Réouverture du Super U de Trèbes : pourquoi le 11 avril 2018 ? 4 avril
Il y a un peu moins d’un mois, j’avais prévenu les autorités d’un risque très élevé d’attentat, celui-ci devant être nécessairement commis avant le 11 avril 2018.
Pourquoi cette date ?
C’est celle de la prochaine décision judiciaire qu’attendent actuellement les membres de l’association de malfaiteurs qui me harcèlent sur Internet comme dans la « vraie vie » depuis qu’au mois de septembre 2008 j’ai eu le malheur de me révéler de manière anonyme et sans grandes précisions comme victime de harcèlement moral en entreprise dans mes commentaires sur un article du site Rue89 consacré à ce problème.
Bien entendu, dans le but d’éviter autant que possible un nouveau bain de sang, j’avais donné les noms des commanditaires de l’attentat, ainsi que leurs raisons, en indiquant que ces dernières années ils ont pris l’habitude de ponctuer d’attentats sanglants l’évolution de toutes leurs demandes judiciaires hallucinantes à mon encontre.
J’avais même précisé qu’il se produirait peut-être le 22 mars 2018, sachant qu’ils affectionnent particulièrement cette date anniversaire.
En définitive, ce sont les grèves et manifestations de fonctionnaires qui auront été organisées le 22 mars 2018, et l’attentat ne s’est produit que le lendemain.
Les islamistes respectent ces manifestations bien plus sûrement que le ramadan.
Mais le 23 mars 2018 a aussi pour avantage de tomber pile poil 19 jours avant le 11 avril 2018, exactement comme l’attentat du 13 novembre 2015 s’était produit tout juste 19 jours avant la décision qu’alors mes harceleurs attentaient, à savoir l’arrêt rendu par la Cour d’Appel de Rennes le 2 décembre 2015 dans la procédure plus qu’abusive que la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest avait engagée à mon encontre en 2011.
C’est donc ce jour qu’ils ont choisi pour commettre leur attentat, en prenant bien soin de souligner sa parenté avec celui du 13 novembre 2015, puisqu’il s’agissait de prendre les clients et le personnel du Super U de Trèbes en otages pour exiger des autorités françaises la libération du seul survivant parmi les attaquants du 13 novembre 2015 – un genre de remake de l’attentat de Charlie Hebdo suivi deux jours plus tard de la prise d’otages de l’Hyper Cacher de la Porte de Vincennes en faveur des frères Kouachi.
Le thème majeur des attentats de janvier 2015, perpétrés moins d’un mois avant l’audience de la Cour d’Appel de Rennes où devait alors être plaidée l’affaire m’opposant à la criminelle Josette Brenterch, était celui de la liberté d’expression, celle de Charlie Hebdo, soit, mais aussi celle dont mes contradicteurs entendaient me priver, et que ma soi-disant complice la société OVERBLOG soutenait pour sa défense depuis 2013, alors que de mon côté, aucune défense au fond n’avait encore été présentée.
Le moins que l’on puisse dire est que les auteurs de ces attentats n’ont pas gagné à leur cause l’opinion publique, ce fut exactement l’inverse. Mais leur chef a toujours fait ce mauvais calcul qui consiste à violenter ceux qui ne lui sont pas acquis pour tenter de leur imposer ses vues.
L’audience alors attendue à Rennes avait finalement été reportée à l’initiative de la Cour et ne s’est tenue que le 30 septembre 2015, pour une décision rendue le 2 décembre 2015.
L’attentat survenu dans l’intervalle, le 13 novembre 2015, une évidente démonstration de force, n’aura pas suffi à infléchir le jugement des magistrats de la Cour d’Appel de Rennes, si tel était son but.
Le débat au fond qui n’avait pas eu lieu en première instance portait alors essentiellement sur les conditions très particulières de mon emploi d’ingénieur d’études en informatique sur un projet classé de l’Armé de l’Air dans une société du groupe Matra en 1994.
Il est absolument certain que l’attentat du Bataclan visait bien le propriétaire de la salle de spectacle, devenu le groupe Lagardère en date du 11 septembre 2015, tout comme à l’époque de l’empoisonnement criminel dont j’ai été victime le 22 mars 2002, plusieurs dirigeants d’EADS étaient aussi menacés de mort.
En effet, la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest leur en voulait à mort pour m’avoir jadis employée comme ingénieur d’études en informatique.
Et maintenant, ne restent plus que 7 jours à attendre pour savoir quel aura été l’effet des nouveaux assassinats commis le 23 mars 2018.
http://www.europe1.fr/societe/aude-le-super-u-de-trebes-va-rouvrir-le-11-avril-3617534
Aude : le Super U de Trèbes va rouvrir le 11 avril
Mardi, la direction s’est réunie avec les employés afin de décider de rouvrir le supermarché dès la semaine prochaine.
Il va falloir surmonter les difficultés psychologiques des employés. Mais la décision est prise : le Super U de Trèbes dans l’Aude, théâtre d’un attentat le 23 mars dernier, va rouvrir ses portes mercredi prochain, selon des informations de RTL.
Une réouverture décidée ensemble. Mardi, la direction de ce supermarché, où trois personnes sont mortes lors d’une prise d’otages, s’est réunie avec l’ensemble du personnel, afin de prendre cette décision. Si matériellement, il aurait été possible de rouvrir plus rapidement, les plaies psychologiques, elles, mettent plus de temps à guérir. Le 23 mars dernier, Radouane Lakdim s’est introduit dans le magasin et a abattu trois personnes : Christian Medves, chef de la boucherie, Hervé Sosna, retraité de 65 ans et client régulier et Arnaud Beltrame, lieutenant-colonel de gendarmerie.
« Une équipe de copains ». Pour Jacky, un collègue de Christian Medves, cette réouverture va permettre « de montrer que nous n’avons pas peur et que nous sommes debout ». »Je sais que pour tout le personnel ça va être dur car on a perdu un collègue de travail, c’était le chef boucher. On avait nos habitudes, ça fait 15 ans qu’on est ensemble. C’était une équipe de copains qui travaillaient ensemble », a-t-il expliqué à RTL.
Une des caissières « très affectée ». La direction va devoir déterminer qui a besoin d’un suivi afin de se remettre du traumatisme. Une des caissières, Julie, est notamment « très affectée », selon le maire de Puichéric, la commune où la jeune femme demeure. C’est elle qui a eu la vie sauve grâce au sacrifice d’Arnaud Beltrame. »Pour le moment, elle reste très affectée et ne veut voir personne », a-t-il témoigné. À plusieurs reprises, l’élu s’est rendu au domicile de la jeune femme, qu’il n’a pas pu rencontrer. Son mari lui a ouvert la porte en fin de semaine : »il m’a dit qu’elle était allongée, qu’elle se reposait. Je n’ai pas pu la voir ». D’après le JDD, Julie fait l’objet d’un important suivi psychologique.