Sébastien Sarron est mort ce matin dans sa cellule de la maison d’arrêt de Nantes

Ses victimes seront privées de procès et d’explications.

Rappelons que cet individu aurait pu faire partie des très nombreux internautes que manipulent le cyberdélinquant Pascal Edouard Cyprien Luraghi et sa bande de « déconnologues », dont le Biterrois Jean-Marc Donnadieu.

Dans les écrits « décousus » retrouvés dans sa camionnette après qu’il eut foncé dans la foule du Marché de Noël de Nantes avant de tenter de se suicider, le 22 décembre 2014 , il se plaignait notamment d’un professeur de l’Education nationale.

Il avait passé son après-midi quai de la Fosse, une artère nantaise célèbre pour ses bars à hôtesses, dont ceux de l’assassin présumé du proxénète brestois Bernard Algret, Antonio Freitas, voisin de cellule d’Amedy Coulibaly à Fleury-Mérogis en 2007.

Il n’avait semble-t-il jamais mis les pieds à Nantes auparavant et n’y avait aucune attache.

Le 2 octobre 2015, il avait été condamné une première fois par le Tribunal Correctionnel de Saintes à six mois de prison avec sursis pour détention et usage de stupéfiants et n’attendait plus que son procès devant la Cour d’Assises de la Loire-Atlantique.

 

http://www.leparisien.fr/faits-divers/le-chauffard-du-marche-de-noel-de-nantes-s-est-suicide-en-prison-13-04-2016-5711375.php

Le chauffard du marché de Noël de Nantes s’est suicidé en prison

 

Z.L. | 13 Avril 2016, 12h30 | MAJ : 13 Avril 2016, 12h30

Avant son incarcération, Sébastien, un pépiniériste de 37 ans, vivait isolé à Berneuil dans un village de Charente-Maritime.
Avant son incarcération, Sébastien, un pépiniériste de 37 ans, vivait isolé à Berneuil dans un village de Charente-Maritime. (Droits exclusifs Le Parisien.)

 

Il avait provoqué la terreur, tué un jeune homme et blessé plusieurs personnes en fonçant en camionnette dans la foule du marché de Noël de Nantes en décembre 2014. Sébastien Sarron s’est suicidé ce mercredi matin dans sa cellule de la maison d’arrêt de Nantes-Carquefou (Loire-Atlantique), révèlent plusieurs médias locaux.

 

Vers 7 heures du matin, des surveillants l’ont retrouvé pendu, explique «Presse Océan». Le détenu avait été placé en quartier d’isolement et fait l’objet d’une importante surveillance depuis quelques mois. D’après «Ouest France», la dernière ronde de ses geôliers a eu lieu à 5 heures ce mercredi matin, deux heures avant la découverte du corps. Sébastien Sarron attendait son procès en assises. Une procédure qui s’éteint avec son décès.

Le 22 décembre 2014, vers 19 heures, Sébastien Sarron, un pépiniériste originaire de Charente-Maritime, décide de lancer sa fourgonnette blanche dans la foule du marché de Noël de la Place Royale à Nantes. Ivre, il fauche 10 personnes puis se blesse sérieusement en se frappant de plusieurs coups de couteau. Virgile Porcher, un jeune homme de 25 ans, décède des suites de ses blessures. Quelques jours plus tard, le chauffard est mis en examen pour assassinat et tentative d’assassinat.

VIDEO. Une camionnette fonce dans le marché de Noël à Nantes: «ça a été la panique»

Dans la fourgonnette, les enquêteurs avaient découvert un carnet contenant «des propos pour le moins confus», évoquant sa haine de la société ou encore «un risque d’être tué par les services secrets».  Décrit par ses proches comme solitaire, alcoolique et paranoïaque, Sébastien Sarron avait pourtant était jugé comme responsable pénalement par un expert psychiatrique.

VIDEO. «La personne semblait se frapper au thorax», raconte un témoin de la scène

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http://www.20minutes.fr/nantes/1825551-20160413-drame-marche-noel-nantes-conducteur-suicide-prison

Drame du marché de Noël à Nantes: Le conducteur s’est suicidé en prison

 

FAITS DIVERS L’homme qui avait foncé dans la foule le 22 décembre 2014 à Nantes, faisant un mort et plusieurs blessés, s’est pendu dans sa cellule ce mercredi…

La camionnette qui a foncé sur la marché de Noël de Nantes le 22 décembre 2014
La camionnette qui a foncé sur la marché de Noël de Nantes le 22 décembre 2014 – Georges Gobet AFP

F.B.

