Je décline toute responsabilité quant aux mentions qui s'affichent dans les cinq lignes ci-dessus du pavé "Recherchez aussi" sur lequel je n'ai aucun contrôle.
Mes statistiques sont bloquées depuis le 2 février 2015.
7 février 2015
Mes statistiques sont de retour, tout fonctionne.
16 février 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 12 février.
22 février 2015
Mes statistiques "basiques" ont été débloquées hier soir après la publication de mon dernier article concernant NEMROD34. Belle reprise simultanée de l'activité du Chinois.
23 février 2015
Statistiques "basiques" toujours sujettes à blocages : le 21 février au soir, à peine étaient-elles débloquées, puis à nouveau hier, 22 février, à peine étaient-elles débloquées.
24 février 2015
Statistiques "basiques" débloquées. Pas de nouveau pic d'activité du Chinois depuis le 21 février.
25 février 2015
Je n'ai pas mes statistiques "basiques" du jour, ça bloque encore... et Justinpetitcoucou est toujours bloqué depuis le 8 février... Faudrait penser à le débloquer, lui aussi, il y a du laisser-aller, là...
26 février 2015
Statistiques "basiques" des deux blog débloquées. Merci pour Justin, il était temps !
27 février 2015
Statistiques "basiques" des deux blogs de nouveau bloquées depuis le 26 février. Ce petit jeu pourrait-il cesser ? On n'en voit pas l'intérêt... Complément de 22 h: merci de m'avoir rendu ces statistiques !
25 mars 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 20 mars.
26 mars 2015
Merci de m'avoir débloqué mes statistiques "basiques". Encore une fois, je ne vois pas l'intérêt de ce petit jeu. Ce serait aussi bien de cesser de bloquer ces statistiques pour oublier de les débloquer jusqu'à ce que j'aie signalé le problème.
31 mars 2015
Merci de bien vouloir me débloquer les statistiques "basiques" de Justinpetitcoucou, restées bloquées depuis le 14 mars - cf. avis du 25 mars sur Justin.
2 avril 2015
Merci de m'avoir rendu les statistiques de Justin.
7 mai 2015
Je n'ai plus de statistiques depuis deux jours, ni "basiques" ni "avancées".
10 mai 2015
Retour des statistiques "basiques". Merci. Manquent encore les statistiques "avancées".
14 mai 2015
Toutes mes statistiques sont de retour depuis hier. Merci.
3 octobre 2015
Depuis hier, les compteurs de mes statistiques avancées sont tous à zéro. Merci de me les rendre.
Dans ce cas particulier, tout comme les malades mentaux de la bande du cyberdélinquant Pascal Edouard Cyprien Luraghi, dont plusieurs professeurs de l’Education nationale, les harceleurs ont sérieusement mis en danger la vie de leur victime « pour rire ».
Harcèlement scolaire à Condé-sur-l’Escaut : un élève suspendu dans le vide par les pieds
Un élève du Lycée du Pays de Condé vient de déposer plainte, après avoir été victime de harcèlement scolaire depuis le début de l’année scolaire. Il aurait été suspendu dans le vide à deux reprises par d’autres adolescents de l’établissement.
@f3nord
Publié le 04/10/2016 à 18:29, mis à jour le 05/10/2016 à 12:25
Le parquet de Valenciennes vient d’être saisi d’une affaire de harcèlement scolaire au sein du Lycée du Pays de Condé à Condé-sur-L’Escaut.
C’est la brigade de la sûreté urbaine du commissariat de la ville qui a pris l’initiative, ce mardi, de se rendre dans l’établissement suite à la parution dans La Voix du Nord d’un article rapportant une grave agression commise à l’encontre d’un élève.
Sur place, les enquêteurs ont pu identifier la victime, un lycéen de 15 ans, qui a été entendu et qui a déposé plainte.
Suspendu dans le vide
Selon une source policière, l’adolescent était depuis la rentrée scolaire le souffre-douleur de plusieurs élèves, peut-être de sa propre classe. Selon des témoignages recueillis sur place, il était harcelé par plusieurs individus, soutenus par les rires nourris d’autres camarades. Un calvaire qui termine maintenant sur le bureau du Procureur de la République.
« L’élève–victime âgé de 15 ans a été entendu ce matin et a indiqué avoir été suspendu dans le vide à deux reprises les 21 et 28 septembre 2016 par un groupe d’élèves. Les auteurs principaux seraient au nombre de quatre« , a indiqué le procureur François Pérain, qui souligne que l’enquête ne fait que débuter.
