Je décline toute responsabilité quant aux mentions qui s'affichent dans les cinq lignes ci-dessus du pavé "Recherchez aussi" sur lequel je n'ai aucun contrôle.
Mes statistiques sont bloquées depuis le 2 février 2015.
7 février 2015
Mes statistiques sont de retour, tout fonctionne.
16 février 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 12 février.
22 février 2015
Mes statistiques "basiques" ont été débloquées hier soir après la publication de mon dernier article concernant NEMROD34. Belle reprise simultanée de l'activité du Chinois.
23 février 2015
Statistiques "basiques" toujours sujettes à blocages : le 21 février au soir, à peine étaient-elles débloquées, puis à nouveau hier, 22 février, à peine étaient-elles débloquées.
24 février 2015
Statistiques "basiques" débloquées. Pas de nouveau pic d'activité du Chinois depuis le 21 février.
25 février 2015
Je n'ai pas mes statistiques "basiques" du jour, ça bloque encore... et Justinpetitcoucou est toujours bloqué depuis le 8 février... Faudrait penser à le débloquer, lui aussi, il y a du laisser-aller, là...
26 février 2015
Statistiques "basiques" des deux blog débloquées. Merci pour Justin, il était temps !
27 février 2015
Statistiques "basiques" des deux blogs de nouveau bloquées depuis le 26 février. Ce petit jeu pourrait-il cesser ? On n'en voit pas l'intérêt... Complément de 22 h: merci de m'avoir rendu ces statistiques !
25 mars 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 20 mars.
26 mars 2015
Merci de m'avoir débloqué mes statistiques "basiques". Encore une fois, je ne vois pas l'intérêt de ce petit jeu. Ce serait aussi bien de cesser de bloquer ces statistiques pour oublier de les débloquer jusqu'à ce que j'aie signalé le problème.
31 mars 2015
Merci de bien vouloir me débloquer les statistiques "basiques" de Justinpetitcoucou, restées bloquées depuis le 14 mars - cf. avis du 25 mars sur Justin.
2 avril 2015
Merci de m'avoir rendu les statistiques de Justin.
7 mai 2015
Je n'ai plus de statistiques depuis deux jours, ni "basiques" ni "avancées".
10 mai 2015
Retour des statistiques "basiques". Merci. Manquent encore les statistiques "avancées".
14 mai 2015
Toutes mes statistiques sont de retour depuis hier. Merci.
3 octobre 2015
Depuis hier, les compteurs de mes statistiques avancées sont tous à zéro. Merci de me les rendre.
Halte là ! On dirait que vous n’avez pas l’autorisation d’afficher cette page. Ou alors vous avez bien le droit de la voir, mais Pierre Haski a encore cassé un truc en voulant réparer le site avec son gros marteau.
Le sujet étant important, le Télégramme a choisi d’y consacrer aujourd’hui 4 pleines pages, les 3 premières et la dernière, ce qui est énorme.
On le félicite. Enfin, moi je le félicite, tandis que mes harceleurs, des professionnels de ce type de délinquance ou de criminalité comptant plusieurs professeurs, doivent eux se renfrogner…
La diffusion du téléfilm « Marion, 13 ans pour toujours » le 27 septembre dernier est à l’origine de cette enquête de notre quotidien local.
On remarquera aussi au passage que les témoignages de victimes ou de leurs parents ont été recueillis dans le cadre d’un appel à témoignages accompagné de la promesse que leur anonymat serait respecté, à peu près comme en 2008 les journalistes du site Rue89 lançaient des appels à témoignages aux victimes de harcèlement moral en entreprise, mais pour s’asseoir sur le respect de leur anonymat et permettre à des cybercriminels comme le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi et sa bande de psychopathes se disant « déconnologues » de les harceler sans fin, avec, plus tard, l’assentiment des magistrats ultra CORROMPUS du Tribunal de Grande Instance de Brest.
