M’enfin, c’est quoi, le problème avec la lingerie de Mélenchon ?

Il y en a un qui les fait tous grimper aux rideaux, c’est manifeste.

En outre, Mélenchon a déjà annoncé que les enquêteurs allaient peut-être trouver, par exemple, qu’un jour il a volé un carambar.

De mon côté, si je devais être perquisitionnée, ce qui ne m’est jamais arrivé, ce n’est pas ce que je pourrais craindre. Je suis déjà violée au quotidien dans l’intimité de ma vie privée depuis près de trente ans. Il est évident que si j’avais fait quoi que ce soit d’illégal durant toutes ces années, je l’aurais payé tout de suite au prix fort. Or, je n’ai jamais fait l’objet d’aucune sorte de poursuite avant que la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest ne décide de m’attaquer avec des dénonciations calomnieuses pour assurer sa défense à la suite des exactions publiques qu’elle avait commises à mon encontre à compter de juin 2010, selon le bon vieux principe qu’elle et ses divers complices ont d’ailleurs tous appliqué à la lettre dans le même élan calomnieux dès cette année 2010 : la meilleure de leur défense est toujours l’attaque, car ces cyberdélinquants et criminels sont bien tous coupables.

Alors, quelle raison les enquêteurs pourraient-ils bien trouver pour « foutre » Mélenchon « en cabane », comme il le dit lui-même ?

Aurait-il volé des petites culottes ?

Est-ce grave, Docteur ?

Ah ben, c’est condamnable… les victimes se plaignent…

 

https://www.ladepeche.fr/article/2007/04/27/392510-hautes-pyrenees-le-voleur-de-culottes-condamne.html

Publié le 27/04/2007 à 10:32

Hautes-Pyrénées : le voleur de culottes condamné

 

Hautes-Pyrénées : le voleur de culottes condamné - DDM

Hautes-Pyrénées : le voleur de culottes condamné DDM

M'enfin, c'est quoi, le problème avec la lingerie de Mélenchon ? dans AC ! Brest image-zoom

L‘affaire avait fait grand bruit, défrayé la chronique et surtout traumatisé un village entier des Hautes-Pyrénées, Adast. Pendant près de deux ans, du linge, essentiellement féminin, qui séchait tranquillement sur les cordes, disparaissait régulièrement. Les habitants savaient aussi, preuves à l’appui, que quelqu’un s’introduisait chez eux, en leur absence. Pour y voler du linge encore, surtout des dessous féminins, en quantités incroyables parfois. Bref, la psychose avait fini par s’installer. D’autant mieux que le voleur semblait insaisissable. Pendant deux ans, les gendarmes ont cherché, cherché. Les plaintes se sont amoncelées. Et rien.

Jusqu’au 23 avril 2006 : pour la Nième fois, les habitants appellent la gendarmerie. Mais cette fois, pour dire que trois habitants tenaient un homme. Ce dernier venait de tenter de pénétrer dans une maison dont il avait volé les clés. L’habitant des lieux, avec deux voisins, avaient coincé l’individu dans le jardin : un autre habitant de la commune, surnommé le Bordelais, en raison de son installation relativement récente, quatre ans auparavant.

Très vite, le dit Bordelais va parler, va-tout avouer : le linge, les petites culottes, c’est lui. Au cours de la perquisition, les gendarmes vont retrouver des montagnes de cartons pleins de vêtements. Ils sont tous dans un état pitoyable : Thierry R., 37 ans, dans sa dérive fétichiste, s’en est servi « pour assouvir ses pulsions sexuelles. » a-t-il expliqué devant le tribunal.

Pendant deux ans, il a fait 13 victimes. Il a traumatisé des familles entières : « Environ 20 % de la population du village a été directement touchée. » calculera le procureur. Les psychiatres définissent Thierry R. comme immature et inhibé. Les mots déviance et fétichisme sont prononcés.

Pendant le procès, Thierry R. semble presque absent, se tient légèrement avachi, un peu comme si tout ça ne le concernait pas. Il va écouter, sans les regarder, les victimes, décrire leurs tourments à la barre : « Aucune d’entre elles ne parle de vol. Mais bien de viol de l’intimité et d’une angoisse indicible. » fera remarquer le procureur.

Le voleur de petites culottes a été condamné à 5 mois de prison avec sursis, mise à l’épreuve pendant deux ans, interdiction de séjour à Adast et obligation d’indemniser les victimes : le montant des sommes pour les vêtements volés est assez impressionnant, sans parler du préjudice moral.

Hélène Dubarry.

 

https://www.20minutes.fr/france/357155-20091021-perquisition-chez-fetichiste-600-pieces-lingerie-saisies

Perquisition chez un fétichiste: 600 pièces de lingerie saisies

 

JUSTICE Un Savoyard a été interpellé et mis en examen après 10 ans de vols de sous-vêtements…

J. M. avec agence

Publié le 21/10/09 à 00h00 — Mis à jour le 21/10/09 à 16h14

 

Des sous-vêtements sèchent au vent.
Des sous-vêtements sèchent au vent. — SIERAKOVSKI/ISOPIX/SIPA

 

Des sous-vêtements féminins par centaines. Voilà le butin saisi ce mercredi par la gendarmerie au domicile d’un Savoyard. Interpellé et mis en examen, l’homme, un récidiviste, a expliqué avoir agi par «fétichisme».

