Dans la famille sur trois doigts, je demande la fille !

Et la voilà :

 

 

Sur ce, je laisse baver d’envie les privés de plages et déserts de la bande à Cyp…



Médecin hospitalier : un permis de tuer décerné à vie

 

 

«Au début, nous n’avons pas soupçonné qu’il y avait quelque chose de louche. Ce n’est que quelques semaines plus tard que nous avons appris, par une connaissance, que le chirurgien avait été interdit de bloc. Cela nous a mis la puce à l’oreille. » (Emilie Latour, fille du patient décédé)

C’est pareil pour moi : quand je vois que l’ancienne psychiatre hospitalière Brigitte Sintes-Le Goff n’assure plus qu’une consultation externe à l’hôpital Morvan et que son ancienne chef de service à l’hôpital psychiatrique de Bohars, Yvonne Quemener, n’assure plus pour sa part qu’une simple consultation de médecine générale dans son ancien service, je me dis tout naturellement qu’elles ont vraiment dû très largement dépasser les bornes pour n’avoir plus ni l’une ni l’autre aucun lit sous leur responsabilité. Pour autant, elles exercent toujours…

Sauf exception, comme le montre bien cette nouvelle affaire qui est aujourd’hui médiatisée, il faut attendre qu’un fonctionnaire fautif vis-à-vis de ses administrés, des justiciables quand il s’agit d’un magistrat, ou de ses patients lorsqu’il est médecin, s’attaque aussi à ses pairs de manière pour eux inacceptable pour que ceux-ci commencent à réagir. Cela peut durer des années, voire toute sa carrière, si le fonctionnaire en question est assez habile pour éviter de se mettre ses collègues à dos.

 

http://www.leparisien.fr/societe/bourges-un-chirurgien-accuse-d-homicide-sur-un-patient-18-04-2016-5724915.php

Bourges : un chirurgien accusé d’homicide sur un patient

 

Une plainte pour « homicide involontaire » a été déposée contre un chirurgien du centre hospitalier Jacques-Coeur de Bourges (Cher). Son patient est décédé lors d’une banale opération de la prostate.

 

Marc Payet | 18 Avril 2016, 00h00 | MAJ : 18 Avril 2016, 07h01

Info le Parisien
Henry Latour, 60 ans, est décédé le 14 janvier lors d’une opération bénigne de la prostate au CH Jacques-Cœur de Bourges. Le rapport de l’anesthésiste évoque un comportement anormal du chirurgien en charge de l’intervention.

Henry Latour, 60 ans, est décédé le 14 janvier lors d’une opération bénigne de la prostate au CH Jacques-Cœur de Bourges. Le rapport de l’anesthésiste évoque un comportement anormal du chirurgien en charge de l’intervention.
(PhotoPQR/ « Le Berry Républicain »/Stéphanie Para.)

 

Que s’est-il passé le 14 janvier dernier au bloc de l’hôpital de Bourges (Cher) où Henry Latour, 60 ans, est décédé lors d’une banale opération de la prostate ?

Selon nos informations, une enquête préliminaire est en cours, à la suite d’une plainte pour « homicide involontaire » déposée contre un chirurgien urologue par la famille de la victime le 3 mars auprès du procureur de la République de Bourges.

Leur avocat, Philippe Courtois, dénonce « une affaire tout à fait hors norme » et estime que le chirurgien a commis « plusieurs fautes caractérisées à l’origine du décès du patient ». Il décrit « un comportement parfaitement inadapté, une agressivité, un état hystérique, des insultes et des menaces envers les autres personnels », mais aussi « une insuffisance de maîtrise de certains gestes chirurgicaux réalisés de façon brutale et violente qui ont causé une hémorragie importante », et enfin une « non-prise en charge des hémorragies » malgré les rappels de ses collègues du bloc opératoire.