Harcèlement. »Mon fils ne veut plus aller à l’école »
Publié le 01 novembre 2016 à 19h00 Photo d’illustration, archives François Destoc
Reportage dans un collège, témoignages de victimes et de parents, interview de Nora Fraisse, auteure de « Marion, 13 ans pour toujours »… Ce mercredi, retrouvez dans Le Télégramme un dossier consacré au harcèlement scolaire. Un phénomène qui touche environ 1 enfant sur 10.
Le sujet du harcèlement scolaire a longtemps été tabou. Aujourd’hui, des victimes, d’ex-victimes ou leurs parents prennent la parole. Ils dénoncent des situations intolérables, celles d’enfants ou d’adolescents qui en viennent à se mutiler, qui se réfugient dans des troubles obsessionnels compulsifs ou qui, cinq ans après les faits, sont encore sous anti-dépresseurs…
« Mon fils ne veut plus aller à l’école »
« Je suis bouleversée. À 8 ans, mon fils s’est fait attaquer par deux enfants. Il a reçu des coups de pied dans la tête. Il a été mordu aux doigts. Il ne veut plus aller à l’école, car ils lui ont dit : « T’es tout seul ! »« , nous a raconté S. Cette autre maman est tout aussi révoltée : « À force de se faire traiter de « pute », ma fille croit en être une ».
A la veille de la 2e journée nationale « Non au harcèlement » , Le Télégramme y consacre un dossier spécial de trois pages.
Au sommaire :
- des témoignages sans concession
- l’interview de Nora Fraisse, dont le livre « Marion, 13 ans pour toujours » a été adapté en téléfilm
- un reportage au collège Saint-Pol-Roux, à Brest, très souvent cité en exemple pour son action dans le domaine…
Ce mercredi, dans Le Télégramme et sur letelegramme.fr
Ce jeudi, aura lieu la 2e journée nationale contre le harcèlement à l’école. Un phénomène qui n’épargne pas la Bretagne, comme le prouvent certains témoignages.
Ils subissent insultes, coups, racket… Jour après jour, ils sont des cibles, ils sont victimes de harcèlement scolaire. Le sujet a longtemps été tabou. Aujourd’hui, la parole commence à se libérer. Certains récits sont sidérants (*), à l’image de celui de cette maman : « À huit ans, mon fils s’est fait attaquer par deux enfants. Il a reçu des coups de pied dans la tête. Il ne veut plus aller à l’école, car ils lui ont dit : « T’es tout seul ! » ».
Autre exemple : celui d’une collégienne insultée au quotidien. « À force de se faire traiter de « pute », ma fille croit en être une », témoigne sa mère. « Elle a été jusqu’à se scarifier. L’heure du coucher reste son pire moment, car elle ressasse tout ça. »
« On la voyait dépérir »
Dès l’école primaire, des enfants deviennent des souffre-douleur. « T’es moche ! », « Vas te cacher ! » : ces mots, une fillette les a entendus tous les jours. Puis, explique sa maman, « est venu le temps de l’exclusion », l’écolière tyrannique « interdisant aux autres enfants de jouer avec elle, de l’inviter aux anniversaires. On la voyait dépérir, jusqu’au moment où elle a refusé de s’alimenter. Une hospitalisation de trois mois a suivi ».
Fallait-il porter plainte ? Cette question, elle se l’est posée : « Notre fille n’a jamais voulu qu’on le fasse, nous avons respecté son choix. À tort ou pas, je ne sais pas… ».
Cette autre fillette de sept ans n’est pas mieux lotie. « Si elle fait la moindre erreur, les autres lui rappellent qu’elle est « nulle et conne » », indique sa mère, exaspérée.
Il s’agit de paroles insultantes « qui vous hantent et vous détruisent. Parfois, vous ne voulez même plus vivre à cause de ces mots », confie N., 19 ans, dont le cauchemar a pris fin, il y a un an.
Le suicide, certains y pensent. « Mon fils en a parlé à plusieurs reprises. Depuis trois ans, il subit les conséquences d’une rumeur », rapporte C., qui ne compte pas en rester là : « Si rien ne change, une plainte sera déposée ». Car les conséquences sont terribles : « Avant, il adorait l’école. Aujourd’hui, il est agressif et a du mal à se concentrer », déplore-t-elle.
