Un territoire américain à Brest, depuis 1930

Peu de gens le savent, nous avons à Brest un petit morceau de territoire américain. Le jardinier qui l’entretient est payé par Washington et reçoit sa paie en dollars.

Y est érigé un monument commémorant les hauts faits des forces navales des Etats-Unis et de la France pendant la Première Guerre Mondiale.

Il s’agit d’une tour en granit rose de 50 mètres de haut qui offre à son sommet un point de vue panoramique unique sur la ville de Brest et sa rade.

De novembre 1917 à décembre 1919, un camp militaire américain installé à Pontanézen sur la commune de Lambézellec avait accueilli plus d’un million de soldats américains.

Brest était devenu le premier port des Etats-Unis en France et Lambézellec la plus grande commune de France au niveau de la concentration américaine.

A la fin de la Seconde Guerre Mondiale, nos amis américains ont largué sur Brest un déluge de bombes bien inutile qui a complétement rasé la ville, puis ils ont voulu l’acheter, sa rade les intéressait. Encore une fois, Charles de Gaulle a dit non.

Aujourd’hui, le quartier de Pontanézen à Brest est celui où sont implantés les salafistes.

 

http://www.wiki-brest.net/index.php/Monument_am%C3%A9ricain_du_cours_Dajot

Monument américain du cours Dajot

Sommaire

Concession du terrain du monument américain

Un territoire américain à Brest, depuis 1930 dans Insolent - Insolite 150px-Monument_am%C3%A9ricain_de_Brest_110

magnify-clip dans Insolent - Insolite

Le monument vu du port de commerce

Le terrain sur lequel est érigé le monument américain procède d’une concession gratuite et perpétuelle. Cette concession est accordée au Gouvernement des États-Unis par le Gouvernement français sur un terrain dépendant des fortifications déclassées de Brest. Cette concession est faite en exécution des prescriptions du décret du 13 août 1927 (paru au JO du 26 août 1927) et conformément aux dispositions de l’article V de l’accord conclu le 29 août 1927 entre le gouvernement des États-Unis, représenté par John Pershing, Général des Armées, Président de la commission Américaine des Monuments de Guerre, d’une part, et le gouvernement de la République française représenté par Anne Marie Louis de Sartigues, son chargé d’affaires par intérim à Washington, d’autre part.[1]

  1. Procès-verbal de concession gratuite et perpétuelle, par le Gouvernement Français au Gouvernement des États-Unis de l’usage et de la libre disposition d’un terrain destiné à l’érection d’un monument commémoratif américain à Brest », 12/08/1930, Archives Brest métropole, Référence : 1M185

Une visite rare le 4 juillet 2013

Le 4 juillet 2013, jour de commémoration de l’Indépendance des États-Unis d’Amérique, les responsables de l’American Battle Monuments Commission ont organisé une visite du monument.

Quelques dizaines de personnes, brestois et visiteurs de passage, dont des américains et des allemands, ont ainsi pu monter par petits groupes les quelque 120 marches de l’édifice.

  • 120px-Monument_am%C3%A9ricain_de_Brest_100

    L’escalier

  • 80px-Monument_am%C3%A9ricain_de_Brest_101

    L’escalier d’accès à la plateforme

  • 120px-Monument_am%C3%A9ricain_de_Brest_108

    L’escalier

  • 80px-Monument_am%C3%A9ricain_de_Brest_110

    Le monument vu du port de pêche

Ils ont ainsi pu découvrir, outre l’architecture du bâtiment, murs en granite rose de Ploumanac’h et escalier en fer forgé orné d’étoiles, un point de vue nouveau sur les panoramas de la ville vue d’en haut.

  • 120px-Monument_am%C3%A9ricain_de_Brest_102

    Le parc à chaînes rénové

  • 120px-Monument_am%C3%A9ricain_de_Brest_103

    Le Grand large

  • 120px-Monument_am%C3%A9ricain_de_Brest_104

    Le Club Med 2 en escale

  • 120px-Monument_am%C3%A9ricain_de_Brest_105

    Les toits et le clocher de St Louis

  • 120px-Monument_am%C3%A9ricain_de_Brest_106

    La criée, le chantier du Guip et le port du Château

  • 120px-Monument_am%C3%A9ricain_de_Brest_107

    Molénez, Abeille Bourbon et ND de Rumengol à quai

Commons-logo.svg Wikimedia Commons propose des documents multimédia libres sur « Cours Dajot ».

Surplombant le port de commerce et la rade, la « tour rose » de 50 mètres de haut, sorte de phare à trois étages superposés, est un mémorial élevé sur le cours Dajot après la guerre de 1914-1918 pour commémorer l’accueil réservé aux Américains durant la Première Guerre mondiale. Plus de 800 000 hommes ont transité par Brest du 12 novembre 1917 au 28 novembre 1918.

Détruite par l’armée d’occupation allemande (le 4 juillet 1941) lors de la Seconde Guerre mondiale, elle sera reconstruite à l’identique en 1958, sur un terrain appartenant aux États-Unis.

Cette visite a précédé la commémoration officielle de la Fête nationale en fin de journée.

 

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Avant la cérémonie

Photosphère du port de commerce depuis le toit du monument américain

L’association la « Maison du Libre » a développé un système de prise de vue panoramique et l’outil de visite virtuelle en ligne sous le nom du projet Open Path View.

L’outil nous permet de profiter d’un vue exceptionnelle depuis le toit du monument américain.

Séquences sonores

Durant la balade en ville, organisée par le service Patrimoines le 2 février 2016 sur le thème « Soldats et marins », Alain Boulaire évoque l’histoire du cours Dajot et du monument américain, puis deux comédiens amateurs lisent un texte de Catherine Beauchamp « Brest, port d’occident 1938″.

Monument américain, par Alain Boulaire

« Brest, port d’occident 1938″, par Joëlle Tassel et Jean-Baptiste Pressac

Pour télécharger les fichiers : clic droit et enregistrer la cible du lien sous… – Licence Creative Commons BY NC-ND

Écouter les autres séquences sonores de cette balade

Voir aussi

 

http://www.wiki-brest.net/index.php/Am%C3%A9ricains_%C3%A0_Ponta

Américains à Ponta

Américains à Ponta
Collectif-jq.jpg
Un article de : TAPAJ
Parution : Février 1993 et mars 1993
N° : 22 et 23
Auteur : Patrick Quintin

 

Les américains à Ponta (1917-1919)

Sommaire

Chronologie de l’installation du camp américain à Pontanézen

PONTY: Ce fut une construction gigantesque d’un camp de transit.

