Le roi du clic fait la révolution : encore 72 morts, dont 29 enfants

Aujourd’hui sur le site Rue89 :

http://rue89.nouvelobs.com/2016/03/28/loitravail-peuvent-les-mobilisations-ligne-263563

#LoiTravail : que peuvent les mobilisations en ligne ?

Par Romain Badouard, chercheur. Publié le 28/03/2016 à 13h21

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Publié le 28/03/2016 à 13h28
Publié le 28/03/2016 à 14h30

hilsenrath1 dans Crime

Itzig Finkelstein

génocidé
répond à inspecteur crouton

clic

 

Et sur l’Obs :

http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20160328.OBS7247/pakistan-ce-que-l-on-sait-de-jamaat-ul-ahrar-qui-revendique-l-abominable-attentat-de-lahore.html

Pakistan : ce que l’on sait de Jamaat-ul-Ahrar, qui revendique l’abominable attentat de Lahore

 

Pakistan : ce que l'on sait de Jamaat-ul-Ahrar, qui revendique l'abominable attentat de Lahore

A Lahore lundi matin (ARIF ALI)

 

Ce groupe taliban historiquement proche d’al-Qaeda se dit fier d’avoir tué plus de 72 personnes dont 29 enfants, dans un parc public.

 

Pascal RichéPublié le 28 mars 2016 à 14h52

 

Une énorme explosion, 72 morts dont une trentaine d’enfants, plus de 300 blessés… L’attentat-suicide commis près d’une aire de jeux pour enfants, à l’entrée d’un parc municipal bondé, dimanche soir, à Lahore, à l’est du Pakistan, est l’un des pires de ces dernières années. Il visait des chrétiens, en ce jour de Pâques, mais la majorité des victimes sont musulmanes : principalement des femmes et des enfants venu pique-niquer dans le parc, près des balançoires et des auto-tamponneuses.

Le mouvement a été revendiqué par Jamaat-ul-Ahrar, groupe issu du mouvement des Taliban du Pakistan. « La cible était les chrétiens », a indiqué son porte-parole Ehsanullah Ehsan, précisant qu’il s’agissait « d’envoyer le message au premier ministre Nawaz Sharif que nous sommes entrés dans Lahore », capitale de la région du Penjab et fief dudit premier ministre. Le porte-parole a exprimé un regret étonnant compte tenu du choix de la cible : « Nous ne voulions pas tuer des femmes et des enfants, mais des membres mâles de la communauté chrétienne ».

1. D’où vient Jamaat-ul-Ahrar ?

Jamaat-ul-Ahrar est né des tensions au sein du Mouvement des Taliban du Pakistan : en août 2014, plusieurs dirigeants ont décidé de prendre leurs distances avec ce mouvement qui multiplie les attentats au Pakistan depuis 2007. Ces tensions s’inscrivaient dans le contexte d’une guerre de succession au sein du mouvement, après la mort de son chef Hakimullah Mehsud, tué par un drone américain en 2013.

Le puissant Omar Khalid Khorasani, ancien journaliste, chef des tribus de la région de Mohmand, proche du chef d’Al Qaeda Ayman al Zawahiri (il lui aurait donné asile par le passé), était candidat au poste de commandant suprême. Mais c’est le maulana (« maître ») Fazlullah, né Fazal Hayat, qui a hérité du poste.

Omar Khalid Khorasani a alors pris la tête de la ligne dure du mouvement, fomentant des complots contre Fazlullah. On le soupçonne même d’avoir organisé en février 2014 un attentat à Islamabad pour faire dérailler des discussions entre les talibans et le gouvernement.  Il a fondé en août Jamaat-ul-Ahrar, qui signifie « Congrégation des hommes libres ».

Fazlullah a officiellement exclu Omar Khalid Khorasani en septembre 2014. Ce dernier a entrainé avec lui, dans Jamaat-ul-Ahrar, plusieurs représentants de territoires du nord-est du Pakistan (Mohmand, Bajaur, Khyber, Arakzai) et des militants de villes de la région, Peshawar, Charsadda ou Swat. Dans une vidéo, il a expliqué que le MTP était devenu trop « indiscipliné » et que sa gouvernance chaotique le conduisait les Taliban au désastre.

Omar Khalid Khorasani a confié la direction opérationnelle de son bras droit Qasim Khorasani.  Le nouveau groupe a multiplié les attaques suicides contre divers objectifs. Puis certaines sources ont annoncé que Jamaat-ul-Ahrar, déçu par le faible soutien apporté par Al Qaeda, avait fait allégeance à l’Etat islamique, information qui n’a pas été confirmée.

Finalement, en mars 2015, le porte parole Ehsanullah Ehsana a annoncé que Jamaat-ul-Ahrar était revenu dans le giron du Mouvement des Taliban.

