Nouvelles menaces de Cyprien Luraghi le 21 septembre 2018

A qui Cyprien Luraghi s’adresse-t-il lorsqu’il écrit et publie sur son blog le 21 septembre 2018 :

 

Les maux te manquent ?

 

« Vous avez besoin d’écrire ? » « J’ai besoin d’écrire. » « Est-ce important ? » « C’est très important. » (( Edgar Hilsenrath – Fuck America ))

…/…

 

Il a « besoin » d’écrire et de publier sa version de ma biographie, alimentée autant par tous ses viols de l’intimité de ma vie privée depuis l’année 2008 au moins que par les inventions calomnieuses de sa complice la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, les siennes propres et celles de toute sa bande de « déconnologues » constituée à compter de la même année 2008.

Il n’a cessé de le répéter depuis 2009, affirmant son droit de viol et d’assassinat de plus en plus bruyamment au fil des ans.

Les attentats terroristes commis sur le sol français en 2015 furent particulièrement fracassants.

Cyprien Luraghi attendait alors une confirmation de ma condamnation prononcée le 11 juin 2013 par le Tribunal de Grande Instance de Brest, une condamnation qu’il avait annoncée à son public dès le début de l’année 2012 alors que commençait tout juste l’information judiciaire préalable.

Celle-ci faisait suite à des plaintes toutes nulles ou irrecevables que sa complice Josette Brenterch avait déposées auprès du doyen des juges d’instruction de Brest en août et décembre 2011.

Chacun des juges brestois qui en avait été saisi aurait dû les rejeter, arrêter ou annuler toute la procédure subséquente une fois celle-ci bien engagée, mais il aura fallu attendre son réexamen par la Cour d’Appel de Rennes le 30 septembre 2015 pour qu’enfin soit prononcée le 2 décembre 2015 la décision qui d’emblée s’imposait, et par voie de conséquence, ma relaxe totale et définitive dans cette affaire.

Cyprien Luraghi et ses complices attaquaient de nouveau dès le mois de mars 2016, toujours selon le même schéma : nouvelles publications délictueuses, nouveaux viols, rapidement suivis d’une nouvelle procédure contre leur victime, afin de prévenir ses propres dépôts de plaintes ou procédures, de les contrer par avance, de les empêcher même de jamais voir le jour.

Débutait alors une nouvelle série d’attentats meurtriers, avortés ou déjoués qui ne s’est terminée que le 23 mars dernier, durant le dernier délibéré relatif à cette nouvelle procédure, avant la décision de la Cour d’Appel de Paris du 11 avril 2018.

Cyprien Luraghi n’ayant pas jugé utile d’en publier le calendrier comme il l’avait fait pour la procédure de sa complice Josette Brenterch du NPA de Brest, je le donne ici même :

- 5 mars 2016 : nouvelles publications délictueuses, appelant nécessairement plaintes et autres réactions des victimes;

- avril 2016 : consultation de l’avocat spécialisé qui dès lors travaille à la perte des victimes avant qu’elles n’aient pu se faire entendre;

- 24 juin 2016 : ordonnance autorisant l’assignation projetée;

- 12 juillet 2016 : assignation délivrée à la principale victime pour le 13 septembre 2016 à 10h00;

- 13 septembre 2016 : la victime étant fermement décidée à se défendre, renvoi à une audience ultérieure à la demande du demandeur qui a besoin d’un nouveau délai pour compléter son assignation; concrètement : comptant que je ne serais pas en état d’y répondre et qu’une ordonnance pourrait être rendue contre moi par le juge des référés du Tribunal de Grande Instance de Paris sur la base des seuls éléments qu’il fournissait, il n’avait même pas jugé utile de justifier ses demandes…

- 15 septembre 2016 : nouvelle demande de renvoi du demandeur qui ne sera pas en mesure de plaider le 27 septembre 2016;

- 20 septembre 2016 : renvoi fixé au 8 novembre 2016 à 11h30;

- 1er novembre 2016 à 21h44 : l’avocat du demandeur m’envoie un complément de pièces;

