Cherif Chekkat : manipulable et «déglingué du cerveau» selon son propre frère

C’est le profil type de tous les sbires de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, enseignante à la retraite, pour qui la rentrée est toujours fixée début septembre. Elle fait suite à l’Université d’été de la LCR ou du NPA, au cours de laquelle elle est bien préparée, et fut annoncée cette année dès le 22 août 2018 :

http://petitcoucou.unblog.fr/2018/08/23/mercredi-22-aout-2018-une-rentree-bien-annoncee/

L’on notera que c’était l’anniversaire du « chef » Jean-Marc Donnadieu de Béziers.

Or, en 2014, lui et ses amis terroristes avaient déjà choisi un marché de Noël pour cible, celui de Nantes, qui fut attaqué par l’ex-Bitterrois Sébastien Sarron le 22 décembre vers 19h, après que deux autres attentats se soient déjà produits à Joué-lès-Tours et Dijon les 20 et 21 décembre 2014.

On rappelle au passage le goût de Pascal Edouard Cyprien Luraghi et Jean-Marc Donnadieu pour les jeux de mots, le second affectionnant tout particulièrement les farces et attrapes :

 

https://www.facebook.com/jeanmarc.donnadieu

Balance : Vous ferez un stage d’observation dans une entreprise de farces et attrapes. On testera sur vous les boules puantes et autres « coussins péteurs » dans des réunions très sérieuses.

2

 

Quant au premier, il préconisait l’attaque au véhicule fou dès 2009 :

 

Cyp’ le 30/08/2009 à 12:12
@ les RG :
Je préfère écrabouiller les folles furieuses qui se jettent sous les roues de ma bagnoles alors que je roule pépère sur la départementale, plutôt qu’aller me frotter aux CRS ou planter ma caisse dans un platane pour éviter ces cinglées.

D’ailleurs, vous faites plaisir aux CRS, quand vous manifestez : c’est grâce à vous qu’ils peuvent écouter Sardou et payer les traites de leur pavillon Phénix ultra-moche.

Sans vous, ils n’existeraient pas et le monde serait plus sympathique.
Vroum !

 

Cette année 2018 aura encore été marquée par toute une série d’attentats pour les fêtes de fin d’année, comme je l’ai mis en évidence sur ce blog au fur et à mesure qu’ils se produisaient ou étaient déjoués.

 

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2019/01/15/01016-20190115ARTFIG00196-attentat-de-strasbourg-cherif-chekatt-avait-premedite-l-attaque.php

Attentat de Strasbourg : Cherif Chekatt avait prémédité l’attaque

 

Le djihadiste préparait l’attentat, qui a tué cinq personnes le 11 décembre sur le marché de Noël de la ville, depuis plusieurs mois, selon les premiers éléments de l’enquête judiciaire révélée par Le Monde et France 3. Il cherchait des armes et avait fait part de ses funestes plans à sa mère ainsi qu’à un ancien codétenu.

Cherif Chekatt avait prémédité son attaque du 11 décembre. L’auteur de l’attentat de Strasbourg, qui a tué cinq personnes sur le marché de Noël de la ville, n’a pas agi sur un coup de tête: son acte a été préparé des semaines, voire des mois à l’avance, selon les premiers éléments de l’enquête judiciaire révélés par Le Monde et France 3. Cherif Chekatt avait fait part à ses proches de ses désirs de martyr et s’était démené pour trouver des armes.

» LIRE AUSSI – Strasbourg: le profil hybride de Chérif Chekatt, fiché S radicalisé et braqueur de banques

L‘attentat, qui a également blessé onze personnes, a été revendiqué par l’État Islamique (EI) dans une vidéo diffusée par Amaq, son agence de propagande quelques minutes après la mort du djihadiste. Dans la foulée, le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, avait dénoncé une revendication «totalement opportuniste» de l’EI, et s’était montré très prudent sur la motivation terroriste de l’attaque. Si des témoins avaient bel et bien entendu Cherif Chekatt crier «Allahu Akbar» – «Dieu est le plus grand», fréquemment utilisé comme cris de guerre par les djihadistes – les enquêteurs ne voulaient pas privilégier trop vite la piste du djihadisme au détriment d’autres explications. Il n’est pas rare que l’organisation terroriste revendique des attaques qu’elle n’a pas organisées, comme à Las Vegas, lorsqu’un retraité avait tué 58 personnes. Aujourd’hui encore, cette revendication reste remise en cause car aucun élément ne permet d’affirmer que l’attentat de Strasbourg ait été effectivement organisé avec le concours de l’EI.

