L’escroc et cybercriminel de Béziers reste accroc à Satanistique…

En fait, il l’est derechef plus que jamais depuis le 9 décembre 2017.

Allez savoir pourquoi…

 

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Après les djihadistes du Lot, ceux de l’Hérault…

Non m’enfin, les gars… il nous faut des témoignages complets…

 

https://www.lexpress.fr/actualite/monde/proche-moyen-orient/un-djihadiste-francais-detenu-en-syrie-je-veux-retourner-chez-moi_1978052.html

Un djihadiste Français détenu en Syrie: « Je veux retourner chez moi »

 

Par LEXPRESS.fr , publié le 21/01/2018 à 12:44 , mis à jour à 14:09

Depuis la chute de Daech en Syrie et en Irak, une quarantaine de djihadistes français ont été capturés, la plupart par des combattants kurdes.
Depuis la chute de Daech en Syrie et en Irak, une quarantaine de djihadistes français ont été capturés, la plupart par des combattants kurdes.

afp.com/Joseph Eid

 

Un Français engagé dans les rangs de Daech, puis capturé par les forces kurdes, témoigne à visage découvert sur France 2. Il prétend ne pas être un combattant, et dit espérer rentrer en France.

 

Il a 30 ans et est originaire de Lunel, dans l’Hérault. France 2 a pu interviewer, à visage découvert, un Français détenu par les forces kurdes en Syrie qui soupçonné d’avoir combattu dans les rangs du groupe Etat islamique. « Je veux retourner chez moi », explique le jeune homme.

LIRE AUSSI >> Retour de djihadistes: la délicate politique du « cas par cas » de Macron

Il assure ne pas être venu en Syrie pour combattre: « Je suis venu sans idéal, je suis venu je ne connaissais aucune sourate. Je suis venu chercher mon petit frère. » Comme le montre la chaîne publique, les deux Français posent pourtant sur plusieurs photos, ensemble, les armes à la main.

« Je finis les interrogatoires et je rentre chez moi »

Depuis la chute de Daech en Syrie et en Irak, une quarantaine de djihadistes français ont été capturés, la plupart par des combattants kurdes. Plusieurs d’entre eux, dont deux femmes, ont demandé le rapatriement pour être jugés en France. C’est aussi le cas de ce Français. « Ils m’ont dit que je finis les interrogatoires et je rentre chez moi », dit-il.

Pendant l’interview, un Français engagé volontaire au sein des forces kurdes se tient posté derrière lui et finit par l’interpeller. « Tu penses que ça va être aussi facile que ça de rentrer chez toi après avoir été avec l’État islamique? Avoir vu des gens se faire décapiter et ne pas avoir réagi? », lance le membre des forces kurdes. « Tu crois vraiment que les gens vont te laisser partir comme ça sans avoir rien fait? »

« Tu crois que nous on va oublier? »

« Tu crois que, nous, on va oublier? », poursuit le soldat français. « Qu’on va oublier tous les gens qui sont morts dans cette guerre? Tous nos camarades qui sont tombés à cause des gens comme toi. » « Je n’ai pas pris les armes », assure son prisonnier.

LIRE AUSSI >> Daech: quel sort pour les djihadistes français détenus en Irak et en Syrie?

Pour Paris, le cas de ces djihadistes est sensible. En novembre, Emmanuel Macron résumait ainsi sa politique: leur sort sera examiné au « cas par cas ». Début janvier, le gouvernement a assuré que ceux arrêtées dans le « Kurdistan syrien » seront « jugées là-bas » si les « institutions judiciaires sont en capacité d’assurer un procès équitable » avec des « droits de la défense respectés ».

Les Kurdes prêts « à s’arranger »

Les Kurdes se disent prêts « à s’arranger ». « Avec la France, un pays allié, on peut trouver une entente qui arrange au mieux, sachant que la priorité est que ces terroristes doivent rendre compte de leurs crimes », a indiqué Khaled Issa, représentant en France du Kurdistan syrien. « Une fois l’instruction terminée, nous verrons le sort réservé à ces terroristes en fonction de l’entente avec l’État allié » concerné, ajoute-t-il.

