Deux nouveaux messages de mon spammeur fou !

Sur deux adresses de messagerie différentes !

 

- Le premier à 6h40, ce jour, mardi 24 mai 2016, soit au même moment où le « déconnologue » Philippe Dulauroy, dit Dulconte, un ancien informaticien possiblement pirate lui aussi, et qui réside à Buenos Aires, lançait son analyse de Satanistique.

On notera au passage que ce vieil ami du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi a depuis longtemps fait retirer son nom en signature des blogs orduriers du délinquant.

Ce premier message s’inscrit dans la continuité de toute la série que j’ai récemment publiée.

Le voici précédé d’un extrait de son code source :

 

X-Originating-IP: [98.139.213.138]

DKIM-Signature: v=1; a=rsa-sha256; c=relaxed/relaxed; d=yahoo.com; s=s2048; t=1464064850; bh=r9mMWggKQ6XLV4ahOGOMxWpyDBB5sDuQv9kXks6yeOs=; h=Date:From:Reply-To:Subject:References:From:Subject; 
Received: from [66.196.81.174] by nm18.bullet.mail.bf1.yahoo.com with NNFMP; 24 May 2016 04:40:50 -0000
Received: from [98.139.212.202] by tm20.bullet.mail.bf1.yahoo.com with NNFMP; 24 May 2016 04:40:50 -0000
Received: from [127.0.0.1] by omp1011.mail.bf1.yahoo.com with NNFMP; 24 May 2016 04:40:50 -0000
X-Yahoo-Newman-Id: 395452.66117.bm@omp1011.mail.bf1.yahoo.com

Received: from jws10630.mail.bf1.yahoo.com by sendmailws112.mail.bf1.yahoo.com; Tue, 24 May 2016 04:40:49 +0000; 1464064849.891
Date: Tue, 24 May 2016 04:40:49 +0000 (UTC)
From: Patience Tanoh <isifouconstance@yahoo.com>
Reply-To: Patience Tanoh <patienceta@hotmail.com>

Subject: I want to be your Friend
MIME-Version: 1.0
Content-Type: multipart/mixed; 
	boundary="----=_Part_1614669_647729801.1464064849328"

------=_Part_1614669_647729801.1464064849328
Content-Type: text/plain; charset=UTF-8
Content-Transfer-Encoding: 7bit

Hello dear friend ..
I am seeking for friend to share views about life .There is an important
 issue i will like to discuss with you .Please Write me back through
 my email a{  patienceta@hotmail.com  }for more explanation and to
 send you my photos.
------=_Part_1614669_647729801.1464064849328
Content-Type: image/jpeg
Content-Transfer-Encoding: base64
Content-Disposition: attachment; 
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Content-ID: <7GYeBkgjegBoQnFPXicj>

 

Hello dear friend ..
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13095878_10157072869360354_1856187076533218814_n.jpg

 

 

Provenances identifiables :

 

IP-Adresse: 66.196.81.174
Provider: Inktomi Corporation
Organisation: Yahoo!
Region: Sunnyvale (US)

 

 

 

 

IP-Adresse: 98.139.212.202
Provider: Yahoo!
Region: Whittier (US)

 

 

 

 

IP-Adresse: 98.139.213.138
Provider: Yahoo!
Region: Sunnyvale (US)

 

 

 

 

- Le second à 8h25, ce jour, mardi 24 mai 2016.

Celui-là s’inscrit dans la série qui a repris hier.

Le voici en code source :

 

From - Tue May 24 12:06:38 2016

Return-Path: <>
X-Original-To:
Delivered-To: 
X-Greylist: delayed 304 seconds by postgrey-1.31 at bender; Tue, 24 May 2016 08:25:55 CEST
Received: from 103.225.180.254 (unknown [103.225.180.254])

Received: from unknown (HELO localhost) (chad.gentry@caribenet.com@121.160.54.58)
	by 103.225.180.254 with ESMTPA; Tue, 24 May 2016 11:49:52 +0530
From: chad.gentry@caribenet.com
To: 
Subject: Thanks for your email today

Date: Tue, 24 May 2016 08:25:54 +0200 (CEST)

Another Great Profit Opportunity. This company is waiting for the next move 
up!!!

