Emmanuel Macron déconnologue : c’est confirmé !

 

 
Le Konducator Cosmoplanétaire Pascal Edouard Cyprien Luraghi doit être très fier de cet adepte de son Eglise de Déconnologie, lui qui déclarait en 2009, pour le plus grand bonheur de son compère Hulk :

 
à Hulk_ De Cyp_
Kondukator Cosmoplanétaire | 00H12 | 22/03/2009 |
J’ai fait ça, et pas qu’une seule fois :  mais je n’initie jamais le délire ;  je prends le train en marche ou alors je papote sur des fils totalement déserts.
Sauf chez Serraf :  mais là c’est normal.
[rajouti]
C’est dur pour lui la vie. OK, mais c’est lui qui l’a voulu. Je n’accorde jamais la moindre excuse à ceux qui se font chier dans la vie. Je suis d’une cruauté sans borne à leur égard.
Quelle que soit  sa condition sociale, son milieu familial et tout le reste, se faire la vie belle est une question de choix, de détermination, de tripe et de couilles. Même pour les filles.
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 à Cyp_  De Hulk_Gros con de droite | 00H14 | 22/03/2009 | Permalien

Eh ben ça, tu vois, c’est une magnifique pensée de droite. J’adore.

Bienvenue camarade !

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à Hulk_  De Cyp_Kondukator Cosmoplanétaire | 00H19 | 22/03/2009 | Permalien

Ce n’est ni une pensée de droite, ni de gauche :  y a des poltrons et des planqués partout ;  des qui manquent de courage ;  des frileux ;  des tout petits.

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à Cyp_  De Hulk_Gros con de droite | 00H27 | 22/03/2009 | Permalien

Ah ça si, c’est une pensée de droite, à fond.

Deux preuves : 

1) Je suis d’accord

2) Va donc sur un site de bisounours de gauche leur raconter ça, tu vas voir ta gueule. Et ensuite, va sur un site de droite ;  tu seras pas accueilli pareil. On dira « Cyp, il est des nô-au-tres, il est de droite comme les au-au-tres ! »

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Et encore :

 
Cyp’ le 30/08/2009 à 12:12
@ les RG :
Je préfère écrabouiller les folles furieuses qui se jettent sous les roues de ma bagnoles alors que je roule pépère sur la départementale, plutôt qu’aller me frotter aux CRS ou planter ma caisse dans un platane pour éviter ces cinglées.

D’ailleurs, vous faites plaisir aux CRS, quand vous manifestez : c’est grâce à vous qu’ils peuvent écouter Sardou et payer les traites de leur pavillon Phénix ultra-moche.

Sans vous, ils n’existeraient pas et le monde serait plus sympathique.
Vroum !

 



Système Richard Ferrand à l’Assemblée : l’opposition s’en étrangle…

 

 

Bah… c’est le système Brenterch ou Luraghi…

Les innombrables victimes de ces deux-là y ont toutes goûté.

Pourquoi donc n’ont-elles jamais été entendues ?

 

http://www.huffingtonpost.fr/2017/06/29/la-colere-froide-dandre-chassaigne-apres-un-tour-de-force-de-ri_a_23007535/

La colère froide d’André Chassaigne après un tour de force de Richard Ferrand

 

Le patron des députés communistes n’a pas gouté la décision de La République en marche de s’arroger toutes les vice-présidences de l’Assemblée.

 

29/06/2017 10:16 CEST | Actualisé il y a 2 heures

POLITIQUE – L’ambiance était électrique dans l’hémicycle. Ce n’était que la deuxième journée de la législature et pourtant les députés étaient déjà à cran en raison d’un tour de passe passe des « contructifs » appuyés par La République en marche au détriment des Républicains.

Après une suspension de séance de trois heures, la tension n’est pas retombée puisque Richard Ferrand a décidé de s’arroger tous les postes de vice-présidents de l’Assemblée pendant le temps durant lequel les Républicains boycotteront le bureau de l’institution.

Cette décision a été unanimement dénoncée par les groupes d’opposition de gauche. Notamment par André Chassaigne, patron des députés communistes, pris d’une colère froide.

Une intervention de 2’30 visible ci-dessous.

Lire aussi :

Pourquoi cette tradition instituée par Sarkozy à l’Assemblée vire au casse-tête

Récit d’un deuxième jour surréaliste à l’Assemblée nationale

Comment Solère a réussi « un hold-up institutionnel » face à Ciotti

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http://www.boursorama.com/actualites/razzia-de-la-republique-en-marche-sur-l-assemblee-nationale-b8bfad6175bce6061f1c56f0858bf1e8

Razzia de La République en marche sur l’Assemblée nationale

 

Reuters le 29/06/2017 à 13:44

 

Système Richard Ferrand à l'Assemblée : l'opposition s'en étrangle... dans AC ! Brest a800aa9115aadf6ce316e4d677195357-627x417

 

RAZZIA DE LA RÉPUBLIQUE EN MARCHE SUR L’ASSEMBLÉE NATIONALE

 

PARIS (Reuters) – Le groupe La République en marche (LREM), qui dispose de la majorité absolue à l’Assemblée, s’est taillé la part du lion dans les postes de responsabilité au Palais-Bourbon en s’attribuant jeudi six présidences de commissions sur huit.

Son allié du MoDem récupère de surcroît celle des Affaires étrangères avec l’élection de Marielle de Sarnez, ne laissant à l’opposition que celle de la commission des Finances.

Le groupe LREM, qui a placé l’un des siens, François de Rugy, à la présidence de l’Assemblée, a également favorisé l’élection mercredi du « constructif » Les Républicains Thierry Solère au poste de troisième questeur.

Une tradition datant de 1973 veut que les deux premiers questeurs appartiennent à la majorité et le troisième à un membre de l’opposition.

Alors qu’Eric Ciotti, un LR partisan d’une opposition frontale à la majorité, devait occuper ce poste, Thierry Solère s’est fait élire avec les voix du groupe LREM, expliquant que son groupe se situait dans une opposition « constructive ».

