M’enfin, c’est quoi, le problème avec la lingerie de Mélenchon ? 18 octobre
Il y en a un qui les fait tous grimper aux rideaux, c’est manifeste.
En outre, Mélenchon a déjà annoncé que les enquêteurs allaient peut-être trouver, par exemple, qu’un jour il a volé un carambar.
De mon côté, si je devais être perquisitionnée, ce qui ne m’est jamais arrivé, ce n’est pas ce que je pourrais craindre. Je suis déjà violée au quotidien dans l’intimité de ma vie privée depuis près de trente ans. Il est évident que si j’avais fait quoi que ce soit d’illégal durant toutes ces années, je l’aurais payé tout de suite au prix fort. Or, je n’ai jamais fait l’objet d’aucune sorte de poursuite avant que la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest ne décide de m’attaquer avec des dénonciations calomnieuses pour assurer sa défense à la suite des exactions publiques qu’elle avait commises à mon encontre à compter de juin 2010, selon le bon vieux principe qu’elle et ses divers complices ont d’ailleurs tous appliqué à la lettre dans le même élan calomnieux dès cette année 2010 : la meilleure de leur défense est toujours l’attaque, car ces cyberdélinquants et criminels sont bien tous coupables.
Alors, quelle raison les enquêteurs pourraient-ils bien trouver pour « foutre » Mélenchon « en cabane », comme il le dit lui-même ?
Aurait-il volé des petites culottes ?
Est-ce grave, Docteur ?
Ah ben, c’est condamnable… les victimes se plaignent…
Hautes-Pyrénées : le voleur de culottes condamné
L‘affaire avait fait grand bruit, défrayé la chronique et surtout traumatisé un village entier des Hautes-Pyrénées, Adast. Pendant près de deux ans, du linge, essentiellement féminin, qui séchait tranquillement sur les cordes, disparaissait régulièrement. Les habitants savaient aussi, preuves à l’appui, que quelqu’un s’introduisait chez eux, en leur absence. Pour y voler du linge encore, surtout des dessous féminins, en quantités incroyables parfois. Bref, la psychose avait fini par s’installer. D’autant mieux que le voleur semblait insaisissable. Pendant deux ans, les gendarmes ont cherché, cherché. Les plaintes se sont amoncelées. Et rien.
Jusqu’au 23 avril 2006 : pour la Nième fois, les habitants appellent la gendarmerie. Mais cette fois, pour dire que trois habitants tenaient un homme. Ce dernier venait de tenter de pénétrer dans une maison dont il avait volé les clés. L’habitant des lieux, avec deux voisins, avaient coincé l’individu dans le jardin : un autre habitant de la commune, surnommé le Bordelais, en raison de son installation relativement récente, quatre ans auparavant.
Très vite, le dit Bordelais va parler, va-tout avouer : le linge, les petites culottes, c’est lui. Au cours de la perquisition, les gendarmes vont retrouver des montagnes de cartons pleins de vêtements. Ils sont tous dans un état pitoyable : Thierry R., 37 ans, dans sa dérive fétichiste, s’en est servi « pour assouvir ses pulsions sexuelles. » a-t-il expliqué devant le tribunal.
Pendant deux ans, il a fait 13 victimes. Il a traumatisé des familles entières : « Environ 20 % de la population du village a été directement touchée. » calculera le procureur. Les psychiatres définissent Thierry R. comme immature et inhibé. Les mots déviance et fétichisme sont prononcés.
Pendant le procès, Thierry R. semble presque absent, se tient légèrement avachi, un peu comme si tout ça ne le concernait pas. Il va écouter, sans les regarder, les victimes, décrire leurs tourments à la barre : « Aucune d’entre elles ne parle de vol. Mais bien de viol de l’intimité et d’une angoisse indicible. » fera remarquer le procureur.
Le voleur de petites culottes a été condamné à 5 mois de prison avec sursis, mise à l’épreuve pendant deux ans, interdiction de séjour à Adast et obligation d’indemniser les victimes : le montant des sommes pour les vêtements volés est assez impressionnant, sans parler du préjudice moral.
