Cyprien Luraghi ne tient plus et expose ses plans 31 décembre
Il l’annonçait déjà discrètement le 4 novembre dernier sur son blog ICYP, il vient de se faire un peu plus précis dans ses commentaires sur le site Rue89 : ayant encore comploté à mon encontre, le cybercriminel et malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi espère bien pouvoir bientôt rouvrir complètement son blog de merde pour y exposer enfin au public comme il l’annonce depuis très longtemps toutes ses saloperies me concernant, lesquelles concernent aussi mon entourage et nombre des personnes que j’ai pu croiser ou fréquenter au cours de mon existence.
Où l’on comprend enfin le pourquoi et le comment des attentats ou projets d’attentats islamistes de ces derniers temps… puisque ceux-ci accompagnent toujours les différentes étapes judiciaires des projets criminels de cet individu à mon encontre depuis leurs débuts…
La raison en est que les demandeurs des décisions judiciaires qui à chaque fois sont attendues et annoncées par Cyprien Luraghi (actuellement Itzig Finkelstein sur le site Rue89) savent qu’ils n’ont strictement aucune chance de les obtenir si les juges s’en tiennent aux lois de la République.
En l’occurrence, cette fois-ci, il exige la suppression définitive de tout écrit public exposant un tant soit peu la réalité de nos différends depuis 2008, lesquels, comme chacun le sait, portent sur la réalité de ce que je suis ou ne suis pas, de ce qu’est ma vie ou ce qu’elle n’est pas, mais aussi, la suppression définitive de toutes les autres publications estampillées « Petitcoucou », et surtout, pour l’avenir, une interdiction de toute expression publique pour les différentes personnes qu’il demande donc de la sorte à pouvoir violer et calomnier en toute liberté, sans plus aucune limite ni retenue ni être plus jamais dérangé par la publication d’aucun droit de réponse à la suite de la publication de tous ses mensonges et inventions calomnieuses à leur sujet.
Comme le fait remarquer à juste titre l’un des commentateurs de Rue89 dans les extraits de discussion qui suivent, il supporte tellement peu la contradiction qu’il a bel et bien demandé une décision de justice interdisant aux personnes dont il a la prétention d’écrire et publier la « biographie » de le contredire à propos de leurs propres biographies !!!
Et bien sûr, l’escroc réclame aussi du fric à ses victimes !
C’est tellement énorme qu’il fallait bien encore lancer au moins un camion dans la foule pour compter faire passer la pilule…
On the route
Par cyp | Publié : 4 novembre 2016
…/…
Demain on monte à la capitale de la France : ici la route est nettement moins aventureuse mais tout aussi palpitante. Notre chauffeur sera légèrement plus hirsute que le vaillant Monsieur Rama. Mais il est tout aussi zen au volant de son petit bolide, bravant les intempéries prévues par la Météo. Et on va faire quoi à Paris ? Celles et ceux qui ont accès aux commentaires le savent déjà. Les lecteurs de passage devront poireauter un petit peu encore…
…E la nave va (sur quatre peuneus) !
Publié dans Billet Express, Inde | Mots-clefs : Icyp, Paris, route | 4371 commentaires
En hommage à Carrie Fisher, les bipolaires s’exposent sur Twitter
L’interprète de la princesse Leia était bipolaire. Sur les réseaux sociaux, de nombreux internautes exposent les maladies mentales dont ils souffrent pour lui rendre hommage.
Attention, la bipolarité est aussi parfois invoquée par des vedettes médiocres et néanmoins chiantes pour excuser leur chiantitude, voire quelques exactions : je m’étonne que Nabilla et Hanouna n’aient pas encore tenté le coup, il faut dire qu’un mot avec cinq syllabes…
Pour savoir de quoi il retourne vraiment, outre les écrits de Carrie Fisher (pas lus), deux excellents petits livres : « Le jour où ma fille est devenue folle » de Michael Greenberg, et « Le jour où mon père s’est tu » de Virginie Linhardt (on remarquera la parenté entre les titres, mais le titre original de Michael Greenberg est « Hurry down, sunshine », ce qui veut à peu près dire « couche-toi vite, soleil »).