Cela a provoqué une vive réaction du groupe LR qui a provoqué une série de suspensions de séance et son refus de siéger au sein du bureau de l’Assemblée. Le groupe LR estime que Thierry Solère « n’appartient pas à l’opposition » et ne peut donc être ce troisième questeur.

LES « CONSTRUCTIFS » DIVISES

Les UDI du groupe « constructif » n’ont pas non plus apprécié cette candidature annoncée au dernier moment.

« Nous n’étions pas au courant. C’est scandaleux. Nous allons en discuter lundi. Nous sommes sur des plaques tectoniques qui bougent », a dit Philippe Vigier, ancien président du groupe UDI.

LR, le principal groupe d’opposition qui compte cent élus, pourrait rentrer dans le rang, un accord scellé dans la nuit de mercredi à jeudi ayant été respecté mercredi pour l’élection d’Eric Woerth (LR) à la tête de la commission des Finances.

Afin de faciliter l’élection d’Eric Woerth, acquise à la majorité relative au troisième tour de scrutin, les groupes LREM et MoDem n’ont pas participé au scrutin.

Le candidat LR a dû affronter trois autres candidats, le constructif UDI Charles de Courson, le LFI Eric Coquerel et la Nouvelle gauche Valérie Rabault, une socialiste.

Le groupe LR a exprimé son mécontentement à propos de la composition des bureaux des différentes commissions, ses candidats n’ayant pas été élus à des postes de secrétaires.

Son président, Christian Jacob, a toutefois annoncé que son groupe ne boycotterait pas le Congrès du Parlement convoqué lundi à Versailles par le chef de l’Etat, Emmanuel Macron, au contraire de ce qu’a annoncé l’UDI Jean-Christophe Lagarde.

« On n’est pas dans une attitude de blocage de quoi que ce soit », a dit Christian Jacob dans les couloirs de l’Assemblée.

« Nous participerons à tous les débats, on fera nos propositions, on fera notre travail de parlementaire mais l’exécutif de cette assemblée ne peut pas être entre les mains d’un seul parti. Ce n’est pas possible », a-t-il déclaré.

« Je fais confiance au président de la République, au président de notre assemblée pour trouver les solutions de façon à ce que l’opposition soit respectée », a-t-il ajouté.

(Emile Picy, édité par Yves Clarisse)

 

 

http://www.francetvinfo.fr/elections/bataille-des-postes-coups-de-poker-president-fantome-la-folle-nuit-de-l-assemblee-nationale-en-quatre-actes_2260493.html

Bataille des postes, coups de poker, président fantôme… La folle nuit de l’Assemblée nationale en quatre actes

 

Le groupe des Constructifs a « piqué » le poste de questeur au groupe Les Républicains, contrairement à la tradition de l’Assemblée, déclenchant une énorme pagaille dès le deuxième jour de la législature.

 

Le président du groupe La France insoumise à l\'Assemblée nationale, Jean-Luc Mélenchon, le 28 juin 2017.

Le président du groupe La France insoumise à l’Assemblée nationale, Jean-Luc Mélenchon, le 28 juin 2017. (GEOFFROY VAN DER HASSELT / AFP)

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franceinfoFrance Télévisions

Mis à jour le 29/06/2017 | 12:56
publié le 29/06/2017 | 12:56

Coups bas, polémiques et prises de parole insurgées : les nombreux députés nouvellement élus ont bénéficié d’un apprentissage très particulier dès leur deuxième séance au Palais-Bourbon, qui s’est terminée tard dans la nuit, mercredi 28 juin. L‘Assemblée nationale devait élire son bureau : les six vice-présidents, les douze secrétaires et les trois questeurs, chargés de gérer son budget. Une séance qui relève normalement de la pure formalité. En 2012, elle avait duré cinq minutes. A 15 heures, mercredi, les députés ne se doutaient donc pas qu’ils quitteraient l’Hémicycle… à 0h35.

Tout est parti d’un coup de poker du groupe Les Constructifs (des élus de droite prêts à travailler avec Emmanuel Macron), qui ont récupéré un poste de questeur que la tradition de l’Assemblée nationale réserve en général au plus grand groupe d’opposition, donc aux Républicains. Ce qui a déclenché un boycott, une suspension de séance interminable et de nombreux coups de gueule. Récit en actes de cette folle soirée.

Acte 1 : Les Constructifs piquent un poste aux Républicains

C’est une candidature surprise qui a mis le feu aux poudres. La séance a débuté par l’élection des trois questeurs. Depuis 1973, la tradition veut que deux soient issus de la majorité et un de l’opposition, et les présidents de groupe se mettent d’accord, en amont, pour que seuls trois candidats soient présentés. Mais mercredi, outre les deux candidats de La République en marche et le Républicain Eric Ciotti, Thierry Solère, élu LR mais membre du groupe des Constructifs, se présente.

Les Républicains comptent 100 membres, ce qui en fait le principal groupe d’opposition, mais Les Constructifs, trois fois moins nombreux, raflent les voix des macronistes : Thierry Solère est largement élu, avec 306 voix contre 146 pour Eric Ciotti.

Christian Jacob, le président du groupe LR, s’insurge. Pour lui, non seulement l’Assemblée vient de rompre avec la tradition, mais elle a choisi « trois questeurs totalement acquis au gouvernement ». La position des Constructifs est au cœur du débat : ils sont officiellement inscrits comme un groupe d’opposition, mais, pour Christian Jacob, ils soutiennent la majorité, étant notamment prêts à voter la confiance au Premier ministre, Edouard Philippe. « Il n’y a plus de contrôle budgétaire dans cette maison », s’emporte le chef de file des Républicains.