Ce lundi, des professeurs ont débrayé en apprenant les faits. Ils réclament des sanctions contre les élèves qui ont mené ce harcèlement et contre leurs complices.
Élève suspendu par les pieds à Condé-sur-l’Escaut : le parquet ouvre une enquête
Retour à la normale, ou presque, ce mardi, au lycée du Pays de Condé où la majorité des enseignants avait décidé de débrayer la veille, après qu’un élève ait été suspendu dans le vide à deux reprises par d’autres lycéens. À noter que le parquet de Valenciennes a décidé d’ouvrir une enquête pénale, suite à notre publication.
Par La Voix du Nord | Publié le 04/10/2016
S’ils sont confirmés, les faits font froids dans le dos… PHOTO THOMAS LO PRESTI
Comme nous le révélions dès hier, un élève scolarisé en classe de seconde, au lycée du Pays de Condé, s’est bel et bien retrouvé suspendu par les pieds, à l’intérieur de son établissement scolaire, depuis une passerelle du troisième étage, par d’autres adolescents de son âge.
Des faits gravissimes qui se seraient même produits à deux reprises ces derniers jours. « L’élève-victime âgé de 15 ans a été entendu ce mardi matin, a confirmé le procureur de Valenciennes, François Pérain, ce mardi, en fin de journée. Il a indiqué avoir été suspendu dans le vide à deux reprises, les 21 et 28 septembre, par un groupe d’élèves. Les auteurs principaux seraient au nombre de quatre. » Et de préciser que « suite à la publication d’un article dans La Voix du Nord, une enquête pénale d’initiative vient d’être ouverte puisqu’aucune plainte, ni signalement, n’était parvenue sur cette affaire au parquet de Valenciennes ».
Discussion en classe autour du harcèlement
Ce lundi après-midi, les enseignants avaient décidé de débrayer suite à ces faits. Mais les cours ont repris ce mardi matin. Un retour à la normale donc dans l’établissement. Ou presque, puisque la journée a débuté par un retour sur les faits au sein des différentes classes. « Hier, sur le coup, on n’avait pas trop compris ce qui se passait, pourquoi les profs avaient décidé de faire grève, explique un petit groupe d’élèves de seconde. Et ce matin, les profs nous ont expliqué qu’ils avaient fait grève parce qu’un élève avait été harcelé et qu’il n’y avait aucune sanction disciplinaire de prévue. Du coup, suite à leur débrayage, les sept élèves vont être convoqués en conseil disciplinaire. »
« J’ai vraiment été choquée »
« Et les profs nous ont dit qu’ils avaient été suspendus jusqu’à la tenue du conseil de discipline. Ils nous ont aussi parlé du harcèlement scolaire et donné un numéro vert », complète un autre petit groupe d’élèves scolarisés en BTS Petites et moyennes entreprises (PME). « Moi, j’ai vraiment été choquée, réagit l’une des étudiantes. Ça aurait pu m’arriver, à moi ou une de mes amies ! Ce n’est vraiment pas mature. C’est pas possible de suspendre un élève comme ça par les pieds depuis la passerelle ! »
Une pétition pour soutenir l’élève
Une pétition a même été lancée par des étudiants en BTS ce mardi pour soutenir l’élève qui a été victime de ses camarades. « Tout le monde l’a signée dans ma classe, lance Sophie. Puis on a discuté du harcèlement pendant une vingtaine de minutes. Tout le monde a donné son avis. »
La direction du lycée n’a pas donné suite à nos sollicitations depuis lundi. Le numéro vert pour lutter contre le harcèlement scolaire est le 3020.
Pas de cours, ce lundi après-midi, pour les quelque 1 600 élèves du lycée du Pays de Condé. Suite à la violente agression d’un élève de seconde par d’autres lycéens, la majorité des enseignants a décidé de débrayer.
Par CATHERINE BOUTEILLE | Publié le 03/10/2016
S’ils sont confirmés, les faits font froids dans le dos… PHOTO THOMAS LO PRESTI
L’agression dont a été victime cet adolescent scolarisé en classe seconde a dû être particulièrement marquante. Suffisamment marquante pour que la majorité des enseignants du lycée du Pays de Condé décident, ce lundi après-midi, de ne pas reprendre les cours.