Conduites autodestructrices, somatisation, décrochage scolaire… Ce qu’engendre le harcèlement scolaire peut être grave. « Ça m’a coûté ma scolarité », illustre Y., mis au ban pour une question vestimentaire. « Quand tes parents n’ont pas de tunes pour te saper à la mode, tu es un paria », fait-il remarquer.
Le témoignage de M. fait froid dans le dos. Souffrant de problèmes cardiaques, sa fille a été harcelée. « Nous avons essayé de la rescolariser, et là, elle a été victime de discrimination. À l’occasion d’un voyage, une prof nous a dit : « Si votre fille était en chaise roulante, ce serait plus facile pour nous ». Le directeur était présent, mais n’a pas pipé mot. » Là aussi, les séquelles sont lourdes. « Depuis cinq ans, elle est sous antidépresseurs. Nous, ses parents, nous resterons aussi marqués à vie », se désole-t-elle. Une double peine.
C’est également ce que vit D., qui est « tombée de haut » lorsque la directrice lui a lancé qu’il était préférable que son fils change d’établissement. « Je lui ai répondu que ce n’était pas à mon enfant de partir, mais aux autres d’être punis. » Désormais, le pré-ado voit un psychologue, car « il en était venu à se mutiler ».
Les victimes ne bénéficient d’aucun répit. « Durant mes trois premières années de collège, j’ai eu droit à ce que la moitié des élèves se paie ma tronche. « Porcinet », « microbe » : cela à toutes les récrés, tous les soirs en sortant du bahut », témoigne S..
À 26 ans, F. se souvient également de ses années de collège. « J’y entrais la peur au ventre. Je suis devenue le bouc émissaire de la classe, puis du collège. » Un effet de meute contre lequel il est très difficile de lutter. Le passage dans les vestiaires était « un calvaire » : « J’étais un petit gabarit pas formé, alors que mes camarades avaient déjà des signes de féminité. On cachait mes vêtements, on baissait mon pantalon, on me poussait ».
Peut-on oublier cette méchanceté gratuite ? C’est compliqué. L. en garde « un manque de confiance en (elle) ». Collégienne dans les années 1980, elle a « tout de suite été prise en grippe » par une autre élève : « Elle me faisait des croche-pattes, elle me giflait », explique-t-elle. Une situation qui a duré trois ans. « Je me suis réfugiée dans les TOC. Je suis devenue une élève médiocre. » Son salut, elle ne l’a dû qu’à un changement d’école. « Là, je n’ai pas compris qu’on se prenne d’amitié pour moi », commente-t-elle. « Je me dis que j’ai eu de la chance qu’internet n’ait pas existé à cette époque, car je n’ose imaginer ce que cette fille aurait pu me faire. »
* Des récits recueillis dans le cadre d’un appel à témoignages, dans lequel il était notifié que l’anonymat des anciennes victimes ou de leurs parents serait respecté. L’intégralité des témoignages sur letelegramme.fr
Chacun à leur manière, ils alertent, ils sensibilisent. Marie Lopez, alias EnjoyPhoenix, Christophe Lemaitre et Mika sont aujourd’hui connus, mais, il y a quelques années encore, ils étaient les souffre-douleur de leurs « camarades ». Témoignages.
Au lycée, Marie Lopez, plus connue sous le nom d’EnjoyPhoenix, a été l’objet de moqueries et d’insultes. Un harcèlement « incessant ». « Je n’en parlais pas. Je me suis vraiment recroquevillée sur moi-même », avait expliqué la célèbre youtubeuse (plus de 2,6 millions d’abonnés) sur le plateau de l’émission de France 2 « Toute une histoire »en novembre 2015.
Un épisode qui a laissé des traces : « Je n’ai pas confiance en moi », avait-elle ajouté. Ce qui au premier abord surprend, car la jeune femme est une star du Web, la vidéo dans laquelle elle raconte sa terrible expérience ayant, par exemple, été vue plus de trois millions de fois.