«Cette intervention était une véritable boucherie»

Selon le rapport de l’anesthésiste, adressé à la direction de l’hôpital, le chirurgien entre ce jour-là en salle « agité, en colère, parlant fort ». « C’est à nouveau du matériel de merde » lance-t-il, avant d’insulter une infirmière. Un coordinateur du bloc estime que « le chirurgien n’est pas dans son état normal, inaccessible à tout raisonnement ». Mais il n’y a pas d’autres urologues disponibles pour opérer. Alors que le chirurgien « hurle », l’anesthésiste lui rappelle « que le patient est sous rachianesthésie et entend tout ». Décision est alors prise d’endormir le patient. Selon le compte rendu, minute par minute, l’intervention tourne alors au cauchemar. « Le chirurgien continue à pratiquer des gestes brutaux et violents à l’origine des fortes pertes hémorragiques, plus de 5 litres », sans que les apports extérieurs massifs en sang ne les compensent. L’état de santé du patient se dégrade progressivement. A 15 h 25 l’anesthésiste signale « à plusieurs reprises que le patient n’est pas bien et qu’il faut arrêter l’intervention ». Sans succès. A 15 h 52 le chirurgien stoppe finalement l’opération.

A 16 h 9, malgré une tentative de réanimation, le patient décède. Les six membres de l’équipe médicale et l’infirmière, à l’exception du chirurgien, se réunissent, sous le choc. « Nous sommes tous parvenus à la conclusion que cette intervention était une véritable boucherie, indigne de n’importe quel bloc opératoire » écrivent-ils.

L’agence régionale de santé a diligenté une enquête et l’ordre des médecins du Cher a été saisi. Le chirurgien, qui n’opère plus depuis le drame, mais consulte toujours à l’hôpital, se défend de toute faute. « C’était un événement complexe. Un cas exceptionnel. J’estime avoir tout fait dans les règles de l’art, mais le risque zéro n’existe pas. Je suis très touché par ce qui est arrivé », ajoute-t-il. « Une expertise devra être ordonnée pour dire s’il y a eu ou non faute, précise son avocate Amélie Chiffert. On peut être face à un aléa thérapeutique et il peut s’agir d’une complication de l’acte chirurgical. »

« L’hôpital a tenté d’étouffer l’affaire »
Emilie Latour (notre photo) veut savoir ce qui a provoqué le décès de son père. « A 60 ans, il était en bonne forme et devait juste avoir une intervention bénigne sur la prostate. C’était un homme exceptionnel, qui donnait encore beaucoup de son temps pour les autres. » Henry Latour avait notamment une activité syndicale à Force ouvrière à l’Urssaf du Cher, département dans lequel il vivait depuis quelques années, après avoir habité en région parisienne. Juste avant qu’il entre au bloc au CH de Bourges, le 14 janvier, Emilie, qui vit à Montmorency (Val-d’Oise), a eu son père au téléphone. « Il n’était pas stressé et était en bonne forme », confie-t-elle. Sans nouvelles au bout de plusieurs heures, elle finit tout de même par s’inquiéter. « J’ai alors reçu un appel du chirurgien qui m’a dit : je suis désolé, votre papa a fait un arrêt cardiaque. » Sa belle-mère, qui habite à Bourges, se rend à l’hôpital, où le chirurgien lui confirme l’arrêt du coeur.

 

Médecin hospitalier : un permis de tuer décerné à vie dans Attentats 5724893_Emilie%20Latour
Emilie Latour, fille de la victime, a eu accès au dossier médical. (photo LP / Frérédic Dugit )

 