Son homologue chez Les Constructifs, Franck Riester, se défend à la tribune : « La candidature du groupe Les Constructifs a vocation, au contraire, à faire en sorte que les droits de l’opposition soient respectés. Cette questure sera celle de tous les groupes de l’opposition. »

Acte 2 : Les Républicains boycottent le bureau de l’Assemblée

Après l’élection des questeurs, Christian Jacob demande une suspension de la séance et une réunion des présidents de groupe, mais aucun accord n’est trouvé. A son retour, il annonce donc que les députés Les Républicains refusent de siéger au bureau de l’Assemblée, en signe de protestation contre ce qu’il qualifie de « déni de démocratie ».

Acte 3 : un président de l’Assemblée porté disparu

Le coup d’éclat des Républicains entraîne une autre suspension de séance, à 19h45, pour définir comment élire un bureau sans le groupe LR, qui aurait dû y occuper deux places si l’on suit la tradition de l’Assemblée. Mais la suspension, qui devait durer environ une demi-heure, se prolonge sans explication, laissant les députés perplexes.

Acte 4 : la majorité s’arroge tous les postes de vice-président

Les débats reprennent trois heures plus tard, vers 22h30. En l’absence d’accord sur un retour des Républicains, La République en marche décide de présenter cinq candidats à la vice-présidence, et son allié du MoDem un, contrairement à ce qu’a annoncé le président du groupe LREM, Richard Ferrand, quelques heures plus tôt. La manœuvre assure à la majorité de remporter tous les postes.

Tollé dans l’Hémicycle. L’opposition s’insurge, et le député Les Constructifs Yves Jégo menace de déposer un recours. Pour détendre l’atmosphère, l’indépendant Jean Lassalle affirme avoir trouvé « une solution » et présente sa candidature, sous les rires des députés.

Richard Ferrand intervient alors pour défendre la démarche de la majorité et critiquer la « bouderie » des Républicains, qu’il accuse de blocage. Il promet que l’hégémonie de LREM et du MoDem n’est qu’une solution temporaire pour que l’Assemblée dispose d’un bureau en état de marche :  »Dès que Les Républicains voudront reprendre leurs responsabilités, les candidats élus céderont la place. »

Pendant ce temps, Les Républicains et Les Constructifs continuent de s’écharper. Christian Jacob demande que « les droits de l’opposition soient respectés », qualifiant le nouveau questeur des Constructifs, Thierry Solère, de « faux opposant ». Ce à quoi Franck Riester, président du groupe en question, réplique : « De quel droit, M. Jacob, êtes-vous le seul à pouvoir décider de l’appartenance à l’opposition ou à la majorité d’un groupe politique ?«  La séance se termine par un coup de gueule du vétéran de l’Assemblée André Chassaigne, président du groupe communiste, « époustouflé » par la teneur des débats.

Il ne reste que le vote, au terme duquel, sans surprise, les cinq candidats La République en marche et le candidat MoDem sont élus vice-présidents de l’Assemblée. Il est 0h30.

 

 

http://www.lcp.fr/la-politique-en-video/election-la-questure-les-udi-denoncent-les-combines-et-menacent-de-quitter-le

Election à la questure : les UDI dénoncent les « combines » et menacent de quitter le groupe Les Constructifs

 

29/06/2017

par

 

Les députés UDI ne savaient pas que leurs nouveaux collègues des Républicains Constructifs présenteraient la candidature de Thierry Solère à la questure de l’Assemblée nationale. Le divorce n’est pas encore consommé, mais la tension monte.
La nomination du bureau de l’Assemblée nationale n’en finit pas de créer des remous. Mercredi, les députés ont nommé Thierry Solère, député Les Constructifs (proche de la majorité), à la questure de l’Assemblée. Une décision qui a provoqué la colère de l’opposition puisque que ce poste devait lui revenir, conformément à la tradition. Les Républicains, qui soutenaient la candidature d’Eric Ciotti, pensaient l’obtenir.

Mais cette nomination a également provoqué une crise au sein même du groupe Les Constructifs à l’Assemblée nationale. Il est composé d’anciens députés Les Républicains favorables au gouvernement et de membres de l’UDI.

« Cette questure revient au groupe LR »

Or, comme le souligne jeudi matin le député Bertrand Pancher, les UDI Constructifs ont appris que leurs nouveaux collègues (issus des Républicains) présentaient la candidature de Thierry Solère au même moment que les députés des autres groupes, alors qu’ils étaient sur les bancs l’Assemblée nationale. Philippe Vigier, le président du groupe UDI sous la précédente législature, ne décolère pas :

Il y a eu un choix d’un candidat sans même qu’il y ait une décision de l’ensemble des parlementaires du groupe.Philippe Vigier

Philippe Vigier estime que « cette questure devait revenir au groupe Les Républicains qui sont les plus nombreux » : « C’est la tradition de cette maison. » L’élu menace, s’il n’est pas entendu prochainement, de provoquer une scission du groupe :

Nous n’en resterons pas là. Je ne resterai pas dans un groupe longtemps dans lequel il y ce genre de fonctionnement.Philippe Vigier

 

Propos recueillis par Rym Ben Ameur et Stéphanie Depierre

 

 

http://www.europe1.fr/politique/lexclusion-des-constructifs-de-lr-sera-examinee-le-11-juillet-promet-bernard-accoyer-3375143

L’exclusion des « Constructifs » de LR sera examinée le 11 juillet promet Bernard Accoyer

 

11h33, le 29 juin 2017
L'exclusion des "Constructifs" de LR sera examinée le 11 juillet promet Bernard Accoyer
Bernard Accoyer a annoncé que le sort des « Constructifs » issus de LR sera étudié le 11 juillet prochain.@ AFP

Bernard Accoyer a déclaré à « L’Opinion » que le sort des « Constructifs » LR sera débattu lors du prochain bureau politique.

 

Le secrétaire général des Républicains, Bernard Accoyer, a déclaré jeudi qu’une éventuelle exclusion des députés Les Républicains membres du groupe « Les Constructifs » à l’Assemblée nationale serait examinée en bureau politique le 11 juillet.

