Comment le cyberdélinquant Cyprien Luraghi intoxique les foules 12 avril
En date du 11 avril 2016, soit hier, il a publié un nouveau billet de blog dans lequel il qualifie de « parano » une femme qui jadis avait remarqué qu’il la piratait :
Ourdi et ordi
Par cyp | Publié : 11 avril 2016L’informatique c’est super mystérieux pour la plupart des gens. Or quand le mystère est épais c’est l’interprétation délirante qui prend le relais de la raison raisonnante.
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Un jour il y a très longtemps, au tout début de l’Icyp, une certaine Violaine venait parfois me faire un petit coucou dans les commentaires, deux ou trois fois par mois. Elle fréquentait surtout le forum disparu depuis des lustres, d’un vieux copain guide de trek ayant posé son sac à dos dans le Gers : Bernard. C’était le plein été et au téléphone il y avait Violaine qui passait quelques jours dans la région : ni une ni deux, je l’avais invitée à faire escale à la maison. Le lendemain elle irait rendre visite à Bernard.
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Chaque nuit, à quatre heures et demie précisément, son ordinateur portable se réveillait tout seul. Et invariablement les jours suivants elle retrouvait dans mes billets et les commentaires de Bernard sur son forum, des idées et des tournures de phrases de son journal intime, qu’elle tenait sur son Mac. Évidemment, étant l’informaticien de service, c’était moi le pirateur de ce duo de lascars conspirateurs en mal d’inspiration, envoyé pour aspirer les pensées les plus intimes de Violaine à des heures qu’ont pas de nom.
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Jusqu’à sept heures du matin j’avais tenté de la convaincre et elle avait vaguement eu l’air d’acquiescer, quand vers cinq heures elle avait commencé à me raconter son histoire : à quatorze ans un vieux salaud l’avait violée − il en avait trente à l’époque − et vingt ans plus tard elle était toujours sous son emprise. Ils vivaient chacun chez soi et elle allait le rencontrer chez lui régulièrement pour des congrès charnels. Sacrée histoire : pas étonnant que la nana soit devenue un peu étrange.
Et dans la foulée la voilà qui me déclare qu’elle est amoureuse folle de Bernard.
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J’ai pas osé appeler Bernard pour le prévenir. On verrait bien ce soir. Ça n’avait pas fait un pli : Violaine lui avait déclaré sa flamme à table, devant sa chérie effondrée. Deux manchots de plus au compteur.
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Violaine était la première parano érotomane dont je croisais la trajectoire folle. Il y en a eu d’autres − et pas que de la variété érotomane − par la suite : je conterai leurs histoires dans d’autres billets. Certaines sont rigolotes et d’autres pas du tout. Comme la vie, donc.
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J’ai retiré de son texte original tous les passages où il en fait des tonnes pour exprimer ce qu’il décrit comme ce qui aurait été son hébétude et celles de ses proches et de ses amis lorsque la dame leur dit avoir compris à quoi ils jouaient. Toutes ces exagérations outrancières cachant très mal la vérité sont sans intérêt sinon celui de trahir leur auteur : le comédien est encore en train de feindre, de mentir, de baratiner son public.
Cela dit, il ne fait aucun doute que je fasse moi-même partie de ces autres « paranos » dont il annonce déjà qu’il va conter les « histoires » dans d’autres billets, puisqu’il me pirate effectivement depuis au moins huit ans et n’a depuis lors cessé de me traiter de « parano », « schizoparano », « folle », « cas lourd psychiatrique », etc…
Je rappelle donc pour commencer que cet homme est mythomane et extrêmement pervers.
Les « histoires » qu’il conte sont quasiment toutes fausses.
Sa version de ma soi-disant « biographie », qu’il expose à ses lecteurs de manière détaillée depuis le mois de juin 2010, bien évidemment sans oublier de leur donner aussi mon identité et toutes mes coordonnées, dont il n’aurait jamais dû pouvoir prendre connaissance et qu’il n’a jamais obtenues que grâce à ses piratages informatiques, comme il s’est plu à me le rappeler à maintes reprises entre 2009 et 2013, lorsqu’il me harcelait au quotidien sur les sites où je m’exprimais, ou sur ses propres blogs que je n’avais commencé à lire que pour savoir ce qu’il racontait à mon sujet, cette version de ma « biographie », donc, qu’il travaille depuis le début avec sa complice la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, n’est qu’un tissu de mensonges et d’inventions calomnieuses notamment destiné à me faire passer pour folle du fait que j’avais moi aussi très vite remarqué qu’il me piratait lorsqu’il a commencé à m’attaquer sur le site Rue89 en 2008.
Je n’avais auparavant jamais entendu parler de ce soi-disant « écrivain » et ne l’avais pas davantage remarqué dans les commentaires du site d’information Rue89 où il sévissait déjà depuis quelques mois. Lui par contre m’espionnait avec quelques-uns de ses amis extrême-gauchistes depuis déjà un certain temps. J’aurai l’occasion de le constater bien plus tard lorsque j’effectuerai quelques recherches pour tenter de comprendre d’où ce type m’était tombé dessus, comment et pourquoi.
