A l’attention de ceux qui auraient pu oublier l’objectif que le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi a toujours affiché à mon sujet depuis 2009 et jamais abandonné depuis, rappelons ces explications qu’il avait publiquement données à l’un de ses commentateurs de blog le 18 juillet 2010 :
Ben85 répond à 76212
Le 18 juillet 2010 à 15:45 | Permalien
Merci pour ces explications. Et tu comptes t’arrêter quand avec cette folle?
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cyp répond à 76219
Le 18 juillet 2010 à 15:59 | Permalien
Quand mon prochain roman sera en vente dans les librairies.
Je sais que ce genre de sujet en dégoûte plus d’un, Ici et ailleurs. Mais une de mes passions est l’étude des caractères humains alors quand je ne comprends pas un type de fonctionnement, je retrousse les manches et l’étudie à fond. Les autodidactes ne connaissent pas d’autre mode d’apprentissage.
Et puis ça fait longtemps que j’ai rien publié sur papier, alors ça me titille à nouveau. Sans vouloir me vanter, très peu d’écrivains connaissent les dessous de l’internet aussi bien que moi, en France. Il est grand temps d’en parler, je crois. C’est un tel phénomène de société que la littérature se doit de l’aborder.
Un putain de thriller déconnique, ça sera
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A cette date, il révélait quotidiennement au public depuis un mois tous les éléments de « biographie » qu’il avait pu glaner à mon sujet depuis deux ans, autant en se « renseignant » à mon sujet auprès de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest qui avait toujours été l’inspiratrice de tous ses harcèlements à mon encontre depuis leur début, en 2008, qu’en fouillant dans mon ordinateur, où il avait trouvé les centaines de courriers électroniques que j’avais déjà reçus d’autres sbires de sa complice m’ayant harcelée par ce moyen entre 2005 et 2007.
Autrement dit, sa base était sérieusement viciée, Josette Brenterch m’ayant toujours abondamment calomniée auprès de ses obligés pour obtenir de ces individus, tous des psychopathes, pervers et débiles mentaux, qu’ils me harcèlent comme ils l’ont toujours fait, eux et eux seuls, les gens normaux ne versant pas dans ce type de délinquance.
Le cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi y a toujours ajouté avec une délectation évidente ses propres mensonges et inventions calomnieuses, et toute sa perversité.
Le cas Luraghi est un cas de folie absolument unique.
Ses graves déficiences mentales doublées d’un ego hypertrophié l’ont amené à quitter l’école et sa famille à l’âge de 14 ans en situation d’échec scolaire, sans aucun diplôme, et néanmoins persuadé d’être un génie littéraire. S’estimant rejeté par un système inadapté à sa supériorité naturelle et manifeste, pour rien au monde le jeune mégalomane n’aurait accepté de s’abaisser à suivre la formation de CAP en électricité vers laquelle tentaient de l’orienter ses professeurs.
Dès cet âge-là, il a préféré prendre le maquis et n’a dès lors plus jamais quitté une situation de semi-clandestinité faite de menues activités officielles servant de couverture aux autres, plus intéressantes ou lucratives, par exemple le trafic de drogue avec l’Afghanistan durant ses années himalayennes, ou le piratage informatique depuis qu’il dit gagner sa vie comme dépanneur informatique (ses concurrents de Puy-l’Evêque ne le connaissent pas, j’ai vérifié).
On ne connaît pas d’autre malade mental qui se prétende comme lui « écrivain » en droit de violer l’intimité de la vie privée de quantité de personnes dont il a décidé de faire les « personnages » de ses « romans », afin de se « documenter » à leur sujet.
De même, on n’en connaît pas d’autre qui soit capable de s’obstiner comme lui durant autant d’années – plus de huit ans – à attribuer à de telles personnes, qu’à l’origine il ne connaît même pas et prétend « étudier » à l’aide de divers moyens illégaux, des « biographies » parfaitement délirantes qui ne correspondent en rien à leurs vraies vies.
Il faut bien dire qu’il aura bénéficié dans l’expression de sa folie de circonstances particulièrement favorables, les magistrats du Tribunal de Grande Instance de Brest, au lieu d’y mettre un terme dans les meilleurs délais, l’ayant au contraire très fortement encouragée pour des motifs inavouables tenant à leurs propres turpitudes.
