Sébastien Sarron est mort ce matin dans sa cellule de la maison d’arrêt de Nantes

Ses victimes seront privées de procès et d’explications.

Rappelons que cet individu aurait pu faire partie des très nombreux internautes que manipulent le cyberdélinquant Pascal Edouard Cyprien Luraghi et sa bande de « déconnologues », dont le Biterrois Jean-Marc Donnadieu.

Dans les écrits « décousus » retrouvés dans sa camionnette après qu’il eut foncé dans la foule du Marché de Noël de Nantes avant de tenter de se suicider, le 22 décembre 2014 , il se plaignait notamment d’un professeur de l’Education nationale.

Il avait passé son après-midi quai de la Fosse, une artère nantaise célèbre pour ses bars à hôtesses, dont ceux de l’assassin présumé du proxénète brestois Bernard Algret, Antonio Freitas, voisin de cellule d’Amedy Coulibaly à Fleury-Mérogis en 2007.

Il n’avait semble-t-il jamais mis les pieds à Nantes auparavant et n’y avait aucune attache.

Le 2 octobre 2015, il avait été condamné une première fois par le Tribunal Correctionnel de Saintes à six mois de prison avec sursis pour détention et usage de stupéfiants et n’attendait plus que son procès devant la Cour d’Assises de la Loire-Atlantique.

 

http://www.leparisien.fr/faits-divers/le-chauffard-du-marche-de-noel-de-nantes-s-est-suicide-en-prison-13-04-2016-5711375.php

Le chauffard du marché de Noël de Nantes s’est suicidé en prison

 

Z.L. | 13 Avril 2016, 12h30 | MAJ : 13 Avril 2016, 12h30

Avant son incarcération, Sébastien, un pépiniériste de 37 ans, vivait isolé à Berneuil dans un village de Charente-Maritime.
Avant son incarcération, Sébastien, un pépiniériste de 37 ans, vivait isolé à Berneuil dans un village de Charente-Maritime. (Droits exclusifs Le Parisien.)

 

Il avait provoqué la terreur, tué un jeune homme et blessé plusieurs personnes en fonçant en camionnette dans la foule du marché de Noël de Nantes en décembre 2014. Sébastien Sarron s’est suicidé ce mercredi matin dans sa cellule de la maison d’arrêt de Nantes-Carquefou (Loire-Atlantique), révèlent plusieurs médias locaux.

 

Vers 7 heures du matin, des surveillants l’ont retrouvé pendu, explique «Presse Océan». Le détenu avait été placé en quartier d’isolement et fait l’objet d’une importante surveillance depuis quelques mois. D’après «Ouest France», la dernière ronde de ses geôliers a eu lieu à 5 heures ce mercredi matin, deux heures avant la découverte du corps. Sébastien Sarron attendait son procès en assises. Une procédure qui s’éteint avec son décès.

Le 22 décembre 2014, vers 19 heures, Sébastien Sarron, un pépiniériste originaire de Charente-Maritime, décide de lancer sa fourgonnette blanche dans la foule du marché de Noël de la Place Royale à Nantes. Ivre, il fauche 10 personnes puis se blesse sérieusement en se frappant de plusieurs coups de couteau. Virgile Porcher, un jeune homme de 25 ans, décède des suites de ses blessures. Quelques jours plus tard, le chauffard est mis en examen pour assassinat et tentative d’assassinat.

VIDEO. Une camionnette fonce dans le marché de Noël à Nantes: «ça a été la panique»

Dans la fourgonnette, les enquêteurs avaient découvert un carnet contenant «des propos pour le moins confus», évoquant sa haine de la société ou encore «un risque d’être tué par les services secrets».  Décrit par ses proches comme solitaire, alcoolique et paranoïaque, Sébastien Sarron avait pourtant était jugé comme responsable pénalement par un expert psychiatrique.

VIDEO. «La personne semblait se frapper au thorax», raconte un témoin de la scène

Sur le même sujet

 

http://www.20minutes.fr/nantes/1825551-20160413-drame-marche-noel-nantes-conducteur-suicide-prison

Drame du marché de Noël à Nantes: Le conducteur s’est suicidé en prison

 

FAITS DIVERS L’homme qui avait foncé dans la foule le 22 décembre 2014 à Nantes, faisant un mort et plusieurs blessés, s’est pendu dans sa cellule ce mercredi…

La camionnette qui a foncé sur la marché de Noël de Nantes le 22 décembre 2014
La camionnette qui a foncé sur la marché de Noël de Nantes le 22 décembre 2014 – Georges Gobet AFP

F.B.

    • Publié le 13.04.2016 à 12:08
    • Mis à jour le 13.04.2016 à 13:08

 

Il avait 38 ans. Sébastien Sarron, le conducteur de la camionnette qui avait foncé dans la foule du marché de Noël de Nantes le 22 décembre 2014, s’est donné la mort ce mercredi, a-t-on appris auprès de la police. L’homme s’est suicidé par pendaison dans sa cellule de la maison d’arrêt de Nantes, vers 7h30.

Incarcéré et placé en isolement depuis le 9 janvier 2015, il aurait dû être jugé par la cour d’assises de Loire-Atlantique pour assassinat et tentatives d’assassinat. Une expertise psychiatrique avait en effet conclu qu’il ne pouvait pas, malgré sa fragilité psychologique, être considéré comme « irresponsable » de ses actes.

Un jeune homme tué

Le 22 décembre dernier, un fourgon blanc avait foncé dans la foule massée place Royale, au milieu des chalets du marché de Noël. Une dizaine de personnes avaient été blessées et un jeune homme de 25 ans, Virgile, originaire du Landreau en Loire-Atlantique, avait trouvé la mort.

Les enquêteurs avaient constaté que le chauffeur, originaire de Charente-Maritime, était ivre au moment des faits. Un carnet avait été retrouvé à bord de la voiture après l’agression. Dans des écrits « décousus », Sébastien Sarron faisait état pêle-mêle, de ses problèmes familiaux, de sa haine de la société et « du risque d’être tué par les services secrets ». Après avoir foncé sur la foule, il s’était donné plusieurs coups de couteau.

 

http://www.francesoir.fr/societe-faits-divers/nantes-le-chauffard-du-marche-de-noel-sest-suicide

Nantes: le chauffard du marché de Noël s’est suicidé

 

Publié le :

Mercredi 13 Avril 2016 – 13:00

Dernière mise à jour :

Mercredi 13 Avril 2016 – 13:10

Sébastien Sarron, l’homme qui avait tué une personne en fonçant sur la foule lors du marché de Noël de Nantes en 2014 s’est suicidé. Il s’est pendu dans sa cellule alors qu’il attendait son jugement pour « assassinat et tentative d’assassinat ».

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Le drame du marché de Noël de Nantes avait coûté la vie à un homme de 25 ans.

©Stefphane Mahe/Reuters

 

Le conducteur qui avait foncé sur la foule lors du marché de Noël de Nantes en 2014 faisant une victime s’est suicidé. Sébastien Sarron, 37 ans, s’est pendu dans sa cellule ce mercredi 13 au matin rapporte Ouest France.

Il était incarcéré à la maison d’arrêt de Nantes dans l’attente de son jugement. Les gardiens l’ont retrouvé pendu vers 7 heures du matin, deux heures après leur dernière ronde. L’homme faisait en effet l’objet d’une surveillance régulière et avait été placé en quartier d’isolement il y a plusieurs mois de cela.

Malgré les tentatives de réanimation des surveillants pénitentiaires puis du SAMU, Sébastien Sarron  est décédé sur place.

Le 22 décembre 2014, il avait, au volant de sa camionnette, volontairement percuté plusieurs personnes sur le marché de Noël de Nantes. Il avait par la suite tenté de se suicider en se donnant plusieurs coups de couteau.

Son acte avait causé la mort d’un homme de 25 ans et fait plusieurs blessés graves. Très vite, la piste de l’acte d’un déséquilibré avait été privilégiée. Outre la tentative de suicide, un carnet avait été retrouvé dans lequel l’homme tenait des propos incohérents, évoquant sa « haine de la société » ou sa crainte d’être tués par les services secrets.

Pour autant, un experts psychiatres avait considéré que son jugement n’était pas aboli au moment des faits et que l’irresponsabilité pénale ne pouvait être retenue. Sébastien Sarron pouvait donc être jugé devant les assises.

L’enquête avait retenu l’hypothèse de la préméditation, et l’homme était mis en examen pour « assassinat et tentative d’assassinat ».

Auteur : La rédaction de FranceSoir.fr

 

http://www.presseocean.fr/actualite/nantes-drame-de-noel-vers-un-proces-devant-les-assises-17-12-2015-178918

Nantes Drame de Noël : vers un procès devant les assises

 

0 17.12.2015 12:30

Un passant avait été tué et neuf autres blessés sur le marché de Noël de Nantes.

Un passant avait été tué et neuf autres blessés sur le marché de Noël de Nantes.

Photo archives Presse Océan – Stéphane Pajot

Le 22 décembre 2014 à Nantes, une voiture folle fauchait dix personnes sur le marché de Noël, place Royale. Le lendemain, Virgile, un danseur et chorégraphe de 25 ans originaire du vignoble nantais, succombait à ses blessures.