» LIRE AUSSI – Fiches S, mandats d’arrêt: ces individus déjà repérés qui sont passés à l’acte

Du désir de martyr à l’allégeance à l’État Islamique

Toutefois, les soupçons s’étaient rapidement confirmés lorsqu’une vidéo d’allégeance à l’État Islamique avait été retrouvée à son domicile le 22 décembre. Cherif Chekatt y arbore un keffieh rouge, et pendant trois minutes jure obéissance à Daech. Des armes y avaient également été retrouvées: des couteaux de chasses, une grenade défensive, un revolver de calibre 22 long rifle et ses munitions ainsi qu’un message écrit à la main «ô vous hommes, la bataille est engagée, les appels au djihad sont lancés, les portes du paradis sont ouvertes. Si vous n’êtes pas des cavaliers guerriers, poussez-vous et laissez place aux femmes pour diriger la bataille».

Chérif Chekatt déclarait vouloir « commettre un braquage avant de partir en Syrie ou mourir en martyr ».

En 2015, lors d’un de ses nombreux passages en prison, on apprend à travers l’enquête que Cherif Chekatt avait fait part de ses velléités terroristes à un codétenu, dont le témoignage a été recueilli par la police. Selon Le Monde et France 3, il déclarait déjà vouloir «commettre un braquage avant de partir en Syrie ou mourir en martyr». Sa mère a elle aussi raconté aux enquêteurs les confidences de son fils «environ cinq mois» avant l’attentat, qui lui avait fait par de «son intention de mourir». Décrit comme manipulable et «déglingué du cerveau» par son propre frère lors d’une conversation téléphonique avec sa mère, sa famille ne l’avait pas pris au sérieux.

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Trouver des armes

D’après les éléments de l’enquête judiciaire révélés par Le Monde et France 3, Cherif Chekatt cherchait aussi depuis plusieurs mois à se procurer une arme. Au cœur de l’enquête: un homme, Audrey M., rappeur de 37 ans au casier judiciaire chargé, père d’une famille de trois enfants franco ivoirienne. Cet ami de longue date du djihadiste n’est pas connu pour une quelconque accointance avec le terrorisme. Il s’est présenté lui-même à la police le jour même de la mort de son ami. Le rappeur a été mis en examen et placé en détention provisoire pour «participation à une association de malfaiteurs terroristes criminelle» et «acquisition, détention et cession d’armes de catégorie B».

Audrey M. nie cependant toute implication dans l’attentat. Il dit avoir rencontré Cherif Chekatt en prison, en 2012. Selon Le Monde, c’est vers lui que se tourne le terroriste «en septembre 2018» pour se procurer des armes afin de commettre des «braquages». Le rappeur en utilise fréquemment dans ses clips musicaux. Rapidement, Audrey M. met en contact son ami avec la communauté des gens du voyage, une rencontre est organisée avec une famille de Sélestat dans le Bas-Rhin, à 50 kilomètres de Strasbourg. Cette famille de vanniers est connue de la police pour donner dans le trafic d’armes. Le 11 décembre au matin, une autre rencontre est organisée par le rappeur sur un parking au nord de Colmar (Haut-Rhin). Le lendemain, Audrey M. reçoit un appel intercepté par les services de renseignement: «tu sais le pote avec lequel tu es venu à Sélestat (…) il a fait le con hier soir (…), le vieux il se chie dessus à mort».

