Quand Richard Ferrand joue les Jean-Marc Donnadieu… 18 décembre
… il ne va pas jusqu’au bout !
En effet, il s’arrête net au premier obstacle tandis que l’autre continue, encore et encore, toujours…
Une question de carburant, sans doute…
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Quand Richard Ferrand veut qu’on lui prouve qu’il a tenu des propos qu’il a effectivement tenus
Tragédie en cinq actes.I. Le 16 juillet 2018, Richard Ferrand, président du groupe LREM à l’Assemblée nationale, s’en prend au référendum d’initiative citoyenne (RIC), qui agite aujourd’hui le débat politique, dans sa version suisse : «Reprenez les thèmes qui sont soumis : c’est très souvent le fait de quelques cliques affairistes et de quelques lobbyistes qui d’ailleurs à la fin des fins sont souvent démasqués.»
II. Lundi, l’ancien maire de Genève Guillaume Barazzone s’en prend à Richard Ferrand sur Twitter, lui reprochant d’avoir déclaré à l’Assemblée nationale : «les thèmes soumis sont très souvent le fait de cliques affairistes et de quelques lobbyistes démasqués.»
III. Aussitôt, Richard Ferrand lui rétorque : «Cher monsieur @BarazzoneG, je démens formellement avoir pensé ou tenu ces propos que vous me prêtez. Quelles sont vos sources ? Evitez svp les #FakeNews !»
IV. Ce mardi, revoici Guillaume Barazzone avec LA pièce à conviction : l’extrait du 19/20 de France 3 de lundi, où a été effectivement diffusée la phrase de Ferrand.
V. Depuis, on n’a pas eu de nouvelles de Richard Ferrand.
Fin.
Voici vos propos @RichardFerrand contre la démocratie demi-directe helvétique..@tdgch @ArthurFlash Allez-vous présenter des excuses? Bonne journée.