Au total, ce sont 600 pièces de lingerie qui ont été découvertes au cours de la perquisition. Le fruit de 10 années des larcins du collectionneur, que celui-ci s’est procurés sur les étendages des balcons ou en fouillant dans les sèche-linges.

«Vols par escalade»

C’est après la plainte d’une Haut-savoyarde chez qui il était entré la nuit pour dérober ses sous-vêtements, en s’introduisant dans sa chambre alors qu’elle dormait, que l’homme avait été identifié et interpellé en septembre.

Il devra répondre de «vols», «vols par escalade» et «violation de domicile» en décembre devant le tribunal correctionnel d’Annecy. La gendarmerie a lancé un appel à témoins pour retrouver d’éventuelles autres victimes de ses expéditions.

 

https://www.rtl.fr/actu/insolite/vienne-un-fetichiste-volait-des-dessous-feminins-sur-les-fils-a-linge-7765884615

Vienne : un fétichiste volait des dessous féminins sur les fils à linge

 

Un amateur de sous-vêtements féminins a été pris la main dans le sac dans la région de Châtellerault. Il volait des dessous en train de sécher sur les fils à linge.

 

Des sous-vêtements volés par un étudiant au Chili le 19 avril 2012

Des sous-vêtements volés par un étudiant au Chili le 19 avril 2012 Crédit : AFP/Archives
publié le 21/10/2013 à 19:31

 

Un amateur de dessous féminins se servait depuis environ un an sur les fils à linge, dans la région de Châtellerault (Vienne). Il a été piégé et appréhendé par le mari d’une de ses victimes, excédé par ces larcins. Le fétichiste, âgé de 35 ans et jusqu’alors inconnu de la justice, a été confondu il y a une semaine par un habitant, chez qui il a commis le vol de trop : en l’espace d’une année, son épouse a ainsi vu disparaître nuitamment pas moins de 70 de ses culottes, mises à sécher sur l’étendoir de la terrasse.

L’époux, qui avait remarqué que l’amateur de lingerie venait se servir de préférence les dimanches et mercredis soirs, a monté la garde avant, il y a un mois, d’investir dans une webcam. Il y a quelques semaines, son initiative a porté ses premiers fruits, lorsque la webcam a capté la forme d’un homme « habillé en treillis, avec un chapeau et un foulard », comme il l’a raconté notamment à la Nouvelle République du Centre Ouest.

Plusieurs personnes se sont plaintes de vols similaires

Mais c’est la semaine dernière, dans la nuit de dimanche 13 à lundi 14 octobre, que ses efforts ont finalement été couronnés de succès. « Il a sauté dans la cour (…) Il avait son ciré, son foulard et des gants. Il s’est mis à quatre pattes et au moment où il commençait à se servir sur le séchoir, on l’a cueilli », explique l’homme, aidé dans l’opération par ses deux fils.

Prévenus, les gendarmes ont découvert dans sa voiture une trentaine de culottes, fraîchement dérobées à Châtellerault. L’homme a reconnu les vols. Depuis que l’affaire a été évoquée dans la presse locale, plusieurs personnes se sont plaintes auprès des gendarmes de la région de vols similaires.

 

https://www.20minutes.fr/bordeaux/1788495-20160217-pays-basque-facteur-derobait-lingerie

Pays-Basque: Le facteur dérobait de la lingerie

 

FAITS DIVERS Le postier qui avait volé des dessous chez une habitante d’Anglet, repérée lors de sa tournée, a été condamné à 4 mois de prison avec sursis et à une obligation de soins…

E.P.

Publié le 17/02/16 à 10h47 — Mis à jour le 17/02/16 à 11h01

De la lingerie en vitrine d'un magasin.
De la lingerie en vitrine d’un magasin. — GILE MICHEL/SIPA

 

Ce mardi, un facteur âgé d’une trentaine d’années qui était poursuivi pour les vols répétés de lingerie au domicile d’une habitante d’Anglet, a été condamné à 4 mois de prison avec sursis, à une obligation de soins et il lui est interdit de rencontrer la victime, rapporte Sud-Ouest. La Poste, partie civile dans cette affaire, a licencié le facteur pour faute grave et a obtenu 500 euros, au titre du remboursement des frais de justice.

L’homme se serait découvert un penchant fétichiste. Il s’est introduit plusieurs fois au domicile de sa victime, repérée pendant sa tournée, dérobant petites culottes et soutiens-gorge durant l’été 2015. L’Angloye suspecte rapidement son facteur qui a une attitude insistante à son égard.

Il a avoué s’être masturbé dans la chambre de sa victime

Le facteur, qui s’est confondu en excuses à l’audience et qui a assuré vouloir assumer ses erreurs, a même confessé qu’il s’était masturbé dans la chambre de sa victime et qu’il lui avait volé un paquet de cigarettes. Il ne s’explique pas comment a commencé ce penchant pour la lingerie féminine.

« Mon mari n’était pas là. Je ne savais pas qui était entré. Pendant une semaine, je me suis posé des questions, je n’ai pas dormi. Je ne sais pas ce qu’il se serait passé si je l’avais trouvé dans la maison », raconte la victime à la barre, selon Sud-Ouest. Elle a demandé le remboursement (320 euros) des articles de lingerie, sans vouloir les récupérer. Elle a aussi obtenu 600 euros au titre du préjudice moral.