Ce dimanche, la justice irakienne s’est prononcée pour la première fois pour la peine capitale à l’encontre d’une femme européenne, une Allemande, pour avoir rejoint le groupe djihadiste Etat islamique (EI).

 

 



A Figeac, dans le Lot, même les éléments s’y mettent…

Bon, et maintenant, ils vont causer, les gars ?

 

https://www.ladepeche.fr/article/2018/01/21/2726056-rivieres-lotoises-debordent-routes-coupees-bas-figeac-inonde.html

Publié le 21/01/2018 à 10:29, Mis à jour le 21/01/2018 à 10:57

Les rivières lotoises débordent : des routes coupées, le bas de Figeac inondé

 

Intempéries Grand Sud

Photo illustration./ Archives DDM
Photo illustration./ Archives DDM

A Figeac, dans le Lot, même les éléments s'y mettent... dans AC ! Brest image-zoom

La situation au niveau des rivières lotoises s’est aggravée dans la nuit. Le Célé a dépassé sa crue de 2009 et inonde le bas de la ville de Figeac, la D 662 est coupée à hauteur du stade de Londieu, les quais Bessières et l’avenue Maréchal Foch sont également coupés. Inquiétude dans le village de Ceint d’eau à la sortie de Figeac, où les pompiers effectuent actuellement des recherches pour retrouver un couple de personnes âgées dont la maison s’est retrouvée cernée par les eaux.

La RD 662 entre Figeac et Cajarc est coupée à Frontenac, l’eau passe sur la chaussée sur 100 mètres de longueur. Toujours dans le même secteur la RD2 reliant Lissac-et-Mouret à Figeac, est coupée. La rivière Dordogne coupe la RD23 entre Gluges et Creysse. Sur Gramat, la D 15, la zone de la Plaine et l’hippodrome sont sous les eaux. Un éboulement est signalé sur la D 43 à Vayrac, des arbres sont tombés sur la D 19. La crue de la Cère à Bretenoux a déjà atteint le niveau de celle enregistrée au début du mois.

Quelques habitants partagent ce matin sur les réseaux sociaux, l’état de certaines rues ou infrastructures de la ville lotoise.

D’autres clichés, pris cette nuit, montrent la crue impressionnante du Célé à Figeac.

JEAN-MICHEL FABRE

 



Affaire Patricia Bouchon : où sont les journalistes ?

Bien évidemment, cette question ne s’adresse pas aux journalistes qui sont eux-mêmes impliqués dans cette affaire, pas plus qu’à ceux qui savent de leurs amis ou de leurs proches directement impliqués dans l’assassinat de cette femme qui les dérangeait, le 14 février 2011 à Bouloc. Elle s’adresse aux autres.

Comment se fait-il qu’il faille attendre l’article de l’Express du 18 janvier 2018 à 13h38 pour apprendre qu’en définitive, rien, mais alors, rien ne colle dans les accusations portées contre l’unique suspect que les gendarmes ont bien voulu charger ?

Rappelons à cet égard que dès l’année 2011, les enquêteurs savent parfaitement bien qu’ils ont affaire à plusieurs criminels ou, au moins, que l’auteur des faits a des complices qui ont manipulé le corps de la victime, puisqu’ils y ont relevé plusieurs ADN  : soit ils se sont tous acharnés dessus et l’ont ensuite caché à l’endroit où il a été retrouvé, soit le tueur a des complices qui l’ont seulement aidé à cacher le corps.

En vérité, bien des gens savent depuis longtemps que le crime, qui est un assassinat et non un meurtre, a bien été ourdi et commis par cette association de malfaiteurs dont les leaders sont connus.

Egalement, on savait depuis le début que l’ADN de Laurent Dejean ne correspondait à aucun de ceux trouvés sur la victime.

Mais voilà que l’on nous dit aussi aujourd’hui que contrairement à ce que la presse avait toujours rapporté jusque-là, il n’aurait en fait jamais été reconnu par aucun témoin, et que par ailleurs sa voiture n’était pas non plus celle aperçue à proximité du lieu où furent retrouvées des traces d’agression de la victime.

