Je décline toute responsabilité quant aux mentions qui s'affichent dans les cinq lignes ci-dessus du pavé "Recherchez aussi" sur lequel je n'ai aucun contrôle.
Mes statistiques sont bloquées depuis le 2 février 2015.
7 février 2015
Mes statistiques sont de retour, tout fonctionne.
16 février 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 12 février.
22 février 2015
Mes statistiques "basiques" ont été débloquées hier soir après la publication de mon dernier article concernant NEMROD34. Belle reprise simultanée de l'activité du Chinois.
23 février 2015
Statistiques "basiques" toujours sujettes à blocages : le 21 février au soir, à peine étaient-elles débloquées, puis à nouveau hier, 22 février, à peine étaient-elles débloquées.
24 février 2015
Statistiques "basiques" débloquées. Pas de nouveau pic d'activité du Chinois depuis le 21 février.
25 février 2015
Je n'ai pas mes statistiques "basiques" du jour, ça bloque encore... et Justinpetitcoucou est toujours bloqué depuis le 8 février... Faudrait penser à le débloquer, lui aussi, il y a du laisser-aller, là...
26 février 2015
Statistiques "basiques" des deux blog débloquées. Merci pour Justin, il était temps !
27 février 2015
Statistiques "basiques" des deux blogs de nouveau bloquées depuis le 26 février. Ce petit jeu pourrait-il cesser ? On n'en voit pas l'intérêt... Complément de 22 h: merci de m'avoir rendu ces statistiques !
25 mars 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 20 mars.
26 mars 2015
Merci de m'avoir débloqué mes statistiques "basiques". Encore une fois, je ne vois pas l'intérêt de ce petit jeu. Ce serait aussi bien de cesser de bloquer ces statistiques pour oublier de les débloquer jusqu'à ce que j'aie signalé le problème.
31 mars 2015
Merci de bien vouloir me débloquer les statistiques "basiques" de Justinpetitcoucou, restées bloquées depuis le 14 mars - cf. avis du 25 mars sur Justin.
2 avril 2015
Merci de m'avoir rendu les statistiques de Justin.
7 mai 2015
Je n'ai plus de statistiques depuis deux jours, ni "basiques" ni "avancées".
10 mai 2015
Retour des statistiques "basiques". Merci. Manquent encore les statistiques "avancées".
14 mai 2015
Toutes mes statistiques sont de retour depuis hier. Merci.
3 octobre 2015
Depuis hier, les compteurs de mes statistiques avancées sont tous à zéro. Merci de me les rendre.
The practice of hacking malware botnets and then replacing their payloads with pro-user content is starting to become the norm, with another of these incidents being reported by the team from F-Secure.
The company says that one of its security researchers stumbled upon a weird sample coming from the server network (botnet) from which most of the Locky ransomware-carrying spam is sent out.
The file was a ZIP archive containing a JavaScript file. If the user double-clicked this JavaScript file, the script would download in normal circumstances the Locky ransomware and launch it into execution, effectively encrypting their files.
This time around, the F-Secure researcher, named Päivi T., discovered that, instead of Locky, this file was downloading something different, also launching it into execution.
It appears that someone hacked the Locky distribution network and replaced the Locky ransomware payload with a benign file that showed a simple popup warning users not to open email attachments from untrusted sources (screenshot below).
« You are reading this message because you have opened a malicious file, » the popup reads. « For your safety, don’t open unknown emails attachment. »[sic]
Something like this happened before last February, when somebody hacked the Dridex botnet to deliver a version of the Avira antivirus installer instead of the Dridex banking trojan, and then again last month with the Locky network, when someone replaced the ransomware with an empty file that read « STUPID LOCKY. »
Gray hats hack Locky again, replaces payload with ransomware PSA
A distributor of Locky ransomware fell victim to a gray hay hacker who replaced the malicious payload with a warning message for Internet users.
Another gray hat hacker has tampered with the distribution of Locky ransomware, replacing the payload with a public-service message to potential victims, warning not to open strange files.
The incident comes about two weeks after anti-virus company Avira reported that an unknown perpetrator broke into a prominent command and control server and replaced Locky with coding that delivered the message “Stupid Locky.”
This time, F-Securereported on its blog that “Paivi,” one of the researchers on its threat intelligence team, discovered evidence of a similar hack, in which the payload was replaced with the following message: “You are reading this message because you have opened a malicious file. For your safety, don’t open unknown email attachment [sic].”
F-Secure did not suggest there was a connection between the two hacks.