Ah, et on dit « souffrir de troubles bipolaires », pas « être bipolaire » : il s’agit d’une maladie grave, et non d’une caractéristique inhérente à l’individu, comme d’être grand ou con. Pour ma part, j’aurais préféré qu’on laisse à cette maladie son ancien nom de psychose maniaco-dépressive, plus effrayant mais plus parlant aussi.
L’entourage souffre énormément des errements insupportables de ces malades mentaux : ce ne sont pas ces derniers qui sont à plaindre, sans déconner !
Heureusement pour les « braves gens » que nombre de ceux qui souffrent de cette maladie ont le bon goût de se suicider, ça fait autant de moins pour perturber leur petit confort existentiel.
Comme s’il n’y avait pas assez de ces « salauds de pauvres » pour empêcher de ronronner d’autosatisfaction, il faut aussi que ces « salauds de bipolaires » s’y mettent !
Sinon, pour ce que j’en ai remarqué, l’entourage aurait plutôt tendance à ne pas beaucoup « entourer » justement ; même pour les agapes familiales on préfère généralement oublier d’inviter ces « instables caractériels » qui risqueraient de gâcher la fête.
Un bon vrai cancer, ça vous a de la gueule, presque autant qu’une légion d’honneur ; mais des troubles mentaux, pouah, quelle horreur… surtout quand, bien sûr, « il n’y a qu’à prendre sur soi pour vivre comme tout le monde ».
Votre interprétation de ce que j’ai écrit est parfaitement délirante. Et dégueulasse, en plus.
Je n’ai pas pour habitude de discuter avec des gens dans votre genre, aussi je vous signifie mon congé : dorénavant j’ignorerai votre présence.
Adios.
Chiasse pas Marrant c’est le culpabilisateur a gros sabots étalon ici . : -)
Le sale type qui ne fout même pas les pieds sur mon paillasson ; -)
Alors lui c’est le type le plus sordide et déprimant des 10 années de R89.
Faut pas y toucher. Jamais.
Même en marchant dedans du pied gauche, il ne porte pas bonheur. « Langue de pute » est une expression faiblarde pour le définir.
C’est le type totalement déprimé dans la vie qui essaie d’entraîner tout le monde avec lui au fond du trou.
Sinistre.
Un cauchemar.
Oui ben là le cauchemar il se le fera tout seul, le mec.
Mais que voilà une belle et gracieuse assemblée de petits vilipendeurs et menus contempteurs !
En train de parler de quelqu’un en termes fort peu élogieux, en quelque sorte derrière son dos, et c’est lui que ces petits tricoteurs de salon traitent de langue de pute !
Qu’en termes choisis on arrive à dire merde !
…
Mouarf !
Menus vilipendeurs et petits contempteurs ? ? ?
Y en a vraiment qui se contemptent de peu !
Ben oui, Monsieur Delaporte, on est toujours obligé de faire avec ce qu’on a !
Les corbeaux malingres qui ressassent leurs aigreurs, perchés sur la vieille branche d’un arbre moribond, ne peuvent pas faire autre chose que de croasser leurs tristes cris.
Le malheureux vieux Dyonisien coincé par le besoin au fond de sa banlieue ne peut pas faire autre chose que de rester dans un environnement qui lui est de plus en plus hostile, et ton serviteur heureux et prospère ne peut faire autre chose que de se prélasser au grand air, un jour à la mer, un jour à la montagne.
La triste réalité du déterminisme, ah la la…
Moi aussi je me passe en boucle des vidéos de national geographic.
…
lol ?
De droite ou de gauche et même du centre, ils sont foutus pareils.
Moi je le trouve plutôt rigolo .
Il avait un autre nom avant, mais il était déjà aussi lamentable et glauque.
Ça y est, je me souviens : chasse marée = boute au vent. Boutauvent. C’était pas une affaire.
That’s it. Once a loser, always a loser.
(ce serait pas un peu Evelyne qui te l’aurait soufflé, escroc ?)
Si. Mais comme elle n’est pas là à cause du décalage horaire, j’en profite éhontément.
On dit « rendre à César ce qui est à César », sauf que tu n’es pas César.