Ne reste donc que son comportement étrange après les faits, bien moins probant que les nombreuses traces laissées par les assassins, surtout les plus connus d’entre eux, qui dès l’époque des faits s’exprimaient publiquement sur le crime et ses mobiles.

Laurent Dejean en fut-il un des complices ?  Ce n’est pas exclu.

 

 

http://www.midilibre.fr/2018/01/18/meurtre-d-une-joggeuse-pres-de-toulouse-en-2011-le-principal-suspect-innocente,1615862.php

Meurtre d’une joggeuse près de Toulouse en 2011 : le principal suspect innocenté ?

 

il y a 1 jour 18 MIDI LIBRE
Meurtre d'une joggeuse près de Toulouse en 2011 : le principal suspect innocenté ?
Des experts de la brigade scientifique font des relevés à l’endroit où ont été retrouvés les effets personnels de Patricia Bouchon, une joggeuse disparue, et une trace de sang, le 15 février 2011 à l’entrée de la commune de Bouloc.

AFP / PASCAL PAVANI

 

A près trois ans de détention, Laurent Dejean pourrait être disculpé du meurtre de Patricia Bouchon à Bouloc, en 2011.

Le principal suspect dans l’affaire du meurtre de Patricia Bouchon, à Bouloc (Tard-et-Garonne) en 2011, pourrait bientôt sortir blanchi de cette affaire. C’est en tout cas le sens de la décision prise par la chambre d’instruction de la cour d’appel de Toulouse, qui statuait ce jeudi 18 janvier sur le renvoi de Laurent Dejean devant la cour d’assises.

L’homme est en détention depuis trois ans. Il a été arrêté en 2015, soupçonné d’être l’auteur d’un meurtre sur Patricia Bouchon, disparue le 14 février 2011 alors qu’elle effectuait son jogging sur la commune de Bouloc, au nord de Toulouse. Son corps avait été retrouvé 45 jours plus tard dans une canalisation. Elle avait été étranglée.

Deux éléments pour un non-lieu

Au terme d’un feuilleton qui pourrait bien se transformer en erreur judiciaire, les avocats de la défense et l’avocat général ont requis à l’unisson un non-lieu dans cette affaire. Pour Me Debuisson, avocat de Laurent Dejean interrogé par nos confrères de La Dépêche, « C’est la conclusion de trois ans de détention subis et de l’analyse de 50 000 feuillets. Il y a convergence de point de vue puisqu’à l’évidence les quelques éléments qui pourraient être retenus à charge ne sont pas suffisants pour qu’il soit renvoyé devant la cour d’assises ».

Cette demande de non-lieu s’appuie sur deux éléments : l’ADN masculin retrouvé n’est pas celui de Laurent Dejean. Par ailleurs, il nie toujours être le conducteur de la Clio aperçue dans le secteur de la disparition à 4 h du matin. Conducteur dont aucun élément ne permet de le relier à l’affaire.

 

https://www.lexpress.fr/actualites/1/societe/rebondissement-dans-le-meurtre-d-une-joggeuse-pres-de-toulouse-non-lieu-requis_1977282.html

Rebondissement dans le meurtre d’une joggeuse près de Toulouse: non-lieu requis

 

Par AFP , publié le 18/01/2018 à 13:38 , mis à jour à 13:38

Le palais de justice de Paris accueille le 3e procès AZF
Le palais de justice de Paris accueille le 3e procès AZF

afp.com/Thomas SAMSON

Toulouse – Le parquet général a requis jeudi un non-lieu devant la chambre de l’instruction contre Laurent Dejean écroué depuis février 2014 pour le meurtre d’une joggeuse, Patricia Bouchon, en 2011 à Bouloc, près de Toulouse, a-t-on appris auprès de la défense.

 

Dans son réquisitoire, l’avocat général Pierre Bernard est allé à l’encontre du juge d’instruction qui avait renvoyé le principal suspect aux assises et a estimé qu’il n’y avait pas dans le dossier de 50.000 pages les éléments nécessaires pour un renvoi devant la cour, a expliqué à l’AFP Me Guy Debuisson.

« C’est une conclusion logique. L’avocat général a fini par s’associer à notre thèse, notamment avec deux éléments disculpants, l’absence d’ADN et la voiture » vue sur les lieux qui n’était pas la sienne, a ajouté Me Debuisson, rappelant que le parquet s’était auparavant toujours opposé aux demandes de remise en liberté.

