De la violence du pervers narcissique David Servenay 11 novembre
Je suis plusieurs fois revenue sur le début des harcèlements dont je suis publiquement victime sur Internet depuis 2008 – sans que cela n’émeuve ou ne dérange grand monde, au demeurant : même si je ne peux plus travailler depuis longtemps en conséquence des harcèlements phénoménaux dont je suis victime depuis près de trois décennies, je reste quand même une « sale pute de femme ingénieur qui vole la place des hommes dans le travail » pour à peu près tous, et ai donc grandement mérité de subir les pires violences.
Je reviens encore à ces débuts sur Internet aujourd’hui, car c’est nécessaire.
Je rappelle mes récents articles à ce sujet :
Et celui-ci d’avril 2015 où j’avais déjà fourni maints détails relatifs à la suppression de mon premier compte de riveraine de Rue89 par David Servenay, le 6 septembre 2008, en compléments à une série d’articles consacrés au même sujet et publiés au mois d’avril 2011 sur mon ancien blog « Un petit coucou » sur OverBlog :
http://petitcoucou.unblog.fr/2015/04/26/du-commencement-de-mes-problemes-sur-le-site-rue89-en-2008/
Voilà les articles primitifs de 2011 (cliquer sur les images pour les agrandir et lire les textes) :
J’y avais notamment recopié l’intégralité des commentaires alors toujours visibles sous l’article consacré au problème du harcèlement moral en entreprise où je m’étais fait attaquer par la riveraine « Pomponette » début septembre 2008, avec la complicité du journaliste et modérateur de Rue89 David Servenay.
Cet article est toujours disponible sur le site Rue89 à cette adresse :
Actuellement, les commentaires sous cet article sont tous horodatés au 4 novembre 2016 à 12h36, c’est-à-dire qu’ils ont été modifiés 4 jours avant l’audience du 8 novembre 2016 à Paris dans le cadre de la procédure de Pascal Edouard Cyprien Luraghi à mon encontre. Leur compteur indique le nombre de 73, ils s’affichent les uns à la suite des autres dans le désordre sans plus aucune sélection des plus pertinents, et il est clair qu’il en manque. Notamment, aucun des miens ne s’y retrouve, alors qu’ils étaient toujours tous là le 6 septembre 2016, lorsque que j’avais fait faire un constat d’huissier en vue de l’audience du 13 septembre 2016 – eh oui, le mythomane et calomniateur Pascal Edouard Cyprien Luraghi ayant encore fait remonter tous ses griefs à mon encontre à l’époque où je commentais des articles de Rue89 sans aucunement me préoccuper de ses écrits que je n’avais encore jamais remarqués nulle part, une partie de mes réponses aussi a bien dû porter sur cette activité de 2008 et 2009, et contrairement à lui qui n’apportait vraiment aucune preuve de quoi que ce soit (et pour cause ! toutes ses allégations sont mensongères), j’avais pour ma part justifié tous mes dires, notamment à l’aide de constats d’huissier. J’étais ainsi fin prête à plaider dès le 13 septembre 2016, ce qui n’était pas le cas de mon adversaire, pourtant demandeur à l’instance…
Enfin bref… en guise de preuve pour la présente démonstration, petite copie d’écran montrant le début de ces commentaires sur Rue89 et leur nombre actuel :
Et ici, extraits de mon constat d’huissier du 6 septembre 2016 montrant les différences :
En fait, à cette date, avait déjà disparu depuis longtemps un commentaire pourtant très intéressant, et qui d’ailleurs, à l’origine, faisait partie de la sélection des commentaires les plus pertinents sur cet article (il y en avait trois et non deux), c’est celui où l’un des riverains ayant eux-mêmes été victimes de harcèlement moral en entreprise expliquait la signification de son pseudonyme, sur le thème de la disparition, de la fin de l’existence, ou de la non existence pour les victimes, lesquelles ont bien fini d’exister.
Le voici (cliquer pour agrandir l’image et lire le texte) :
Cette explication, importante, est aussi celle de ma disparition totale du site Rue89 en date du 6 septembre 2008 à l’initiative du pervers David Servenay ayant alors décidé d’effacer la totalité de mes commentaires depuis le tout premier, ce qui non seulement ne pouvait se justifier d’aucune manière, mais de plus nuisait à la compréhension de toutes les discussions auxquelles j’avais participé depuis mon inscription sur le site, tous les fils correspondants étant détruits.
Je renvoie aussi au contenu de la vidéo ci-dessus pour une explication complète de cette action du pervers David Servenay, qui bien évidemment savait déjà que j’avais été victime de harcèlement moral à très haute dose, puisque je lui en avais parlé lors de notre unique conversation téléphonique du 30 mai 2008.
Je rappelle que ces commentaires de la riveraine « existe » que j’étais alors avaient tous été restaurés au printemps 2010 à l’exception des tout derniers, correspondant à mes échanges du 6 septembre 2008 avec « Pomponette ».
Je présume qu’au mois de novembre 2016 ils ont été supprimés pour servir les intérêts du mythomane et calomniateur Pascal Edouard Cyprien Luraghi qui demandait aussi au juge des référés, entre autres choses, la suppression totale et définitive de tout écrit public passé, présent et à venir qui puisse m’être attribué…
Il demandait à pouvoir enfin en raconter et publier lui-même tout ce qui lui chante et m’accusait de le « harceler » à chaque fois que je publie des démentis ou droits de réponse consécutifs à ses campagnes de calomnies publiques à mon encontre.
Toujours sur le thème de la négation, je rappelle qu’il nie absolument tout ce que je suis et ai vécu pour y substituer une version de ma « biographie » entièrement imaginaire, bien évidement calomnieuse et particulièrement infamante.
A ce point-là, d’ailleurs, ce n’est plus seulement de la négation, c’est du négationnisme, comme le fait aussi sur d’autres sujets son complice David Servenay :
http://petitcoucou.unblog.fr/2018/10/26/david-servenay-le-negationnisme-pour-profession-de-foi/
A le croire, donc, je n’aurais jamais été ni ingénieur ni informaticienne ni harcelée dans le travail ni ailleurs, ni victime de quoi que ce soit d’autre, je serais un « cas lourd psychiatrique » ayant passé le plus clair de son existence en hôpital psychiatrique, le reste à repérer des « proies » telles que lui et tous ses complices « déconnologues » à seule fin de les « harceler », et m’inventerais une vie que je n’aurais jamais eue… A cet égard, il sait toujours tout mieux que moi, même mes relations intimes avec Joël Roma ou d’autres…
Il a toujours dû être entre nous à tous moments de nos vies à tenir la chandelle sans jamais parvenir à sortir de ses rêves éveillés…
Car c’est en effet ce que l’on retrouve encore aujourd’hui dans toutes ses plaintes et procédures à mon encontre…
Incroyable, mais vrai.