Je décline toute responsabilité quant aux mentions qui s'affichent dans les cinq lignes ci-dessus du pavé "Recherchez aussi" sur lequel je n'ai aucun contrôle.
Mes statistiques sont bloquées depuis le 2 février 2015.
7 février 2015
Mes statistiques sont de retour, tout fonctionne.
16 février 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 12 février.
22 février 2015
Mes statistiques "basiques" ont été débloquées hier soir après la publication de mon dernier article concernant NEMROD34. Belle reprise simultanée de l'activité du Chinois.
23 février 2015
Statistiques "basiques" toujours sujettes à blocages : le 21 février au soir, à peine étaient-elles débloquées, puis à nouveau hier, 22 février, à peine étaient-elles débloquées.
24 février 2015
Statistiques "basiques" débloquées. Pas de nouveau pic d'activité du Chinois depuis le 21 février.
25 février 2015
Je n'ai pas mes statistiques "basiques" du jour, ça bloque encore... et Justinpetitcoucou est toujours bloqué depuis le 8 février... Faudrait penser à le débloquer, lui aussi, il y a du laisser-aller, là...
26 février 2015
Statistiques "basiques" des deux blog débloquées. Merci pour Justin, il était temps !
27 février 2015
Statistiques "basiques" des deux blogs de nouveau bloquées depuis le 26 février. Ce petit jeu pourrait-il cesser ? On n'en voit pas l'intérêt... Complément de 22 h: merci de m'avoir rendu ces statistiques !
25 mars 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 20 mars.
26 mars 2015
Merci de m'avoir débloqué mes statistiques "basiques". Encore une fois, je ne vois pas l'intérêt de ce petit jeu. Ce serait aussi bien de cesser de bloquer ces statistiques pour oublier de les débloquer jusqu'à ce que j'aie signalé le problème.
31 mars 2015
Merci de bien vouloir me débloquer les statistiques "basiques" de Justinpetitcoucou, restées bloquées depuis le 14 mars - cf. avis du 25 mars sur Justin.
2 avril 2015
Merci de m'avoir rendu les statistiques de Justin.
7 mai 2015
Je n'ai plus de statistiques depuis deux jours, ni "basiques" ni "avancées".
10 mai 2015
Retour des statistiques "basiques". Merci. Manquent encore les statistiques "avancées".
14 mai 2015
Toutes mes statistiques sont de retour depuis hier. Merci.
3 octobre 2015
Depuis hier, les compteurs de mes statistiques avancées sont tous à zéro. Merci de me les rendre.
Cela me rappelle qu’une fois, au collège, j’ai raté les deux heures de sport hebdomadaires à cause d’un Rintintin rencontré sur le chemin de l’école. Il voulait jouer. Moi non, je n’avais pas le temps, j’avais comme qui dirait un train à prendre. Il m’a piqué mon sac de sport et j’ai dû lui courir après et me battre avec durant au moins une demi-heure avant de pouvoir le récupérer.
Je ne vous dis pas l’état de confusion dans lequel je me trouvais quand, enfin arrivée à destination, j’ai dû m’expliquer sur mon retard… Ben… c’est-à-dire que… c’est à cause que Rintintin m’a piqué mon sac… d’ailleurs il a fait de gros trous dedans avec ses dents, regardez, là…
Ma classe avait depuis longtemps quitté le collège et je n’avais plus qu’à attendre les cours suivants.
Un petit toutou qui en défie un gros : surprenant ? Pas vraiment : le comportement de ces chiens illustre parfaitement les travaux récents d’une chercheuse américaine.