2. Qui dirige aujourd’hui ce mouvement ?

Il est assez difficile d’y voir clair dans la gouvernance de Jamaat-ul-Ahrar. Quelques jours après l’annonce de son retour au sein des Taliban, en mars 2015, son porte parole a indiqué que Omar Khalid Khorasani et Qasim Khorasani avaient quitté volontairement la Choura (conseil exécutif) du groupe. Il a présenté ces départs comme des renouvellements de routine, conformes aux statuts. Visiblement cependant, des tiraillements ont eu lieu et des rumeurs ont même donné les deux hommes pour morts.

Le nouveau chef s’appelle Asad Afridi. Il dirigeait précédemment le sous-groupe représentant la région de Khyber. Il était, avant la scission, membre du conseil central du MPT.

3. Quel est l’objectif poursuivi par Jamaat-ul-Ahrar ?

L’objectif de Jamaat-ul-Ahrar est exactement le même que celui du mouvement souche : renverser le gouvernement pakistanais, imposer un état islamique, reprendre le contrôle de l’arme nucléaire et poursuivre le djihad au niveau mondial, juqu’à ce que le Califat règne en tout lieu…

Ce n’est pas la première fois que le groupe frappe les chrétiens de Lahore : l’année dernière, à Pâques, ils avaient attaqué deux églises catholiques, faisant 20 morts. Dans l’ensemble du pays, les chrétiens représentent seulement 2% de la population, composée principalement de musulmans sunnites.

Lahore est une cible privilégiée des Taliban : c’est une des villes les moins conservatrices et les plus riches du pays. Certains commentateurs ont relié les attentats au débat portant sur un projet de loi sur l’égalité hommes-femmes.  Une trentaine de groupes religieux, hostiles au projet, avaient en effet donné au gouvernement régional jusqu’au 27 avril pour le retirer…

Pascal Riché

Pascal Riché

Journaliste



Attentat de Karachi : dernières nouvelles de l’enquête le 13 novembre 2015

 

 

http://www.lemonde.fr/police-justice/article/2015/11/13/attentat-de-karachi-le-temoignage-qui-revele-les-dissimulations-de-la-dst_4808707_1653578.html

Attentat de Karachi : le témoignage qui révèle les mensonges de la DST

 

Le Monde.fr | 13.11.2015 à 06h52 • Mis à jour le 13.11.2015 à 13h10 | Par Soren Seelow

Sur les lieux de l'attentat de Karachi, le 8 mai 2002.

Personne ne connaît son nom. Dans le dossier d’instruction de l’attentat de Karachi, qui a fait quinze morts dont onze employés français de la Direction des constructions navales (DCN) le 8 mai 2002 au Pakistan, il apparaît sous son seul alias : « Verger ». Verger est un ancien agent de la Direction de surveillance du territoire (DST), l’ancêtre de la DGSI. Il n’avait encore jamais été entendu par la justice. C’est désormais chose faite. A la faveur d’un tour de passe-passe inédit, les magistrats instructeurs sont parvenus à contourner le secret-défense qui leur est opposé depuis le début de cette enquête.

 

DEPUIS 2009, LE JUGE MARC TRÉVIDIC CHERCHE À SAVOIR SI LE MOBILE POLITICO-FINANCIER A ÉTÉ VOLONTAIREMENT ÉTOUFFÉ AU PROFIT DE LA PISTE ISLAMISTE

 

Le témoignage de Verger, que Le Monde a pu consulter, a été déclassifié par le ministre de l’intérieur, Bernard Cazeneuve, le 23 octobre. Il vient confirmer des informations longtemps tues par les responsables des services de renseignement : la DST, chargée en 2002 de l’enquête sur l’attentat, avait bel et bien travaillé dès les années 1990 sur un certain Ali Ben Moussalem, aujourd’hui considéré comme un personnage clé de l’affaire.

Depuis 2009, le juge Marc Trévidic – chargé de l’enquête jusqu’à son départ du pôle antiterroriste en août 2015 – cherche à savoir si la DST a enquêté sur cet homme et le lui a caché. En d’autres termes si le mobile politico-financier a été volontairement étouffé au profit de la piste islamiste. Les anciens responsables des services qu’il a auditionnés sur ce sujet se sont systématiquement retranchés derrière le secret-défense. Et ses innombrables requêtes en déclassification concernant Ali Ben Moussalem se sont jusqu’ici heurtées à la même réponse : la DGSI, qui a succédé à la DST, ne retrouve aucune trace de ce travail dans ses armoires.

Ce cheikh saoudien était à la tête d’un réseau d’intermédiaires – dont faisait partie Ziad Takieddine – imposé par le gouvernement Balladur dans plusieurs marchés d’armement en 1994 : la vente des sous-marins français Agosta au Pakistan et des frégates Sawari II à l’Arabie saoudite. Il est le pivot de la thèse selon laquelle l’attentat serait une mesure de rétorsion après l’interruption des commissions prévues par ces contrats. Quelques mois après son accession à la présidence de la République en 1995, Jacques Chirac avait décidé de mettre fin aux versements, qu’il soupçonnait d’avoir financé la campagne de l’ancien premier ministre devenu son rival dans la course à l’Elysée.