Il avait une calvitie terrible, qu’il soignait avec du laurier.
Lui comme moi n’a aucune envie de s’essuyer les pieds sur votre paillasson… n’exagérons rien de votre importance !
« Votre interprétation de ce que j’ai écrit est parfaitement délirante. Et dégueulasse, en plus. »
Le second degré passe mal sur internet.
Ayant vu le cas de près dans une branche de ma famille, je ne peux qu’acquiescer. Un gros problème des proches est d’ailleurs le comportement des médecins, qui sont complètement myopes la plupart et sont complètement indifférents à ce qu’ils demandent aux familles de supporter.
Je préfère taire ma gueule. Laissons la foule des pleureuses chouiner sur le triste sort des malades mentaux. Et surtout : ne parlons pas de leurs victimes. Sujet tabou !
Dans le cas auquel tu fais allusion, il ne s’agit ni de schizophrénie ni de bipolarité : c’est juste une cinglée méchante qui aurait aimé vivre au bon temps de Vichy, Un cas de maladie mentale sans doute, mais qui engendre des actions parfaitement calculées et délibérées destinées à nuire. Promis (résolution pour la nouvelle année !) on en parlera ailleurs.
Ah si, y a de la schizophrénie aussi, dans sa paranoïa. Dans son délire familial, même, pour préciser. Mais je ne faisais pas allusion à elle en parlant des maniaco-dépressifs pénibles.
Ah, à elle ! …
Pendant un instant,je me suis demandé si on parlait de moi ou si j’entendais des voix.
Ben là tu entends au moins une voix, puisque je te cause. Comme quoi avoir des hallus n’est pas une preuve ; -)
Ben justement, y doit bien y avoir une raison.
Et je ne voyais pas laquelle.
…
Heureusement que j’ai lu jusqu’au bout.
Pas d’accord, mais alors pas du tout.
J’en ai connu un, de bipolaire. C’était mon père. Il a fini par mettre fin à ses jours. Et justement, j’aurais aimé qu’il partage un peu plus sa souffrance, peut être qu’on aurait pu l’aider à la supporter.
Vous semblez penser que toutes les personnes souffrant de troubles psychiques ne font que souffrir leur entourage. Je vous affirme que la plupart de ces personnes souffrent en silence et se détruisent toutes seules.
Vous semblez interpréter ce que je n’ai jamais dit, écrit ou pensé. Je commence à en avoir ma claque des gens qui inventent n’importe quoi et pensent à ma place, vous savez. Sérieusement, même. C’est vraiment gonflant.
Vous avez tout de même écrit : « L’entourage souffre énormément des errements insupportables de ces malades mentaux : ce ne sont pas ces derniers qui sont à plaindre, sans déconner ! “
Désolé si je suis gonflant.
Et vous avez interprété à votre sauce : une vile ragougnasse, vraiment.
Je vous quitte pour de bon, n’ayant plus rien à vous dire. Adios.
Il n’y a rien de vil ni de malveillant dans ce que j’ai écrit.
Si vous considérez que j’ai mal interprété vos propos, c’est peut être qu’il y avait sujet à interprétation. Il me semble que c’est l’objet d’un espace de discussion comme celui-ci de discuter, justement, d’exposer des points de vue.
Si vous vous êtes senti agressé, c’est que je me suis mal exprimé, et je m’en excuse. De votre côté, je trouve votre réaction excessive.
Vraiment aucune discussion possible avec Itzig… assez navrant de voir le côté obtus du personnage qui refuse la moindre contradiction.
Je ne lui souhaite pas la maladie, ne serait-ce que pour ne pas plaindre son entourage qui va devoir le supporter. Lamentable d’écrire ça.
Je plains de tout cœur les malheureux qui se farcissent les maniaco-dépressifs au quotidien, que ce soit chez eux, au boulot ou sur le Net.
4 réponses
Effectivement, ils sont à plaindre, surtout s’il les aiment en plus (et quand c’est leurs enfants)…
Mais ils peuvent avoir une vie normale en dehors de leur présence.
Ils voient la vie telle qu’elle est.
Ils peuvent profiter de la vie pendant des parenthèses.