Novembre 1917 : Les possibilités d’accueil du port de commerce, l’évacuation des troupes par voie ferrée, la création de cantonnements ont fait de Brest la tête de pont du débarquement des américains en France. En attendant l’aménagement du camp de transit de Saint-Marc, la caserne de Pontanézen a été mise à leur disposition.

12 novembre 1917 : Le premier convoi américain (environ 12 500 hommes) plus une centaine de « marines » venant de Saint-Nazaire viennent prendre leur quartier à Pontanézen.

Fin décembre 1917 : L’édification de 30 baraques est autorisée afin d’augmenter la capacité car à l’origine seuls 2 000 hommes pouvaient s’y installer. Toutefois cette installation est provisoire.

21 janvier 1918 : Ouverture du camp « Hôpital 33″ occupant 2 bâtiments de la caserne où François Vidocq Wikipedia-logo-v2.svg a été interné (voir TAPAJ n°21 ).

Début 1918 : Avec l’afflux des soldats américains, le camp s’étend autour de la caserne de Ponta.

Mars 1918 : II est décidé la construction de nouvelles baraques et l’installation de tentes (de 2000 à 10000 soldats), la base de Ponta s’agrandit.

Durant l’été 1918 : Le développement du camp de Pontanézen s’accélère. Des installations diverses (cuisines, magasins, chemins d’accès aux zones de campement, canalisations d’eau venant de la Penfeld) sont aménagées sommairement. L’ « Hôpital 33″ est agrandi.

Septembre 1918 : Des travaux sont entrepris pour l’installation d’un camp permanent pouvant accueillir 50000 hommes, mais avec la pluie le camp devient un bourbier.

Hiver 1918-1919 : La grippe dite « espagnole » frappe non seulement Ponta, Brest, mais aussi la France entière et ses combattants, décimant une partie de la population.

Début 1919 : Le camp américain s’étend sur 687 hectares. 850 bâtiments y ont été construits pouvant accueillir environ 50 000 hommes. Le camp de tentes peut abriter 35 000 hommes. Ces camps sont divisés en 16 sections autonomes possédant chacune leur cuisine et leur réfectoire pouvant servir 7 500 repas à l’heure. Ces sections sont reliées par des routes goudronnées. Les trottoirs sont réalisés par 120 kilomètres de caillebotis. L’électricité est fournie par 6 centrales. Des baraques supplémentaires sont construites près de l’hôpital permettant ainsi l’installation de 2 300 lits. Au plus fort de l’intervention américaine en 1919, on a enregistré le départ de 26 000 hommes et l’arrivée de 12 000.

Décembre 1919 : Avec la diminution de l’activité durant l’été, le camp de Ponta est fermé.

Les autres installations

Août 1918 : Création du camp de la police montée près de la Maison Blanche.

Avril 1919 : Le « Salvage Dépot » est transféré du camp de Ponta en bordure du chemin vicinal 7. Là, sont recyclés les déchets du camp de Ponta et sont réparés chaussures et vêtements.

Juin 1919 : La YMCA (Young Men’s Christian Association) loue la brasserie de Kérinou qui devient une fabrique de crème glacée pour les « boy’s ».

Les conséquences sur la vie locale

La présence du camp américain à Ponta n’a pas eu que des retombées économiques sur Lambézellec.

Certes l’ « US ARMY » a fait appel à de la main d’œuvre civile. Au « Salvage Depot », 395 françaises (dont 110 à la couture) travaillaient.

Avant sa fermeture, au camp de Ponta, entre 1 500 et 1 800 personnes s’occupaient des cuisines ou étaient plantons et estafettes. La population lavait le linge à domicile. Les terrains et bâtiments étaient soit loués soit réquisitionnés. Mais des indemnités étaient prévues en cas de dégâts. Les réquisitions étaient encore effectives au début de l’été 1919.

Par contre, des dégâts furent causés aux chaussées qui n’étaient pas construites pour le passage d’autant de véhicules chargés de matériel de guerre et des approvisionnements les plus variés: corned-beef, pâle-ale, tonnes de tabac blond, sacs de couchage, couvertures, toiles de tente, savonnettes, rasoirs, lits de camp etc…

Tout un bric-à-brac, qui pour une grande part constitua – pendant des dizaines d’années – la « liquidation des stocks américains ».

Les routes, les chemins et les places étaient défoncés.

La circulation était réglée par les « MP’S » (Police Militaire).

Les cultivateurs de Mesmerrien et de Kergaradec ne pouvaient circuler. Les « MP’S » obligeaient les fermiers, les marchands, les bouchers de Lesneven ou Gouesnou à faire demi-tour.

Les commerçants et les paysans de Lambé, circulant sur le chemin de grande communication 65, déposent des réclamations à la mairie qui sont transmises au préfet maritime.

Les « faits divers »

D’ autre part, le comportement des américains n’est pas toujours exemplaire. Malgré la multiplication des patrouilles françaises et américaines, les « boy’s » se permettent de jouer du revolver pour s’amuser ou se procurer de l’alcool.

En mars 1918, deux américains volent du rhum dans une épicerie de Lambé en menaçant le personnel de leur revolver. Ils tirent, mais ils sont arrêtés.

En juin 1918, un « noir étranger » commet trois agressions de femmes, dont une blessée au couteau, pour tenter de leur faire subir les derniers outrages.

En 1919, la violence commise par les soldats américains augmente. Devant ce « Niagara » de dollars, des marchands ambulants, des « profiteurs » sont attirés. A des prix exorbitants, ils vendent des « souvenirs » les plus divers : pochettes, cravates, breloques, pipes, jumelles, etc… et bien entendu les « antiquités » et « curiosités » du folklore breton et de l’alcool.

Mais ils doivent s’installer à plus de 500 mètres du camp où ils louent ou achètent -à prix d’or- des parcelles de terrain sur lesquelles ils construisent des baraques, des « crêperies ».

Au devant de ce flot kaki, il n’y pas que les « marchands » qui sont attirés. On note le développement considérable de la prostitution. En mai 1918, un arrêté municipal décide que toute femme surprise à rôder autour du camp sera considérée comme « femme de mauvaise vie et de mœurs ».

L’existence du camp américain de Pontanézen a fait en 1918-1919 de Lambézellec la plus grande commune de France au niveau de la concentration américaine.

De Novembre 1917 à Novembre 1919 : 800 000 soldats ont débarqué à Brest. Au 1er Novembre 1919 : 1 200 000 ont été rapatriés depuis l’armistice.

TAPAJ n’a pas été le premier journal à être édité et distribué sur Ponta. De mars à août 1919, les américains du camp ont créé un bihebdomadaire : « The Pontanézen Duckboard » (« Duckboard » = caillebotis, le symbole du camp.)