Weer is iemand erin geslaagd een distributiekanaal van de beruchte Locky-ransomware te saboteren en te gebruiken voor het waarschuwen van slachtoffers. Locky werd onlangs nog door het Russische anti-virusbedrijf Kaspersky Lab één van de grootste plagen van het eerste kwartaal van dit jaar genoemd.
De ransomware verspreidt zich via e-mailbijlagen. Het gaat dan bijvoorbeeld om zip-bestanden die zogenaamd een rekening of aanmaning bevatten. Het zip-bestand bevat weer een JavaScript-bestand dat de Locky-ransomware op de computer downloadt en installeert. Ook in Nederland werden computers door Locky versleuteld. Het Duitse anti-virusbedrijf Avira meldde onlangs dat iemand toegang had gekregen tot de server waar de Locky-ransomware vandaan wordt gedownload en daar de ransomware door een dummy-bestand had vervangen.
Slachtoffers kregen in dit geval alleen een foutmelding op hun computer te zien en er worden geen bestanden tegen losgeld versleuteld, zoals Locky wel doet. Nu is wederom één van de downloadservers gesaboteerd, zo meldt het Finse F-Secure. In plaats van een dummy-bestand wordt nu onderstaande waarschuwing gedownload en op het scherm getoond. Wie erachter zit is onbekend.
Locky היא אחת מתוכנות הכופר המסוכנות והמצליחות הפעילות כיום. בדרך כלל, התוכנה שמופצת באמצעות אימיילים, משתלטת על המחשב, מצפינה את הקבצים של המשתמשים, ודורשת כופר בביטקוין כדי לשחרר אותם. ביממה האחרונה מתברר שמישהו החליט להרוס קצת את החגיגה, ולא בפעם הראשונה. חוקרי אבטחה מדווחים כי האקרים פרצו לאחד השרתים שמפיצים את תוכנת הכופר וחיבלו בפעולתה. בעקבות זאת, חלק מקורבנות של « לוקי » שנפגעו ביממה האחרונה לא סבלו מההשפעה ההרסנית של התוכנה אלא קיבלו הודעת אזהרה. « אתה קורא את ההודעה הזאת מפני שפתחת קובץ זדוני. למען ביטחונך, אל תפתח צרופות אימייל לא מזוהות », נכתב בהודעה. זו לא הפעם הראשונה שבה…
Côtes-d’Armor : 5 passeurs arrêtés pour avoir convoyé des migrants en voilier
17 Mai 2016, 15h53 | MAJ : 17 Mai 2016, 15h52
ILLUSTRATION. Les passeurs avaient amarré leur voilier à Saint-Quay-Portrieux. (Capture Google Street View.)
Deux skippers et trois organisateurs présumés sont soupçonnés d’avoir convoyé illégalement des Ukrainiens sur des voiliers pour rejoindre la Grande-Bretagne. Ils ont été arrêtés vendredi à Saint-Quay-Portrieux, dans les Côtes-d’Armor, puis déférés ce mardi à Rennes en vue de leur mise en examen, a annoncé à l’AFP la police nationale.
Sept migrants, qui se trouvaient à bord d’un voilier utilisé par la filière, ont également été interpellés, puis relâchés avec une obligation de quitter le territoire français (OQTF).Jusqu’à 7.000 euros la traversée«Cette filière d’immigration utilisait un mode opératoire assez inhabituel et relativement coûteux, puisqu’un passage coûtait environ 6 à 7.000 euros», a expliqué Julien Gentile, patron de l’Office central pour la répression de l’immigration irrégulière et de l’emploi d’étrangers sans titre (Ocriest). Les Ukrainiens, qui désiraient s’installer en Grande-Bretagne, utilisaient des visas de tourisme pour voyager en voiture depuis l’Ukraine jusqu’en France, où ils étaient pris en charge par la filière pour la traversée vers le Royaume-Uni. Les passeurs acheminaient ensuite les clandestins à bord de voiliers de plaisance loués dans différents ports français.
Au total, les enquêteurs estiment que plus d’une vingtaine de bateaux ont été loués par les passeurs qui opéraient «en tant que skipper, coskipper ou convoyeurs». En septembre 2015, le contrôle par les douaniers d’un voilier loué par la filière et l’interpellation des migrants à bord ont poussé le réseau à mettre son activité en veille. Puis, en 2016, les passeurs ont fait l’acquisition d’un voilier. Ce dernier a été contrôlé en février par la police maritime italienne, en mars par les Espagnols et enfin en mai par les Anglais. Il a été suivi jusqu’à Saint-Quay-Portrieux, où il s’est amarré. Sous surveillance depuis, les cinq passeurs ont été interpellés alors qu’ils allaient faire passer sept nouveaux clandestins.