Sym: GRYN
Trading Date: May, 24, 2016
It is now: 0.086
Target Price: $0.70
Name: Green Hygienics Holdings, Inc

Ticker Bombs vs. Cooler Heads. Update on portfolio.

 

 

Provenance identifiable :

 

IP-Adresse: 121.160.54.58
Provider: Korea Telecom
Speedtest: Hier prüfen!

 

 

 

Pays : Corée du Sud



Un nouveau lecteur qui me veut du bien !

Il se trouve en Argentine et passe à la moulinette deux de mes blogs, Petitcoucou et Satanistique.

Qui cela peut-il bien être ?

 

Visitor Analysis & System Spec
URL d’origine :
Host Name: host221.181-1-84.telecom.net.ar Navigateur : Chrome 36.0
Adresse IP : 181.1.84.221 — [Assigner un nom à une adresse IP] Système d’exploitation : Win7
Emplacement : Tucuman, Argentina Résolution : 1366×768
Visites récurrentes : 0 Javascript : Enabled
Durée de la visite : Non applicable FAI : Telecom Argentina S.a.

 

Navigation Path

Date Heure Page web
24 May 06:39:01

 



Retour de mon spammeur fou à ses premières amours

Comme le montrent les courriers électroniques qu’adressait en 2011 la violeuse Sylvie Depierre à ses complices « déconnologues » de la bande du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi à propos de tous mes courriers électroniques piratés qu’elle leur renvoyait, je lui donnais bien du travail en utilisant plusieurs messageries.

Est-ce un effet de mes articles d’hier ?

Je viens de recevoir un message de mon spammeur fou sur la toute première adresse de courrier électronique où il s’est plu à m’envoyer très régulièrement de ses saletés… à compter de 2007 !

J’en avais reçu sur cette adresse jusqu’à 763 en 2013 (un record), et depuis quelques mois, je n’en avais plus aucun.

Or, donc, voilà que je viens d’y recevoir le tout premier de l’année 2016, aujourd’hui, lundi 23 mai, à 13h58.

Il est assez bref, le voici en code source, sans mon adresse, bien entendu :

 

From - Mon May 23 23:07:29 2016

Return-Path: <>
X-Original-To: 
Delivered-To: 
X-Greylist: delayed 307 seconds by postgrey-1.31 at bender; Mon, 23 May 2016 14:08:18 CEST
Received: from 42.113.218.139 (unknown [103.234.89.104])

Received: from unknown (HELO localhost) (ret4thk3fzezo9cruxy7o4f@rdpiper.co.uk@75.111.171.43)
	by 42.113.218.139 with ESMTPA; Mon, 23 May 2016 19:07:22 +0700
X-Originating-IP: 75.111.171.43
From: ret4thk3fzezo9cruxy7o4f@rdpiper.co.uk
To: 
Subject: Do you want to satisfy your lady tonight?
Date: Mon, 23 May 2016 18:58:57 +0700

http://turbulence.xn--d1acmckk9aae7k.xn--p1ai/ Ways to give her delight

 

 

Provenances identifiables :

 

IP-Adresse: 42.113.218.139
Provider: FPT Telecom Company
Region: Hanoi (VN)






Geo adresse IP bis



IP-Adresse: 75.111.171.43
Provider: Suddenlink Communications
Region: Lubbock (US)






Geo adresse IP

 

 



Attentats de janvier 2015 : la gendarme trop proche des terroristes a été condamnée

J’avais déjà évoqué son cas sur ce blog jusqu’à sa révocation de la gendarmerie au mois de septembre dernier.

Elle a depuis été condamnée à un an de prison avec sursis assorti d’une mise à l’épreuve pour avoir consulté des fichiers de la police.

Un de ses collègues gendarmes, reconnu complice, a été condamné à quatre mois de prison avec sursis.

Par ailleurs, le bon ami policier du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi n’est toujours pas poursuivi pour les bons tuyaux et excellents conseils qu’il lui fournit à mon sujet depuis le début de toutes ses attaques démentielles à mon encontre.

Son ami gendarme à la retraite non plus.