Elle est aussi une star de l’édition : paru en mai 2015, son premier livre, « #EnjoyMarie », dans lequel il est, entre autres, question de harcèlement scolaire, s’est vendu à plus de 200.000 exemplaires (1).
Un véritable calvaire
Lui aussi, Christophe Lemaitre, médaillé de bronze sur 200 m aux JO de Rio, a été victime de harcèlement scolaire. Dès la classe de CE2, mais surtout au collège. « Un véritable calvaire », avait-il indiqué à « L’Obs » en 2013. « Je n’en garde pas un seul bon souvenir. On se moquait de moi en permanence. Le matin, j’avais toujours une petite appréhension lorsque j’arrivais devant le portail de l’établissement. La peur de croiser ceux qui m’embêtaient. Ils ne me tapaient pas, mais ils se moquaient de ma grande timidité et notamment de mon cheveu sur la langue », a-t-il aussi écrit dans son autobiographie, « La revanche du grand blond ».
En 2013, l’athlète s’était engagé dans la campagne de lutte lancéepar le ministère de l’Éducation nationale. Ses mots étaient forts : « J’aurais voulu qu’on prenne ma défense. J’y pense encore souvent et je pense souvent à ceux qui le vivent aujourd’hui. On peut tous agir contre le harcèlement ».
Mika a également eu à subir cette violence verbale. De ses anciens bourreaux, il a dit à nos confrères d’aufeminin.com : « Dès qu’ils avaient l’opportunité de m’humilier publiquement, ils le faisaient. La seule chose que je pouvais faire était de ne pas leur donner ce privilège. J’ai inventé un monde parallèle rien qu’à moi, dans lequel je m’isolais. Devant mon piano, je m’échappais ».
« Ça ne te quitte jamais »
« Le harcèlement à l’école, ça ne te quitte jamais. C’est quelque chose qui reste (…). Je suis toujours quelqu’un qui ne se défend pas très bien face à cette situation », a aussi indiqué le coach de « The Voice » devant les caméras d’Envoyé spécial.
Le chanteur utilise désormais sa musique pour mieux dénoncer. Cela a, notamment, été le cas avec le remix de son titre « Hurts ». Dans ce clip, il joue aux anges gardiens pour tenter de sauver plusieurs élèves de l’humiliation et de violences verbales ou physiques.
Un moyen terriblement efficace pour atteindre les enfants et les adolescents, et, peut-être, les faire réfléchir à ce sujet si délicat.
1. Elle dédicacera « Carnets de route », son deuxième ouvrage, le 12 novembre, à 13h30, à la librairie Dialogues, à Brest.
Un élève sur dix est victime de harcèlement scolaire. Un chiffre en dessous de la réalité selon plusieurs associations. Le Télégramme a choisi de vous donner la parole : violence verbale, coups, racket… Vos témoignages sont durs, mais utiles. Car ils font réfléchir, ils permettent de sensibiliser.
19 octobre 2016 – Nathalie André / Lucile Girard / Vincent Lastennet
Ils subissent insultes, moqueries, coups, racket… Jour après jour, ils sont la cible de ceux qu’on peut qualifier de harceleurs. Enfants ou adolescents, dans la cour de leur établissement scolaire ou sur les réseaux sociaux, ils ne connaissent aucun répit. Ils sont les victimes de harcèlement scolaire.
Le 27 septembre, le téléfilm « Marion, 13 ans pour toujours » a été suivi par plus de quatre millions de téléspectateurs. Un téléfilm qui a permis de libérer la parole. Sur Facebook et Twitter, vous avez, en effet, été très nombreux à partager votre indignation.
