A Mulhouse, une ancienne enseignante à la tête d’un réseau de proxénétisme

Comme quoi le statut de professeur de l’Education nationale, en activité ou en retraite, comme l’est désormais Josette Brenterch du NPA de Brest, ne garantit en aucune manière que la personne qui en bénéficie ne puisse participer à des activités de proxénétisme aggravé, voire les organiser elle-même, comme il semblerait que ce soit le cas pour cette ancienne enseignante.

Les personnes qui à l’instigation de Josette Brenterch du NPA de Brest me vendent publiquement comme prostituée depuis 2010 seraient tout comme elle déjà toutes poursuivies, voire condamnées depuis longtemps, si – malheureusement – les magistrats brestois qui ont été saisis de mes plaintes ne participaient eux-mêmes exactement aux mêmes faits de proxénétisme aggravé.

A partir d’aujourd’hui, étant données toutes leurs exactions en vue de me contraindre à la prostitution, dont de nouveaux épisodes récents et particulièrement scandaleux, je les nomme sans plus aucune gêne.

A la suite du juge Raymond André, participant à de tels faits depuis le début des années 2000 au moins, il y a depuis 2012 deux femmes juges d’instruction qui ont multiplié les actes positifs s’inscrivant très clairement dans la même volonté de me conduire à la prostitution de force, puisque je refuse toujours de m’y livrer de gré, tandis que leurs complices de la bande du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi me vendaient publiquement comme prostituée : il s’agit de Mmes Céline Verdier et Muriel Corre.

Voilà qui est dit, je n’hésite plus à nommer publiquement les différents proxénètes auxquels j’ai toujours affaire à Brest et ailleurs, en précisant que leurs exactions à mon encontre deviennent de plus en plus violentes au fur et à mesure que le temps passe et que je m’obstine à refuser de me prostituer.

 

https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/mulhouse-une-ancienne-enseignante-la-tete-d-un-reseau-de-proxenetisme-1477063220

VIDEO | une ancienne enseignante à la tête d’un réseau de proxénétisme mulhousien

 

Par Céline Rousseau et Patrick Genthon, France Bleu Alsace, France Bleu Elsass et France Bleu vendredi 21 octobre 2016 à 17:20

 

L'un des établissements de nuit fermé administrativement à Mulhouse.
L’un des établissements de nuit fermé administrativement à Mulhouse. © Radio France – Patrick Genthon

 

Un réseau de proxénétisme a été démantelé à Mulhouse. Trois établissements de nuit ont été fermés. Ils étaient dirigés par une enseignante à la retraite, septuagénaire.

La police judiciaire de Mulhouse a démantelé un réseau de proxénétisme. Trois établissements de nuit, situés dans le centre de la ville ont été fermés : « Le Marquis », « Le Diam’s » et « L’impérial ». Une dizaine de prostituées y officiaient, passant d’un bar à l’autre. Ils étaient dirigés de fait par une femme de 73 ans, une enseignante à la retraite, surnommée « Madame N. »

Trois mises en examen

Le procureur de la République de Mulhouse, Dominique Alzéari, parle (vidéo ci-dessous) d’une « organisation structurée » avec à sa tête Madame N, « qui tenait un rôle décisif ».

 

 

L’enquête de la police judiciaire a débuté en juin dernier. Neuf personnes ont finalement été interpellées dans la nuit du lundi 17 au mardi 18 octobre. Trois ont été mises en examen, dont la « tête pensante » du réseau, la septuagénaire. Elle a été mise en examen pour proxénétisme aggravé a précisé le procureur de Mulhouse Dominique Alzéari ce vendredi après-midi.

La préfecture du Haut-Rhin a pris un arrêté de fermeture administrative pour six mois à l’encontre des trois établissements en question.



