Droit au compte bancaire et discrimination politique…

Marine Le Pen et le Front National privés de leurs comptes en banque ?

Ouaf ! Chacun son tour !

Cela m’est arrivé aussi, il y a quelques années : mon banquier m’avait notifié la fermeture de mon compte, comme ça, tout d’un coup, sans préavis ni raison, ni aucun comportement fautif ou suspect de ma part.

Et devinez quoi ? Comme d’hab : il obéissait à un oukase de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest…

J’ai râlé et il m’a rendu mon compte.

Comme quoi je n’ai pas toujours besoin de saisir la justice à la suite des innombrables discriminations ou autres exactions dont je suis victime de la part de cette femme et de ses amis.

 

http://www.huffingtonpost.fr/2017/11/22/votre-banque-peut-elle-fermer-unilateralement-votre-compte-oui-mais_a_23285539/

Votre banque peut-elle fermer unilatéralement votre compte? Oui mais…

 

Si les banques ne sont pas tenues de motiver leur décision de clôturer un compte, elles ne peuvent manquer de loyauté ni discriminer leurs clients.

 

22/11/2017 17:20 CET | Actualisé il y a 2 heures
Droit au compte bancaire et discrimination politique... dans AC ! Brest

Benoit Tessier / Reuters
Marine Le Pen a dénoncé lors d’une conférence de presse une « fatwa bancaire » visant le Front national.

 

POLITIQUE – « Une fatwa bancaire ». Le Front national et sa présidente Marine Le Pen ont annoncé ce mercredi 22 novembre leur intention de porter plainte contre la Société Générale et HSBC, deux établissements qui ont communiqué à leurs clients leur décision de clôturer unilatéralement leurs comptes en banque.

A l’origine de ce bras de fer, un courrier daté du 27 juillet de la Société Générale, dans lequel l’établissement indique n’avoir « plus convenance à maintenir la relation de comptes » avec le FN, et dénonce six comptes du parti ainsi que les comptes d’une quinzaine de fédérations. Parallèlement, Marine Le Pen a appris de la bouche du patron de HSBC que la banque entendait également clôturer son compte personnel.

Si Marine Le Pen a vu dans « ce bannissement bancaire » la marque d’une persécution politique, de nombreux Français sont régulièrement confrontés à des clôtures de comptes unilatérales émanant des établissements bancaires. Et ce en toute légalité.

Chacun peut rompre un contrat bancaire quand bon lui semble

Car la législation n’oblige pas une banque à motiver sa décision de fermer un compte bancaire, même si celui-ci ne présente pas d’anomalie particulière. Si le compte est actif, la banque n’est donc pas contrainte d’expliquer pourquoi elle souhaite le fermer. Elle doit en revanche notifier par écrit son client, au minimum 30 jours à l’avance, de manière à lui laisser le temps d’ouvrir un autre compte et d’effectuer les opérations de transfert requises pour éviter des impayés.

Quand le compte en question est inactif depuis 10 ans, il est considéré comme abandonné. La banque peut le fermer sans information préalable. Dans tous les cas, l’opération de clôture d’un compte est gratuite. Si le compte est créditeur à l’heure de sa fermeture, l’argent restant est reversé au client éconduit. S’il est débiteur, le client est tenu de rembourser sa dette sous peine d’être frappé d’interdiction bancaire.

Partant d’un principe de symétrie entre l’établissement bancaire et son client, la loi estime que chacune des deux parties est libre d’interrompre la relation contractuelle quand bon lui semble. Un principe dont usent les clients pour rejoindre une autre banque mais aussi les établissements bancaires, traditionnellement pour sanctionner des comptes régulièrement débiteurs ou faisant apparaître des mouvements de fonds suspects.

L’absence de motivation de ces actes de rupture conduit néanmoins à des décisions parfois incompréhensibles pour les usagers. A l’image de Marine Le Pen qui a dénoncé de mercredi un « acharnement personnel ». « Ce matin, j’ai reçu un coup de téléphone de Thomas Vandeville, le président de la HSBC, qui a racheté la banque Hervet où j’avais un compte » depuis « vingt-cinq ans ». Et « sans aucune justification, on m’a annoncé ce matin la clôture de mon compte personnel », s’est indignée la députée du Pas-de-Calais.

Cette absence de justification « témoigne du vide législatif actuel, pas seulement pour le Front national mais pour de très nombreux Français », confirme Serge Maître, président de l’Association française des usagers des banques (Afub), pour qui les usagers des banques ne combattent pas à armes égales avec les établissements bancaires.

Discrimination et devoir de loyauté

Faute d’un devoir motivation de la part de l’établissement, il est donc très difficile pour les usagers de contester une fermeture de compte unilatérale. Ceux-ci peuvent tenter de négocier un délai supplémentaire pour assurer la migration de leurs comptes. Ou encore porter l’affaire devant la justice comme le fait Marine Le Pen.