Actuelle ou ancienne victime, parent, enseignant… Le Télégramme aimerait recueillir votre témoignage. N’hésitez à nous écrire à l’adresse e-mail : telegramme@letelegramme.fr. Vous pouvez aussi le faire par le biais d’un message privé sur notre page Facebook : https://www.facebook.com/letelegramme
Le harcèlement scolaire est un mal insidieux. Plusieurs centaines de milliers d’enfants et d’adolescents sont concernées. Le sujet était au cœur d’un téléfilm diffusé ce mardi, « Marion, 13 ans pour toujours », qui s’est hissé à la deuxième position des audiences télévisées. Sur Twitter, les réactions ont été très nombreuses.
Ce sujet, elle ne le connaît que trop bien… Le 13 février 2013, sa fille, élève en classe de 4e, s’est suicidée en se pendant dans sa chambre. L’adolescente a laissé une lettre dans laquelle elle a confié se sentir mal au collège…
Depuis, Nora Fraisse témoigne. Ce fut le cas le 1er mars, à Lorient, face aux élèves des collège et lycée Saint-Joseph – La Salle. « Je cherche à lever les inquiétudes, à donner des clefs, à reposer les bases du harcèlement à l’école, à travers la relation triangulaire entre le harceleur, le harcelé et le témoin », avait-elle, notamment, expliqué.
Fidèle au livre »Marion, 13 ans pour toujours », un téléfilm a été diffusé ce mardi soir, sur France 3. Avec, en tête d’affiche, Julie Gayet, qui interprétait le rôle de Nora Fraisse. Un rôle qui a fait douter la comédienne : « Serai-je à la hauteur de cette mère qui a tant souffert et qui se bat tous les jours pour que d’autres enfants n’en arrivent pas là ? », s’est-elle interrogée dans une interview qu’elle a accordée au Figaro.fr.
Vive émotion sur Twitter
Le téléfilm a été très suivi. Il a attiré plus de quatre millions de téléspectateurs, talonnant TF1 et sa série policière « Blindspot ». Sur Twitter, l’adaptation télévisée du livre de Nora Fraisse a fait énormément réagir : le hashtag #Marion13ansPourToujours a été parmi les plus utilisés, de très nombreux internautes appelant, par exemple, à la diffuser dans tous les collèges et lycées.
Selon Julie Gayet, « c’est toujours le moment de parler du harcèlement. Il ne faut pas cesser d’en parler, d’éduquer, d’être vigilant ». Les chiffres le confirment : selon des enquêtes sur le climat scolaire, il toucherait 12% des écoliers, 10% des collégiens et 3,4% des lycéens. Avec, dans certains cas, une issue tragique…
Le 18 juin 2010 à 18h55 décédait le riverain de Rue89 répondant au pseudonyme de « Jaycib ».
Il s’appelait de son vrai nom Jean-Claude Barré et résidait à Albi.
Je lui avais consacré les deux articles dont copies ci-dessous les 21 juin et 7 juillet 2010.
Cliquer sur les images pour les agrandir et lire les textes.
Sa compagne avait informé ses amis internautes de son décès par un mail que j’avais donc repris dans le premier de ces articles, et par lequel elle précisait :
Il a eu dans la rue une hypoglycémie est tombé sur le dos, a eu un traumatisme crânien avec fracture du crâne postéreur saignant à l’intérieur. Il est resté inconscient et dans le coma jusqu’à son décès.
Elle avait ajouté le 23 juin 2010 à l’adresse du blogueur Paul Jorion dont il était un fidèle lecteur et commentateur :
Il se faisait une haute idée de l’humanité, toute l’humanité. C’était un homme vertueux, courageux et exceptionnel. Il était de grande valeur.
Dépensant sa jeunesse (avec les copains) en lisant, écoutant de la musique (classique et jazz), lisant de la littérature, des poésies… les « littéraires » étaient copains avec les « scientifiques »…
Après sa réforme du service militaire à Bamako (pendant un match de football) où l’on avait diagnostiqué une maladie rénale, sa vie a changé. Il a opté pour des études universitaires et est parti vers son nouveau séjour américain. La décompensation de sa maladie vers les années 80, sa première greffe, son retour définitif en France, la perte de sa greffe, une deuxième transplantation en 1991, puis Albi, où encore d’autres maladies se sont ajoutées, telles que le diabète. Il n’a été épargné de rien, il ne s’est jamais plaint.