«Au début, nous n’avons pas soupçonné qu’il y avait quelque chose de louche. Ce n’est que quelques semaines plus tard que nous avons appris, par une connaissance, que le chirurgien avait été interdit de bloc. Cela nous a mis la puce à l’oreille. » La famille demande alors à récupérer le dossier médical. On lui transmet un premier exemplaire, mais incomplet. Emilie insiste et finit par obtenir, comme la loi l’exige, la totalité du dossier, y compris les examens et comptes rendus de l’opération au bloc. « On était abasourdi de ce que nous découvrions. Il s’était passé quelque chose de très grave, et on nous le cachait. L’hôpital a tenté d’étouffer l’affaire. » Un rendez-vous est fixé avec la direction le 23 février. « La directrice semblait très embêtée, assez confuse. Elle a fini par admettre que le chirurgien avait eu un comportement extrêmement bizarre pendant cette opération. »
La famille, pas très convaincue, contacte une association spécialisée et saisit un avocat. Sa belle-mère a été entendue par les policiers, et Emilie s’attend à l’être prochainement. Sollicitée, la direction de l’hôpital de Bourges se défend d’avoir pratiqué une politique d’opacité. « L’agence régionale de santé, le centre national de gestion qui gère les praticiens hospitaliers ainsi que le procureur de la République ont été saisis. L’établissement collabore étroitement aux procédures en cours. En accord avec les parties prenantes et le praticien concerné, ce dernier a limité son exercice à la réalisation de consultations mais n’exerce pas au bloc opératoire pendant toute la durée de la procédure. Nous comprenons la douleur de la famille qui a été reçue. »

 

Les anesthésistes au front
« Suite à la survenue d’un événement tragique le 14 janvier 2016, ayant entraîné le décès d’origine chirurgicale d’un homme en parfait état de santé, nous avons collectivement décidé de ne plus prendre en charge, au bloc opératoire, les patients du docteur [...] pour des raisons de compétence et d’aptitude mentale. » Dans un courrier interne adressé à la directrice de l’hôpital le 22 janvier 2014, soit huit jours après le drame, 7 praticiens hospitaliers tiraient le signal d’alarme. « Madame la directrice, nous venons vous informer des dérives professionnelles du docteur [...], qui peuvent parfois exposer les patients à des risques graves. Il s’agit notamment de l’inexactitude des intitulés d’interventions avec rajout d’actes, des durées opératoires en dehors des standards avec parfois poursuite des actes une fois l’anesthésie locorégionale levée, avec des conséquences néfastes pour le patient, des hémorragies préopératoires anormalement importantes exposant le patient à des accidents. Malgré nos remarques réitérées, et son absence de coopération, le service d’anesthésie a malgré tout continué de collaborer en assurant un maximum de sécurité dans l’intérêt des patients. »

 

http://www.francetvinfo.fr/sante/patient/droits-et-demarches/deces-suspect-a-l-hopital-de-bourges-qui-commande-au-bloc-operatoire_1411211.html

Décès suspect à l’hôpital de Bourges : qui commande au bloc opératoire ?

 

Un patient de 60 ans est décédé au cours d’une intervention bénigne de la prostate au centre hospitalier Jacques-Cœur de Bourges (Cher). La famille a déposé une plainte pour « homicide involontaire » à l’encontre du chirurgien qui aurait eu un comportement particulièrement agressif et commis plusieurs fautes caractérisées, selon l’avocat de la famille. Les autres membres de l’équipe chirurgicale décrivent une « véritable boucherie ». Lorsque de tels actes sont commis dans l’univers très codifié du bloc opératoire, qui prend les rênes ? Qui porte les responsabilités ?

allodocteurs dans Corruption La rédaction d’Allodocteurs.fr

Mis à jour le 18/04/2016 | 17:12, publié le 18/04/2016 | 17:12

Le patient de 60 ans « en pleine forme », selon sa fille, était entré le 14 janvier au matin au bloc opératoire du centre hospitalier de Bourges pour une intervention à la prostate, sous anesthésie régionale. Il était décédé quelques heures plus tard d’un arrêt cardiaque, après une importante hémorragie.

Ce retraité avait été incinéré, sans qu’une autopsie n’ait pu être réalisée. Ce n’est que par hasard que la famille découvrira quelques semaines plus tard que l’urologue a été suspendu de toute activité au bloc. En proie au doute, la famille, qui a obtenu un compte-rendu accablant de l’anesthésiste, a alors déposé le 3 mars auprès du procureur de la République une plainte pour « homicide involontaire », visant le chirurgien et la direction de l’hôpital.

