Encore un beau succès pour un de mes articles !

Cette fois, c’est celui d’hier concernant la bande de cyberdélinquants du psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi, comme le montrent mes statistiques du jour pour Satanistique.

La liste des dix articles les plus lus sur ce blog pour la période du 22 mai 2016 à 15h00 au 23 mai 2016 à 14h00 montre en effet que celui-là surpasse tous les autres :

 

Articles

Pages

Entrée Pages vues
1
1
1
1

 

Pour ceux qui éventuellement s’interrogent sur l’identité des violeurs pris en flagrant délit de piratage de mes messageries électroniques en 2011, ce qu’ils faisaient déjà depuis au moins trois ans et ont toujours continué par la suite, je propose cette pièce à conviction dont les contenus ont été authentifiés par les intéressés après sa première publication fin juin 2011 (cliquer sur l’image pour l’agrandir et lire le texte) :

 

Pirates

 

Les trois violeurs qui se sont encore fait prendre hier sont Monique-Aline Klaus de Grenoble, Georges Cortez de Phang Nga en Thaïlande, et Laurent Morillon de Montluçon.

Vu ce qu’ils font avec mon identité et ma vie privée, aucun d’entre eux ne pourra me tenir grief de « révéler » leurs identités au public, d’autant qu’elles ont déjà été publiées sur les blogs de leur complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi depuis fort longtemps.

Quant à leur complice Josette Brenterch du NPA de Brest, il va de soi qu’elle apprécie peu de me voir étaler à la vue du public des preuves de sa culpabilité, en l’occurrence au sujet de dénonciations calomnieuses qu’elle a effectivement commises à mon encontre à de nombreuses reprises.

C’est en effet bien elle qui la première avait révélé au public son patronyme sur le blog Tique Toc du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi, le 1er août 2010, avec ce commentaire :

 

2012-01-20_184805

 

Dans ces conditions, elle s’est bien rendue coupable de dénonciations calomnieuses à répétition à mon encontre lorsqu’à compter du 19 août 2011 elle s’est plainte, et ce à plusieurs reprises, que j’aurais « révélé » son identité au public sur mon ancien blog « Un petit coucou » chez OverBlog, où je ne l’avais effectivement « révélée » qu’à compter de la fin août 2010.

On notera au passage qu’elle avait passé sa « semaine au vert » du mois de juillet 2010 en « Suisse normande », dans sa région natale, comme elle l’a fait publier le 5 mars dernier sur le blog de son ami Pascal Edouard Cyprien Luraghi : elle est née le 23 février 1952 à Aunay-sur-Odon, dans le Calvados, où elle a dû vivre un temps et a probablement conservé quelques attaches.

Or, la « déconnologue » Sylvie Depierre, plus connue sous le pseudonyme de « félicité-mafoi », et identifiée en 2011 comme la violeuse qui communiquait alors audit Pascal Edouard Cyprien Luraghi et à ses complices tous mes échanges de courriers électroniques piratés, réside pour sa part à Saint-Lambert, dans le Calvados, une commune qui ne se trouve qu’à quelques kilomètres d’Aunay-sur-Odon :

 

2013-08-06_213609

 

Rappelons qu’elle fait partie des militants ou sympathisants de la LCR devenue NPA en février 2009 qui en 2008 s’étaient présentés avec succès aux élections municipales.

Elle n’a pas remis ça en 2014.



Attentats du 13 novembre : des familles de victimes vont porter plainte contre l’Etat belge

Bien, très bien. Viendront ensuite, tout naturellement, la France et le Maroc.

Et les magistrats du TGI de Brest.

 

http://www.rtl.fr/actu/societe-faits-divers/attentats-a-paris-des-proches-des-victimes-du-13-novembre-portent-plainte-contre-la-belgique-7783344872

Attentats à Paris : des proches des victimes du 13 novembre portent plainte contre la Belgique

 

INFO RTL – Sur la base d’un rapport de la police des polices belge, des familles des victimes des fusillades accusent l’État belge de ne pas avoir pris les mesures nécessaires pour éviter les attaques.