L’un d’eux, à moins que ce ne soit l’un de ses bons amis brestois, lui conseille d’inventer n’importe quoi pour me calomnier comme le fait aussi sa complice Josette Brenterch du NPA de Brest à chacune de ses plaintes ou auditions.

Ainsi avait-il l’an dernier notamment porté plainte contre moi pour harcèlement téléphonique alors que je ne l’ai jamais appelé depuis le début de ses harcèlements à mon encontre, il y a maintenant huit ans, pas plus que je ne lui ai envoyé de courriers électroniques privés ou ne lui ai laissé de commentaires sur ses blogs orduriers : rien, pas un mot en huit ans. Cela ne l’a pas empêché de porter plainte contre moi pour harcèlements…

Après tout, entre 2011 et 2013, sa complice Josette Brenterch du NPA de Brest avait bien réussi à me faire poursuivre et condamner à Brest pour des infractions que je n’avais pas davantage commises, alors qu’elle-même s’était bien rendue coupable de multiples infractions de même nature à mon encontre.

A quelques mois du réexamen de cette affaire par la Cour d’Appel de Rennes, le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi avait cru pouvoir en faire autant. Mais cela n’a pas marché…

 

http://www.20minutes.fr/societe/1771659-20160122-gendarme-compagne-proche-coulibaly-condamnee-avoir-consulte-fichiers-police

Une gendarme et compagne d’un proche de Coulibaly condamnée pour avoir consulté des fichiers de la police

 

JUSTICE Elle a été reconnue coupable d’avoir illégalement consulté des fichiers comme celui du traitement des antécédents judiciaires ou des personnes recherchées…

Des policiers devant l'Hyper Cacher de la porte de Vincennes, le 9 janvier 2015.

Des policiers devant l’Hyper Cacher de la porte de Vincennes, le 9 janvier 2015. – Francois Mori/AP/SIPA

20 Minutes avec AFP

    • Publié le 22.01.2016 à 18:35
    • Mis à jour le 22.01.2016 à 22:55

 

Elle avait utilisé le mot de passe d’un collègue pour consulter des fichiers policiers. Une gendarme de 35 ans, révoquée, compagne d’un proche d’Amédy Coulibaly, a été condamnée jeudi à un an de prison avec sursis, assorti d’une mise à l’épreuve, a-t-on appris ce vendredi de sources judiciaires. Le tribunal correctionnel de Paris, en charge des affaires militaires, a déclaré l’ancienne adjudante coupable de détournement de données à caractère personnel et violation de consignes.

>> A lire aussi : L’intrigante relation amoureuse entre un proche d’Amédy Coulibaly et une sous-officier du renseignement

Une soixantaine de consultations illégales

Lui sont reprochées plus de soixante consultations de fichiers comme celui du traitement des antécédents judiciaires, ou des personnes recherchées (FPR), alors qu’elle était en poste au Centre national de formation au renseignement opérationnel (CNFRO) de la gendarmerie à Rosny-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Elle avait pour ce faire utilisé le mot de passe d’un autre gendarme, qui a quant à lui été condamné à quatre mois de prison avec sursis.

La gendarme avait notamment consulté des fichiers relatifs à la situation de son compagnon, considéré comme un proche d’Amédy Coulibaly, l’auteur de la prise d’otages de l’Hyper Cacher à Paris, qui a tué quatre clients du magasin le 9 janvier 2015, et une policière municipale la veille.

Lettres apportées à son compagnon en prison

En mars 2015, elle avait été placée en garde à vue, dans le cadre de l’enquête sur les attentats de Charlie Hebdo et de l’Hyper Cacher, en même temps que son compagnon. Ce dernier, soupçonné d’avoir apporté un soutien logistique à Amédy Coulibaly a été mis en examen et placé en détention provisoire. Son téléphone avait « borné » près du preneur d’otages au moment des faits, ainsi que l’avait révélé Le Canard enchaîné. Le journal avait aussi révélé que cet homme avait pu entrer dans la caserne de Rosny et que sa compagne gendarme s’était convertie à l’islam il y a quelques années. La gendarme avait quant à elle été remise en liberté.