Un an après les faits, les investigations autour du drame touchent à leur fin. Au cœur de l’instruction demeure le degré de responsabilité pénale du conducteur de la camionnette. Sébastien Sarron, 38 ans, s’était lardé le thorax d’une douzaine de coups de couteau après avoir délibérément lancé son véhicule sur la foule. Dans un carnet retrouvé dans l’habitacle, il faisait état, dans des propos décousus, de sa haine de la société, de reproches familiaux au bien encore du risque de se faire tuer par les services secrets. Interné en hôpital psychiatrique dans les jours suivant le drame, l’homme originaire de la Charente-Maritime, très isolé socialement, est désormais en détention provisoire, sous le coup d’une mise en examen pour « assassinat » et « tentatives d’assassinats ».

Au début de l’enquête, deux experts psychiatriques ont rencontré le suspect. Ils ont mis en évidence des traits de personnalité paranoïaque chez Sébastien Sarron, qui, dans une certaine mesure, auraient pu altérer son discernement. Altérer mais pas abolir : en clair, selon ces experts, le suspect est responsable pénalement. La contre-expertise ordonnée par la juge d’instruction va dans le même sens. Faute d’avoir pu rencontrer leur patient, les deux nouveaux experts nommés se sont basés sur les pièces présentes dans le dossier. Le rapport, remis il y a quelques jours, ouvre lui aussi la voie à un procès devant les assises.

Dossier complet à lire ce jeudi 17 décembre 2015 dans Presse Océan ou nos éditions en ligne

 

 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/pays-de-la-loire/loire-atlantique/nantes/drame-du-marche-de-noel-de-nantes-c-etait-il-y-un-890503.html

Drame du marché de Noël de Nantes, c’était il y a un an…

 

Le 22 décembre 2014, un chauffard fauchait dix piétons sur le marché de Noël de Nantes, tuant Virgile, un jeune homme de 25 ans. L’enquête n’a pas permis d’établir les motivations exactes de l’automobiliste, un homme de 37 ans au moment des faits.

  • Fabienne Béranger avec José Guedes
  • Publié le 23/12/2015 | 09:58, mis à jour le 23/12/2015 | 09:59

 

Il est 19 heures ce 22 décembre 2014, lorsqu’une voiture folle termine sa course dans la foule du marché de Noël. Une dizaine de personnes sont blessées. Parmi elles, Virgile Porcher, 25 ans. Il décèdera quelques heures plus tard au CHU de Nantes.

Un an après, l’enquête, toujours en cours, n’a pas permis d’établir les motivations de l’auteur du drame, Sébastien Sarron.
La famille de Virgile espère un procès pour tenter de comprendre ce qui s’est passé.

« Pourquoi Nantes, pourquoi cet endroit là de Nantes et surtout pourquoi Virgile est décédé dans ces conditions ? », ce sont les questions que pose la famille de Virgile, explique Loïc Cabioch, son avocat « Est-ce que le procès permettra d’avoir les réponses à ces questions, on n’en est pas certains, est-ce-que monsieur Sarron donnera des réponses, on n’en est pas certains non plus mais peut-être que le procès permettra au moins d’approcher des explications ».

La juge d’instruction en charge du dossier devrait renvoyer Sébastien Sarron devant une cour d’assises. Son procès pourrait avoir lieu, au plus tôt, fin 2016.

à lire aussi

 

http://www.lindependant.fr/2014/12/23/drame-de-nantes-1-mort-qui-est-vraiment-sebastien-sarron-l-agresseur,1971735.php

Drame de Nantes (1 mort) : qui est vraiment Sébastien Sarron l’agresseur ?

 

Le 23 décembre à 17h00 par lindependant.fr avec AFP | Mis à jour le 23 décembre

  • Ce lundi soir, Sébastien Sarron a foncé dans la foule. Une personne en est morte.

    Ce lundi soir, Sébastien Sarron a foncé dans la foule. Une personne en est morte.(Photo par AFP GEORGES GOBET)
  • La maison du suspect

    La maison du suspect(Photo par AFP XAVIER LEOTY)
  • Ce lundi soir, Sébastien Sarron a foncé dans la foule. Une personne en est morte.

    Ce lundi soir, Sébastien Sarron a foncé dans la foule. Une personne en est morte.(Photo par AFP GEORGES GOBET)
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L’automobiliste de 37 ans qui a foncé lundi soir dans la foule sur un marché de Noël à Nantes vivait « en vase clos » dans un petit village de Charente-Maritime mais, même s’il souffrait d’alcoolisme, il ne semblait pas particulièrement déséquilibré ou à la dérive. Une personne est décédée de ses blessures.

« C’est une personne qui vivait seule, mais de là à dire que c’était un marginal… Il ne vivait pas dans un endroit isolé, il avait quand même des contacts avec les voisins », a déclaré Joël Reignier, le maire de Berneuil, village de 1.100 habitants à une quinzaine de kilomètres de Saintes, à la population mêlant ruraux et néo-ruraux.

L’homme avait « acheté une maison avec un terrain dans la commune, une ancienne ferme, il y a cinq ou six ans », précise le maire. « Je ne sais pas d’où il venait ». Il vivait seul avec son berger allemand, dans cette vieille maison charentaise retapée en bordure d’une route départementale, derrière un portail rouillé fermé par un épais antivol de moto. Gendarmes et policiers étaient ce mardi après-midi en train de perquisitionner le domicile du suspect.

« Ce qu’on sait (de lui) en fin de compte, c’est très peu de choses. C’est le genre de personne qui ne demande rien, qui ne va pas vers les autres, donc les autres ne vont pas vers lui », résume le maire. Depuis le drame, « il y a eu quelques appels téléphoniques d’habitants de la commune, qui demandent qui est ce gars, où il habitait, ce qui montre bien que la population ne le connaissait pas », ajoute M. Reignier.

Le Parquet de Saintes a indiqué qu’il avait été impliqué dans une affaire de vol et recel à Béziers (Hérault) en 2006, avant son arrivée à Berneuil. Mais le suspect n’était pas connu pour des antécédents psychiatriques qui permettraient d’expliquer son geste. « Il n’a jamais sollicité les services sociaux à ma connaissance. Il se débrouillait seul », a confirmé Joël Reignier.

« On est très surpris, c’est un vrai mystère ! Depuis six ans qu’il était là, on n’avait pas de problème particulier avec lui, pas d’embrouille, comme on dit », raconte son voisin, Gérard Monet, 69 ans. « On avait eu affaire avec lui il y a quelques années, pour réparer un mur mitoyen. Ca s’était très bien passé », se souvient-il, évoquant un voisin très discret, voire effacé, qui ne recevait jamais de visite. « On ne se parlait pas beaucoup, c’était « bonjour, bonsoir ». On sent que c’est quelqu’un qui vivait en vase clos, très renfermé », relève ce voisin. Selon une source proche du dossier, le suspect de Nantes était en proie à des « problèmes d’alcoolisme nécessitant un suivi psychologique ». Sans se prononcer sur le sujet, M. Monet estime que « ce devait être une personne qui avait un problème. Il était sous curatelle ». L’épouse de M. Monet, elle, se souvient de son « très joli jardin ». « Il m’avait fait visiter son jardin il y a quelques années. Il en était fier, il m’avait expliqué qu’il travaillait dans le paysagisme. Mais actuellement je crois qu’il ne travaillait pas », dit-elle.

Selon les gendarmes, l’homme pourrait avoir récemment perdu son emploi de pépiniériste. Aujourd’hui, le long jardin au parterre de plantes et d’arbustes d’essences diverses paraît délaissé, avec deux palmiers abattus, couchés à terre et en partie brûlés. Signe d’un soudain changement psychologique ? Au début du mois de décembre, « il avait fait brûler plein de choses, c’était curieux. Il devait aussi y avoir du caoutchouc, ou des pneus, car ça faisait une fumée noire, épaisse, on en avait partout sur la terrasse », note Gérard Monet. Des feux intempestifs qui avaient dérangé le voisinage au point qu’il en appelle au maire. « Autour du 12 décembre, j’avais demandé au policier intercommunal d’aller le voir, mais le gars ne lui avait pas laissé accès à sa propriété », se souvient Joël Reignier. « Deux jours plus tard, ça a repris; là j’ai demandé aux gendarmes d’aller le voir, et depuis ça a cessé », conclut le maire. Qui n’a plus entendu parler de son administré jusqu’à un appel téléphonique des gendarmes lundi soir.



Comment le cyberdélinquant Cyprien Luraghi intoxique les foules

En date du 11 avril 2016, soit hier, il a publié un nouveau billet de blog dans lequel il qualifie de « parano » une femme qui jadis avait remarqué qu’il la piratait :

 

Ourdi et ordi

Par cyp | Publié : 11 avril 2016

L’informatique c’est super mystérieux pour la plupart des gens. Or quand le mystère est épais c’est l’interprétation délirante qui prend le relais de la raison raisonnante.