« Ce qui s’est passé n’est pas normal. »
« Tous les élèves ont été confinés dans la cour de récréation à partir de 13 h 30, explique un petit groupe d’adolescentes posté devant l’établissement scolaire. Mais on comprend très bien que les profs aient décidé de faire grève, car franchement, ce n’est pas normal ce qui s’est passé ! »
Et d’expliquer, comme d’autres petits groupes d’élèves rencontrés en fin de journée, que sept lycéens s’en seraient pris à un élève de seconde. « Il a été suspendu par les pieds depuis la passerelle du troisième étage », a-t-on ainsi pu entendre aux abords du lycée.
« Il a été suspendu par les pieds depuis la passerelle du troisième étage. »
Une version des faits que nous n’avons pas encore pu faire confirmer auprès de la direction de l’établissement ou du corps professoral. En fin d’après-midi, ces derniers étaient justement réunis autour d’une table afin d’aborder les faits. Et notamment les sanctions disciplinaires qui seront envisagées à l’encontre des agresseurs présumés.
Comme moi mercredi dernier, j’imagine que de très nombreuses personnes ont été sensibles à l’annonce du décès d’une jeune fille de 14 ans à la suite d’une chute de 10 mètres dans l’établissement où elle était scolarisée, à Saint-Maur-des-Fossés, et ce d’autant plus que la veille au soir avait été diffusé le téléfilm « Marion, 13 ans pour toujours », tiré de l’histoire vraie de Marion Fraisse, qui s’est pendue à l’âge de 13 ans le 13 février 2013 en raison du harcèlement dont elle était victime de la part d’autres élèves de sa classe de 4ème.
Or, que vois-je ce soir ?
En date du 2 octobre 2016, le cybercriminel et harceleur professionnel Pascal Edouard Cyprien Luraghi a publié sur son blog un texte signé du pseudonyme de « Malatrie » laissant entendre que son auteure aurait été la prof de français de cette nouvelle victime durant ses deux dernières années, en classes de 4ème et de 3ème.
Trop, c’est trop.
Je ne peux pas laisser passer une tartufferie d’un tel cynisme sans réagir.
Pour commencer, n’importe qui peut remarquer les piètres qualités littéraires de ce texte.
Dès la première phrase, la lourdeur des tournures employées est tout à fait remarquable : « C’est en tournant par hasard la tête dans le sens opposé à celui dans lequel je pars que je l’aperçois. » Argh ! Le pudding de briques ne passe pas du tout. Et on nous le sert en entrée… La faute de goût est totalement impardonnable pour qui a visiblement des prétentions littéraires.
Continuons la lecture, déjà pénible. Non seulement « Il pleure sans larmes », mais on se farcit maintenant les fautes d’orthographe de la prof de français – désolée, mais moi, ça m’arrache déjà les yeux quel que soit l’auteur, alors, quand en plus celui-ci est professeur de français et que de surcroît il ose publier pareil torchon, je les souligne en rouge :
« On vous a colléS tous les deux à côté dans tous les cours… »
A côté ? Aïe, ça se gâte encore… Faute de français ou lapsus révélateur ?
En bon français, on écrit « On vous a collés tous les deux à côté l’un de l’autre » ou « l’un à côté de l’autre dans tous les cours » pour signifier que les deux jeunes gens sont toujours assis l’un près de l’autre, « On vous a collés tous les deux à côté dans tous les cours » signifiant qu’ils ont été écartés du reste de la classe dans tous les cours, en guise de punition, littéralement « en colle » : on vous a foutus en colle dans la salle d’à côté dans tous les cours…
Pourquoi cette exclusion systématique ?
« … parce qu’on savait que vous n’oseriez jamais, parce que vous étiez trop pudiques et on savait que vous en étiez heureux. »
C’est donc à coups de pieds au cul que les deux jeunes gens se font expulser des cours, parce qu’ils ne s’exhibent pas assez aux yeux de leurs profs – les sextapes volées ne leur suffisent plus, ils exigent du live en classe et ont peut-être aménagé une cage de verre pour y coller les récalcitrants, forcément jugés subversifs, et pouvoir les observer depuis la salle de classe dans leurs exercices imposés de pénitents, comme les détenus dangereux dans leurs box au tribunal – et aussi, tiennent-ils encore à préciser, parce qu’ils ont décidé de casser le bonheur des deux adolescents, qu’ils savent « heureux » d’être « trop pudiques ».
Bravo les profs ! C’est réussi. Il n’y a rien de tel que l’atteinte à l’intimité de la vie privée pour conduire au suicide, comme le savent bien tous les professionnels du harcèlement, parmi lesquels l’intégralité des « déconnologues » de la bande du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi.
