 1948 | Celeste Negarville | PCI | |
1948 | 1951 | Domenico Coggiola | PCI | |
1951 | 1962 | Amedeo Peyron | DC | |
1962 | 1964 | Giovanni Carlo Anselmetti | DC | |
1964 | 1965 | Luciano Jona | PLI | |
1965 | 1968 | Giuseppe Grosso | DC | |
1968 | 1970 | Andrea Guglielminetti | DC | |
1970 | 1973 | Giovanni Porcellana | DC | |
1973 | 1973 | Guido Secreto | PSI | |
1973 | 1975 | Giovanni Picco | DC | |
1975 | 1985 | Diego Novelli | PCI | |
1985 | 1987 | Giorgio Cardetti | PSI | |
1987 | 1990 | Maria Magnani Noya | PSI | |
1990 | 1992 | Valerio Zanone | PLI | |
1992 | 1993 | Giovanna Cattaneo Incisa | PRI | |
1993 | 2001 | Valentino Castellani | DS | |
2001 | 2011 | Sergio Chiamparino | PD | |
2011 | 2016 | Piero Fassino | PD | |
Les données manquantes sont à compléter. |
Hameaux
- Villaretto ;
- Reaglie ;
- Cavoretto.
Communes limitrophes
Venaria Reale, Settimo Torinese, Borgaro Torinese, San Mauro Torinese, Collegno, Rivoli, Baldissero Torinese, Grugliasco, Pino Torinese, Orbassano, Pecetto Torinese, Beinasco, Moncalieri, Nichelino, None, Volvera, Piscina, Pinerolo, San Secondo di Pinerolo
Démographie
Pays de naissance | Population |
---|---|
Roumanie | 47 675 |
Maroc | 17 532 |
Pérou | 7 041 |
Albanie | 5 371 |
Chine | 4 441 |
Égypte | 3 291 |
Moldavie | 2 951 |
Philippines | 2 713 |
Nigeria | 2 645 |
Brésil | 1 804 |
Tunisie | 1 604 |
Équateur | 1 345 |
Sénégal | 1 312 |
France | 1 171 |
Espagne | 656 |
Ukraine | 637 |
Bangladesh | 592 |
Habitants recensés (en milliers)
Économie
Turin est un centre industriel important où se trouve l’ancien siège de l’entreprise automobile FIAT, maintenant situé aux Pays-Bas depuis le rachat de Chrysler par le groupe Fiat (FIAT-Chrysler). La ville a un PIB de 58 milliards de dollars et est 78e ville la plus riche en pouvoir d’achat.
Turin est le foyer du complexe industriel du Lingotto, qui fut à une époque la plus grande usine automobile du monde, et abrite aujourd’hui un centre des congrès, une salle de concert, un multiplexe, une galerie d’art, un centre commercial et un hôtel. Les autres grandes entreprises fondées à Turin sont Lancia, Pininfarina, Bertone, Sparco, Italdesign, Ghia, Fioravanti, Stola, Intesa Sanpaolo le grand groupe bancaire, Borbonese et Mialuis dans le cuir, Kristina Ti et Fisico dans le prêt-à-porter, Carlo Pignatelli dans le vêtements de mariage, Kappa dans le sport, Superga, Invicta (1821), Laura Tonatto, Nicolao 1804 et Xerjoff dans le monde de parfums haut de gamme, Lavazza et Vergnano dans le café, Martini & Rossi et les fabriques de chocolat Caffarel, Streglio, Guido Gobino, Domori.
La ville est également connue pour son industrie de l’aéronautique (Alenia). La station spatiale internationale modules Harmony, Columbus, tranquillité, ainsi que la coupole et tous les MPLM ont été produites à Turin. Les projets des futurs lanceurs européens au-delà d’Ariane 5 seront aussi gérés depuis Turin, par la nouvelle société NGL, une filiale d’EADS (70 %) et Finmeccanica (30 %).
Turin est aussi le berceau de quelques-unes des principales entreprises du pays, telles Telecom Italia, la RAI, et le cinéma. La plupart de ces industries ont déménagé depuis leur siège dans d’autres parties de l’Italie, Turin conserve encore le musée national du Cinéma (dans le bâtiment du môle d’Antonelli).
Turin s’est aussi imposée comme une destination touristique de plus en plus populaire, soit la 203e dans le monde en 2008, avec environ 240 000 arrivées internationales chaque année. Elle est la 10e destination de l’Italie après Rome, Milan, Venise, Florence, Naples, Palerme, Rimini, Vérone et Gênes.
