Attentat de Nice : une méthode connue, déjà usitée 15 juillet
Sébastien Sarron est mort dans sa cellule de la maison d’arrêt de Nantes le 13 avril dernier.
J’avais relayé l’information sur ce blog le même jour.
Rappelons qu’il aurait pu faire partie des nombreux internautes aux profils d’individus instables ou de petits voyous que manipulent depuis les années 2008 à 2010 les « déconnologues » de la bande du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi, ce dernier ayant été le premier à préconiser la méthode qui consiste à lancer son véhicule sur toutes les personnes susceptibles de le déranger, notamment les « bourgeois » qu’il hait tant.
Le même malade mental avait par ailleurs recommencé le même jour à faire grimper artificiellement mes statistiques de blog comme il l’avait toujours fait plus ou moins intensément depuis le 25 juillet 2014 au soir, durant les premiers mois à partir d’adresses IP renvoyant à des localités chinoises, et depuis le 13 avril dernier, donc, à partir d’adresses IP indiquant une localisation allemande.
Depuis mardi, 12 juillet 2016, j’ai enfin l’explication de ce délire absolument incroyable du malade mental et vous en ferai part un de ces jours.
Comme d’habitude lorsqu’il pense être prêt du but en ce qui me concerne, son explosion actuelle est de type euphorique.
Aujourd’hui, il jouit.
Les attaques de décembre 2014, particulièrement celle du Marché de Noël à Nantes, étaient similaires à celle d’hier soir, toutes proportions gardées.
Les auteurs des attaques terroristes des 7, 8 et 9 janvier 2015 à Paris étaient alors fin prêts à passer à l’action.
Il faut craindre de même de nouvelles attaques à haute charge symbolique durant l’été.
Joué-lès-Tours, Dijon, Nantes : trois attaques et un simple concours de circonstances
Ni la piste terroriste, ni un éventuel phénomène de mimétisme ou même une loi des séries ne permettent de relier ces trois faits divers.
Mis à jour le 24/12/2014 | 10:07, publié le 24/12/2014 | 07:09
Joué-lès-Tours, Dijon, Nantes… Sur ces trois attaques, une seule est présentée comme une « affaire de terrorisme » par les autorités : celle du commissariat de Joué-lès-Tours, le 20 décembre. Pour les deux autres, à Dijon et à Nantes, le mode opératoire est identique : un véhicule fonce délibérément sur la foule. Et « Allahou akbar » a été prononcé dans deux cas. Sinon, ces attaques sanglantes ne présentent que de rares points communs.
Si Manuel Valls dit « comprendre les inquiétudes vives et légitimes » des Français, le Premier ministre a assuré, mardi 23 décembre, qu’il n’y avait »aucun lien » entre ces attaques. Car tout laisse à penser que ces trois faits divers n’ont pas de liens entre eux et qu’il ne s’agit que d’un concours de circonstances. Voici pourquoi.
Des attaques liées par le terrorisme islamiste : non
A Joué-lès-Tours, l’action du jeune Burundais qui a blessé au couteau trois policiers au commissariat avant d’être abattu est imputée au terrorisme et à l’islamisme. L’homme, converti à l’islam depuis trois ans, aurait crié « Allahou akbar » avant de passer à l’acte. Dans le cas de Dijon, les autorités refusent de parler de terrorisme et évoquent « le fait d’un déséquilibré », rappelant que le chauffard a effectué « 157 passages psychiatriques entre 2001 et 2014″. L’homme souffre d’une « pathologie psychiatrique ancienne et lourde » faite de « délire mystique ». « Pour me donner du courage, j’ai crié ‘Allahou Akbar’ pour annihiler tout esprit critique », a-t-il expliqué aux enquêteurs. La qualification d’« entreprise terroriste n’est donc pas retenue ». A Nantes, l’homme qui a foncé sur le public du marché de Noël n’a tenu « aucun propos à connotation religieuse » et n’avait apparemment pas d’antécédents psychiatriques. Mais son comportement était devenu « instable » depuis plusieurs mois, selon la procureure de la République.