« On a cru qu’elle vivait enfin. »
Il y a deux ans, elle vivait déjà depuis douze ans. Qu’avez-vous fait ? Encore du viol « thérapeutique » ?
« Elle nous était arrivée en 4e, si triste que ses parents lui fassent quitter son collège et ses amies qu’elle avait écrit sur Facebook qu’elle voulait mourir. Alors, on l’avait bichonnée, l’air de rien. »
Eh bien voilà, avant de vous arriver, elle était bien entourée et n’était pas si triste. Elle vivait depuis douze ans.
Mais dites donc, vous avez bien écrit « ses amies », et non pas « ses amis ». Selon vous, elle déplore de n’être plus quotidiennement entourée de ses vieilles copines, et vous la collez avec un mec. Elle vient de perdre son matelas de protection, sa coque, l’arrachement a été brutal, elle est plus vulnérable que jamais et vous en profitez, vous l’attaquez en profondeur… « l’air de rien »… Bande d’hypocrites ! Vicieux ! Sournois ! Pervers ! Criminels !
« Comme si on ne savait rien de sa détresse et qu’elle était pour nous comme les autres. »
En voilà encore une qui a bien souffert, pour le moins, de traitements discriminatoires et de non-dits… Qu’était-elle donc, pour vous ? Une cruche ? Une neuneu ? Une demeurée ? Nooon, quand même pas une handicapée mentale… Ah si… Allez vous faire soigner !
« L’année d’après, elle était avec les mêmes élèves, dans ce groupe qui était plus qu’une classe, un truc rare et magnifique. »
Un truc n’est ni vivant ni humain, ce n’est qu’un objet quelconque, même pas défini, tout à fait négligeable, voire méprisable, traité avec défiance ou méfiance. Sans aucune valeur, on le tient à distance en évitant de le décrire ou le nommer plus précisément. Mais c’est bien ainsi que le pervers narcissique traite son prochain, auquel il dénie toute personnalité, et qu’il se plaît à nier dans son essence même.
Rare et magnifique ? Alors là, il y a quand même un truc qu’il faut écrire en y mettant les points bien sur les i : visiblement, ce « truc » si « rare et magnifique » qui aura formé un bloc compact et solidaire durant deux ans n’intègre absolument pas le nouveau venu. Et d’ailleurs, nous dit-elle en trébuchant très lourdement, se prenant encore les pieds dans son tapis de mensonges par omission : « Avec le nouveau, ils avaientETAIENT devenuS un trio d’inséparables. » Oui, tout au fond de la classe ou à côté, en colle permanente dans la cage aux singes…
« Elle ne pleurait plus. Et elle souriait. Rarement. »
Ah oui, quand même, rarement…
« Mais c’était toujours avec ses deux gardes du corps. »
De quelles menaces, quelles violences, quelles agressions physiques avaient-ils pour mission de la protéger ?
« Elle changeait et on se surprenait à s’apercevoir qu’elle devenait jolie. »
Ah parce qu’en plus, avant elle est moche, et personne n’imagine que cela puisse jamais changer parmi ces personnes si intelligentes et pleines d’attentions qu’elles n’ont pu l’accepter comme une des leurs, comme le faisaient ses anciennes amies qui étaient sûrement toutes aussi moches et débiles qu’elle…
« Depuis hier, je me demande comment elle a pu le semer. »
Pour se libérer ? La cage, c’est pas cool.
« On rit et on pleure ». Est-ce bien de circonstance, tout ça ?
« Ils savent que je serais demain au lycée avec trois autres de leurs profs. »
Malatrie serait demain au lycée si elle n’était pas absente, jouant plus que jamais rôle de composition.
« ils ont parfois des idées stupides, mes ex-3e »
Mais comment sont-ils encadrés ?
« Ils demandent qu’on reste près d’eux. Puis, le reste de la classe arrive par petits bouts. »
Leurs profs n’ont pas d’idées du tout et les confondent avec on ne sait quoi, des chandelles peut-être.
« Il me dit qu’elle était très heureuse que je les aiE encore en 3e, que lui aussi, qu’à partir de moi, le français n’a plus été un calvaire, que je leur ai ouvert le Monde. »
C’est fini, Malatrie, tu ne les as plus, te réfugier dans le passé ne la fera pas revenir, il te reste à affronter la réalité en face, toute la réalité.
J’arrête là mon analyse de texte, tu me fais pleurer.