L’arrêt de la chambre d’instruction a été mis en délibéré au 15 février.

Dans cette affaire, Laurent Dejean avait été gardé à vue à deux reprises avant d’être finalement interpellé le 9 février 2014 puis mis en examen pour « homicide volontaire » et écroué.

Le 14 février 2011, Patricia Bouchon, 49 ans, secrétaire dans un cabinet d’avocats toulousains et mère de famille, était partie vers 04H30 faire son jogging autour de Bouloc, à 25 km au nord de Toulouse.

Son corps avait été retrouvé un mois et demi après, vertèbres et crâne enfoncés, un gant en latex enfoncé dans la gorge. Son meurtrier avait aussi essayé de l’étrangler mais aucun abus sexuel n’avait pu être mis en évidence.

Lors de sa mise en examen, le suspect avait été présenté comme « psychotique« , ayant déjà subi des hospitalisations d’office et des « traitements très lourds. Il était aussi adepte des « paradis artificiels, alcool et toxiques divers », selon le parquet.

Cet ancien plaquiste avait demandé un arrêt de travail, dix jours après le meurtre, pour suivre des soins psychiatriques, et n’avait pas repris son emploi.

Selon la défense, l’enquête n’a depuis pas permis de rattacher M. Dejean au crime avec deux éléments principaux: « L’ADN retrouvé sur la victime est celui d’un homme mais pas le sien et la voiture aperçue sur les lieux était une Clio grise alors que la sienne était blanche« .

En outre, M. Dejean « n’a jamais été reconnu par celui qui avait permis à la police de faire le portrait-robot » en 2013 et « les témoins auditifs de la scène n’ont pas reconnu sa voix« , a encore fait remarquer Me Pierre Debuisson.

 

http://www.leparisien.fr/faits-divers/meurtre-d-une-joggeuse-a-bouloc-la-detresse-de-la-famille-apres-le-non-lieu-20-01-2018-7511844.php

Meurtre d’une joggeuse à Bouloc : la détresse de la famille après le non-lieu

 

>Faits divers|Jean-Marc Ducos| 20 janvier 2018, 9h15 |5
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Le corps de Patricia Bouchon a été retrouvé début avril 2011 dans une canalisation.

LP/MATTHIEU DE MARTIGNAC

Au grand dam de la famille de la joggeuse tuée, le parquet a requis un non-lieu en faveur du suspect incarcéré depuis trois ans.

C’est un « coup de massue ». Un « coup de poignard de la justice » pour la famille de Patricia Bouchon, 49 ans, secrétaire médicale disparue le 14 février 2011 au petit matin à Bouloc (Haute-Garonne), lors de son jogging habituel, et dont le corps avait été retrouvé le 7 avril caché dans une canalisation d’eau sous un chemin à Villematier.

Jeudi, le parquet général de Toulouse a requis un non-lieu en faveur de Laurent Dejean, 37 ans, le premier suspect dans cette affaire d’homicide sans mobile apparent, arrêté trois ans après les faits en février 2014. Il habitait le même village que la victime et ce fils de maçon, ancien artisan monteur de cloisons à la vie chaotique, avait déjà subi plusieurs hospitalisations en milieu psychiatrique. « Nous avons l’impression que ce magistrat n’a pas lu le dossier », lâche Sandra D., 52 ans, la sœur de Patricia Bouchon. Le juge d’instruction, lui, avait ordonné le renvoi du mis en examen devant les assises.

Une enquête jugée insuffisante

Alors que le parquet s’était jusque-là toujours opposé aux différentes demandes de remise en liberté du suspect, le même parquet a estimé que l’instruction était « insuffisante » pour le « renvoyer devant une cour d’assises », selon M e Guy Debuisson, l’avocat du mis en examen.