Difficile donc de lier ces trois attaques. La piste terroriste n’est privilégiée que dans le cas de celle de Joué-lès-Tours. Pour René-Georges Querry, ancien inspecteur général de police et ancien chef de l’Unité de coordination de la lutte antiterroriste, Manuel Valls a raison lorsqu’il assure qu’il n’y a « aucun lien » entre les trois affaires. « Je ne pense pas qu’on puisse maquiller aujourd’hui une enquête et cacher la réalité des faits à l’opinion publique, dit-il à 20 Minutes.fr. Des dizaines de personnes travaillent sur ces affaires. Pour mentir, il faudrait pouvoir obtenir le silence de nombreuses personnes. C’est impossible. »
Selon Jean-Pierre Bouchard, psychologue et criminologue, « il y a (…) trois profils différents qui se dégagent, trois mobiles différents et trois histoires différentes, même si on peut trouver quelques points communs : le rôle joué par un embryon d’idéologie religieuse dans l’attaque commise dans un commissariat de Joué-lès-Tours et dans une moindre mesure, dans celle survenue à Dijon, et un mode opératoire similaire à Dijon et Nantes », déclare-t-il à l’AFP. L’expert estime aussi que « les auteurs des attaques de Dijon et de Nantes n’ont pas agi pour les mêmes raisons », soulignant que l’homme de Nantes a « pu vouloir se suicider dans un baroud d’honneur, en fonçant dans la foule ».
Le phénomène de mimétisme : pas impossible
Dans l’attaque perpétrée à Dijon, l’assaillant, qui a prononcé un « Allahou akbar » n’avait pas eu connaissance de l’agression des trois policiers au commissariat de Joué-lès-Tour, selon le parquet. Le suspect de Nantes a-t-il, lui, voulu copier l’attaque de Dijon ? L’enquête le déterminera. A l’heure actuelle, rien ne l’indique, mais les spécialistes n’écartent pas totalement cette thèse. « L’hypermédiatisation de Dijon a pu influencer une sorte de mimétisme », explique le psychiatre Roland Coutanceau au Parisien (article payant).
« Le mimétisme est une façon d’exister », précise Gérard Lopez, psychiatre et fondateur de l’institut de victimologie de Paris, interrogé par L’Express.fr. « Il y a eu un battage médiatique autour du drame de Dijon et on y participe tous. On n’a pas arrêté d’en parler : cela peut inciter. Tous les impulsifs qui ont une personnalité fragile peuvent être tentés de sauter le pas, cela peut même devenir une épidémie. » Une position qui n’est pas partagée par Roland Coutanceau : « Il faut être prudent sur une comparaison des affaires. Et, rassurons-nous, la médiatisation d’un acte hors norme n’a pas d’effet épidémique. Cela dit, on ne peut pas exclure que la diffusion en boucle d’un tel acte dans les médias agisse comme un vecteur d’excitation, un ingrédient supplémentaire pour celui qui aurait décidé d’agir. Comme un élément catalyseur de sa détermination. »
La loi des séries : elle n’existe pas
En matière de faits divers, on invoque souvent, à tort, la loi des séries. Il faudrait plutôt parler de concours de circonstances et de probabilités que des faits plus ou moins similaires se produisent de façon rapprochée dans le temps. Les exemples sont nombreux : des crashs d’avions en 2005, des accidents de train durant l’été 2013, de nouveaux crashs d’avions à l’été 2014… On l’évoque aussi parfois lorsque les circonstances des faits sont similaires : enfants oubliés par leurs parents dans des voitures, attaques de chiens dangereux, etc. La loi de la probabilité explique ces coïncidences temporelles : il y a X risques que tel événement se produise à l’instant T.