ESBROUFE. Quand on veut défendre son os, mieux vaut avoir des arguments. Et a priori un chihuahua, du haut de ses 20 cm au garrot et pesant moins de 2,5 kg, en a moins qu’un berger allemand (55 cm au garrot et 22 kg minimum). Pourtant, dans la vidéo ci-dessous le petit chien est déterminé : il aboie et fait face au gros berger (qui s’est couché pour être à sa hauteur…). C’est David contre Goliath. Cette scène est une parfaite illustration des conclusions de Deborah L. Duffy, une chercheuse de l’université de Pennsylvanie (États-Unis), qui s’est intéressée aux différentes races de chiens et leur tendance à mordre. Son équipe a en effet démontré en avril 2015 que les gros chiens sont bien moins agressifs que les petits. Ces derniers occupent le top 3 des chiens les plus dangereux envers les personnes et animaux familiers comme étrangers.
Le plus gros chien n’est pas forcément le plus agressif
Selon de nouvelles révélations du Parisien, l’un des assaillants du Bataclan le 13 novembre 2015 l’a encore rappelé lors de l’attaque.
Le problème est connu de longue date.
Il pourrait avoir été la cause de l’attentat de Karachi du 8 mai 2002, comme de l’assassinat du journaliste Daniel Pearl quelques semaines plus tôt, le 1er février 2002, et de toutes les tentatives d’assassinat dont j’ai moi-même été victime depuis les années 1990, y compris, naturellement, celles de l’année 2002.
Attentats de Paris : les terrifiants dialogues de l’attaque du Bataclan
La reconstitution audio de la tuerie du Bataclan, superposant messages radio des policiers et enregistrement trouvé sur place, a permis aux enquêteurs de reconstituer au plus près le déroulement de la tuerie.
Thibault Raisse | 15 Avril 2016, 00h00 | MAJ : 15 Avril 2016, 10h29
« Y a du mondeau Bataclan. Ça tire à la… » Il est 21 h 56 lorsque le premier message radio d’un policier signale le début de la tuerie, qui a commencé neuf minutes plus tôt. Suivront 2 heures, 38 minutes et 44 secondes de pur cauchemar.
C’est un document aussi exceptionnel que terrifiant que les enquêteurs de la brigade criminelle viennent de remettre à la justice : l’exploitation d’un dictaphone abandonné par un spectateur et retrouvé au premier étage du Bataclan. La retranscription de l’enregistrement couplée à celle des échanges radio de la police — dont nous avons eu connaissance — retrace, seconde par seconde, le déroulement de la tragédie et dévoile pour la première fois les paroles exactes prononcées par les assaillants durant l’attentat.
« L’heure de la revanche est arrivée »
« Planquez-vous ! » Ce réflexe d’un spectateur est la première voix saisie par l’enregistreur. Les trois terroristes viennent de pénétrer dans la salle. « Je rêve ou quoi ? » poursuit un autre, incrédule. Le bruit des balles fuse tout comme les cris des victimes au rez-de-chaussée. Ce n’est qu’après sept minutes d’un carnage méthodique que les djihadistes s’adressent à leurs otages en leur intimant des ordres contradictoires. « Lève-toi ou je te tue », lance l’un d’eux. « Couché ou j’tire », enchaîne Samy Amimour, le seul formellement identifié sur la bande par les enquêteurs. « Vous bombardez nos frères en Syrie et en Irak. Pourquoi on est ici nous ? On est venus jusqu’en Syrie (sic) pour vous faire la même chose », clame un assaillant. « Nous on est des hommes, on vous bombarde sur terre. On n’a pas besoin d’avion, nous. Voilà, vous avez élu votre président Hollande, voilà sa campagne. Remerciez-le », développe un autre, avant de mettre en garde : « Celui qui essaie de faire le justicier je le tue. » Entre deux tirs, un terroriste reprend : « L’heure de la revanche est arrivée. »
« Casse-toi enfoiré »
Après douze minutes d’exécutions en série, les terroristes revendiquent cette fois clairement leur appartenance au groupe Etat islamique. « Vous connaissez Daech ? [...] Daech, c’est l’Etat islamique. Ils sont partout, en France, aux Etats-Unis. On va frapper partout. » Une minute plus tard, un premier policier de la BAC nuit entre dans la salle par la porte principale et prend Samy Amimour en joue. « Casse-toi, casse-toi enfoiré ! » menace le fanatique. Sans se laisser intimider, le fonctionnaire tire sur le terroriste. La ceinture explosive de ce dernier se déclenche au même moment. « Allahou Akhbar ! » célèbrent ses deux complices. Ismaël Omar Mostefaï et Foued Mohamed-Aggad décident alors de monter au balcon de la salle et d’entrer en contact avec la police via un spectateur contraint de se poster près d’une porte derrière laquelle ils se sont réfugiés avec une dizaine d’otages. « On est en prise d’otages. Ils ont des ceintures explosives. Ne venez surtout pas sinon ils font tout péter », dit-il aux fonctionnaires de la BRI, tout juste arrivés, tandis que les terroristes réclament un talkie-walkie pour pouvoir « parler avec un responsable ».