Une «structure illégale d’immigration»
L’enquête a débuté en septembre 2014 par un renseignement des douanes, à la suite du contrôle d’un voilier. Les investigations ont permis de faire le rapprochement avec un autre voilier, arraisonné en juillet 2014 par les autorités anglaises sur la côte est de l’Angleterre. A son bord six Ukrainiens qui tentaient de débarquer illégalement. «D’autres rapprochements ont été effectués, permettant de confirmer l’existence d’une structure illégale d’immigration», a indiqué le patron de l’Ocriest. Une information judiciaire a été ouverte le 27 novembre 2014 auprès de la Juridiction interrégionale spécialisée (Jirs) de Rennes pour «aide directe ou indirecte à l’entrée ou au séjour irrégulier d’étrangers en France en bande organisée» et «participation à une association de malfaiteurs».
L’enquête a été menée par l’Ocriest, la brigade mobile de recherche zonale de Rennes, la brigade mobile de recherche de Caen et la gendarmerie maritime de Cherbourg.
Un réseau d’immigration clandestine au départ de la Bretagne et de la Normandie démantelé
Quatre Ukrainiens ont été mis en examen ce mardi à Rennes et placés en détention provisoire pour avoir mis sur pied un réseau d’immigration clandestine vers la Grande-Bretagne. Actif depuis 2012, ce réseau aurait permis uen vingtaine de passage de clandestins au départ de Bretagne et Normandie.
Quatre Ukrainiens ont été mis en examen mardi à Rennes et placés en détention provisoire pour avoir mis sur pied un réseau d’immigration clandestine vers la Grande-Bretagne, a-t-on appris auprès du parquet de Rennes.
Des clandestins ukrainiens étaient pris en charge par le réseau depui leur pays. Ils étaient acheminés en France par voie routière, puis convoyés en Grande-Bretagne par voiliers, au départ de ports bretons et normands, a-t-on indiqué de même source. »Cette structure, active depuis 2012, a organisé a minima une vingtaine de passages de clandestins« , a précisé dans un communiqué le procureur de la République, Nicolas Jacquet.
Les quatre personnes mises en examen -deux skippers et deux organisateurs présumés- ont été interpellées vendredi à Plérin et Saint-Quay-Portrieux (Côtes-d’Armor), »alors qu’elles organisaient le passage de sept ressortissants eux aussi ukrainiens« . Ces passeurs ont été mis en examen pour « aide à l’entrée, à la circulation ou au séjour irréguliers d’étrangers, en bande organisée« . Interpellés en même temps, les sept migrants ukrainiens, qui se trouvaient à bord d’un voilier utilisé par la filière, ont été relâchés avec une obligation de quitter le territoire français (OQTF).
Les Ukrainiens, qui désiraient s’installer en Grande-Bretagne, utilisaient des visas de tourisme pour voyager en voiture depuis l’Ukraine jusqu’en France, où ils étaient pris en charge par la filière pour la traversée vers le Royaume-Uni. Une information judiciaire avait été ouverte en novembre 2014 auprès de la Juridiction interrégionale spécialisée (JIRS) de Rennes. Les investigations ont été menées par la section de recherches maritimes de la gendarmerie, la Police aux frontières et l’Office central de répression de l’immigration irrégulière.
L’enquête avait été initiée en septembre 2014 par un renseignement des douanes à la suite du contrôle d’un voilier. Les premières investigations avaient permis de faire le rapprochement avec un autre voilier, arraisonné en juillet 2014 par les autorités anglaises sur la côte est de l’Angleterre, avec à son bord six Ukrainiens qui tentaient de débarquer illégalement.
En septembre 2015, le contrôle par les douaniers d’un voilier loué par la filière et l’interpellation des migrants à bord ont poussé le réseau à mettre son activité en veille. Puis, en 2016, les passeurs font l’acquisition d’un voilier, qui a été contrôlé en février par la police maritime italienne, en mars par les Espagnols et ensuite en mai par les Anglais.
Amarré à Saint-Quay-Portrieux, ce voilier avait été placé sous surveillance par les gendarmes, qui ont procédé vendredi à l’interpellation des quatre passeurs à l’occasion du passage des sept clandestins.
En décembre dernier, cinq organisateurs d’un réseau majoritairement français de convoyage par bateau de migrants albanais de la France vers l’Angleterre avaient été condamnés à Rennes à cinq ans de prison ferme. Treize autres personnes, parmi lesquelles des skippers, avaient écopé de peines allant de six mois avec sursis à 18 mois de prison ferme.
Côtes d’Armor : 4 passeurs incarcérés pour avoir convoyé des migrants en voilier
Quatre ukrainiens ont été interpellés à Plérin et Saint-Quay-Portrieux dans les Côtes d’Armor vendredi alors qu’ils organisaient le passage vers la Grande-Bretagne de sept ressortissants eux aussi ukrainiens. Ils ont été mis en examen et incarcérés mardi.