L’ex-artisan avait été désigné après la diffusion tardive en 2013 d’un portrait-robot réalisé dès le printemps 2011. Laurent Dejean avait été placé en garde à vue une première fois en octobre 2011, par les gendarmes de la section de recherches de Toulouse, car sa voiture, une Renault Clio, correspondait à celle aperçue ce matin-là. Plusieurs témoignages indiquaient la présence d’une voiture de cette marque sur le parcours emprunté par la mère de famille. Laurent Dejean était connu pour passer des nuits entières à rôder sur les routes de la région et pour ses moments de colère explosive que les gendarmes locaux affrontaient.

Des «charges concordantes» mais pas d’ADN

Lorsqu’il est arrêté en février 2014, la voiture a disparu. Elle est restée introuvable malgré toutes les recherches. Une éventuelle preuve volatilisée. « Il y a pourtant 37 témoins qui disent qu’il possédait ce type de voiture. Il dit l’avoir vendue de la main à la main à des gens du voyage… » peste Me Stéphane Julliard, l’avocat de la fille de la victime, qui trouve l’explication « un peu courte ».

Sur la scène de crime initiale, maculée de sang, aucun ADN du suspect n’a été mis en évidence, pas plus que sur les vêtements et bijoux de la victime qui avait un gant en latex enfoncé dans la gorge. « Il existe pourtant de nombreuses charges concordantes et cela suffit à le renvoyer », insiste Me Julliard. Il en veut pour preuve ce changement de comportement du suspect après la mort de la joggeuse. Il multiplie les arrêts de travail. Puis quitte subitement son emploi. Lors de sa dernière garde à vue, il embrasse même la photo de la victime et demande pardon. « Il n’y a certes pas de preuves irréfutables. Mais tous ces indices, ces doutes, cela mérite qu’il y ait un débat devant une cour d’assises. Nous avons bien des questions à lui poser », martèle Me Julliard, qui prévient déjà que si ce non-lieu est confirmé le 15 février, il se « pourvoira en cassation ». « Il ne s’agit pas d’avoir un coupable pour un coupable, mais de connaître la vérité sur la mort de Patricia. Et il est le seul à savoir », reste persuadée la sœur de la victime.

 

http://www.20minutes.fr/toulouse/2161435-20171101-toulouse-suspect-meurtre-joggeuse-bouloc-demande-remise-liberté

Justice Le suspect du meurtre de la joggeuse de Bouloc demande sa remise en liberté

Toulouse: Le suspect du meurtre de Patricia Bouchon, la joggeuse de Bouloc, demande sa remise en liberté

 

JUSTICE Triste coïncidence, le suspect du meurtre de Patricia Bouchon, la joggeuse de Bouloc, tuée en février 2011, a demandé mardi sa remise en liberté…

H.M.

Publié le 01/11/17 à 10h50 — Mis à jour le 01/11/17 à 11h44

 

Lors de la marche silencieuse en hommage à Patricia Bouchon, la joggeuse tuée il y a un an à Bouloc. 14/02/11 Bouloc
Lors de la marche silencieuse en hommage à Patricia Bouchon, la joggeuse tuée il y a un an à Bouloc. 14/02/11 Bouloc — FRED SCHEIBER / 20 MINUTES

 

Patricia Bouchon aussi avait l’habitude de faire son jogging dans la campagne autour de son domicile. Elle a elle aussi croisé la route d’un meurtrier. Hasard du calendrier judiciaire, alors que le corps d’Alexia Daval vient d’être formellement identifié, l’assassinat d’une autre joggeuse, celle de Bouloc, en Haute-Garonne, tuée le 14 février 2011, refait surface.

>> A lire aussi : Haute-Saône: Le corps brûlé retrouvé est bien celui de la joggeuse Alexia Daval

Laurent Dejean, l’homme mis en examen et placé en détention préventive pour le meurtre de Patricia Bouchon, a en effet demandé mardi 31 octobre, une nouvelle fois, sa remise en liberté devant la chambre de l’instruction de la Cour d’appel de Toulouse.

Retrouvée 45 jours plus tard

Patricia Bouchon, une mère de famille de 49 ans qui travaillait dans un cabinet d’avocats, courait très souvent au petit matin avant d’aller travailler. Le jour de sa disparition, elle a quitté son domicile de Bouloc à 4h30. C’est son mari qui, ne le voyant pas rentrer, a donné l’alerte.