Patrick Quintin


Voir aussi

1917, le jazz débarque à Brest

 

http://www.letelegramme.fr/local/finistere-nord/brest/ville/brest-etats-unis-de-vrais-proches-20080725-3510637_1406034.php

Brest – États-Unis. De vrais proches

 

Publié le 25 juillet 2008
 
Brest - États-Unis. De vrais proches

 

Souvent, pour relativiser son éloignement de Paris, Brest use d’un joli contre-pied, en précisant qu’elle est plus proche par rapport aux USA.

 

Souvent, pour relativiser son éloignement de Paris, Brest use d’un joli contre-pied, en précisant qu’elle est plus proche par rapport aux USA. Sans mentir non plus, elle peut revendiquer, avec l’Oncle Sam, des liens qui ne datent pas d’hier. Dans les relations entre Brest et les États-Unis, l’historien Alain Boulaire extrait quatre temps forts. La guerre d’indépendance américaine d’abord. Les grandes flottes françaises de soutien partent de Brest, en particulier les troupes du comte de Grasse et de Rochambeau. « Elles ont contribué fortement aux victoires de Chesapeake et de Yorktown en 1781 », commente-t-il. C’est aussi à Brest, pendant neuf mois, que fut basé un fameux corsaire américain, John Paul Jones. Il y ramena des prises. Il est campé, d’ailleurs, dans la bande dessinée « l’Épervier », de Patrice Pellerin. C’est également dans la rade de Brest que le pavillon de la jeune république américaine fut salué, pour la seconde fois, par la Marine royale française, ès qualités.

Ligne transatlantique

Second temps fort doublé de modernité : la ligne transatlantique Brest – New York, entre 1865 et 1973, inaugurée par le Lafayette. Le lobby des Havrais, soutenu par celui des Parisiens, aura raison de cette ligne, malgré le gain de temps en faveur de Brest. Ce constat, simplement géographique, eut une autre illustration : le premier câble transatlantique entre la France et les États-Unis, en 1869, relia la pointe du Minou à Dexburry. Il y eut aussi New York – Déolen. Troisième temps fort : la guerre de 1914-1918. À partir de novembre 1917, plus de 80.000 GI débarquent à Brest, qui devient le principal port des États-Unis en France. « L’esssentiel des combattants se retrouvaient sur le site de Pontanézen, aménagé en véritable cité, dont le journal Pontanézen Duck Board retrace la vie », explique Alain Boulaire. Le premier orchestre de jazz afro-africain, du 369 e régiment d’infanterie, dirigé par James Reese Europe, débarque aussi. Le blues et les negro-spirituals entrent à Brest, avec le basket et le base-ball.

Le président Wilson

C’est à Brest que le président Woodrow Wilson débarque, le 13 décembre 1918, du Georges-Washington, pour la conférence, puis la signature de la paix. Dès 1917, une place avait porté son nom à Brest. Le monument à la mémoire des combattants des forces navales des États-Unis fut inauguré, lui, en août 1937. Les Allemands le firent sauter le 4 juillet 1941, jour de l’Independance. Il sera reconstruit plus tard, à l’identique, mais en granit rose, au lieu du gris du premier. Il se trouve en territoire américain, sans privilège d’extraterritorialité. Alain Boulaire tient également comme temps fort le parrainage, en 1948, de Denver, du Colorado, avec les écoles de Brest, qui manquaient de tout. Et premier jumelage en 1962 entre une ville européenne et une ville américaine. L’épouse du général Dwight Eisenhower – laquelle avait fait une partie de ses études à Denver – y est pour beaucoup



Nouvelle vague de lecteurs russes sur Satanistique depuis deux jours

Ils étaient de retour depuis quelques jours.

Cette fois, c’est une grosse vague qui fait bien monter mes nombres de visites.

 

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La Turquie et la Russie s’accordent sur un cessez-le-feu en Syrie

Le plan consiste à étendre le cessez-le-feu actuellement mis en place à Alep (photo) sur toute la Syrie.

 

Le plan vise à étendre la trêve instaurée récemment à Alep à tout le territoire syrien. Il pourrait rentrer en vigueur ce soir à minuit. Moscou ne confirme pas.

La Turquie et la Russie se sont entendues sur un accord de cessez-le-feu en Syrie a annoncé mercredi l’agence progouvernementale turque Andolu. Le plan consiste à étendre la trêve des combats, actuellement mise en place il y a deux semaines à Alep, sur l’intégralité du pays. Mais Moscou, par la voix du porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, n’a pas confirmé cet accord. Le président turc Erdogan n’a pas non plus mentionné le cessez-le-feu, mercredi matin, lors d’un discours. Mevlut Cavusoglu, chef de la diplomatie d’Ankara, a lui confirmé sans plus de détails qu’un projet de cessez-le-feu avait été élaboré. Un responsable rebelle syrien a pour sa part affirmé à l’Agence France-Presse à Beyrouth, sous couvert de l’anonymat, que les détails n’avaient pas été soumis officiellement aux factions rebelles et qu’il n’y avait donc pas encore de négociations.

» L’avenir de la Syrie discuté en Russie

Selon l’agence de presse turque, le cessez-le-feu doit débuter cette nuit à minuit. Les organisations terroristes ne seraient pas concernées par cette trêve. En cas de succès, cet accord devrait être la base des négociations politiques entre le régime de Bachar el-Assad et les groupes opposants, que Moscou et Ankara veulent organiser en janvier à Astana, capitale du Kazakhstan.

Depuis la victoire des forces gouvernementales syriennes à Alep mi-décembre, la Russie, proche allié du régime de Damas, a annoncé son intention de travailler avec la Turquie à la tenue de nouvelles négociations sur la Syrie, en tenant à l’écart les États-Unis et les Nations unies. Une démarche qui ne contrarie pas les États-Unis. «Nous ne sommes pas contre tout effort visant à stopper les multiples conflits qui se déroulent en Syrie», a déclaré Mark Toner, porte-parole actuel du gouvernement américain.

«Nous parlons souvent avec les Turcs. On parle fréquemment avec les Russes. Nous avons longtemps dit aussi que pour atteindre une sorte de résolution du conflit en Syrie, toutes les parties prenantes devaient se mettre d’accord et avaient besoin de parler les uns aux autres. Par conséquent, le fait que la Turquie et la Russie mettent en place un accord n’est pas nécessairement quelque chose que nous désapprouvons», a-t-il poursuivi.