J’aurai quand même au fil du temps publié nombre d’éléments de preuve attestant de la réalité, tout comme j’ai dû en fournir beaucoup plus aux autorités judiciaires dans le cadre des différentes procédures qui se sont engagées entre nous à compter de l’année 2010, les magistrats brestois s’asseyant sur toutes les lois de la République ayant décidé d’inverser systématiquement la charge de la preuve quant aux éléments de ma propre « biographie » qui furent l’objet de tous nos différends depuis 2008.
En effet, au lieu de lui demander de s’expliquer sur tout ce qu’il publiait à mon sujet depuis juin 2010 et de le poursuivre comme il aurait dû l’être pour toutes les infractions pénales qu’il commettait à mon encontre depuis 2008, ils ont préféré me poursuivre, moi sa victime, pour avoir publié des droits de réponse à la suite des campagnes de calomnies publiques dont il se rendait coupable à mon encontre, principalement sur ses blogs personnels (procédure Brenterch, entièrement annulée en appel à Rennes le 2 décembre 2015).
Leur but était de m’obliger à communiquer au malade mental via sa complice Josette Brenterch du NPA de Brest tous les documents qui pouvaient lui manquer pour poursuivre ses soi-disant « enquêtes » me concernant car, manifestement CORROMPUS, ils ont toujours soutenu ouvertement son projet d’écriture de ma soi-disant « biographie ».
Je rappelle ici que ces magistrats connaissaient bien depuis fort longtemps la réalité de toute ma vie professionnelle, puisqu’ils avaient déjà eu à connaître des opérations de harcèlement moral dont j’avais jadis été victime dans l’exercice de ma profession.
C’est donc sciemment, en toute connaissance de cause, que par les décisions iniques et toutes illégales qu’ils ont prises dans les différentes procédures me concernant, ils auront toujours accrédité une version de ma biographie qu’ils savaient d’emblée entièrement fausse.
Cependant, à l’aide de toutes leurs exactions et dénonciations calomnieuses à mon encontre, et encore la toute dernière, de cette année 2016, le cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi et ses complices ont bien accumulé des tas d’éléments de preuves attestant sans l’ombre d’un doute que tout ce que leur avait raconté à mon sujet la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest était bien presqu’entièrement faux, mensonger.
Mais ils ont eux-mêmes toujours énormément menti et affabulé à mon sujet.
Rappelons par exemple qu’au printemps 2012, pour faire fuir les derniers soutiens qui me restaient encore sur Internet alors que plusieurs procédures étaient bien engagées, le mythomane Pascal Edouard Cyprien Luraghi affirmait publiquement en présentant sa prétendue « information » me concernant comme un résultat d’enquête des plus fiables qu’il avait personnellement plusieurs fois recoupé et vérifié à partir de multiples sources, que j’aurais déjà été condamnée pour des faux témoignages, puis condamnée à verser une somme très importante à un ancien employeur.
Or, à compter de l’année suivante, ses lecteurs pouvaient constater par eux-mêmes qu’en réalité je n’avais jamais été condamnée avant le jugement illégal du 11 juin 2013 qu’en toute illégalité il publiait et diffusait alors très massivement dans sa version intégrale, avant qu’il ne soit annulé en appel de manière définitive.
Ses complices « déconnologues » de la première heure connaissent bien la mythomanie de ce psychopathe et savent tous ses mensonges et affabulations me concernant. Cela ne les a jamais empêchés de continuer à le soutenir en toutes ses exactions à mon encontre, auxquelles ils participent eux-mêmes très activement.
Voilà donc tout un ensemble de personnes qui pour diverses raisons leur appartenant à chacune à titre individuel, l’argent apparaissant tout de même comme leur moteur commun à toutes, trouvent avantage à caresser dans le sens du poil un individu dont la folie furieuse est évidente pour toute personne sensée.
Cette semaine encore, un médecin qui a eu l’occasion de parcourir une page de son blog me concernant, juste une alors qu’elles sont innombrables, puisque j’y suis toujours citée quotidiennement depuis plusieurs années, raison pour laquelle, d’ailleurs, les commentaires y sont prudemment fermés au public depuis 2013, ce médecin, donc, contrairement aux fonctionnaires CORROMPUS auxquels j’ai affaire à Brest, a été horrifié par les contenus en question, comme toutes les autres personnes normales ayant pu voir de ces « textes » par le passé.