Transports
Sur le plan ferroviaire, la ville de Turin est desservie par trois gares principales : Porta Susa, Torino Lingotto et Porta Nuova qui est la gare principale disposée en terminus. Elle se trouve au débouché de la ligne du Mont-Cenis, qui par le tunnel ferroviaire du Fréjus, relie les réseaux ferroviaires français et italiens Trenitalia, la ville est ensuite reliée au reste du pays par le réseau InterCity (horaire cadencé) et les ETR 500 (trains à grande vitesse).
Turin dispose d’un réseau de tramways. Une ligne de chemin de fer à crémaillère relie le quartier de Sassi à la basilique de Superga. Une ligne de métro automatique de type véhicule automatique léger (VAL) a été inaugurée à l’occasion des Jeux olympiques d’hiver : elle a d’abord relié la place XVIII Dicembre, près de la gare de Porta Susa, à la périphérie ouest de la ville, avant d’être prolongée jusqu’à la gare de Porta Nuova en 2007 et à la zone du Lingotto en 2011.
Une ligne de train à grande vitesse (TGV) reliant Lyon à Turin via Chambéry, comprenant plusieurs tunnels sous les Alpes, et couplée à une ligne nouvelle de transports de marchandises, est en projet. Elle pourrait être mise en service vers 2025. Par ailleurs, la ligne à grande vitesse Turin-Milan a été mise en service le 13 décembre 2009. Le tronçon entre Turin et Novare a déjà été mis en service en 2005. Cette ligne permet de raccorder Turin au réseau à grande vitesse Milan-Rome. Une ligne est en construction entre Milan et Trieste, à l’est. Pour plus de détails, consultez Treno ad Alta Velocità.
L’aéroport Sandro-Pertini de Turin Caselle, est situé à 16 km au nord du centre ville. Il est relié à la ville par une autoroute (Raccordo Autostradale Torino-Caselle) et par un train.
Éducation
Turin abrite l’une des plus anciennes universités d’Italie, l’université de Turin, qui se classe toujours parmi les meilleures universités d’Italie. Une autre université établie dans la ville est l’École polytechnique de Turin, qui se classe parmi les 50 premières universités dans le monde et numéro 1 en Italie4. L’école de commerce ESCP Europe, classée parmi les 10 meilleures écoles de commerce en Europe, a également un campus à Turin. Ces dernières années, deux petits établissements de langue anglaise de l’enseignement supérieur ont été ouverts (St. John International University, International University College de Turin).
Culture
Littérature
Depuis de nombreux siècles, Turin a commencé à attirer les écrivains notamment après la création de la cour du duché de Savoie.
L’un des écrivains les plus célèbres du XVIIe siècle est Giambattista Marino, qui, en 1608, s’installe à la cour de Charles-Emmanuel Ier de Savoie, il y a pourtant subi une tentative d’assassinat par un rival, Gaspar Murtola, et a ensuite été emprisonné pendant un an pour ce qu’il avait dit et écrit contre le duc, et peut-être pour cela, en 1615, il quitta Turin et s’installa en France.
Les principales figures littéraires au cours de l’époque baroque à Turin ont été Emanuele Tesauro et Alessandro Tassoni, puis le poète Vittorio Alfieri qui y a séjourné pendant quelque temps. La situation était très différente dans le XIXe siècle, surtout après que la ville est devenue un point de référence pour l’unification italienne et, ultérieurement, la capitale du Royaume d’Italie. En effet, dans ces années de nombreux écrivains résidaient dans la ville : Tommaseo, Settembrini et John Meadows ou encore Olimpia Savio, une femme majeure de la littérature et de la culture de cette époque
À la fin du XIXe siècle et début du XXe siècle, Turin accueillait des écrivains comme Guido Gozzano, Edmondo De Amicis et Emilio Salgari et Dino Segre, connu sous le pseudonyme de Pitigrilli.
Turin a un rôle très important dans la littérature italienne après la Seconde Guerre mondiale: il agit comme un catalyseur avec la maison d’édition fondée en 1933 par Giulio Einaudi auprès de laquelle ont travaillé des intellectuels renommés dont Felice Balbo, Norberto Bobbio, Italo Calvino, Cesare Cases, Gianfranco Contini, Oreste del Buono, Carlo Dionisotti, Franco Fortini, Carlo Fruttero, Leone Ginzburg, Natalia Ginzburg, Antonio Giolitti, Franco Lucentini, Massimo Mila, Carlo Muscetta, Cesare Pavese, Giaime Pintor, Vittorio Strada, Franco Venturi, Elio Vittorini5.
