Ayant d’autres préoccupations toujours plus urgentes et ultra stressantes liées à toutes les exactions dont je suis victime de sa part depuis 2008, je n’avais jusqu’à présent jamais pris le temps de m’attarder à ses choix de pseudonymes sur le site Rue89.
Je me rattrape aujourd’hui avec cet article.
A l’évidence, pour le psychopathe, mythomane et usurpateur patenté Pascal Edouard Cyprien Luraghi qui ne peut s’empêcher de parler de lui-même comme il se manifeste à ses victimes à tout instant sans pouvoir toujours le faire de manière très claire eu égard aux risques encourus, en l’occurrence, une interpellation suivie de quelques années de détention puis de réclusion criminelle, le choix des deux personnages de « Max Schultz » et « Itzig Finkelstein » comme pseudonymes successifs sur le site Rue89 depuis fin 2014 ne doit rien au hasard.
Il trahit une psychopathologie et des activités qui correspondent exactement à ce dont je me plains de sa part et que je dénonce assez souvent dans mes écrits publics le concernant, faute d’être jamais suivie par les autorités judiciaires brestoises.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Z_3_Max_Schultz
Z 3 Max Schultz
Le Z 3 Max Schultz est un destroyer de la Classe Type 1934 de la Kriegsmarine.
Le nom du navire est un hommage au capitaine de corvette Max Schultz, mort durant la Première Guerre mondiale lors d’une bataille contre les Britanniques sur le torpilleur V 69 le 23 janvier 1917.
Histoire
Le 27 août 1939, le Max Schultz éperonne dans la nuit à l’est de Bornholm le torpilleur Tiger, qui coule à pic. L’équipage est récupéré par le destroyer. Ce dernier est gravement endommagé et doit être tracté par son sister-ship, le Georg Thiele, jusqu’à Świnoujście. Les travaux sont faits par Stettiner Oderwerke.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, le bateau est principalement utilisé dans la mer du Nord pour la pose de mines ou la guerre commerciale.
Le destroyer prend part le 22 février 1940 à l’opération Wikinger (de) dans le Dogger Bank, en compagnie des autres destroyers Leberecht Maass, Richard Beitzen, Erich Koellner, Theodor Riedel et Friedrich Eckoldt, pour poser des mines près des côtes anglaises. La flottille est attaquée par erreur par un Heinkel He 111, la Luftwaffe n’étant pas informée de l’opération. Lors des manœuvres d’évitements, le Leberecht Maass percute une mine anglaise et coule. En allant récupérer l’équipage, le Max Schultz touche de même une mine et coule peu après l’explosion. L’ensemble de l’équipage de 308 hommes trouve la mort.
Commandement
Voir aussi
Notes et références
https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Nazi_et_le_Barbier
Le Nazi et le Barbier
Le Nazi et le Barbier |
Auteur |
Edgar Hilsenrath |
Pays |
États-Unis |
Genre |
Roman grotesque |
Version originale |
Langue |
Anglais |
Titre |
The Nazi and the Barber. A Tale of Vengeance |
Éditeur |
Doubleday Publishing |
Lieu de parution |
New York |
Date de parution |
1971 |
Version française |
Traducteur |
(de l’allemand) Jörg Stickan, Sacha Zilberfarb, avec le concours du Centre national du livre |
Éditeur |
Éditions Attila |
Lieu de parution |
Rayol-Canadel-sur-Mer |
Date de parution |
2010 |
Type de média |
Publication imprimée |
Couverture |
Henning Wagenbreth |
Nombre de pages |
488 |
ISBN |
978-2-7578-2853-3 |
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Chronologie |
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Fuck America, Attila, 2009 |
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Orgasme à Moscou, Attila, 2012 |
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L’ouvrage Le Nazi et le Barbier (Der Nazi & der Friseur) de l’écrivain juif-allemand Edgar Hilsenrath est un roman grotesque sur la Shoah et la judaïté en liaison avec le national-socialisme et la création de l’État d’Israël. Il est publié pour la première fois en 1971 aux États-Unis par les éditions Double Day1. En mêlant burlesque et grotesque, s’apparentant aussi à la comédie paradoxale2, il raconte le destin d’un Allemand acquis aux idées nazies dont la lente et parfaite métamorphose en un juif stéréotypé lui permettra d’échapper à la justice des hommes, mais pas forcément à sa conscience. La première édition allemande date de 19773 chez Literarischer Verlag Braun, Cologne; c’est cette version qui a été traduite et publiée par les éditions Attila.
Résumé
Deux amis inséparables Max Schulz et Itzig Finkelstein grandissent ensemble dans la même petite ville de campagne en Allemagne. Le premier vit dans un monde sans repère marqué par la violence et la sexualité dépravée de sa mère et son beau-père; le second évolue dans un monde juif traditionnel sans anicroches, presque tout tracé. Max imite Itzig en tout : il observe, apprend, copie et adopte la personne qu’il admire jusqu’au jour du discours déclencheur du Führer qui annonce le basculement de l’intrigue. Le paradoxe de ces deux personnages est que leur physique ne correspond pas à leurs origines respectives selon les clichés de l’époque : Itzig a le type arien, Max rappelle sans aucune hésitation le physique caricatural du juif dépeint par la propagande des XIXe siècle et XXe siècle. Tout le roman est basé sur cette confusion cyclique, cette tare que Max saura transformer en un avantage quand le moment l’exigera. Une fois la métamorphose de Max en Itzig parachevée, les trois-quarts du roman emmène le lecteur dans deux environnements qui lui sont nettement moins familiers: celui de Berlin en ruines pendant la Nachkriegszeit et celui de la création de l’État d’Israël avec ses organisations clandestines, les kibboutzim et les différentes guerres qu’a connues ce pays avec les pays voisins. Le petit garçon allemand insignifiant deviendra un héros de l’indépendance d’Israël dont personne ne voudra contester la judaïté. Tout le grotesque est là.