Son verdict est vite tombé : « scatologique », « ordurier », « harcèlement ».
Cyprien Luraghi et sa complice Josette Brenterch utilisent pour leur part le terme de « moqueries », qu’ils revendiquent sans honte, car ils en sont très fiers.
Nous ne vivons pas sur la même planète.
Contrairement à eux, je n’ai jamais été alcoolique ni toxicomane et ne suis atteinte d’aucun trouble mental, ce qu’attestent tous mes médecins. Je reste bien ancrée dans le réel.
Et je raisonne à partir des réalités qui me sont directement perceptibles.
Je ne les interprète pas, je raisonne.
Il y a deux jours, le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi écrivait à propos du « délire familial » qu’il m’attribue de manière délirante :
« Si tout se passe comme prévu, d’ici peu je pourrais en dire plus. À la Une de mon site. Là tu comprendras mieux de quoi je cause. »
Or, après avoir plusieurs fois depuis 2010 fermé ses blogs ou supprimé de ses textes publics me concernant à la suite de mes plaintes en raison de ces contenus qui tous tombaient sous le coup de la loi, et prudemment évité de trop en publier par la suite, il annonce même :
« S’il n’y a pas de retard supplémentaire, on aura le verdict le 7 janvier. Là, on pourra en causer ouvertement. »
Qu’est-t-il donc prévu à compter de ce verdict ?
Le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi, qui ne doute jamais de rien, attend une décision de justice condamnant à l’aveugle une seule de ses victimes à supprimer la totalité des blogs où se trouve plus ou moins exposée la réalité des faits dont il s’est toujours rendu coupable à l’encontre de nombreuses personnes depuis 2008. Cette décision doit également prononcer à l’encontre de la même de ses victimes une interdiction de toute expression publique concernant sa propre biographie, sur laquelle Cyprien Luraghi estime détenir un droit d’exclusivité et qu’il promet donc à ses fans de publier dès la décision obtenue. Bien sûr, il a aussi demandé que la même de ses victimes soit condamnée à lui verser une très grosse somme d’argent.
Mais en aucun cas cette décision n’est censée interdire aux autres victimes de s’exprimer publiquement, ni à aucune des différentes victimes de porter plainte contre le psychopathe dès qu’il se sera remis à publier ses saloperies.
Il attend donc autre chose que cette décision illégale dont, pour l’heure, personne ne peut dire qu’il l’obtiendra, à moins peut-être lui-même et ses complices s’ils l’ont achetée, on ne sait comment.
Nécessairement, cette autre chose doit interdire à toutes les victimes de Cyprien Luraghi, et de s’exprimer publiquement dès qu’il va recommencer à les calomnier, et de porter plainte contre lui pour ses nouvelles infractions pénales à leur encontre.
Cette autre chose ne peut être que le décès brutal de toutes les victimes de Cyprien Luraghi qui vont derechef devenir ses cibles publiques quotidiennes.
Cyprien Luraghi a déjà supprimé lui-même par piratage informatique mon ancien blog « Un petit coucou » chez OverBlog début septembre 2015, alors qu’il n’était que suspendu depuis le 11 juin 2013. Dès le mois d’octobre 2010, lui ou un de ses complices avait aussi supprimé par piratage informatique quantité de textes qui le dérangeaient sur le blog d’une autre de leurs victimes.
Il est certain qu’il prévoit déjà d’exécuter lui-même par piratage informatique la sanction qu’il attend concernant la totalité des blogs qui le dérangent encore, alors que toutes ses victimes seront mortes et resteront ainsi toutes définitivement muettes et incapables de porter plainte à la suite du verdict qu’il escompte, celui-ci ne faisant office que de paravent de vague allure légale pour cacher en fait une grosse opération homo.
En conclusion : le criminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi a encore prévu plusieurs assassinats.
Si d’aventure il obtient la décision qu’il attend, ne soyez pas dupes de ce qui va alors se passer : ce n’est pas moi qui supprimerai le Petitcoucou, je serai déjà morte.