« Sortez-les de là, y en a marre »
C’est finalement avec le téléphone portable d’un spectateur que la police tente de communiquer avec les assaillants, mais les appels passent mal. Pendant ce temps, des renforts pénètrent en colonne à l’intérieur de la salle mais l’absence de plans des lieux rend leur progression difficile. « Putain, dépêchez-vous ! » supplie un spectateur. S’approchant de la porte derrière laquelle Mostefaï et Aggad sont retranchés, un policier est repéré par un terroriste. « Arrête-toi ! Casse-toi. Je fais sauter les otages. » « OK », répond le fonctionnaire en rebroussant chemin. L’heure qui suit, interminable, voit les renforts progresser jusqu’au balcon derrière un lourd bouclier. En les apercevant, des blessés réclament de l’aide, tandis que d’autres leur implorent de faire demi-tour pour éviter un nouveau bain de sang. Une situation délicate qui ralentit la progression. « Sortez-les de là, y en a marre », demande un policier via sa radio à 23 h 37. Quarante minutes plus tard, l’assaut final dans la salle où s’étaient retranchés les deux terroristes est donné, libérant les derniers otages.
L’assassinat de Daniel Pearl éclaire l’attentat de Karachi
A l’issue d’un récent déplacement aux Etats-Unis, le juge Marc Trévidic a acquis la certitude que l’attentat de Karachi, tout comme l’assassinat du journaliste américain Daniel Pearl, sont liés à des contrats d’armement.
Le Parisien | 25 Juin 2012, 07h58
C’était une rumeur, c’est devenu une certitude : il existe un parallèle entre l’attentat de Karachi, commis au Pakistan le 8 mai 2002, et l’assassinat du journaliste américain Daniel Pearl, perpétré trois mois plus tôt dans le même pays. Et ce parallèle, établi par le juge Marc Trévidic au terme d’un récent déplacement aux Etats-Unis, vient étayer un peu plus l’hypothèse d’un attentat commis pour des raisons politico-financières.
Qu’il s’agisse de l’explosion de la bombe ou de la décapitation filmée du journaliste, la cause du drame est, à chaque fois, la même : le non-respect, par le pays dont les ressortissants sont la cible, de contrats d’armement passés avec le Pakistan. Pour Daniel Pearl, c’est l’accord portant sur la livraison d’avions F-16, signé en 1990 avec les Etats-Unis. Pour les salariés de la Direction des constructions navales (DCN), dont onze ont été tués dans l’attentat, il s’agit du contrat Agosta, conclu avec la France en 1994 et portant sur la livraison de sous-marins. Dans les deux cas, derrière l’apparence purement « islamiste » des opérations, l’implication des services secrets pakistanais (ISI) ne fait plus aucun doute.