Ils peuvent avoir le soulagement de voir la personne malade reconnaître sa maladie et faire tous les efforts possibles pour aller mieux (ex prendre les médocs connus et reconnus qui existent certains troubles comme le trouble maniaco dépressif).
Alors que le malade mental, lui, risque de passer à côté de sa vie, de toujours courir après l’insertion sociale, professionnelle, amoureuse…
Je suis quand même frappé par le nombre de malades mentaux qui s’ignorent…Tout le monde devrait faire une sorte d’expertise psychiatrique ou de psychanalyse en même temps que le bac….
Personnellement, je les fuis comme la peste bubonique, ces malades mentaux de type malfaisant − je précise bien parce que les psychos ne sont pas tous des malfaisants −. Et j’ai de très bonnes raisons pour ce faire. Le fameux « fou dans la Cité » des psys des années 70, non merci. J’ai déjà donné.
C’est pas pareil, au boulot et ailleurs ils ont pas choisi de se faire harceler par eux, si ce sont leurs enfants par contre ben c’est pas ces derniers qui ont demandé à naitre.
Les patrons français les adorent ces cons, pour en faire des gardes chiourmes, mais bon les maniaco-dépressifs ne sont pas malades, seulement des connards dont le seul plaisir est de faire chier le monde, heureusement pas intelligents, on trouve toujours moyen de les mettre face à leurs erreurs, et parfois arriver à les faire virer.
Je ne suis pas expert, mais c’est ce que je pense de plus en plus, après mûre réflexion : celles et ceux qu’on appelait autrefois des salauds finis et des connasses hystériques, sont désormais répertoriés comme des malades des boyaux de la tête. Du moins pour une bonne partie d’entre eux.
Parfois ça me grattouille sous la plante du pied droit.
Le bout du nez me grattouille parfois aussi. C’est grave, doc’ ? ; -)
C’est pas une raison pour nous faire chier ; -)
Mais écoute : dans le DSM-5 ils disent que c’est un des multiples symptômes de la polypolarité. Alors je flippe à mort, tu comprends.
Non mais là c’est pas banal : une gratture lancinante sous la plante du pied. En plein milieu. Je vais aller sur Twitter pour couiner de concert avec les autres couineurs sur le hashtag #sos-panard. Je me sentirais moins seul ; -)
Nan nan : c’est pas la podagre mais une gratture monoplantaire ; -)
c’est pas pas facile de vivre avec un cerveau qui fonctionne en dent de scie
Un bon coup de rabot et on n’en parle plus…
je connais bien le sujet pour l’avoir subit
Personnellement, je me tiens le plus possible à l’écart des maniaco-dépressifs et autres psychos craignos qui ne se soignent pas. Et j’ai d’excellentes raisons pour ça : Itzig échaudé craint l’eau froide.
Si tout se passe comme prévu, d’ici peu je pourrais en dire plus. À la Une de mon site. Là tu comprendras mieux de quoi je cause.
ben moi mon souvenir c’est d’avoir voulu sauver de la noyade et de ses délires , un grand et lourd costaud et j’ai faillit finir au fond avec lui
je m’en approche plus, des cinglés. C’est fini, ça.
avoir la prétention de réussir là ou les professionnels échouent est une erreur
Cavanna disait : en fait les gens s’en foutent de finir Alzheimer. Ce qu’ils ne veulent surtout pas, c’est avoir un parent Alzheimer.
Il est poncifiant oui .
Pardon pardon .. : -)
Il s’est pas farci des gniasses maniaco-dépressives et/ou paranos, le dalaï. C’est surtout ça ; -)
Pff, c’est pas un dalaï !
C’est un chat, man.
Une chose est sûre : le dalaï n’est pas un chat angora, vu comment il est pelé.
Vouais, c’est pas un lama laineux.
Il a des pensées subtiles le Dalaï Lama … comme :
« Petit oiseau qui n’a pas d’ailes, tu ne pourras jamais voler ».
C’est une resucée de pas de bras pas de chocolat ?
…
Ou c’est notre traduction qui est mauvaise ?
Ce qui devient de plus en plus difficile c’est surtout de vivre avec une cervelle normale aujourd’hui . : -)
Par les temps qui courent, être normal c’est anormal…
« Par les temps qui courent, être normal c’est anormal “
C’est absolument vrai !