C’est alors qu’ils préparaient un nouveau convoyage, que les membres de ce réseau urkrainien d’immigration clandestine ont été interpellés. Les arrestations des quatre passeurs (deux skippers et deux organisateurs présumés) ainsi que celles de sept ressortissants ukrainiens embarqués pour la traversée ont eu lieu vendredi soir sur un voilier amarré sur le port de plaisance de Saint-Quay-Portrieux.
Les quatre ukrainiens du réseau ont été mis en examen pour aide à l’entrée, à la circulation et au séjour irréguliers d’étrangers, en bande organisée, sur le territoire français. Ils ont été placés en détention provisoire. Les sept clandestins ont été relâchés avec une obligation de quitter le territoire.
Jusqu’à 7 000 € le passage
Selon le procureur de la République de Rennes, « les clandestins, pris en charge par l’organisation depuis l’Ukraine, étaient acheminés en France par voie routière puis convoyés en Grande-Bretagne par voiliers , au départ de ports bretons et normands ». La traversée coûtait de 6 à 7 000 €, comme le rapporte France Bleu.
Une vingtaine de passages depuis 2012
Ce réseau d’immigration clandestine, actif depuis 2012, aurait organisé plus d’une vingtaine de passage par le biais de bateaux loués. L’enquête a été menée par l’Ocriest (Office central pour la répression de l’immigration irrégulière et de l’emploi d’étrangers sans titre), la Police aux frontières et la Juridiction inter régionale spécialisée de Rennes.
Il s’agit donc à nouveau d’un envoi en provenance du Vietnam, tandis que le texte du message m’indique que son expéditrice présumée dont j’ai supprimé le portrait présumé (une très jolie jeune femme photographiée dans une pose aguicheuse) serait ukrainienne, première indication d’une nationalité quelconque dans le corps de message de l’un de ces « spams » personnalisés que m’envoie toujours le même malade depuis le 2 novembre 2014.
Coïncidences ou pas, il survient à la suite de ma précédente publication sur le sexisme particulier dont fait preuve Josette Brenterch du NPA de Brest, dont les seules manifestations « féministes » de l’année 2011 avaient été organisées contre Miss France, et après l’annonce suivante :
Des Ukrainiens convoyaient en voilier des migrants vers le Royaume-Uni
Par RFI Publié le 17-05-2016 Modifié le 17-05-2016 à 20:01
Des migrants quittent leur camp à Calais où ils étaient installés depuis des semaines dans l’espoir de rejoindre l’Angleterre. REUTERS/Pascal Rossignol
Pour traverser les mers, certains migrants se tassent dans des embarcations de fortune, parfois au péril de leur vie. D’autres voies existent tout aussi illégales. C’est le cas de cette filière de passeurs, au mode opératoire plutôt inattendu, que la police française vient de démanteler. Cela se passe en Bretagne, dans l’ouest de la France. Pendant plusieurs mois, ce réseau d’Ukrainiens convoyait des migrants jusqu’au Royaume-Uni sur des voiliers.
C’est un trafic auquel même les policiers ne semblaient pas s’attendre. En échange de 6 000 à 7 000 euros, les migrants, des Ukrainiens, passaient en Angleterre sur des voiliers. Des bateaux de plaisance loués dans différents ports français avec à leur bord des passeurs ukrainiens, là encore, qui opéraient en tant que skippers ou co-skippers.
Un procédé inhabituel, répété au moins une vingtaine de fois sur des navires différents, jusqu’à l’acquisition, il y a quelques mois d’un bateau amarré à Saint-Quay Portrieux, petit port breton de 3 000 habitants.
Le réseau avait été repéré dès 2014 par les douaniers. L’année suivante, le contrôle d’un voilier suivi de l’interpellation des migrants à son bord avait refroidi les passeurs.
Quelques mois de discrétion avant une reprise de l’activité clandestine. Jusqu’à ce vendredi et l’interpellation de cinq hommes : deux skippeurs et trois organisateurs présumés. Tous ont été déférés devant un juge ce mardi. Les sept migrants arrêtés à leurs côtés à bord du bateau ont, eux, été finalement relâchés avec une obligation de quitter le territoire français.
Il en fallait une qui ait le courage de dire tout haut ce que nombre de femmes pensent tout bas, vous avez été celle-là !