Plusieurs tentatives d’accords achoppées

La Russie et la Turquie se sont portés garants pour résoudre le conflit politique syrien et collaborent activement sur ce dossier. «Il est important de conclure rapidement des accords sur les modalités pratiques de l’arrêt des actions militaires en Syrie, sur la séparation entre l’opposition modérée et les groupes terroristes et sur les préparatifs de la rencontre d’Astana», a ainsi déclaré mardi le ministère russe des Affaires étrangères. Plusieurs tentatives d’accords initiées par les États-Unis et la Russie ont été mises en oeuvre, mais aucune d’entre elles n’a abouti.

Aucune date précise n’a été annoncé pour les réunions d’Astana, mais la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, a insisté mardi sur le fait que cette réunion n’en est encore qu’au stade de «l’élaboration» et qu’elle ne remplacerait pas le processus de paix de Genève, où doivent également se tenir des négociations en février.

Plus de 310.000 morts depuis 2011

Le président turc Recep Tayyip Erdogan avait quant à lui lancé mardi l’une de ses plus virulentes attaques à l’encontre des politiques occidentales en Syrie, marquées selon lui par des promesses non tenues. Il a également reproché à l’Occident de ne pas soutenir les opérations militaires engagées par l’armée turque dans le nord de la Syrie, et qui subit des pertes de plus en plus nombreuses ces dernières semaines.

Confirmant la tenue des négociations à Astana, le président Erdogan s’est montré critique des réunions prévues à Genève: «Malheureusement, Genève n’a rien donné. Combien de réunions s’y sont tenues? Aucun résultat n’a été obtenu.»

Le conflit syrien a fait plus de 310.000 morts depuis 2011. Mercredi matin, 22 civils, dont dix enfants ont péri dans des raids aériens menés par des avions inconnus sur un village tenu par Daech dans l’est de la Syrie, dans la province de Deir Ezzor, selon l’Observatoire syrien des droits de l’Homme.

 

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2016/12/27/97001-20161227FILWWW00229-erdogan-accuse-l-occident-de-soutenir-ei.php

Erdogan accuse l’Occident de soutenir EI

  • Par lefigaro.fr avec AFP
  • Mis à jour le 27/12/2016 à 19:58
  • Publié le 27/12/2016 à 19:56

Le président turc Recep Tayyip Erdogan a accusé aujourd’hui l’Occident de ne pas tenir ses promesses en Syrie et d’y soutenir des « groupes terroristes », dont le groupe État islamique (EI).

« Les forces de la coalition ne tiennent malheureusement pas leurs promesses », a déclaré M. Erdogan lors d’une conférence de presse avec son homologue guinéen, Alpha Condé, en visite à Ankara. La Turquie est engagée depuis fin août en Syrie, où elle combat notamment l’EI et les milices kurdes qu’elle considère comme « terroristes ». Au moins 37 de ses soldats ont été tués depuis le début de cette opération.

L’armée turque et les rebelles syriens qu’elle soutient, tentent depuis plusieurs semaines d’enlever à l’EI son bastion d’Al-Bab, à environ 25 kilomètres au sud de la frontière turque dans la province d’Alep, où les forces d’Ankara ont essuyé la semaine dernière de lourdes pertes. Le président Erdogan s’est plaint que, plutôt que de soutenir la Turquie, l’Occident préfère venir en appui à l’EI ainsi qu’aux Kurdes du Parti de l’Union démocratique (PYD) et de son bras armé, les Unités de protection du peuple (YPG), soutenus par Washington.

Les Occidentaux « soutiennent tous les groupes terroristes, le YPG, le PYD, mais aussi Daech », a-t-il assuré en utilisant l’acronyme arabe de l’EI.  »C’est parfaitement évident », a-t-il affirmé, assurant que la Turquie disposait de preuves en images. Il avait déjà affirmé que l’Occident soutenait l’EI lors d’un déplacement au Pakistan, en novembre, affirmant à l’époque que l’Occident « se tient actuellement au côté de Daech » et que les armes des jihadistes sont de fabrication occidentale.

Le président Erdogan s’est tout de même montré confiant mardi, assurant que la Turquie a « désormais complètement encerclé le groupe terroriste Daech à Al-Bab ».  »Oui, nous avons des martyrs (…) mais il n’y a pas de marche arrière possible », a-t-il asséné. Que les forces de la coalition tiennent leurs promesses ou non, « nous poursuivrons notre route avec détermination », a-t-il ajouté.

Le président turc a ajouté que la Turquie et la Russie soutiennent un plan visant à mettre autour de la table les différentes parties du conflit syrien, lors d’une rencontre à Astana, au Kazakhstan.

 



Attentat au camion-bélier du 19 décembre 2016 à Berlin : encore des dysfonctionnements qui intriguent

Les enquêtes en cours dans les différents pays concernés depuis l’attentat au camion-bélier ayant fait douze morts et plus de cinquante blessés sur un marché de Noël à Berlin le 19 décembre 2016 livrent peu à peu des informations.

Anis Amri, le Tunisien de 24 ans identifié comme le terroriste auteur de cette attaque, en fuite après les faits, est passé par Lyon en provenance des Pays-Bas le 22 décembre 2016 avant d’être tué par la police italienne près de Milan dans la nuit du 22 au 23 décembre 2016.

La gare de Sesto San Giovanni, où il a été « neutralisé », se trouve à moins de deux kilomètres du lieu où le camion polonais avec lequel il a foncé sur la foule à Berlin avait effectué son chargement, le 16 décembre 2016, avant de regagner l’Allemagne.

Un Tunisien de 40 ans qui « pourrait être lié à l’attentat » a par ailleurs été arrêté à Berlin par les autorités allemandes.

Et à la demande de la chancelière Angela Merkel, un examen des dysfonctionnements révélés par cette affaire devrait permettre de comprendre pourquoi la justice allemande a levé en septembre la surveillance d’Anis Amri, dont la dangerosité était connue depuis six mois.

Cette attaque présente ainsi plusieurs similitudes avec d’autres, notamment celle du marché de Noël de Nantes le 22 décembre 2014, une camionnette conduite par un ancien Biterrois, Sébastien Sarron, trouvé mort dans sa cellule le 13 avril 2016, ayant alors foncé dans la foule, celle des frères Kouachi contre Charlie Hebdo le 7 janvier 2015 à Paris, alors que, bien connus des services et des autorités judiciaires, ils n’étaient plus surveillés depuis plusieurs mois, et celle du Tunisien Mohamed Lahouaiej-Boulel le 14 juillet 2016 à Nice.

 

http://www.lemonde.fr/attentat-berlin/article/2016/12/28/attentat-de-berlin-anis-amri-est-passe-par-les-pays-bas-avant-de-se-rendre-a-lyon_5054932_5051632.html

Attentat de Berlin : Anis Amri est passé par les Pays-Bas avant de se rendre à Lyon

 

Un Tunisien de 40 ans qui « pourrait être lié à l’attentat » a par ailleurs été arrêté à Berlin par les autorités allemandes.