 

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2016/07/08/01016-20160708ARTFIG00123-il-s-introduisait-dans-des-maisons-pour-derober-des-sous-vetements-feminins.php

Il s’introduisait dans des maisons pour dérober des sous-vêtements féminins

 

Recherché depuis plusieurs mois, un jeune homme de 20 ans a été arrêté le 30 juin dernier, à Cuers, dans le Var. Son crime ? Il s’introduisait dans des propriétés, la nuit, pour dérober des sous-vêtements féminins… Et assurait ses déplacements avec des vélos volés.

Les faits se sont déroulés entre le 1er avril et le 14 juin 2016, à Cuers, dans le département du Var. Pendant plusieurs mois, un jeune homme âgé de 20 ans, a donné beaucoup de cheveux blancs aux gendarmes et à la police municipale de la commune. Parce qu’ils n’avaient de lui qu’un vague signalement, c’est seulement le 30 juin qu’ils ont pu mettre fin à sa cavale.

La raison peut prêter à sourire, tant elle est surprenante: il s’introduisait dans des propriétés cuersoises pour substituer des sous-vêtements féminins. Et pour se rendre sur les lieux du larcin, il utilisait des vélos volés. Son mode opératoire était toujours le même, explique le commandant de la brigade de gendarmerie nationale de Pierrefeu Du Var, contacté par le Figaro. «Il se contentait d’appuyer sur la poignée de la porte, et entrait sans faire de bruits. Si un panier à linge se trouvait à proximité, il piochait les sous-vêtements que la dame avait laissés dedans, et repartait.» Jamais d’effraction ou de violence, le jeune homme opérait seulement si la pièce était vide. «S’il entendait un bruit, il se sauvait aussitôt», continue le commandant.

Si la majeure partie de son butin implique de la lingerie, il arrivait qu’il prenne aussi un autre objet de valeur, comme une console de jeu DS, par exemple. «Mais toujours si l’opportunité se présentait, c’est-à-dire si l’objet se trouvait à côté. Il improvisait, ne préméditait rien.» Trois maisons déplorent des vols, mais il est probable que ses tentatives concernent six à dix personnes, souligne le commandant. «C’était quelqu’un du village, il se promenait la nuit et, au hasard, choisissait une maison.» Il parle d’un «gamin à la dérive», qui n’a «plus ses parents», dont les oncles «vivent dans le coin mais ne parviennent pas à le sortir de cette situation.» Sans domicile fixe et sans travail, il «vivote de droite à gauche, chez des amis». Il n’est pas «méchant», insiste-t-il. D’ailleurs, «la pire chose qu’il puisse faire, c’est enjamber votre muret car il a aperçu un vélo près de la cabane du jardin.» Les vélos, il a réussi à en vendre «au moins un sur Cash Converteurs», un site pour se procurer et mettre en vente des objets d’occasion.

Le jeune homme a expliqué qu’il avait agi de la sorte pour «se faire valoir auprès de ses copains.» Pour lui, les objets qu’il dérobait étaient des «trophées». Le 1er juillet, le tribunal correctionnel de Toulon l’a condamné à 10 mois de prison ferme.

Charline Vergne
Auteur – Sa biographie

 

https://www.lci.fr/faits-divers/vendee-les-gendarmes-sur-la-trace-d-un-voleur-de-sous-vetements-feminins-2020338.html

Vendée : les gendarmes sur la trace d’un voleur de sous-vêtements féminins

 

FAIT DIVERS – Depuis la mi-novembre dans le sud de la Vendée, un individu pénètre au domicile de particuliers et s’en prend à la lingerie des femmes : les vêtements sont souillés ou volés. Le suspect, lui, est toujours recherché.

 

05 janv. 2017 17:42 – Aurélie Sarrot

 

L’affaire n’est pas banale et c’est l’une des victimes qui a décidé de la médiatiser. Depuis la mi-novembre, un individu sévit dans le sud de la Vendée, toujours selon le même modus operandi et avec un unique but : s’introduire dans les domiciles de particuliers pour s’en prendre à la lingerie des femmes.

« Les vêtements sont éparpillés, parfois souillés, parfois volés », indique une source proche du dossier à LCI. « Cinq plaintes ont été déposées à ce jour. L’enquête est en cours. Des constatations et des relevés ont été effectués et nous attendons les résultats », précise le procureur de la République de la Roche-sur-Yon, Hervé Lollic joint par notre rédaction.

Des victimes sous le choc

Amandine Deroux, qui dit avoir été par deux fois victime du voleur, le 20 novembre puis le 18 décembre 2016, a ainsi raconté ses mésaventures à nos confrères de Ouest-France. Selon la jeune femme domiciliée à Nesmy, le malfaiteur a d’abord « plié le grillage du jardin », puis « démonté la baie vitrée pour s’introduire dans sa maison ». « En rentrant chez moi, j’ai découvert toute ma lingerie éparpillée sur mon lit et au sol », dit-elle. Et d’ajouter : « Pour l’instant ce ne sont que des sous-vêtements, mais est-ce que ça peut dégénérer ? Que faire si l’on tombe nez à nez avec l’auteur ? ».

Dans la région, elle n’est pas la seule à avoir connu ces méfaits. Le domicile d’une de ses voisines aurait lui aussi été visité, tout comme celui d’une collègue, habitant au Tablier.

