5 mars 2018 : Pascal Edouard Cyprien Luraghi soutient que je ne suis pas folle

J’en ai déjà parlé dans mon précédent article et le souligne ici parce que c’est quand même assez fort : oui, après m’avoir traitée de « folle » quasiment quotidiennement dans tous ses écrits publics me concernant durant une dizaine d’années, après m’avoir fait passer pour un « cas lourd psychiatrique » auprès d’innombrables personnes sur et hors Internet durant dix ans, après avoir même tenté à de multiples reprises de me faire interner en psychiatrie (lui et son épouse Annie Belléculée Luraghi ont bien harcelé à ce sujet durant plusieurs années : un chef de service de l’hôpital psychiatrique de Bohars, jusqu’à lui envoyer des lettres recommandées avec accusé de réception, le procureur de la République de Brest, le maire de Brest et le sous-préfet de Brest, rien que ça…), le cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi a finalement soutenu à l’audience du 5 mars 2018 devant la Cour d’Appel de Paris… que je ne suis point folle…

Enfin, plus exactement, son avocat l’a fait en son nom. Lui-même n’était pas là. Peut-être son représentant lui avait-il demandé de ne pas venir pour éviter qu’il ne s’en étrangle ou ne pète un câble devant les juges, ou peut-être pas, je n’en sais rien. En tous les cas, contre toute attente, c’est bien ce qu’il a plaidé ce jour-là, tandis que de mon côté je soutenais aussi depuis le début, certificats médicaux à l’appui, n’être atteinte d’aucun trouble mental, contrairement à ce que M. Luraghi et ses divers complices affirmaient tous à mon sujet depuis dix ans – et beaucoup plus longtemps pour ce qui est de leur « source » de soi-disant « informations » me concernant, la calomniatrice Josette Brenterch du NPA de Brest.

De quel crédit peuvent-ils encore se prévaloir aujourd’hui ?

Aucun.



Tariq Ramadan comme Josette Brenterch et Cyprien Luraghi ?

A croire ce que dit aujourd’hui une des victimes présumées de Tariq Ramadan, ce serait bien le cas.

Josette Brenterch a toujours évité d’apparaître elle-même parmi les personnes qu’elle utilise pour harceler, menacer, agresser, voire assassiner ses cibles et victimes diverses et variées.

Elle ne l’a fait à compter du mois de juin 2010 sur la toile qu’à la demande expresse de son dévoué Pascal Edouard Cyprien Luraghi, lequel se trouvait alors en mauvaise posture face à plusieurs de ses victimes, moi en particulier, qu’en fait il harcelait depuis deux ans pour le compte de cette femme.

Par ailleurs, ils n’ont pu enrôler bien d’autres psychopathes pour commettre divers crimes et délits, notamment les attentats islamistes qui les arrangeaient, que parce qu’ils apparaissaient « victimes », comme ils l’ont toujours prétendu mensongèrement, et non coupables, comme ils l’ont toujours été en réalité.

Il aura fallu attendre qu’ils échouent à me faire condamner trois fois consécutives, le 2 décembre 2015, le 5 janvier 2017 et le 11 avril 2018 pour qu’enfin cessent ces attentats, ou du moins que s’ouvre une nouvelle période à peu près calme.

Il est clair qu’ils ont bien perdu en crédibilité au fur et à mesure que je me défendais réellement contre toutes leurs accusations mensongères après avoir repris la main sur mes dossiers à compter de l’été 2013, l’avocat censé me défendre jusque-là ayant en fait toujours travaillé pour mes adversaires.