Soupçonnée d’avoir apporté, notamment, des lettres à son ami qui était écroué depuis la fin janvier 2015 pour des affaires de trafics d’armes et de stupéfiants, elle a été révoquée en septembre 2015 de la gendarmerie.

 

http://www.leparisien.fr/faits-divers/la-gendarme-qui-avait-consulte-des-fichiers-pour-un-proche-de-coulibaly-condamnee-22-01-2016-5476461.php

Elle avait consulté des fichiers pour un proche de Coulibaly : la gendarme condamnée

 

22 Janv. 2016, 20h14 | MAJ : 23 Janv. 2016, 06h49

Boulevard Théophile Sueur, Rosny-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Amar, le compagnon du sous-officier condamnée, pouvait entrer facilement dans la caserne de la gendarmerie nationale.

Boulevard Théophile Sueur, Rosny-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Amar, le compagnon du sous-officier condamnée, pouvait entrer facilement dans la caserne de la gendarmerie nationale. (Google Street View.)

 

Une gendarme de 35 ans, révoquée, compagne d’un proche d’Amédy Coulibaly, a été condamnée ce jeudi à un an de prison avec sursis, assorti d’une mise à l’épreuve, pour avoir illégalement consulté des fichiers.

 

Le tribunal correctionnel de Paris chargé des affaires militaires a déclaré Emmanuelle, ancienne adjudante, coupable de détournement de données à caractère personnel et violation de consignes.

Une soixantaine de consultations de fichiers comme celui du traitement des antécédents judiciaires, ou des personnes recherchées (FPR), alors qu’elle était en poste au Centre national de formation au renseignement opérationnel (CNFRO) de la gendarmerie à Rosny-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), lui sont reprochés.

Ces consultations portaient notamment sur la situation de son compagnon, Amar. Elle aurait utilisé pour ce faire le mot de passe d’un autre gendarme, qui a quant à lui été condamné à quatre mois de prison avec sursis. Elle avait été placée en garde à vue dans cette affaire en décembre dernier, puis convoquée devant le tribunal.

Révoquée en septembre de la gendarmerie

Avant cela, en mars, elle avait été placée en garde à vue dans le cadre de l’enquête sur les attentats de Charlie Hebdo et de l’Hyper Cacher, en même temps que son compagnon. Ce dernier, soupçonné d’avoir apporté un soutien logistique à Amédy Coulibaly a été mis en examen et placé en détention provisoire, elle avait été remise en liberté.

Son compagnon est considéré comme proche d’Amédy Coulibaly, son téléphone avait «borné» près du preneur d’otages au moment des faits, ainsi que l’avait révélé Le Canard enchaîné. Le journal avait aussi révélé que cet homme avait pu entrer dans la caserne de Rosny et que sa compagne gendarme s’était convertie à l’islam il y a quelques années. «Il n’est jamais rentré dans la zone technique. C’est très strict, il faut un badge. Il venait me voir dans la zone famille, là où j’habite», avait précisé Emmanuelle devant les journalistes de «7 à 8», émission diffusée sur TF1, en février 2015.

Soupçonnée d’avoir apporté, notamment, des lettres à son ami qui était écroué depuis la fin janvier pour des affaires de trafics d’armes et de stupéfiants, elle a été révoquée en septembre dernier de la gendarmerie.

Le 8 janvier, Amédy Coulibaly a tué une policière et blessé un agent municipal à Montrouge (Hauts-de-Seine), au sud de Paris, avant de prendre en otages, le lendemain, les clients et employés d’un supermarché casher de Paris. Il a tué quatre d’entre eux, tous juifs et a été abattu dans l’assaut donné par la police.

Attentats de janvier 2015 : la gendarme trop proche des terroristes a été condamnée dans Attentats je-suis-charlie

Sur le même sujet

 

 

http://www.leparisien.fr/espace-premium/actu/la-chute-d-emmanuelle-une-gendarme-amoureuse-30-09-2015-5138937.php

La chute d’Emmanuelle, une gendarme amoureuse

 

Emmanuelle C. a été révoquée pour avoir manqué à ses fonctions et consulté un fichier sans autorisation. Elle était l’amante d’un proche du tueur de l’Hyper Cacher.