 

La page de l’émission : RTL Matin
Le Bataclan à Paris après les attentats du 13 novembre 2015
Crédit : JACQUES DEMARTHON / AFP

Le Bataclan à Paris après les attentats du 13 novembre 2015

par Nicolas Burnens publié le 23/05/2016 à 07:50

 

Dix-sept familles de victimes des attentats du 13 novembre à Paris vont déposer plainte devant les tribunaux belges. Elles accusent l’État belge de ne pas avoir pris les mesures nécessaires pour éviter les fusillades qui ont frappé l’est de Paris et Saint-Denis le soir du 13 novembre 2015, provoquant 130 morts et plus de 400 blessés. Les familles des victimes reprochent à la Belgique des défaillances dans la surveillance des frères Brahim – l’un des kamikazes à Paris – et Salah Abdeslam – seul survivant des commandos - alors que les services de renseignement belges disposaient d’informations qui auraient dû les mettre en alerte. Ces accusations reposent sur les conclusions d’un rapport confidentiel réalisé par le comité P, la police des polices belge, que RTL a pu consulter.

Un rapport accablant pour les autorités belges

Le rapport met en lumière une série de manquements qui ont permis à Salah Abdeslam et son frère d’échapper à la surveillance dont ils auraient dû faire l’objet. Début février 2015 par exemple, un informateur livre des éléments cruciaux sur Salah Abdeslam à la police locale, affirmant qu’il serait en contact avec Abdelhamid Abbaoud, le futur commanditaire des attentats de Paris, et prêt à se rendre en Syrie. Un avis de recherche urgent est lancé contre le Belge, sans résultat. C’est finalement Salah Abdeslam lui-même qui se rend au commissariat de Molenbeek pour être entendu. Il affirme alors qu’Abbaoud est une vieille connaissance et est relâché.

Son téléphone est saisi, mais sa téléphonie ne sera analysée qu’après le 13 novembre. Le parquet fédéral a bien été saisi, mais faute de moyens, le dossier est gelé puis mis en attente. En juin 2015, il est classé sans suite. Seule une surveillance discrète est maintenue. Dès lors, plus aucune information ne sera transmise à la justice. Il y a pourtant des alertes. Le voyage de Salah Abdeslam en Grèce, son aller-retour en Autriche pour récupérer des jihadistes et ce drapeau de l’État islamique arboré fièrement sur sa page Facebook, trois semaines seulement avant les attaques de Paris. Il est déjà trop tard, le terroriste a disparu des radars.

Nous allons demander la condamnation de l’État belge pour que plus jamais de tels dysfonctionnements ne puissent se répéter

Samia Maktouf, avocate de la famille des victimes

« Malgré des alertes lancées par les différentes surveillances de personnes susceptibles de passer à des actions armées, il n’y a jamais eu de judiciarisation de ces personnes dont on avait la certitude qu’ils étaient radicalisés », regrette l’avocate des familles des victimes, Samia Maktouf. « Le résultat, on le connaît : c’est le décès de plusieurs personnes innocentes. Nous allons demander la condamnation de l’État belge pour que plus jamais de tels dysfonctionnements ne puissent se répéter ».

La rédaction vous recommande
Attentats du 13 novembre : des familles de victimes vont porter plainte contre l'Etat belge dans Attentats avatar

par Nicolas BurnensJournaliste RTL

 

http://www.rtl.be/info/belgique/faits-divers/attentats-a-paris-la-nature-des-plaintes-francaises-contre-la-belgique-reste-actuellement-indeterminee-820599.aspx

Attentats à Paris – La nature des plaintes françaises contre la Belgique reste actuellement indéterminée

 

Agence Belga , publié le 23 mai 2016 à 10h46   |  31  |
Attentats à Paris - La nature des plaintes françaises contre la Belgique reste actuellement indéterminée