Organisation interne
- Livre premier
- Livre second
- Chapitre 1 à 7: Dans les ruines de Berlin, nouvelles rencontres, lente transformation de Max en Itzig
- Livre troisième
- Chapitre 1 à 7: 1946, Max n’existe plus par lui-même, activités de marché noir
- Livre quatrième
- Chapitre 1 à 6: Périple sur le bateau Exitus et débarquement en Palestine
- Livre cinquième
- Chapitre 1 à 22: Les débuts en Palestine, puis Israël, l’expérience du soldat allemand au profit de la cause sioniste
- Livre sixième
- Chapitre 1 à 10: 1950, déménagement, stabilisation et embourgeoisement de la vie de Max alias Itzig.
La perspective du criminel
Le récit, raconté par le criminel lui-même, est conçu comme la biographie d’un SS, auteur d’innombrables meurtres, surveillant dans un camp de concentration, Max Schulz, qui, après l’effondrement du Troisième Reich, a usurpé une identité juive et a gagné Israël, afin d’échapper aux poursuites en Allemagne.
Le grotesque est caractérisé par le fait que les attentes du lecteur sont déçues de manière calculée et par le renversement des clichés habituels, par exemple ce qui concerne l’Allemand Max Schulz et son ami et camarade d’école le juif Itzig Finkelstein:
« Mon ami Itzig était un blond aux yeux bleus, il avait le nez droit, les lèvres bien dessinées et de bonnes dents. Moi, au contraire, Max Schulz, j’avais des cheveux noirs, des yeux de grenouille, le nez crochu, de grosses lèvres et de mauvaises dents. »4
Une autre particularité souligne la perspective du criminel, pour les lecteurs allemands de l’époque une nouveauté:
« Les lecteurs allemands sont depuis des années familiers avec des romans, des récits et des pièces de théâtre qui ont pour sujet la persécution et l’anéantissement des Juifs sous Hitler et sont traités de façon satirique-poétique et comique-grotesque. Mais tous sont conçus sous l’angle de la perspective des victimes, Hilsenrath au contraire choisit pour son roman la perspective du criminel. »5
Publication
Hilsenrath a eu des difficultés pour la publication de l’ouvrage en Allemagne comme cela avait déjà été le cas pour son premier roman La Nuit, parce qu’il brisait le tabou philosémite qui voulait que dans la littérature allemande d’après-guerre les juifs ne soient représentés que d’une manière positive, comme des sortes de héros.« L’air du temps est au philosémitisme. Effroyable spectre aux yeux embués. Qui un jour sécheront. » (Livre Troisième, chapitre 7, p. 234)
Hilsenrath au contraire décrit les juifs comme il décrirait d’autres hommes, avec leurs côtés positifs et négatifs, et il considère le philosémitisme comme un bonnet retourné dont on les aurait coiffés, donc comme une forme cachée d’antisémitisme toujours présent.
Bien que l’ouvrage ait déjà été publié aux États-Unis en 1971 et eût été fort bien accueilli, le manuscrit fut refusé par de nombreux éditeurs en Allemagne, sous prétexte qu’on ne doit pas écrire ainsi sur les Juifs. Ce n’est que six ans après la publication aux États-Unis que l’ouvrage est paru en 1977 en Allemagne chez un petit éditeur de Cologne, Helmut Braun.
Réception
Aux États-Unis, la publication du roman avait rencontré un grand succès, alors qu’en Allemagne à cause du tabou philosémite elle suscita bien des controverses. Heinrich Böll rendit hommage, dans une critique, à la qualité littéraire de l’œuvre et à son style, « qui foisonne plein de sève et pourtant touche souvent juste, déployant une poésie à la fois sombre et calme. » Le Nazi et le Barbier jouit depuis lors, de même que l’ensemble de l’œuvre d’Hilsenrath, d’une popularité croissante en Allemagne. En 1979 Le Nazi et le Barbier fut cité en Suède comme l’un des trois meilleurs livres parus. La valeur académique de l’œuvre d’Hilsenrath est désormais reconnue en Allemagne et à l’étranger – avant tout aux États-Unis.
Le début
« Je me présente : Max Schulz. Fils illégitime mais aryen pure souche de Minna Schulz, au moment de ma naissance servante dans la maison du fourreur juif Abramowitz. Mes origines aryennes pure souche ne font aucun doute, car l’arbre généalogique de ma mère, ladite Minna Schulz, sans aller jusqu’à la bataille d’Arminius, remonte au moins jusqu’à Frédéric le Grand.»
Notes et références
- ↑ Le Nazi et le barbier [archive], Martine Laval, Télérama n°3141, 27 mars 2010.
- ↑ Le Magazine littéraire, sur la quatrième de couverture de l’édition Attila POINTS, 2010
- ↑ Le Nazi et le Barbier et Fuck America, deux ouvrages d’Edgar Hilsenrath En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/culture/livre/le-nazi-et-le-barbier-et-fuck-america-deux-ouvrages-d-edgar-hilsenrath_885075.html#Zksd7gyLddVsiHAR.99 [archive], Alexandre Fillon, L’Express, 15 mars 2010.
- ↑ Edgar Hilsenrath, Le Nazi et le Barbier.
- ↑ (de)Auf der Suche nach der verlorenen Schuld. Edgar Hilsenraths grotesk-realistischer Roman über einen Nazi, der Jude wurde [archive], Manfred Rieger.