Lorsqu’un drame est mis en lumière, les médias et le public ont tendance à plus se focaliser sur cet événement. S’il se reproduit, on aura tendance à se dire « un malheur n’arrive jamais seul ». Mais il ne s’agit que d’un ressort psychologique qui attire notre attention et nous rend plus réceptifs à l’événement. « [Dans] cette démarche de répétition naît un effet de sens : en assimilant deux occurrences, en reliant deux faits, on fait naître du néant une loi des séries ou une forme de fatalité qui confère une signification autrement plus importante à des événements en soi peu importants », expliquent Annik Dubied et Marc Lits dans Le Fait divers (éd. PUF, 1999). En d’autres termes, nous créons une forme de cohérence entre des faits qui ne le sont pas.
L’attaque de Dijon n’est pas un «acte terroriste» selon le parquet
L’homme qui a renversé plusieurs passants en voiture a agi seul selon la procureur, qui souligne qu’il avait effectué «157 passages en unité psychiatrique».
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L’attaque de Dijon n’est pas un «acte terroriste» selon le parquet
«Une scène d’apocalypse», «une scène tout simplement horrible» : les témoins de la course folle d’un chauffard, probablement déséquilibré, qui a blessé 13 personnes dimanche soir à Dijon, avaient du mal à trouver les mots pour décrire l’horreur. Alors qu’un premier bilan faisait état de 11 blessés, le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, a revu ce chiffre à la hausse, en évoquant 13. Six d’entre eux sont toujours hospitalisés, a-t-il ajouté.
Le ministre a rendu visite aux blessés au CHU de Dijon, puis aux policiers. Lors d’un bref point presse à la préfecture, il a indiqué que les motivations du chauffard n’étaient «pas établies», demandant de «ne pas tirer de conclusions hâtives» après cet acte intervenu au lendemain d’une attaque contre des policiers en Indre-et-Loire, par un homme qui avait également crié «Allah Akbar».
Dimanche soir, dans le centre de Dijon, un automobiliste, probablement déséquilibré, a heurté en plusieurs endroits de la ville 13 personnes, les blessant toutes dont deux plus grièvement, mais aucun pronostic vital ne serait engagé. Lundi, les traces des chocs avaient disparu ; durant la nuit, du sable avait été répandu au sol sur les taches de sang. Mais le matin on ne parlait que des événements de la veille. Selon les premiers témoignages recueillis sur place par la police, l’homme, suivi en hôpital psychiatrique et âgé d’une quarantaine d’années, vêtu d’une djellaba, a crié «Allah Akbar» (Dieu est grand) et dit avoir agi «pour les enfants de Palestine» avant d’être interpellé.
C’est au même cri d’«Allah Akbar» qu’un jeune d’une vingtaine d’années, Bertrand «Bilal» Nzohabonayo, a attaqué samedi au couteau des policiers du commissariat de Joué-lès-Tours (centre-ouest), blessant trois d’entre eux avant d’être abattu par les forces de l’ordre. Son frère, Brice Nzohabonayo, connu pour son engagement dans un «islamisme pur et dur», a été arrêté au Burundi, pays d’orgine des deux jeunes gens.
Après ces deux drames, le président François Hollande a appelé, en Conseil des ministres, à «l’extrême vigilance des services de l’Etat». Tout en affirmant qu’il ne fallait «pas céder à la panique», le président a rappelé que la position de l’exécutif tenait en «trois mots : solidarité, vigilance et action».
«J’ai vu comme des pantins se désarticuler»
Interrogée lundi matin par l’AFP près de la place Wilson, une femme d’une cinquantaine d’années, témoin du drame et qui n’a pas souhaité donner son identité, a parlé d’une «vraie scène d’apocalypse». «On rentrait chez nous, on a vu quatre personnes à terre complètement tétanisées, qui ne bougeaient absolument plus», a-t-elle raconté. «Des voitures ont stoppé pour porter tout de suite les premiers secours. Très vite les pompiers et le SAMU étaient sur place.» «J’ai vu comme des pantins se désarticuler sous mes yeux», a relaté un autre témoin, cité par Le Bien Public. «C’était tout simplement une scène horrible», a-t-il ajouté.