    • Publié le 13.04.2016 à 12:08
    • Mis à jour le 13.04.2016 à 13:08

 

Il avait 38 ans. Sébastien Sarron, le conducteur de la camionnette qui avait foncé dans la foule du marché de Noël de Nantes le 22 décembre 2014, s’est donné la mort ce mercredi, a-t-on appris auprès de la police. L’homme s’est suicidé par pendaison dans sa cellule de la maison d’arrêt de Nantes, vers 7h30.

Incarcéré et placé en isolement depuis le 9 janvier 2015, il aurait dû être jugé par la cour d’assises de Loire-Atlantique pour assassinat et tentatives d’assassinat. Une expertise psychiatrique avait en effet conclu qu’il ne pouvait pas, malgré sa fragilité psychologique, être considéré comme « irresponsable » de ses actes.

Un jeune homme tué

Le 22 décembre dernier, un fourgon blanc avait foncé dans la foule massée place Royale, au milieu des chalets du marché de Noël. Une dizaine de personnes avaient été blessées et un jeune homme de 25 ans, Virgile, originaire du Landreau en Loire-Atlantique, avait trouvé la mort.

Les enquêteurs avaient constaté que le chauffeur, originaire de Charente-Maritime, était ivre au moment des faits. Un carnet avait été retrouvé à bord de la voiture après l’agression. Dans des écrits « décousus », Sébastien Sarron faisait état pêle-mêle, de ses problèmes familiaux, de sa haine de la société et « du risque d’être tué par les services secrets ». Après avoir foncé sur la foule, il s’était donné plusieurs coups de couteau.

 

http://www.francesoir.fr/societe-faits-divers/nantes-le-chauffard-du-marche-de-noel-sest-suicide

Nantes: le chauffard du marché de Noël s’est suicidé

 

Publié le :

Mercredi 13 Avril 2016 – 13:00

Dernière mise à jour :

Mercredi 13 Avril 2016 – 13:10

Sébastien Sarron, l’homme qui avait tué une personne en fonçant sur la foule lors du marché de Noël de Nantes en 2014 s’est suicidé. Il s’est pendu dans sa cellule alors qu’il attendait son jugement pour « assassinat et tentative d’assassinat ».

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Le drame du marché de Noël de Nantes avait coûté la vie à un homme de 25 ans.

©Stefphane Mahe/Reuters

 

Le conducteur qui avait foncé sur la foule lors du marché de Noël de Nantes en 2014 faisant une victime s’est suicidé. Sébastien Sarron, 37 ans, s’est pendu dans sa cellule ce mercredi 13 au matin rapporte Ouest France.

Il était incarcéré à la maison d’arrêt de Nantes dans l’attente de son jugement. Les gardiens l’ont retrouvé pendu vers 7 heures du matin, deux heures après leur dernière ronde. L’homme faisait en effet l’objet d’une surveillance régulière et avait été placé en quartier d’isolement il y a plusieurs mois de cela.

Malgré les tentatives de réanimation des surveillants pénitentiaires puis du SAMU, Sébastien Sarron  est décédé sur place.

Le 22 décembre 2014, il avait, au volant de sa camionnette, volontairement percuté plusieurs personnes sur le marché de Noël de Nantes. Il avait par la suite tenté de se suicider en se donnant plusieurs coups de couteau.

Son acte avait causé la mort d’un homme de 25 ans et fait plusieurs blessés graves. Très vite, la piste de l’acte d’un déséquilibré avait été privilégiée. Outre la tentative de suicide, un carnet avait été retrouvé dans lequel l’homme tenait des propos incohérents, évoquant sa « haine de la société » ou sa crainte d’être tués par les services secrets.

Pour autant, un experts psychiatres avait considéré que son jugement n’était pas aboli au moment des faits et que l’irresponsabilité pénale ne pouvait être retenue. Sébastien Sarron pouvait donc être jugé devant les assises.

L’enquête avait retenu l’hypothèse de la préméditation, et l’homme était mis en examen pour « assassinat et tentative d’assassinat ».

Auteur : La rédaction de FranceSoir.fr

 

http://www.presseocean.fr/actualite/nantes-drame-de-noel-vers-un-proces-devant-les-assises-17-12-2015-178918

Nantes Drame de Noël : vers un procès devant les assises

 

0 17.12.2015 12:30

Un passant avait été tué et neuf autres blessés sur le marché de Noël de Nantes.