Le Monde.fr avec AFP | 28.12.2016 à 16h36 • Mis à jour le 28.12.2016 à 17h26

 

Un militaire français à la frontière franco-allemande le 22 décembre 2016.

Anis Amri, l’auteur présumé de l’attentat de Berlin abattu par la police italienne à Milan, a transité par les Pays-Bas avant de passer par la France, ont indiqué, mercredi 28 décembre, au Monde des sources proches de l’enquête, confirmant une information de la chaîne LCI.

 

Deux jours après l’attaque qui a fait 12 morts sur un marché de Noël, le Tunisien de 24 ans « aurait voyagé dans la nuit du 21 au 22 décembre par car de la gare routière de Nimègue », une ville des Pays-Bas près de la frontière avec l’Allemagne, « jusqu’à la gare ferroviaire de Lyon-Part-Dieu », a précisé l’une des sources.

Selon les informations du Monde, une carte sim qui avait été distribuée lors d’une opération commerciale à la gare routière de Nimègue a été retrouvée sur le suspect lors de sa « neutralisation » à Milan, attestant donc de sa présence dans cette ville.

Lire aussi :   Le parcours d’Anis Amri, petit délinquant devenu djihadiste

La police ignore s’il a voyagé aux Pays-Bas

Une fois à Lyon, où sa présence est avérée par les caméras de vidéosurveillance de la gare Lyon-Part-Dieu, il aurait gagné par train la ville de Chambéry et enfin Milan, dans le nord de l’Italie. C’est là où il a été tué dans la nuit du 22 au 23 décembre dans des échanges de tirs lors d’un contrôle policier de routine, après quatre jours de chasse à l’homme. Des billets de train pour un trajet Lyon-Chambéry-Milan via Turin, réglés en liquide, ont été retrouvés sur lui.

Les investigations se poursuivent pour déterminer notamment comment il a quitté la capitale allemande après le carnage pour rejoindre les Pays-Bas, au nez et à la barbe de toutes les polices du pays. « Je peux confirmer que la police néerlandaise enquête pour savoir si, après l’attentat de Berlin, il a voyagé à travers les Pays-Bas », a déclaré à l’AFP Wim de Bruin, porte-parole du parquet national néerlandais, refusant de donner davantage de détails.

Aux Pays-Bas, plusieurs députés ont demandé des explications au ministre de la sécurité et de la justice et au gouvernement, cherchant à savoir si les autorités étaient au courant de l’éventuelle présence d’Anis Amri dans le pays et s’interrogeant sur la collaboration des services de sécurité en Europe, d’après l’agence néerlandaise ANP.

Une arrestation à Berlin

Par ailleurs, le parquet fédéral allemand a annoncé de son côté, mercredi, l’arrestation à Berlin d’un homme de 40 ans soupçonné d’avoir été en contact avec Anis Amri. « Le défunt Anis Amri avait sauvegardé dans son téléphone mobile le numéro de ce ressortissant tunisien de 40 ans. Les investigations laissent penser qu’il pourrait être lié à l’attentat », a indiqué le parquet fédéral, compétent en matière de terrorisme dans un court communiqué.

« Il reste à établir si ces soupçons (initiaux) se laissent confirmer par l’enquête », poursuit la même source qui souligne avoir toute la journée de jeudi pour demander éventuellement le placement en détention provisoire de cette personne. Une perquisition a par ailleurs eu lieu au domicile de ce ressortissant tunisien et dans son commerce.

Les autorités allemandes recherchent d’éventuels complices, alors que trois proches du tueur présumé, dont son neveu qui a reconnu avoir été en contact avec Anis Amri via une application cryptée, ont été interpellés samedi en Tunisie.

« Les enquêtes sont toujours en cours au niveau de la garde nationale de L’Aouina [en banlieue de Tunis], notamment sur les liens du neveu avec Anis Amri. Nous ne pouvons rien communiquer pour l’instant », a indiqué mercredi à l’AFP Sofiène Sliti, porte-parole du pôle antiterroriste tunisien.

Lire aussi :   Berlin : la traque du suspect révèle les failles des autorités allemandes

Enfin, à la demande de la chancelière Angela Merkel, un examen des dysfonctionnements révélés par cette affaire devrait permettre de comprendre pourquoi la justice allemande a levé en septembre la surveillance d’Anis Amri, dont la dangerosité était connue depuis six mois.

 

http://www.ledauphine.com/france-monde/2016/12/23/attentat-de-berlin-la-famille-d-anis-amri-lui-demande-de-se-rendre

Attentat de Berlin: l’homme abattu à Milan est bien Anis Amri

 

L'avis de recherche en français pour Anis Amri, suspecté d'être l'auteur de l'attentat au camion-bélier de Berlin, lundi soir. Photo AFP/POLICE
L’avis de recherche en français pour Anis Amri, suspecté d’être l’auteur de l’attentat au camion-bélier de Berlin, lundi soir. Photo AFP/POLICE
Anis Amri a été abattu à Milan par les policiers italiens, vers 3 heures du matin, dans la nuit de jeudi à vendredi. Photo AFP/DANIELE BENNATI
Anis Amri a été abattu à Milan par les policiers italiens, vers 3 heures du matin, dans la nuit de jeudi à vendredi. Photo AFP/DANIELE BENNATI
Anis Amri a été abattu lors d'un contrôle d'identité, à Milan. Photo AFP/DANIELE BENNATI
Anis Amri a été abattu lors d’un contrôle d’identité, à Milan. Photo AFP/DANIELE BENNATI
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L'avis de recherche en français pour Anis Amri, suspecté d'être l'auteur de l'attentat au camion-bélier de Berlin, lundi soir. Photo AFP/POLICE
Anis Amri a été abattu à Milan par les policiers italiens, vers 3 heures du matin, dans la nuit de jeudi à vendredi. Photo AFP/DANIELE BENNATI
Anis Amri a été abattu lors d'un contrôle d'identité, à Milan. Photo AFP/DANIELE BENNATI

Ce que l’on sait à 21 heures

- Anis Amri, l’auteur présumé de l’attentat au camion-bélier de Berlin, lundi, a été tué dans la nuit de jeudi à vendredi lors d’un contrôle policier «par hasard» à Milan, mettant fin à quatre jours de chasse à l’homme à travers l’Europe. Un policier a été blessé à l’épaule lors de l’intervention par un tir d’Amri, abattu par un second policier dans la foulée.