Le conducteur de la voiture, connu de la police pour des faits de droit commun remontant aux années 1990, a été interpellé au terme d’une course-poursuite et placé en garde à vue. La procureur de la République à Dijon a affirmé lundi que l’auteur de l’attaque souffrait d’une «pathologie psychiatrique ancienne et lourde» pour laquelle il a fait «157 passages en unité psychiatrique», a précisé la procureur de la République Marie-Christine Tarare. «Il ne s’agit pas d’un acte terroriste», a-t-elle affirmé au cours d’une conférence de presse, précisant que le chauffeur reconnait avoir agi «volontairement» et «seul».
Bernard Cazeneuve a toutefois expliqué que «faire peur» était «l’objectif des terroristes» et que «l’emballement et la fébrilité seraient pour eux une première victoire». «Chacun sait en France que la menace est réelle, il faut l’anticiper pour la contrer», a-t-il ajouté. «Je n’ai pas assez de mots pour dire mon effroi face à cet acte odieux qui démontre qu’aucune ville de France désormais n’est à l’abri d’attaques de fanatiques dans un contexte qui exacerbe la montée des extrémismes», a déclaré Alain Houpert, sénateur de la Côte d’Or, dans un communiqué.
Marine Le Pen a, elle, dénoncé «les tentatives de minimiser au maximum les faits» qui se sont déroulés à Joué-les-Tours et à Dijon, qu’elle a qualifiés «d’attentats», en marge de la visite du marché de Noël des Champs-Elysées. La présidente du FN a expliqué que «lorsqu’on est dans le déni, on peut s’attendre à ce que ceux qui nous gouvernent ne soient pas susceptibles de mettre en œuvre les conditions pour lutter contre ce phénomène», s’accompagnant d’«exhortations de fondamentalistes islamistes».
L’archevêque de Dijon, Mgr Roland Minnerath, a exprimé dans un communiqué son «indignation devant une violence aussi insensée» et souhaité que «de tels actes ne découragent pas ceux qui vivront Noël comme un appel à plus de fraternité et de paix».
Véhicule lancé pour tuer: une arme déjà utilisée
Par AFP , publié le 15/07/2016 à 08:07 , mis à jour à 09:44
Paris – La course folle d’une voiture ou d’un camion comme arme de terreur: le poids lourd qui a fauché mortellement au moins 84 personnes à Nice, jeudi soir, jour de fête nationale, renvoie à un mode opératoire connu des services de l’antiterrorisme.
Une telle utilisation de véhicules n’est pas une première en Occident: deux attaques au nom du jihad prenant pour cibles des militaires ont récemment marqué les esprits.
En mai 2013, deux Londoniens d’origine nigériane avaient renversé en voiture le jeune soldat Lee Rigby à Londres avant de le larder de coups de couteau. Sur une vidéo filmée juste après l’agression, l’un des meurtriers déclarait avoir voulu venger les « musulmans tués par des soldats britanniques« . Lors de son procès, ce père de six enfants a déclaré qu’il était en « mission » en tant que « soldat d’Allah » et « en guerre contre la Grande-Bretagne« , en invoquant la loi du talion.
Quelques mois plus tard, en octobre 2014, un Canadien de 25 ans récemment converti aux thèses jihadistes avait foncé au volant de sa voiture sur trois militaires, en tuant un et en blessant un autre, au bord d’une route dans la banlieue de Montréal.
Cerné par la police au terme d’une course-poursuite, l’assaillant s’était extirpé de son véhicule, couteau en main, avant d’être abattu. En rupture familiale, le jeune homme voulait rejoindre la Syrie.
Depuis plusieurs années, Al-Qaïda et le groupe Etat islamique exhortent, à longueur d’articles ou de vidéos sur internet, leurs recrues et leurs volontaires à passer à l’action sans attendre, sans ordres précis, sans organisation pour les entraîner ou les soutenir.