« Elle est montée au 3e étage du lycée, elle a ouvert la fenêtre et elle est partie. »
Comment le sais-tu ? Tu y étais ? C’est à l’enquête de police qu’il appartient de déterminer ce qui s’est passé.
Et aux parents de dire qui était vraiment leur fille et, le cas échéant, de porter plainte contre les salopards qui l’ont précipitée dans le vide.
Tu n’as aucune autorité à t’exprimer publiquement comme tu l’as fait avec ce texte, surtout toi qui participes depuis tant d’années à tous les crimes et délits des « déconnologues » ou cybercriminels et harceleurs professionnels de la bande du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi.
Saint-Maur-des-Fossés : une élève de 14 ans décède après une chute de 10 mètres au lycée Berthelot
Une élève de 14 ans est décédée mercredi au lycée Marcelin-Berthelot, à Saint-Maur-des-Fossés, dans le Val-de-Marne, après avoir fait une chute de 10 mètres, rapportent nos confrères deFrance Bleu Paris Région.
France 3 Paris IDF
Publié le 28/09/2016 à 14:28, mis à jour le 28/09/2016 à 19:47
Saint-Maur-des-Fossés : une élève de 14 ans décède après une chute de 10 mètres au lycée Berthelot
Une élève de 14 ans est décédée mercredi au lycée Marcelin-Berthelot, à Saint-Maur-des-Fossés, dans le Val-de-Marne, après avoir fait une chute de 10 mètres.
Une élève de 14 ans est décédée mercredi au lycée Marcelin-Berthelot, à Saint-Maur-des-Fossés, dans le Val-de-Marne, après avoir fait une chute de 10 mètres. Selon nos confrères de France Bleu Paris Région, plusieurs sources ont évoqué la piste du suicide. Les enquêteurs n’écartent cependant pour l’heure aucune piste.
L’élève, scolarisée en seconde dans ce lycée, est décédée vers 12 heures 30, après plusieurs tentatives de réanimation des services de secours pendant une heure.
Selonfranceinfo, la jeune fille a chuté de la fenêtre d’un couloir de l’établissement, situé au troisième étage du bâtiment, et n’a pas survécu à ses blessures. Le lycée Marcelin-Berthelot accueille 2.300 élèves, du secondaire aux classes préparatoires.
Une élève de 14 ans est décédée ce mercredi midi, après une chute de 10 mètres, au lycée Berthelot, à Saint-Maur-des-Fossés, dans le Val-de-Marne. L’enquête est confiée au commissariat de Saint-Maur.
L’adolescente de 14 ans n’a pu être réanimée malgré les soins prodigués sur place. En fin de matinée, ce mercredi, une élève du lycée Marcelin-Berthelot de Saint-Maur-des-Fossés, dans le Val-de-Marne, a trouvé la mort après une chute de dix mètres. La piste du suicide est évoquée par plusieurs sources. L’enquête a été confiée au commissariat de la ville . L’élève, scolarisée en seconde dans ce lycée, est décédée vers 12H30 après « plusieurs tentatives de réanimation des services de secours pendant une heure », a indiqué la source policière.
La ministre de l’Éducation nationale, Najat Vallaud-Belkacem, a exprimé son « immense émotion » dans un communiqué et a demandé à la rectrice de l’académie de Créteil, qui doit se rendre sur place, de « mobiliser immédiatement une cellule médico-psychologique ».
Une élève de 14 ans est morte après une chute du 3e étage dans un lycée d’Ile-de-France
Une jeune fille de 14 ans, élève de seconde au lycée Berthelot de Saint-Maur-des-Fossés (Val-de-Marne) est morte après une chute de dix mètres.
Le lycée Berthelot à Saint-Maur-des-Fossés (Val-de-Marne) (ARNAUD DUMONTIER / MAXPPP)
franceinfoRadio France
Mis à jour le 28/09/2016 | 14:30
publié le 28/09/2016 | 13:58
Une jeune fille de 14 ans, élève de seconde au lycée Berthelot de Saint-Maur-des-Fossés (Val-de-Marne) est morte mercredi 28 septembre à la mi-journée après une chute de dix mètres, a appris franceinfo auprès des pompiers et de la police.
La jeune fille dans un état grave à l’arrivée des secours n’a pas survécu à la chute, du 3e étage. Elle a chuté d’une fenêtre d’un couloir de l’établissement.
Une enquête est ouverte pour connaître les circonstances du drame.
Najat Vallaud-Belkacem met en place une cellule médico-psychologique
Dans un communiqué, la ministre de l’Education nationale, Najat Vallaud-Belkacem, a fait part de son « immense émotion » après la mort « d’une élève de seconde après une chute dans son lycée Marcelin-Berthelot de Saint-Maur-des-Fossés » dans le Val-de-Marne.