…/…

Un jour il y a très longtemps, au tout début de l’Icyp, une certaine Violaine venait parfois me faire un petit coucou dans les commentaires, deux ou trois fois par mois. Elle fréquentait surtout le forum disparu depuis des lustres, d’un vieux copain guide de trek ayant posé son sac à dos dans le Gers : Bernard. C’était le plein été et au téléphone il y avait Violaine qui passait quelques jours dans la région : ni une ni deux, je l’avais invitée à faire escale à la maison. Le lendemain elle irait rendre visite à Bernard.

…/…

Chaque nuit, à quatre heures et demie précisément, son ordinateur portable se réveillait tout seul. Et invariablement les jours suivants elle retrouvait dans mes billets et les commentaires de Bernard sur son forum, des idées et des tournures de phrases de son journal intime, qu’elle tenait sur son Mac. Évidemment, étant l’informaticien de service, c’était moi le pirateur de ce duo de lascars conspirateurs en mal d’inspiration, envoyé pour aspirer les pensées les plus intimes de Violaine à des heures qu’ont pas de nom.

…/…

Jusqu’à sept heures du matin j’avais tenté de la convaincre et elle avait vaguement eu l’air d’acquiescer, quand vers cinq heures elle avait commencé à me raconter son histoire : à quatorze ans un vieux salaud l’avait violée − il en avait trente à l’époque − et vingt ans plus tard elle était toujours sous son emprise. Ils vivaient chacun chez soi et elle allait le rencontrer chez lui régulièrement pour des congrès charnels. Sacrée histoire : pas étonnant que la nana soit devenue un peu étrange.

Et dans la foulée la voilà qui me déclare qu’elle est amoureuse folle de Bernard.

…/…

J’ai pas osé appeler Bernard pour le prévenir. On verrait bien ce soir. Ça n’avait pas fait un pli : Violaine lui avait déclaré sa flamme à table, devant sa chérie effondrée. Deux manchots de plus au compteur.

…/…

Violaine était la première parano érotomane dont je croisais la trajectoire folle. Il y en a eu d’autres − et pas que de la variété érotomane − par la suite : je conterai leurs histoires dans d’autres billets. Certaines sont rigolotes et d’autres pas du tout. Comme la vie, donc.

…/…

 

J’ai retiré de son texte original tous les passages où il en fait des tonnes pour exprimer ce qu’il décrit comme ce qui aurait été son hébétude et celles de ses proches et de ses amis lorsque la dame leur dit avoir compris à quoi ils jouaient. Toutes ces exagérations outrancières cachant très mal la vérité sont sans intérêt sinon celui de trahir leur auteur : le comédien est encore en train de feindre, de mentir, de baratiner son public.

Cela dit, il ne fait aucun doute que je fasse moi-même partie de ces autres « paranos » dont il annonce déjà qu’il va conter les « histoires » dans d’autres billets, puisqu’il me pirate effectivement depuis au moins huit ans et n’a depuis lors cessé de me traiter de « parano », « schizoparano », « folle », « cas lourd psychiatrique », etc…

Je rappelle donc pour commencer que cet homme est mythomane et extrêmement pervers.

Les « histoires » qu’il conte sont quasiment toutes fausses.

Sa version de ma soi-disant « biographie », qu’il expose à ses lecteurs de manière détaillée depuis le mois de juin 2010, bien évidemment sans oublier de leur donner aussi mon identité et toutes mes coordonnées, dont il n’aurait jamais dû pouvoir prendre connaissance et qu’il n’a jamais obtenues que grâce à ses piratages informatiques, comme il s’est plu à me le rappeler à maintes reprises entre 2009 et 2013, lorsqu’il me harcelait au quotidien sur les sites où je m’exprimais, ou sur ses propres blogs que je n’avais commencé à lire que pour savoir ce qu’il racontait à mon sujet, cette version de ma « biographie », donc, qu’il travaille depuis le début avec sa complice la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, n’est qu’un tissu de mensonges et d’inventions calomnieuses notamment destiné à me faire passer pour folle du fait que j’avais moi aussi très vite remarqué qu’il me piratait lorsqu’il a commencé à m’attaquer sur le site Rue89 en 2008.

Je n’avais auparavant jamais entendu parler de ce soi-disant « écrivain » et ne l’avais pas davantage remarqué dans les commentaires du site d’information Rue89 où il sévissait déjà depuis quelques mois. Lui par contre m’espionnait avec quelques-uns de ses amis extrême-gauchistes depuis déjà un certain temps. J’aurai l’occasion de le constater bien plus tard lorsque j’effectuerai quelques recherches pour tenter de comprendre d’où ce type m’était tombé dessus, comment et pourquoi.

On notera à ce propos que lors de son audition à la gendarmerie de Puy-l’Evêque le 14 mars 2011 à la suite de ma première plainte à raison de ses exactions à mon encontre, s’il mentait et affabulait énormément, comme à son habitude, il déclarait aussi avoir commencé à se « moquer » de moi dans les commentaires du site Rue89 en 2008, et tous ses amis « déconnologues » de même, du fait de mes propres commentaires anonymes sur ce site sur le sujet du harcèlement moral en entreprise sous des articles consacrés à ce problème. Il reconnaissait avoir bien attaqué le premier et n’avoir ensuite jamais cessé de me harceler, tout en contestant que ses soi-disant « moqueries » à mon encontre fussent bien constitutives de plusieurs infractions pénales, dont celle de harcèlement moral.

Il citait également le cas d’une autre riveraine du site Rue89 dont il se « moquait » aussi depuis la même époque pour les mêmes raisons et soutenait qu’il était normal de se « moquer » de ces femmes qui se disaient victimes de harcèlement moral dans le travail et que pour sa part il qualifiait de « folles ».

Bien évidemment, ces déclarations mensongères du psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi qui néanmoins corroboraient de mes propres dénonciations me seront cachées le plus longtemps possible, et en toute illégalité à compter de 2012, par ses complices magistrats ultra CORROMPUS du Tribunal de Grande Instance de Brest ayant choisi de n’en retenir de manière fort malhonnête que l’idée selon laquelle j’aurais moi-même provoqué toutes les infractions dont je me plaignais. Je n’ai ainsi jamais pu prendre connaissance de ces déclarations avant le mois d’août 2014, les multiples demandes de communication de dossiers que leur avaient adressées mes avocats successifs depuis 2011 étant toujours restées sans aucun effet jusqu’à cette année-là.

Cyprien Luraghi avait aussi reconnu être l’auteur de toutes ses publications me concernant dont je m’étais plainte, comprenant notamment toute une série d’articles qu’il avait publiés sur son blog ICI-BLOG ou ICYP aux mois de janvier et février 2011. Il s’en était justifié en expliquant que, n’étant quant à lui nullement « procédurier », il avait décidé de se faire justice lui-même plutôt que de porter plainte contre moi du fait que selon lui je l’aurais « harcelé » et aurais aussi « harcelé » ses amis « déconnologues » en les traitant tous de « harceleurs ». Il affirmait être toujours resté correct dans tous ses écrits publics me concernant, notamment dans son blog Tique Toc qui d’après lui ne renfermait aucune « saloperie » (sic). Le gendarme qui l’auditionnait le croyait sur parole en toutes ses allégations et n’en vérifiait aucune. Pour des raisons que j’ignore, il sera ensuite muté en Guadeloupe tandis que la policière de Brest ayant traité ma plainte quittait elle-même la police dans des conditions que je ne connais pas.

De son point de vue, Cyprien Luraghi aurait donc toujours le droit de faire tout ce qu’il fait, et ses victimes n’auraient jamais le droit de s’en plaindre d’aucune manière. A la lecture de ses déclarations, on comprend très bien pourquoi ses complices magistrats ultra CORROMPUS du Tribunal de Grande Instance de Brest les ont cachées à mes avocats aussi longtemps que possible tout en leur mentant sur leur substance.

Cyprien Luraghi le sait déjà, puisqu’il continue à m’espionner par divers moyens illégaux, je dispose d’éléments de plus en plus précis et concrets quant à la manière dont il a « hypnotisé » ces magistrats, et nous aurons prochainement l’occasion d’y revenir.

En attendant, je rappelle ces éléments que j’ai déjà exposés plusieurs fois :

 

1/ Cyprien Luraghi passe son temps à rechercher parmi les internautes qu’il croise sur le net des « personnages » pour ses romans, et à traquer absolument partout ceux qui l’intéressent dans cette perspective :

 

2013-01-12 Blogacyp- quand y'en a plus, y'en a encore ! - Un petit coucou

 

2/ Cyprien Luraghi pirate ses cibles ou futurs « personnages de romans » avec l’aide de ses amis eux aussi pirates informatiques afin de violer et voler au maximum de ses possibilités techniques l’intimité de la vie privée de ces personnes bien réelles et toujours vivantes :

 

2011-06-28 Du rififi chez les pirates informatiques de la bande à Cyp (Pascal Cyprien Luraghi de Puy-l'Evêque, dans le Lot) ! - Un petit coucou

 

2011-07-03 Confirmation des piratages commis par Pascal Cyprien Luraghi et sa bande de harceleurs du net - Un petit coucou

 

2011-07-05 Ecoutes téléphoniques illégales- Luraghi... aussi ! - Un petit coucou

 

3/ Il nie toujours farouchement tous les crimes et délits dont il se rend coupable, et traite toutes ses victimes de folles, de paranoïaques, de menteuses, de faussaires ou de harceleuses en se montrant véritablement paranoïaque à leur égard :

 

2011-06-29 Le psychopathe et délinquant chevronné Pascal Cyprien Luraghi tel qu'en lui-même ! - Un petit coucou

 

2010-05-29 De la culpabilité aux délires paranoïaques et autres inventions du pervers - Un petit coucou

 

2011-07-06 Pascal Cyprien Luraghi, alias Roger Velu, est-il schizophrène  - Un petit coucou

 

4/ Il écrit et publie effectivement ses versions calomnieuses des « biographies » de ses victimes afin de ridiculiser par avance ou de prévenir toutes leurs dénonciations à son encontre en les rendant non crédibles.