« Une affaire prise au sérieux »

En plus de l’article paru dans la presse régionale, afin de prévenir les Vendéennes des infractions, Amandine Deroux a créé le 2 janvier dernier une page Facebook baptisée « Mes sous-vêtements s’appellent reviennent ». Là, plusieurs femmes se disant victimes des mêmes faits, domiciliées à Aubigny, l’Aiguillon, Sainte-Gemme-La Plaine ou encore Luçon , se sont manifestées.

« Il y a visiblement une recrudescence des faits, l’affaire est prise au sérieux », ajoute le procureur de la République.

« Les mêmes faits ont été constatés l’année dernière à la même période de l’année, d’octobre à décembre environ, et sur la même région. On ignore s’il s’agit ou non de la  même personne », fait par ailleurs savoir notre source proche du dossier.

Les investigations se poursuivent pour tenter d’interpeller le « serial visiteur ». Le groupe « Mes sous-vêtements s’appellent reviennent » avait de son côté atteint ce jeudi les 500 membres… Quant aux plaintes, elles pourraient se multiplier dans les prochains jours.

Aurélie Sarrot

Mis à jour : 05/01/2017Créé : 05/01/2017

 

https://www.lci.fr/faits-divers/vols-en-serie-de-sous-vetements-feminins-en-vendee-un-suspect-interpelle-et-place-en-garde-a-vue-2022285.html

Vols en série de sous-vêtements en Vendée : un suspect interpellé et placé en garde à vue

 

FAIT DIVERS – Un quadragénaire a été interpellé ce mardi matin à Mareuil-sur-Lay-Dissais (Vendée) dans le cadre de l’enquête sur des vols et utilisations de lingerie survenus dans le département depuis l’automne. Au 5 janvier, cinq plaintes de femmes avaient été déposées, mais le nombre de victimes pourrait être bien plus important.

 

17 janv. 2017 18:09 – Aurélie Sarrot

 

Les gendarmes ont-ils enfin mis la main sur le « serial visiteur » et voleur de sous-vêtements féminins qui sévissait depuis l’automne en Vendée ? Ce mardi matin, un individu a été interpellé à son domicile de Mareuil-sur-Lay-Dissais, dans le même département, selon une information du Journal du Pays Yonnais confirmée par plusieurs sources à LCI.

Né en 1969, l’homme est soupçonné de s’être introduit au domicile de plusieurs femmes, pour certaines vivant en couple, et d’avoir fouillé différentes pièces à la recherche de leur lingerie. « Les vêtements sont éparpillés, parfois souillés, parfois volés », avait indiqué début janvier une source proche du dossier à LCI.

Joint alors par notre rédaction, le procureur de la République de la Roche-sur-Yon, Hervé Lollic, avait pour sa part indiqué « prendre l’affaire au sérieux » ajoutant que cinq plaintes avaient été déposées et que « des constatations et relevés avaient été effectués » pour tenter d’identifier le malfaiteur.

Il sévissait dans plusieurs communes

Afin d’obtenir un maximum de témoignages, plusieurs victimes avaient lancé début janvier un groupe Facebook baptisé « Mes sous-vêtements s’appellent reviennent ». Bien plus que le préjudice financier, ces femmes avaient fait part dans leurs messages de leurs inquiétudes, alors que  l’individu qui s’était introduit à leur domicile n’avait  toujours pas été interpellé.

L’amateur de culottes aurait, en un peu plus de deux mois, sévit sur plusieurs communes de Vendée parmi lesquelles Nesmy, Le Tablier, Aubigny, L’Aiguillon-sur-Mer, Sainte-Gemme-la-Plaine et Luçon. « Ce monsieur était connu pour des faits similaires à ceux qui lui sont aujourd’hui reprochés », indique ce mardi à LCI une source proche du dossier. Le parquet de la Roche-sur-Yon devrait s’exprimer sur ce dossier mercredi, par voie de communiqué.

Aurélie Sarrot

Mis à jour : 17/01/2017Créé : 17/01/2017

 

https://www.lamontagne.fr/cusset/justice/2017/11/15/un-quinquagenaire-juge-hier-a-cusset-pour-des-vols-de-lingerie_12628947.html

Un quinquagénaire jugé hier à Cusset pour des vols de lingerie

 

Publié le 15/11/2017

Un quinquagénaire jugé hier à Cusset pour des vols de lingerie

Le quinquagénaire dérobait les sous-vêtements étendus dans les jardins de ses voisins. © photo d’illustration

Un quinquagénaire a été condamné à trois mois de prison avec sursis, hier, par le tribunal correctionnel de Cusset. Depuis plusieurs années, il volait… les culottes de ses voisines.

 

au tribunal

 
«C’est une histoire qui, de loin, peut prêter à rire ». Voilà un point qui, hier, mettait d’accord procureur et avocats. L’histoire ? Celle d’un homme de 53 ans domicilié dans l’ouest de l’Allier et qui comparaissait devant le tribunal pour des vols… de sous-vêtements féminins. Des strings, exactement. De couleur rouge et noir, de préférence.

Des vols par dizaines

Au cours des dernières années, le quinquagénaire en a dérobé des dizaines dans son voisinage, alors qu’ils étaient étendus sur des fils à linge. Il l’a reconnu lui-même auprès des gendarmes de Gannat, après un nouveau vol commis en juillet dernier, qui aura été celui de trop.