La ministre « a demandé à la rectrice de se rendre sur place et de mobiliser immédiatement une cellule médico-psychologique, qui demeurera à disposition des élèves et de l’ensemble de la communauté éducative tant que besoin ».
Le lycée Berthelot de Saint-Maur-des-Fossés (Val-de-Marne) (Google Map)
Situé à Saint Maur des Fossés, près de Paris, le lycée Marcelin Bethelot accueille 2 300 élèves et étudiants qu’encadrent près de 375 personnels. En dehors du cycle secondaire, le lycée abrite des classes préparatoires littéraires, économiques et commerciales et scientifiques ainsi qu’un BTS de Commerce International.
Une adolescente de 14 ans du lycée Marcelin-Berthelot de Saint-Maur-des-Fossés (Val-de-Marne) a fait une chute mortelle du troisième étage de son établissement mercredi, a-t-on appris aujourd’hui de source policière.
L’élève, scolarisée en seconde dans ce lycée, est décédée vers 12h30 après « plusieurs tentatives de réanimation des services de secours pendant une heure », a indiqué la source policière.
Suicide, accident, acte malveillant d’un camarade? « Aucune piste n’est écartée pour l’instant », selon cette même source. Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances du décès et a été confiée au commissariat de Saint-Maur-des-Fossés.
Saint-Maur: une adolescente est morte après une chute de trois étages dans son lycée
28/09/2016 à 13h33 Mis à jour le 28/09/2016 à 18h03
Le drame s’est déroulé au lycée Marcelin Berthelot à Saint-Maur-des-Fossés. – Capture google streetview
Une lycéenne de 14 ans est décédée aujourd’hui, à la suite d’une chute mortelle depuis la fenêtre de sa classe, au lycée Marcelin Berthelot de Saint-Maur-des-Fossés, dans le Val-de-Marne.
INFO BFMTV - Drame au lycée Marcelin Berthelot de Saint-Maur-des-Fossés dans le Val-de-Marne ce matin. Une adolescente de 14 ans a fait une chute mortelle du troisième étage de son établissement ce matin. L’élève, scolarisée en seconde dans ce lycée, est décédée vers 12h30 après « plusieurs tentatives de réanimation des services de secours pendant une heure », indique une source policière à l’AFP.
“J’ai entendu beaucoup de sirènes de police et de pompiers quand j’étais dans ma salle de cours, en regardant par le fenêtre, j’ai vu toutes les voitures de secours. Au début je ne comprenais pas, j’ai entendu dire qu’une fille était tombée du troisième étage, ou qu’elle s’était fait pousser. Je voyais des gens pleurer partout. » témoigne une lycéenne de terminale à BFMTV.com.
La piste du suicide est actuellement privilégiée par les enquêteurs.
La direction et les professeurs n’ont pas encore fournis d’explications aux autres élèves, « tout le monde est très triste », confie la lycéenne. Un mail de la direction, circulant parmi les élèves, privilégie aussi la thèse du suicide.
Les cours ont été suspendus cet après-midi, les 2300 élèves ne savent pas encore s’ils doivent se rendre au lycée demain.
De son côté, le lycée n’a pas souhaité communiquer.
Deux bombardiers russes interceptés par l’armée de l’air au large de la Bretagne
Par LEXPRESS.fr avec AFP , publié le 04/10/2016 à 14:25 , mis à jour à 15:05
Deux bombardiers russes ont été repérés à une centaine de kilomètres des côtes bretonnes fin septembre (image d’illustration).afp.com/ALEXEY PANOV
Les deux avions russes avaient déjà été détectés par la Norvège et l’Irlande. Quatre pays ont dû intervenir pour les intercepter au moment des faits, le 22 septembre.
Comme un air de déjà-vu. Des avions de chasse français ont intercepté le 22 septembre deux bombardiers russes au large de la Bretagne, a annoncé ce mardi l’armée de l’air. Les avions ont été détectés dans la matinée au nord de la Norvège par les forces de l’ordre locales, puis à l’ouest de l’Irlande avant d’apparaître en début d’après-midi à « 100 kilomètres des côtes bretonnes » est-il indiqué sur le site du ministère de la Défense.