Sa propre soeur, dont il a dressé un portrait peu reluisant dans l’unique « roman » qu’il ait pu faire éditer, est ainsi la première de ses victimes à avoir fait les frais de cette stratégie de défense systématique du psychopathe :

 

Laissé par : cathy luraghi le 02/06/2012 à 23h40 
 

·                                 Je suis Cathy Luraghi et je voudrais répondre à toutes les fausses informations qui circulent sur moi. cyprien mon soit disant frère, na jamais rencontré Thierry de toute sa vie, Thierry le haïssait pour tout le mal qu’il à fait à mes filles durant mes 9 mois d’incerations, ils s’invente une vie qu’il na pas eu le courage vivre et me salit moi même depuis 17 ans. Contrairement à ce qu’il se dit je n’ai jamais balancé personne même si j’ai du reconnaitre se qui a été prouvé. Thierry était l’amour de ma vie et le restera à jamais.

 



Attentats : la France était de nouveau visée

Nouvelles révélations sur les attentats et leurs auteurs, indubitablement en lien avec le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, toutes ses publications me concernant, et son activisme forcené à mon encontre depuis 2008.

Rappelons au passage que le 22 mars est l’anniversaire de la mort de Mohamed Merah en 2012, mais aussi celui de mon empoisonnement le vendredi 22 mars 2002, commis entre l’assassinat du journaliste Daniel Pearl le 1er février 2002 à Karachi, et l’attentat du bus de la DCN dans la même ville le 8 mai 2002.

J’en ai gardé bien des séquelles et un état de santé toujours précaire.

 

http://tempsreel.nouvelobs.com/attentats-terroristes-a-paris/20160410.OBS8199/attentats-bruxelles-etait-un-plan-b-les-terroristes-voulaient-frapper-la-france.html

ATTENTATS. Bruxelles était un plan B, les terroristes voulaient frapper la France

 

ATTENTATS. Bruxelles était un plan B, les terroristes voulaient frapper la France
Portrait non daté de Mohamed Abrini, fourni par la police fédérale belge le 24 novembre 2015. (AFP PHOTO / BELGIAN FEDERAL POLICE / STR)

 

L’objectif de la cellule djihadiste basée à Bruxelles était de frapper à nouveau la France. Face à l’enquête qui avançait, elle s’est décidée dans l’urgence à opérer dans la capitale belge, indique le parquet fédéral belge.

L'ObsPublié le 10 avril 2016 à 10h46

 

L’objectif de la cellule djihadiste basée à Bruxelles était de frapper à nouveau la France, mais elle s’est décidée dans l’urgence à lancer des attaques dans la capitale belge, a rapporté dimanche 10 avril le parquet fédéral belge.

« Le parquet fédéral confirme qu’il ressort de plusieurs éléments de l’enquête que l’objectif du groupe terroriste était de frapper à nouveau la France et que c’est pris de court par l’enquête qui avançait à grands pas qu’ils ont finalement décidé dans l’urgence de frapper Bruxelles », explique le parquet dans un bref communiqué, au surlendemain de l’arrestation d’un des suspects clés, Mohamed Abrini.

Ce dernier, recherché dans l’enquête sur les attentats de Paris, a été arrêté par la police belge vendredi. Ce Belgo-Marocain de 31 ans est bien impliqué dans les attaques de Bruxelles, commises le 22 mars : il a reconnu lors de ses auditions être « l’homme au chapeau » vu sur la vidéosurveillance de l’aéroport de Zaventem.

Inculpé dans les attentats de Bruxelles

Ami d’enfance des frères Abdeslam, Mohamed Abrini était déjà inculpé dans le dossier des attentats de Paris. Il l’est également désormais dans le volet des attaques du 22 mars à Bruxelles, a annoncé dimanche le parquet fédéral belge.

Le juge a retenu à son encontre les chefs de « participation aux activités d’un groupe terroriste, d’assassinats terroristes et de tentatives d’assassinats terroristes ».

Mohamed Abrini, le complice de Salah Abdeslam qui « aimait l’argent »

Le site de La Défense et une association catholique visés

Les déclarations du parquet belge viennent confirmer les informations communiquées par i-Télé. Selon la chaîne d’information en continu, la cellule terroriste basée à Bruxelles voulait en fait frapper l’Hexagone, et plus précisément La Défense, ainsi qu’une association catholique conservatrice.

L’enquête belge avançant trop vite, les assaillants auraient décidé d’opérer outre-Quiévrain.

 

E.H. avec AFP

L'Obs

L’Obs

Journaliste

 

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Attentats : les terroristes de Bruxelles visaient la France

 

Ils ont été pris de court par l’enquête qui avançait à grands pas et se sont finalement décidés à lancer des attaques dans la capitale belge.

 

Source AFP

Publié le 10/04/2016 à 10:35 – Modifié le 10/04/2016 à 15:59 | Le Point.fr
L'objectif de la cellule djihadiste basée à Bruxelles était de frapper l'Hexagone.
L’objectif de la cellule djihadiste basée à Bruxelles était de frapper l’Hexagone. © FEDERAL POLICE/Maxppp

 

La France a-t-elle évité un nouvel attentat de justesse ? Il faut croire. La cellule djihadiste de Bruxelles avait l’intention de frapper à nouveau Paris, mais, se sentant traquée, elle a décidé précipitamment de viser plutôt la capitale belge, selon les premières révélations de l’enquête. Ces révélations font suite au coup de filet antiterroriste et à l’inculpation du suspect-clé Mohamed Abrini dans le dossier des attentats.

« L’objectif du groupe terroriste était de frapper à nouveau la France », a annoncé le parquet fédéral belge dimanche, s’appuyant sur « plusieurs éléments de l’enquête », confirmant une information parue dans le quotidien belge L’Écho. Mais, « pris de court par l’enquête qui avançait à grands pas, ils ont finalement décidé dans l’urgence de frapper Bruxelles », poursuit le parquet, lors de la funeste journée du 22 mars, quand une série d’attentats-suicides à l’aéroport international de Bruxelles-Zaventem et dans une station du métro avait fait 32 morts et des centaines de blessés.

Le Premier ministre français a estimé dimanche à Alger que les nouvelles attaques que projetait de mener à Paris la cellule djihadiste de Bruxelles constituaient « la preuve des menaces très élevées qui pèsent sur la France ». « C’est une preuve supplémentaire des menaces très élevées qui pèsent sur toute l’Europe et, bien sûr, sur la France en particulier », a ainsi déclaré Manuel Valls. « Nous ne relâcherons pas notre vigilance », a-t-il assuré.

Les rebondissements se multiplient

Les rebondissements se multiplient depuis l’arrestation vendredi dans la commune bruxelloise d’Anderlecht de Mohamed Abrini, un Belgo-Marocain de 31 ans, ami d’enfance de Salah Abdeslam, suspect-clé des attentats de Paris capturé le 18 mars à Bruxelles, et de trois autres individus.

Au lendemain des attentats à la bombe bruxellois, les enquêteurs avaient retrouvé, dans un ordinateur ayant appartenu à un des deux kamikazes de l’aéroport, Ibrahim El Bakraoui, un message où il affirmait « ne plus savoir quoi faire » car « recherché de partout ». Au même moment, mais sans lien avéré, un djihadiste présumé, Reda Kriket, avait été arrêté le 24 mars à Paris dans une enquête sur un projet d’attentat « imminent » déjoué en France, ainsi que trois complices présumés en Belgique.

Lors de ses auditions, Abrini a reconnu être le troisième homme qui accompagnait les deux kamikazes de l’aérogare de Bruxelles, « l’homme au chapeau » que les enquêteurs cherchaient à identifier à l’aide d’images de vidéosurveillance. En conséquence, Mohamed Abrini n’est plus seulement inculpé dans le volet français, il l’est également désormais pour « participation aux activités d’un groupe terroriste, assassinats terroristes et tentatives d’assassinats terroristes » dans l’enquête sur les attentats de Bruxelles.