Un passant avait été tué et neuf autres blessés sur le marché de Noël de Nantes.

Photo archives Presse Océan – Stéphane Pajot

Le 22 décembre 2014 à Nantes, une voiture folle fauchait dix personnes sur le marché de Noël, place Royale. Le lendemain, Virgile, un danseur et chorégraphe de 25 ans originaire du vignoble nantais, succombait à ses blessures.

Un an après les faits, les investigations autour du drame touchent à leur fin. Au cœur de l’instruction demeure le degré de responsabilité pénale du conducteur de la camionnette. Sébastien Sarron, 38 ans, s’était lardé le thorax d’une douzaine de coups de couteau après avoir délibérément lancé son véhicule sur la foule. Dans un carnet retrouvé dans l’habitacle, il faisait état, dans des propos décousus, de sa haine de la société, de reproches familiaux au bien encore du risque de se faire tuer par les services secrets. Interné en hôpital psychiatrique dans les jours suivant le drame, l’homme originaire de la Charente-Maritime, très isolé socialement, est désormais en détention provisoire, sous le coup d’une mise en examen pour « assassinat » et « tentatives d’assassinats ».

Au début de l’enquête, deux experts psychiatriques ont rencontré le suspect. Ils ont mis en évidence des traits de personnalité paranoïaque chez Sébastien Sarron, qui, dans une certaine mesure, auraient pu altérer son discernement. Altérer mais pas abolir : en clair, selon ces experts, le suspect est responsable pénalement. La contre-expertise ordonnée par la juge d’instruction va dans le même sens. Faute d’avoir pu rencontrer leur patient, les deux nouveaux experts nommés se sont basés sur les pièces présentes dans le dossier. Le rapport, remis il y a quelques jours, ouvre lui aussi la voie à un procès devant les assises.

Dossier complet à lire ce jeudi 17 décembre 2015 dans Presse Océan ou nos éditions en ligne

 

 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/pays-de-la-loire/loire-atlantique/nantes/drame-du-marche-de-noel-de-nantes-c-etait-il-y-un-890503.html

Drame du marché de Noël de Nantes, c’était il y a un an…

 

Le 22 décembre 2014, un chauffard fauchait dix piétons sur le marché de Noël de Nantes, tuant Virgile, un jeune homme de 25 ans. L’enquête n’a pas permis d’établir les motivations exactes de l’automobiliste, un homme de 37 ans au moment des faits.

  • Fabienne Béranger avec José Guedes
  • Publié le 23/12/2015 | 09:58, mis à jour le 23/12/2015 | 09:59

 

Il est 19 heures ce 22 décembre 2014, lorsqu’une voiture folle termine sa course dans la foule du marché de Noël. Une dizaine de personnes sont blessées. Parmi elles, Virgile Porcher, 25 ans. Il décèdera quelques heures plus tard au CHU de Nantes.

Un an après, l’enquête, toujours en cours, n’a pas permis d’établir les motivations de l’auteur du drame, Sébastien Sarron.
La famille de Virgile espère un procès pour tenter de comprendre ce qui s’est passé.

« Pourquoi Nantes, pourquoi cet endroit là de Nantes et surtout pourquoi Virgile est décédé dans ces conditions ? », ce sont les questions que pose la famille de Virgile, explique Loïc Cabioch, son avocat « Est-ce que le procès permettra d’avoir les réponses à ces questions, on n’en est pas certains, est-ce-que monsieur Sarron donnera des réponses, on n’en est pas certains non plus mais peut-être que le procès permettra au moins d’approcher des explications ».

La juge d’instruction en charge du dossier devrait renvoyer Sébastien Sarron devant une cour d’assises. Son procès pourrait avoir lieu, au plus tôt, fin 2016.

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http://www.lindependant.fr/2014/12/23/drame-de-nantes-1-mort-qui-est-vraiment-sebastien-sarron-l-agresseur,1971735.php

Drame de Nantes (1 mort) : qui est vraiment Sébastien Sarron l’agresseur ?

 

Le 23 décembre à 17h00 par lindependant.fr avec AFP | Mis à jour le 23 décembre

  • Ce lundi soir, Sébastien Sarron a foncé dans la foule. Une personne en est morte.

    Ce lundi soir, Sébastien Sarron a foncé dans la foule. Une personne en est morte.(Photo par AFP GEORGES GOBET)
  • La maison du suspect

    La maison du suspect(Photo par AFP XAVIER LEOTY)
  • Ce lundi soir, Sébastien Sarron a foncé dans la foule. Une personne en est morte.