Futur débat en bureau politique. « Nous en débattrons au prochain bureau politique parce qu’ils s’étaient déjà éloignés d’eux-mêmes par leur choix, il conviendra probablement d’aller plus loin », a estimé Bernard Accoyer, invité de L’Opinion.

Il a rappelé que « 12 des parlementaires élus sous étiquette LR n’avaient pas de candidat En Marche ! en face d’eux, ils ont donc été élus ». « Ils ont rendu des remerciements au président de la République », en formant, avec l’UDI et des indépendants, le groupe des « Constructifs ».

Postes de questeurs : Accoyer dénonce un » scandale politique ». « On voit aujourd’hui qu’ils se disent d’opposition pour pouvoir disposer des postes, s’octroyer les postes de l’Assemblée qui constituent l’équilibre démocratique de l’Assemblée nationale », a poursuivi Bernard Accoyer en référence à l’élection de Thierry Solère comme questeur mercredi, aux dépens du député LR Eric Ciotti.

« C’est un vrai scandale politique », a-t-il commenté, évoquant une « décision téléguidée par l’Élysée au mépris de nos institutions ». Il a par ailleurs déclaré que le discours d’Emmanuel Macron devant le Congrès était un acte « méprisant » à l’endroit du Premier ministre.

 

 



Emmanuel Macron pape de l’Eglise de Déconnologie ?

Cette fois, ce sont des journalistes qui le suggèrent :

 

http://tempsreel.nouvelobs.com/en-direct/a-chaud/39040-presse-macron-prefere-faire-interviews-pensee-complexe.html

Macron préfère ne pas faire d’interviews car sa pensée est trop « complexe » pour ça

 

Publié le 29/06/17 à 9:57

Emmanuel Macron pape de l'Eglise de Déconnologie ? dans Insolent - Insolite 16130562

 

Emmanuel Macron s’exprimera donc devant le Parlement réuni en Congrès le 3 juillet à Versailles.

Il sera à la tribune mais restera loin des journalistes.

Une volonté d’échapper à la presse ? Non non, répond l’Elysée. En fait, de cette même source (citée par « le Monde ») « il n’y a pas de refus d’obstacle avec la presse ». Mais la « pensée complexe » du président se prête mal à l’exercice des questions-réponses… Tout simplement.

A lire > Le nouvel exécutif a-t-il un problème avec la liberté de la presse ?

+ d’infos

 



Voilà déjà la rentrée pour le cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi…

Il l’a annoncée en date d’hier dans un nouveau dégueulis délirant intitulé « 666 666 ».

Et voilà qu’effectivement, une cyberattaque sans précédent paralyse aujourd’hui nombre d’entreprises et administrations dans plusieurs parties du monde…

On rappelle ici que dès 2011, alors qu’il jouait à SaMo_Dz et quelques autres en attaquant simultanément la plateforme de blogs OverBlog et plusieurs autres sites, notamment ceux de préfectures françaises, le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi se vantait publiquement d’« enculer l’informatique mondiale » (sic) et bénéficiait déjà du soutien hyperactif de ses amis « islamigrés » ou islamistes.

Ses attaques de natures diverses et variées ont depuis lors bien progressé.

Par ailleurs, afin de s’éviter trop d’ennuis judiciaires, il a dû progressivement supprimer quantité de ses textes publics me concernant, puis limiter drastiquement leur production.

Pour autant, il n’est toujours pas capable de s’abstenir de toute manifestation sataniste…

Outre celles de son blog ICYP, par exemple le 19 mai dernier ou hier, je suis toujours régulièrement interpellée par diverses cyberattaques et de curieuses visites de mes blogs.

Ainsi les statistiques de Satanistique ont-elles encore parlé hier, avec le retour subit de visites en provenance d’Ukraine et certains records de lectures :

 

20 juin 2017 22:00 – 27 juin 2017 21:00

 

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39 (4%)

Android

33 (3%)

Unix

23 (2%)

iPad

8 (<1%)

compatible

1 (<1%)
Image illustrant les plates-formes les plus populaires

 

 

Il est aussi notable que ce même blog est depuis longtemps frappé d’un phénomène bloquant à 666 le nombre de visites totales affiché pour un de ses articles dans la liste des dix plus lus depuis son ouverture, celui-là :

http://satanistique.blogspot.fr/2015/12/samir-bouabout-agent-de-securite-devenu.html

Le compteur attaché à cet article m’indique qu’en réalité il a été lu 865 fois depuis sa publication le 21 décembre 2015.

Effectivement, je vois régulièrement le nombre de ses visites inscrit dans le tableau des dix articles les plus lus du blog augmenter à la suite de nouvelles lectures, puis irrémédiablement redescendre à 666 sur intervention sataniste…

Voici ce tableau, attestant par ailleurs que le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi et ses acolytes Josette Brenterch du NPA de Brest et Jean-Marc Donnadieu de Béziers n’ont pratiquement et malheureusement jamais intéressé d’autres lecteurs qu’eux-mêmes :

 

mai 2010 – juin 2017

Articles

Entrée Pages vues
6500
2025
1553
1506
1479
674
666
633
397
366

 

 

http://www.lemonde.fr/pixels/article/2017/06/27/un-virus-informatique-paralyse-entreprises-et-administrations-dans-plusieurs-parties-du-monde_5151918_4408996.html

Le virus Petya paralyse entreprises et administrations dans plusieurs parties du monde

 

L’Ukraine est le pays le plus touché, mais des entreprises comme Saint-Gobain ou le géant pétrolier russe Rosneft sont également concernées.

LE MONDE | 27.06.2017 à 16h19 • Mis à jour le 27.06.2017 à 20h12 | Par Martin Untersinger, Damien Leloup et Florian Reynaud

 

Un « ransomware » est un logiciel qui chiffre les données présentes sur un ordinateur et exige une rançon pour le rétablir.