Un premier incident en février
Les deux « Blackjack » – nom de code des deux avions – frappés d’une étoile rouge ont été escortés par plusieurs Rafale en début d’après-midi pour les conduire « jusqu’au large de Mont-de-Marsan » dans le sud-ouest. « Les deux avions russes (ont mis) alors le cap à l’ouest en longeant la côte ibérique », précise le site de l’armée de l’air. C’est à ce moment-là que des avions espagnols les ont pris en charge.
Les deux avions russes sont finalement remontés vers la Russie via l’Irlande. Au total quatre pays – Norvège, Royaume-Uni, France et Espagne – ont mis en oeuvre des moyens aériens d’interception et d’escorte des appareils en liaison avec des centres d’opération de l’OTAN.
« Provocations » russes
Qualifiés de « provocations » russes par les Occidentaux en plein regain de tension avec Moscou, ces incidents se multiplient depuis plusieurs mois. Le 17 février, des avions de chasse français avaient ainsi intercepté des avions russes au large du Touquet, dans le nord de la France cette fois-ci.
Le phénomène est encore plus fréquent pour les pays Baltes, qui accusent régulièrement la Russie de violer leur espace aérien et de survoler la mer Baltique.
La posture permanente de sûreté aérienne en action
Mise à jour : 28/09/2016 14:40
Jeudi 22 septembre 2016, la Norvège, le Royaume-Uni, la France et l’Espagne ont mis en œuvre leurs moyens d’Air Policing (police du ciel) concourant à la protection de leurs espaces aériens, afin d’intercepter et d’escorter deux chasseurs bombardiers russes de type Tu160 Blackjack.
A 9h13, la Norvège détecte les deux avions russes au nord du pays puis lance une interception par ses deux chasseurs F16 pour les accompagner sur une route les dirigeant vers le nord de l’Écosse. Deux Typhoon britanniques prennent ensuite le relais. Contournant l’Irlande par l’ouest, les deux avions russes se dirigent alors vers la Bretagne.
A 13h57, deux Rafale de la permanence opérationnelle (PO) de Tours décollent pour les intercepter à 100 kilomètres des côtes bretonnes. Ils escortent les Blackjack jusqu’au large de Mont-de-Marsan. Deux Rafale de la PO de Mont-de-Marsan prennent le relais à 14h33. Les deux avions russes mettent alors le cap à l’ouest en longeant la côte ibérique et sont escortés par deux F-18 espagnols. Arrivés au large de Bilbao, ils mettent le cap vers l’ouest de l’Irlande.
Ces interceptions et escortes ont été menées en étroite collaboration entre les deux centres d’opération de l’OTAN du nord et du sud et le centre national des opérations aériennes (CNOA) de Lyon-Mont Verdun.
Au cours de cette mission de protection de l’espace aérien national, l’armée de l’air aura engagé quatre Rafale dont trois ont ravitaillé en vol durant la mission entre Clermont-Ferrand et Brest.
Focus sur la permanence opérationnelle
Dispositif réactif au service de la France et définie par le code de la Défense, la posture permanente de sûreté (PPS) aérienne est une des missions prioritaires et permanentes de l’Armée de l’Air confiée au commandement de la défense aérienne et des opérations aériennes (CDAOA).
Le personnel de l’Armée de l’Air engagé dans le cadre de la mission de sureté aérienne s’élève à 414 personnes dont 211 à poste (centres de détection et de contrôle, bases aériennes, CNOA). Elles œuvrent 7j/7, 24h/24 pour cette mission qui garantit la souveraineté de l’espace aérien national. Quotidiennement 11 000 aéronefs, dont 1400 simultanément au plus dense du trafic, transitent par l’espace aérien français. Chacun de ces appareils doit être identifié et catégorisé. Grâce au maillage de 90 radars civils et militaires, les 3 centres de détection et de contrôle (CDC) répartis sur le territoire détectent les aéronefs dans leurs zones de responsabilité et les classifient.
L’Armée de l’Air veille ainsi à ce que l’État dispose toujours des moyens pour s’opposer à l’utilisation de l’espace aérien national, en particulier, par un agresseur éventuel. C’est une garantie essentielle de la sécurité des citoyens.