 

Le Parisien | 30 Sept. 2015, 07h00

Inconsciente, maladroite, amoureuse imprudente ? Suspendue depuis le 5 février, Emmanuelle C., la gendarme qui entretenait une relation sentimentale avec un proche d’Amedy Coulibaly, le terroriste d’Hyper Cacher, a été radiée le 21 septembre de la fonction publique militaire, comme l’a révélé RTL mardi.

Sa hiérarchie lui reprochait des « dérives de comportement » et des « manquements » autour de sa liaison avec Amar Ramdani, mis en examen pour sa proximité suspecte et ses contacts téléphoniques fréquents avec le tueur de la porte de Vincennes dans les jours précédents les attentats de Paris.

Agée de 35 ans, originaire de Lannion (Côtes-d’Armor), la jeune femme passe un bac L avec mention, puis un Deug de langues étrangères avant de réussir le concours de sous-officier en 2001. Elle occupe des postes de terrain, notamment à la brigade territoriale d’Ecquevilly (Yvelines), puis rejoint le fort de Rosny (Seine-Saint-Denis), qui abritait plusieurs services centraux d’enquête et de logistique. Bien notée, elle y occupait un poste de cadre au Centre national de formation au renseignement opérationnel, chargée de former des militaires.

Une relation chaotique

Catholique non pratiquante, l’adjudante se convertit à l’islam en 2011, sous l’influence d’une amie. Séparée des deux pères de ses trois enfants, elle vit seule dans un logement de fonction du fort. Elle rencontre Amar Ramdani un soir d’octobre 2013. « Je l’ai connu en sortant de chez une copine, en regagnant mon véhicule [...]. J’étais en train d’installer ma fille quand il s’est arrêté à mon niveau. Il s’était arrêté pour me draguer. On a échangé quelques mots et je lui ai laissé mon numéro [...] », raconte-t-elle durant sa garde à vue du 9 mars, à l’issue de laquelle elle ressortira libre.

Leur relation connaît des hauts et des bas. Le jour de l’attentat de l’Hyper Cacher, Ramdani avoue à la sous-officier avoir connu Coulibaly à la prison de Villepinte, où il était incarcéré entre 2010 et 2013, et l’avoir revu par la suite mais sans avoir eu connaissance de ses projets. Il s’évapore quelques jours plus tard. Sans nouvelles, l’adjudante utilise alors les identifiants d’un collègue pour consulter le fichier des personnes recherchées. Elle apprend que son amant est visé par un mandat d’arrêt européen pour trafic de stupéfiants. Un passé qui explique sa disparition soudaine : le 23 janvier, Ramdani avait en fait été interpellé à son domicile du Val-d’Oise en exécution de ce mandat. Pas rancunière, la gendarme lui apporte des vêtements à la maison d’arrêt dix jours plus tard, dissimulant au passage 20 EUR et une lettre d’amour. « Je vais tenter une demande de visite, je ne sais pas s’ils me l’accorderont ; si oui, je vais te sauter au cou comme une fofolle », écrit-elle. Contactée, son avocate, Me Daphné Pugliesi, n’a pas souhaité faire de commentaire.

 

http://www.leparisien.fr/faits-divers/radicalisation-la-police-n-est-pas-epargnee-09-03-2016-5610617.php

Radicalisation : la police n’est pas épargnée

 

EXCLUSIF. Les entorses à la laïcité progressent dans les commissariats. Une note confidentielle de la préfecture de police de Paris recense ces cas qui, bien que limités, inquiètent.

 

Éric Pelletier | 09 Mars 2016, 00h00 | MAJ : 09 Mars 2016, 15h28

Exclusif
La préfecture de police de Paris recense désormais de manière hebdomadaire les « comportements de transgression du principe de laïcité ».

La préfecture de police de Paris recense désormais de manière hebdomadaire les « comportements de transgression du principe de laïcité ». (Photo d’illustration/Baptiste Fenouil/REA.)

 

Diffusion de chants religieux en patrouille, refus de participer à une minute de silence ou de protéger une synagogue, voire incitation, sur Facebook, à commettre des attentats : la police est confrontée à des actes de gravité variable, en nombre limité, mais qui illustrent une progression préoccupante du fondamentalisme religieux dans ses rangs.