Evacuation de squats au Forestou à Brest : trois militants placés en garde à vue

 

 

 

Entre autres choses, un gendarme a été mordu jusqu’au sang…

 

http://www.letelegramme.fr/finistere/brest-un-squat-de-migrants-evacue-au-forestou-22-10-2016-11264525.php

Brest. Un squat de migrants évacué au Forestou

 

Publié le 22 octobre 2016
A Brest, au Forestou, l’évacuation par les forces de l’ordre de cinq anciennes maisons de cheminots, squattées par 35 migrants, a eu lieu hier matin. Essentiellement des familles, dont 15 enfants, qui s’y étaient installées depuis le printemps. Cette évacuation faisait suite à une décision de justice en début de semaine à la demande de Brest Métropole Habitat (BMH) qui envisage la construction sur le site de logements sociaux. Selon un communiqué de la préfecture du Finistère, « 15 personnes ont été hébergées, environ 25 autres ont refusé l’hébergement proposé ». Ces migrants, « en situation irrégulière », sont originaires de Roumanie, Albanie et Macédoine. Une centaine de membres du mouvement « Zéro personne à la rue » étaient sur place lors de l’évacuation. Certains ont opposé de la résistance, trois d’entre eux ont dû être évacués d’un toit à l’aide de la grande échelle des pompiers. Ils ont, par la suite, été placés en garde à vue. Des solutions provisoires de relogements ont été proposées par les militants, notamment pour une femme enceinte (qui doit rester alitée). Pour le reste, des militants entendaient les diriger vers la salle de l’Avenir, place Guérin.

 

 

http://www.letelegramme.fr/finistere/brest/forestou-evacuation-sous-tension-22-10-2016-11264957.php

Forestou. Évacuation sous tension

 

Publié le 22 octobre 2016

Forestou.  Évacuation sous tension
Forestou.  Évacuation sous tension

 

Thierry Dilasser et Sarah Morio Les forces de l’ordre ont évacué, hier matin, les cinq anciennes maisons de cheminots du Forestou squattées depuis plusieurs mois. 35 migrants, soutenus par une centaine de membres du mouvement « Zéro personne à la rue » se trouvaient sur place. Certains ont opposé de la résistance. Trois personnes ont été placées en garde à vue

 

8 h 40. Les téléphones portables retentissent. Un guet en veille place de Strasbourg prévient que des gendarmes viennent de passer. Au Forestou, certains militants ne s’y attendaient visiblement pas. Mais le pragmatisme reprend le dessus. Repli de tous dans les maisons. 9 h. L’escadron de CRS, devancé par des motards, est arrivé en trombe. Le scénario semble parfaitement orchestré. Le quartier est quadrillé. Des fourgons obstruent les rues. Gendarmes et policiers se mettent en position d’attente. Les curieux sont tenus à bout de gaffe, derrière un cordon de sécurité. 9 h 05. Début des opérations. Le sous-préfet et le commissaire central sont sur place pour coordonner les opérations. Les tensions sont palpables. Trois militants se perchent sur le toit. De là, ils semblent diriger la bataille, invectivent les forces de l’ordre et donnent des instructions aux militants restés dans la rue… Militants qui sont rapidement repoussés manu militari derrière le cordon de sécurité. Ils crient « aux violences policières et mauvais traitements ». Plus tard, le préfet condamnera, lui, « les agressions, inacceptables dont ont été victimes les gendarmes ». L’un d’eux a notamment été mordu à sang. 9 h 15. Deux camions de la ville arrivent sur place pour « mettre les familles à l’abri ». 10 h.