Ali Ben Moussalem – qui est mort en 2004 – est considéré comme la principale victime de cette décision, avec un préjudice estimé à 120 millions d’euros. Ses connexions avec les services secrets pakistanais et la mouvance terroriste en font, pour les tenants de la thèse politico-financière, un suspect potentiel.

Lire aussi   Attentat de Karachi : comment Bernard Cazeneuve a permis de contourner le secret-défense

« Merci pour la France, elle vous le rendra »

Le témoignage de Verger ne suffit pas à étayer le mobile financier de l’attentat. Il confirme en revanche que le renseignement intérieur a bien observé des transactions entre Ben Moussalem et des membres du gouvernement Balladur dans les années 90. La scène qu’il relate a été immortalisée par des « sous-marins » de la DST, des véhicules placés devant la boutique Arije – qui occupait le rez-de-chaussée de la permanence de campagne de Balladur à Paris – en face de l’hôtel Prince de Galles, propriété de Ben Moussalem :

« En 1994-1995, je me suis intéressé aux activités de cheikh Ali Ben Moussalem et de son bras droit, Ziad Takieddine. Gérard Willing [le correspondant de la DST dont Verger était l’officier traitant] m’avait indiqué que la boutique Arije était une plaque tournante de trafics en tout genre et d’armes en particulier. La DST a placé cette boutique sous surveillance. A notre grande surprise, la campagne électorale étant lancée, nous avons observé que des membres du parti républicain de François Léotard [ministre de la défense du gouvernement Balladur] se rendaient dans l’immeuble abritant Arije. (…) Donnedieu de Vabres [chargé de mission auprès de François Léotard] aurait rencontré Ben Moussalem à l’hôtel Prince de Galles. Ce dernier lui aurait remis deux valises, pleines, selon Gérard Willing, d’argent. Donnedieu de Vabres aurait alors remercié Ben Moussalem en lui disant : Merci pour la France, elle vous le rendra. »

Aucune trace de cette surveillance n’a été retrouvée dans les archives de la DGSI. Ce témoignage tend ainsi à confirmer les soupçons des parties civiles, convaincues depuis des années que l’appareil d’Etat leur cache la vérité. « Soit la DGSI ment à la justice et à son ministre de tutelle, soit les souvenirs de cet épisode peu reluisant de la rivalité entre Chirac et Balladur ont été détruits », explique Me Marie Dosé, avocate de plusieurs parties civiles.

Durant les sept premières années de l’instruction, une seule piste a été creusée par la DST : celle d’un attentat perpétré par la nébuleuse Al-Qaida. Il faudra attendre 2008 – et la divulgation par la presse d’un rapport confidentiel commandé par la DCN dès septembre 2002, le rapport « Nautilus » – pour que la piste d’une vengeance liée à l’arrêt des commissions s’impose comme une alternative.

Lire aussi : Affaire de Karachi : si vous avez raté un épisode

Pendant six ans, le juge Marc Trévidic se heurtera au secret-défense opposé par les témoins qu’il auditionne. Faisant suite à de multiples demandes d’actes déposées par Me Dosé, il requiert en 2012, 2013 et 2014 la déclassification des notes de la DST sur Ben Moussalem. Il n’obtiendra qu’un seul document : l’analyse d’un article du quotidien suisse Le Temps, copieusement caviardée et ne présentant aucun intérêt pour l’enquête.

Les déclarations de Verger confirment – pour partie – celles du seul acteur de ce dossier à s’être montré prolixe sur le travail réalisé par la DST durant cette période : Gérard Willing. Cet « honorable correspondant » de la DST a affirmé dans le bureau du juge, le 28 janvier 2013, avoir enquêté sur Ben Moussalem dès 1994 et en avoir rendu compte à Verger, son officier traitant. Il précisait encore avoir transmis une note étayant la piste politico-financière cinq jours après l’attentat.

« Non – Non plus – Non plus – Non »

Son témoignage a depuis été régulièrement contesté – voire discrédité – par plusieurs anciens responsables de la DST. Aucune trace de son travail n’a jamais été retrouvée. Afin de vérifier ses assertions, le juge Trévidic a envoyé le 6 mai des questionnaires à remettre à cinq témoins qu’il n’avait pu entendre ou qui s’étaient retranchés derrière le secret-défense. Les réponses à ces formulaires ont été envoyées directement au ministre de l’intérieur – sans passer par le cabinet du juge – afin que le secret-défense ne puisse lui être opposé. A charge ensuite pour le ministre de les classifier, pour les déclassifier dans la foulée, ce qui est chose faite depuis le 23 octobre.