-Accusé d’avoir tué douze personnes et blessé des dizaines d’autres sur un marché de Nöel berlinois, le Tunisien de 24 ans avait fait allégeance au chef du groupe Etat Islamique, Abou Bakr al-Baghdadi, selon une vidéo enregistrée dans le quartier berlinois de Moabit et diffusée vendredi par son agence de propagande.

- Comment Amri a-t-il pu rejoindre l’Italie, où il était arrivé à Lampedusa en 2012 et où il a séjourné en prison plusieurs années, avant son départ pour l’Allemagne en juillet 2015 ? Son parcours est encore flou, mais dans son sac, les enquêteurs ont trouvé aussi un billet de train montrant qu’il était monté à Chambéry et passé par Turin avant d’arriver dans la nuit à Milan. La police italienne a simplement confirmé qu’il avait transité par la France, tandis qu’Europe 1 affirme que le terroriste est passé par la gare de la Part-Dieu à Lyon, jeudi.

- En Allemagne, la menace terroriste demeure, a prévenu vendredi Angela Merkel, promettant que les failles des autorités allemandes apparues à cette occasion seraient examinées en profondeur. Vendredi, la police allemande a arrêté deux frères soupçonnés de préparer un attentat contre un des plus grands centres commerciaux du pays, à Oberhausen, à mi-chemin entre Düsseldorf et Dortmund. Et dans l’enquête sur l’attentat berlinois, les autorités annoncent chercher d’éventuels complices

20 h 38 : «J’appelle à la plus grande prudence concernant les informations qui circulent actuellement et je le répète, seuls les enquêtes permettront d’établir précisément les faits», a déclaré le ministre de l’Intérieur, Bruno Le Roux, au sujet de l’enquête en cours.

20 h 30 : Selon Europe 1, le point de départ du périple ferroviaire d’Anis Amri, qui serait passé par Chambéry, puis Turin, avant d’arriver par un train régional à Milan, serait la gare de la Part-Dieu, à Lyon, jeudi après-midi.

18 h 02 : Quel itinéraire pour Amri, avant comme après l’attentat berlinois de lundi ? Cette question devra être résolue par les enquêteurs, mais ce vendredi après-midi, les autorités ont découvert qu’il y a peut-être une explication à la présence d’Amri près de Milan.

La gare de Sesto San Giovanni, où a été neutralisé le Tunisien de 24 ans, se trouve à moins de deux kilomètres du lieu où le camion polonais avec lequel il a foncé sur la foule à Berlin avait effectué son chargement, le 16 décembre, avant de regagner l’Allemagne.

16 h 16 : Selon les médias italiens, l’arme utilisée par Amri à Milan est la même que celle qui a servi à abattre le chauffeur polonais dans le camion, à Berlin.

16 h 03 : La SNCF a confirmé à nos confrères du Monde qu’Anis Amri était bien en possession d’un billet de train Chambéry-Turin.

15 h 31 : Selon un journaliste du quotidien Der Spiegel, la vidéo dans laquel Anis Amri prête allégeance à Daech a été tournée à Berlin, plus précisément dans le quartier de Moabit.

15 h 24 : un concert va démarrer porte de Brandebourg à Berlin, en hommage aux victimes de l’attentat.

15 h 08: La chancelière précise qu’elle a eu le président tunisien au téléphone. La question de la lutte contre le terrorisme a été abordée. Celle de l’expulsion des citoyens tunisiens également: «les démarches doivent être facilitées et accélérées», ajoute Angela Merkel.

15 h 07 : «L’enquête n’est pas terminée avec la mort du terrorisme. Les enquêteurs continuent à travailler pour mettre au jour les réseaux terroristes. Nous devons déterminer qui a soutenu Anis Amri, qui lui a permis de commettre cette attaque, qui l’a couvert. Le terrorisme islamiste est un véritable défi pour nous. Nous avons toujours tenté de nous adapter à cette menace changeante», a indiqué Angela Merkel.

15 h 06: Elle remercie aussi les partenaires européens qui ont permis cette issue. Elle a réaffirmé la nécessité d’une coopération internationale sur la lutte contre le terrorisme.

15 h 05 : Angela Merkel adresse ses remerciements aux Italiens et notamment aux deux policiers qui ont abattu Anis Amri.

14 h 50: Dans la vidéo d’allégeance à Daech diffusée par l’agence de propagande Amaq, Anis Amri affirme vouloir se venger des frappes aériennes contre les musulmans. Il veut punir les « mangeurs de porc », les mécréants et devenir un martyr.

Le parcours d’Anis Amri

Infographie AFP
Infographie AFP

14 h 36 : La chancelière allemande Angela Merkel s’exprimera à 15 heures.

14 h 34: Concernant les victimes de l’attentat de Berlin, les autorités allemandes précisent que sur les blessés toujours hospitalisés, 13 sont dans un état critique.

14 h 32 : Le ministre allemand de l’Intérieur indique qu’a priori, il n’y a pas de lien entre Anis Amri et l’attaque déjoué à Oberhausen, dans l’ouest du pays. Deux frères ont été arrêtés dans la nuit de jeudi à vendredi.

14 h 30 : Thomas de Maizière indique que le niveau de menace sur l’Allemagne reste élevé, malgré le décès de l’auteur de l’attentat de Berlin.

14 h 28: Le ministre confirme qu’il existe des liens entre Anis Amri et le prédicateur Abou Walaa, un salafiste irakien de 32 ans, arrêté début novembre en Allemagne.

14 h 26: Selon un journaliste du tabloïd allemand Bild, l’organisation djihadiste Daech a diffusé une vidéo d’Anis Amri dans laquelle il prête allégeance à Abou Bakr al-Baghdadi.

14 h 22 : Des enquêteurs allemands vont se rendre en Italie. Thomas de Maizière insiste sur la nécessité de la coopération européenne.

14 h 21 : «Je suis particulièrement soulagé car ce terroriste n’est plus une menace pour l’Allemagne et pour aucun pays», ajoute Thomas de Maizière.

14 h 20: Il précise que l’identification du suspect a été permise grâce aux empreintes digitales. Il souligne la bravoure des deux policiers qui ont fait feu sur Anis Amri.

14 h 19 : Le ministre de l’Intérieur allemand s’exprime à Berlin. Lui aussi confirme que le suspect abattu à Milan est bien Anis Amri, l’auteur de l’attentat de Berlin.

14 h16 : Le policier indemne fait feu à deux reprises sur Amri. Il succombe à ses blessures 10 minutes plus tard. Sur lui, les enquêteurs découvre environ 100€. En revanche, il n’avait ni téléphone ni arme supplémentaire.

14 h 15: Amri se dissimule derrière une voiture et insulte les policiers. En revanche, il ne crie pas « Allahou Akbar » (« Dieu est grand ») comme l’affirmaient certains médias italiens.