C’est un fait : la Grande Maison n’est plus imperméable au communautarisme. Des comportements qui, en plus de malmener le principe de laïcité, posent de réels problèmes de sécurité. Comme leurs collègues, les fonctionnaires en voie de radicalisation sont en effet équipés d’une arme de service et ont accès à la plupart des fichiers de police.

Même s’ils restent très marginaux, ces incidents mobilisent les services de renseignement et préoccupent la préfecture de police (PP) de Paris. A tel point qu’elle recense désormais de manière hebdomadaire les « comportements de transgression du principe de laïcité ». Une note confidentielle dont nous avons eu connaissance, rédigée à la fin de l’année dernière par la Direction de la sécurité de proximité de l’agglomération, détaille 17 cas, survenus entre 2012 et 2015 avec une accélération en 2014, au sein de la PP, forte de plus de 27 000 policiers et agents de surveillance.

Des fonctionnaires assez jeunes

La plupart des incidents portent sur l’exercice de la religion musulmane au sein des commissariats, notamment lors des prières quotidiennes. Ou encore sur les signes extérieurs de religiosité, comme l’habillement. Les femmes sont impliquées dans environ un tiers des affaires et affichent souvent une détermination plus marquée que les hommes. Au moins quatre des affaires recensées concernent des convertis à l’islam.

Ces comportements sont souvent le fait de fonctionnaires assez jeunes, entrés en tant qu’adjoints de sécurité à la fin des années 2000 et qui ont ensuite réussi le concours interne. Ils sont désormais policiers à part entière, gardiens de la paix ou brigadiers. Aucun cas ne concerne les échelons supérieurs de la hiérarchie, officiers ou commissaires. Est-ce un effet générationnel ? Les plus gros dérapages ont eu lieu sur les réseaux sociaux. L’un d’eux, qui s’apparente à un appel au meurtre, a conduit l’auteur devant la justice.

Pour autant, ces exigences religieuses ne semblent pas relever d’une quelconque stratégie d’infiltration de groupes violents. Pas de « cinquième colonne islamiste » identifiée : le parquet antiterroriste n’est saisi d’aucune procédure impliquant des policiers. Ces attitudes apparaissent tout d’abord comme des prises de position individuelles, parfois en lien avec des difficultés d’ordre personnel. « Il faut être attentif aux termes employés, insiste le sociologue Farhad Khosrokhavar. La radicalisation suppose un passage à l’acte violent. C’est pourquoi je parlerais plutôt ici de fondamentalisme. Cette forme d’enfermement relève rarement d’une attitude mûrement réfléchie mais révèle une impulsivité et une fragilité mentale. En se comportant ainsi, ces personnes savent qu’elles s’exposent à une sanction et, à terme, à une exclusion. Il s’agit ni plus ni moins que d’un suicide professionnel. »

 

Un cas retentissant chez les gendarmesLes cas de radicalisation sont rarissimes chez les « soldats de la loi ». Seule une poignée a été recensée par les services de sécurité, concernant surtout de très jeunes gendarmes adjoints volontaires. Après examen, ils finissent devant le conseil d’enquête, l’instance disciplinaire de sanction. L’an dernier, la direction de la gendarmerie avait annoncé « la réalisation d’un audit interne pour évaluer le risque » mais aussi pour l’« anticiper ». Tout en précisant que « la conversion à une religion n’est pas un délit » afin de distinguer la pratique d’une foi propre à chacun et une radicalisation dangereuse. Aujourd’hui, la gendarmerie se refuse à communiquer sur le sujet.

Une seule affaire, celle de l’ex-adjudante Emmanuelle C., 35 ans, une Bretonne, a défrayé la chronique au lendemain des attentats de janvier 2015. La proximité affective de cette militaire, convertie à l’islam depuis 2011, avec Amar Ramdani, un contact d’Amedy Coulibaly, le tueur de Montrouge et de l’Hyper Cacher, a fait grand désordre. Surtout lorsque cet homme, qui faisait l’objet depuis plusieurs mois d’un mandat d’arrêt européen pour trafic d’armes et stupéfiants, a été vu lors des surveillances menées par la Direction du renseignement de la préfecture de police (DRPP) dans la zone dite publique du fort de Rosny-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Un fort qui abritait les services scientifiques de la gendarmerie.