La grande échelle des pompiers a été appelée. L’objectif : déloger les trois réfractaires qui n’ont visiblement pas l’intention de quitter le toit. Les gendarmes devront s’y prendre à quatre reprises. Quatre face-à-face musclés où il leur a été bien difficile de maîtriser ces individus très agités. Au final, les trois ont été placés en garde à vue. Présentés au parquet dans la journée, d’eux d’entre eux ont été remis en liberté avec une convocation en justice pour rébellion en réunion. Le troisième, considéré comme le plus virulent, sera présenté aujourd’hui, en vue d’une procédure de comparution immédiate lundi. En attendant, le parquet demandera un mandat de dépôt. 10 h 05. Le mouvement « Zéro personne à la rue » n’entend pas lâcher prise. Regroupés rue Guynemer, ils déversent des gravats sur la chaussée pour empêcher les camionnettes de BMH d’accéder aux maisons. Un des responsables est verbalement pris à parti. 10 h 30. Fin de la première étape. Les maisons sont vides de tout occupant. Services de BMH et bulldozer peuvent passer à l’action pour vider et dévitaliser les cinq pavillons. Le tout sous protection policière. Pendant ce temps, un barnum a été installé à l’arrière du squat. Tous les migrants sont enregistrés et un hébergement leur est proposé le temps de l’analyse de leurs situations (situations différentes qu’on soit ressortissants européens, migrants économiques, demandeurs d’asile ou personnes déboutées). 12 h. L’avocat des migrants vient à leur rencontre. Il veut, de visu, expliquer aux principaux intéressés l’action qu’il a lancée. Les deux familles qui ont refusé les solutions d’hébergement d’urgence proposées par les services de l’État, dont une femme enceinte, se regroupent dans la cour d’un petit collectif située en face du squat. Les forces de l’ordre leur emboîtent le pas. Un nouveau face-à-face qui semble inquiéter des locataires prostrés à leurs fenêtres. Débute alors un statu quo qui durera toute l’après-midi. 17 h 30. Une dizaine de sympathisants du mouvement sont toujours sur place. Ils ont trouvé des solutions provisoires. Une proche du mouvement accueillera la femme enceinte (qui doit rester alitée), une autre ouvrira ses portes à deux adultes. Pour le reste, des militants entendent les diriger vers la salle de l’Avenir, place Guérin. Une idée qui ne fait pas l’unanimité. 19 h 30. Les migrants, ils sont au moins une vingtaine, occupent la salle de l’Avenir, place Guérin, comme envisagé plus tôt, aux côtés de membres du mouvement. Ils ont reçu le soutien d’Emmaüs et La Croix-Rouge s’apprête à les rejoindre.



Evacuation de militants au Forestou à Brest

 

Brest. Evacuation d’un squat de migrants au… par Letelegramme
 

Opération délicate s’il en est…

On remarque au passage que ce ne sont pas Josette Brenterch du NPA de Brest ni aucun de ses copains profs ni même leur homme de paille André Garçon, patron en titre de la section locale du NPA, qui prennent des risques avec leurs vies et montent sur les toits, mais de leurs jeunes affidés fanatisés, tel Clément Méric en 2013 à Paris.

 

http://www.letelegramme.fr/finistere/brest/brest-evacuation-en-cours-d-un-squat-de-migrants-au-forestou-21-10-2016-11264136.php

Brest. Des migrants refusent les solutions proposées

 

Publié le 21 octobre 2016 à 12h40

 

A Brest, au Forestou, l’évacuation de cinq anciennes maisons de cheminots squattées par une cinquantaine de migrants de cinq ou six nationalités différentes a eu lieu ce vendredi matin. Mais, pour l’heure, deux familles refusent les solutions proposées.

 

12H40. La préfecture dénonce des « agressions », « inacceptables dans un Etat de droit »

 

12H10. A l’intérieur du squat… [Les images]

 

Evacuation de militants au Forestou à Brest dans Corruption brest-des-migrants-refusent-d-etre-pris-en-charge-direct_3140130_540x304p

 

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(Photos Sarah Morio) 

11h55. Le bilan de l’évacuation
Le bilan est le suivant : cinq familles ont été évacuées, ce qui représente un total de 35 personnes, dont 15 enfants. Deux de ces cinq familles ont refusé la prise en charge, à savoir quatre nuits d’hôtel à Plougastel-Daoulas. Ces migrants, parmi lesquels une femme enceinte, se sont donc installées sur le trottoir.
A noter que la situation administrative de l’ensemble des migrants sera examinée dans les jours à venir.
Enfin, les services de Brest Métropole Habitat interviennent sous protection policière.

11H35. Des migrants refusent d’être pris en charge
La situation est inextricable : des migrants ont, en effet, refusé les solutions de prise en charge. Ils ont récupéré des chaises et des matelas, et se sont installés sur les trottoirs, près des maisons évacuées.