Cinéma
Turin est la ville italienne où le cinéma a été introduit en Italie, en raison de la proximité historique, géographique et culturelle avec le cinéma français et les frères Lumière de Lyon. C’est à Turin, en mars 1896, que les inventeurs ont effectué le repérage du premier tournage d’un film jamais produit en Italie et, en novembre, dans la Via Po, la première représentation devant un public payant.
Certains des premiers films italiens ont d’abord été diffusés à Turin à partir de 1907. Ce fut le cas du film de Giovanni Pastrone, Cabiria, en 1914, l’un des premiers films à succès de l’histoire.
En 1956, le musée national du Cinéma a ouvert, d’abord hébergé dans le Palazzo Chiablese, puis, à partir de 2000, dans le bâtiment de la Mole Antonelliana. Dans les années 1980 un groupe d’universitaires et de critiques de Turin a donné naissance, avec le soutien des autorités locales, au festival du film, qui depuis 1997 a été rebaptisé le « Festival du film de Turin » pour obtenir un point de référence au niveau international, en particulier pour le cinéma expérimental et de la jeunesse, en second lieu après le Festival du film de Venise en Italie.
Se tiennent également dans la ville, le Festival du film gay et lesbien de Turin, le Festival international du cinéma féminin, le Festival du film Sottodiciotto lié aux thèmes de l’adolescence, CinemAmbiente et VIEW Conference, un événement consacré à la réalité virtuelle.
Aujourd’hui, Turin est une des centres principaux du cinéma et de la télévision en Italie.
Arts
Le duc Emmanuel-Philibert de Savoie a permis à Turin de devenir un important tribunal et les ducs avaient l’ambition de transformer la ville en une grande capitale artistique et culturelle. C’est pourquoi un grand nombre d’artistes de grande réputation, en particulier les architectes et les planificateurs, comme Carlo di Castellamonte et son fils Amedeo, Guarino Guarini et, au XVIIIe siècle, Filippo Juvarra et Vittorio Alfieri ont fait construire de beaux bâtiments.
Quant à la peinture et les arts visuels, Turin devient un point de référence, en particulier au XXe siècle. Dans les années 1920 grâce au peintre Felice Casorati, qui a inspiré un certain nombre d’étudiants, appelé le groupe des six de Turin, dont Carlo Levi, Henry Paolucci, Gigi Chessa, Francis Menzio, Nicola Galante et Jessie Boswell. Dans ce courant également, deux artistes importants: le sculpteur Umberto Mastroianni et de l’architecte Carlo Mollino.
Entre les années 1960 et 1970, Turin est devenue le centre international de l’Arte Povera, avec la présence dans la ville d’artistes tels que Alighiero Boetti, Mario Merz, Giuseppe Penone, Piero Gilardi et Michelangelo Pistoletto.
Ces années sont marquées par l’influence artistique forte d’un designer, Armando Testa, le fondateur de l’agence de publicité. Opèrent actuellement dans la ville des artistes établis, comme Ugo Nespolo et Carol Rama.
Un foyer d’idées politiques
Lors du Risorgimento, la ville de Turin devient le foyer de la lutte pour l’unification italienne. Au début, ce plan a été poursuivi, par un groupe de modérés du Piémont catholique et fidèle à la monarchie: parmi eux se trouvaient Vincenzo Gioberti, Cesare Balbo et Massimo d’Azeglio, convaincus que l’unification de l’Italie serait une fédération dirigée par le pape et par l’armée de Charles-Albert de Sardaigne. Tel était le plan du néo-guelfisme, une pensée politique basée sur l’unification derrière le pape.
Camillo Cavour a repris certaines de leurs idées, mais dans un sens plus libéral et progressiste. Il rejetait l’insurrection et la vision démocratique de Giuseppe Mazzini, il était un partisan d’un programme de réformes économiques et sociales qui devait conduire d’abord le Piémont et puis l’Italie, grâce à l’alliance des élites de la péninsule, au niveau des nations avancées. Devenu Premier ministre, Cavour s’oriente vers un système d’alliances avec Napoléon III et l’Angleterre qui conduisent des gouvernements libéraux. Cavour a encouragé la liberté d’association, les sociétés d’aide mutuelle et l’éducation populaire.
Un renouvellement de la pensée libérale est venu avec le nouveau siècle, en raison de la participation massive et accrue à la vie politique et la croissance du mouvement ouvrier, incarnées par Piero Gobetti.
Gobetti condamnait la classe dirigeante libérale qui a conduit au fascisme, tout en se considérant comme l’héritier de la pensée de Cavour. Toutefois, Gobetti incluait le prolétariat et la bourgeoisie dans le moteur du renouveau moral et politique de la nation.
