Ce « déconnologue » niçois régulièrement inscrit à son blog hors-la-loi par le psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi se vante aussi régulièrement de fréquenter tout autant ses frères francs-maçons de Nice – de triste mémoire…
http://rue89.nouvelobs.com/2016/04/04/vouloir-interdire-les-recettes-pompettes-france-tellement-idiot-263665
Vouloir interdire « Les Recettes pompettes » en France ? Tellement idiot…
L’émission québecoise « Les Recettes pompettes », qui consiste à cuisiner ivre, arrive en France. Au grand regret d’une association de prévention.
Commentaires postés
Publié le 04/04/2016 à 23h33
Les malheureux qui picolent pour picoler, voire sous prétexte que ça fait du bien par où ça troue — et qui plus est en faisant à bouffer, c’est-à-dire quand rien en aucun cas ne doit distraire la concentration que l’exercice impose… alors là je me marre —, ces ceusses m’exaspèrent à tel point qu’il est pas né celui qui me verra toucher à la moindre goutte d’écarte-cuisses, jamais.
En revanche un petit stickoton en fin de soirée… je dis pas.
Publié le 04/04/2016 à 23h41
T’es un vrai chameau de compète quand tu prépares le couscous : santé, sobriété. J’en suis témoin.
Publié le 04/04/2016 à 23h51
C’est vrai, il fait ça l’animal ?
Pour le coup, je trouve que boire en préparant un bon repas, c’est le plaisir suprême. On pose le verre au milieu des légumes découpés et des plats qui crépitent, on est entouré d’arômes. J’adore ça. Et ça n’émousse pas un poil ma concentration, j’précise !
Publié le 04/04/2016 à 23h55
En même temps c’est vrai que je sais pas dire Hips en langue chameau…
Gblurck, ça va. Mais Hips, ça reste un mystère…
Publié le 05/04/2016 à 00h28
Evelyne
Dame tartine
répond à Caporal_Pancho
Publié le 05/04/2016 à 09h23
L’écarte-cuisses est un substitut poétique, optimiste et joyeux au casse-patte, au tord-boyau et au pousse-au-crime
Publié le 05/04/2016 à 15h10
Evelyne
Dame tartine
répond à Caporal_Pancho
Publié le 05/04/2016 à 15h15
C’est nul leur systouille : le lien wikimachin ne marche pas. Alors je colle l’image.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Paul_Renard
Jean-Paul Renard
Jean-Paul Renard (né en 1950) est un ancien magistrat et franc-maçon. Il a successivement été substitut à Annecy en 1979, substitut à Nice en 1982, juge d’instruction à Grasse en 1986, vice-président doyen de l’instruction à Nice en 1992 puis président du tribunal d’instance d’Antibes.
Biographie
Il a notamment assuré l’instruction de l’enquête sur la mort de Coluche en 1986 et celle de l’affaire Omar Raddad en 1991.
En 1991 Jean-Paul Renard est initié franc-maçon au sein de la Grande Loge nationale française (GLNF)1,2.
Il est impliqué dans l’affaire du tribunal de Nice, révélée par Éric de Montgolfier, procureur près du TGI de Nice depuis 1999. Il est un proche de Michel Mouillot, ancien maire de Cannes, qui sera condamné le 4 février 2005 à six ans de prison ferme pour « corruption, prise illégale d’intérêt, abus de biens sociaux, faux et usage de faux et emplois fictifs »3.
Le Conseil supérieur de la magistrature (CSM) a prononcé à l’encontre de Jean-Paul Renard, le 29 octobre 2004, la sanction de la mise à la retraite d’office prévue par l’article 45-6 de l’ordonnance du 22 décembre 1958. Le CSM dans sa décision relève à l’encontre de M. Renard des « violations graves et répétées aux obligations de prudence, de diligence, de neutralité, de loyauté et de rigueur professionnelle révélées à l’examen des sept griefs retenus, toutes contraires à l’honneur et à la considération et ayant porté atteinte à l’autorité de la justice ». Selon le CSM l’ancien juge « a perdu les repères éthiques indispensables à l’exercice des fonctions de magistrat en même temps que tout crédit juridictionnel à l’égard des auxiliaires de justice et des justiciables »4. M. Renard a formé un recours devant le Conseil d’État qui a confirmé dans un arrêt du 15 mars 2006 la sanction prononcée par le CSM.
Jean-Paul Renard est de plus poursuivi pour « faux, usage de faux et violation du secret professionnel » pour avoir transmis des informations confidentielles à la Grande loge nationale de France (GLNF)5, l’obédience maçonnique à laquelle il appartenait6. La 17e chambre du Tribunal correctionnel de Paris l’a condamné à 5 000 euros d’amende pour violation du secret professionnel le 13 janvier 2006.