14 h 14: Alors que les policiers lui demandent de vider ses poches, le suspect sort une arme et ouvre le feu. Il blesse légèrement un des policiers.

14 h 13: Il est 3h08 quand le suspect fait l’objet d’un contrôle d’identité, devant la gare de Sesto San Giovanni. La patrouille de policiers demande ses papiers à Amri. Il répond qu’il n’en a pas. Les policiers lui demandent alors de vider son sac et ses poches.

14 h 12: Le préfet de police de Milan a détaillé les circonstances du contrôle d’Anis Amri. L’opération était « non planifiée » mais entre plus largement dans une « intensification des contrôles ».

14 h 02 : Le groupe djihadiste Daech confirme via son agence de propagande Amaq que l’homme mort à Milan est l’auteur de l’attentat de Berlin.

13 h 57 : Un journaliste allemand a été en contact avec l’un des frères d’Anis Amri, après son décès. « Nous sommes très choqués », a-t-il réagi.

13 h 36 : L’Allemagne cherche à savoir si des complices ont aidé Amri à quitter l’Allemagne et/ou s’ils étaient au courant des plans d’attentat du Tunisien.

13 h 35 : Le procureur fédéral allemand fait le point sur l’enquête. Il indique qu’il s’agit de déterminer s’il a des complices et si l’arme qu’il a utilisée à Milan est aussi celle utilisée à Berlin.

13 h 05 : «Notre attention reste maximale, les menaces ne doivent pas être sous-évaluées, a déclaré le chef du gouvernement italien Paolo Gentiloni. Plus que jamais nous sommes engagés sur le front de la sécurité», a-t-il assuré lors d’une conférence de presse.

12 h 47: Concernant les images filmées près de la mosquée berlinoise de Moabit, l’homme sur la vidéo n’est pas Anis Amri.

12 h 41: Le procureur fédéral allemand tiendra aussi une conférence de presse à 13h30.

12 h 36: Les techniciens scientifiques de la police italienne ont rapidement pu identifier Anis Amri grâce à ses empreintes digitales.

Attention, certaines images peuvent choquer

Plusieurs attentats déjoués avant Noël

Outre l’Allemagne, où deux frères soupçonnés de préparer un attentat ont été arrêtés jeudi, quatre jours après le drame de Berlin, l’Australie et l’Indonésie ont annoncé avoir déjoué des actes terroristes planifiés pour Noël.

Allemagne

Quatre jours après une attaque djihadiste au camion-bélier qui a tué 12 personnes sur un marché de Noël à Berlin, la police allemande a annoncé dans la nuit de jeudi à vendredi avoir arrêté deux hommes soupçonnés de préparer un attentat contre le Centro, un grand centre commercial à Oberhausen, dans l’ouest de l’Allemagne.

Il s’agit de deux frères de 28 et 31 ans originaires du Kosovo. Les enquêteurs tentent de déterminer quel était le stade de préparation de leur attaque et si d’autres personnes étaient impliquées dans le projet.

Australie

La police australienne a annoncé vendredi avoir déjoué un «complot terroriste» inspiré par Daech, en arrêtant sept personnes qui projetaient plusieurs attentats le jour de Noël dans le centre de Melbourne.

Les personnes interpellées projetaient d’attaquer à l’aide d’explosifs, d’armes à feu et de couteaux, des lieux emblématiques comme la gare, la Place de la Fédération et la cathédrale Saint-Paul.

Parmi les suspects, tous surveillés depuis plusieurs semaines, quatre sont nés en Australie et sont d’origine libanaise, et le cinquième est né en Egypte mais a acquis ensuite la nationalité australienne. Tous sont âgés d’une vingtaine d’années.

Indonésie

Trois extrémistes islamistes présumés qui prévoyaient un attentat suicide à Noël ont été abattus mercredi à Tangerang, dans la banlieue ouest de Jakarta, lors d’une opération anti-terroriste au cours de laquelle des bombes sont découvertes, selon la police indonésienne.

Les suspects, dont certains étaient membres d’un réseau extrémiste local ayant prêté allégeance à l’organisation Etat islamique, auraient refusé de se rendre.

Ils projetaient de poignarder un policier dans un poste de police puis de perpétrer un attentat suicide dans un lieu très fréquenté. Le projet d’attaque a été révélé par un membre du groupe interpellé le même jour.

12 h 27 : la chancelière allemande Angela Merkel va s’entretenir avec le président tunisien. Anis Amri n’avait pu être expulsé vers son pays d’origine, Tunis mettant du temps à le reconnaître comme citoyen tunisien.

La situation s’était déjà produite en 2015, quand Amri était sorti de prison, après avoir mis le feu à une école en Italie. Rome n’avait pu l’expulser vers la Tunisie. Anis Amri s’était rendu en Allemagne.

12 h 22 : Le ministre de l’Intérieur allemand Thomas de Maizière tient une conférence de presse à 14h15.

12 h 14: Sur Twitter, la police berlinoise remercie la police italienne.

12 h 11: aucune information sur la cavale d’Anis Amri, l’itinéraire du terroriste depuis Berlin, n’a été confirmée de manière officielle. L’enquête se poursuit pour tenter de déterminer s’il a bénéficié de complicité.

11 h 54: la journaliste Josephine McKenna, basée à Rome, affirme elle aussi qu’Anis Amri est arrivé de France, par un train Chambéry-Turin. Elle cite des sources antiterroristes italiennes.

11 h : A sa libération, la Tunisie refusant de le reprendre, l’Italie lui ordonne de quitter le territoire et il rejoint en juillet 2015 l’Allemagne qui est alors au début du pic de la crise migratoire.

11 h 48 : Anis Amri a fait quatre ans de prison en Sicile, pour son implication dans un incendie. C’est peut-être lors de sa détention qu’il aurait pu se radicaliser.

11 h 47: L’Italie est un pays qu’Anis Amri connaît bien. En 2010, quand il quitte la Tunisie, c’est à Lampedusa qu’il débarque à bord d’un bateau avec d’autres réfugiés.

11 h 39: «Nous n’avons pas de confirmation officielle de l’Italie sur la mort d’Amri pour le moment», ajoute-t-il.

11 h 35: La mort du principal suspect un «soulagement», affirme le gouvernement allemand.

11 h 33 : le ministre de l’Intérieur allemand Thomas de Maizière va lui aussi s’exprimer, après la mort d’Anis Amri à Milan.

11 h 28 : Son arrestation a été effectué par une patrouille composée de deux policiers alors qu’il circulait de façon «suspecte» devant la gare milanaise de Sesto San Giovanni.