Dans la même ville, immédiatement après la Première Guerre mondiale, Antonio Gramsci, Palmiro Togliatti, Angelo Tasca et Umberto Terracini avaient donné naissance au magazine « Le nouvel ordre », qui constituait le noyau du Parti communiste italien en 1921. Ce magazine condamnait les socialistes réformistes, en prenant exemple sur les conseils d’usine soviétique et l’expérience de la ligne de la lutte politique.
Turin a été au centre de la culture politique italienne grâce à l’apport de nombreux intellectuels après la Seconde Guerre mondiale, entre autres, le groupe d’étudiants et de professeurs qui ont servi dans les rangs de la Justice et la Liberté et Parti de l’action, les héritiers de la pensée Gobetti (entre autres, Cesare Pavese, Massimo Mila, Natalia Ginzburg, Alessandro Galante Garrone, Vittorio Foa et Norberto Bobbio).
Sports
Turin a accueilli les Jeux olympiques d’hiver du 10 au 26 février 2006.
La ville est également renommée pour ses équipes de football, la Juventus et le Torino FC. La Juventus est le club la plus titré d’Italie et aussi le plus soutenu au niveau national. Les tifosi du « Toro », de leur côté, affirment que dans la ville c’est leur équipe qui totalise le plus grand nombre de supporters.
Le Stadio delle Alpi a été l’un des stades d’accueil pour la Coupe du monde de football de 1990 et il a été démoli en 2006 pour faire place au nouveau stade de la Juventus, le Juventus Stadium.
La FISA (Fédération internationale d’aviron) a été fondée à Turin en 1892.
En 1949, dans la catastrophe aérienne de Superga, un avion transportant près de l’ensemble du FC Torino équipe (à cette époque, l’équipe la plus importante en Italie et connue comme la Grande Torino) s’est écrasé dans la basilique de Superga dans les collines de Turin. 31 personnes périrent dans le crash.
Gastronomie
Les entreprises de production de chocolat à Turin produisent un chocolat typique, appelée Gianduiotto, du nom de Gianduja, un masque de la Commedia dell’arte locales, ainsi que de nombreux autres types de chocolat. Chaque année, la ville organise CioccolaTò, un festival de deux semaines consacré au chocolat avec les principaux producteurs de chocolat piémontais, comme Caffarel, Streglio, Venchi et autres, ainsi que certaines grandes sociétés internationales, telles Lindt & Sprüngli.
Monuments et curiosités
Le complexe des Résidences de la Maison royale de Savoie à Turin et dans les villes voisines de Rivoli, Moncalieri, Venaria Reale, Agliè, Racconigi, Stupinigi, Pollenzo et Govone a été déclaré patrimoine mondial par l’UNESCO en 1997.
Les palais
- Le palais royal, construit au XVIIe siècle pour la maison de Savoie,
- La bibliothèque royale de Turin qui jouxte le palais royal,
- Le palais Madame et le palais Carignan sont également des chefs-d’œuvre de l’architecture baroque,
- Le palais Benso di Cavour, autre palais baroque du centre-ville,
- Le château du Valentino, construction unique en son genre en Italie, puisqu’elle mélange un baroque resplendissant à une architecture inspirée des châteaux français,
Les rues
- Le corso Francia, l’avenue la plus longue de Turin,
- Les rues avec arcades qui totalisent 24 kilomètres de promenades abritées et en font une caractéristique de cette ville au climat alpin,
Les places
- La place Vittorio Veneto, l’une des plus grandes d’Europe (31 000 m2), qui débouche sur l’église de la Gran Madre di Dio,
- La piazza San Carlo avec la statue équestre d’Emmanuel Philibert, duc de Savoie, sculptée par Carlo Marochetti.
- Porta Palazzo (la porte palatine). De jour, cette gigantesque place, parmi les plus grandes d’Europe, se transforme pour devenir le plus grand marché à ciel ouvert d’Europe. Porta Palazzo est l’âme ethnique de la ville, où se mélangent aux produits piémontais des senteurs et des goûts venus de toute l’Afrique et de l’Asie,
Architecture civile
- La Mole Antonelliana, haute de 167 mètres, domine la ville de sa silhouette caractéristique. Construite à l’origine pour servir de synagogue, c’est aujourd’hui un musée du cinéma,
- Turin est une des villes italiennes des cafés historiques : cafés prestigieux, centenaires, bicentenaires, ceux-ci sont un foyer culturel et culinaire, tels que le Mulassano, qui en 1925 fit importer le tramezzino de l’Amérique en Italie, où ce petit sandwich de mie de pain est devenu extrêmement apprécié par les Italiens. Des cafés tels que le Fiorio, ont été fréquentés par d’importantes personnalités culturelles et politiques telles que Friedrich Nietzsche, Mark Twain et Cavour,
- Le baroque piémontais, c’est-à-dire l’unique exemple (à part l’église Saint-Bruno-les-Chartreux, à Lyon) de baroque au monde où les constructions ne sont pas peintes[style à revoir] : on peut donc voir les briques des constructions, donnant un aspect original aux constructions,
- Le bourg médiéval dans le parc du Pô. Une reconstitution de village médiéval avec la vision du romantisme du XIXe siècle,
- Le théâtre Regio, une des plus prestigieuses scènes d’opéra d’Italie,
- Le Lingotto est une ancienne usine Fiat, transformée en centre commercial et centre de congrès par Renzo Piano. Le Lingotto est célèbre pour sa piste d’essai automobile sur son toit.