« Dès son entrée au bloc, le chirurgien était dans un état mental second », a accusé lundi 18 avril, l’avocat de la fille du patient, Me Philippe Courtois, lors d’une conférence de presse. Selon lui, « il ne s’agit pas d’un aléa thérapeutique mais d’une erreur médicale provoquée par des gestes brutaux répétés » de l’urologue.

Demander l’aide d’un confrère en cas de problème

Face à la violence de ces gestes, qui pouvait intervenir ? Au sein du bloc opératoire, il est à noter que le chirurgien est responsable de l’intervention, du début à la fin. Il doit vérifier que le patient est correctement installé sur la table et c’est toujours lui qui a la charge des suites opératoires. Mais il n’est jamais seul : anesthésistes, infirmiers et aides opératoires l’accompagnent toujours. « Au bloc opératoire, tout le monde surveille tout le monde pour le bien du malade. Et lorsque quelque chose est différent de d’habitude, ils vont appeler à l’aide ou demander un avis« , explique le Pr François Desgrandchamps, chef du service d’urologie de l’hôpital Saint-Louis (AP-HP), à Paris.

Lorsque le chirurgien est confronté à une complication qui le dépasse, une hémorragie ou une tumeur par exemple, il est censé s’arrêter et demander l’aide d’un confrère. Néanmoins, s’il ne le fait pas ou si son comportement met en danger la vie du patient, aucune loi ne dit explicitement qui, au sein de l’équipe médicale, doit l’empêcher de poursuivre son geste. Chaque professionnel présent au bloc opératoire est censé pouvoir le faire mais tout dépend de la personnalité du praticien. « Il y a des chirurgiens qui peuvent avoir des personnalités pathologiques et c’est là où la médecine du travail des centres hospitaliers est fondamentale pour vérifier que la personnalité du chirurgien est en adéquation avec sa responsabilité« , estime le Pr François Desgrandchamps.

« Une véritable boucherie »

Dans un rapport adressé à la direction et consulté par l’AFP, l’anesthésiste avait dénoncé le comportement « agité » du chirurgien et ses gestes « violents »  lors de l’intervention pour enlever un nodule à la prostate. Devant le patient décédé, le chirurgien aurait commencé à le « frapper » en criant : « Pourquoi tu m’as fait ça ? » et « en se frappant la tête, disant à toute l’équipe »« Vous êtes responsables de cette mort ». L’anesthésiste et les membres de l’équipe médicale s’étaient réunis après l’intervention. Leur conclusion :

  »Cette intervention était une véritable boucherie indigne de n’importe quel bloc opératoire »

De son côté, le centre hospitalier a affirmé avoir ouvert « une enquête interne (…) dès que nous avons été informés du décès (…) Tous les éléments de notre enquête interne ont été transmis au procureur de la République de Bourges, à l’Agence régionale de santé et au Centre national de gestion (qui gère les praticiens hospitaliers) », a indiqué la directrice Agnès Cornillault.

Contactée par l’AFP, l’avocate du chirurgien n’était pas joignable dans l’immédiat.



Surf à Quiberon dans le Morbihan

Comme j’ai toujours beaucoup de lecteurs étrangers, j’en profite pour faire un peu de publicité pour ma région…

 

 

Nota : la prise de vue par drone m’amène à préciser ou à rappeler que je suis issue d’une famille d’ingénieurs, que plusieurs de mes proches ont été des précurseurs dans plusieurs domaines (moi aussi assez modestement dans ceux de ma compétence en raison même de leur nature) et que nous étions jadis tous considérés comme des éléments particulièrement brillants, ce qui est la cause de la haine phénoménale que nous témoignent un certain nombre de nos bourreaux, dont Josette Brenterch du NPA de Brest, mais peut-être aussi son complice Raymond André du Tribunal de Grande Instance de Brest qui tout comme elle avait déjà bien des échos à notre sujet avant même d’intégrer la fonction publique.