Des ravisseurs qui parlent de F-16
Chargé du volet terroriste de l’instruction sur l’affaire Karachi, le juge Marc Trévidic s’est rendu, en février, aux Etats-Unis. Il y a recueilli une audition capitale : celle d’Omar Cheikh, un Pakistano-Britannique emprisonné au centre de détention de Guantanamo, considéré comme l’organisateur de l’enlèvement de Daniel Pearl et suspecté d’être un agent de l’ISI. Au moment du rapt du journaliste, ses ravisseurs avaient envoyé deux e-mails aux autorités américaines. Parmi les conditions posées à la libération de leur otage figurait l’exécution du contrat sur la livraison des F-16 ou, à défaut, « le remboursement avec intérêts du paiement effectué par le Pakistan pour les avions ». Curieuse référence, pour des ravisseurs censés n’être animés que par des objectifs religieux…
A la demande du juge Marc Trévidic, la justice américaine a questionné Omar Cheikh sur ces courriels. Ce dernier les a formellement authentifiés. Pour le juge français, cette authentification est essentielle : elle accrédite le contenu du rapport Nautilus qui, depuis 2008, sert de fil rouge à son enquête.
Rédigé en septembre 2002 à la demande de DCN, ce document voit dans l’attentat un « but financier ». « Il s’agissait d’obtenir le versement de commissions non honorées » dans le cadre du contrat Agosta, indique-t-il. Ces généreuses commissions auraient donc engendré des rétrocommissions destinées à financer la campagne présidentielle d’Edouard Balladur en 1995. Jacques Chirac, vainqueur, aurait coupé ce circuit financier. Les services pakistanais auraient alors décidé de faire pression sur la France en perpétrant l’attentat de Karachi.
« Impossible », rétorquent les sceptiques, insistant sur le délai de sept ans entre la décision de Jacques Chirac et l’attentat de Karachi. Un argument que Marc Trévidic peut, désormais, facilement contredire : Daniel Pearl n’a-t-il pas été assassiné douze ans après la conclusion du contrat des F-16? Le magistrat, qui rencontre aujourd’hui comme chaque année l’ensemble des parties civiles du dossier Karachi, devrait partager avec eux cette analyse.
Michel Walter, que je connais depuis fort longtemps, est un psychiatre responsable qui ne risquera jamais sa réputation pour les délires d’une bande de malades mentaux, eussent-ils décidé de s’appeler « déconnologues », à moins, bien entendu, qu’il ne soit lui-même pris de délire.
Chaque jour, se produisent dans les établissements de soins des centaines « d’événements indésirables graves ». En clair, des accidents médicaux. Depuis la loi Kouchner de 2002, les victimes sont de plus en plus nombreuses à demander réparation même si c’est encore un parcours qui peut s’avérer très long et incertain.
Le CHU de Brest condamné à verser près d’un million d’euros à une patiente devenue lourdement handicapée, suite à un accouchement ; l’hôpital de Saint-Brieuc reconnu responsable d’un accident lors de la naissance d’une petite Léa ; les hôpitaux de Quimper et de Brest poursuivis par un couple après la mort de sa fille prématurée… Ce sont là quelques exemples récents de procès engagés devant la juridiction administrative contre des hôpitaux bretons pour des accidents médicaux.
4.479 dossiers en 2014
Cette série traduit-elle une augmentation du nombre des procédures judiciaires à l’encontre des hôpitaux ? « Il n’y a pas de statistiques qui permettent de l’affirmer », répond Rodolphe Halama, le délégué général du Lien, une association de défense des victimes d’accidents médicaux. En revanche, ce que l’on connaît, c’est le nombre de demandes d’indemnisation par voie amiable reçues par les Commissions régionales d’indemnisation et de conciliation (CRIC), créées en 2002. Selon l’Observatoire des risques médicaux, 4.479 dossiers ont été déposés en 2014 dans l’ensemble des CRIC. La Commission de l’Ouest a, pour sa part, reçu 584 demandes. Le nombre de dossiers traités par les CRIC ne cesse de croître. En 2003, il y en avait quasiment quatre fois moins qu’aujourd’hui. « Avant, on cachait tout, et les gens n’avaient pas forcément envie d’aller en procédure quand il arrivait un malheur. Aujourd’hui, la culture de la réparation s’impose progressivement », observe Rodolphe Halama. La loi Kouchner de 2002, qui a créé cette procédure d’indemnisation par voie amiable, a évidemment beaucoup contribué à cette évolution. « Elle est loin d’être parfaite, mais elle a le mérite d’exister », souligne, sur son site, l’Association d’aide aux victimes d’accidents corporels (AAVAC).