In fine, toujours occupé avec les autres tout en ayant sa maladie, il a lutté courageusement contre la mort qu’il n’a ni souhaitée ni voulu hâter. Ce combat aura été sa dernière cause sociale.
Une autre de ses connaissances lui a par la suite consacré l’article suivant :
Nous nous retrouvions donc sur quelques sujets de discussion et il faisait partie des riverains de Rue89 qui avaient demandé à la rédaction de ce site ma réintégration parmi eux après la suppression de mon premier compte, « existe », le 6 septembre 2008.
C’est lui qui m’avait annoncé le succès de leur démarche sitôt après avoir obtenu au nom du groupe dont il était le porte-parole mon autorisation de me réinscrire.
Les « déconnologues » de la bande du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi, qu’il n’appréciait pas, lui en gardaient rancune, comme à tous les autres internautes qui m’avaient soutenue contre eux à un moment ou à un autre, et de façon plus large en ce qui concerne l’instigatrice de toutes leurs exactions à mon encontre, Josette Brenterch du NPA de Brest, comme à toute personne m’ayant un tant soit peu soutenue contre toutes ses attaques démentielles depuis 2004.
A compter de l’automne 2004, elle n’avait eu de cesse jusqu’à l’obtenir de me faire exclure de l’association AC ! Brest après que je sois intervenue sur le sujet du harcèlement moral en entreprise au cours d’un débat public organisé par la Ville de Brest à propos de la santé et de la précarité.
Le 6 septembre 2008, j’avais également vu brutalement supprimer mon premier compte sur le site Rue89 alors que je m’y faisais attaquer par une de ses amies sitôt après avoir commencé à m’exprimer anonymement sur le sujet du harcèlement moral en entreprise.
A peine réinscrite sous le pseudonyme de « jexiste », non seulement j’étais menacée de mort jusqu’à la porte de mon domicile pour avoir recommencé à m’exprimer sur le sujet du harcèlement moral sur le site Rue89, mais j’y serai dès lors harcelée jusqu’à l’obtention de mon bannissement définitif le 31 juillet 2009.
Tout en me calomniant de façon pérenne sur leur blog ICI-BLOG, mes harceleurs, les « déconnologues » de la bande du cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi, me traquaient également sur tous les autres sites où je tentais de m’exprimer, me harcelant et exigeant toujours mon exclusion, notamment sur Le Post jusqu’à obtention de mon bannissement fin février 2010, puis sur la plateforme de blogs OverBlog à compter du mois d’avril 2010.
Le 12 juin 2010, le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi avait ouvert son blog Tique Toc, entièrement et exclusivement dédié à une nouvelle campagne de calomnies publiques à mon encontre.
Il continuait en parallèle à me calomnier sur son blog ICI-BLOG où il avait publié le 17 juin 2010 un article particulièrement odieux à l’égard de ses cibles habituelles sur le site Rue89.
C’est donc dans ces conditions que Jean-Claude Barré avait trouvé la mort le 18 juin 2010.
Cyprien Luraghi révèlera mon identité à ses lecteurs de Tique Toc dès le lendemain, 19 juin 2010, à 17h07, comme si un verrou venait de sauter.
Il avait annoncé l’imminence de cette publication à ses lecteurs de l’ICI-BLOG le même jour à 16h23 alors que l’annonce de la mort de Jaycib venait tout juste d’être diffusée par un mail envoyé par sa compagne à 16h00, et qu’au moins la « déconnologue » Mon-Al avait bien reçu.
Voici les messages publics dont il s’agit, dans les commentaires sur son article du 17 juin 2010, intitulé « Trolls de Drames » :
70492
cyp répond à 0
Le 19 juin 2010 à 13:10 | Permalien
ACHTUNG BICYCLETTE BAROUETTE !!!
Jour J aujourd’hui !
J’ai eu raison d’écrire ce billet : il tombe à point nommé.