    Ce lundi soir, Sébastien Sarron a foncé dans la foule. Une personne en est morte.(Photo par AFP GEORGES GOBET)
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L’automobiliste de 37 ans qui a foncé lundi soir dans la foule sur un marché de Noël à Nantes vivait « en vase clos » dans un petit village de Charente-Maritime mais, même s’il souffrait d’alcoolisme, il ne semblait pas particulièrement déséquilibré ou à la dérive. Une personne est décédée de ses blessures.

« C’est une personne qui vivait seule, mais de là à dire que c’était un marginal… Il ne vivait pas dans un endroit isolé, il avait quand même des contacts avec les voisins », a déclaré Joël Reignier, le maire de Berneuil, village de 1.100 habitants à une quinzaine de kilomètres de Saintes, à la population mêlant ruraux et néo-ruraux.

L’homme avait « acheté une maison avec un terrain dans la commune, une ancienne ferme, il y a cinq ou six ans », précise le maire. « Je ne sais pas d’où il venait ». Il vivait seul avec son berger allemand, dans cette vieille maison charentaise retapée en bordure d’une route départementale, derrière un portail rouillé fermé par un épais antivol de moto. Gendarmes et policiers étaient ce mardi après-midi en train de perquisitionner le domicile du suspect.

« Ce qu’on sait (de lui) en fin de compte, c’est très peu de choses. C’est le genre de personne qui ne demande rien, qui ne va pas vers les autres, donc les autres ne vont pas vers lui », résume le maire. Depuis le drame, « il y a eu quelques appels téléphoniques d’habitants de la commune, qui demandent qui est ce gars, où il habitait, ce qui montre bien que la population ne le connaissait pas », ajoute M. Reignier.

Le Parquet de Saintes a indiqué qu’il avait été impliqué dans une affaire de vol et recel à Béziers (Hérault) en 2006, avant son arrivée à Berneuil. Mais le suspect n’était pas connu pour des antécédents psychiatriques qui permettraient d’expliquer son geste. « Il n’a jamais sollicité les services sociaux à ma connaissance. Il se débrouillait seul », a confirmé Joël Reignier.

« On est très surpris, c’est un vrai mystère ! Depuis six ans qu’il était là, on n’avait pas de problème particulier avec lui, pas d’embrouille, comme on dit », raconte son voisin, Gérard Monet, 69 ans. « On avait eu affaire avec lui il y a quelques années, pour réparer un mur mitoyen. Ca s’était très bien passé », se souvient-il, évoquant un voisin très discret, voire effacé, qui ne recevait jamais de visite. « On ne se parlait pas beaucoup, c’était « bonjour, bonsoir ». On sent que c’est quelqu’un qui vivait en vase clos, très renfermé », relève ce voisin. Selon une source proche du dossier, le suspect de Nantes était en proie à des « problèmes d’alcoolisme nécessitant un suivi psychologique ». Sans se prononcer sur le sujet, M. Monet estime que « ce devait être une personne qui avait un problème. Il était sous curatelle ». L’épouse de M. Monet, elle, se souvient de son « très joli jardin ». « Il m’avait fait visiter son jardin il y a quelques années. Il en était fier, il m’avait expliqué qu’il travaillait dans le paysagisme. Mais actuellement je crois qu’il ne travaillait pas », dit-elle.

Selon les gendarmes, l’homme pourrait avoir récemment perdu son emploi de pépiniériste. Aujourd’hui, le long jardin au parterre de plantes et d’arbustes d’essences diverses paraît délaissé, avec deux palmiers abattus, couchés à terre et en partie brûlés. Signe d’un soudain changement psychologique ? Au début du mois de décembre, « il avait fait brûler plein de choses, c’était curieux. Il devait aussi y avoir du caoutchouc, ou des pneus, car ça faisait une fumée noire, épaisse, on en avait partout sur la terrasse », note Gérard Monet. Des feux intempestifs qui avaient dérangé le voisinage au point qu’il en appelle au maire. « Autour du 12 décembre, j’avais demandé au policier intercommunal d’aller le voir, mais le gars ne lui avait pas laissé accès à sa propriété », se souvient Joël Reignier. « Deux jours plus tard, ça a repris; là j’ai demandé aux gendarmes d’aller le voir, et depuis ça a cessé », conclut le maire. Qui n’a plus entendu parler de son administré jusqu’à un appel téléphonique des gendarmes lundi soir.



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