 

(Belga) Me Samia Maktouf, l’avocate de 17 familles de victimes des attentats à Paris, a confirmé lundi à l’agence Belga son intention de déposer plainte contre l’Etat belge devant une juridiction belge pour le compte de ses clients qui accusent la Belgique de ne pas avoir pris les mesures nécessaires pour éviter les attaques du 13 novembre 2015. La nature exacte et la date de la future plainte ainsi que le type de juridiction qui sera saisi restent toutefois à ce stade indéterminés. L’avocate française consulte actuellement des confrères belges pour finaliser l’action judiciaire des familles des victimes.

La future plainte reposera sur des éléments révélés par le deuxième rapport intermédiaire du Comité P, chargé du contrôle du fonctionnement global des services de police en Belgique. Me Samia Maktouf affirme avoir consulté personnellement ce rapport confidentiel et considère qu’il révèle des « dysfonctionnements graves » dans le chef de l’Etat belge. « Les familles des victimes savaient qu’il y avait eu des dysfonctionnement mais pas d’une telle gravité », a déclaré Me Samia Maktouf, à l’agence Belga. Selon des médias, le deuxième rapport intermédiaire du Comité P révèle notamment qu’un PV de la police de la zone de Bruxelles-Ouest datant du 30 janvier 2015 (soit après l’assaut policier du 15 janvier 2015 à Verviers) fait état de la volonté de Salah Abdeslam de partir en Syrie et précise que ses valises sont déjà prêtes. Selon ce procès-verbal, Salah Abdeslam a parlé à cette époque à plusieurs reprises à Abdelhamid Abaaoud (alors activement recherché et considéré comme le chef présumé de la cellule terroriste de Verviers, ndlr). Un autre PV, datant du 9 février, évoque, lui, un récent aller-retour de Brahim Abdeslam vers la Syrie. Les familles des victimes reprochent à la Belgique des défaillances dans la surveillance des frères Brahim et Salah Abdeslam, alors que les services de renseignement disposaient d’informations qui auraient dû les mettre en alerte. Ce deuxième rapport du Comité P indique par ailleurs qu’Abdelhamid Abaaoud a échappé à quatre services secrets (israéliens, américains, britanniques et chypriotes) appelés en renfort, alors qu’il se trouvait en Grèce. Selon des médias, la traque d’Abdelhamid Abaaoud a mobilisé les services secrets d’une dizaine de pays européens, dont la France. Me Samia Maktouf dit n’exclure aucune plainte contre l’Etat français, ajoutant qu’elle attendait le rapport de la Commission parlementaire française. « Je n’exonère aucun Etat (…). J’espère que les éléments du rapport (français) seront aussi clairs et précis (que celui du Comité P). Les familles des victimes vont aller jusqu’au bout », conclut-elle. Me Samia Maktouf avait déposé en mars dernier une requête devant la Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH) visant la Belgique, dénonçant de « graves dysfonctionnements », pour le compte de parents d’un jeune avocat de 26 ans tué lors de l’attaque de la salle de concerts du Bataclan le 13 novembre dernier. (Belga)

 

http://www.liberation.fr/france/2016/05/23/stups-un-trafic-d-etat-le-point-sur-les-revelations-de-liberation_1454510

Stups, un trafic d’Etat : le point sur les révélations de «Libération»

 

Par LIBERATION — 23 mai 2016 à 11:17

Le patron de l’Office central de répression du trafic illicite de stupéfiants (Ocrtis) François Thierry, le 14 décembre 2012 à Nanterre près de Paris Photo Patrick Kovarik. AFP

Selon une enquête de «Libération», François Thierry, l’ancien patron de la lutte antidrogue, a facilité l’importation en France de plusieurs dizaines de tonnes de cannabis.