Cela devient très net à compter de l’année 2017, après que j’aie fait la démonstration publique que je suis tout à fait capable de me défendre seule contre l’avocat spécialisé qu’ils ont convaincu de m’attaquer à Paris : contrairement à ce qu’ils ont toujours soutenu mensongèrement, me traitant de « folle » sur tous les tons depuis le premier jour, je n’ai donc rien d’une personne mentalement « dérangée », encore moins d’un « cas lourd psychiatrique »; leur avocat lui-même a bien dû en convenir; mieux encore : il l’a plaidé lui-même en appel en le présentant comme un nouvel argument contre moi, sauf qu’ainsi il a définitivement « planté » son client et ses mentors, lesquels m’ont bien toujours calomniée et continuent à le faire.

Voilà donc pourquoi 2015 et 2016 resteront sans doute dans les annales comme les deux années durant lesquelles la France aura été frappée par les attentats les plus meurtriers : grâce aux complicités dont ils bénéficient dans la magistrature, particulièrement à Brest, les « déconnologues » de la bande de Pascal Edouard Cyprien Luraghi parvenaient à tromper tout le monde, mais aujourd’hui, c’est fini.

 

http://www.europe1.fr/societe/apres-la-remise-en-liberte-de-ramadan-lune-des-plaignantes-craint-les-represailles-de-ses-partisans-imaginez-ce-qui-va-se-passer-pour-nous-3801293

TEMOIGNAGE EXCLUSIF – Après la libération de Tariq Ramadan, l’une des plaignantes dit craindre pour son « intégrité physique »

 

07h01, le 16 novembre 2018, modifié à 07h53, le 16 novembre 2018

 

RÉACTION – Au micro d’Europe 1, l’une des trois femmes qui accusent Tariq Ramadan de viol avoue craindre des violences de la part des soutiens de l’islamologue, autorisé jeudi à sortir de prison sous conditions.

 

TÉMOIGNAGE EXCLUSIF »J’estime que c’est de l’inconscience totale. » Accusé de viols, Tariq Ramadan a obtenu jeudi soir sa mise en liberté sous conditions, et pour Christelle*, l’une des victimes présumées de l’islamologue, ce n’est pas cette décision qui l’inquiète, mais plutôt les réactions que cela pourrait entraîner chez ses partisans.

Des fidèles « dévoués, corps et âme ». « Ce n’est pas  sa libération qui me fait peur, dans le sens où monsieur Ramadan ne fait jamais les choses lui-même lorsqu’il s’agit de menace et de harcèlement. Il envoie toujours des gens le faire faire pour lui », réagit-elle en exclusivité pour Europe 1. « Ce sont ces gens dévoués, corps et âme, aveuglés, qui sont dangereux ! », alerte cette plaignante. « Le fait de laisser sortir monsieur Ramadan, veut dire, dans leur tête : ‘nous avons une impunité totale’, ce qui est problématique.

« Une importante caution.  Après dix mois d’incarcération, l’universitaire reste accusé de viols par trois femmes. Pour recouvrer sa liberté, Tariq Ramadan va devoir verser une caution de 300.000 euros, remettre son passeport suisse, aura interdiction de quitter le territoire, d’entrer en contact avec les plaignantes et certains témoins. Il devra également pointer dans un commissariat toutes les semaines.

Moi, j’ai été victime de crachats, de coups d’épaule, d’insultes

 

Des actes d’intimidation.  »Je rappelle que quand monsieur Ramadan a été mis en détention provisoire, ces personnes ont déjà commis des actes », dénonce encore Christelle. « L’une des plaignantes a été agressée plusieurs fois. Moi, j’ai été victime de crachats, de coups d’épaule, d’insultes. On m’a suivi », énumère-t-elle. « Et ça, c’était quand il était enfermé et, dans leur tête, présumé coupable. Maintenant que, dans leur tête, il est présumé innocent, imaginez ce qui va se passer pour nous. »

« Ils vont essayer d’atteindre à mon intégrité physique ». Christelle considère donc que la décision rendue jeudi en appel par la chambre de l’instruction, après plus de deux heures d’audience, la met directement en danger. « Je pense que maintenant, ils vont essayer d’atteindre mon intégrité physique », conclut-elle.

*Le prénom a été modifié

 



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