La discrimination politique étant interdite en France, la présidente du Front national espère obtenir la condamnation des établissements bancaires. Encore faut-il pouvoir prouver que la banque s’est bien rendue coupable d’une discrimination. « En attaquant au pénal, Marine Le Pen tente surtout de faire pression sur les banques pour les contraindre à changer d’avis », parie Serge Maître de l’Afub.

Selon lui, compte tenu de la longévité de la relation contractuelle qui l’unit à la Société Générale et à HSBC, la présidente du Front national pourrait également invoquer le devoir de loyauté des établissements bancaires prévu l’article 1134 du Code civil. En cas d’exécution de mauvaise foi d’un contrat, la partie incriminée peut être condamnée à des dommages et intérêts.

« Le fait de ne pas devoir justifier une décision ne dispense pas la banque d’un devoir de loyauté, surtout quand la relation contractuelle s’étale sur 25 ou 40 ans », estime Serge Maître.

Le droit au compte de la Banque de France

Faute d’obtenir gain de cause et compte tenu de ses relations conflictuelles avec les banques, le Front national peut, comme tous les Français, se tourner vers la Banque de France pour faire jouer son droit au compte.

Créé par la loi bancaire du 24 janvier 1984, le droit au compte est un dispositif permettant à une personne physique, mais aussi morale, qui se voit refuser l’ouverture d’un compte par un établissement, de saisir la Banque de France, laquelle doit désigner, sous 24 heures, une agence obligée de fournir un service bancaire de base gratuit.

Ce service comprend le compte, un relevé mensuel, des RIB, des possibilités de virements et de prélèvements, de consultation à distance, les retraits d’espèces, une carte de paiement à autorisation obligatoire, mais n’intègre ni chéquier, ni autorisation de découvert.

Une solution de repli qui n’est toutefois pas idéale pour une formation politique qui doit s’acquitter de nombreuses factures par chèque et qui reçoit des dons par carte bancaire via Internet.

 

Lire aussi :

Le Pen dénonce « une fatwa bancaire » et va porter plainte contre HSBC et la SoGé

La Société générale répond à Marine Le Pen, les marinistes appellent au boycott

La Société générale demande au FN de fermer tous ses comptes

 



Un proviseur de collège agressé par une mère d’élève dans les Yvelines

Scène peu banale au collège Guy-de-Maupassant de Houilles, dans les Yvelines, hier en fin d’après-midi : convoquée par le proviseur de l’établissement pour discuter du comportement de son enfant de 11 ans, contre lequel il a décidé d’une mesure d’exclusion temporaire qu’il veut lui signifier, la mère de famille l’agresse et le mord au coude sous les yeux des élèves qui voient ensuite arriver police et pompiers…

Reste à savoir si cette mère de famille ne serait pas comme d’autres agresseurs de proviseurs plus ou moins affiliée à l’extrême-gauche…

On pense notamment à des manifestations violentes qui furent organisées à Brest et Lorient par Josette Brenterch, du NPA de Brest, et ses amis syndicalistes et autres « militants » (voir ci-dessous), ou bien encore à ce pauvre proviseur de collège alsacien qui au début des année 1970 avait pris le risque de convoquer dans son bureau le malade mental au clavier, un psychopathe et mythomane bien connu de la toile qui passe son temps à raconter ou décrire à son public comme étant sa vie, son vécu ou ceux de ses amis des tas de scènes hallucinantes où à chaque fois, faits, personnages et rôles réels se retrouvent totalement inversés…

Rétablissons donc la vérité à propos de ce que vient de publier en date du 19 novembre 2017 cet auteur de blogs singulièrement frappé et cybercriminel notoire : puisqu’il prétend que son proviseur l’aurait convoqué pour le rouer de coups uniquement en raison de gros mots dans une rédaction, c’est forcément qu’il l’a, lui le premier, physiquement agressé et roué de coups. Son proviseur n’aura alors, éventuellement, levé la main sur lui que pour se défendre.

Il était en classe de 4ème, dit-il, et s’apprêtait donc, selon ce qu’il publie par ailleurs depuis déjà longtemps, à quitter définitivement l’école et sa famille en fin d’année scolaire, après avoir aussi « cassé la gueule » à son père, d’un gros coup de poing selon ses dires…

 

http://www.bfmtv.com/police-justice/yvelines-une-mere-d-eleve-mord-le-principal-du-college-1309413.html

Dans les Yvelines, une mère d’élève mord le principal du collège

 

22/11/2017 à 08h49
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Police

Trois véhicules de police et une ambulance des sapeurs-pompiers ont été mobilisés au sein de l’établissement. Photo d’illustration – LOIC VENANCE / AFP

 

Le chef d’établissement avait convoqué cette mère de famille de 45 ans pour lui signifier l’exclusion temporaire de son fils. Il a déposé plainte ce mardi.