Les destinataires de ces questionnaires étaient : Jean-Louis Gergorin (ancien directeur de la stratégie du groupe Matra), Raymond Nart (ancien directeur adjoint de la DST), Eric Bellemin-Comte (ancien chef du service de la DST chargé des contacts avec Gérard Willing), Jean-Jacques Pascal (ancien directeur de la DST) et le fameux Verger. Le seul à avoir fait état dans ses réponses d’un travail sur Ben Moussalem est celui dont l’identité demeure à ce jour un mystère. Interrogé sur l’existence de cet agent, l’ancien directeur adjoint de la DST, Raymond Nart, affirme pourtant que l’alias « Verger » ne lui évoque « aucun souvenir ».

Eric Bellemin-Comte – aujourd’hui conseiller auprès du coordinateur national du renseignement à l’Elysée – continue lui aussi d’assurer que, « de mémoire », aucun travail n’a été effectué sur Ben Moussalem par son service. Quant à Jean-Jacques Pascal, ses réponses sont une succession de variations lapidaires sur le thème de la négation :

« J’ignore tout de Monsieur Gérard Willing – Non – Non plus – Non plus – Non – J’en ignore tout – Je ne connais pas le Cheikh Ali Ben Moussalem – Rien – Non. »

Treize ans après les faits, cet ancien patron de la DST continue de se dire convaincu, « à tort ou à raison », que l’attentat est le fait de « la mouvance taliban ».

 

http://tempsreel.nouvelobs.com/justice/20151113.OBS9364/attentat-de-karachi-les-secrets-de-la-dst-se-devoilent.html

Attentat de Karachi : les secrets de la DST se dévoilent

 

Attentat de Karachi : les secrets de la DST se dévoilent
Cérémonie en hommage aux victimes de l’attentat de Karachi perpétré en 2002, en présence de Bernard Cazeneuve, le 8 mai 2015, à Cherbourg. ((AFP PHOTO/CHARLY TRIBALLEAU))

 

Selon un ex-agent de la DST, le contre-espionnage a bien enquêté sur un certain Ali Ben Moussalem après l’attentat de Karachi.

 

 

En 2002, l’attentat de Karachi tuait 15 personnes, dont 11 ouvriers français de la Direction des constructions navales. Une des thèses est celle de la piste islamiste, mais une autre étudie le mobile politico-financier. A savoir une attaque ourdie en représailles à une décision de mettre un terme au versement des commissions, prise par Jacques Chirac, adversaire politique d’Edouard Balladur.

Or, parmi les témoignages d’ex-agents de la direction de la Surveillance du territoire (DST) qui viennent d’être déclassifiés, l’un fournit des éléments susceptibles de corroborer cette dernière thèse, indique « Le Monde », vendredi 13 novembre.

Le témoignage d’un certain « Verger », que le quotidien a pu consulter, « vient confirmer des informations longtemps tues par les responsables des services de renseignement : la DST, chargée en 2002 de l’enquête sur l’attentat, avait bel et bien travaillé dès les années 1990 sur un certain Ali Ben Moussalem, aujourd’hui considéré comme un personnage clé de l’affaire. »

Ben Moussalem, un cheick saoudien à la tête d’un réseau d’intermédiaires

Qui est cet Ali Ben Moussalem ? « Le Monde » le présente comme un « cheikh saoudien [...] à la tête d’un réseau d’intermédiaires - dont faisait partie Ziad Takieddine. « Ses connexions avec les services secrets pakistanais et la mouvance terroriste en font, pour les tenants de la thèse politico-financière, un suspect potentiel », selon le journal qui précise que Ben Moussalem est mort en 2004.

En planque devant la boutique Arije à Paris, « Verdier » assure avoir « observé que des membres du parti républicain de François Léotard [ministre de la défense du gouvernement Balladur] se rendaient dans l’immeuble ».

Citant son supérieur, Gérard Willing, « Verdier » évoque même la remise de valises pleines par Ben Moussalem à Donnedieu de Vabres [alors chargé de mission auprès de François Léotard].

Donnedieu de Vabres aurait alors remercié Ben Moussalem en lui disant : « Merci pour la France, elle vous le rendra », déclare Verdier, comme le rapporte  »Le Monde ».

 

« Verger » n’est pas le vrai nom de l’agent, mais son alias, précise « Le Monde », qui rappelle les difficultés rencontrées par le juge Marc Trévidic - chargé de l’enquête jusqu’à son départ du pôle antiterroriste en août 2015 - pour que soient déclassifiés les souvenirs d’anciens agents de l’ex-Direction de la surveillance du territoire.

E.H. (avec AFP)

L'Obs

L’Obs

Journaliste

 

Nota : Verdier est en vérité le nom de la juge excessivement haineuse du Tribunal de Grande Instance de Brest qui entre 2012 et 2014 a catégoriquement refusé de m’entendre sur tout un tas de choses et sérieusement indigné mon avocate en raison de la manière tout à fait scandaleuse dont elle m’a traitée…

 

http://www.franceinter.fr/emission-affaires-sensibles-attentat-de-karachi-un-mensonge-detat

visuel Affaires sensibles

 

l’émission du lundi 14 mars 2016

Attentat de Karachi : un mensonge d’état ?