Je vous remercie infiniment de faire savoir ou de rappeler à la face du monde que toutes les femmes ne se plaignent pas du sexisme, des harcèlements, des agressions sexuelles ou des viols dont sont toujours victimes d’autres qu’elles-mêmes, bien au contraire, puisque que certaines d’entre elles comme votre consoeur politicienne Josette Brenterch du NPA de Brest et toutes ses copines « déconnologues » de la bande du cyberdélinquant et malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi s’en réjouissent publiquement et sont même pour quelques-unes les premières à les appeler, voire à les organiser.
Publié le 16/05/2016 à 10:01, Mis à jour le 16/05/2016 à 10:30
Christine Boutin a «honte» que ses consœurs signent un appel contre le harcèlement sexuel
Société
Christine Boutin (illustration) DR
L’ancienne ministre Christine Boutin a réagi sur Twitter à l’appel lancé par 17 ex-ministres contre le harcèlement sexuel. Elle a exprimé sa « honte » face à ce collectif de femmes politiques qui disent stop à l’impunité et au silence face au harcèlement.
« Nous ne nous tairons plus ». Cet appel de 17 anciennes ministres face au sexisme n’est de toute évidence pas au goût de Christine Boutin. Celle-ci a affirmé dimanche dans un tweet qu’elle avait « honte » de ses consœurs :
#Sexisme: Honte de ces anciennes anciennes ministres qui laissent entendre que les hommes sont des obsédés ! Marre vraiment marre
— christine Boutinن (@christineboutin) 15 mai 2016
Les internautes n’ont pas tardé à moquer l’ancienne ministre sur Twitter, regrettant qu’elle ne soutiennent pas le mouvement pour lutter contre le sexisme en politique :
@christineboutin Alors on fait quoi quand on a été violée, agressée ou harcelée sexuellement ? On la ferme ? #VraieQuestion
L’ancienne ministre n’est pas la seule à avoir réagi et de nombreux politiques se sont prononcés sur le sujet, comme Nathalie Kosciusko-Morizet : « Nous, on a un certain statut, on peut parler. Le harcèlement, ça ne concerne pas seulement la politique mais l’ensemble de la société ». Cécile Duflot à quant à elle préféré partager un florilège de commentaires sexistes et insultants après avoir signé l’appel :
Bientôt 13h ce dimanche 28 février sur Sud Radio. Entendre Christine Boutin dire que les femmes ont besoin « d’hommes puissants », pas de ceux qui « se mettent de la crème ». Rire (jaune) quand elle affirme ne pas comprendre pourquoi on la caricature.
Christine Boutin, entourée de vrais bonhommes – SALOM-GOMIS SEBASTIEN/SIPA
Aide mémoire en ce 28 février : penser à ne plus écouter Christine Boutin. Ou alors peut-être pour se rappeler qu’un ancien responsable politique peut encore tenir ce genre de propos un 28 février 2016 en France. Invitée de Sud Radio ce dimanche, l’ancienne présidente du Parti chrétien-démocrate revient sur l’ouvrage qu’elle vient de publier, Les insolences de Christine Boutin, et dans lequel elle s’arrête sur des caricatures d’elle-même. Un livre où elle est censée faire de « l’autodérision« . Un livre dans lequel elle écrit, sérieusement cette fois-ci, que « les femmes ont besoin de vrais hommes et pas de guimauve féminisée« . C’est beau comme du Zemmour.
Face au journaliste de Sud Radio, Louis Morin, plus que dubitatif sur la notion de « vrai homme« , Boutin développe, sans gêne aucune. Aboutissant à un échange surréaliste :
- Christine Boutin : Je pense que les femmes ont besoin d’hommes, d’un vrai homme…
- Louis Morin : C’est quoi un vrai homme ?
- Christine Boutin : C’est un homme qui qui qui voilà… qui est puissant, qui a de la force !
- Louis Morin : Suis-je un vrai homme ou une guimauve féminisée ?
- Christine Boutin : Je n’en sais rien, il y a une telle différence d’âge entre nous que c’est difficile de vous répondre…
- Louis Morin : Vous pouvez le savoir quand même !
- Christine Boutin : Apparemment, enfin, j’en sais rien, je ne sais pas…. Je suis un peu agacée de voir, mais ça aussi c’est une affaire économique, libérale, les hommes se mettre de la crème, qu’on leur propose des produits pour avoir une peau fine, on voit les hommes s’épiler… moi j’aime bien un homme qui est viril !
- Louis Morin : Donc qui ne se met pas de crème…
- Christine Boutin : Qui ne se met pas de crème, absolument !