Hélène Dubarry.
Perquisition chez un fétichiste: 600 pièces de lingerie saisies
JUSTICE Un Savoyard a été interpellé et mis en examen après 10 ans de vols de sous-vêtements…
Publié le 21/10/09 à 00h00 — Mis à jour le 21/10/09 à 16h14
Des sous-vêtements féminins par centaines. Voilà le butin saisi ce mercredi par la gendarmerie au domicile d’un Savoyard. Interpellé et mis en examen, l’homme, un récidiviste, a expliqué avoir agi par «fétichisme».
Au total, ce sont 600 pièces de lingerie qui ont été découvertes au cours de la perquisition. Le fruit de 10 années des larcins du collectionneur, que celui-ci s’est procurés sur les étendages des balcons ou en fouillant dans les sèche-linges.
«Vols par escalade»
C’est après la plainte d’une Haut-savoyarde chez qui il était entré la nuit pour dérober ses sous-vêtements, en s’introduisant dans sa chambre alors qu’elle dormait, que l’homme avait été identifié et interpellé en septembre.
Il devra répondre de «vols», «vols par escalade» et «violation de domicile» en décembre devant le tribunal correctionnel d’Annecy. La gendarmerie a lancé un appel à témoins pour retrouver d’éventuelles autres victimes de ses expéditions.
Vienne : un fétichiste volait des dessous féminins sur les fils à linge
Un amateur de sous-vêtements féminins a été pris la main dans le sac dans la région de Châtellerault. Il volait des dessous en train de sécher sur les fils à linge.
Un amateur de dessous féminins se servait depuis environ un an sur les fils à linge, dans la région de Châtellerault (Vienne). Il a été piégé et appréhendé par le mari d’une de ses victimes, excédé par ces larcins. Le fétichiste, âgé de 35 ans et jusqu’alors inconnu de la justice, a été confondu il y a une semaine par un habitant, chez qui il a commis le vol de trop : en l’espace d’une année, son épouse a ainsi vu disparaître nuitamment pas moins de 70 de ses culottes, mises à sécher sur l’étendoir de la terrasse.
L’époux, qui avait remarqué que l’amateur de lingerie venait se servir de préférence les dimanches et mercredis soirs, a monté la garde avant, il y a un mois, d’investir dans une webcam. Il y a quelques semaines, son initiative a porté ses premiers fruits, lorsque la webcam a capté la forme d’un homme « habillé en treillis, avec un chapeau et un foulard », comme il l’a raconté notamment à la Nouvelle République du Centre Ouest.
Plusieurs personnes se sont plaintes de vols similaires
Mais c’est la semaine dernière, dans la nuit de dimanche 13 à lundi 14 octobre, que ses efforts ont finalement été couronnés de succès. « Il a sauté dans la cour (…) Il avait son ciré, son foulard et des gants. Il s’est mis à quatre pattes et au moment où il commençait à se servir sur le séchoir, on l’a cueilli », explique l’homme, aidé dans l’opération par ses deux fils.
Prévenus, les gendarmes ont découvert dans sa voiture une trentaine de culottes, fraîchement dérobées à Châtellerault. L’homme a reconnu les vols. Depuis que l’affaire a été évoquée dans la presse locale, plusieurs personnes se sont plaintes auprès des gendarmes de la région de vols similaires.
https://www.20minutes.fr/bordeaux/1788495-20160217-pays-basque-facteur-derobait-lingerie
Pays-Basque: Le facteur dérobait de la lingerie
FAITS DIVERS Le postier qui avait volé des dessous chez une habitante d’Anglet, repérée lors de sa tournée, a été condamné à 4 mois de prison avec sursis et à une obligation de soins…
Publié le 17/02/16 à 10h47 — Mis à jour le 17/02/16 à 11h01
Ce mardi, un facteur âgé d’une trentaine d’années qui était poursuivi pour les vols répétés de lingerie au domicile d’une habitante d’Anglet, a été condamné à 4 mois de prison avec sursis, à une obligation de soins et il lui est interdit de rencontrer la victime, rapporte Sud-Ouest. La Poste, partie civile dans cette affaire, a licencié le facteur pour faute grave et a obtenu 500 euros, au titre du remboursement des frais de justice.