Ce jour-là, c’est le mari de l’une des victimes des vols à répétition qui avait fini par démasquer son voisin. Celui-ci avait, aux dires des témoins interrogés lors de l’enquête, tendance « à faire de fréquents allers-retours » autour des maisons où il commettait ses méfaits. Au total, sur plusieurs années, plus d’une centaine de sous-vêtements féminins auront ainsi été dérobés par le prévenu qui, interpellé par les gendarmes, ne tardera pas à reconnaître les faits. Ni à expliquer ses motivations.

« Déviance sexuelle »Il admettra ainsi « s’adonner à ces vols pour pouvoir porter les sous-vêtements, trouvant cela sexy, et aimant se sentir comme une femme en les portant ». L’étude psychiatrique allait, elle, mettre en évidence « une déviance sexuelle » chez le mis en cause, écartant cependant tout signe de « dangerosité ».

Les avocats de deux des victimes des vols, pourtant, soulignaient les dégâts. Et notamment psychologiques. Pour eux, donc, « l’histoire ne prêtait pas à rire ». « Ces vols ont été des actes intrusifs et perturbant pour ma cliente, qui a été angoissée par la suite et qui a dû consulter un médecin », notait ainsi M e Barnoud. « Il y a eu le sentiment d’avoir à faire à un potentiel maniaque, une personne dangereuse, avec tout l’impact psychologique que cela peut avoir », relevait de son côté M e Metenier. « Ces actes peuvent être vus comme des atteintes à la dignité », appuyait le procureur Beard, requérant « quatre mois de prison avec sursis ».

Le quinquagénaire a finalement été condamné à trois mois de prison avec sursis et mise à l’épreuve pendant deux ans, assortis d’une obligation de soins. Il devra aussi régler plus de 2.000 € de dommages et intérêts à ses victimes.

Pierre Géraudie

 



On ne touche pas aux slips léopard de Mélenchon !

En effet, la réplique de son avocat n’a pas tardé :

 

https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/lavocat-de-jean-luc-melenchon-derape-et-accuse-gabriel-attal-de-promotion-canape-pour-justifier-son-entree-au-gouvernement_420639

L’avocat de Jean-Luc Melenchon dérape et accuse Gabriel Attal de « promotion canapé » pour justifier son entrée au gouvernement

 

« Il récupère sans raison un maroquin ministériel »

Virginie  GonçalvesVirginie Gonçalves | mercredi 17 octobre 2018 à 09:58 | Mise à jour le mercredi 17 octobre 2018 à 16:59

L’avocat de Jean-Luc Melenchon dérape et accuse Gabriel Attal de « promotion canapé » pour justifier son entrée au gouvernement

Jean-Luc Mélenchon

Tout juste nommé secrétaire d’Etat lors du remaniement, Gabriel Attal est devenu à 29 ans le plus jeune membre d’un gouvernement de la Vème République. Une nomination qui a provoqué l’ire de l’avocat de Jean-Luc Mélenchon, qui n’y a vu qu’une « promotion canapé ».

 

Le remaniement ministériel du mardi 16 octobre a offert un petit coup de jeune au gouvernement. Député La République en Marche des Hauts-de-Seine, Gabriel Attal a été nommé secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’éducation nationale chargé de la jeunesse et de la mise en place su Service National Universel. Ce fan du rappeur Orelsan s’est ainsi offert un record en devenant, du haut de ses 29 ans, le plus jeune membre d’un gouvernement de la Vème République. Un âge tendre qui cache pourtant une longue expérience politique.

En 2012, l’homme politique est déjà conseiller auprès de la ministre de la santé Marisol Touraine. Les choses s’accélèrent ensuite lorsque Gabriel Attal quitte le parti socialiste pour suivre Emmanuel Macron au moment de la création du mouvement En Marche. Il est depuis resté l’un des fidèles du Président de la République et fait partie de la jeune garde du macronisme. Devenu député et porte-parole de La République en Marche en 2017, le très actif Gabriel Attal a pris une place politique importante depuis un an, faisant régulièrement entendre sa voix pour soutenir l’action du gouvernement. Au Palais Bourbon, il a notamment rejoint la Commission des Affaires Culturelles et de l’Education. Rapporteur du projet de loi sur l’Université, il a défendu Parcoursup.

L’ascension express de Gabriel Attal n’a toutefois pas été du goût de tous. Après la nomination du jeune homme politique au gouvernement, Juan Branco, avocat de Jean-Luc Mélenchon, s’est insurgé sur Twitter : « Sympathique promotion-canapé pour Attal, pacsé à la ville avec le conseiller politique de Macron qui récupère sans autres raisons un maroquin ministériel. Tout Paris le sait, mais il parait que les choses-là ne se disent pas. Il ne faudrait pas brusquer notre si chère endogamie. » Un dérapage sur la vie privée d’un élu qui a provoqué un véritable tollé. Face aux reproches des internautes, Juan Branco a alors publié une longue liste de tweets de justification.

»Mon énoncé laisse libre cours à toutes les possibilités: il peut être amoureux d’un homme tout en aimant les femmes, être un salaud d’opportuniste ayant construit cette relation par pur intérêt, aimer seulement les hommes..qu’en sais-je et cela, pour le coup, ne me concerne pas !« ,  »En fait, ce que j’ai dit était assez sincère, mais si cela ne vous convainc pas. J’assume de toutes façons sans difficulté d’avoir exposé cette intimité institutionnalisée, outing ou pas. », « Un peu de peine aussi pour ceux qui ne peuvent concevoir que les préférences sexuelles – temporaires ou permanentes – soient un fait qui m’indiffère sincèrement, et ne soient en rien l’objet de la dénonciation en question.« .