 

Un virus informatique de type « ransomware », qui chiffre le contenu d’un ordinateur pour le rendre inutilisable jusqu’au paiement d’une rançon, a paralysé le fonctionnement de très nombreuses entreprises dans le monde, mardi 27 juin. Le virus semble être une variante d’un ransomware apparu en 2016, baptisé Petya, d’après les premières constatations des spécialistes de la sécurité informatique.

 

Les premières alertes ont été données en Ukraine, le pays le plus sévèrement touché, en début d’après-midi. Le fonctionnement de plusieurs banques, du métro, de plusieurs administrations et de l’opérateur d’énergie de la région de Kiev est largement perturbé. L’ordinateur du vice-premier ministre ukrainien a lui-même été touché, a-t-il annoncé sur Facebook :

Le premier ministre ukrainien a qualifié cette épisode de « sans précédent » tout en précisant que « les systèmes vitaux [du pays] n’ont pas été affectés ». Le système de contrôle automatisé des radiations de la centrale de Tchernobyl a cependant été affecté par le virus, forçant l’autorité de surveillance à revenir à des contrôles manuels, selon l’agence chargée du contrôle de la zone d’exclusion autour de la centrale.

Selon une première analyse effectuée par le spécialiste Kaspersky, 60 % des ordinateurs infectés se trouvent en Ukraine, et 30 % en Russie.

Ordinateurs totalement inutilisables

Ailleurs dans le monde, plusieurs entreprises majeures, dont le géant du bâtiment Saint-Gobain, le pétrolier russe Rosneft, le groupe publicitaire britannique WPP, ou encore le poids lourd danois du transport maritime Maersk ont confirmé être victimes d’« attaques informatiques » paralysant en partie ou totalement leurs services.

C’est le cas notamment du géant pharmaceutique Merck, qui a fait savoir sur Twitter que son réseau informatique était ciblé par l’attaque « mondiale ». Selon le site spécialisé Motherboard, des bureaux du cabinet d’avocat DLA Piper ont également été visés.

En France, le géant des matériaux Saint-Gobain (170 000 salariés) a confirmé avoir été touché par « une cyberattaque », qui a notamment provoqué une panne de son système e-mail. La SNCF a également dit « subir l’attaque en cours » niant toutefois en être « victime », a insisté le porte-parole du groupe soulignant que les opérations de l’entreprise ferroviaire n’étaient pas affectées.

« Le niveau de cette attaque est sans précédent », a indiqué le secrétaire d’Etat au numérique Mounir Mahjoubi. Il a cependant vanté la solidité du web français : « les entreprises les plus importantes et les services publics les plus importants sont protégés par des systèmes de haut niveau », a-t-il déclaré.

Le virus Petya touche la partie du disque dur qui contient les logiciels utilisés au démarrage de l’ordinateur, le rendant totalement inutilisable, là où la plupart des ransomwares habituels se « contentent » de bloquer l’accès aux documents personnels.

Une faille de sécurité connue soupçonnée

« Nous constatons actuellement plusieurs milliers de tentatives d’infection, un rythme comparable à celui des premières heures de déploiement de Wannacry [un virus qui s’était propagé de façon spectaculaire le 19 mai] », a déclaré Costin Raiu, de l’entreprise Kasperksy, interrogé par Forbes.

Selon plusieurs entreprises de sécurité informatique, cette souche de Petya utilise EternalBlue, un outil issu de la NSA, la puissante agence de renseignement américaine. C’était lui qui était déjà responsable de la propagation éclair du rançongiciel WannaCry, en mai. La faille qu’il utilise est pourtant corrigée depuis le mois d’avril par Microsoft, ce qui signifie que les machines touchées par cette dernière variante de Petya n’étaient vraisemblablement pas mises à jour.

En revanche, selon un bulletin émis mardi en fin d’après-midi par le centre d’alerte de l’Agence nationale de sécurité des systèmes d’information (Anssi), le garde du corps numérique de l’Etat, le vecteur de diffusion demeure « inconnu » à ce stade. Cependant, il précise que Petya pourrait, outre les postes de travail, toucher également les serveurs.

Lire aussi :   Qui est Lazarus, le groupe de pirates dont l’ombre plane sur le rançongiciel WannaCry ?

Le logiciel demande aux victimes de payer une rançon en bitcoins, une monnaie virtuelle, pour pouvoir débloquer leur ordinateur. La cible devait ensuite envoyer un e-mail à une adresse indiquée avec un identifiant spécifique pour prouver qu’il avait bien payé la rançon et donc récupérer l’accès à son système. Le fournisseur e-mail utilisé par le ou les rançonneurs, Posteo, a précisé sur son site avoir fermé l’adresse incriminée. Ce qui signifie que, même si une victime choisit de payer la rançon, elle ne pourra plus récupérer l’accès à son ordinateur.

Europol, l’agence de coordination policière de l’Union européenne, est en train de prendre langue avec les unités de cybercriminalité des Etats membres, afin d’évaluer la portée de la contagion, a expliqué un porte-parole de l’agence, sollicité par Le Monde.

Le virus Wannacry avait paralysé de nombreuses administrations et entreprises un peu partout dans le monde. Sa progression avait été stoppée de manière presque accidentelle par un chercheur en sécurité informatique qui avait découvert par hasard un mécanisme d’arrêt d’urgence dans le code du logiciel, stoppant sa propagation, avant que Microsoft ne publie plusieurs correctifs de sécurité.

 



Nathalie Kosciuzko-Morizet, la femme qui chuchote à l’oreille de Vincent Debraize…

C’est ce que tente de nous vendre le spécialiste en marketing, adepte avéré de l’Eglise de Déconnologie…

Je disais dimanche qu’à l’en croire, NKM avait dû simuler son malaise, mais c’est bien ce qu’il soutient de manière explicite, entre autres choses qualifiées de « n’importe quoi » par la victime.

Et bien entendu, tous ses copains de Champignolles font bloc autour de leur Konducator…

Que se serait-il donc passé s’il n’avait fait l’erreur de s’en prendre à une «personne chargée d’une mission de service public» ?