Deux bombardiers russes interceptés au large de la Bretagne
DEFENSE Les Occidentaux parlent d’une provocation de la part de l’armée russe…
Un bombardier Tupolev TU-160 au salon de l’aviation de Zhukovsky près de Moscou en 2007. – REUTERS/Denis Sinyakov
J.G. avec AFP
Publié le 04.10.2016 à 14:47
Mis à jour le 04.10.2016 à 14:47
Une « provocation » selon les Occidentaux. Deux bombardiers russes lourds Tupolev 160 ont été interceptés par des avions de chasse français le 22 septembre au large de la Bretagne, a annoncé mardi l’Armée de l’Air, confirmant une information du Télégramme. Les deux avions de l’armée russe, frappés d’une étoile rouge, ont d’abord été détectés au nord de la Norvège, à l’ouest de l’Irlande puis au large des côtes françaises, a précisé le service de presse (SIRPA) de l’Armée de l’Air.
« A 13h57, deux Rafale de la permanence opérationnelle de Tours décollent pour les intercepter à 100 kilomètres des côtes bretonnes. Ils escortent les Blackjack jusqu’au large de Mont-de-Marsan », a-t-il relaté. « Deux Rafale de la permanence opérationnelle de Mont-de-Marsan prennent le relais à 14h33. Les deux avions russes mettent alors le cap à l’ouest en longeant la côte ibérique », a-t-il ajouté. Ils sont alors interceptés par deux F18 espagnols avant de remonter vers la Russie via l’Irlande.
Les incidents se multiplient depuis plusieurs mois
Au total quatre pays (Norvège, Royaume-Uni, France et Espagne) ont mis en œuvre des moyens aériens d’interception et d’escorte des appareils en liaison avec des centres d’opération de l’OTAN. Deux avions de chasse français avaient déjà intercepté le 17 février des Tu160 au large du Touquet.
En plein regain de tension avec Moscou, les incidents de ce type se sont multipliés ces derniers mois. Les pays Baltes accusent ainsi régulièrement la Russie de violer leur espace aérien et de survoler la mer Baltique avec leur transpondeur éteint. Ces équipements électroniques permettent aux radars d’identifier les avions et d’empêcher des collisions.
Bretagne : deux bombardiers russes interceptés au large des côtes françaises Crédit Image : ANNE-CHRISTINE POUJOULAT / AFP Crédit Média : Pierre Julien / RTL
L’incident nous renvoie quelques décennies en arrière. Il y a une douzaine de jours, des avions de chasse de l’armée française ont intercepté deux bombardiers stratégiques russes à une centaine de kilomètres des côtes bretonnes. Les appareils frappés de l’étoile rouge ont tout d’abord été suivis par des F-16 norvégiens, puis la Royal Air Force britannique a pris le relais qu’elle a transmis à la France. Les deux Tupolev 160, baptisés « Black Swan Cygne Noir » par l’OTAN, s’étaient rapprochés sensiblement de l’espace aérien français. Quatre Rafale assurant la permanence opérationnelle ont alors décollé par paire pour escorter les Russes jusqu’au large de l’Espagne.
La Russie avait déjà fait le coup en février dernier, encore avec deux bombardiers TU-160 interceptés au large du Touquet avant qu’ils ne rebroussent chemin. Comme le dit un colonel de l’armée de l’Air, « ces pilotes russes adorent être pris en photo, mais cela commence à bien faire ».
Pour la Russie, cette opération ne ressemble pas à du renseignement, car elle obtient ses informations par des satellites, des écoutes et des espions. Il s’agit donc avant tout d’une provocation, afin de démontrer que les Tupolev ont retrouvé leur puissance d’antan. La preuve : ils opèrent au-dessus de la Syrie. À ce propos, les pilotes des Rafale et des Hawkeye du Charles-de-Gaulle sont prévenus : ils vont croiser dans le ciel les Sukhoi du porte-avions russe Amiral Kouznetsov qui est déployé aussi en Méditerranée orientale.
Ce billet pour donner quelques nouvelles heureuses à mes fidèles lecteurs.
En dépit de leurs annonces et vantardises quotidiennes depuis plus de six longues années, au jour d’aujourd’hui, il n’est toujours pas dit que les septembriseurs de la bande du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi parviennent jamais à anéantir tout à fait toute ma famille, dont le marquis de La Fayette, par sa mère héritier de l’une des branches, n’a pas terni le nom, quoi qu’on en dise.
Le 2 décembre de l’année dernière, leur inspiratrice Josette Brenterch du NPA de Brest enregistrait à titre personnel une première défaite d’importance dans l’enceinte du Parlement de Bretagne.
Bon sang ne sachant mentir, bataille après bataille, nous continuons à faire reculer l’ennemi.
Olé !
N.B.: Les Espagnoles me considèrent comme l’une des leurs. Je serais typée, paraît-il.
Ce sont en fait les miens qui ont essaimé très tôt jusqu’en Espagne !