 

lire(ré)écouter cette émission disponible jusqu’au 08/12/2018 15h00

 

Aujourd’hui dans Affaires Sensibles, retour sur l’un des dossiers les plus épineux de la Ve République, et non encore élucidé : l’attentat de Karachi, surveni le 8 mai 2002. Ce dossier fait encore peser de lourds soupçons sur certains de nos responsables politiques.

Attentat de Karachi : dernières nouvelles de l'enquête le 13 novembre 2015 dans Attentats mea-affaires

Hommage national au 11 victimes de l’attentat de Karachi © Sipa – 2016

Ouvrir le « dossier  Karachi », c’est « tenter de se glisser dans les failles d’un immense mur du silence ». Ou par analogie encore, c’est essayer d’ouvrir un coffre-fort enfoui dans les sous-sols de l’État. Cette affaire, c’est aussi un immense puzzle politique, diplomatique, industriel, militaire et financier… Un puzzle dont les pièces ont été disséminées aux quatre coins du globe, dispersées dans plusieurs dossiers judiciaires, mises à l’abri dans des coffres blindés ou encore sous la tutelle du secret défense, un cadenas dont beaucoup de journalistes et enquêteurs essaient toujours de trouver la combinaison.

Ici, dans les arcanes de la République, la morale et la vertu cèdent la place à l’opacité et au secret.

Ce qu’on  a compris, malgré tout, c’est qu’il y a deux affaires dans l’Affaire : chacune avec ses propres questions mais avec le sentiment que toutes les deux sont liées.

Pour en parler, nous avons invité le journaliste de Médiapart, Fabrice Arfi. Il est l’auteur, avec Fabrice Lhomme, du livre Le sens des affaires, et d’un documentaire sur l’histoire de l’attentat de Karachi intitulé L’argent, le sang et la démocratie édité en 2013.

invité(s)

fabrice%20arfi dans Corruption

Fabrice Arfi

Journaliste à Mediapart

programmation musicale

Lament

Nusrat Fateh Ali Khan et Michael Brook

Lament
label : Gold Circle
parution : 1995
Idir-Pourquoi_cette_pluie_3 dans Crime

Idir

Pourquoi cette pluie ?
label : Saint George
parution : 2002
eminem dans Folie

Eminem

Lose yourself
label : Aftermath
parution : 2005

bibliographie

Le sens des affaires- Voyage au bout de la corruption

Le sens des affaires- Voyage au bout de la corruption

de Fabrice Arfi
éditeur : Editions Calmann-Lévy
parution : 2014
Le contrat : Karachi, l'affaire que Sarkozy voudrait oublier

Le contrat : Karachi, l’affaire que Sarkozy voudrait oublier

de Fabrice Arfi et Fabrice Lhomme
éditeur : Stock
parution : 2010

dvd

L’argent, le sang et la démocratie

L’argent, le sang et la démocratie

de Fabrice Arfi et Jean-Christophe Klotz
éditeur : Arte

 

A lire sur France Inter


Il y a vingt ans, le gang de Roubaix…

A l’initiative de l’AFP, plusieurs journaux rappellent aujourd’hui l’épopée du gang de Roubaix en 1996 et la coolitude particulière à son égard du ministre de l’Intérieur de l’époque, Jean-Louis Debré, dont je n’oublie pas les « voeux chaleureux » à Ségolène Royal pour mon anniversaire en 2006, et l’humour tout aussi désopilant le 27 mars 2012 lorsqu’il décorait de la Légion d’honneur un professeur de droit de Rennes qui n’est autre que la soeur de mon ancien médecin de famille curieusement retrouvé suicidé dans son cabinet médical en 1996 alors que Josette Brenterch et ses amis du crime organisé harcelaient déjà tous mes médecins à mon sujet, y compris ceux de mon enfance.

Rappelons également que les négociations en 1994 du contrat Agosta par le désormais fameux réseau K provoquaient déjà bien des remous dont le public ne saura jamais rien avant le printemps 2009.

 

 

http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20160328.AFP1327/il-y-a-20-ans-le-raid-lancait-son-assaut-contre-les-islamo-braqueurs-du-gang-de-roubaix.html

Il y a 20 ans, le Raid lançait son assaut contre les « islamo-braqueurs » du « Gang de Roubaix »

 

Publié le 28 mars 2016 à 09h23

 

Roubaix (AFP) – Il est 6 heures, le 29 mars 1996, dans le quartier de l’Alma à Roubaix, lorsque le Raid donne l’assaut contre le « Gang de Roubaix », un bande d’ »islamo-braqueurs » dont le parcours trouve résonance aujourd’hui après les attentats jihadistes en France et en Belgique.