Notes et références
- ↑ « Les dessous de la justice niçoise ; le rapport qui accuse », par Renaud Lecadre, pour Libération [archive], le 12 octobre 2004
- ↑ Nice : Le procureur Montgolfier n’a pas chassé tous les frères ! [archive], capital.fr, 9 février 2010
- ↑ Les dessous de la justice niçoise. Le rapport qui accuse [archive], liberation.fr, 12 octobre 2004
- ↑ Le juge Renard mis à la retraite d’office [archive], leparisien.fr, 30 octobre 2004
- ↑ Le procureur de Nice fait arrêter un juge d’instruction [archive], leparisien.fr, 7 juin 2001
- ↑ Devant le tribunal, le juge Renard, « ange gardien de la moralité » de sa loge maçonnique [archive], lemonde.fr, 19 novembre 2005
Voir aussi
Liens externes
http://www.ladepeche.fr/article/2001/06/24/215445-karim-kamal-une-gifle-pour-la-justice-francaise.html
Publié le 24/06/2001
Karim Kamal: une gifle pour la justice française!
France – SOCIETE : Il accuse la justice niçoise d’avoir « couvert » un réseau pédophile. Il vient d’obtenir le statut de réfugié politique aux Etats-Unis.
Il est désormais réfugié politique aux Etats- Unis. Le Niçois Karim Kamal, 39 ans, est le premier Français à bénéficier du droit d’asile aux USA. La justice américaine reconnaît que cet homme est victime d’un « déni de justice » au pays des droits de l’Homme…
Cette affaire très complexe serait une véritable « ratatouille niçoise ». Mais c’est bien plus grave. Car un homme est mort, et une fillette serait en danger. Cette fillette s’appelle Lauriane. Selon le quotidien Nice Matin, elle est actuellement suivie par le célèbre psychiatre marseillais Marcel Rufo.
Lauriane est la fille de Karim Kamal et de Marie-Pierre Guyot, un couple de Niçois. Karim Kamal était étudiant en marketing à Nice lorsqu’il a rencontré Marie-Pierre, la fille d’un ancien avocat général.
La fillette de 4 ans parle de « gens masqués »
Lauriane naît le 4 avril 1989. Elle n’a que deux ans lorsque ses parents se séparent. Karim, le père, la voit fréquemment pendant les vacances. En 1994, Lauriane a quatre ans et demi… et affiche devant son père un comportement « sexuellement exhibitionniste ». Karim Kamal amène sa fille chez un médecin. La fillette parle alors de « fêtes » chez sa mère, à Cagnes- sur-Mer; elle évoque des « gens masqués », parfois « nus », en présence d’autres enfants. Lauriane cite le nom de juges de Nice « qui ne sont pas gentils ».
Karim Kamal soupçonne alors son ex-femme Marie- Pierre Guyot de faire subir à leur fille des sévices sexuels. Il dépose plainte. Au moins deux médecins constatent des ecchymoses sur le corps de Lauriane, et dénoncent l’existence d’abus « psychologiques, physiques et sexuels ». Le parquet de Nice ouvre une enquête préliminaire.
C’est alors que Karim Kamal se dit « persécuté » par la justice niçoise: « Un substitut m’a conseillé de partir et d’oublier ma fille si je voulais m’en tirer »… Le 7 avril 1994, le bâtonnier de Nice ordonne à Me Miguel Grattirola, l’avocat de Karim Kamal, de se « décharger de la défense ». L’avocat obéit. Puis il écrit une lettre au président du tribunal de Nice dans laquelle il invoque l’implication de « magistrats locaux dans un réseau de prostitution enfantine ». Me Grattirola est aussitôt suspendu, blâmé, poursuivi pour « outrages à magistrats », et condamné. La Cour de cassation annulera en 1999 toutes ces poursuites.
Le doyen des juges classe le dossier
Karim Kamal n’a pas attendu d’autres nouvelles de la justice niçoise. Dès 1994, il quitte Nice et part pour les Etats-Unis. Sa soeur, Dalila Kamal-Griffin, est avocate à New-York. Karim Kamal s’installe à Los Angeles où il demande l’asile politique: « C’est ma dernière chance ». Car en France, ses parents déposent une nouvelle plainte; le doyen des juges d’instruction de Nice, Jean-Paul Renard, refuse d’ouvrir une nouvelle information.
Au printemps 1994, Karim accueille chez lui, à Los Angeles, sa fille Lauriane. Il décide de la garder avec lui. Marie- Pierre Guyot obtient alors le soutien du tribunal de Nice, et celui du consul de France à Los Angeles pour récupérer sa fille. Le FBI bloque l’avion sur la piste de l’aéroport. Mais Marie- Pierre Guyot passe par le Mexique…
Les grands-parents paternels se tournent vers le tribunal de Grasse. Le 29 février 1996, la juge des enfants Marie-Agnès Murciano ordonne le placement de Lauriane dans un foyer, en raison « d’une suspicion parfaitement sérieuse de mauvais traitements physiques et sexuels ». Marie-Pierre Guyot obtient l’annulation de l’ordonnance.
La mère obtient même la condamnation de son ex-mari. Le procureur Auméras condamne Karim Kamal, par défaut puisqu’il réside aux USA, pour tentative d’enlèvement, dénonciation calomnieuse, subornation de témoin et déchéance de son autorité parentale. Karim Kamal se tourne alors vers la justice américaine.