L’homme se serait découvert un penchant fétichiste. Il s’est introduit plusieurs fois au domicile de sa victime, repérée pendant sa tournée, dérobant petites culottes et soutiens-gorge durant l’été 2015. L’Angloye suspecte rapidement son facteur qui a une attitude insistante à son égard.
Il a avoué s’être masturbé dans la chambre de sa victime
Le facteur, qui s’est confondu en excuses à l’audience et qui a assuré vouloir assumer ses erreurs, a même confessé qu’il s’était masturbé dans la chambre de sa victime et qu’il lui avait volé un paquet de cigarettes. Il ne s’explique pas comment a commencé ce penchant pour la lingerie féminine.
« Mon mari n’était pas là. Je ne savais pas qui était entré. Pendant une semaine, je me suis posé des questions, je n’ai pas dormi. Je ne sais pas ce qu’il se serait passé si je l’avais trouvé dans la maison », raconte la victime à la barre, selon Sud-Ouest. Elle a demandé le remboursement (320 euros) des articles de lingerie, sans vouloir les récupérer. Elle a aussi obtenu 600 euros au titre du préjudice moral.
Il s’introduisait dans des maisons pour dérober des sous-vêtements féminins
- Par Charline Vergne
- Publié le 08/07/2016 à 12:34
Recherché depuis plusieurs mois, un jeune homme de 20 ans a été arrêté le 30 juin dernier, à Cuers, dans le Var. Son crime ? Il s’introduisait dans des propriétés, la nuit, pour dérober des sous-vêtements féminins… Et assurait ses déplacements avec des vélos volés.
Les faits se sont déroulés entre le 1er avril et le 14 juin 2016, à Cuers, dans le département du Var. Pendant plusieurs mois, un jeune homme âgé de 20 ans, a donné beaucoup de cheveux blancs aux gendarmes et à la police municipale de la commune. Parce qu’ils n’avaient de lui qu’un vague signalement, c’est seulement le 30 juin qu’ils ont pu mettre fin à sa cavale.
La raison peut prêter à sourire, tant elle est surprenante: il s’introduisait dans des propriétés cuersoises pour substituer des sous-vêtements féminins. Et pour se rendre sur les lieux du larcin, il utilisait des vélos volés. Son mode opératoire était toujours le même, explique le commandant de la brigade de gendarmerie nationale de Pierrefeu Du Var, contacté par le Figaro. «Il se contentait d’appuyer sur la poignée de la porte, et entrait sans faire de bruits. Si un panier à linge se trouvait à proximité, il piochait les sous-vêtements que la dame avait laissés dedans, et repartait.» Jamais d’effraction ou de violence, le jeune homme opérait seulement si la pièce était vide. «S’il entendait un bruit, il se sauvait aussitôt», continue le commandant.
Si la majeure partie de son butin implique de la lingerie, il arrivait qu’il prenne aussi un autre objet de valeur, comme une console de jeu DS, par exemple. «Mais toujours si l’opportunité se présentait, c’est-à-dire si l’objet se trouvait à côté. Il improvisait, ne préméditait rien.» Trois maisons déplorent des vols, mais il est probable que ses tentatives concernent six à dix personnes, souligne le commandant. «C’était quelqu’un du village, il se promenait la nuit et, au hasard, choisissait une maison.» Il parle d’un «gamin à la dérive», qui n’a «plus ses parents», dont les oncles «vivent dans le coin mais ne parviennent pas à le sortir de cette situation.» Sans domicile fixe et sans travail, il «vivote de droite à gauche, chez des amis». Il n’est pas «méchant», insiste-t-il. D’ailleurs, «la pire chose qu’il puisse faire, c’est enjamber votre muret car il a aperçu un vélo près de la cabane du jardin.» Les vélos, il a réussi à en vendre «au moins un sur Cash Converteurs», un site pour se procurer et mettre en vente des objets d’occasion.