- 2 novembre 2016 à 8h55 : il me promet de nouvelles conclusions pour le vendredi suivant, 4 novembre 2016;

- 4 novembre 2016 à 19h27 : il me transmet de nouvelles pièces en indiquant ne pas prendre de nouvelles conclusions, c’est-à-dire qu’il ne répondra pas aux miennes qui effectivement resteront toujours sans réponse;

- 8 novembre 2016 à 11h30 : audience; nouvelle communication de pièces du demandeur et plaidoiries; délibéré fixé au 16 décembre 2016;

- 16 décembre 2016 : prorogation du délibéré au 5 janvier 2017;

- 5 janvier 2017 : ordonnance de rejet des demandes;

- 15 juin 2017 : déclaration d’appel du demandeur;

- 20 juin 2017 : enregistrement de la déclaration d’appel du demandeur;

- 7 juillet 2017 : fixation des audiences en appel le 7 novembre 2017 à 13h00 pour la clôture et le 20 novembre 2017 à 14h00 pour la plaidoirie;

- 18 juillet 2017 : nouvelle assignation de la victime;

- 28 juillet 2017 : constitution de mon avocat; c’est obligatoire, je ne peux plus me défendre seule à ce stade de la procédure; jusque-là, comptant que je n’aurais sans doute pas plus d’avocat qu’en première instance, le demandeur devait s’imaginer gagner haut la main en appel en l’absence de toute défense de ma part;

- 30 octobre 2017 : le demandeur annonce ses conclusions pour la semaine suivante et indique qu’il sollicitera un report de la clôture compte tenu de cette communication tardive;

- 31 octobre 2017 : Pascal Edouard Cyprien Luraghi, qui n’est toujours pas en mesure de justifier ses demandes, veut désormais transiger; brandissant sans aucune gêne la menace de ma prochaine condamnation pour de soi-disant « harcèlements » à son encontre, comme j’aurais déjà été « condamnée » pour « les mêmes faits » dans toutes les procédures engagées à mon encontre par ses complices Josette Brenterch du NPA de Brest en Bretagne et Jean-Marc Donnadieu dans l’Hérault, il propose de s’engager à ne plus rien publier sur mon compte sans pour autant supprimer ses textes déjà publics me concernant ni cesser ses publications ou diffusions quotidiennes auprès d’un public restreint très intéressé par ma vie privée et celles de mes proches, ou ce qu’il en raconte, ni bien sûr mettre un terme à tous ses viols, multiformes, ses harcèlements véritables et toutes ses dénonciations calomnieuses à notre encontre – je suis notamment obligée de me défendre contre les harcèlements de plusieurs de ses complices hors Internet -, à la condition que de mon côté je supprime tous mes textes le concernant – lesquels ne sont jamais que des droits de réponse consécutifs à toutes ses infâmes campagnes de calomnies publiques à mon encontre – , m’engage à ne plus en produire aucun et surtout renonce à toute réclamation ou plainte et me désiste de toute instance à son encontre… et puis quoi encore ? quel culot ! bien entendu je refuse;

- 7 novembre 2017 : le demandeur obtient un report de la clôture au 20 février 2018 à 13h00 et celui des plaidoiries au 5 mars 2018 à 14h00;

- 19 février 2017 : le demandeur communique enfin et très tardivement ses conclusions;

- 20 février 2017 : à la demande de mon avocat, la clôture est reportée au 5 mars 2018, jour des plaidoiries;

- 5 mars 2018 : plaidoiries et fixation du délibéré au 11 avril 2018;

- 11 avril 2018 : infirmant l’ordonnance entreprise en toutes ses dispositions, statuant à nouveau, la Cour d’Appel de Paris déclare nulle l’assignation délivrée le 12 juillet 2016 et irrecevable en conséquence l’instance engagée par M. Pascal Luraghi… lequel a très largement abusé…

Et maintenant, qui menace-t-il encore, et de quoi, de quels nouveaux attentats ?



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