D’abord vous saurez que GSXR1100 hé ben c’est BROGILO !
Ensuite les lecteurs de Tique Toc concernés par l’affaire de [Petitcoucou] a progressé à pas de géant hier soir.
J’ai fait de grandes découvertes !
Mes deux nouveaux téléphones vont chauffer à blanc cet après-midi !
Rendez-vous d’ici peu sut Tique Toc. Encore un chouïa de poil de patience.
Et à tout’ : Annie revient tout juste du jardin et je viens de raccrocher le téléphone… qui est encore tout pantelant d’avoir entendu ce qu’il a entendu… brrrrr.
Répondre
70518
cyp répond à 0
Le 19 juin 2010 à 17:11 | Permalien
C’EST ACHEVÉ :
http://sd-16847.dedibox.fr/sit…..-nous-deux
Répondre
70530
Mon-Al répond à 70518
Le 19 juin 2010 à 17:58 | Permalien
Bravo à notre Kondukator Cosmoplanétaire … LA KLASSE !!!
Brogilo peut aller se rhabiller : même sur ce point, c’est un minable.
Répondre
Conclusion
Christian Hamon en 2008 et Jean-Claude Barré en 2010 : deux chutes mortelles qui surviennent « à point nommé » pour arranger les affaires de mes harceleurs ou les libérer de toute entrave quant à la poursuite d’exactions toujours plus graves à mon encontre.
Il a fait l’objet d’une réhabilitation soignée. Grâce à la mobilisation de ses habitants et des associations du quartier, il retrouve une seconde jeunesse.
14/07/2014 à 15:09 par martinedesaintjan
Vestige du passé, friche urbaine, vieille pierre… : le lavoir de la rue Conseil fut longtemps considéré ainsi, derrière ses murs austères et ses grilles de fer forgé. Aujourd’hui réhabilité, il est le théâtre de nombreuses propositions artistiques et culturelles. Retour sur cinq dates qui ont fait son histoire… • 1884 : lors d’une séance du conseil municipal, il est proposé l’acquisition d’un terrain pour la construction d’un lavoir public afin de satisfaire la population, majoritairement ouvrière, du quartier de Saint-Martin, qui manque d’eau pour blanchir son linge. La commission des travaux de la ville achète 425 m2 rue Conseil. Le début des travaux est voté en septembre 1885, mais la livraison de la structure n’interviendra qu’en octobre 1889. Le lavoir vit ensuite ses heures de gloire, véritable lieu de rencontres et élément indispensable de la vie du quartier. L’activité y perdure jusqu’après la Seconde Guerre mondiale. • 1970 : le lavoir tombe en désuétude et perd son rôle social. • 2007 : à l’initiative de la mairie de quartier, du patronage laïque Guérin et de l’association Vert le jardin, émerge un projet de réhabilitation avec pour objectif la réappropriation des lieux par les habitants. Travaux de recherche sur la mémoire du site et modélisation en 3D sont réalisés.
Modélisation 3D / Daniel Larvor.
• 2012 : début des travaux, rénovation des bassins, aménagements de parcelles végétales… • 2013 : inauguration officielle du nouveau lavoir, fruit de la réflexion collective ayant impliqué les habitants et les acteurs associatifs de Saint-Martin.
Depuis, le lavoir de la rue Conseil ne demande qu’à être investi. S’y succèdent expositions, concerts, spectacles et animations. « Emparez-vous des lieux », telle est la devise de la mairie de quartier et du patronage laïque Guérin qui sont à l’écoute de nouveaux projets pour le lavoir…A.B.
Si aujourd’hui, 30 lavoirs subsistent à Brest, seuls cinq d’entre eux sont utilisés pour leur fonction première : laver du linge. Si certains sont désormais inutilisés, d’autres ont été réhabilités et ont droit à une seconde vie. Le lavoir rue Conseil a été réhabilité en juin et se veut maintenant être un lieu de vie pour les habitants et les assos du quartier. Quant au lavoir rue Saint-Malo, il accueille depuis quelques années de nombreux spectacles. Tour d’horizon.