On notera à ce propos que lors de son audition à la gendarmerie de Puy-l’Evêque le 14 mars 2011 à la suite de ma première plainte à raison de ses exactions à mon encontre, s’il mentait et affabulait énormément, comme à son habitude, il déclarait aussi avoir commencé à se « moquer » de moi dans les commentaires du site Rue89 en 2008, et tous ses amis « déconnologues » de même, du fait de mes propres commentaires anonymes sur ce site sur le sujet du harcèlement moral en entreprise sous des articles consacrés à ce problème. Il reconnaissait avoir bien attaqué le premier et n’avoir ensuite jamais cessé de me harceler, tout en contestant que ses soi-disant « moqueries » à mon encontre fussent bien constitutives de plusieurs infractions pénales, dont celle de harcèlement moral.
Il citait également le cas d’une autre riveraine du site Rue89 dont il se « moquait » aussi depuis la même époque pour les mêmes raisons et soutenait qu’il était normal de se « moquer » de ces femmes qui se disaient victimes de harcèlement moral dans le travail et que pour sa part il qualifiait de « folles ».
Bien évidemment, ces déclarations mensongères du psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi qui néanmoins corroboraient de mes propres dénonciations me seront cachées le plus longtemps possible, et en toute illégalité à compter de 2012, par ses complices magistrats ultra CORROMPUS du Tribunal de Grande Instance de Brest ayant choisi de n’en retenir de manière fort malhonnête que l’idée selon laquelle j’aurais moi-même provoqué toutes les infractions dont je me plaignais. Je n’ai ainsi jamais pu prendre connaissance de ces déclarations avant le mois d’août 2014, les multiples demandes de communication de dossiers que leur avaient adressées mes avocats successifs depuis 2011 étant toujours restées sans aucun effet jusqu’à cette année-là.
Cyprien Luraghi avait aussi reconnu être l’auteur de toutes ses publications me concernant dont je m’étais plainte, comprenant notamment toute une série d’articles qu’il avait publiés sur son blog ICI-BLOG ou ICYP aux mois de janvier et février 2011. Il s’en était justifié en expliquant que, n’étant quant à lui nullement « procédurier », il avait décidé de se faire justice lui-même plutôt que de porter plainte contre moi du fait que selon lui je l’aurais « harcelé » et aurais aussi « harcelé » ses amis « déconnologues » en les traitant tous de « harceleurs ». Il affirmait être toujours resté correct dans tous ses écrits publics me concernant, notamment dans son blog Tique Toc qui d’après lui ne renfermait aucune « saloperie » (sic). Le gendarme qui l’auditionnait le croyait sur parole en toutes ses allégations et n’en vérifiait aucune. Pour des raisons que j’ignore, il sera ensuite muté en Guadeloupe tandis que la policière de Brest ayant traité ma plainte quittait elle-même la police dans des conditions que je ne connais pas.
De son point de vue, Cyprien Luraghi aurait donc toujours le droit de faire tout ce qu’il fait, et ses victimes n’auraient jamais le droit de s’en plaindre d’aucune manière. A la lecture de ses déclarations, on comprend très bien pourquoi ses complices magistrats ultra CORROMPUS du Tribunal de Grande Instance de Brest les ont cachées à mes avocats aussi longtemps que possible tout en leur mentant sur leur substance.
Cyprien Luraghi le sait déjà, puisqu’il continue à m’espionner par divers moyens illégaux, je dispose d’éléments de plus en plus précis et concrets quant à la manière dont il a « hypnotisé » ces magistrats, et nous aurons prochainement l’occasion d’y revenir.
En attendant, je rappelle ces éléments que j’ai déjà exposés plusieurs fois :
1/ Cyprien Luraghi passe son temps à rechercher parmi les internautes qu’il croise sur le net des « personnages » pour ses romans, et à traquer absolument partout ceux qui l’intéressent dans cette perspective :
2/ Cyprien Luraghi pirate ses cibles ou futurs « personnages de romans » avec l’aide de ses amis eux aussi pirates informatiques afin de violer et voler au maximum de ses possibilités techniques l’intimité de la vie privée de ces personnes bien réelles et toujours vivantes :
3/ Il nie toujours farouchement tous les crimes et délits dont il se rend coupable, et traite toutes ses victimes de folles, de paranoïaques, de menteuses, de faussaires ou de harceleuses en se montrant véritablement paranoïaque à leur égard :
4/ Il écrit et publie effectivement ses versions calomnieuses des « biographies » de ses victimes afin de ridiculiser par avance ou de prévenir toutes leurs dénonciations à son encontre en les rendant non crédibles.
Sa propre soeur, dont il a dressé un portrait peu reluisant dans l’unique « roman » qu’il ait pu faire éditer, est ainsi la première de ses victimes à avoir fait les frais de cette stratégie de défense systématique du psychopathe :
· Je suis Cathy Luraghi et je voudrais répondre à toutes les fausses informations qui circulent sur moi. cyprien mon soit disant frère, na jamais rencontré Thierry de toute sa vie, Thierry le haïssait pour tout le mal qu’il à fait à mes filles durant mes 9 mois d’incerations, ils s’invente une vie qu’il na pas eu le courage vivre et me salit moi même depuis 17 ans. Contrairement à ce qu’il se dit je n’ai jamais balancé personne même si j’ai du reconnaitre se qui a été prouvé. Thierry était l’amour de ma vie et le restera à jamais.