Un mandat d’arrêt européen avait été publié contre lui par les juges français : possible soutien logistique, Mohamed Abrini a été filmé en compagnie de Salah Abdeslam dans une station-service de l’Oise (nord de Paris) dans la voiture qui servira à convoyer les kamikazes au Stade de France deux jours plus tard. Des traces de son passage avaient été localisées dans deux logements de Schaerbeek, une commune de Bruxelles, qui pour l’un a pu servir de cachette à Salah Abdeslam en fuite et pour l’autre était le point de départ du commando de l’aéroport de Bruxelles. « Confronté aux résultats de diverses expertises, (il) a reconnu sa présence lors des faits », avait expliqué samedi soir le parquet fédéral belge. Il s’agit principalement des images de vidéosurveillance, selon une source proche du dossier.

Abrini a-t-il dit la vérité ?

Les enquêteurs avaient pu retracer une partie du parcours de « l’homme au chapeau », de l’aérogare quittée à pied juste avant les explosions à sa disparition deux heures plus tard dans le centre de Bruxelles. Mais Mohamed Abrini a-t-il dit la vérité aux enquêteurs et au juge d’instruction ? « Cela ne correspond pas au mode opératoire de l’EI », le groupe État islamique, qui a revendiqué les attentats, a déclaré un spécialiste belge de l’islamisme radical, Peter Van Ostaeyen, estimant qu’il a pu mentir pour protéger le reste du réseau.

Selon la RTBF, Osama Krayem, un Suédois de 23 ans arrêté le même jour que Mohamed Abrini et identifié comme le deuxième homme du métro bruxellois, est également passé aux aveux. Il a indiqué être parti le 22 mars d’un appartement d’Etterbeek, à Bruxelles, avec Khalid El Bakraoui, selon la RTBF. Les deux hommes ont été filmés ensemble quelques minutes avant que ce dernier ne se fasse exploser à la station de métro Maelbeek. Les enquêteurs seraient à la recherche du sac à dos d’Osama Krayem, visible sur les images de vidéosurveillance. Une perquisition menée samedi à Etterbeek n’a rien donné.

Les enquêteurs soupçonnent Salah Abdeslam d’être allé le chercher, ainsi que le dénommé Amine Choukri, à Ulm (Allemagne), le 3 octobre quand ils sont, très probablement, rentrés de Syrie. Deux autres hommes, Hervé B. M., un Rwandais de 25 ans, et Bilal E. M., 27 ans, ont également été inculpé dans le volet belge pour avoir aidé Abrini et Krayem.

« C’est la justice », celui « qui a fait quelque chose, il doit payer », a déclaré le père de Salah Abdeslam dans un entretien diffusé dimanche à la radio française Europe 1. « J’espère que tout le monde va parler », a lancé cet homme de 67 ans, résidant depuis 40 ans en Belgique. « On était là, on était heureux, on était bien, on sortait, on rigolait, maintenant on peut même pas sortir de chez nous. »

 

http://www.lepoint.fr/societe/le-pere-de-salah-abdeslam-sort-du-silence-10-04-2016-2031164_23.php

Attentats : le père de Salah Abdeslam sort du silence

 

Interrogé à la sortie de la prison de Bruges où son fils est incarcéré, l’homme de 67 ans espère que son fils s’exprimera devant la justice.

 

Source AFP

Publié le 10/04/2016 à 09:05 – Modifié le 10/04/2016 à 14:10 | Le Point.fr
Le père de Salah Abdeslam est sorti du silence.
Le père de Salah Abdeslam est sorti du silence. © DSK

 

Le père de Salah Abdeslam, suspect-clé des attentats du 13 novembre à Paris, espère que son fils s’exprimera devant la justice, selon un entretien diffusé dimanche matin sur les ondes d’Europe 1. Interviewé à la sortie de la prison de Bruges (Belgique) où est détenu son fils, cet homme de 67 ans espère que celui-ci va « s’exprimer devant la justice ».

« Il va être jugé », « c’est la justice », celui « qui a fait quelque chose, il doit payer », a-t-il déclaré, « j’espère que tout le monde va parler ». « Je sais pas comment les enfants sont rentrés (…) dans les magouilles comme ça, vraiment, je ne comprends pas ce qui se passe dans leur tête », a-t-il ajouté.

« On était heureux »

Après son fils, arrêté le 18 mars, l’un de ses amis de longue date, Mohamed Abrini, soupçonné d’avoir participé aux attentats de Paris, mais aussi de l’aéroport de Bruxelles, a été interpellé vendredi. « Malade », le père de Salah Abdeslam a confié qu’il ne sortait « presque pas » actuellement, répétant qu’il est « triste ».

« Moi, je suis ici depuis 40 ans en Belgique, on était là, on était heureux, on était bien, on sortait, on rigolait, maintenant on ne peut même pas sortir de chez nous », a-t-il déclaré. Salah Abdeslam doit être remis à la France, mais la justice belge souhaite l’entendre au moins dans l’enquête sur une fusillade survenue à Bruxelles trois jours avant son arrestation.

 

http://www.europe1.fr/faits-divers/le-pere-de-salah-abdeslam-jespere-que-tout-le-monde-va-parler-2715733

Le père de Salah Abdeslam : « J’espère que tout le monde va parler »

 

07h00, le 10 avril 2016, modifié à 09h33, le 10 avril 2016
 

Pour la première fois depuis les attentats, le père de Salah Abdeslam s’exprime au micro d’Europe 1, dimanche. Il ne comprend toujours pas les actes de son fils.

 

EXCLUSIF -C’est un homme fatigué qui s’exprime pour la première fois depuis les attentats. Le père de Salah Abdeslam a accordé un témoignage exclusif à notre correspondant d’Europe 1, dimanche.

« Je ne comprends pas ». A 67 ans, il ne sort quasiment plus de chez lui. Malade, il passe l’essentiel de ses journées dans cette maison située sur la place communale de Molenbeek, là où a grandi Salah Abdeslam avec sa sœur et ses trois frères. L’homme ne comprend toujours pas ce qui a pu se passer dans la tête de son fils et de son complice et ami, Mohamed Abrini, arrêté vendredi à Bruxelles et qui a reconnu être « l’homme au chapeau » lors des attentats du 22 mars. « Je suis très, très triste », confie le père de Salah Abdeslam. « Je ne sais comment les enfants s’entraînent dans des magouilles comme ça… Vraiment, je ne comprends pas ce qui se passe dans leurs têtes ».

« On était heureux… ». C’est aussi l’impression d’un immense gâchis qui habite le père de famille. « Je vis depuis 40 ans en Belgique. On était heureux, on était bien. On sortait, on rigolait… Et maintenant, on ne peut même pas sortir de chez nous. Il faut que ça s’arrête, l’Etat doit faire quelque chose », s’est-il ému. S’il ne souhaite pas se tenir au courant des derniers événements concernant l’enquête et les arrestations, le père de Salah Abdeslam espère que « cette histoire se termine au plus vite ». Mais surtout, il attend de son fils qu’il « livre sa version aux enquêteurs ». « Il va s’exprimer devant la justice. Il va être jugé, c’est tout. Celui qui a fait quelque chose doit payer », a-t-il soutenu. « J’espère que tout le monde va parler ».

 

 

http://www.lepoint.fr/justice/attentats-de-bruxelles-l-etrange-temoignage-de-la-logeuse-d-abrini-10-04-2016-2031244_2386.php

Attentats de Bruxelles : l’étrange témoignage de la logeuse d’Abrini

 

Assia B. a hébergé le Belgo-Marocain de 31 ans inculpé « d’assassinats terroristes » et qui a reconnu être « l’homme au chapeau ». Elle sort de son silence.

 

Publié le 10/04/2016 à 15:30 | Le Point.fr
Attentats de Bruxelles : l'étrange témoignage de la logeuse d'Abrini
Attentats de Bruxelles : l’étrange témoignage de la logeuse d’Abrini

 

La femme qui a logé Mohamed Abrini, inculpé « d’assassinats terroristes » et qui a avoué samedi 9 avril être « l’homme au chapeau » apparaissant sur les images de vidéosurveillance de l’aéroport de Zaventem, sort de son silence. Assia B. a hébergé durant sa cavale et à quelques jours de son arrestation le Belgo-Marocain de 31 ans, responsable présumé des attentats de Bruxelles, dans un appartement situé au cœur du quartier d’Anderlecht. Auditionnée longuement par le parquet belge, la femme de 43 ans en est ressortie libre, expliquant aux juges ne pas connaître les actions funestes de Mohamed Abrini.

Durant cette audition, elle est revenue sur les circonstances de sa rencontre avec celui qui est également soupçonné d’être le logisticien des attaques de Paris et de Saint-Denis, comme le rapportent les médias belges ainsi que RTL qui a diffusé ce dimanche un extrait de son témoignage. Assia B. décrit Mohamed Abrini comme un homme généreux et avenant : « Il me fallait de la monnaie, il me fallait deux euros et j’ai été le trouver. Le type, très sympa, m’a donné plus que ce que je demandais », se souvient-elle.

« C’était un baba cool »

D’après son témoignage, l’homme avait de quoi être généreux : « Le type était un peu blindé d’argent : des liasses de 50 euros, des liasses de 20. Tu demandes 2 euros, il t’en donne 10 puis encore 20. » En décalage absolu avec le profil terroriste de sa nouvelle connaissance, Assia B. décrit même « l’homme au chapeau » comme « un type baba cool ». Au cours de leurs conversations, elle explique qu’il lui avait confié n’avoir pas de carte d’identité justifiant le fait de ne pas vouloir aller à l’hôtel. « Il n’a pas insisté pour venir chez moi. Il a dormi deux nuits, il m’a donné un peu de sous pour aller faire des courses », rembobine Assia B.