Retour de mon Chinois de Thaïlande depuis le 13 avril 2016

Je ne sais à quoi cela tient, l’information de ce jour que Sébastien Sarron était décédé le matin dans sa cellule, celle de l’arrestation la veille à Malaga en Espagne du Français Antoine Denive recherché pour trafic d’armes dans le cadre de l’affaire impliquant également le Lillois Claude Hermant, la publication le même jour sur ce blog des étranges réactions enregistrées le dimanche 10 avril 2016 sur de précédents articles sur mes deux autres blogs, ou tout autre chose, mais mon Chinois de Thaïlande a bien repris du service depuis le 13 avril 2016. Sauf qu’il n’est plus localisé en Chine mais en Allemagne et varie ses lectures de mes articles de blog.

 

La preuve par le graphe des statistiques basiques du blog :

 

graph_month 44

 

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Nota : mes lecteurs pour ce dernier article sur la grosse vague d’homicides et de règlements de comptes des années 2009 à 2011, très lu ces derniers temps, forment une entité distincte de celle qui est actuellement localisée en Allemagne.

 

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Affaire de trafic d’armes de Claude Hermant : un Français arrêté en Espagne bientôt remis aux autorités françaises

Les premières informations fournies par l’Espagne lors de son arrestation la semaine dernière avaient été vite corrigées par les autorités françaises : non, il ne s’agirait pas d’un complice présumé d’Amedy Coulibaly, il n’est pour l’heure suspecté que de trafic d’armes.

 

http://www.capital.fr/a-la-une/actualites/arrestation-en-espagne-d-un-complice-presume-d-amedy-coulibaly-1118017

Arrestation en Espagne d’un complice présumé d’Amédy Coulibaly

 

Publié le 13/04/2016 à 15:31 | Mis à jour le 13/04/2016 à 18:42

 

Affaire de trafic d'armes de Claude Hermant : un Français arrêté en Espagne bientôt remis aux autorités françaises dans Attentats espagne-attentats

La police espagnole a arrêté un ressortissant français soupçonné d’avoir fourni des armes à Amédy Coulibaly, auteur de l’attaque contre l’Hyper Cacher de la porte de Vincennes le 9 janvier 2015. Le suspect, âgé de 27 ans, est originaire de Sainte-Catherine et a été appréhendé dans la région de Malaga. /Photo d’archives/REUTERS/Sergio Perez

 

La police espagnole a arrêté un ressortissant français soupçonné d’avoir pu fournir des armes à Amédy Coulibaly, auteur de l’attaque de l’Hyper Cacher de la porte de Vincennes le 9 janvier 2015, a annoncé mercredi le ministère espagnol de l’Intérieur.

Selon des sources judiciaires françaises, Antoine Denive, 27 ans, originaire de Sainte-Catherine, dans le Pas-de-Calais, est visé par un mandat d’arrêt européen lancé par un juge de Lille, qui enquête sur un trafic d’armes.

Dans un communiqué, le ministère espagnol précise que le suspect a été appréhendé mardi à Rincon de la Victoria, une localité proche de Malaga, lors d’une opération conjointe avec la police judiciaire française.

Amédy Coulibaly a tué quatre personnes de confession juive le 9 janvier 2015 au supermarché de la porte de Vincennes, à Paris, et une policière, la veille, à Montrouge. Il a été abattu lors de l’assaut par la police du supermarché.

Cette attaque faisait suite à l’opération commando menée par deux frères, Chérif et Saïd Kouachi, contre le journal satirique Charlie Hebdo le 7 janvier 2015. Cette opération avait entraîné la mort de 12 personnes.

Amédy Coulibaly et sa femme avaient passé un moment en Espagne avec une troisième personne avant ces attentats, avait précisé la Haute Cour d’Espagne l’an passé.

Le communiqué espagnol précise qu’Antoine Denive avait fui la France quelques semaines après les attentats de Paris.

Il s’était installé à Malaga, ville de la côte sud espagnole, où il continuait de pratiquer le trafic d’armes en utilisant de faux papiers d’identité.

Le ministère espagnol de l’Intérieur n’a pas précisé s’il était soupçonné d’appartenir à un groupe islamiste.