-
Autoportrait de Léonard de Vinci, Bibliothèque Royale de Turin.
-
Ritratto Trivulzio, Antonello de Messine, Museo civico d’arte antica.
-
Portrait de Suaire de Turin, Giulio Clovio, Galerie Sabauda.
-
La Mole Antonelliana éclairée pour le 150e anniversaire du Risorgimento.
-
Castello del Valentino, Siège de la faculté d’architecture.
-
Palais Carignan (600). Musée du Risorgimento.
-
Reggia di Venaria Reale (Palais Royal de Venaria Reale).
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Édifices religieux
- La basilique de Superga, œuvre baroque de Filippo Juvarra.
- La cathédrale Saint-Jean-Baptiste, qui abrite le Saint-Suaire.
- L’église du Santo Volto
- Le sanctuaire de Marie Auxiliatrice
- La basilique du Corpus Domini
- L’église Saint-Laurent
- L’église de San Carlo, dédiée à saint Charles Borromée, fut construite à partir de 1619. Le projet de la façade par Ferdinando Caronesi remonte à 1834. San Carlo et Santa Cristina sont indiquées comme les « églises jumelles » de la place San Carlo.
- L’église de Santa Cristina fut érigée à l’initiative de Christine de France en 1639. La façade (à double rangée de colonnes), dessinée par Filippo Juvarra, fut construite entre 1715 et 1718. On peut admirer à l’intérieur le maître-autel en marbre blanc de Ferdinando Bonsignore et de remarquables stucs.
- L’église de la Santissima Trinità fut construite sur en projet de Ascanio Vitozzi entre 1598 et 1606. La décoration en marbre et le mobilier sont attribués à Filippo Juvarra. Les fresques de la coupole sont de Francesco Gonin et Luigi Vacca.
- L’église de San Domenico fut construite dans la deuxième moitié du XIIIe siècle, mais elle a subi beaucoup de transformations. De style gothique, l’église présente un cycle de fresques du XIVe siècle, dans la chapelle des Grâces avec l’Annonciation et les Douze Apôtres.
- L’église de Santa Teresa, dédiée à sainte Thérèse d’Avila, fut érigée par Christine de France entre 1642 et 1674 et ses cendres y sont conservées. Deux chapelles furent dessinées par Filippo Juvarra.
- L’église de la Madonna del Carmine fut édifiée sur un projet de Filippo Juvarra. Dans le presbyterium, on peut admirer un beau retable d’autel représentant Notre Dame du Mont-Carmel par Claudio Francesco Beaumont, peintre vénitien du XVIIe siècle.
- La synagogue de Turin, place Primo Levi.
-
Le Suaire de Turin.
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Musées
- Le musée égyptologique de Turin, le second plus grand musée égyptien au monde, après celui du Caire.
- L’Armurerie royale.
- Le centre des sciences Experimenta.
- La Galerie civique d’art moderne et contemporain de Turin (GAM) : art du XVIIIe siècle à nos jours.
- La Galerie Sabauda : collections d’art pictural du Moyen Âge à l’époque moderne.
- Le musée du Risorgimento, consacré à l’unification italienne.
- Le musée national du cinéma, créé en 1941, installé sous l’immense dôme de la Mole Antonelliana.
- Le musée de l’automobile.
Parcs et jardins
Le parc le plus populaire de la ville est le parc du Valentino. En 1961 pour les célébrations d’Italia 61 (cent ans de l’unité italienne), une exposition internationale bien renommée Flor 61 (Fleurs du monde entier à Turin) se tient dans le parc: 800 exposants de 19 nations participent à cette exposition. Pour l’occasion le projet d’éclairage du parc, de ses fontaines et de ses chemins, est accompli par Guido Chiarelli, ingénieur en chef à la Mairie.