« Il cachait bien son jeu parce qu’on n’aurait pas dit que c’était lui. Je ne suis pas d’accord avec tout ce qu’ils ont fait. Je suis très très choquée. Je n’arrive plus à dormir. Quand je vois sa photo, je tremble », affirme-t-elle. Ce témoignage n’est pas sans rappeler celui de Jawad Bendaoud, qui avait prêté main-forte à une partie du commando des attaques meurtrières du 13 novembre. Lui connaît un sort tout autre puisqu’il est actuellement toujours aux mains de la justice française, placé en détention depuis le 27 novembre, notamment pour « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste ».

 

http://information.tv5monde.com/en-continu/attentats-de-bruxelles-osama-krayem-des-quartiers-suedois-l-enfer-syrien-101305

Attentats de Bruxelles: Osama Krayem, des quartiers suédois à l’enfer syrien

 

Des fleurs et des bougies sont posées à même le sol en hommage aux victimes des attentas près de l'aéroport de Bruxelles-Zaventem, le 24 mars 2016
Des fleurs et des bougies sont posées à même le sol en hommage aux victimes des attentas près de l’aéroport de Bruxelles-Zaventem, le 24 mars 2016
afp.com – PATRIK STOLLARZ
09 avr 2016
Mise à jour 10.04.2016 à 02:30
Par Gaël BRANCHEREAU

AFP

© 2016 AFP

 

Fils de Syriens exilés, il fréquentait la mosquée de son quartier, mais fumait et buvait. Et puis « c’est devenu quelqu’un d’autre ». Le Suédois Osama Krayem, soupçonné d’avoir participé aux attentats de Bruxelles, s’est brusquement radicalisé avant de partir faire le jihad en Syrie.

Enfant de la cité de Rosengård, à Malmö (sud), qui vit aussi grandir le footballeur Zlatan Ibrahimovic, Osama Krayem a été arrêté vendredi à Bruxelles avec quatre autres personnes, dont Mohamed Abrini, un des principaux suspects des attentats de Paris.

Inculpé samedi d’ »assassinats terroristes », il est « le deuxième homme », qui a été en contact avec le kamikaze qui s’est fait sauter dans la station de métro Maelbeek.

Il était également « présent » dans un centre commercial lors de l’achat des sacs qui ont servi lors de la double explosion-suicide à l’aéroport international de Bruxelles-Zaventem, selon le parquet belge.

Osama Krayem est un pur produit du « cocktail désormais classique entre exclusion sociale, radicalisation idéologique » et criminalité, analyse pour l’AFP Magnus Ranstorp, directeur de recherche au Centre d’études des menaces asymétriques du Collège de la défense nationale suédoise (CATS), qui le connaît bien.

A Malmö, il est pourtant décrit comme un jeune homme ordinaire des quartiers populaires, dont le quotidien oisif et délinquant s’écoule entre ablutions et consommation de stupéfiants.

« Il fréquentait la mosquée avec ses amis, comme d’habitude. Il priait cinq fois par jour, personne ne soupçonnait qu’il pourrait partir en Syrie pour se battre », confie un proche de la famille au quotidien Aftonbladet.

« Il vient d’une famille ordinaire de musulmans suédois. Son papa n’approuve pas et sa maman est si triste depuis son départ qu’elle est tombée malade », confie cet homme.

Un ami d’Osama Krayem raconte qu’il menait grand train dans le quartier de Seved réputé pour ses trafics. Mais il avait pris des habitudes plus saine depuis qu’il avait commencé à travailler, dans le cadre d’un programme de formation de l’agence pour l’emploi, dans les centres de loisirs de la ville de Malmö.

Il y est resté un an, avant de prendre le chemin du jihad, la guerre sainte, en Syrie, pays de ses parents exilés.

- Connexions suédo-belges -

Sa radicalisation est venue « soudainement, de façon inattendue », selon un autre proche contacté par le quotidien Sydsvenskan.

« Dans les deux ou trois mois avant son départ, il a cessé de voir ses amis. Il écoutait des prêches d’imams sur son téléphone portable, il laissait pousser sa barbe. C’est devenu quelqu’un d’autre », confie un autre ami.

Selon Magnus Ranstorp, Osama Krayem a été fortement impressionné par les prêches d’Anwar al-Awlaki, imam américain d’ascendance yéménite, ancien responsable d’Al-Qaïda dans la péninsule arabique (Aqpa), tué par un drone en 2011.

Avant son départ pour la Syrie, il avait « essayé de recruter » des fidèles fréquentant la même mosquée, affirme le chercheur.

Krayem disparaît du jour au lendemain début 2015. En janvier, il pose sur Facebook en tenue de combat, une kalachnikov à la main, drapeau de l’organisation État islamique (EI) en arrière-plan. Les photos auraient été prises à Deir Ezzor, en Syrie, chef-lieu de la province éponyme frontalière de l’Irak, contrôlée à 60% par les jihadistes de l’EI.

En février, son petit frère Anas écrit sur Facebook: « Les adieux les plus douloureux sont ceux qui ne sont pas dits et jamais expliqués!! Tu me manques mon frère!!! ».

Les enquêteurs ont retracé son parcours après son séjour syrien. Le 20 septembre, il s’enregistre sous le nom de Naïm Al Hamed sur l’île grecque de Leros. Début octobre à Ulm, en Allemagne, une voiture louée par Salah Abdeslam le récupère.

Pour Magnus Ranstorp, Osama Krayem confirme la « connexion » avérée par le passé entre Suédois radicalisés et filières belges.

Mohamed Belkaïd, un Algérien de 35 ans établi en Suède, a été abattu après les attentats de Bruxelles dans un appartement où ont également été retrouvées des empreintes de Salah Abdeslam.

En 2010, Taymour Abdel Wahab, un Suédois né en Irak, se faisait exploser dans une rue commerçante de Stockholm dans un attentat visiblement raté. Il portait sur lui une carte d’identité belge.

Par Gaël BRANCHEREAU
© 2016 AFP
Mise à jour 10.04.2016 à 02:30

 

 

http://www.lepoint.fr/societe/djihadisme-fabien-clain-etait-bien-en-france-et-non-en-syrie-debut-2015-10-04-2016-2031231_23.php

Djihadisme : Fabien Clain était bien en France et non en Syrie début 2015

 

Depuis Raqqa, il avait revendiqué au nom de Daech les attentats du 13 novembre. Le « JDD » affirme qu’il est venu trois fois à Toulouse.

 

Par

Publié le 10/04/2016 à 14:07 – Modifié le 10/04/2016 à 14:15 | Le Point.fr
Fabien Clain, célèbre djihadiste français qui avait été choisi par Daech pour revendiquer les attentats du 13 novembre à Paris et Saint-Denis, a séjourné en France entre le 21 janvier et le 7 février 2015.
Fabien Clain, célèbre djihadiste français qui avait été choisi par Daech pour revendiquer les attentats du 13 novembre à Paris et Saint-Denis, a séjourné en France entre le 21 janvier et le 7 février 2015. © DR

 

Le Journal du dimanche affirme ce dimanche que Fabien Clain, célèbre djihadiste français qui avait été choisi par Daech pour revendiquer les attentats du 13 novembre à Paris et à Saint-Denis, a séjourné en France entre le 21 janvier et le 7 février 2015, juste après les attaques contre Charlie Hebdo et l’Hyper Cacher.

Les enquêteurs pensaient pourtant que Fabien Clain, condamné à cinq ans de prison en 2009 pour son implication dans la filière toulousaine d’Artigat et mentor de Mohamed Merah, avait quitté la France pour la Syrie en janvier 2014, avec femme, enfants et plusieurs proches.

Matériel d’enregistrement professionnel

Est-il vraiment parti ou est-il revenu de Raqqa, la capitale de Daech en Syrie, où il était censé vivre ? Selon le JDD, Fabien Clain est venu à trois reprises dans un magasin de Hi-Fi de Toulouse, le 21 janvier, le 30 janvier et le 7 février. Accompagné d’une femme qu’il a présentée comme sa mère, il a acheté du matériel d’enregistrement professionnel de haute qualité qu’il voulait « facilement transportable ». Il a aussi pris un casque audio, un appareil qui transforme les voix, une carte son, des enceintes studio et un micro. Il a donc acheté de quoi équiper un véritable « home studio » qui lui a probablement servi à enregistrer son message de revendication.

Si l’information est confirmée, elle démontrera une nouvelle fois à quel point les frontières européennes et françaises sont poreuses…

 

http://www.lejdd.fr/Societe/L-etrange-aller-retour-Raqqa-Toulouse-de-Fabien-Clain-en-janvier-2015-780429

9 avril 2016  |  Mise à jour le 10 avril 2016

L’étrange aller-retour Raqqa-Toulouse de Fabien Clain en janvier 2015

 

INFO JDD – Fabien Clain, l’homme de Daech qui a revendiqué le 13 novembre depuis la Syrie était à Toulouse fin janvier 2015, juste après les attentats contre Charlie Hebdo et l’Hyper Cacher.  Il a acheté de quoi équiper un véritable « home studio » qui lui a probablement servi à enregistrer son message de revendication.