 

Les élèves du collège Guy-de-Maupassant de Houilles, dans les Yvelines, ont assisté à une scène peu banale mardi. Selon Le Parisien, un différend a éclaté sur les coups de 16h30 entre le proviseur et la mère d’un élève de l’établissement, convoquée pour discuter du comportement de son enfant de 11 ans.

Selon les premiers éléments de l’enquête, la mère de l’élève aurait alors mordu le principal au coude.

Des élèves « traumatisés »

A la suite de cette altercation, trois véhicules de police et une ambulance des sapeurs-pompiers se sont rendus dans l’enceinte du collège, qui compte 800 élèves.

« Les enfants ont été traumatisés par cette agression physique choquante, qui s’est produite sous leurs yeux. Ils ont aussi vu la police et les pompiers arriver dans la cour, ce qui n’est pas banal. Beaucoup sont rentrés chez eux choqués », a déclaré le responsable de l’association de parents d’élèves FCPE du collège, Nicolas Lemettre, au Parisien.

La mère de l’élève, âgée de 45 ans, a été interpellée et conduite au commissariat de Sartrouville. Elle fait l’objet d’une procédure pour « violences volontaires aggravées ». Le maire sans étiquette de Houilles, Alexandre Joly, a confirmé au quotidien francilien que le principal avait déposé plainte.

Céline Penicaud

 

 

https://brest.maville.com/actu/forum_-Manif-lyceenne-le-proviseur-de-l-Iroise-agresse-_19-766235-893356_actu.Htm

logo Ouest-France Mardi 09 décembre 2008 00:00

Manif lycéenne : le proviseur de l’Iroise agressé

photo après l'agression dont il a été victime, jean-yves guengant, proviseur de l'iroise, est relevé par des élèves et personnels de son établissement, puis conduit à l'infirmerie. 2 Après l’agression dont il a été victime, Jean-Yves Guengant, proviseur de l’Iroise, est relevé par des élèves et personnels de son établissement, puis conduit à l’infirmerie.

Hier, à deux reprises, le lycée a été la cible de jeunes. Jean-Yves Guengant a été frappé deux fois et blessé. Les lycéens sont choqués et indignés.

 

Il est 14 h 15. Dans la cour de l’Iroise, Jean-Yves Guengant, proviseur du lycée, gît par terre. Sans bouger durant quelques minutes, sonné par le coup qu’il vient de recevoir à la tête et par sa chute. Et inconscient semble-t-il. L’auteur du coup s’enfuit sans demander son reste. Le proviseur, légèrement blessé, est relevé par des élèves et des personnels de son lycée, et transporté à l’infirmerie. « Il va bien », a précisé hier soir un membre de l’établissement. Selon l’AFP, il aurait tout de même été hospitalisé.Le mouvement est parti de la cité scolaire de Kérichen. Une action spontanée, peu organisée. Sans banderoles, ni tracts. Ni revendication précise. Exceptés quelques termes injurieux contre le ministre Xavier Darcos.Déjà, le matin, le lycée de la place de Strasbourg en a fait les frais : une porte cassée, des extincteurs vidés, une classe remplie d’élèves caillassée. Certains ont reçu des projections de verre cassé, mais il n’y a pas de blessés.

Vers 13 h 30, la manif se reconstitue. Départ du lycée Vauban. Ils sont environ 200. Ils vont d’abord à la Croix-Rouge. Certains pénètrent à l’intérieur, en ressortent vite. Direction l’Iroise. Sur la route, les poubelles sont jetées sur la chaussée, et les vitres de quelques abribus sont cassées.

À l’Iroise, ils rentrent sans problème. Mais, dans le bâtiment principal, les entrées sont gardées par des adultes… ou des élèves, comme au préau couvert. Des jeunes font pression. Un lycéen de l’Iroise s’interpose et se fait bousculer. Jean-Yves Guengant intervient. Il fend la foule, repousse les jeunes les plus agressifs. Il reçoit des crachats. Soudain, un jeune le gifle. Le proviseur répond de la même façon. Alors le jeune lui lance un coup dans la tête. Les lunettes du proviseur volent. Déséquilibré, il tombe lourdement, tandis que les « manifestants » prennent la fuite… laissant les membres de l’établissement, estomaqués, et indignés.

« C’est inadmissible ! »

« C’est inadmissible ! Je n’ai jamais vu ça ! », réagit un enseignant, syndiqué de longue date au Sgen-CFDT, très choqué. Émotion partagée par les lycéens de l’Iroise. « C’est lamentable ! Aujourd’hui, aucune manifestation n’était prévue. Ils ne sont là que pour casser. Ils décrédibilisent notre mouvement. On ne peut pas accepter ça ! » proteste Lancelot. C’est ce lycéen qu’a défendu Jean-Yves Guengant. « Je remercie le proviseur », dit-il.