Le 16 décembre 2000, le juge Ronald Ohata, du tribunal fédéral de Los Angeles, rend sa décision; il accorde à Karim Kamal un droit d’asile aux Etats-Unis, en raison des « persécutions » dont celui-ci est victime, en France, depuis 1993. Cité par le journal Le Monde, le magistrat californien évoque « les actes de corruption » et « les mesures de représailles » exercées par le système judiciaire niçois.
Ce droit d’asile a été officiellement notifié ce vendredi à Los Angeles par la juge Christine Stancill. Les services d’immigration américains (INS) ont encore une semaine pour faire appel. « J’ai gagné une bataille, une sacrée bataille, mais pas la guerre, car Lauriane est toujours absente », a dit Karim Kamal. Le Niçois réfugié politique aux Etats-Unis a aussitôt annoncé son intention de déposer plainte devant le Tribunal international, et la Cour européenne des droits de l’Homme pour faire condamner la France.
A Nice, il y a au moins un juge qui n’est pas resté insensible au désarroi de Karim Kamal. C’est le procureur Montgolfier. Nommé en 1999 au tribunal de Nice, Eric de Montgolfier a, à plusieurs reprises, dénoncé « les dysfonctionnements de la justice » à propos de l’affaire Kamal. Eric de Montgolfier a récemment ouvert une enquête contre Jean- Paul Renard, le doyen des juges d’instruction de Nice, ancien maître maçon de la Grande loge nationale française, soupçonné d’avoir utilisé le fichier du casier national pour obtenir des informations. Le juge Renard sera entendu jeudi prochain par le Conseil supérieur de la magistrature.
Les deux affaires ne sont évidemment pas mêlées, et le procureur Eric de Montgolfier n’a pas manifesté l’intention de rouvrir le dossier Kamal: « J’attends des éléments nouveaux », a-t-il déclaré hier au quotidien Nice Matin.
Le juge Renard n’est pas le seul magistrat niçois à faire l’objet de quelque soupçons. Le procureur adjoint, François Thévenot, a admis avoir commis « l’imprudence » de conseiller la mère de Lauriane. Il a été trahi par l’écoute téléphonique ordonnée par un juge d’instruction de Grasse. « Thévenot a aidé Marie-Pierre à cacher Lauriane!», accuse Karim Kamal, dans l’interview qu’il accorde cette semaine à l’hebdomadaire Paris Match.
Imprudence… Coïncidence… Dimanche dernier, sur une petite route de Corse, le journaliste Nicolas Giudici était abattu par balles. Nicolas Giudici était le meilleur ami de Karim Kamal. Nicolas Giudici avait même témoigné en sa faveur, en 1995, en évoquant le comportement « sexuellement atypique » de la petite Lauriane, et rapportant des propos pour le moins troublants sur les bébés tenus par Marie-Pierre Guyot.
« Je souhaite de tout coeur que la mort de Nicolas ne soit pas liée à l’affaire », dit Karim Kamal.
Une affaire qui est loin d’être terminée. Le tribunal de Nice est dans le collimateur de la justice américaine.
Sabine BERNEDE
La Dépêche du Midi
C’est pour de vrai. Il ne touche pas à la moindre goutte d’adjuvant à pastaga en cuisinant. Et son couscous il est réellement impérial, grâce à sa sobriété hydrique légendaire.
Le couscous est aussi impérial que le cuisinier, ça vaut le déplacement !
Ah, le geste majestueux du Caporal quand il ouvre le coffre de sa Bugatti avec tout le kit à couscous impérial dedans !
Un vrai gentleman ne sort jamais sans : deux francs six sous en poche pour la valetaille et le mastroquet, un ou deux préservatifs pour dérider les copines, et une couscoussière, au cas où.
Mon kif c’est les grosses berlines allemandes.
Mais par souci de discrétion et d’anonymat, je me suis résolu à ne plus me déplacer ni-vu-ni-connu qu’en Bugatti.
T’es jaloux de ma grosse Mercobenz V6, dis le tout de suite.
Les voisins, qui me croyaient communiste, en sont jaloux.
Maintenant ils me soupçonnent en mode corbak d’entretenir des relations louches — #PP #NAS #ISIS #Féri-Boîte — avec Daesh et le Grand Banditisme marseillais à la fois ou choix les anchois.
Ça a bien fait marrer mes F∴ de L∴ flics, magistrats, juifs et corrompus. Et encore plus depuis qu’ils m’ont mis sur écoute… étendue à la smala toute entière : /(
Ce qui fait maintenant que si on veut se contacter à la discrétosse — ou harceler au téléphone mes petites sœurs même pour de rire —, il vaut mieux le faire à partir de n° extérieurs à l’espace Schengen, à l’Otan et à la Fédération des planètes unies.
D’où, CQFD, la Bugatti.
Noblesse oblige.
Y en a qui se rendent pas compte de ce qu’ils font : ils sont fous comme des lapins. Ils pensent que personne ne se rend compte de leurs délires. Ils se rendent pas compte.
Le jour où ils réaliseront leur bévue, il sera trop tard.