 



De quoi Josette Brenterch du NPA de Brest et ses complices ont-ils peur ?

 

 

Un exemple concret :

 

 
Ouh la la la la… Comment se fait-il que les enquêteurs se soient à ce point attardés sur la lingerie de Mélenchon ?

Il est vraiment hors de lui quand il en parle, il ne peut même plus parler, il explose…

Quels lourds secrets peut-elle donc révéler ?

 

 



Notions de droit : du grand mélangisme de Jean-Luc Mélenchon…

Tous les potes de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest en sont au même stade…

Les fonctionnaires CORROMPUS auxquels j’ai affaire depuis des lustres font tous la même confusion : ils prétendent incarner l’Etat quand ils usent ou abusent de leurs fonctions et des pouvoirs associés pour commettre des crimes hors de tout contrôle des institutions.

La réalité, c’est qu’ils auraient tous été révoqués de la fonction publique depuis longtemps s’ils n’étaient protégés par des magistrats également CORROMPUS.

Bien entendu, ces derniers devraient aussi depuis longtemps avoir été révoqués de la fonction publique, où ils travaillent contre l’Etat, la République et ses citoyens, mais ils font ce qu’ils veulent en toute « indépendance »…

On notera à propos des poursuites qu’ils ont engagées à mon encontre à compter de 2011 sur plaintes toutes nulles ou irrecevables de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest qu’un des motifs de nullité de ses plaintes était précisément celui-là : elle se prétendait injuriée et diffamée en tant que fonctionnaire dans l’exercice de ses fonctions, alors que je n’avais fait que publier des droits de réponse à la suite de ses campagnes de calomnies publiques ultra violentes à mon encontre.

Sous prétexte qu’elle est ou était fonctionnaire, elle estimait avoir tous les droits, devoir bénéficier d’une impunité totale quoi qu’elle fasse, et même pouvoir interdire à ses victimes de se défendre de quelque façon que ce soit… tous droits lui ayant été accordés en intégralité par les magistrats ultra CORROMPUS du Tribunal de Grande Instance de Brest, mais pas par ceux de la Cour d’Appel de Rennes, lesquels n’ont pas seulement annulé ma condamnation du 11 juin 2013, mais également une multitude d’autres décisions illégales prises à mon encontre par des juges brestois.

 

https://www.francetvinfo.fr/politique/la-france-insoumise/videos-allez-touche-moi-pour-voir-jean-luc-melenchon-pousse-un-procureur-et-defie-un-policier-pendant-les-perquisitions-de-la-france-insoumise_2989871.html

VIDEOS. « Allez, touche-moi pour voir » : Mélenchon pousse un procureur et défie un policier pendant les perquisitions

 

Un peu plus tôt, à son arrivée dans son QG, le député avait demandé à ses camarades d’ »enfoncer la porte » qui avait été fermée par la police.

 

Capture d\'écran de l\'émission \"Quotidien\" de TMC du 16 octobre 2018.

Capture d’écran de l’émission « Quotidien » de TMC du 16 octobre 2018. (TMC)

Une tension rare. Le leader de La France insoumise, Jean-Luc Mélenchon, a pointé du doigt et poussé un procureur, mardi 16 octobre, lors de la perquisition menée dans les locaux de son mouvement. Devant la caméra de l’émission « Quotidien », sur TMC, le député des Bouches-du-Rhône a ensuite défié un policier qui s’était interposé. « Allez, vas-y, essaye de me pousser pour voir, a lancé l’élu, provocateur. Allez, touche-moi pour voir ! »

« Je veux simplement discuter calmement avec vous », lui répond alors le procureur, disant agir « dans le cadre de la loi ». Réponse de Jean-Luc Mélenchon : « Vous ne pouvez pas discuter avec moi dans un local que vous avez envahi ! Vous me perquisitionnez depuis quatre heures chez moi. Vous avez été prendre neuf personnes à domicile, vous envahissez deux sièges politiques. Je suis le président d’un groupe d’opposition. Vous n’avez pas à me traiter de cette manière ! »

« La République, c’est moi »

Un peu plus tôt, à son arrivée dans son QG, le député avait demandé à ses camarades d’« enfoncer la porte » qui avait été fermée par la police. « On va voir si on va m’empêcher d’entrer dans mon local », avait-il lancé, avant de poser ses mains sur un policier devant l’entrée. « La République, c’est moi, c’est moi qui suis parlementaire », avait crié l’élu, furieux, à quelques centimètres du visage du fonctionnaire, avant de pousser la porte.

Dans une autre séquence filmée au moment où les  »insoumis » entrent dans les locaux, un policier plaque au sol un membre du parti avant de se relever. Et le député Alexis Corbière de hurler : « Vous vous calmez ! Vous l’avez étranglé ! » « Je suis député moi monsieur », dit-il, en levant le doigt vers le policier.

