Des dates qui incriminent le cyberdélinquant Pascal Edouard Cyprien Luraghi

Je viens de publier des preuves de piratages dont je suis effectivement victime depuis très longtemps.

Ces éléments portent deux dates, celles du mardi 4 décembre 2012, à 19h21, et du samedi 6 juillet 2013, à 11h10.

Voyons ce que publiait alors le psychopathe de Puy-l’Evêque :

1°/ au mois de décembre 2012 :

Il a publié deux textes intitulés respectivement « Lapin des haricots » et « La grande déperdition » les 4 et 9 décembre 2012, puis un troisième texte intitulé « Extinction des feux » le 13 décembre 2012 avant de supprimer son blog pour quelques mois ce même jour.

Il prévoyait ce retrait stratégique depuis le mois précédent.

Son souci était d’apparaître blanc comme neige alors qu’une information judiciaire censée porter sur toutes ses exactions à mon encontre avait été ouverte à Brest et que, précisément grâce aux piratages informatiques dont je me plaignais de sa part, il me voyait écrire à la juge d’instruction au fur et à mesure que je rédigeais, quasiment en temps réel.

La teneur de ses derniers textes publics de ce mois de décembre 2012, particulièrement celui du 4 décembre, reflète son obsession habituelle à l’égard des intellectuels, des diplômés ou des « bourgeois » dont à ses yeux je représente l’archétype et qu’il qualifie tous indistinctement de « paranoïaques », de « psychopathes », de « fous » ou de « dangereux malades mentaux ».

2°/ au mois de juillet 2013 :

Les magistrats ultra CORROMPUS de Tribunal de Grande Instance de Brest viennent de me condamner très lourdement pour avoir osé publier des démentis et droits de réponse à la suite des campagnes de calomnies publiques dont j’ai été victime sur Internet à compter de l’année 2008 de la part du cyberdélinquant Pascal Edouard Cyprien Luraghi et de ses amis déconnologues, particulièrement sur leurs blogs et depuis juin 2010 lorsque l’instigatrice de tous leurs harcèlements à mon encontre, Josette Brenterch du NPA de Brest, les a rejoints sur le « noir et rose » et s’est enfin dévoilée.

Cette condamnation a depuis été annulée par la Cour d’Appel de Rennes, le 2 décembre 2015.

Mais au mois de juillet 2013, le cyberdélinquant exulte.

Les 3 et 10 juillet 2013, il publie deux textes intitulés respectivement « Goût de bambou » et « Gérard et le haschisch ».

Il est aux anges, c’est la « transe himalayenne ».

Je n’avais toujours pas remarqué le raccourci qu’il avait créé dans mes fichiers le 4 décembre 2012.

Il l’a enveloppé dans un dossier « noir et rose » probablement destiné à le rendre aussi visible qu’un « gros pétard à trois feuilles, assaisonné de tcharass himalayen premier grand cru classé, » sous le nez de l’hôtesse de l’air dans l’avion en vol.



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