De l’habileté de certains calomniateurs… 1 mars
Depuis 2010, j’ai découvert à plusieurs reprises, et encore assez récemment, avec étonnement voire effarement, des dénonciations calomnieuses dont mes proches et moi-même avons été victimes de la part de Josette Brenterch du NPA de Brest et de ses sbires les cyberdélinquants de la bande du psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi, mais aussi de tiers que nous n’avions pas l’heur de connaître et dont la source, à l’évidence, a toujours été de la même veine.
Ainsi, par exemple, dans la foulée des écrits publics de janvier et février 2011 du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi nous ayant alors décrits mensongèrement, entre autres choses, comme scientologues, ai-je été dénoncée à la police comme exerçant une emprise de type sectaire excessivement néfaste sur des personnes psychologiquement fragiles et suivies en psychiatrie par une femme dont je ne connaissais même pas l’existence et qui, interrogée depuis à ce sujet, a bien précisé avoir à cette époque été contactée par des tiers qui l’avaient convaincue de faire cette dénonciation calomnieuse.
Le policier qui l’avait reçue lui avait expliqué qu’il était nécessaire que mes présumées victimes portassent plainte elles-mêmes contre moi pour que je sois poursuivie du chef d’abus de faiblesse à leur encontre. C’est précisé dans la déposition qu’elle a signée. Mais comme je n’ai jamais fait aucune victime nulle part, sa dénonciation calomnieuse n’a jamais été suivie d’aucun dépôt de plainte de quiconque à mon encontre.
Néanmoins, elle a par la suite été utilisée avec d’autres par les magistrats ultra CORROMPUS du Tribunal de Grande Instance de Brest pour rejeter mes propres plaintes contre mes agresseurs, et ce, bien entendu, sans qu’à aucun moment je n’aie été mise en mesure de me défendre contre toutes les accusations mensongères dont j’avais été victime, comprenant notamment celles de Josette Brenterch du NPA de Brest et de ses sbires les « déconnologues » de la bande du psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi.
A qui aura donc profité le crime ? A ces derniers qui auront évité de trop se mouiller en faisant soutenir par diverses personnes autres qu’eux-mêmes toutes leurs inventions calomnieuses à mon encontre.
Serait-ce une tactique en vogue chez certains professeurs de l’Education nationale ?
L’un d’entre eux semble en tous les cas en avoir été lui-même victime de la part de deux collègues, à Biscarrosse, dans les Landes, en février 2013.
Notons que ces faits ressemblent aussi à ceux qui, peu de temps avant que l’escroc Jean-Marc Donnadieu de Béziers ne soit suivi en ses délires et accusations calomnieuses à mon encontre par la Cour d’Appel de Montpellier, en fin d’année 2011, avaient conduit à Brest au décès d’un homme désigné à tort comme pédophile et poursuivi de ce fait par des parent d’élèves subitement devenus hystériques à son encontre.
Mais la grande inspiratrice de toutes ses exactions à mon encontre, la susnommée Josette Brenterch du NPA de Brest, se signalait déjà par de telles pratiques en 2005…
Biscarrosse. 37 parents d’élèves jugés pour dénonciation calomnieuse
Ouest-France avec agence
Un professeur de sport du collège départemental de Biscarrosse (Landes) avait été accusé à tort de violences et brimades en février 2013 par un collectif de parents.
37 parents d’élèves devront répondre à partir de ce mardi devant le tribunal correctionnel de Mont-de-Marsan (Landes) de l’accusation de dénonciation calomnieuse.
Organisés en collectif, ils avaient envoyé, en février 2013, une plainte contre X au ministère de l’Éducation nationale. Très commentée localement et relayée par les médias à l’époque, elle visait en fait Claude Monferran, professeur d’éducation physique et sportive au collège départemental de Biscarrosse.
En conflit avec deux autres profs de sport ?Des faits de violences physiques et verbales lui étaient reprochés. L’enseignant, aujourd’hui en retraite et âgé de 62 ans, avait dû se justifier face à ces graves accusations. Citée par Sud Ouest, son avocate explique qu’il était « ressorti en charpie » de cette affaire, qu’elle qualifie de « dégueulasserie ».
Car une enquête de la gendarmerie avait finalement déterminé que les accusations ne tenaient pas. Pour la représentante du fonctionnaire accusé à tort, deux autres professeurs de sport, en conflit avec Claude Monferran, pourraient d’ailleurs être à l’origine de la dénonciation des faits erronés.
Ces deux professeurs de collège n’étant pas cités au procès, ce sont donc les 37 parents d’élèves signataires de la plainte collective qui comparaissent devant la cour.