Le jeune homme a expliqué qu’il avait agi de la sorte pour «se faire valoir auprès de ses copains.» Pour lui, les objets qu’il dérobait étaient des «trophées». Le 1er juillet, le tribunal correctionnel de Toulon l’a condamné à 10 mois de prison ferme.
Vendée : les gendarmes sur la trace d’un voleur de sous-vêtements féminins
L’affaire n’est pas banale et c’est l’une des victimes qui a décidé de la médiatiser. Depuis la mi-novembre, un individu sévit dans le sud de la Vendée, toujours selon le même modus operandi et avec un unique but : s’introduire dans les domiciles de particuliers pour s’en prendre à la lingerie des femmes.
« Les vêtements sont éparpillés, parfois souillés, parfois volés », indique une source proche du dossier à LCI. « Cinq plaintes ont été déposées à ce jour. L’enquête est en cours. Des constatations et des relevés ont été effectués et nous attendons les résultats », précise le procureur de la République de la Roche-sur-Yon, Hervé Lollic joint par notre rédaction.
Des victimes sous le choc
Amandine Deroux, qui dit avoir été par deux fois victime du voleur, le 20 novembre puis le 18 décembre 2016, a ainsi raconté ses mésaventures à nos confrères de Ouest-France. Selon la jeune femme domiciliée à Nesmy, le malfaiteur a d’abord « plié le grillage du jardin », puis « démonté la baie vitrée pour s’introduire dans sa maison ». « En rentrant chez moi, j’ai découvert toute ma lingerie éparpillée sur mon lit et au sol », dit-elle. Et d’ajouter : « Pour l’instant ce ne sont que des sous-vêtements, mais est-ce que ça peut dégénérer ? Que faire si l’on tombe nez à nez avec l’auteur ? ».
Dans la région, elle n’est pas la seule à avoir connu ces méfaits. Le domicile d’une de ses voisines aurait lui aussi été visité, tout comme celui d’une collègue, habitant au Tablier.
« Une affaire prise au sérieux »
En plus de l’article paru dans la presse régionale, afin de prévenir les Vendéennes des infractions, Amandine Deroux a créé le 2 janvier dernier une page Facebook baptisée « Mes sous-vêtements s’appellent reviennent ». Là, plusieurs femmes se disant victimes des mêmes faits, domiciliées à Aubigny, l’Aiguillon, Sainte-Gemme-La Plaine ou encore Luçon , se sont manifestées.
« Il y a visiblement une recrudescence des faits, l’affaire est prise au sérieux », ajoute le procureur de la République.
« Les mêmes faits ont été constatés l’année dernière à la même période de l’année, d’octobre à décembre environ, et sur la même région. On ignore s’il s’agit ou non de la même personne », fait par ailleurs savoir notre source proche du dossier.
Les investigations se poursuivent pour tenter d’interpeller le « serial visiteur ». Le groupe « Mes sous-vêtements s’appellent reviennent » avait de son côté atteint ce jeudi les 500 membres… Quant aux plaintes, elles pourraient se multiplier dans les prochains jours.
Aurélie Sarrot
Mis à jour : 05/01/2017Créé : 05/01/2017
Vols en série de sous-vêtements en Vendée : un suspect interpellé et placé en garde à vue
Les gendarmes ont-ils enfin mis la main sur le « serial visiteur » et voleur de sous-vêtements féminins qui sévissait depuis l’automne en Vendée ? Ce mardi matin, un individu a été interpellé à son domicile de Mareuil-sur-Lay-Dissais, dans le même département, selon une information du Journal du Pays Yonnais confirmée par plusieurs sources à LCI.
Né en 1969, l’homme est soupçonné de s’être introduit au domicile de plusieurs femmes, pour certaines vivant en couple, et d’avoir fouillé différentes pièces à la recherche de leur lingerie. « Les vêtements sont éparpillés, parfois souillés, parfois volés », avait indiqué début janvier une source proche du dossier à LCI.