  • Stups, un trafic d’Etat : le point sur les révélations de «Libération»

Libération révèle dans son édition de lundi le rôle central de François Thierry, ancien numéro 1 de la lutte antidrogue, dans l’importation en France de plusieurs dizaines de tonnes de cannabis en lien avec un des plus gros trafiquants européens. Un système d’une ampleur inédite qui s’apparente à un trafic d’Etat.

Qui est François Thierry, l’homme soupçonné d’être au cœur d’un trafic de drogue ? 

Passé par le Service interministériel d’assistance technique (SIAT), chargé notamment de la gestion des «zombies», ces agents infiltrés dont seule une poignée de pontes connaissent l’existence, François Thierry devient le visage de la lutte antidrogue en 2010. Il prend alors la tête de l’Office central pour la répression du trafic illicite de stupéfiants (Ocrtis) et prend l’habitude de poser devant de belles saisies, aux côtés de plusieurs ministres de l’Intérieur successifs : Claude Guéant, puis Manuel Valls et Bernard Cazeneuve.

A lire aussiFrançois Thierry : tuyaux, «tontons» et tonnes de shit

De quoi est-il soupçonné ? 

D’avoir laissé entrer en France plusieurs dizaines de tonnes de cannabis au cours des dernières années, avec la complicité d’un des plus gros trafiquants européens, recruté par ses soins. Un système bien rodé qui a déraillé le 17 octobre à Paris, lors d’une saisie de cannabis par les douanes. Celle-ci permet en effet de remonter jusqu’à un certain Sofiane H., l’un des plus gros importateurs de cannabis en France mais aussi indic de l’Octris. Arrêté en 2009 en Espagne et condamné à treize ans de prison en 2011, il est recruté par François Thierry lui-même et est finalement libéré après trois ans seulement de détention. Dès lors, il va commencer à importer chaque mois des tonnes de cannabis en «livraison surveillée», une technique d’enquête qui permet de laisser passer de la drogue pour démanteler des réseaux de revendeurs à l’arrivée. Ainsi, sous la protection de François Thierry, il a pu poursuivre ses activités sans jamais être inquiété.

A lire aussiStups : révélations sur un trafic d’Etat

Qui est le témoin interrogé par Libération ?

Stéphane V., avec lequel Libération a pu s’entretenir, se présente comme un «infiltré», même s’il n’est pas lui même policier. Informateur au Bureau central des sources en 2007, il rencontre François Thierry qui dirige alors le Service d’information et d’assistance technique et devient son agent traitant. De nombreux documents officiels prouvent qu’il a travaillé en sous-main pour l’Etat français, mais aussi pour le Département américain de la justice et la Drug Enforcement Administration (DEA). Dans le cadre de l’affaire François Thierry, il a été longuement entendu par l’Inspection générale de la police nationale (IGPN), la police des polices.

A lire aussiLe témoignage de Stéphane V. sur les méthodes sans scrupules des Stups

Qu’a-t-il raconté ?

Lors de ses entretiens avec Libération, il a raconté avoir, à la demande de François Thierry, gardé une villa à Estepona, au sud de Marbella, sur la costa del Sol, entre mars et avril 2012. «Pendant vingt jours, cinq hommes se sont relayés pour charger et décharger des paquets de drogue sur la plage. François Thierry me les a présentés comme des policiers français. J’en avais déjà vu certains à l’OCRTIS», raconte le témoin. Au cours de ce séjour, il dit avoir vu transiter 19 tonnes de cannabis, en provenance du Maroc. La drogue remontait ensuite vers la France par «go-fast». Seule une partie des voitures était interceptée, permettant aux autres d’inonder le marché.

Selon lui, il s’agit d’un trafic organisé «au plus haut niveau, au motif de démanteler des réseaux». S’il affirme ignorer qui était au courant de ces méthodes, il estime qu’il y a eu «soit des complicités, soit une absence totale de contrôle».

LIBERATION



12

Le Club des Jeunes |
Collectif citoyen de Monfla... |
JCM Consultant |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | Hug Lo
| Reelnew
| coachingmeteo