Un tiers des accidents liés à des actes fautifs
Toutes les demandes adressées aux CRIC n’aboutissent évidemment pas. Loin de là. Après expertise seulement, une partie des dossiers est transmise à l’Office national d’indemnisation des accidents médicaux (Oniam), l’organisme chargé de l’indemnisation. Toujours selon l’Observatoire des risques médicaux, 718 dossiers venant des CRIC ont été reçus en 2014 par l’Oniam. Dans 98 % des cas, ce dernier suit l’avis des commissions et 97 % des victimes acceptent l’offre qui leur est faite. Globalement, 29 % des accidents médicaux correspondent à des actes non fautifs – ce qu’on appelle l’aléa thérapeutique – et 30 % sont liés à des actes fautifs, lesquels sont normalement pris en charge par les assureurs. Sans surprise, ce sont les disciplines chirurgicales (61,8 %) qui sont à l’origine du plus grand nombre de demandes d’indemnisation. Et elles représentent, à elles seules, 65 % des indemnités versées.
Dédommagement moyen : 118.000 euros
Le dédommagement moyen s’élève à 118.000 euros. Il est nettement supérieur au dédommagement médian, qui se situe entre 25.000 et 60.000 euros, en raison de la présence de dossiers avec des montants importants, supérieurs à un million d’euros, en particulier pour l’obstétrique. De 2008 à 2013, le montant global des indemnisations a représenté une charge de plus d’un milliard d’euros. À noter que les infections nosocomiales représentent 18 % des dossiers indemnisés.
Brest. Le CHU condamné à verser 1M € à la patiente handicapée après un accouchement
9 mars 2016 à 21h06 / Guillaume Frouin /
La cour administrative d’appel de Nantes a condamné le CHU de Brest à verser près d’un million d’euros à la famille d’une de ses anciennes infirmières-anesthésistes, devenue très lourdement handicapée à l’âge de 43 ans suite à des complications lors de l’accouchement de ses jumeaux en août 2007.
L’hôpital brestois devra également verser près de 217.000 € à la Caisse primaire d’assurance-maladie (CPAM) du Finistère, pour les frais de santé qu’elle a déboursés pour Dominique Appriou. En première instance, en août 2014, le tribunal administratif de Rennes n’avait accordé que 660.000 € à la requérante et 204.000 € à la Sécurité sociale.
La patiente, son compagnon Philippe Coquil et plusieurs membres de leur famille demandaient à réévaluer ces sommes en raison des incidences multiples de cette « faute » médicale (assistance d’une autre personne pour la garde des enfants, véhicule adapté, réaménagement de la résidence secondaire du couple au Conquet…). Placée à la retraite d’office, cette passionnée de plongée sous-marine et soliste dans une chorale amateur a aussi dû renoncer à ses hobbies.
« Plusieurs manquements »
« La prise en charge obstétricale de l’accouchement, puis des complications hémorragiques, a été conforme aux règles de l’art et aux données acquises de la science », rappelle d’emblée la cour administrative d’appel de Nantes dans son arrêt. « En revanche, plusieurs manquements ont été relevés dans la prise en charge de sa réanimation, postérieurement à l’accouchement par césarienne. »
Le CHU de Brest condamné à verser un million d’euros à une patiente
En 2007, elle a souffert d’une hémorragie après son accouchement de jumeaux et est restée handicapée. La justice a relevé de nombreux manquements.