Selon des sources judiciaires françaises, il n’était en fait pas recherché dans le cadre de l’enquête sur l’attaque de la Porte de Vincennes mais en relation avec le trafic d’armes dirigé par une figure de l’extrême droite du Nord de la France, Claude Hermant.

Celui-ci s’approvisionne dans les Balkans et vend des armes en Belgique, où Amédy Coulibaly est soupçonné de s’être équipé.

Deux autres hommes, un Serbe et un Monténégrin, ont été également arrêtés pour trafic d’armes au cours de l’opération policière, a poursuivi le ministère espagnol.

La Haute Cour d’Espagne a précisé mercredi que Denive avait nié avoir vendu des armes à Amédy Coulibaly mais qu’il était d’accord pour une extradition vers la France.

La Haute Cour devrait extrader Denive vers la France sauf s’il est impliqué dans une autre affaire criminelle en Espagne, précise le quotidien El Pais.

(Angus Berwick et Tomas Gonzalez, avec service France,; Pierre Sérisier et Emmanuel Jarry pour le service français)

 

http://www.lemonde.fr/police-justice/article/2016/04/13/l-espagne-arrete-un-francais-soupconne-d-avoir-fourni-des-armes-pour-les-attentats-de-janvier-2015_4901370_1653578.html

Un Français interpellé en Espagne pour trafic d’armes

 

Le Monde.fr avec AFP et Reuters | 13.04.2016 à 16h12 • Mis à jour le 13.04.2016 à 17h24

 

Des policiers français devant l'Hyper Cacher attaqué par Amedy Coulibaly le 9 janvier 2015.

 

Un Français soupçonné de trafic d’armes a été arrêté mardi 12 avril à Rincon de la Victoria, une localité proche de Malaga, dans le sud de l’Espagne, au cours d’une opération menée par des policiers espagnols et des agents de la police judiciaire française. Antoine Denevi, âgé de 27 ans, a été mis en examen mercredi par un juge de l’audience nationale, juridiction spécialisée dans les affaires de terrorisme, pour trafic d’armes et appartenance à une organisation criminelle, avant d’être placé en détention provisoire, a-t-on appris de source judiciaire.

 

Lors de son audition par un juge à Madrid, l’intéressé a nié avoir fourni des armes au djihadiste Amedy Coulibaly, qui ont servi lors de la prise d’otages dans l’Hyper Cacher de la porte de Vincennes. Le suspect a par ailleurs accepté d’être remis à la France.

Il quitte la France peu après les attentats

L’individu est originaire de Sainte-Catherine dans le Pas-de-Calais. Il était recherché par la France depuis plusieurs mois dans le cadre d’un dossier de trafic d’armes instruit à Lille. L’enquête menée sous la direction du tribunal de grande instance de Lille a déterminé que le trafiquant présumé a quitté la France quelques semaines après les attentats de janvier 2015 et s’était installé dans la région de Malaga.

Antoine Denevi avait été « identifié comme le responsable d’un réseau de trafic d’armes qui a approvisionné le terroriste français Amedy Coulibaly, auteur des attentats du 8 [janvier à Montrouge] et du 9 janvier à Paris », a rapporté la police espagnole dans un communiqué. La police précise en outre qu’il était en lien avec des hommes d’origine serbe qui auraient pu faciliter son approvisionnement en armes et en munitions.

Lors de son interpellation la police a trouvé les faux-papiers dont il se servait, un passeport européen au nom d’une autre personne, et du matériel informatique, qui fait l’objet d’expertises. Deux autres personnes, de nationalité serbe et du Montenegro, ont aussi été interpellées.

Lire aussi :   Amedy Coulibaly et ses « sous-traitants »

Ce dossier a été versé à celui de Charlie Hebdo, mais les deux affaires ne sont pas officiellement jointes, et il n’y a pas eu de mandat d’arrêt contre Antoine Denevi dans l’enquête sur les attentats de janvier.

Un des personnages clés du dossier lillois, Claude Hermant, a été entendu dans le dossier Charlie Hebdo, car il est soupçonné d’avoir, lui aussi, vendu des armes qui auraient pu se retrouver dans l’arsenal d’Amedy Coulibaly. Claude Hermant est incarcéré depuis janvier 2015, mais dans le cadre de l’enquête lilloise.