Probablement l’affaire aurait-elle été traitée comme l’ont toujours été les miennes, c’est-à-dire qu’à chaque fois la « justice » n’a retenu que les inventions délirantes de mon agresseur à mon encontre en dépit de tous les éléments de preuve dont elle disposait.

Je rappelle ici qu’en ce qui me concerne, cela perdure depuis bien plus de vingt ans et que mes très nombreux agresseurs ont toujours été liés entre eux : l’un d’eux a commencé un jour, et tous ses copains ou groupes de copains ont suivi les uns après les autres en utilisant les mêmes procédés.

Non seulement la « justice » française a toujours catégoriquement refusé d’engager des poursuites contre ces délinquants et criminels, mais elle encourage toutes leurs exactions à mon encontre et y participe elle-même sans aucun problème.

Il faut bien dire que j’ai beaucoup de torts, notamment ceux-ci : je suis une femme, je suis ingénieur, et je suis Bretonne. Je cumule à mort…

 

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2017/06/19/01016-20170619ARTFIG00170-salut-nazi-insultes-chuchotees-le-maire-livre-sa-version-de-l-altercation-avec-nkm.php

«Salut nazi», «insultes chuchotées» : le maire livre sa version de l’altercation avec NKM

 

  • Par Stéphane Kovacs
  • Mis à jour le 19/06/2017 à 16:43
  • Publié le 19/06/2017 à 14:11

 

Une photo de l'altercation, jeudi, entre NKM et Vincent Debraize, place Maubert, à Paris.

 

VIDÉO – Présenté en comparution immédiate ce lundi après-midi, Vincent Debraize a obtenu un renvoi pour mieux préparer sa défense.

Il devait être présenté au tribunal ce lundi après-midi, en comparution immédiate, pour violences et outrage «sur une personne chargée d’une mission de service public». Vincent Debraize, l’agresseur présumé de Nathalie Kosciusko-Morizet, aura finalement quelques semaines supplémentaires pour préparer sa défense. «Au regard du fait qu’il a passé plus de 20 heures en garde à vue et une nuit au dépôt», explique son avocat, Me Antoine Lachenaud, l’affaire a été renvoyée au 11 juillet. Le suspect a été placé sous contrôle judiciaire: il lui est interdit d’entrer en contact avec NKM et de paraître à proximité de son domicile. Le moins que l’on puisse dire est que la version de Vincent Debraize diffère totalement de celle de l’ancienne ministre. «C’est elle qui a été insultante, assure son avocat. À aucun moment, il n’a entendu la frapper».

Placé en garde à vue samedi, ce chef d’entreprise de 55 ans, maire d’une petite commune de Normandie «a reconnu avoir insulté» la candidate LR, battue aux législatives à Paris, lors d’«une altercation» jeudi sur un marché de la capitale, mais a contesté «tout contact physique», selon une source proche de l’enquête. L’ancienne ministre, qui avait été brièvement hospitalisée après avoir perdu connaissance, s’est vu reconnaître deux jours d’incapacité totale de travail.

«Bobo de droite» ou «bobo de merde»?

Samedi, à la veille du second tour des législatives, Vincent Debraize, maire sans étiquette de Champignolles (Eure), s’était rendu à la convocation des policiers. Dans l’après-midi, les enquêteurs ont entendu son récit et celui de Nathalie Kosciusko-Morizet lors d’une confrontation. Mais leurs versions s’opposent: «Il a reconnu avoir insulté NKM, avoir arraché les tracts et les avoir jetés en sa direction, rapporte une source proche de l’enquête. En revanche, il nie tout contact physique et avoir bousculé» la candidate LR, comme cette dernière l’affirme. Une photo montre la candidate en train de lever sa main droite, masquant sa bouche de ses tracts.

«A deux reprises, elle lui a dit ‘Dégage connard’, raconte Me Lachenaud. Mais c’était presque en chuchotant…» C’est sans doute pour cela qu’aucun membre de l’équipe de la candidate n’a dit avoir entendu ces insultes. «Il a ensuite repoussé les tracts, se sentant visé, insulté en tout cas, poursuit l’avocat. Et elle s’est auto-heurtée avec les mains. À aucun moment il n’a voulu la frapper. Elle a dû faire une baisse de tension…» «M. Debraize reconnaît avoir dit ‘bobo de droite’ mais pas ‘bobo de merde’: pour nous il n’y a pas d’insultes», estime encore Me Lachenaud. En tout cas, martèle-t-il , «il s’agit bien d’«une altercation suivie d’un malaise», comme les médias l’ont écrit dès le début. Sans doute après l’intervention de l’équipe de la candidate, ça s’est transformé en agression…»

Mais l’homme est tout de même parti «en courant vers le métro», selon des témoins, sans se préoccuper de la candidate qui gisait sur le trottoir, sans connaissance. «C’est parce que trois personnes, assez corpulentes et musclées, l’ont poursuivi en proférant des menaces comme ‘On va lui péter la gueule!’, rétorque l’avocat. Il y en a même un qui a levé le bras en lançant ‘Heil Hitler!’. Et j’ai la photo de sa chemise déchirée par l’un de ses poursuivants dans le métro». Me Lachenaud a beau marteler que «tous les éléments sont cohérents», les témoins entendus dimanche par les enquêteurs n’ont pas la même version. «Un salut nazi, un jeudi de marché place Maubert, ça ne serait pas passé inaperçu!», s’exclame l’un d’entre eux.

«Pas de salut nazi»

Présente sur les lieux, une journaliste de l’AFP est formelle: «Jamais il n’y a eu de salut nazi, ni quelque chose que l’on aurait pu prendre pour un salut nazi, souligne-t-elle. En revanche, j’ai bien entendu, comme des passants que j’ai interviewés, l’agresseur dire ‘bobo de merde’. Une photo de l’AFP le montre en train de regarder tranquillement NKM par terre. Puis il s’en est allé, sans que personne ne crie ‘on va lui péter la gueule!’».