Vingt ans plus tard, au 59, rue Henri Carette, dans ce quartier populaire, à forte population issue de l’immigration, on ne trouve que quelques places de parking. Difficile d’imaginer que ce fut-là le théâtre d’une action sanglante du Raid, se soldant par la mort de quatre des dix membres du gang.

« J’allais au travail et je voyais des policiers partout, je me demandais ce qui se passait », se remémore Pierre, un riverain, expliquant que les maisons défoncées sont restées plusieurs années à l’abandon avant la construction du parking en 2011.

Du 27 janvier au 8 février, plusieurs hold-up et braquages ultra-violents avec armes de guerre ont lieu dans la métropole lilloise, une fusillade faisant un mort à Roubaix. Mais « après le 8 février, ça s’arrête net. On le saura après: deux à trois sont repartis en Bosnie, avec leur maigre butin pour acheter de l’armement lourd et faire quelque chose d’encore plus sérieux », se souvient Romuald Muller, ancien chef de la brigade criminelle de Lille.

Le 25 mars, un fourgon de la Brinks est ainsi attaqué à Leers au lance-roquettes, à la Kalachnikov et à la grenade. Le 27, les enquêteurs réalisent que des membres du gang ont fait un aller-retour à Molenbeek, aujourd’hui fief présumé du djihadisme en Europe. Le 28 mars, la violence monte encore d’un cran: un attentat à la voiture piégée, garée devant l’ancien commissariat, est évité de justesse, à quelques jours d’une réunion du G7 dans la capitale des Flandres.

Cette tentative manquée précipite l’assaut du Raid. Quatre des malfaiteurs, tous issus de la jeunesse roubaisienne immigrée du Maghreb et de Turquie, meurent dans l’effondrement et l’incendie de la maison provoqué par des grenades qu’ils avaient lancées.

Le jour de la fusillade, Jean-Louis Debré, alors ministre de l’Intérieur, explique pourtant que cette affaire relève du « grand banditisme » et nullement « du terrorisme » ou de « l’islamisme ». Les spécialistes de la lutte antiterroriste, eux, sont dépités d’être tenus à l’écart de l’enquête, persuadés qu’il ne s’agissait pas de simples délinquants de droit commun, mais bien des partisans d’un islam radical.

- Des convertis dans le gang -

Parmi les dix membres de la bande, figurent en effet deux convertis, surnommés parfois « les ch’tis d’Allah », nés dans des familles catholiques ouvrières: Lionel Dumont et Christophe Caze, tué le lendemain en Belgique lors de sa fuite et considéré comme le « cerveau » du groupe.

« C’est une des premières fois que la question des convertis se pose, alors qu’aujourd’hui elle est importante vu le nombre de départs de Français vers des terrains de combat », argue Antoine Mégie, maître de conférence en sciences politique à l’université de Rouen et spécialiste de la lutte contre le terrorisme.

La route du « gang de Roubaix » épouse en effet celle de la Bosnie, où plusieurs membres ont combattu dans les rangs des moudjahidine de Zenica en 1994 et 1995, des soldats de l’islam venus combattre les Serbes aux côtés de l’armée bosniaque.

Le politologue Gilles Kepel, dans son ouvrage « Passion française » (Gallimard), rappelle, lui, « qu’après les accords de Dayton de décembre 1995 (mettant fin à la guerre en Bosnie, ndlr), Caze et Dumont s’étaient recyclés dans le djihad sur le territoire français ».

« Au confluent entre grand banditisme et terrorisme islamiste, ils prolongeaient à leur manière frustre l’épopée meurtrière de Khaled Kelkal, abattu quelques mois auparavant le 29 septembre 1995 dans la banlieue lyonnaise ». Selon le chercheur, ils « anticipaient l’affaire Merah » en 2012, « après seize années qui avaient marqué une longue pause du terrorisme jihadiste dans l’Hexagone ».

Sur les dix membres du « gang », quatre sont tués lors de l’assaut, un est tué le lendemain, deux sont incarcérés, deux ont été libérés au début des années 2010 et un n’a jamais été retrouvé.

 

 

http://www.lefigaro.fr/politique/2006/10/16/01002-20061016ARTFIG90267-debre_adresse_ses_voeux_chaleureux_a_royal.php

Debré adresse ses  »voeux chaleureux » à Royal

    • Par PH. G.
    • Mis à jour le 15/10/2007 à 13:15
    • Publié le 16/10/2006 à 06:00

Jean-Louis Debré ne désarme pas. Dans une interview au JDD hier, le très chiraquien président de l’Assemblée accuse Nicolas Sarkozy de manquer à la solidarité gouvernementale. « Attention à ceux qui sèment le vent, ils pourraient récolter la tempête », prévient-il. « Dénigrer, contester, ­critiquer la politique d’un gouvernement dont on est membre est non seulement une erreur, mais une faute politique. » Au risque d’irriter l’UMP, Debré adresse ses « voeux chaleureux à Ségolène Royal. Elle aussi a dû apprendre à se méfier de ses propres amis. A juste titre. » Réponse du sarkozyste Christian Estrosi : Debré « aspire à devenir mécanicien en chef de la machine à perdre ».PH. G.