Sept individus mis en examen pour les attentats de janvier

Jusqu’ici, sept hommes au total sont mis en examen dans cette enquête sur les attentats de janvier 2015. Amedy Coulibaly a tué une policière à Montrouge le 8 janvier 2015, et quatre personnes lors de l’attaque le 9 janvier d’un supermarché de la porte de Vincennes.

Lire aussi :   Attentats à Paris : neuf gardes à vue prolongées, trois levées

Cette attaque faisait suite à l’opération commando menée par Chérif et Saïd Kouachi contre le journal satirique Charlie Hebdo, le 7 janvier, qui avait entraîné la mort de douze personnes.

Amedy Coulibaly avait été abattu par les forces de l’ordre alors qu’il sortait les armes à la main de la supérette. Un peu plus tôt, les frères Kouachi, retranchés dans une imprimerie de Dammartin-en-Goële (Seine-et-Marne), avaient également été tués par la police.

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 http://www.lavoixdunord.fr/france-monde/affaire-hermant-un-nordiste-arrete-en-espagne-ia0b0n3444844

Affaire Hermant : un Nordiste arrêté en Espagne, soupçonné de trafic d’armes (VIDÉO)

 

Publié le 14/04/2016

PAR A. D., L. B. et É. R. (texte) – PASCAL BONNIÉRE (vidéo)

La police espagnole, accompagnée de la PJ de Lille, a interpellé mardi à Malaga un homme de 27 ans, originaire du Pas-de-Calais. Mis en examen ce mercredi pour trafic d’armes, il était l’ancien employé de la friterie de Claude Hermant, à Lille, lui-même toujours en détention dans le même dossier.

 

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L’homme, Antoine Denevi, âgé de 27 ans et originaire du Pas-de-Calais, était recherché par la France qui avait émis un mandat d’arrêt international le visant. Il est né à Sainte-Catherine, près d’Arras. Selon nos informations, il a vécu toute son enfance et préadolescence à Wingles, près de Lens, où ses parents vivent encore.

Toujours selon nos informations, Antoine Denevi était recherché par la police judiciaire de Lille, dans le cadre d’une enquête pour trafic d’armes visant le Lillois Claude Hermant. Antoine Denevi était un ancien employé de la friterie de Claude Hermant, située rue de Solférino à Lille, et en avait été licencié en 2014. Il était très proche également du mouvement d’extrême droite Troisième voie et des mouvements hooligan à Lille, Lens et Bruxelles. Les policiers avaient fini par retrouver sa trace dans un domicile de Malaga, où il a été interpellé par la police espagnole mardi, accompagnée d’observateurs de la PJ de Lille. Aucune arme n’a été retrouvée.

« Je suis catastrophée », commente Maryse Loup, maire de Wingles, commune d’origine d’Antoine Denevi. « Je me souviens encore de sa bouille malicieuse quand je l’avais en classe », se souvient cette ancienne institutrice de maternelle. « Son nom n’est jamais parvenu à mes oreilles concernant une quelconque affaire de délinquance sur la commune. Il a quitté Wingles il y a quelques années. Selon ce que je sais, il habitait en Espagne depuis deux ans. Il avait fait sa vie et allait se marier. Je pense surtout à ses parents, son frère, sa sœur. »

Pas de lien avec Coulibaly

Rappelons que le dossier Claude Hermant, toujours en cours d’instruction, contient un volet « terrorisme » : des armes de Claude Hermant sont arrivées entre les mains d’Amedy Coulibaly, et ont été utilisées lors de la prise d’otages de l’Hyper Casher, le 9 janvier 2015 à Paris. Néanmoins, contrairement à ce qu’affirmaient ce mercredi des sources espagnoles, l’arrestation réalisée mardi à Malaga n’est pas liée à ces attentats. « C’est une des branches du dossier Hermant, mais qui ne va pas vers Coulibaly », souligne une source française proche du dossier.