Les autres parcs importants sont : le Parco della Pellerina, le Parco del Colletto et le parc Rignon récent Colonnetti. Autour de la ville, il existe plusieurs autres parcs, comme le parc de la Mandria et le Parco della Palazzina di Caccia di Stupinigi, et ceux situés sur les collines de Turin.
De nombreux parcs sont plus petits, ils se trouvent dans les différents quartiers: il y a aussi 240 terrains de jeux installés dans ces parcs. Le maire Amedeo Peyron a réalisé dans le début des années 1960 le premier jardin en Italie avec des jeux pour les enfants.
Les jardins de Turin comprennent l’Orto Botanico dell’Università di Torino, un jardin botanique historique.
Personnalités liées à la ville
XVIe et XVIIe siècles
- Érasme obtint le doctorat en théologie à l’Université de Turin en 1506.
- Giovanni Claudio Ciambellano dit Jean-Claude Duplessis (1699-1774), orfèvre et bronzier, directeur artistique de la Manufacture de Vincennes et de la Manufacture nationale de Sèvres
- Emanuele Tesauro (1592-1675), auteur dramatique, rhétoricien et poète
XVIIIe siècle
- Eugène Amoretti d’Envie (né le 14 août 1774 à Turin (Piémont)), militaire
- Joseph Alexandre Félix de Laville (né le 10 février 1774 à Turin (Piémont)), militaire
- Amedeo Avogadro (1776-1856), chimiste et physicien
- Le chevalier Claudio Francesco Beaumont (1694-1766), artiste peintre
- Saint Giuseppe Benedetto Cottolengo, 1786-1842, fondateur de la Piccola Casa della Divina Providenza
- Christian Anton Gabaléon de Salmour (1755-1831), homme politique
- Joseph-Louis Lagrange (1736-1813), mathématicien
- Ignace Laugier (1768-1811), homme politique
- Gaétan Camille Thomas Paroletti (1769-1826), militaire
- Victor-Modeste Paroletti (17676-1834), frère du précédent, juriste et homme politique
- Joseph Nicolas Pancrace Royer, (1705-1755), compositeur
- Marie Béatrice de Sardaigne, (1792-1840), princesse
XIXe siècle
- Saint Giovanni Bosco, dit Don Bosco (1815-1888), prêtre et fondateur de l’ordre salésien
- Camillo Benso, comte de Cavour (1810-1861), homme politique, artisan de l’unité italienne
- Efisio Giglio-Tos (1870-1941), fondateur de la Corda Fratres
- Francesco Gonin (1808-1889), peintre
- Humbert Ier d’Italie, (1844-1900), roi d’Italie
- Carlo Marochetti (1805-1867), sculpteur
- Saint Leonardo Murialdo (1828-1900), prêtre salésien, fondateur de multiples instituts pour la jeunesse.
- Friedrich Nietzsche (1844-1900), philosophe, devenu fou à Turin
- Camillo Olivetti (1868-1943), fondateur de la société Olivetti
- Francesco Rèpaci (1880-1955), homme politique et antifasciste
- Jacques Théodore Saconney (1874-1935), général (armée de l’air française) et scientifique spécialisé dans la photographie aérienne et la météorologie
- Leopoldo Torricelli (1893-1930), coureur cycliste italien.
- Bartolomeo Aimo (1889-1970) coureur cycliste italien, dont la carrière se déroula dans les années 1920.
- Enrico Mollo (1913-1992) coureur cycliste italien,.
- Victor-Emmanuel II de Savoie (1820-1878), roi de Sardaigne et 1er roi d’Italie
XXe siècle
- Carlo Abate (né en 1932), pilote de Formule 1
- Carlo Mollino (1905-1973), architecte designer
- Gianni Agnelli (1921-2003), industriel et entrepreneur, propriétaire et dirigeant de Fiat
- Giovanni Arpino (1927-1987), écrivain
- Alessandro Barbero (né en 1959), écrivain et historien
- Alessandro Baricco (né en 1958), écrivain
- Alighiero Boetti (1940-1994), artiste
- Carla Bruni Tedeschi (née en 1968), mannequin et auteur-compositeur-interprète, épouse de Nicolas Sarkozy, ex-président de la République française
- Valeria Bruni Tedeschi (née en 1964), actrice et réalisatrice
- Italo Calvino (1923-1985), écrivain
- Umberto Eco (né en 1932), sémiologue et écrivain
- Alighiero Boetti (1940-1994), artiste
- Luciano Fabro (1936-2007), artiste
- Giuseppe Farina (1906-1966), pilote de Formule 1
- Ludovico Scarfiotti (1933-1968), pilote automobile italien.