Source AFP
Publié le 10/03/2016 à 12:39 – Modifié le 10/03/2016 à 12:57 | Le Point.fr
Le CHU de Brest a été condamné à verser près d’un million d’euros à une patiente restée lourdement handicapée après avoir accouché de jumeaux en 2007. Il devra en outre, selon cet arrêt de la cour administrative d’appel de Nantes rendu le 18 février, contribuer à hauteur de 75 % aux dépenses de santé à venir de Dominique Appriou, une ancienne infirmière-anesthésiste, ainsi qu’aux dépenses générées par son handicap : frais de garde de ses enfants, frais pour l’emploi d’une aide à domicile, frais de renouvellement d’équipements…
Plusieurs manquements
Dominique Appriou avait accouché le 13 août 2007, alors qu’elle était âgée de 43 ans, à la maternité du CHU de Brest. Après une césarienne, elle avait souffert d’une hémorragie endo-utérine, avant d’être victime d’un arrêt cardiaque prolongé. Elle souffre depuis d’une quadriplégie (paralysie des quatre membres) et de cécité. La cour administrative d’appel a considéré dans son arrêt que « la prise en charge obstétricale de l’accouchement puis des complications hémorragiques a été conforme aux règles de l’art et aux données acquises de la science », mais a relevé « plusieurs manquements (…) dans la prise en charge de sa réanimation postérieurement à l’accouchement par césarienne ».
Le CHU devra ainsi verser quelque 950 000 euros à Dominique Appriou et à sa famille, ainsi que 217 000 euros à la Caisse primaire d’assurance maladie (CPAM) du Finistère pour les frais avancés à la victime. En première instance, en août 2014, le tribunal administratif de Nantes avait accordé quelque 724 000 euros à la victime et à sa famille et 204 000 euros à la CPAM du Finistère. Le CHU de Brest n’était pas joignable dans l’immédiat pour un commentaire.
Dans un village du Tarn-et-Garonne, on a philosophé sur le numérique
A Larrazet, une association a déplacé samedi dernier près de 300 personnes pour parler numérique. « Qui contrôle qui ? Et qui a le pouvoir ? », a demandé Jean-Louis au conférencier.
Par Emilie Brouze Journaliste. Publié le 14/04/2016 à 13h04
J’ai vraiment l’impression que vous découvrez le monde vous autres.
A partir du moment ou vous rendez certaines informations publiques, elles ne sont plus par définitions privées et donc oui vous vous exposez à toutes sortes de pratiques.
Quand vous mettez votre nom et vos numéro dans l’annuaire, il y a des gens qui vous appellent pour X raisons.
Quand vous mettez votre nom sur votre boite aux lettres, vous permettez à n’importe qui de vous envoyer du courrier.
Le vrai problème qui se pose n’est pas de permettre aux gens de parcourir le web à visage découvert. Le vrai problème c’est de garantir un anonymat complet à ceux qui le souhaitent.
Le vrai problème, c’est que la règle de l’édition ne s’applique pas aux éditeurs du net chez lesquels n’importe qui peut diffamer sans que l’éditeur soit condamné.
Un intellectuel assis va moins loin qu’un con qui marche
répond à PapaEmeritus
« A partir du moment ou vous rendez certaines informations publiques, elles ne sont plus par définitions privées et donc oui vous vous exposez à toutes sortes de pratiques. »
Y a un certain Maxence Coisne qui en a fait l’amere experience pas plus tard qu’il y a deux jours… Je plaide coupable.
Il y a aussi des informations qui, en principe, ne sont pas transmises, mais qui, en pratique, peuvent être malgré tout être interceptées (surveillance, etc.). D’où la question que posait Autist : vaut-il mieux être capable de se protéger, ou vivre dans un monde où cela n’est pas nécessaire ?
À côté mon Q.