 

Fabien Clain a revendiqué les attentats du 13 novembre de Syrie.

A paraitre dans leJDDblank dans Corruption Fabien Clain a revendiqué les attentats du 13 novembre de Syrie. (DR)

Etrange aller-retour Raqqa-Toulouse. L’un des djihadistes, les plus célèbres de France, Fabien Clain qui a revendiqué les attentats du 13 novembre est venu faire son shopping en France entre le 20 janvier et le 7 février 2015, juste après les premiers attentats de 2015. Il a acheté de quoi équiper un véritable « home studio » qui lui a probablement servi à enregistrer son message de revendication sur fond musical au refrain saugrenu : « avancer sans reculer ».

Il avait quitté la France en janvier 2014 avec une partie du clan Merah

Ce vétéran du djihad déjà condamné à 5 ans de prison en 2009 pour son implication dans la filière toulousaine d’Artigat avait pourtant quitté la France en janvier 2014 avec son frère Jean-Michel, sa femme et ses trois enfants, entraînant dans sa suite plusieurs membres du clan Merah, dont Sabri Essid. C’est du moins ce que pensaient les enquêteurs.

Dans le flot des témoignages plus ou moins fantaisistes suscités par les attentats de Paris, celui du gérant d’un magasin de Hi-Fi a révélé qu’il n’en était rien. Un des employés de l’enseigne Music Action de Toulouse a formellement reconnu Fabien Clain dont le portrait était diffusé dans tous les médias. Après vérification, la direction du magasin a retrouvé dans le fichier client la trace de son passage. De ses passages même…

Pour lire cette enquête en intégralité, retrouvez le JDD en kiosques, sur iPad ou sur Internet. Découvrez également nos offres d’abonnement.

Marie-Christine Tabet – Le Journal du Dimanche

samedi 09 avril 2016

 

http://www.europe1.fr/faits-divers/141-jours-avant-les-attentats-de-paris-un-djihadiste-francais-avait-averti-la-dgsi-2715841

141 jours avant les attentats de Paris, un djihadiste français avait averti la DGSI

 

12h15, le 10 avril 2016
141 jours avant les attentats de Paris, un djihadiste français avait averti la DGSI
Abdelhamid Abaaoud était client régulier du restaurant tenu par ce Français repenti à Raqqa.@ DABIQ / AFP
 

RÉCIT – A son retour de Syrie, un djihadiste français a affirmé aux enquêteurs de la DGSI qu’une opération d’ampleur allait viser la France ou la Belgique, avec à sa tête un homme qu’il a bien connu : Abdelhamid Abaaoud.

 

Il ne savait ni où ni quand, mais il était certain qu’un massacre se préparait. Nicolas, 31 ans, est un « repenti ». Après seize mois passés en Syrie, ce Français d’origine sud-coréenne avait décidé de rentrer. Les 24 et 25 juin 2015, soit près de cinq mois avant les attentats de Paris, il est auditionné par les agents de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). Il prétend avoir des informations capitales concernant une attaque en préparation et dont l’Europe est la cible, rapporte le JDD, qui a pu consulter le compte rendu de l’audition.

Dans son restaurant, un client nommé Abaaoud. Pendant l’été 2014 à Raqqa, place forte de l’Etat islamique, Nicolas tenait un restaurant spécialisé dans la cuisine marocaine, que de nombreux djihadistes belges et français fréquentaient régulièrement. Parmi eux, Abdelhamid Abaaoud, le commanditaire des attentats du 13 novembre, tué dans l’assaut de Saint-Denis le 18 novembre. Il vient y déjeuner quotidiennement. Des informations passent. Aux enquêteurs de la DGSI, Nicolas rapporte qu’Abaaoud, surnommé Abou Omar, avait notamment pour mission « d’envoyer des gens partout dans le monde pour faire des actions violentes, tuer ou bien recruter des jeunes, ou pour rapporter des caméras, des produits chimiques pour des armes ». Abdelhamid Abaaoud devait par ailleurs présélectionner les « dossiers » des candidats pour de futures attaques terroristes en Europe.

« 50.000 euros » pour un terroriste en Europe. Le « cerveau » des attentats du 13 novembre avait reçu « le feu vert » pour un attentat en France ou en Belgique, indique le Journal du Dimanche. « Chaque espion touche 50.000 euros pour faire une attaque en Europe », indiquait Nicolas aux enquêteurs, qui avait rencontré plusieurs Français et Belges prêts à passer à l’acte.

Incarcéré en région parisienne. Après les attentats de Paris, Nicolas est à nouveau entendu par les agents de la DGSI. Là, il reconnaît l’un des terroristes du Bataclan, Samy Amimour, qu’il avait également connu à Raqqa, dans son restaurant. Mis en examen pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste, Nicolas est incarcéré en région parisienne, indique le JDD. Il encourt plusieurs années de prison.

 



Attentats du 22 mars : aveux du troisième homme de l’aéroport

Un « journaliste indépendant » du nom de Fayçal Cheffou avait rapidement été identifié comme étant ce troisième homme, puis relâché.

Il s’agirait en définitive de Mohamed Abrini qui est passé aux aveux et donne des explications sur les attentats.

Le premier a fait connaître sa colère contre la police depuis son retour à la liberté.

 

http://www.lepoint.fr/justice/mohamed-abrini-arrete-le-lien-entre-les-attentats-de-paris-et-bruxelles-avere-09-04-2016-2031062_2386.php

Mohamed Abrini avoue « être l’homme au chapeau »

 

Suspecté d’être le logisticien des attaques parisiennes, ce Belgo-Marocain de 31 ans est bien le troisième homme présent à l’aéroport Zaventem.

 

Source AFP

Publié le 09/04/2016 à 13:26 – Modifié le 09/04/2016 à 19:57 | Le Point.fr
This combination Picture obtained form the Belgian Federal Police shows Mohamed Abrini (30), a man sought in connection with the Paris terror attacks obtained from CCTV footage of him on November 11 at a gas station in Ressons on the highway heading to Paris. Belgium issued an international arrest warrant for Abrini who was seen driving a car with key Paris attacks suspect Salah Abdeslam two days before the atrocities. RESTRICTED TO EDITORIAL USE - MANDATORY CREDIT  " AFP PHOTO/BELGIAN FEDERAL POLICE "  -  NO MARKETING NO ADVERTISING CAMPAIGNS   -   DISTRIBUTED AS A SERVICE TO CLIENTS / AFP / Belgian Federal Police / HO
This combination Picture obtained form the Belgian Federal Police shows Mohamed Abrini (30), a man sought in connection with the Paris terror attacks obtained from CCTV footage of him on November 11 at a gas station in Ressons on the highway heading to Paris. Belgium issued an international arrest warrant for Abrini who was seen driving a car with key Paris attacks suspect Salah Abdeslam two days before the atrocities. RESTRICTED TO EDITORIAL USE – MANDATORY CREDIT  » AFP PHOTO/BELGIAN FEDERAL POLICE  » – NO MARKETING NO ADVERTISING CAMPAIGNS – DISTRIBUTED AS A SERVICE TO CLIENTS / AFP / Belgian Federal Police / HO © HO

 

Mohamed Abrini, inculpé dans le dossier des attentats de Paris, est bien le troisième homme « présent lors des attentats » à l’aéroport de Bruxelles-Zaventem le 22 mars, surnommé « l’homme au chapeau », a annoncé samedi soir le parquet fédéral belge. « Il a été confronté aux résultats de diverses expertises et a reconnu sa présence lors des faits. Il a expliqué avoir jeté sa veste dans une poubelle et revendu son chapeau ensuite », a précisé le parquet dans un bref communiqué.

Dans un premier temps, le même parquet avait affirmé qu’il n’était « pas encore possible » de se prononcer sur la présence ou non de Mohamed Abrini, un Belgo-Marocain de 31 ans, à l’aérogare le 22 mars. Jeudi, les autorités belges avait émis un nouvel avis de recherche pour tenter de retrouver ce troisième assaillant, diffusant de nouvelles images de vidéo-surveillance et un clip vidéo retraçant son parcours, de sa sortie de l’aérogare jusqu’à ce que sa trace se perde à Bruxelles environ deux heures plus tard. Selon le quotidien belge L’Echo, Mohamed Abrini aurait expliqué aux enquêteurs et au juge d’instruction qui l’ont interrogé que les commandos du 22 mars voulaient en fait retourner frapper Paris mais qu’ils ont été pris de court par l’enquête et ont décidé précipitamment de commettre les attentats de Bruxelles. Le parquet fédéral ne confirmait toutefois pas cette information, selon l’agence Belga.