Cette ex-sous-officier a été suspendue de ses fonctions le 5 février 2015, avant d’être révoquée de la fonction publique militaire le 21 septembre 2015. Lorsque Ramdani est arrêté le 23 janvier, Emmanuelle C. a en effet utilisé les codes d’accès d’un collègue pour consulter le fichier des personnes recherchées (FPR) à plus de 60 reprises. Elle sera condamnée à un an de prison avec sursis le 21 janvier 2016, reconnue coupable de détournement de données à caractère personnel et violation de consignes par le tribunal correctionnel de Paris. Elle avait aussi tenté de faire passer de l’argent et une lettre d’amour dans du linge en rendant visite à son amant incarcéré. Un manquement grave en raison de son statut de gendarme.

J.-M.D.

je-suis-charlie dans Corruption



Affaire Neyret : quatre ans de prison dont 18 mois avec sursis sont requis

Par ailleurs, l’avocat de François Thierry annonce qu’il va porter plainte en diffamation contre Libération.

Bien entendu, son ancien informateur est qualifié de mythomane…

 

http://www.20minutes.fr/societe/1850791-20160523-affaire-neyret-quatre-ans-prison-dont-18-mois-sursis-requis-contre-ex-numero-2-pj-lyon

Affaire Neyret: Quatre ans de prison dont 18 mois avec sursis requis contre l’ex-numéro 2 de la PJ de Lyon

 

JUSTICE Il est soupçonné, entre autres, d’avoir prélevé sa dîme sur des saisies de stupéfiants pour rétribuer des informateurs…

Michel Neyret arrive à l'audience du 10 mai 2016, à Paris.
Michel Neyret arrive à l’audience du 10 mai 2016, à Paris. – THOMAS SAMSON / AFP

20 Minutes avec AFP

    • Publié le 23.05.2016 à 18:40
    • Mis à jour le 23.05.2016 à 18:44

 

Les réquisitions sont tombées. Quatre ans de prison, dont 18 mois avec sursis, ont été requis ce lundi contre l’ancien « super-flic » Michel Neyret qui comparaît depuis début mai pour « corruption » devant le tribunal correctionnel de Paris.

L’ancien numéro deux de la PJ de Lyon est soupçonné d’avoir détourné du cannabis saisi par la police, avant son placement sous scellés ou sa destruction, afin de rémunérer des « indics ».

>> A lire aussi : Les dates clés de «l’affaire Neyret»

Poursuivi pour « transport, détention, offre et cession de stupéfiants, association de malfaiteurs en vue de la commission de ces faits et détournement d’objets placés sous scellés », il encourt dix ans de prison.

Trois de ses ex-subordonnés, Jean-Paul Marty, enquêteur aux « stups » de Lyon, Christophe Gavat, ex-chef de l’antenne grenobloise de la PJ et son adjoint, Gilles Guillotin, comparaissent également à ses côtés, soupçonnés de l’avoir aidé en prélevant de la drogue dans des scellés.

 

http://www.lepoint.fr/societe/trafic-de-cannabis-un-temoin-met-en-cause-l-ex-patron-des-stups-23-05-2016-2041321_23.php

Un indicateur met en cause les méthodes de l’ex-patron des « stups »

 

AFP

Modifié le 23/05/2016 à 17:28 – Publié le 23/05/2016 à 10:05 | AFP
François Thierry, ex-patron emblématique de l'Ocrtis (Office central pour la répression du trafic illicite de stupéfiants), le 14 décembre 2012 à Nanterre, près de Paris
François Thierry, ex-patron emblématique de l’Ocrtis (Office central pour la répression du trafic illicite de stupéfiants), le 14 décembre 2012 à Nanterre, près de Paris

 

Un témoignage publié lundi met en cause l’ex-patron des « stups » pour avoir facilité l’importation en France de plusieurs dizaines de tonnes de cannabis, relançant la question de la gestion des « indics » par les enquêteurs.