À part les corbaques de service et autres folles furieuses en instance d’hospitalisation sous contrainte, qui aurait besoin, et pour quoi faire, d’un anonymat complet ?
Il dit ça caché derrière un avatar justement parce que personne n’a milité pour qu’on puisse se balader sur le net à visage découvert tranquillement.
..
Mais bon, vas-y, balance ton vrai patronyme, si tu penses qu’il a tort et qu’on peut se balader sur le net à visage découvert tranquillement.
..
Ou admets ici qu’il a raison.
Et sinon concrètement, qu’est-ce qui empêche les gens de « se balader sur le net à visage découvert » ? Je suis curieux de connaitre votre réponse.
Par ailleurs, c’est complètement illusoire de croire qu’un pseudo et un avatar puissent garantir l’anonymat de quelqu’un. Google en sait bien plus sur vous que n’importe quel membre de votre famille.
Le Caporal Bouillon comme les autres, donc, ce qui ne les a pas empêchés de s’engager, au moins pour deux d’entre eux, dans des poursuites judiciaires dont ils ont fait une très large publicité pour de prétendues violations de l’intimité de leurs vies privées qui auraient consisté dans le fait, de ma part, alors qu’ils avaient déjà illégalement levé mon anonymat, d’avoir rapporté dans des billets ou commentaires de blog leurs identités qu’ils avaient aussi déjà révélées d’eux-mêmes sur le même blog ou ailleurs sur le net…
Eh bien que vous le vouliez ou non, messieurs dames de la « déconnologie », tant que vous n’aurez pas fait modifier la loi selon vos convenances personnelles, celle-ci continue théoriquement à me garantir l’anonymat que j’ai toujours souhaité conserver sur Internet, et vous êtes condamnables à chaque fois que vous passez outre mon opposition formelle à la révélation de données personnelles que de surcroît vous n’obtenez toujours qu’à l’aide de piratages informatiques et d’autres moyens illégaux.
Par ailleurs, je ne suis toujours en instance d’hospitalisation psychiatrique sous contrainte que dans vos rêves les plus fous.
PapaEmeritus
J’ai vraiment l’impression que vous découvrez le monde vous autres.
A partir du moment ou vous rendez certaines informations publiques, elles ne sont plus par définitions privées et donc oui vous vous exposez à toutes sortes de pratiques.
Quand vous mettez votre nom et vos numéro dans l’annuaire, il y a des gens qui vous appellent pour X raisons.
Quand vous mettez votre nom sur votre boite aux lettres, vous permettez à n’importe qui de vous envoyer du courrier.
Le vrai problème qui se pose n’est pas de permettre aux gens de parcourir le web à visage découvert. Le vrai problème c’est de garantir un anonymat complet à ceux qui le souhaitent.
Bref, vous tapez à côté…
Autist.
Le vrai problème, c’est que la règle de l’édition ne s’applique pas aux éditeurs du net chez lesquels n’importe qui peut diffamer sans que l’éditeur soit condamné.
Babalaas
« A partir du moment ou vous rendez certaines informations publiques, elles ne sont plus par définitions privées et donc oui vous vous exposez à toutes sortes de pratiques. »
Y a un certain Maxence Coisne qui en a fait l’amere experience pas plus tard qu’il y a deux jours… Je plaide coupable.
Docteur Yûl
Il y a aussi des informations qui, en principe, ne sont pas transmises, mais qui, en pratique, peuvent être malgré tout être interceptées (surveillance, etc.). D’où la question que posait Autist : vaut-il mieux être capable de se protéger, ou vivre dans un monde où cela n’est pas nécessaire ?
Autist.
C’est cyp qui pose le problème, dans le tout premier post.
Caporal_Pancho
À côté mon Q.
À part les corbaques de service et autres folles furieuses en instance d’hospitalisation sous contrainte, qui aurait besoin, et pour quoi faire, d’un anonymat complet ?