Rappel des commentaires de Cyprien Luraghi sur Rue89 ces deux derniers jours :
Publié le 29/12/2016 à 17h27
L’entourage souffre énormément des errements insupportables de ces malades mentaux : ce ne sont pas ces derniers qui sont à plaindre, sans déconner !
Publié le 29/12/2016 à 18h58
Je préfère taire ma gueule. Laissons la foule des pleureuses chouiner sur le triste sort des malades mentaux. Et surtout : ne parlons pas de leurs victimes. Sujet tabou !
Publié le 30/12/2016 à 09h15
Dans le cas auquel tu fais allusion, il ne s’agit ni de schizophrénie ni de bipolarité : c’est juste une cinglée méchante qui aurait aimé vivre au bon temps de Vichy, Un cas de maladie mentale sans doute, mais qui engendre des actions parfaitement calculées et délibérées destinées à nuire. Promis (résolution pour la nouvelle année !) on en parlera ailleurs.
Publié le 30/12/2016 à 10h32
Ah si, y a de la schizophrénie aussi, dans sa paranoïa. Dans son délire familial, même, pour préciser. Mais je ne faisais pas allusion à elle en parlant des maniaco-dépressifs pénibles.
Publié le 29/12/2016 à 17h26
Je plains de tout cœur les malheureux qui se farcissent les maniaco-dépressifs au quotidien, que ce soit chez eux, au boulot ou sur le Net.
Publié le 30/12/2016 à 16h36
pemmore
faire merienne et flooder
répond à Itzig Finkelstein
Les patrons français les adorent ces cons, pour en faire des gardes chiourmes, mais bon les maniaco-dépressifs ne sont pas malades, seulement des connards dont le seul plaisir est de faire chier le monde, heureusement pas intelligents, on trouve toujours moyen de les mettre face à leurs erreurs, et parfois arriver à les faire virer.
Publié le 30/12/2016 à 16h43
Je ne suis pas expert, mais c’est ce que je pense de plus en plus, après mûre réflexion : celles et ceux qu’on appelait autrefois des salauds finis et des connasses hystériques, sont désormais répertoriés comme des malades des boyaux de la tête. Du moins pour une bonne partie d’entre eux.
Publié le 29/12/2016 à 20h06
Personnellement, je me tiens le plus possible à l’écart des maniaco-dépressifs et autres psychos craignos qui ne se soignent pas. Et j’ai d’excellentes raisons pour ça : Itzig échaudé craint l’eau froide.
Publié le 29/12/2016 à 20h16
Si tout se passe comme prévu, d’ici peu je pourrais en dire plus. À la Une de mon site. Là tu comprendras mieux de quoi je cause.
Publié le 29/12/2016 à 20h40
je m’en approche plus, des cinglés. C’est fini, ça.
Publié le 29/12/2016 à 21h08
Il est marrant, le dalaï : -)
Publié le 29/12/2016 à 19h58
Par les temps qui courent, être normal c’est anormal…
Publié le 30/12/2016 à 08h13
princeMichkine
la Terre brûle et nous regardons ailleurs
répond à princeMichkine
Une personne « paranoïaque » et pas « une paranoïaque ».
Je ne sais pas comment on fait pour modifier son propre message…
Publié le 30/12/2016 à 10h51
C’est la même chose, car la paranoïa est constitutive de la personnalité de ces sujets. La vraie paranoïa, j’entends. Pas juste celle qui advient à certaines personnes du fait de l’âge, de l’alcool ou de la jalousie.
Publié le 30/12/2016 à 16h12
J’ai l’occasion d’étudier ce sujet in situ. Ledit sujet étant une sujette, d’ailleurs.
Publié le 30/12/2016 à 16h39
Rien de tel que l’expérience vécue, pour pouvoir poser un diagnostic. Et l’expérience, je la vis depuis sept ans au quotidien, alors hein ; -)
Itzig Finkelstein
Personnellement, je les fuis comme la peste bubonique, ces malades mentaux de type malfaisant − je précise bien parce que les psychos ne sont pas tous des malfaisants −. Et j’ai de très bonnes raisons pour ce faire. Le fameux « fou dans la Cité » des psys des années 70, non merci. J’ai déjà donné.