Le corps de la joggeuse de Bouloc a été retrouvé 45 jours plus tard, dans une canalisation, à une quinzaine de kilomètres de Bouloc. Elle est morte par strangulation et un gant de latex a été retrouvé dans sa bouche.

>> A lire aussi : Meurtre de la joggeuse de Bouloc: Les indices qui ont conduit à la mise en examen

Laurent Dejean, entendu une première fois par les enquêteurs dès 2011, a été interpellé et mis en examen quatre ans plus tard, en février 2015. Parmi les charges retenues par le parquet contre ce trentenaire, originaire de la région et à tendances psychotiques, des propos ambigus tenus à des proches et un congé maladie pris immédiatement après la disparition de Patricia Bouchon.

Des témoins ont aussi aperçu une Clio de couleur claire, à l’heure présumée du crime sur le petit chemin où une boucle d’oreille et des cheveux de la joggeuse ont été retrouvés. La voiture n’a jamais été retrouvée mais plusieurs témoins ont attesté que Laurent Dejean en conduisait une à l’époque.

>> A lire aussi : Joggeuse de Bouloc: L’homme mis en examen «clame son innocence», selon son avocat

Le suspect, dont les avocats précisent que l’ADN ne correspond pas à ceux retrouvés sur le corps, a toujours nié farouchement.

La cour d’appel de Toulouse rendra sa décision sur son maintien ou non en détention provisoire ce lundi 6 novembre.

 

http://www.20minutes.fr/toulouse/1537059-20150209-joggeuse-bouloc-homme-mis-examen-clame-innocence-selon-avocat

Toulouse Joggeuse de Bouloc: L’homme mis en examen «clame son innocence», selon son avocat

Joggeuse de Bouloc: L’homme mis en examen «clame son innocence», selon son avocat

 

INTERVIEW Défendu par Raphaël Darribère, Laurent Dejean a été placé en détention pour le meurtre de Patricia Bouchon en février 2011…

Propos recueillis par Beatrice Colin

Publié le 09/02/15 à 18h40 — Mis à jour le 06/11/17 à 14h50

 

Raphaël Darribère, l'un des deux avocats de Laurent Dejean, mis en examen le 9 février 2015 pour
Raphaël Darribère, l’un des deux avocats de Laurent Dejean, mis en examen le 9 février 2015 pour — Alexandre Gelebart / 20 Minutes

 

Laurent Dejean, un habitant de Bouloc de 34 ans, a été mis en examen ce lundi pour «homicide volontaire» et écroué dans le cadre du meurtre de Patricia Bouchon. Cette femme de 49 ans a disparu le 14 février 2011 alors qu’elle faisait son jogging avant d’être retrouvée morte 44 jours plus tard. L’un de ses deux avocats, Raphaël Darribère, répond aux questions de 20 Minutes Toulouse.

Votre client vient d’être mis en examen. Reconnaît-il les faits?

Il conteste les faits qui lui sont reprochés. Il clame son innocence comme il l’a toujours fait.

Le procureur de la République a parlé d’indices concordants pour justifier sa mise en examen. Sont-ils suffisants selon vous?

Les éléments à charge qui pèsent contre mon client paraissent aujourd’hui fragiles. Le procureur parle d’un faisceau d’indices, mais nous en sommes plutôt au stade des suspicions. Nous souhaitons, avec son autre avocat, Marwan Hatoum, que les investigations se poursuivent pour permettre à notre client d’être innocenté.

Votre client a-t-il un alibi?

L’alibi fait partie de l’enquête. Devant les juges, il s’expliquera sur son emploi du temps.

Il nie avoir été en possession d’une Clio, qui pourrait être celle repérée sur les lieux de la disparition de Patricia Bouchon. Pourtant, 24 personnes affirment qu’il en a eu une…

Il conteste avoir été propriétaire et même usager d’une Clio.

Est-il psychotique et sous traitement?

Il est actuellement sous traitement. Sa personnalité mérite d’être éclairée par des expertises psychiatriques.

Dans quel état d’esprit est votre client?

Il est très choqué par sa mise en examen et la décision de placement détention. Il est toujours resté à la disposition de la justice et toujours présent à Bouloc.

 



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