 

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(Photo Sarah Morio) 

11H05. La rue Guynemer bloquée par des gravats
Des membres du comité de soutien bloquent actuellement la rue Guynemer, qui jouxte les maisons évacuées, avec des gravats, pour empêcher les camions de Brest Métropole Habitat d’intervenir.

11H00. La situation des migrants étudiée au cas par cas
Les migrants sont actuellement vus par les services de l’Etat qui font un point individuel de chaque situation et, à l’issue, « proposent un hébergement », a précisé la ville de Brest.
« La ville apporte, comme elle l’a fait par le passé, un appui technique pour que le lien entre les services de l’Etat en Finistère et les personnes se déroule dans les meilleures conditions au regard du contexte (exemple : accompagnement des personnes sur les lieux d’hébergement). La ville a demandé aux services de l’Etat qu’un hébergement soit proposé aux personnes le temps de l’analyse de leurs situations (situations différentes qu’on soit ressortissants européens, migrants économiques, demandeurs d’asile ou personnes déboutées) ».

10H45. Le squat évacué
L’évacuation vient de se terminer. Il n’y a plus aucun migrant à l’intérieur des maisons. Le troisième militant a, lui, été évacué du toit. Des fourgons de Brest Métropole Habitat viennent d’arriver pour procéder à la suite du désamiantage.

10H35. Nouvelle tentative pour évacuer le dernier militant
Nouvel essai pour évacuer le dernier militant sur le toit. Un pompier et un gendarme sont dans la nacelle. Un matelas a été installé en dessous.

10H30. Arrivée d’un bulldozer
Un bus vient d’embarquer des migrants vers une destination inconnue et, selon certains témoins, un bulldozer viendrait d’arriver à proximité de la zone.

10H20. Le troisième militant se trouve encore sur le toit

10H17. Après s’être débattue et avoir glissé sur les ardoises, une deuxième militante vient d’être embarquée 

10H15. Intervention sur le toit pour déloger les militants 
Intervention en cours pour déloger les trois individus postés sur le toit. Les résistances sont importantes. L’un d’entre eux a été ramené à terre. Un autre est monté plus haut sur le toit.  Dans la rue, leurs soutiens sont en colère.

10H05. La grande échelle des pompiers vient d’arriver 

10H00. Trois militants toujours sur le toit du squat
On a du mal à comprendre ce qui se passe. Les journalistes et soutiens sont tenus à l’écart derrière un cordon de CRS. Des fourgons bloquent les rues. Sur le toit d’une des maisons, trois militants vocifèrent.
Des sacs de vivres ont été transportés dans le squat pour les migrants qui y demeurent. Il y a, notamment, des enfants et une femme enceinte. Certains migrants sont sortis d’eux-mêmes.
A noter qu’une tente a été installée à proximité du squat pour étudier « au cas par cas » la situation des migrants. Des interprètes sont présents.
Cela faisait quatre nuit que des membres du comité de soutien se relayaient dans l’attente de l’expulsion.

9H25. Nouvelle sommation
Les CRS évacuent un à un les membres du comité de soutien qui font barrage.

9H15. La ville prend en charge les familles
Deux véhicules de la ville viennent d’arriver pour prendre en charge les familles délogées. Elles devraient être conduites dans des hôtels de l’agglomération.

9H00. Les CRS investissent la rue
Peu avant 9h, ce vendredi, une dizaine de fourgons de CRS étaient sur place. Des militants d’un comité de soutien ont grimpé sur le toit, la tension est palpable.

 

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(Photo Sarah Morio)

Le contexte
La menace planait depuis ce lundi 17 octobre, jour où le collectif « Zéro personne à la rue » s’est mobilisé suite à la requête d’un cabinet d’huissiers brestois adressée aux familles de migrants occupant cinq anciennes maisons de cheminots rue Forestou-Creis et rue Teuroc. Des maisons propriétés de Brest Métropole Habitat.Une cinquantaine de personnes sont concernées, dont 17 enfants.

 



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