« Un policier m’a attrapé par le cou, attrapé par le bras, m’a tiré. Ce policier, sa hiérarchie est venue en lui disant ‘Calme-toi’. J’ai été violenté, agressé (…) Ce qui s’est passé est inacceptable », a ensuite accusé Manuel Bompard, coordinateur des campagnes de La France insoumise et candidat aux européennes. Il a annoncé son intention de « porter plainte au commissariat pour les coups qui [lui] ont été portés ».

 

https://www.liberation.fr/checknews/2018/10/16/l-immunite-parlementaire-interdisait-elle-vraiment-aux-policiers-de-toucher-melenchon_1685721

L’immunité parlementaire interdisait-elle vraiment aux policiers de toucher Mélenchon ?

 

Par Pauline Moullot 16 octobre 2018 à 18:39
Jean-Luc Mélenchon après la perquisition au siège de la France Insoumise à Paris le 16 octobre 2018. Photo Stéphane Lagoutte. Myop pour Libération

 

Jean-Luc Mélenchon et les insoumis ont reproché à plusieurs reprises aux policiers qui les perquisitionnaient de les «toucher», alors qu’ils n’en auraient pas le droit.

 

Question posée par Hugues Fournier le 16/10/2018

Bonjour,

Nous avons reformulé votre question, la voici en intégralité: «Jean-Luc Mélenchon, alors qu’un homme tentait de le contraindre physiquement à se déplacer au cours de la perquisition qui a lieu à son domicile, affirme: «Ne me touchez pas, ma personne est sacrée.». Selon la jurisprudence, l’interprétation de l’immunité parlementaire et l’inviolabilité qui en découle interdit-elle le contact physique avec un parlementaire qui la refuse?»

Pendant la perquisition qui s’est déroulée ce matin à son domicile (mais aussi au siège de La France insoumise -LFI- et chez plusieurs autres collaborateurs et députés du parti), Jean-Luc Mélenchon s’est filmé dans un facebook live. A partir d’1’20 de la première vidéo, il s’en prend à un policier qui l’écarte pour passer dans son dos:

«Me touchez pas monsieur, vous n’avez pas le droit de me toucher […] Personne ne me touche. Ma personne est sacrée, je suis parlementaire.»

Des propos réitérés à plusieurs reprises par des Insoumis pendant la perquisition au siège du parti, comme le montrent ces vidéos filmées par le journaliste de Libé Rachid Laïreche.

L’immunité parlementaire est garantie par l’article 26 de la Constitution, qui dispose:

Aucun membre du Parlement ne peut être poursuivi, recherché arrêté, détenu ou jugé à l’occasion des opinions ou votes émis par lui dans l’exercice de ses fonctions.Aucun membre du Parlement ne peut faire l’objet, en matière criminelle ou correctionnelle, d’une arrestation ou de toute autre mesure privative ou restrictive de liberté qu’avec l’autorisation du Bureau de l’assemblée dont il fait partie. Cette autorisation n’est pas requise en cas de crime ou délit flagrant ou de condamnation définitive.

Il existe deux catégories d’immunité: l’irresponsabilité (qui protège le parlementaire de poursuites pour des actions ou des paroles accomplies et prononcées dans l’exercice de ses fonctions) et l’inviolabilité. C’est donc la deuxième catégorie qui nous intéresse ici. Celle-ci interdit toute mesure coercitive, de privation de liberté. Cela signifie par exemple qu’un parlementaire ne peut pas être placé en garde à vue, mais rien n’indique qu’il ne puisse pas être touché par un policier. «Les règles qui s’appliquent aux parlementaires sont les mêmes que pour vous ou moi. Les parlementaires n’ont aucun privilège particulier, tant qu’il n’y a pas de privation de liberté», explique le constitutionnaliste Bastien François.

Sébastien Denaja, maître de conférences de droit public et secrétaire national du PS, confirme que «Mélenchon est un citoyen comme les autres. Comme tout citoyen, il a le droit de demander qu’on ne le bouscule pas mais ça n’a rien à voir avec sa fonction de parlementaire». Les policiers ont-ils le droit de bousculer les justiciables? Rappelons qu’ils doivent faire preuve d’un usage de la force «proportionné au trouble à faire cesser». Quant au caractère «sacré» invoqué par le leader insoumis, «il confond l’institution parlementaire, et les parlementaires».

Cordialement

Pauline Moullot

 

http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/2018/10/17/25001-20181017ARTFIG00103-perquisitions-houleuses-l-executif-charge-melenchon-qui-ne-regrette-rien.php

Perquisitions houleuses : l’exécutif charge Mélenchon, qui «ne regrette rien»

 

 

Perquisitions : Mélenchon ne «regrette rien», Griveaux juge «inadmissible que l’on remette en cause l’autorité judiciaire»
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LE SCAN POLITIQUE/VIDÉOS – Pour le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux, l’attitude du leader de la France insoumise vis-à-vis des magistrats et des policiers qui l’ont perquisitionné est «inadmissible». «Ce n’est pas la peine de faire un fromage», minimise l’intéressé.

«La République, c’est moi!» Les images de la colère de Jean-Luc Mélenchon lors des perquisitions réalisées mardi, dans le cadre de deux enquêtes financières, à son domicile et dans les locaux de son parti, tournent en boucle depuis 24h. Notamment celles de Quotidien, qui montrent un leader de la France insoumise proche de l’affrontement physique avec le procureur de la République.