 

 

http://www.letelegramme.fr/ig/generales/regions/finistere/legion-d-honneur-j-louis-debre-decore-anne-marie-le-pourhiet-31-03-2012-1651982.php

Légion d’honneur. J.-Louis Debré décore Anne-Marie Le Pourhiet

 

31 mars 2012
Nommée chevalier de l'Ordre national de la Légion d'honneur, Anne-Marie Le...
Nommée chevalier de l’Ordre national de la Légion d’honneur, Anne-Marie Le Pourhiet a reçu sa distinction mardi à Paris. Photo DR

 
Jean-Louis Debré, président du Conseil constitutionnel a remis, mardi dernier, la Croix de chevalier de l’Ordre national de la Légion d’honneur à Anne-Marie Le Pourhiet, professeur agrégé de Droit public à l’Université de Rennes-1, vice-présidente de l’Association française de droit constitutionnel. Jean-Louis Debré rappelait, à cette occasion, que cette Bretonne originaire de Ploudalmézeau «se méfie de la pensée unique», n’est pas «une fanatique de l’Europe et du fédéralisme européen», pas plus que de la décentralisation dont elle dénonce régulièrement «le grand bazar». Lors de cette cérémonie, à laquelle assistaient plusieurs membres du Conseil constitutionnel, parmi lesquels Michel Charasse et Renaud Denoix-de-Saint-Marc mais aussi Jean-Pierre Chevènement, Anne-Marie Le Pourhiet a rappelé que sa mère était si profondément attachée au Général de Gaulle qu’elle s’était demandé si elle n’avait pas été une gaulliste «in utero». Décidément très en verve, elle a rappelé avoir obtenu le prix de l’humour politique pour cette phrase: «Je préfère la Constitution de mon père à celle de ma mère». Auparavant, le président Debré, rappelant son attachement à la Bretagne et au respect de l’environnement, s’était demandé si l’association «Des amis de Carantec», qu’elle a longtemps animée, ne vaudrait pas un jour à l’institution qu’il préside une QPC «question prioritaire de constitutionnalité» (1). En ouverture de son discours, la récipiendaire avait évoqué le «syndrome de la madeleine de Proust» (2).

1. Laquelle permet à n’importe quel justiciable de saisir le Conseil. 2. Dans «À la recherche du temps perdu», le narrateur mange une madeleine et revit une scène de son enfance où il en faisait de même. L’expression désigne un acte apparemment négligeable qui porte une charge émotionnelle du passé.

 

 

Cliquer sur les images suivantes pour les agrandir et lire ces textes publiés sur mon ancien blog « Un petit coucou à la recherche d’une liberté perdue » chez OverBlog entre les 18 et 31 mars 2012, à propos de l’affaire Merah :

 

2012-03-18 Assassinat de militaires dans le Sud-Ouest- le tueur serait traqué sur Internet - Un petit coucou

 

2012-03-19 L'Armée française trouée par la Mafia - Un petit coucou

 



Des visiteurs ukrainiens sur Satanistique

Le 14 février dernier, alors que le premier ministre russe Dmitri Medvedev avait déclaré la veille estimer que les relations russo-occidentales étaient entrées dans une « nouvelle guerre froide », j’avais publié des tableaux statistiques montrant que depuis quelques temps les visites de mon blog Satanistique en provenance de Russie dépassaient largement celles de Français, elles en étaient quasiment le double.

Cette vague de visites particulières est depuis bien retombée.

Une autre, plus discrète, s’est amorcée depuis quelques jours, à la suite de mes premières publications sur le trojan crypto-rançonneur Locky. Il s’agit cette fois de visites en provenance d’Ukraine :

 

- du 26 mars 2016 à 21h00 au 27 mars 2016 à 21h00 :

 

Pages vues par pays

Graphique des pays les plus populaires parmi les lecteurs du blog
Entrée Pages vues

France

37

Allemagne

10

Irlande

8

Ukraine

8

Pologne

4

États-Unis

4

Maroc

3

Portugal

2

Belgique

1

Canada

1

 

- du 20 mars 2016 à 21h00 au 27 mars 2016 à 21h00 :

 

Pages vues par pays

Graphique des pays les plus populaires parmi les lecteurs du blog
Entrée Pages vues

France

391

Ukraine

42

États-Unis

42

Allemagne

31

Irlande

29

Belgique

25

Canada

14

Portugal

10

Espagne

8

Pologne

8

 

- du 27 février 2016 à 21h00 au 27 mars 2016 à 21h00 :