- Ernesto Ferrero (né en 1938), écrivain
- Pier Giorgio Frassati (1901-1925), étudiant, déclaré bienheureux par Jean-Paul II
- Cesare Goretti (1886-1952), philosophe du droit
- Carlo Levi (1902-1975), écrivain
- Primo Levi (1919-1987), écrivain
- Aldo Maccione (né en 1935), acteur
- Luca Mercalli (né en 1966), météorologue
- Giuseppe Penone (né en 1947), artiste
- Sergio Pininfarina (1926 – 2012), industriel, designer, homme politique, homme d’affaires italien et président de Pininfarina SpA. Il est inhumé au cimetière monumental de Turin
- Gabry Ponte (né en 1973), DJ
- Carol Rama, (née en 1918), artiste
- Antonino Rèpaci (1910-2005), homme politique et historien
- Giovanni Michelotti (1921-1980), designer italien
- Umberto Tozzi (né en 1952), chanteur
- Italo Zilioli (né en 1941), ancien coureur cycliste italien des années 1960 et 1970.
- Angelo Conterno (né en 1925), coureur cycliste italien
- Marco Travaglio (né en 1964), journaliste et écrivain
- Citoyens d’honneur
- Daisaku Ikeda (né en 1928), philosophe japonais
- Nelson Mandela (1918-2013), ancien président de l’Afrique du Sud et prix Nobel de la Paix 1993
Résidents notables
- Antonio Benedetto Carpano
- Alessandro Del Piero
- Gianluigi Buffon
- Antonio Gramsci
- Cesare Lombroso
- Cesare Pavese
- Edmondo de Amicis
- Emilio Salgari
- Érasme
- Friedrich Nietzsche
- Germain Sommeiller
- Italo Calvino
- Jean-Jacques Rousseau
- Joseph de Maistre
- Luigi Einaudi
- Natalia Ginzburg
- Renato Dulbecco
- Saint Jean Bosco
- Umberto Eco
- Vilfredo Pareto
- Camillo Cavour
- Primo Levi
- Rita Levi Montalcini
- Sahar Delijani
Jumelages et accords de collaboration
La ville de Turin est jumelée avec7 :
- Chambéry (France) depuis le 19 mai 1957
- Cologne (Allemagne) depuis le 3 juillet 1958
- Esch-sur-Alzette (Luxembourg) depuis le 3 juillet 1958
- Liège (Belgique) depuis le 3 juillet 1958
- Lille (France) depuis le 3 juillet 1958
- Rotterdam (Pays-Bas) depuis le 3 juillet 1958
- Volgograd (Russie) depuis 1961
- Córdoba (Argentine) depuis le 28 novembre 1986
- Quetzaltenango (Guatemala) depuis le 11 octobre 1997
- Détroit (États-Unis) depuis le 7 avril 1998
- Gaza (Palestine) depuis 1999
- Campo Grande (Brésil) depuis le 23 avril 2002
- Shenyang (Chine) depuis 2002
- Glasgow (Royaume-Uni) depuis 2003
- Nagoya (Japon) depuis le 11 mai 2005
- Salt Lake City (États-Unis) depuis le 8 août 2006
La ville entretient des accords de collaboration avec8 :
- Breza (Bosnie-Herzégovine) depuis 1997 (accord)
- Iekaterinbourg (Russie) depuis le 27 novembre 1998 (accord de partenariat)
- Cannes (France) depuis 1999 (pacte d’amitié)
- Gwangju (Corée du Sud) depuis le 19 novembre 2002 (accord de collaboration)
- Ouagadougou (Burkina Faso) depuis 2003 (accord)
- Praia (Cap-Vert) depuis 2003 (accord)
- Harbin (Chine) depuis le 20 novembre 2003 (accord de coopération culturelle, sociale et économique)
- Salvador de Bahia (Brésil) depuis 2003 (accord)
- Vancouver (Canada) depuis le 30 mars 2004 (accord de partage de connaissances, notamment dans l’organisation de Jeux Olympique d’hiver)
- Zlín (République tchèque) depuis le 14 octobre 2004 (accord de collaboration)
- Barcelone (Espagne) depuis le 6 décembre 2004 (accord de coopération économique triangulaire avec Lyon)
- Lyon (France) depuis le 6 décembre 2004 (accord de coopération économique triangulaire avec Barcelone)
- Haifa (Israël) depuis septembre 2005 (accord de coopération)
- Belo Horizonte (Brésil) depuis 2006 (accord)
- Kragujevac (Serbie) depuis 2005 (accord)
- Shenzhen (Chine) depuis le 12 janvier 2007 (accord de collaboration)
- Louga (Sénégal) depuis 2007 (accord)
- Bacău (Roumanie) depuis le 20 octobre 2007
- Tirana (Albanie) depuis le 1er octobre 2009 (accord de collaboration)
- Rabat (Maroc) depuis le 23 novembre 2009 (accord de collaboration)
- Fès (Maroc) depuis 2010 (accord)
- Buenos Aires (Argentine) depuis 2010 (accord)
- Rosario (Argentine) depuis 2011 (accord)
- Santos (Brésil) depuis 2011 (accord)
- Varzea Paulista (Brésil) depuis 2011 (accord)
- La Paz (Bolivie) depuis 2011 (accord)
- Volgograd (Russie) depuis 2011 (accord)
- Lisbonne (Portugal) depuis 2012 (accord)
- Saint-Pétersbourg (Russie) depuis 2012 (accord)
- Skopje (Macédoine) depuis 2012 (accord)
- Izmir (Turquie) depuis 2012 (accord)
- Nantes (France) depuis 2013 (accord)
- Hebron (Palestine) depuis 2013 (accord)
Galerie de photos
-
Le Pô à Turin.