Lors de la confrontation, NKM s’est écrié: «C’est n’importe quoi!». Pour l’avocat de la candidate, Me Xavier Autain, «l’agresseur essaie de justifier un comportement injustifiable. C’est une agression caractérisée contre une élue de la République. On espère que la justice traitera ce dossier avec toute la fermeté nécessaire».

 

https://www.marianne.net/politique/l-agresseur-presume-de-nkm-l-accuse-de-simulation

L’agresseur présumé de NKM l’accuse de « simulation »

 

Par Pascal Marie

Publié le 19/06/2017 à 17:30

 

Vincent Debraize, ce maire auteur d’agression présumée contre Nathalie Kosciusko-Morizet, était jugé en comparution immédiate ce lundi 19 juin au Palais de justice de Paris. Sa défense a demandé un délai pour préparer le procès, tout en profitant de l’espace médiatique pour livrer une version bien différente de celle de l’élue de Paris.

 

Face au juge qui énonce les faits qui lui sont reprochés, « violences ayant entraîné une incapacité totale de travail inférieure à huit jours sur personne chargée d’une mission de service public » et « outrage », Vincent Debraize reste droit, imperturbable. Mais lorsqu’il commence à s’exprimer, sa voix laisse transparaître une pointe d’émotion et une fatigue difficile à dissimuler. Éreinté par 48 heures de garde à vue, ce maire accusé d’avoir agressé Nathalie Kosciusko-Morizet a, sans surprise, demandé un délai pour préparer sa défense. La décision est donc renvoyée au 11 juillet, Vincent Debraize étant en attendant placé sous contrôle judiciaire avec interdiction de contacter l’ancienne candidate à la mairie de Paris.

« Dégage connard ! »

L’agression présumée de Nathalie Kosciusko-Morizet, vendredi 16 juin sur un marché du Vème arrondissement de la capitale, et surtout les images de la candidate aux législatives, étendue au sol, l’air hagard, sont encore dans les esprits. Les avocats du prévenu ont profité de l’espace médiatique, en amont de l’audience, pour exposer la version de leur client. Vincent Debraize affirme avoir traité NKM de « bobo de droite » (des témoignages relatent plutôt les termes « bobo de merde ») en lui intimant, entre autres, de « retourner dans l’Essonne », il a en revanche réfuté tout « contact physique », et accuse même NKM de s’être rendue coupable de « simulation ».

« Mon client a vu NKM sourire au moment de sa chute », affirme même l’un de ses deux défenseurs, Me Lachenaud, avant de refaire l’historique de cette fameuse matinée sur le marché de la place Maubert. « Mon client faisait ses courses comme tout un chacun (Vincent Debraize réside dans le Vème arrondissement), quand une discussion animée a éclaté avec l’équipe de campagne de NKM. L’intéressée est alors arrivée et a voulu dialoguer à son tour. Le ton est monté et NKM a alors brandi les tracts près du visage de mon client, de manière extrêmement rapprochée », assure-t-il, en insistant bien sur ce dernier point.

« Il a bien vu qu’elle était tombée par terre »

Me Lachenaud assure par ailleurs que Vincent Debraize n’aurait pas été le seul à user de mots fleuris. Selon la version du prévenu, NKM lui adresse alors un « Dégage connard ! ». C’est là que tout aurait basculé. Le photographe de l’AFP qui a assisté à la scène avait pour sa part livré sa version aux médias , allant plus que loin que les avocats de Vincent Debraize : « Un moment donné, NKM a pris les tracts qu’elle avait en main et elle les a montrés au niveau de son visage (…) Lui les saisit, il prend les tracts de la main de NKM et fait un revers de la main avec les tracts vers le visage de Nathalie Kosciusko-Morizet. Elle, à ce moment-là, met sa main devant son visage pour se protéger et les tracts heurtant sa main de manière assez violente, elle reçoit sa propre main dans sa figure. Suite à quoi, elle fait un pas ou deux en arrière et elle s’effondre. Et l’agresseur a bien vu qu’elle était tombée par terre (…) et il s’en va sans courir, en marchant. »

S’ensuivra une courte hospitalisation et deux jours d’interruption temporaire de travail pour NKM, qui confiera la gestion de la fin de sa campagne à sa suppléante.

Les avocats de la défense sont aussi revenus sur le départ au pas de course de leur client. Une fuite, pour des témoins de la scène. « Il ne s’agit en aucun cas d’une fuite, selon Me Lachenaud. Mon client a été pris à partie par trois hommes, les entendant même dire « On va se le faire ! » Il a réagi comme tout le monde l’aurait fait dans une situation pareille, il a pris ses jambes à son cou ». Vincent Debraize se fera « arracher sa chemise » par un homme qui l’avait suivi dans le métro, affirme toujours son avocat.

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Durant l’audience, Me Lachenaud et Me Ader s’se sont évertués à rappeler le profil de leur client. En couple depuis 27 ans, le maire du village de Champignolles (bien que résident du Vème arrondissement parisien) affiche un casier judiciaire vierge et s’est présenté de lui-même aux forces de l’ordre. Les avocats de la défense ont demandé « la relaxe et la disqualification des faits ».

« Je ne le quitte plus depuis deux jours, regrette Me Lachenaud. Mon client subit un véritable périple judiciaire. Il sort de 48 heures de garde à vue et doit encore rester vingt heures au dépôt. Il est quand même très surprenant que cela aille aussi loin pour deux jours d’ITT. Tout cela est lié à des motifs électoraux ».

Lire aussiLégislatives : moment de disgrâce pour NKM, qui perd sa circo « imperdable »

 

Arrivé quelques minutes après le terme de l’audience, l’avocat de NKM s’est contenté de répéter que « les faits avaient été considérés comme suffisamment graves » pour qu’une telle procédure soit enclenchée et que les accusations d’insulte avancées par Vincent Debraize contre NKM (le fameux « Dégage connard ») ne « figuraient pas dans le dossier ».