Passer à l’action de manière isolée et avec n’importe quelle arme disponible, telle était la consigne donnée en septembre 2014 par Abou Mohammed Al-Adnani, porte-parole officiel de l’organisation jihadiste Etat islamique.
Dans un message audio diffusé par Al Furqan, le principal média de l’EI, le Syrien avait exhorté ceux qu’il nomme les « soldats du califat » à attaquer des cibles par tous les moyens: « Levez-vous, monothéistes, et défendez votre Etat à partir de votre lieu de résidence, où qu’il soit (…)« .
« Si vous ne pouvez pas faire sauter une bombe ou tirer une balle« , leur dit-il, « débrouillez vous pour vous retrouver seul avec un infidèle français ou américain et fracassez-lui le crâne avec une pierre, tuez-le à coups de couteau, renversez-le avec votre voiture…«
Il y a un mois, le 13 juin, Larossi Abballa a utilisé un simple couteau pour tuer un policier et sa femme à leur domicile près de Paris, dans une attaque qui a été revendiquée par l’organisation jihadiste Etat islamique.
La section antiterroriste du parquet de Paris est saisi de l’enquête sur l’attaque au poids lourd de Nice dont les motivations ne sont pas encore connues.
Attentat de Nice : une méthode qui rappelle des consignes de l’Etat islamique
- Par lefigaro.fr
- Mis à jour le 15/07/2016 à 09:45
- Publié le 15/07/2016 à 03:11
VIDÉO – En septembre 2014, un important cadre de l’Etat islamique appelait ses partisans à utiliser n’importe quel moyen pour tuer, y compris des véhicules-béliers.
Son nom est Abou Mohammed Al-Adnani. Ce syrien, vétéran du djihad depuis l’invasion américaine en Irak, est connu des services de renseignement occidentaux pour être le porte-parole de l’Etat islamique et son «ministre des attentats». En septembre 2014, il livrait une consigne à ses partisans, «les soldats du califat», qui rappelle fortement l’attaque de jeudi soir, à Nice, remarque Le Parisien.
» EN DIRECT – Suivez notre live sur l’attentat de Nice
«Si vous ne pouvez pas faire sauter une bombe ou tirer une balle, débrouillez vous pour vous retrouver seul avec un infidèle français ou américain et fracassez-lui le crâne avec une pierre, tuez-le à coups de couteau, renversez-le avec votre voiture, jetez-le d’une falaise, étranglez-le, empoisonnez-le», disait-il dans long message audio diffusé en septembre 2014 par Al Furqan, l’un des princpaux canaux de communication de l’EI.
«Que l’infidèle soit combattant ou civil est sans importance. Leur sentence est la même: ce sont tous deux des ennemis. Leur sang est permis», ajoutait le terroriste. Déjà à Nice, trois militaires avaient d’ailleurs été attaqués par un homme armé de couteaux, en février 2015.
Si l’attaque de Nice n’a pour l’instant pas été revendiquée, la section antiterroriste du parquet de Paris s’est d’ores et déjà saisie de l’enquête. Plusieurs partisans de l’État islamique s’en sont par ailleurs très vite félicité sur les réseaux sociaux. Enfin, c’est le président de la République lui-même, François Hollande, qui a clairement établi un lien avec Daech: «Nous continuerons à frapper ceux qui, justement, nous attaquent sur notre propre sol, dans leur repère», a-t-il prévenu, annonçant une intensification des frappes françaises en Irak et en Syrie.
Par ailleurs, le journaliste de RFI David Thomson, relève via son compte Twitter que l’attaque de Nice intervient alors qu’un djihadiste français a appelé, jeudi, ses partisans à ne plus rejoindre la Syrie ou l’Irak pour privilégier des attaques dans l’Héxagone. «Déchire ton billet pour la Turquie, le firdaws est devant toi, tu manipules deux/trois voyous, tu trouves une arme dans n’importe quel quartier», dit-il dans une vidéo.