11 h 26 : L’homme a été abattu lors d’un contrôle de police de routine et a sorti «sans hésiter» une arme, a indiqué le ministre.

11 h 22 : le ministre de l’Intérieur précise qu’un policier italien a été blessé dans la fusillade à Milan. Ses jours sont hors de danger.

11 h 21 : «Il s’agit d’Anis Amri, sans aucun doute», indique Marco Minniti.

11 h 10 : le ministre de l’Intérieur italien Marco Minniti confirme que l’homme abattu à Milan est bien Anis Amri.

11 h : Selon le quotidien Corriere della Sera (en Italie), le suspect aurait pris le train entre Chambéry (Savoie) et Turin dans la nuit. De là, il aurait ensuite rejoint Milan.

10 h 53 : recherché par toutes les polices d’Europe depuis l’attentat de Berlin lundi soir, Anis Amri aurait franchi au moins deux frontières pour se retrouver à Milan.

10 h 48 : le ministre italien de l’Intérieur va donner une conférence de presse dans quelques minutes.

10 h 45 : l’un des deux policiers italiens a été blessé dans la fusillade. Il est touché à l’épaule.

10 h 44 : Le suspect était en possession d’un sac à dos, dans lequel a notamment été retrouvé un billet de train. Anis Amri venait d’arriver de France, selon ce billet.

10 h 43 : Le suspect abattu était armé d’une arme de poing, un pistolet de calibre .22.

10 h 42 : La Repubblica indique que le suspect a été identifié par ses empreintes digitales.

10 h 41 : Une fusillade aurait éclaté dans la nuit, vers 3 heures du matin, quand les policiers italiens ont demandé ses papiers à un homme. Il aurait alors crié « Allahu Akbar », avant de faire feu sur les deux officiers de police.

10 h 35 : Selon le quotidien italien La Repubblica (en italien), Anis Amir été abattu dans le quartier de la gare de Sesto San Giovanni.

10 h 30 : Selon l’agence de presse Reuters, citant des sources de sécurité italienne, le suspect aurait été abattu à Milan, dans le nord de l’Italie.

9 h 15 : La justice allemande a lancé un mandat d’arrêt européen contre le Tunisien de 24 ans, soupçonné d’être le conducteur du camion. Un avis de recherche a été lancé mais l’homme demeure introuvable pour le moment.

9 h : Dans la matinée, les enquêteurs estimaient qu’Amri pourrait toujours se trouver dans la capitale allemande, avance le quotidien Der Tagesspiegel (en allemand). Des opérations policières ont eu lieu en plusieurs endroits de Berlin, et notamment une mosquée du quartier de Moabit.

Le lieu de culte de la Perlebergerstrasse est connu comme l’une des mosquées les plus radicales de Berlin, appartenant à la mouvance salafiste. Le suspect de l’attentat s’y serait rendu cet été. Il y a aussi été aperçu la semaine dernière, quelques jours seulement avant les attentats.

8 h 45 : selon des images de vidéosurveillance obtenues par la chaîne de télévision Rundfunk Berlin-Brandenburg (en allemand), c’est dans cette mosquée qu’Amri se serait rendu après avoir foncé sur la foule avec le camion de 38 tonnes.

Le lieu de culte, connu comme « la mosquée de Daech à Berlin », a été fouillée jeudi matin, en vain.

8 h 30 : Anis Amri avait quitté la Tunisie en 2010 pour rejoindre l’Europe, et l’Italie, dans un premier temps, détaillent nos confrères du Monde. Impliqué dans l’incendie d’une école, il avait été condamné à quatre de prison.

Il avait déjà un passé de petit délinquant en Tunisie, où il avait été condamné pour consommation de cannabis et pour vol.

8 h 15 : «Il ne priait pas, il a été en Italie et il a eu des problèmes. Il a passé quatre ans en prison et il a beaucoup changé, c’était un autre homme quand il est sorti de prison», indique son frère Walid à nos confrères d’Euronews.

Libéré en 2015, il s’était rendu en Allemagne, où il avait demandé l’asile à 7 reprises. Ses demandes avaient été toutes rejetées, et il était expulsable depuis l’été. Mais la Tunisie a tardé à reconnaître qu’Anis Amri était l’un de ses ressortissants, bloquant ainsi son retour.

8 h : A Oueslatia, son village natal, son frère Abdelkader lui a demandé de se rendre: «Si mon frère m’écoute, je veux lui demander de se rendre. Si c’est lui qui a fait ça, il sera puni et cela ne rend pas honneur à notre famille et à notre entourage.»

«Il est parti pour des questions économiques, pour aider sa famille, il n’est pas parti pour ça, on ne fait pas ce genre de choses. Tout le monde nous connaît ici. On ne fait pas des choses pareilles», a-t-il ajouté.

 



Le Père Noël est passé !

 

 

Il m’a fait cadeau de belles boules !

Et vous, gâtés ?



Brutal changement d’humeur de Cyprien Luraghi le 22 décembre 2016

Il y a encore deux jours, le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi continuait à bien se marrer avec ses potes « déconnologues » sur le site Rue89 comme il l’a toujours fait depuis 2008. L’un d’eux, le pseudonymé lamorille, laissait même entendre, à l’instar du chef leur promettant joyeusement de nouveaux écrits publics ébouriffants sur son tas de merde depuis maintenant plusieurs mois, qu’en vrais « héros du quotidien », ils poursuivaient toujours dans l’ombre toutes leurs sales besognes me concernant en attendant de pouvoir enfin exposer au public ma biographie complète entièrement revisitée par leurs soins.

Or, hier, Cyprien Luraghi s’étranglait presque en criant sa haine des lois de la République.

Comme d’habitude depuis le 25 juillet 2014, ce changement d’humeur brutal du « Konducator » de Puy-l’Evêque est également bien perceptible dans le graphe des statistiques basiques de Petitcoucou qui depuis le 22 décembre remontent à leur niveau du début du mois :

 

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Même tendance pour Justinpetitcoucou :

 

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Une mauvaise nouvelle, probablement.

Peut-être encore l’interception d’un mail désagréable parmi tous les échanges de courriers électroniques qu’ils continuent à pirater, notamment les miens.

Pour mémoire (cliquer sur l’image pour l’agrandir et lire les textes) :

 

Pirates

 

Ces échanges de courriers électroniques entre les époux Luraghi, Pascal Edouard Cyprien et Annie Belléculée, et plusieurs de leurs complices de la première heure à propos de leurs piratages informatiques à mon encontre, dont une copie était parvenue jusqu’à leurs victimes fin juin 2011, avaient bien été authentifiés par les intéressés à la suite de leur publication à cette époque.



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