Olivier Ertzscheid « malhonnête » selon le nazi barbant… 30 août
Encore un article d’Olivier Ertzscheid sur Rue89 ! On y retrouvera bientôt tout son blog…
Cette fois, il s’agit de trolling, à la suite d’un précédent article sur le même thème, et bien entendu, le nazi barbant Pascal Edouard Cyprien Luraghi est toujours là à « commenter » ou ressasser toutes ses obsessions sur les « corbeaux », les femmes harcelées dans le travail, sur Internet ou ailleurs, qui toutes ne feraient toujours que de la « victimisation » – et seraient même carrément des harceleuses quand c’est lui qui les harcèle et appelle publiquement au viol ou au meurtre à leur encontre – les « pires crapules libertariennes patrons de boîtes pourries », et les « intellectuels creux comme des calebasses sèches, brassant du vide » (sic)…
Il ne semble toujours pas capable de se reconnaître dans les différentes définitions du troll proposées par les uns et les autres.
Il va falloir lui mettre les points sur les i, ou « le museau dans son caca », comme l’écrit si bien l’encoprétique face au miroir…
http://rue89.nouvelobs.com/2016/08/30/veni-vidi-trolli-defense-trolling-265021
Veni Vidi Trolli : en défense du trolling
Bien sûr, il y a les trolls qui inondent de commentaires foutraques. Mais aussi des snipers des réseaux, qui jouent un peu le rôle du gueuloir de Flaubert.
Oui mais non. Le trolling, ce n’est pas juste de la rhétorique. Si cela restait de l’ordre de la rhétorique, précisément, ce serait bien. Il y a une confusion entre trolling et non-trolling dans tout l’article.
Par exemple, ça, ce n’est pas du trolling :
« Nous avons répondu par la vindicte à des discours pourtant modérés, nous avons appelé à l’insurrection sur des sujets nécessitant surtout de la mesure et de la diplomatie, nous avons usé de mauvaise foi manifeste, nous avons exprimé des opinions partisanes dans des espaces où nous savions qu’elles ne seraient pas les bienvenues, qu’elles provoqueraient gêne ou embarras, nous avons moqué, raillé. » → Ça, c’est juste une attitude normale d’être humain faillible.
Les vrais trolls ont quelque chose d’obsessionnel. Ils sont haineux à un point qui dépasse l’entendement. Ils font tout leur possible pour ramener chaque article à leur obsession. Ils ne défendent aucun point de vue, ils ressassent le même disque ad libitum.
Non mais le faux troll n’est autre que le docteur Faustroll , qui est une espèce de sympathique docteur Yûl ; -)
C’est la catégorie la plus répandue : le corbac. Une vile engeance qui autrefois faisait la une des gazettes (Angèle Laval, etc.) et qui prolifère de manière prodigieuse sur ce support semblant avoir été entièrement conçu pour elle : l’internet.
Bien dit Olivier. Moi aussi je reste sur touittère. Real Gangsta.
(ah mais non, suis-je bête, je n’y ai jamais été)
La rébellion s’est emparée des canapés. Et des petits fours.
(à l’instar de Soral répondit l’écho, cataclop cataclop)
http://rue89.nouvelobs.com/2016/08/25/lenquete-time-comment-les-trolls-pourrissent-internet-264984
L’enquête du Time : comment les trolls pourrissent Internet
Un article sur un reportage… Et bien, et bien ! ça turbine pas mal en salle de rédac !
Ce matin à la rédac de rue :
- Comment on va faire pour faire la publicité de Twitter ?
- Et si j’écrivais un article sur un autre article avec des extraits de personnes qui commentent l’article sur twitter ?
- Génial ! Vas-y !
Merci les gars pour ce beau moment de journalisme (ou publi-journalisme ?) !
Tout est, en fait, une question de moyens, de budget. Faire une enquête fouillée pour un article, c’est passer six mois sur un seul article. L’article sera génial mais ce n’est pas du tout rentable pour le patron. Alors que publier 10 articles par jour, mais au contenu moins fouillé, c’est plus rentable.
S’il n’y avait que les Pokémons. Mais il y a aussi les minets youtubeurs, les moindres faits et gestes des pires crapules libertariennes patrons de boîtes pourries genre Uber, Tesla, Periscope, etc., l’apologie de la victimisation people (cent pour cent de femmes, vous aurez sans doute noté). Et j’en passe. Quand ce ne sont pas des tribunes d’intellectuels creux comme des calebasses sèches, brassant du vide.
C’est un milieu hermétiquement fermé à la diversité et qui tourne en rond dans ses petits cénacles bien balisés, je crois.
à se demander pourquoi vous passez votre vie sur ce site à le critiquer.
Y a pas d’âme, pas de sel, pas de conviction, pas de tripe, dans leur soupe.
« Nous avons répondu par la vindicte » etc.
Ne parlez pas en notre nom. C’est un procédé malhonnête de faire ça. Merci.