 

http://www.lavoixdunord.fr/france-monde/affaire-hermant-le-nordiste-antoine-denevi-arrete-en-ia0b0n3454020

Affaire Hermant: le Nordiste Antoine Denevi, arrêté en Espagne, sera transféré en France d’ici dix jours

 

Publié le 18/04/2016

AFP et A. D.

Antoine Denevi, présumé trafiquant d’armes français de 27 ans, impliqué dans l’affaire Hermant et arrêté mercredi dans le sud de l’Espagne, sera remis à la France d’ici dix jours, a annoncé la justice espagnole lundi.

 

 Le Nordiste Antoine Denevi a été arrêté en Espagne. PHOTO LA VOIX

 

Antoine Denevi, 27 ans, originaire du Pas-de-Calais avait été arrêté mercredi dernier en Andalousie. Il était recherché par la France qui avait émis un mandat d’arrêt international. Né à Saint-Catherine, près d’Arras, il est lié à une enquête sur un trafic d’armes visant le Lillois Claude Hermant depuis plusieurs mois.

Membre d’un groupe d’extrême droite dans le Nord

Cette enquête, menée par la Police judiciaire de Lille, comporte une partie liée au terrorisme, avec une suspicion de livraisons d’armes de Claude Hermant à Amedy Coulibaly (abattu lors de la prise d’otages de l’hyper-Casher en janvier 2015 à Paris). Cependant, selon nos informations, Antoine Denevi, ancien employé de friterie de Claude Hermant rue de Solférino à Lille, et membre d’un groupe d’extrême droite dans le Nord, n’est pas soupçonné d’avoir été en lien avec Amedy Coulibaly. « Antoine Denevi apparaît dans une branche de l’affaire Hermant, mais qui n’est pas liée au terrorisme », souligne un proche de l’enquête.

La justice espagnole a confirmé ce lundi qu’Antoine Denevi serait ramené France « d’ici 10 jours ». L’enquête est dirigée par la Juridiction interrégionale spécialisée (JIRS) de Lille.

 

http://www.20minutes.fr/lille/1828967-20160418-nord-presume-trafiquant-armes-nordiste-bientot-extrade-france

Nord: Un présumé trafiquant d’armes nordiste bientôt extradé en France

 

JUSTICE Un Nordiste, récemment arrêté en Espagne pour trafic d’armes et d’explosifs, a confirmé qu’il acceptait d’être remis à la justice française…

Illustration de trafic d'armes.
Illustration de trafic d’armes. – A. Rancoule / 20 Minutes

G.D. avec AFP

    • Publié le 18.04.2016 à 16:16
    • Mis à jour le 18.04.2016 à 16:16

Il était visé par un mandat d’arrêt européen. Un présumé trafiquant d’armes nordiste de 26 ans, arrêté mercredi dans le sud de l’Espagne, sera remis à la France dans les dix jours qui viennent, a annoncé la justice espagnole, ce lundi.

Trafic d’armes

Le Français Antoine Denevi est soupçonné d’appartenir à une association de malfaiteurs et de trafic illégal d’armes et d’explosifs. Il a confirmé qu’il acceptait d’être remis à la justice de son pays, précise l’Audience nationale, juridiction spécialisée dans les affaires complexes.

L e jeune homme, demandé par la Juridiction interrégionale spécialisée de Lille, s’était installé près de Malaga, en Andalousie. Il est recherché par la France pour des délits qui auraient été commis en 2014, précise le juge espagnol.

Enquête menée par la justice ordinaire

Dans un communiqué de la police espagnole, le jeune homme avait été présenté comme le responsable d’un réseau de trafic d’armes ayant approvisionné un des auteurs des attentats de Paris de janvier 2015, Amédy Coulibaly, « l’assassin de l’Hyper Cacher », ce que des sources françaises ont démenti.

Des sources proches de l’enquête menée en France avaient souligné qu’en l’absence du moindre lien établi, l’enquête était menée par la justice ordinaire et non la justice antiterroriste.

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