Lancelot est engagé dans le mouvement de protestation contre les réformes, mais de façon pacifique. Hier, selon lui, l’action des jeunes n’avait rien à voir avec la manifestation de vendredi dernier, organisée par un syndicat lycéen. Avec quatre autres collègues, Lancelot tente d’organiser un comité pour structurer leur action. « Si des casseurs interviennent dans nos manifs, on arrêtera tout. »

Charles, un lycéen de l’Harteloire, dénonce : « C’est une bande de casseurs qui se sert des manifestations lycéennes comme prétexte. » Le recteur d’académie condamne « fermement » le climat de violence de la part de ce « groupe non identifié de 30 à 40 individus, se mêlant à des lycéens » et qui « dessert toute forme dexpression lycéenne ».

Laurence GUILMO.

Ouest-France  

 

https://www.ouest-france.fr/un-proviseur-revolte-apres-avoir-ete-agresse-564758

Un proviseur révolté après avoir été agressé

 

Modifié le 27/09/2013 à 13:55

  • Alain Collas, proviseur du lycée Dupuy-de-Lôme, a été agressé, hier matin, en marge d'une manifestation contre la réforme des retraites qui a rassemblé plus de 700 lycéens dans les rues de Lorient.

    Alain Collas, proviseur du lycée Dupuy-de-Lôme, a été agressé, hier matin, en marge d’une manifestation contre la réforme des retraites qui a rassemblé plus de 700 lycéens dans les rues de Lorient. | Archives Ouest-France

 

Vincent JARNIGON.

Le proviseur du lycée Dupuy-de-Lôme, Alain Collas, a été agressé hier matin en marge de la manifestation des lycéens. Alain Collas a voulu s’interposer, avec des agents du lycée, à l’intrusion de plusieurs dizaines de jeunes dans son établissement.

Le proviseur, surpris par la violence de certains, ne décolère pas : « Ils sont rentrés par un portillon et on les a retrouvés dans les couloirs. J’ai voulu m’interposer, mais ils m’ont attiré dans un coin et ils m’ont tabassé. J’ai été frappé à trois reprises. C’était très violent. »
Alain Collas poursuit : « Ces jeunes, inconnus du lycée et qui, pour moi, ne sont pas scolarisés, ont continué en prenant au hasard un lycéen dans une classe. Ils l’ont frappé également. Ils ont ensuite quitté les lieux en vidant au passage des extincteurs et en brisant une vitre. Ces actes sont inadmissibles et en plusieurs années de carrière c’est la première fois que j’observe une telle violence. »

Deux arrestations

Après son agression, Alain Collas a consulté un médecin qui lui a prescrit une incapacité totale de travail de sept jours. Il a porté plainte, avec le jeune lycéen agressé, au commissariat de police de Lorient. La police qui a interpellé deux jeunes, extérieurs à l’établissement, qui seront jugés par le tribunal correctionnel pour intrusion.

Le proviseur a également reçu le soutien d’Alain Miossec, le recteur d’académie, qui lui a « exprimé sa sympathie et a assuré de son soutien le proviseur et lélève blessés ainsi que les élèves et le personnel de létablissement qui ont su faire preuve de leur cohésion. Il est également au côté des autres proviseurs et équipes éducatives des différents lycées morbihanais perturbés ces derniers jours. » Le recteur a condamné « fermement le climat de violence ainsi établi. Celui-ci dessert toute forme dexpression lycéenne. »

Une lettre aux parents

Par ailleurs, le proviseur de Dupuy-de-Lôme n’a pas mâché ses mots à l’égard du syndicat qui encadrait le cortège : « Ils mettent des lycéens dans la rue pour défendre leur cause. Une cause d’adulte. Ce n’est pas admissible et ce n’est pas ma conception de la démocratie de faire défiler des élèves de seconde pour une réforme qui se débat au sénat. » Le proviseur a écrit à tous les parents des élèves de seconde pour leur expliquer que toutes absences « allaient être sanctionnées. Il faut savoir que je suis responsable de ces élèves. »

La CGT a assuré, de son côté, avoir été sollicitée lundi soir par des élèves de Dupuy-de Lôme qui craignaient des débordements après un courrier du proviseur à 11 élèves. Un responsable syndical explique : « Nous avons accepté d’encadrer le cortège avec une dizaine de membres de la CGT. Nous avons aussi donné un porte-voix. Nous n’avions aucun signe distinctif de notre appartenance à la CGT et nous ne sommes pas entrés au lycée Dupuy-de-Lôme. » La CGT indique, en outre, qu’elle était en permanence près des forces de police « chargées du bon déroulement de la manifestation. »

 



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