Ami d’enfance des frères Abdeslam

L’homme est également un des principaux suspects du 13 novembre, et de trois autres individus pour « activités terroristes », qui met en évidence les liens étroits entre les deux tueries. Deux dossiers, Paris et Bruxelles, et une annonce commune: samedi, le parquet fédéral belge a fait part conjointement de l’inculpation de deux hommes arrêtés vendredi à Bruxelles, en deux temps, pour « assassinats terroristes » et « participation aux activités d’un groupe terroriste ». Le premier, Mohamed Abrini, était avec Salah Abdeslam l’un des principaux suspects activement recherché par toutes les polices d’Europe depuis les tueries du 13 novembre (130 morts). Il faisait l’objet d’un mandat d’arrêt européen émis par un juge français le 24 novembre.

En près de cinq mois, l’enquête a révélé les liens de Mohamed Abrini avec les attaques parisiennes: possible soutien logistique, cet ami d’enfance des frères Salah et Brahim Abdeslam à Molenbeek a été filmé en compagnie de Salah dans une station-service de l’Oise (nord de Paris) dans la voiture qui servira à convoyer les kamikazes au Stade de France deux jours plus tard. Le deuxième principal inculpé, Osama Krayem (dont l’identité complète n’est pas confirmée par le parquet), lève partiellement le mystère du dénommé Naïm Al Hayed, le nom qu’il avait emprunté lors de son enregistrement sur l’île grecque de Leros en même temps qu’un flot de réfugiés. Ses empreintes avaient été retrouvées dans le logement de la rue Max Roos.

Les enquêteurs belges ont désormais la certitude qu’il est le « deuxième homme » du métro, que l’on voit sur des caméras de surveillance s’adresser brièvement au kamikaze qui s’est fait exploser dans une station du métro de Bruxelles, Khalid El Bakroui, le 22 mars. Grâce à la vidéosurveillance, l’enquête le place également au centre commercial lors de l’achat des sacs dans lesquels ont été transportés les explosifs à l’aéroport de Bruxelles. Osama Krayem, Suédois, fils d’exilés syriens, intéresse beaucoup Paris car les enquêteurs soupçonnent Salah Abdeslam d’être allé le chercher, ainsi que le dénommé Amine Choukri, à Ulm (Allemagne), le 3 octobre quand ils sont, très probablement, rentrés de Syrie.

Hommage à Maelbeck

Décrit dans les médias suédois comme un délinquant oscillant entre religion et consommation de stupéfiants, avant de prendre le chemin du jihad en Syrie, Osama Krayem a grandi dans un quartier populaire de Malmö (sud). En janvier 2015, il pose sur Facebook en tenue de combat, une kalachnikov à la main, drapeau de l’organisation État islamique en arrière-plan, puis disparaît jusqu’à ce que sa trace soit retrouvée à l’automne. Signe des liens qui unissent les différents protagonistes, la justice belge a inculpé deux hommes pour « complicité d’assassinats terroristes », soupçonnés « d’avoir aidé Mohamed Abrini et Osama Krayem ». Hervé B. M., un Rwandais de 25 ans, a été arrêté en même temps qu’Osama K., et Bilal E. M., 27 ans, a été interpellé dans la commune de Laeken vendredi soir.

Selon la télévision flamande VRT, ce dernier est un Bruxellois condamné en 2014 lors du procès du groupuscule islamiste Sharia4Belgium à Anvers (nord). Les arrestations ont été suivies de plusieurs opérations de police: à Anderlecht, au lieu de résidence possible de Mohamed Abrini, et dans les logements de Hervé B. M. et Bilal E. M. Ni arme ni explosif n’ont été découverts, indique le parquet, sans plus de précisions. Presque trois semaines après les attaques bruxelloises, la Belgique poursuivait les hommages. Une centaine de personnes se sont rassemblées samedi devant la station de métro Maelbeek à l’appel d’associations musulmanes. « La radicalisation et l’extrémisme sont aux antipodes de notre croyance », a expliqué un porte-parole, ajoutant que les autorités religieuses se tenaient au service du politique pour la mise en place d’une « vraie politique de lutte contre le radicalisme ».

 

http://www.lepoint.fr/justice/attentats-de-bruxelles-faycal-cheffou-j-etais-le-coupable-ideal-05-04-2016-2030218_2386.php

Attentats de Bruxelles – Fayçal Cheffou : « J’étais le coupable idéal »

 

Les enquêteurs le soupçonnaient d’être « l’homme au chapeau » sur la photo de vidéosurveillance de l’aéroport. Libéré, il en veut aujourd’hui à la police belge.

 

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Publié le 05/04/2016 à 17:46 | Le Point.fr
Fayçal Cheffou dans un de ses reportages devant un centre de rétention d'immigrants illégaux. Arrêté le jeudi 24 mars, il ne sera relâché que le lundi soir.
Fayçal Cheffou dans un de ses reportages devant un centre de rétention d’immigrants illégaux. Arrêté le jeudi 24 mars, il ne sera relâché que le lundi soir. © AFP PHOTO/YOUTUBE

 

Juste après les attentats qui ont frappé l’aéroport de Zaventem à Bruxelles, les enquêteurs le soupçonnaient d’être l’homme au chapeau figurant sur la photo à quelques mètres de deux kamikazes. Arrêté puis emprisonné pendant quatre jours, l’homme estime qu’il était « le coupable idéal » et se dit « en colère ».

LIRE aussi Attentats de Bruxelles : à la poursuite de l’« homme au chapeau »

« Je ne peux plus sortir. Toute cette affaire a ruiné ma vie », raconte Fayçal Cheffou au journal belge  La Dernière Heure. Trois jours après les attentats, il est arrêté par la police. « Ils croyaient que j’étais présent lors de l’attaque à Zaventem. J’ai immédiatement dit à la police que je ne pouvais pas être là à ce moment-là pour la simple raison que j’étais chez moi » tout en estimant que la police pouvait « très bien vérifier cela » et qu’il avait « des preuves ».

« J’ai aussi reçu des coups »

« Personne ne m’écoutait », raconte Fayçal Cheffou pour qui les autorités belges ont fait « comme » s’ils avaient « le bon » afin « d’apaiser la population » qui était « inquiète après ces horribles attentats ». C’était « la priorité de l’État (belge, NDLR) », ajoute-t-il.

Dans son témoignage au journal, Fayçal Cheffou en veut à la police : « La police belge travaille sur ce dossier en collaboration avec des collègues français et marocains. Ces derniers n’ont pas vraiment une manière amicale d’interroger. Au poste de police, ils m’ont complètement déshabillé. J’ai aussi reçu des coups. »

Participation aux activités d’un groupe terroriste

L’homme n’était pourtant pas méconnu de la justice. « Je savais que la sûreté de l’État me suivait parce que j’avais prétendument recruté des personnes du parc Maximilien pour intégrer des organisations extrémistes », reconnaît-il. Aujourd’hui libéré, Fayçal Cheffou reste malgré tout inculpé pour sa participation aux activités d’un groupe terroriste. Seule la Chambre du conseil sera à même de décider de sa culpabilité dans ce dossier.

De son côté, il assure vouloir repartir du bon pied. Autoproclamé journaliste, il dit avoir « des contacts avec CNN et ABC » et se donne un seul objectif : « Je veux que les gens connaissent la vérité. »



Love Rintintin !

 

 

http://www.lenouvelliste.ch/articles/monde/lucca-le-berger-allemand-heros-de-l-armee-americaine-recoit-la-plus-haute-distinction-militaire-521184

 07.04.2016, 11:46  

Lucca, le berger allemand héros de l’armée américaine, reçoit la plus haute distinction militaire

 

Love Rintintin ! dans Crime asset-version-2143515895-273773785

Le sergent Christopher Willingham s’est rendu mardi à Londres avec Lucca pour recevoir sa médaille. KEYSTONE

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Héros – A la retraite depuis 2012, Lucca, un berger allemand de 12 ans a reçu mercredi la plus haute récompense de l’armée américaine pour un animal: la médaille Dickin, l’équivalent de la Victoria Cross pour les humains, celle qui récompense les héros de guerre. Il y a quatre ans, il a perdu sa patte avant droite dans l’explosion d’une bombe en Afghanistan.

Son histoire avait ému la planète en 2012. Le 23 mars de cette année, Lucca, un berger allemand renifleur de bombes du corps des Marines de l’armée américaine, perdait sa patte avant droite dans l’explosion d’un engin artisanal en Afghanistan. Le chien venait de sauver la vie de dizaines de soldats en découvrant 13,6 kilos d’explosifs dissimulés dans un champ, rappelle la BBC.

Egalement gravement brûlé, il sera opéré en urgence et sera sauvé.

Mardi, il a été décoré à Londres de la plus haute distinction militaire pour un animal, rapporte le MarineCorpsTimes, la médaille Dickin, l’équivalent de la Victoria Cross pour les humains, celle qui récompense les héros de guerre.

 

 

En 6 ans, Lucca a effectué 400 missions pour l’armée américaine, en Irak et en Afghanistan. Aucun soldat n’a jamais perdu la vie en sa compagnie. Il vit aujourd’hui une retraite paisible en Californie, chez le sergent d’artillerie Chris Willingham.

La médaille Dickin est décernée depuis 1943 par une association de protection britannique, la PDSA, qui a déjà décoré 31 chiens, 32 pigeons de la Deuxième guerre mondiale, trois chevaux et un chat.



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