Notes et références
- ↑ (it) Popolazione residente e bilancio demografico [archive] sur le site de l’ISTAT.
- ↑ Source [archive]
- ↑ Statistiche demographique fiche ISTAT [archive]
- ↑ Classement académique des universités mondiales », publié par l’Institute of Higher Education de Shanghai Jiao Tong University, dans l’ingénierie, la technologie et des sciences informatiques
- ↑ Severino Cesari, Colloquio con Giulio Einaudi, Torino 2007.
- ↑ ou bien 1765.
- ↑ Gemellaggi e Accordi [archive]
- ↑ http://www.comune.torino.it/relint/gemellaggieaccordi/index.shtml [archive] Gemellaggi e Accordi]
Voir aussi
Sur les autres projets Wikimedia :
Articles connexes
- Liste des villes italiennes de plus de 25 000 habitants
- Liste des grandes villes d’Italie classées par leur nombre d’habitants
- Province de Turin, la province de Turin (provincia di Torino en italien), est une province italienne, dépendant de la région du Piémont.
- Le Duché de Turin fut un des duchés institués par les Lombards en Italie.
- L’université de Turin (en italien, Università degli studi di Torino, abrégée souvent en Unito) est une université italienne fondée en 1404.
- L’École polytechnique de Turin (en italien, Politecnico di Torino, ou Polito) est une école d’ingénieur italienne, située à Turin.
- Accademia delle Scienze di Torino (Turin) (Académie des sciences de Turin), fondée en 1757.
- Le Teatro Regio (Turin) (Théâtre royal) de Turin compte parmi les plus prestigieuses scènes d’opéra d’Italie.
- Le musée égyptologique de Turin (Museo delle antichità egizie di Torino) ou musée des antiquités égyptiennes de Turin.
- L’art nouveau à Turin correspond à une période architecturale, au début du XXe siècle.
- Galerie Sabauda (Turin) (Galleria Sabauda), de Turin, est hébergée dans les locaux du palais de l’Académie des Sciences (Palazzo dell’Accademia delle Scienze).
- L’Aéroport Sandro-Pertini de Turin Caselle (Aeroporto internazionale Sandro Pertini di Torino Caselle) est situé au nord de Turin.
- Le métro de Turin est un réseau de métro qui dessert principalement Turin.
- L’Archidiocèse de Turin (en latin : Archidioecesis Taurinensis) est l’un des 155 diocèses catholique en Italie.
- La bataille de Turin mit un terme au siège entrepris par les Français depuis le 14 mai 1706.
- Le Canon royal de Turin, qui de par son importance est appelé couramment papyrus de Turin, est un papyrus écrit en hiératique.
- Traité de Turin, nom de plusieurs traités signés dans la ville.
- Festival du film de Turin.
- Le Salon de l’automobile de Turin (Salone dell’automobile di Torino) est un salon automobile se tenant chaque année à Turin.
- Le Stade olympique de Turin ou Stadio Olimpico di Torino est un stade omnisports de la ville de Turin.
- Torino Football Club, l’un des clubs de football turinois.
- Derby de Turin, le Derby della Mole ou Derby di Torino (en français Derby de Turin) est une expression utilisée en Italie pour désigner l’un des derby opposant les deux grands clubs de football turinois : la Juventus et le Torino.
- ASD Pallavolo Turin, le club de volley-ball de Turin.
- Six jours de Turin, les Six jours de Turin (en italien : 6 Giorni di Torino) sont une course cycliste de six jours disputée à Turin.
- Milan-Turin est la plus ancienne course cycliste sur route italienne créée en 1876.