Ne pas rentrer dans les clous, c’est être un gros taré.
( sauf que moi, je pense exactement l’inverse ! .)
Moi j’essaie juste de vieillir tranquilou.
Franchement, je ne me prends plus la tête comme avant, ni pour moi-même, ni pour les autres !
« Moi j’essaie juste de vieillir tranquilou. » moi c’est se que je fais depuis bientôt 7 ans , pote d’enfance + resto et partie de pétanque
Il semble qu’être anormal aussi.
…
Putain, mais qu’est-ce qu’on va devenir ? ? ? …
Écoute : on va abolir les normes comme ça on sera enfin peinards. Simple. Rapide. Efficace. Non mais.
C’est quand même pas normal de devoir en arriver là !
Laiise aller, c’est du valls !
Le seul réussi, c’est le gros qui vole ; -)
Jamais compris ce qu’on leur trouvait à ses bouquins. C’est vraiment fadasse. Je sais pas si c’est du à la traduction (or l’on sait que cela tient au succès d’un bouquin) mais ça a a vraiment été dur à finir.
A moins que l’on dise que c’est bien pour ne pas passer pour un idiot alors que tout le monde aime ?
Non en matière artistique, chacun ses goûts, et D’une n’est pas vraiment du grand art !
Ce qui m’a plus, c’est la possibilité pour certains êtres, avec une certaine éducation, d’avoir des pouvoirs surnaturels, comme de lire les pensées, de pouvoir analyser avec son super intestin, un poison qu’on vous a mis dans votre boisson et de le décomposer chimiquement par la seule force de la pensée…..Je reconnais que c’est un peu idiot.
Exactement ;)
Moi j’ai rencontré une paranoïaque : une expérience catastrophique mais délicieuse à raconter…
Un prochain article pour notre Renée nationale ?
de quoi je parle.
Yvon le Zébulon
Je ne pense pas que Chassemaree contredise ce que tu as écrit, mais plutôt qu’il n’est pas en situation de le comprendre.
Il semble ne pas vouloir admettre que s’occuper d’une personne mentalement déficiente et dont la surveillance doit être permanente, soit une véritable charge et une souffrance pour les proches. Idem pour un très lourd handicap physique.
Et pourtant c’est le cas, et il faut cesser de se boucher les yeux avec de la purée de marrons. La bien pensence c’est super, mais être confronté à une telle réalité est bien plus instructive.
Donc, inutile de chasser chassemaree de la mare !
; -)
Itzig Finkelstein
Je ne discute pas avec des personnes dans son genre. Un point c’est tout.
chassemaree
Comme aurait dit Léon Zitrone : « Monsieur veuillez considérer que vous ne faites dorénavant plus partie de mes auditeurs » ! ; o)
Cela dit je maintiens qu’il faut être sacrément nombriliste (et pas très futé) pour confondre la souffrance subie par un bipolaire avec les (petits) désagréments subis par son entourage, à fortiori, je le répète, quand cet « entourage » opte, dans une grande majorité des cas, pour la fuite… voire pour des mesures de tutelle administrative histoire de refourguer les éventuelles difficultés de gestion à quelqu’un d’autre.
Tout bête et méchant que tu sembles être, je suis persuadé que tu n’aurais pas osé écrire (même ici où les imbéciles sont pourtant légion) que tu souffrais autant (ou plus) que le cancéreux dont tu aurais « la charge ».
Herr Percy Schramm
Intéressant les discussions avec Itzig, vous ne trouvez pas ? Dès que vous n’allez pas dans son sens, vous avez la sanction terrible qui tombe : « je ne vous parle plus ».
Ses propos sont, au départ, ceux qui sont dégueulasses : on parle de personnes qui ont des problèmes mentaux, et c’est l’entourage qui doit être plaint à cause de leur souffrance. Heureusement que je n’ai pas dit ça, sinon…
povlimaong
D’un autre côté, y en a qui s’accrochent comme des berniques à leur rocher avec leurs manies de la persécution.
…
Et on n’a pas toujours une massue sous la main.