L’échange a encore plus de saveur si l’on rappelle d’autres propos, tenus cette fois-ci en début d’interview par la même Christine Boutin, qui se demandait alors pourquoi elle était la cible de tant de caricatures. Elle pensait avoir trouvé l’explication :
« En réalité, tout ce que j’ai porté pendant 30 ans, n’est absolument pas dans la pensée unique de ma génération, et donc j’ai suscité des caricatures, elles sont l’expression de la pensée unique et moi j’y répond par mes convictions. »
Mais c’est bien sûr ! Caricaturer Boutin, c’est tomber dans la pensée unique.
Et penser qu’un homme qui achète un pot de crème n’est pas un homme, c’est quoi ?
TOUJOURS PLUS LOIN - On le sait, Christine Boutin a « honte de ces anciennes ministres » qui, en publiant une tribune anti-harcèlement sexuel dans le Journal du Dimanche, laisse penser, selon elle, que tous les hommes politiques sont des obsédés sexuels. L’ancienne ministre du Logement l’a déjà dit et répété dimanche 15 mai, après la publication de ladite tribune dans le JDD. Au cas où tout le monde n’aurait pas compris – ou aurait échappé à cette sortie en raison d’un week-end prolongé, l’ex-présidente du Parti chrétien démocrate le rappelle, sur RMC, lundi.
Christine Boutin avance deux arguments contre « le puritanisme » qu’elle craint de voir s’installer après l’affaire Baupin. Le premier concerne les femmes elles-mêmes. Et alors, l’ancienne ministre ne s’embarrasse pas. Pour elle, si certaines femmes se font harceler, elles y sont un peu pour quelque chose. Voici son raisonnement :
Quand je vois ce que me répondent les twitters (sic) en disant que moi, je ne risquais pas d’être agressée, c’est aussi des propos machistes insupportables. Mais bien sûr que j’ai eu des propos comme cela [des propos sexistes, ndlr] mais vous savez, il y a des femmes avec lesquelles on peut aller plus loin et d’autres femmes avec lesquelles on ne peut pas aller plus loin.
Et pour étayer ses propos, Christine Boutin se réfère aux mots d’une participante des Grandes Gueules, Claire O’Petit, commerçante. Cette dernière expliquait juste avant Christine Boutin que certaines femmes sont « attirées par le pouvoir » et parfois « viennent se vendre aux messieurs et se pendent à leur cou »…
On pourrait penser que Christine Boutin est déjà allée très loin loin. Mais c’est mal connaître l’ancienne ministre qui décide d’en rajouter une couche. Elle estime que, quand il y a « des mots déplacés », « on remet les gens à leur place ». « Si ça va plus loin, on dépose plainte », ajoute-t-elle. Point barre. Et c’est tout. Non parce qu’à force de mettre tout le monde dans le même sac de pervers, c’est l’identité de la France qui est attaquée, enfin selon Christine Boutin hein. Elle ajoute :
Je ne sais pas si vous aimez la France avec certaines de ses caractéristiques. L’une d’entre elles, c’était la gauloiserie. Moi personnellement, j’aime bien la gauloiserie. Je trouve que le problème du harcèlement, c’est de savoir quelle est la limite. La limite, c’est aux femmes ou aux hommes de dire ‘ça suffit’. […] Je ne veux pas qu’on tombe dans le puritanisme. Je pense que la gauloiserie fait partie de l’identité française. Rigolote mais quand même bien là. Ça suffit.
Parce que voilà, selon elle, il y a des gestes qui passeront pour du harcèlement aux yeux de certains, et pour d’autres non. Résultat, d’après Christine Boutin, « on finit par tout enfermer, on ne peut plus rien faire, on ne peut plus rien dire. Enfin ça suffit ! La liberté de chacun, c’est de dire ‘ça suffit’. »
« Honte de ces anciennes anciennes ministres qui laissent entendre que les hommes sont des obsédés ! Marre, vraiment marre ! » Le tweet de Christine Boutin, posté dimanche sur le réseau social, jette un froid sur l’initiative prise dimanche par dix-sept ex-ministres femmes. Le Journal du dimanche (JDD) a en effet publié en une un appel intitulé « Nous ne nous tairons plus ».
« Cela suffit. L’impunité, c’est fini. Nous ne nous tairons plus. Nous dénoncerons systématiquement toutes les remarques sexistes, les gestes déplacés, les comportements inappropriés. Nous encourageons toutes les victimes de harcèlement sexuel et d’agressions sexuelles à parler et à porter plainte. Nous demandons à nos partis et à nos groupes politiques de vérifier si de tels actes ont été commis et, si tel a été le cas, d’aider les victimes à faire éclater la vérité », écrivent ces femmes, révoltées par les témoignages de harcèlement sexuel contre le député écologiste Denis Baupin, rendus publics il y a une semaine.