Vincent Debraize s’exprimera en personne lors d’une conférence de presse, mercredi 21 juin à 17 heures depuis le cabinet de Me Lachenaud. « Cette affaire aurait dû être jugée par un tribunal de police, nous allons demander la relaxe et la disqualification des faits », a annoncé Me Ader.

 

http://www.lereveilnormand.fr/2017/06/19/vincent-debraize-le-maire-soupconne-d-avoir-agresse-nkm-est-juge-cette-apres-midi/

Vincent Debraize, le maire soupçonné d’avoir agressé NKM sera jugé le 11 juillet

 

Il a été entendu le 17 juin 2017 pour l’agression de NKM. Vincent Debraize, maire de Champignolles dans l’Eure sera jugé le 11 juillet.

 

20/06/2017 à 06:33 par hugo.blin

Vincent Debraize, maire de Champignolles (photo d'archives Réveil Normand) -

Vincent Debraize, maire de Champignolles (photo d’archives Réveil Normand) –

 

Vincent Debraize souhaite rétablir sa vérité. C’est ce que martelait son avocat, Maître Antoine Lachenaud quand nous l’avons contacté dimanche 18 juin. Le maire de Champignolles devait donner hier une conférence de presse devant sa mairie pour revenir sur l’affaire de l’agression présumée de NKM, chose qui ne s’est pas produite en raison de la poursuite de la garde à vue commencée samedi 17 juin pour l’agression de la députée de Paris Nathalie Kosciuzko-Morizet.

Jugé pour violences et outrage

L’agresseur présumé de Nathalie Kosciusko-Morizet sera présenté au tribunal à Paris, lundi 19 juin 2017, dans l’après-midi, pour y être jugé en comparution immédiate pour violences et outrage « sur une personne chargée d’une mission de service public », a appris l’AFP de source judiciaire. Les faits se sont produits jeudi 15 juin. Placé en garde à vue samedi 18 juin, Vincent Debraize, 55 ans, « a reconnu avoir insulté » la candidate LR, lors de leur altercation jeudi 15 juin sur un marché de la capitale, mais a contesté « tout contact physique », selon une source proche de l’enquête. Dès lors, Vincent Debraize risque jusqu’à trois ans de prison et 45 000 € d’amende

Jugé le 11 juillet

Le procès de l’agresseur présumé de Nathalie Kosciusko-Morizet a été renvoyé au 11 juillet, a décidé lundi le tribunal correctionnel de Paris qui devait le juger en comparution immédiate dans l’après-midi.

Le suspect, Vincent Debraize, qui a demandé un délai pour préparer sa défense, a été placé sous contrôle judiciaire d’ici à sa prochaine comparution: il lui est interdit d’entrer en contact avec NKM et de paraître à proximité du domicile de la candidate LR battue dimanche aux législatives, selon l’AFP

Confronté à NKM

D’après l’AFP, Vincent Debraize a été confronté à Nathalie Kosciuzko-Morizet dans l’après-midi de samedi. « Mais il nie les faits » de violences et les accusations d’agression verbales, a déclaré Xavier Autain, l’avocat de NKM qui ajoute : « c’est une agression grave sur une élue de la République et j’espère une réponse de l’institution judiciaire à la hauteur. »

Expliquer sa version des faits

La candidate avait été hospitalisée après cette altercation puis était restée en observation.

Le maire de Champignolles estime de son côté que « la presse a monté l’affaire en épingle ». Pour lui, il ne s’agirait « pas d’une agression mais d’une altercation ».

Commentant le traitement médiatique de l’affaire, Maître Lachenaud, son avocat, considère que les faits parus dans la presse (notamment nationale) sont inexacts. « Nous apporterons au jugement des faits plus détaillés », en donnant une autre version de la réalité qui pourrait bien changer la vision globale de la scène. Il précise que son client n’a « rien à se reprocher ». Déplorant que dans cette affaire seuls « NKM et l’hôpital aient pu s’exprimer », la garde à vue de Vincent Debraize étant intervenue et ayant été prolongée, elle l’a empêchée de donner sa version des faits. « Il est déterminé », précise son avocat.

A Champignolles, le conseil fait bloc autour du maire Vincent Debraize

On notait un absent dimanche 18 juin à la traditionnelle messe à l’église de Champignolles pour la Saint-Jean célébrée par le Père Délogé : le maire Vincent Debraize toujours en garde à vue à Paris. Après cette affaire qui a mis la plus petite commune de l’Eure sous les feux des projecteurs : « Nous avons songé tout d’abord à annuler la messe mais pour Vincent, qui est très attaché à cette tradition qu’il perpétue depuis qu’il a été élu en 2008, et qui constitue un jour de fête pour notre commune, nous l’avons maintenue. Je pense que nous avons bien fait. Au conseil, nous restons solidaires de notre maire et lui apportons tout notre soutien dans les moments difficiles qu’il doit traverser », a confié le 1er adjoint Jean-Louis Hermier. Peu de commentaires sur cette affaire qui agite les médias depuis quelques jours chez les habitants. « No, comment, on ne sait pas ce qui s’est vraiment passé à Paris, on ne peut donc pas juger », a seulement consenti à dire l’ancien maire Claude Poulain. Même son de cloche du côté d’un habitant qui a estimé qu’« On le présente dans les médias comme quelqu’un d’agité, voir violent, ce qui est loin du personnage que l’on connaît. Qui a des convictions, certes, mais qui aime le débat. C’est un Maire très apprécié et proche des gens » a témoigné un conseiller. Tristesse donc, du côté de l’équipe municipale qui fait bloc autour du 1er magistrat. « Ce que l’on souhaite avant tout c’est qu’on le laisse s’exprimer et qu’il puisse apporter sa vérité sur cette histoire ».

Le Reveil Normand avec Actu.fr

 



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