Brest, ville rasée pendant la Seconde Guerre mondiale et dont le patrimoine a complètement disparu avec les bombes alliées ? Que nenni ! « Beaucoup de gens pensent qu’il n’y a pas de patrimoine à Brest, raconte Christine Berthou-Ballo, responsable du service Patrimoines à Brest. Or, beaucoup de bâtiments datent d’avant-guerre ». Un exemple de cette trace architecturale de l’histoire de la ville ? Les lavoirs, construits, comme celui situé rue Conseil ou rue Saint-Malo, à la fin du XIXe siècle.
30 lavoirs à Brest
Aujourd’hui, 30 lavoirs sont répertoriés à Brest, selon le dernier recensement effectué par la Ville en 2009. « Cinq ont encore cette fonction de lavoir, précise Hervé Séguineau, directeur du service sanitaire à la Ville. Il y a le lavoir de la rue Jules-Lesven, mais aussi ceux de Kerangoff, Kerraros, Pen Ar Rhun et de la rue Brigadier Le Cann ». Fermés au public, ils sont accessibles à tous en journée. Il suffit de demander la clé aux mairies de quartier.
Comme le rappelle Hervé Séguineau, « il y a encore des gens qui viennent laver leur linge, mais c’est à la marge. Le lavoir situé rue Jules-Lesven est tout de même souvent utilisé. Les habitués savent qu’ils vont y retrouver des amis. C’est aussi ça, la fonction du lavoir, être un lieu de rencontre dans un quartier ». Et les autres lavoirs de Brest, que deviennent-ils ? Certains sont inutilisés, d’autres, comme ceux de Kervao à Lambézellec et square Hyppolite-Rolland, à Saint-Pierre, sont intégrés à des espaces verts et transformés en mare.
Des espaces culturels
Et puis, il y a ceux dont la fonction a été complètement repensée. C’est le cas des lavoirs de la rue Saint-Malo, à Recouvrance et rue Conseil, à Saint-Martin. « Au lavoir de la rue Saint-Malo, 80 femmes pouvaient laver leur linge en même temps, raconte Mireille Cann, fondatrice de l’association Vivre la rue, qui gère ce lavoir. Cela fait 10 ans que nous organisons des spectacles ici et à nos débuts, les lavandières y venaient encore ».
Aujourd’hui, plus question d’utiliser le lieu pour sa fonction d’origine. Le lavoir a désormais une fonction purement culturelle. Les concerts des fameuses « Petites lessives » y ont lieu pendant l’été, au même titre que des spectacles de danses et de théâtre. Le 21 septembre, l’asso Brest city Groover proposera d’ailleurs du hip-hop. « Cet espace de 400 m² permet d’avoir un spectacle couvert et clos. On y a construit une scène, un bar et des toilettes pour que ça devienne un espace vraiment culturel. On va faire des travaux pour avoir un son de meilleure qualité et on espère pouvoir créer des loges dans la maison attenante au lavoir ».
Le lavoir rue conseil rénové
Du côté du lavoir Conseil, le PL Guérin, les habitants du quartier et la Ville ont poussé le concept encore plus loin. En juin, ce lavoir, « inutilisé depuis un demi-siècle » selon Yann Roue, animateur au PL Guérin, a été entièrement rénové. Aujourd’hui, un bassin, encore en eau, a été végétalisé. Le deuxième bassin peut lui aussi être remis en eau pour des spectacles. Une parcelle du terrain a même été aménagée en jardin partagé.
« L’idée est d’en faire un endroit accessible aux associations et aux habitants qui veulent organiser des événements. On a accueilli la Foire aux croûtons, Vert le Jardin y a organisé Le bal des pépins et le lieu sera ouvert tous les samedis jusqu’à la Toussaint ». « C’est super de pouvoir réhabiliter un lieu chargé d’histoire et l’utiliser pour autre chose, conclut Christine Berthou-Ballot. Le patrimoine ne doit pas rester figé, il doit être vivant ».