Ce mardi matin, l’exécutif accuse Jean-Luc Mélenchon d’être allé trop loin. «Jean-Luc Mélenchon est républicain quand ça l’arrange. (…) Il a tourné en ridicule une procédure judiciaire et les magistrats», a déploré le porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux, sur RTL. «Quand on a aspiré à être président de la République, à occuper les plus hautes fonctions, à être en tant que tel, garant de l’indépendance de l’autorité judiciaire. (..) Il a les mêmes arguments que Marine Le Pen, il devrait s’en interroger. Il est inadmissible en France de mettre en cause l’indépendance de l’autorité judiciaire.»

Mélenchon joue l’apaisement

Même tonalité chez Gabriel Attal, nouveau secrétaire d’État auprès de Jean-Michel Blanquer, qui a dénoncé des «images qui choquent». «Quand on est un responsable politique on ne peut pas dire: “ma personne est sacrée, je ne suis pas un justiciable comme les autres”. Il a fait l’éloge de l’impunité pour les puissants. On n’a pas à remettre en cause l’indépendance de la justice. Il va trop loin depuis un certain temps.» Comme Griveaux, Attal pointe une proximité avec Marine Le Pen, qui l’a soutenu. «Il rejoint le discours de Marine Le Pen, je trouve ça dangereux. Ça fait un certain temps qu’ils s’applaudissent mutuellement, sur ces sujets comme sur d’autres», a-t-il jugé, citant l’immigration et l’Europe.

Interrogé sur BFM-TV, Jean-Luc Mélenchon a cherché à calmer le jeu. «La loi doit être respectée. Je ne proteste pas contre le fait que je sois perquisitionné», a-t-il assuré. «Il ne faut pas se contenter des images». «J’ai le droit de me fâcher, je suis un Méditerranéen, je bouge beaucoup des bras. Ce n’est pas la peine de faire un fromage». Il assume cependant sa colère. «Je ne regrette rien. Les policiers font leur boulot, mais moi je fais le mien aussi. On les respecte, il n’y a pas de problème avec ça.» Il dénonce toujours une «volonté d’intimidation». «Une perquisition c’est pas une humiliation, c’est destiné à faire éclater la vérité (…) Nous sommes traités comme un gang de malfaiteurs».

Perquisition chez Jean-Luc Mélenchon: «Ma personne est sacrée» – Regarder sur Figaro Live

 

Perquisition chez Jean-Luc Mélenchon : « Ma personne est sacrée »
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Le Scan Politique
 Journaliste – Sa biographie

 

 

https://www.francetvinfo.fr/politique/la-france-insoumise/perquisition-au-siege-de-la-france-insoumise-le-parquet-de-paris-ouvre-une-enquete-pour-menaces-et-violences-sur-personnes-depositaires-de-l-autorite-publique_2990021.html

Perquisition à La France insoumise : le parquet de Paris ouvre une enquête pour « menaces » et « violences » contre les enquêteurs

 

Le parquet fait mention d’ »incidents » survenus lors de la perquisition, mardi, durant laquelle Jean-Luc Mélenchon a notamment poussé un procureur.

 

Capture d\'écran de l\'émission \"Quotidien\" du 16 octobre 2018.

Capture d’écran de l’émission « Quotidien » du 16 octobre 2018. (TMC)

Le parquet de Paris a annoncé, mercredi 17 octobre, l’ouverture d’une enquête pour « menaces ou actes d’intimidation contre l’autorité judiciaire » et « violences sur personnes dépositaires de l’autorité publique » au lendemain des « incidents » survenus lors de la perquisition au siège de La France insoumise, dans le 10e arrondissement de Paris.

Mardi, le leader du mouvement, Jean-Luc Mélenchon, avait notamment été filmé en train de pousser un représentant du parquet« Dans un souci d’impartialité », le parquet dit avoir demandé que l’enquête soit confiée « au procureur du tribunal de grande instance le plus proche » car elle « met en cause en qualité de victimes des magistrats du parquet de Paris ».

Peu après l’annonce du parquet de Paris, le directeur des campagnes de La France insoumise, Manuel Bompard, a répliqué et affirmé que le mouvement avait déposé quatre plaintes pour des « violences » commises sur des membres du parti.

 



Jean-Luc Mélenchon : « J’espère que vous ne m’avez pas écrit des lettres d’amour ! »

 

 

 

 

 

Pour ma part, ça ne risquait pas…

Bon. On attend mes réactions. Il y a le Biterrois super monté, en permanence « re-mon-té » lui aussi, comme d’habitude, mais il n’est pas le seul…

Pour preuves :

 

Jean-Luc Mélenchon : Rio, Rio De Janeiro, Brazil, Easy Networks Solutions Ou   31.187.93.60  

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Ben je me marre.

Méluche nous a fait du grand Méluche toute la journée, on n’en attendait pas moins…

Qui croit encore à son cinéma ?

Je rappelle que tous les amis de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, dont il a toujours fait partie, n’ont cessé de se gausser des soi-disant « lettres d’amour » qu’ils voyaient leurs sbires m’envoyer au fur et à mesure qu’elles tombaient dans ma messagerie électronique depuis le jour où j’en ai eu une, puisqu’ils m’ont toujours piratée.

Ces crapules me violent au quotidien de toutes les manières possibles et imaginables depuis près de trois décennies.

Que puis-je penser des perquisitions du jour ?

Ben j’espère qu’elles seront fructueuses – avec beaucoup d’écho…

 



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