« La gauloiserie fait partie de l’identité française »
Du vent, selon Christine Boutin, qui s’est attiré les foudres des internautes sur les réseaux sociaux. Sur RMC lundi matin, la femme politique récidive : « La gauloiserie fait partie de l’identité française. Je refuse ce puritanisme. » « Je refuse que dix-sept ex-ministres laissent entendre que toute la classe politique est composée d’obsédés », a-t-elle ajouté.
La porte-parole de Lutte ouvrière, Nathalie Arthaud, a elle aussi pris ses distances avec les signataires, reprochant à ces femmes d’avoir pendant des années pratiqué « l’omerta », alors qu’elles avaient « bien des moyens de se faire entendre et de se faire respecter », contrairement aux « ouvrières » et aux « employées », selon des propos tenus sur BFM TV et rapportés par le Huffington Post.
Rappelons à travers la série d’articles ci-dessous et les commentaires y afférents ou rapportés (cliquer sur les images pour les agrandir et lire les textes) quelques propos publics de Josette Brenterch du NPA de Brest sur ces questions, en 2010 et 2011. C’est du pareil au même.
Ici sur les goûts des femmes et la grivoiserie :
Extraits qui bien évidemment nécessitent d’être confrontés à mes écrits réels, lequels figurent dans la copie intégrale collée ci-dessus :
@ félicité Comme dit la vieille sagesse féminine : « Un baiser sans moustache est comme une soupe sans sel »
@ Cyp
Merci pour le lien. Je vais y aller voir après. Je commence déjà à entrevoir tout un pan d’histoire qui m’était inconnu, c’est comme l’ouverture des archives pour les historiens.
Pour l’instant, je trouve tout ça un peu confus, j’ai du mal à m’y retrouver, mais ça viendra.
Ce que mettent en lumière (plus pour moi) les extraits d’archives que j’ai vus, c’est que XXXXXXXXX a réussi à embobiner quelques mecs (3 exactement, et un 4ème ça a été de peu), mais aucune nana, et ce n’est pas faute d’avoir essayé. Elle ne s’attaque en effet qu’à des nanas.
Cela montre aussi qu’elle devait aller mal à ce moment-là (les extraits de 2009), et je dirais que c’est le cas aujourd’hui aussi.
J’y peux rien, ça me fait mal au coeur des vies malheureuses comme ça, et pourtant elle mérite une bonne claque à être aussi méchante ! Il me manque la case qui me permettrait de comprendre qu’on peut diffuser des choses pareilles, sans que les personnes concernées en soient le moins du monde informées. Un vrai corbeau, cette nana, et en pire.
Je radote, j’ai déjà dû dire ça au moins dix fois sous une forme ou une autre.
Tu m’étonnes qu’on se foutait de sa poire : elle déboule avec une tartine totalement hors-sujet − maintenant on sait à peu près de quoi elle cause, mais pas à l’époque − et elle n’a jamais rien fait d’autre. Le genre boulet de chez boulet auquel t’as juste envie de botter le cul pour qu’elle dégage le paysage.
Vu le lien que tu as envoyé plus haut. Tu me l’avais envoyé après notre inattendue rencontre téléphonique. J’avais oublié le détail, je re-situe le contexte.
Aë aïe aïe ! Ma doué (encore pour le salut futur de mon âme)
Merci, mais plutôt que « velu », je préfèrerais que tu dises : « doté de la pilosité appropriée », c’est plus classieux pour une vieille et respectable dame comme moi.
OK : j’ai tout bien noté. La pilosité sera correctement appropriée… mais pas ce soir : je m’apprête à envisager le sujet du prochain billet pour XXXXXXXXX…
Ensuite, dans les commentaires dans cette série d’articles de septembre et octobre 2010, à propos des cuisses des femmes ingénieurs, identiques à celles des autres femmes, et de l’intelligence supérieure des femmes des quartiers populaires qui elles savent ouvrir leurs cuisses aux hommes des mêmes quartiers alors que pour ma part je reste incapable de « rapports égalitaires » avec les différents débiles et malades mentaux qu’elle a convaincus de me harceler sexuellement depuis le jour où elle a décidé que toute ma vie devait être dédiée à la seule satisfaction, gratuite, des « besoins hygiéniques » de ces messieurs :
Et enfin, dans les commentaires sur ces trois articles de 2011 consacrés au sexisme, où elle se réjouit toujours des propos haineux de son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi à l’égard des femmes et des différentes victimes de harcèlements, d’agressions sexuelles, de viols, et exprime publiquement son mépris pour la « people » (et très jolie) Tristane Banon :
Si de nombreux journaux français ont informé leurs lecteurs des ravages du trojan crypto-rançonneur Locky tant qu’il a sévi sans difficultés, en revanche on ne trouve plus rien en français depuis qu’il ne fonctionne plus tout à fait comme au début.