 

Pages vues par pays

Graphique des pays les plus populaires parmi les lecteurs du blog
Entrée Pages vues

France

1509

Ukraine

163

États-Unis

158

Allemagne

119

Irlande

81

Belgique

59

Espagne

54

Brésil

48

Canada

48

Italie

34

 

- depuis la création du blog :

 

Pages vues par pays

Graphique des pays les plus populaires parmi les lecteurs du blog
Entrée Pages vues

France

24089

Russie

7368

États-Unis

5687

Allemagne

2523

Ukraine

1544

Suisse

651

Royaume-Uni

583

Turquie

541

Danemark

411

Pologne

368

 

 

Au mois de février 2013, alors que j’étais assignée à comparaître devant le Tribunal Correctionnel de Brest dans le cadre des poursuites engagées à mon encontre par Josette Brenterch du NPA de Brest, et que mon spammeur d’habitude avait commencé à se déchaîner, j’avais déjà remarqué des pics de visites en provenance d’Ukraine sur mon blog « Un petit coucou » sur OverBlog, en relation avec NEMROD34 et ses amis les Sataniques Sceptiques du Québec :

 

2013-02-25 Comment NEMROD34 prépare l'arrivée du printemps - Un petit coucou

 

2013-03-06 Mon spammeur mange de la vache enragée - Un petit coucou

 

2013-03-13 Coup de chaud du 21 février- remise en perspective - Un petit coucou

 

2013-03-13 Coup de chaud le 21 février 2013 - Un petit coucou à la recherche d'une liberté perdue

 

2013-03-14 Ai-je trouvé mon Kazakh  - Un petit coucou

 



Les « déconnologues » jouent au Jeu des 1000

Trouvé sur cet article :

 

http://rue89.nouvelobs.com/rue89-culture/2016/03/27/droles-superstitions-autour-smartphones-263578

Ces drôles de superstitions autour de nos smartphones

 

Sortir son téléphone 354 fois par jour, le tenir dans la main comme un talisman… sous couvert de rationalisme, nos rapports à nos objets techniques sont imprégnés de pensée magique.

Par Claire Richard Journaliste. Publié le 27/03/2016 à 12h35
8 890 visites 47 réactions   0

 

 

Publié le 27/03/2016 à 13h26

Les

Itzig Finkelstein

génocidé
répond à DiaboloSatanas

Les objets modernes avec du numérique dedans ont remplacé ceux qui autrefois occupaient les mains des croyants et des accros : chapelets à égrener, clopes, moulins à prières des Tibétains, etc.

Nos mains de singes ont besoin d’être occupées en permanence.

2 réponses
Publié le 27/03/2016 à 13h45

autist-reading2_64 dans Crime

Dalton Trumbo

Liste noire
répond à Itzig Finkelstein

Ma mère s’est toujours félicitée d’avoir eu deux mâles, équipés pour avoir toujours un truc à tripoter…

Publié le 27/03/2016 à 15h21

cthulhu_tatto_version_by_mesalia-d5ge5lv dans Folie

Akira Kurosawa

sexy sushi
répond à Itzig Finkelstein

Que serait le jeu des 1000 sans le carillon ?

1 réponse
Publié le 27/03/2016 à 15h31

hilsenrath1 dans LCR - NPA

Itzig Finkelstein

génocidé
répond à Akira Kurosawa

Le jeu du 0.

1 réponse
Publié le 27/03/2016 à 17h26

2b1d08ea01d2714a82785574e1434b4dcbecbc53 dans Luraghi

jserg

Si j’aurais lu tous les livres, je serais pas été plus intelligent !
répond à Itzig Finkelstein

J’ai la même sonnerie que le métallophone du jeu d’Emile quand je fais semblant d’oublier de mettre ma ceinture en voiture…

1 réponse
Publié le 27/03/2016 à 17h30

hilsenrath1 dans NEMROD34

Itzig Finkelstein

génocidé
répond à jserg

Sur mon site, le Jeu des 1000 est devenu un des nombreux rituels auxquels nous nous livrons quotidiennement…

 

 

La sonnerie du carillon, c’est l’annonce qu’un nouveau pigeon s’est fait piéger…

 

http://fr.coinmill.com/BTC_EUR.html

S’il vous plaît aider améliorer le texte sur ce site . Il a été traduit de l’anglais par une machine et aurait bien besoin de l’attention d’un humain.

Le convertisseur Bitcoin et Euro est à jour avec des taux de change du 27 mars 2016.

Entrez le montant à convertir dans la boîte à gauche de Bitcoin. Cliquez sur « Intervertir les monnaies » pour faire de l’Euro la devise par défaut. Cliquez sur Euros ou Bitcoins pour convertir entre cette monnaie et toutes les autres monnaies.

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BTC EUR
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2.0000 751.55
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BTC taux
27 mars 2016

EUR BTC
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EUR taux
24 mars 2016

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