L’écologie selon Julie Le Goïc… 1 août
Je ne suis pas la seule ni la première à avoir fait remarquer que son ancien engagement dans un parti écologiste n’était qu’opportuniste.
Elle a toujours été et reste membre du groupe trotskyste dirigé d’une main de fer dans un gant de crin par la grande criminelle Josette Brenterch.
Pour l’anecdote, je rappelle qu’au printemps 2005, alors que cette dernière tentait sans succès de me faire exclure de l’association AC ! Brest depuis déjà plusieurs mois, elle y avait ramené plusieurs de ses vieux amis tous à ses bottes, dont Michel Le Doaré, arrivé en fanfare en insultant tout le monde le mardi 3 mai 2005.
L’association ne faisait soi-disant plus rien depuis que j’y étais active, inspirant la plupart de ses nouvelles actions.
Il était là tout tonitruant pour nous remettre sur les bons rails, ceux de l’action, la seule, la vraie : brûler des pneus !
Une vraie marotte chez ces gens-là qui en crèvent aussi beaucoup lorsqu’ils s’attaquent à des personnes.
A se demander s’ils n’ont pas des actions chez Michelin…
Pneus brûlés. Manifestants et forces de l’ordre en première ligne
Modifié le 27 mai 2016 à 13h23
« C’est une véritable violence faite à l’environnement et aux manifestants eux-mêmes, aux forces de l’ordre et aux riverains ! ». L’association de protection de l’homme et de l’environnement Robin des Bois, par la voix de son porte-parole Jacky Bonnemains, ne mâche pas ses mots face aux feux de palettes et, surtout, de pneus qui fleurissent aux quatre coins de la France depuis une semaine. « Autour de 500 tonnes de pneus sont partis en fumée, selon nos estimations, depuis huit jours en France ». L’impact environnemental et sanitaire est indéniable, si l’on considère qu’un kilo de pneu carbonisé libère dans l’atmosphère 2 g de benzène (cancérogène), 110 g de particules fines et 10 g de dioxyde de soufre, sans oublier les 7,8 % d’arsenic que l’on retrouve dans les cendres, selon l’association.
Arroseurs arrosés
Les personnes les plus impactées par ces feux de pneus sont, en première ligne, les manifestants eux-mêmes, en plus des forces de l’ordre, des riverains et des témoins immédiats de ces barrages.
« Cette manière d’exprimer son mécontentement et de vouloir attirer l’attention à soi est complètement dépassée, elle se retourne d’ailleurs complètement contre la santé des protagonistes », ajoute Jacky Bonnemains. En ces temps de tensions sociales, rares sont les organismes ou les associations qui osent dénoncer la pratique, également très prisée des agriculteurs en colère.