Je vous propose donc ces articles en anglais en rappelant avoir reçu de mon spammeur fou pas moins de sept messages contenant cette saleté entre le 1er mars et le 5 avril 2016 (voir mes précédents articles à ce sujet, notamment celui du 25 avril dernier).
Je présume que ce malade avait lâché le pied sur ses messages habituels depuis février dernier du fait qu’il était très occupé à se faire du fric avec sa rutilante machine du nom de Locky, et qu’il recommence à me spammer comme auparavant depuis le 8 mai car son crypto-rançonneur est au garage pour y subir quelques transformations.
Par ailleurs, la période de février à avril 2015 durant laquelle il ne m’avait envoyé que deux de ses « spams » habituels correspond à celle où il s’excitait sur les statistiques de mes blogs Petitcoucou et Justinpetitcoucou après rétablissement complet du premier qui avait été suspendu trois semaines à compter du 6 janvier 2015.
Pranksters have infiltrated the control system behind the infamous Locky ransomware and replaced the malware’s main payload with a dummy file.
Locky normally spreads using malicious and disguised JavaScript inside email attachments supposedly containing an invoice or similar. Malicious messages are sent to prospective marks in spam runs.
Those on Windows machines who open the malicious attachment are likely to become infected, a process that results in user files getting encrypted. If this happens it’s normally impractical to recover scrambled files without paying crooks a fee in exchange for the private encryption key needed to recover compromised data.
The hack by as yet unidentified white hats meant that in place of the expected ransomware, “victims” were served with a 12kb binary with the plain message “Stupid Locky” that isn’t a valid executable, anti-virus firm Avira reports.
“It seems that someone was able to access one of the command and control servers and replaced the original Locky ransomware with a dummy file,” Sven Carlsen, a security team manager at Avira, explains in a blog post.
What happened is very unlikely to be anything more than a temporary snag for the cybercrooks behind Locky, even though it does suggest they’ve been a bit sloppy.
Miscreants behind the Dridex botnet recently switched from pushing trojans towards slinging variants of the Locky ransomware, so there may be elements of commonality between the two incidents.
Locky was recently rated as the second most prevalent form of ransomware, according to security appliance firm Fortinet. CryptoWall remains the most commonly encountered ransomware threat. ®
Locky ransomware bolsters encryption of communications with C&C servers
Locky ransomware has evolved into an even greater threat, after developers upgraded the malware to disguise its network traffic via a combination of symmetric and asymmetric encryption.
In a move to obfuscate network traffic more effectively, Locky ransomware developers have recently upgraded the malware to communicate with its command and control server via both symmetric and asymmetric encryption, as opposed to custom encoding.
FireEye Labs, the research division of FireEye, detailed this new development in Locky’s evolution in a blog post. While observing recent samples of the malware, FireEye found that when Locky contacts the control server to obtain a public key for encrypting a victim’s files, Locky initially generates AES (Advanced Encryption Standard) keys and encrypts its plain text request, and then subsequently encrypts the AES keys.
“Locky has moved from using simple encoding to obfuscate its network traffic to a complex encryption algorithm using hardware instructions that are very hard to crack,” the researchers wrote.
Microsoft has checked million of computers for the Locky and Kovter malware during the Patch Tuesday of this week. The company regularly performs these kind of checkups for which its Malicious Software Removal Tool (MSRT) is used. This tool is built into Windows and is able to detect and remove frequently discovered malware.
MSRT receives new malware-definitions each Patch Tuesday. This week these add detection for Locky and Kovter. Locky is considered a serious threat, recently Russian antivirus company Kaspersky Lab marked it as one of the biggest security threats of the first quarter of this year. Infections with Locky have been detected all over the world.
The ransomware is distributed through malicious macros in Office files. Once Locky infects the computer it encrypts all files and demands a ransom.
The other malware that is detected through this is update is Kovter, which performs click fraud on infected systems. This means the infected computers simulate clicks on advertisements which generates revenue that is paid to the cybercriminals behind the Kovter malware. This especially affects advertisers and advertising networks as they have to pay for the fake clicks that will never convert to sales.
Kovter is also distributed through malicious advertisements that tricks users into downloading an Adobe Flash Player update. The downloaded file isn’t an update but malware. The Kovter malware seems to be mainly infection computers in the United States. Hundreds of thousands of Windows computers have been attacked this way, according to Microsoft.
Microsoft especially added Kovter detection because the malware is hard to remove. The Redmond software giant hopes to have a bigger impact by adding support for removing Kovter to MSRT.