Joint alors par notre rédaction, le procureur de la République de la Roche-sur-Yon, Hervé Lollic, avait pour sa part indiqué « prendre l’affaire au sérieux » ajoutant que cinq plaintes avaient été déposées et que « des constatations et relevés avaient été effectués » pour tenter d’identifier le malfaiteur.
Il sévissait dans plusieurs communes
Afin d’obtenir un maximum de témoignages, plusieurs victimes avaient lancé début janvier un groupe Facebook baptisé « Mes sous-vêtements s’appellent reviennent ». Bien plus que le préjudice financier, ces femmes avaient fait part dans leurs messages de leurs inquiétudes, alors que l’individu qui s’était introduit à leur domicile n’avait toujours pas été interpellé.
L’amateur de culottes aurait, en un peu plus de deux mois, sévit sur plusieurs communes de Vendée parmi lesquelles Nesmy, Le Tablier, Aubigny, L’Aiguillon-sur-Mer, Sainte-Gemme-la-Plaine et Luçon. « Ce monsieur était connu pour des faits similaires à ceux qui lui sont aujourd’hui reprochés », indique ce mardi à LCI une source proche du dossier. Le parquet de la Roche-sur-Yon devrait s’exprimer sur ce dossier mercredi, par voie de communiqué.
Aurélie Sarrot
Mis à jour : 17/01/2017Créé : 17/01/2017
Un quinquagénaire jugé hier à Cusset pour des vols de lingerie
Publié le 15/11/2017
Le quinquagénaire dérobait les sous-vêtements étendus dans les jardins de ses voisins. © photo d’illustration
«C’est une histoire qui, de loin, peut prêter à rire ». Voilà un point qui, hier, mettait d’accord procureur et avocats. L’histoire ? Celle d’un homme de 53 ans domicilié dans l’ouest de l’Allier et qui comparaissait devant le tribunal pour des vols… de sous-vêtements féminins. Des strings, exactement. De couleur rouge et noir, de préférence.
Des vols par dizaines
Au cours des dernières années, le quinquagénaire en a dérobé des dizaines dans son voisinage, alors qu’ils étaient étendus sur des fils à linge. Il l’a reconnu lui-même auprès des gendarmes de Gannat, après un nouveau vol commis en juillet dernier, qui aura été celui de trop.
Ce jour-là, c’est le mari de l’une des victimes des vols à répétition qui avait fini par démasquer son voisin. Celui-ci avait, aux dires des témoins interrogés lors de l’enquête, tendance « à faire de fréquents allers-retours » autour des maisons où il commettait ses méfaits. Au total, sur plusieurs années, plus d’une centaine de sous-vêtements féminins auront ainsi été dérobés par le prévenu qui, interpellé par les gendarmes, ne tardera pas à reconnaître les faits. Ni à expliquer ses motivations.
« Déviance sexuelle »Il admettra ainsi « s’adonner à ces vols pour pouvoir porter les sous-vêtements, trouvant cela sexy, et aimant se sentir comme une femme en les portant ». L’étude psychiatrique allait, elle, mettre en évidence « une déviance sexuelle » chez le mis en cause, écartant cependant tout signe de « dangerosité ».
Les avocats de deux des victimes des vols, pourtant, soulignaient les dégâts. Et notamment psychologiques. Pour eux, donc, « l’histoire ne prêtait pas à rire ». « Ces vols ont été des actes intrusifs et perturbant pour ma cliente, qui a été angoissée par la suite et qui a dû consulter un médecin », notait ainsi M e Barnoud. « Il y a eu le sentiment d’avoir à faire à un potentiel maniaque, une personne dangereuse, avec tout l’impact psychologique que cela peut avoir », relevait de son côté M e Metenier. « Ces actes peuvent être vus comme des atteintes à la dignité », appuyait le procureur Beard, requérant « quatre mois de prison avec sursis ».
Le quinquagénaire a finalement été condamné à trois mois de prison avec sursis et mise à l’épreuve pendant deux ans, assortis d’une obligation de soins. Il devra aussi régler plus de 2.000 € de dommages et intérêts à ses victimes.
Pierre Géraudie