Stéphane V. se présente dans le quotidien Libération comme un « infiltré » ayant effectué « plusieurs missions pour l’Etat » avec pour « agent traitant » François Thierry, ex-patron emblématique de l’Ocrtis (Office central pour la répression du trafic illicite de stupéfiants).

Ce témoin, qui dit être inscrit depuis 2007 au Bureau central des sources (BCS) qui gère les indicateurs, a été entendu à plusieurs reprises par l’Inspection générale de la police nationale (IGPN – « police des polices ») dans le cadre d’une enquête préliminaire ouverte fin 2015 par le parquet de Paris, a-t-on appris de sources policière et judiciaire.

L’homme, 52 ans, qualifié par certaines sources policières de « mythomane », affirme avoir travaillé également pour l’agence antidrogue américaine (DEA) et dénonce les « méthodes » de l’Office des stups « depuis des années » en France.

Entre mars et avril 2012, accuse-t-il, M. Thierry lui « a demandé d’aller garder une villa à Estepona » en Espagne. Là, « pendant vingt jours, cinq hommes se sont relayés pour charger et décharger des paquets de drogue sur la plage » que le policier lui a « présentés comme (étant) des policiers français » de l’office des stups, affirme Stéphane V.

« Le cannabis arrivait du Maroc dans des Zodiac » et « en tout, 19 tonnes ont transité par la villa », selon lui.

François Thierry, qui va poursuivre Libération en diffamation selon un tweet de son avocat Francis Szpiner, est accusé par le quotidien d’avoir joué un « rôle central » dans l’importation de « plusieurs dizaines de tonnes de cannabis » au bénéfice d’un présumé trafiquant de drogue.

Cet homme de 40 ans, Sofiane Hamli, a été interpellé le 22 février en Belgique. Il était recherché dans l’enquête sur la prise record de sept tonnes de cannabis à Paris en octobre 2015, saluée par le président Hollande, derrière laquelle de nombreuses zones d’ombre planent encore.

Sofiane Hamli a été interrogé depuis et « a lui aussi parlé », selon une source policière qui en ignore le fond.

- « Montage » policier -

Les relations entre indicateurs et policiers des « stups » sont au coeur de ces affaires. Elles ont pour cadre les « coups d’achat » (un enquêteur achète quelque chose d’illicite pour son enquête) et les « surveillances de livraisons de drogue » souvent organisées par les enquêteurs dans les affaires de stupéfiants pour faire tomber les réseaux.

Ces opérations ont lieu « sous le contrôle » de magistrats, « ce qui a toujours été le cas » avec l’Ocrtis, indiquent des sources policières.

L’enquête de l’IGPN va, selon les sources policières, permettre de « livrer un véritable audit de leur gestion » par ce service dont tout le monde, en haut lieu, attend les conclusions.

Pour l’heure, selon ces sources, les « très graves » accusations du témoin de Libération n’ont « été ni infirmées ni confirmées ».

« Il faut être prudent », ajoutent-elles car il « n’est pas a priori anormal qu’un +indic+ garde une villa (NDLR, celle citée par Stéphane V.) », à condition « de ne pas dévier ».

La justice s’intéresse en tout cas aux méthodes de l’office des « stups ». Notamment dans une affaire de saisie de 132 kilos de cocaïne datant de 2015, cassée par deux juges parisiens qui ont dénoncé un « montage » policier et incarcérés deux « tontons ».

L’affaire sera examinée sur le fond prochainement par la cour d’appel de Versailles (Yvelines), selon les sources.

La gestion des indicateurs – « tontons », « amigos », « balances » dans le jargon des enquêteurs – souvent sur le fil du rasoir, est au coeur de plusieurs autres affaires visant aussi des douaniers et des gendarmes.

M. Thierry a été nommé récemment sous-directeur chargé de l’international à l’antiterrorisme de la police judiciaire (SDAT). Une mutation officiellement sans rapport avec ses « tontons »: il était arrivé au bout des six ans réglementaires à la tête d’un service de police, selon sa hiérarchie.

23/05/2016 17:28:10 -  Paris (AFP) -  © 2016 AFP



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