Cherif Chekatt est sans doute passé à l’acte plus rapidement que prévu. Selon les informations de France 3, l’intervention de la police le matin même des attentats a précipité ses plans. La DGSI surveillait de près le djihadiste mais n’avait aucun élément permettant d’arrêter le jeune homme. Le préfet, à la tête du groupe d’évaluation départemental de la radicalisation du Bas-Rhin, avait décidé de l’interpeller pour une affaire de droit commun. Le 11 décembre, la police était intervenu au domicile de son père, tandis que le jeune homme dormait exceptionnellement chez sa mère.

La rédaction vous conseille
Stanislas Poyet

 



Attentat de Strasbourg du 11 décembre 2018 : la préméditation se confirme

Mes lecteurs les plus assidus le savaient déjà, puisque je leur explique depuis assez longtemps et de plus en plus clairement ce que font les terroristes Jean-Marc Donnadieu, Pascal Edouard Cyprien Luraghi et autres.

Les éléments de preuve rapportés par l’enquête de la police le confirment, cet attentat semble bien avoir été prémédité et non commis dans l’improvisation la plus totale le 11 décembre 2018 après la perquisition ayant eu lieu le même jour au domicile du terroriste.

Je rappelle ici que le commanditaire Pascal Edouard Cyprien Luraghi avait publié le même jour son propre texte de revendication, dans lequel il vise explicitement les magistrats qui appliquent la loi, sans s’en abstenir lorsque les coupables sont ses complices et lui-même, ni condamner bien au-delà lorsque les accusés sont en réalité ses victimes et celles de ses complices « déconnologues ».

 

https://www.lemonde.fr/police-justice/article/2019/01/14/l-attentat-de-strasbourg-etait-premedite_5409040_1653578.html

L’attentat de Strasbourg était prémédité

 

Selon les derniers éléments de l’enquête, dont « Le Monde » a eu connaissance, le djihadiste cherchait des armes depuis plusieurs semaines et avait confié à sa mère son « intention de mourir ».

Par Elise Vincent Publié aujourd’hui à 19h32

 

A proximité de l’endroit où a été tué Cherif Chekatt, à Strasbourg, le 13 décembre 2018.

A proximité de l’endroit où a été tué Cherif Chekatt, à Strasbourg, le 13 décembre 2018. CHRISTIAN HARTMANN / REUTERS

 

C’est désormais acquis. Contrairement à ce que laissaient penser les premières investigations, l’attentat du marché de Noël de Strasbourg, le 11 décembre 2018, était bien un acte prémédité. Recherche d’armes, vidéo de revendication, envie de mourir confiée à son entourage, etc., Cherif Chekatt, le djihadiste qui a tué cinq personnes et en a blessé onze autres ce soir-là, allait tôt ou tard passer à l’acte. A la veille du drame, il était depuis plusieurs semaines en plein préparatifs, selon les derniers développements de l’enquête judiciaire dont Le Monde a pu avoir connaissance.

Au lendemain de l’attentat, le ministre de l’intérieur Christophe Castaner et son secrétaire d’Etat Laurent Nuñez s’étaient montrés très prudents quant à la motivation terroriste de Cherif Chekatt. Le jeune homme de 29 ans faisait l’objet d’un suivi « actif » de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). L’attaque semblait alors avoir été précipitée par son interpellation ratée, le matin des faits, dans une affaire distincte, pour tentative d’assassinat sur fond d’extorsion et de vol d’or. Une affaire dont le djihadiste allait être le seul à réchapper, les trois autres membres de sa bande – dont deux individus connus pour radicalisation – étant interpellés.

Article réservé à nos abonnés Lire aussi Attentat de Strasbourg : Cherif Chekatt, le profil hybride du voyou radicalisé qui hante les services

 

Couteaux de chasse et grenade défensive

Depuis, un certain nombre d’indices étayant les velléités djihadistes anciennes de Cherif Chekatt se sont cependant accumulés. A commencer par la vidéo de revendication du terroriste. Celle-ci a été découverte sur une clé USB au domicile où les gendarmes espéraient l’arrêter, le 11 décembre au matin. Sur cette vidéo, d’une durée de presque trois minutes, Cherif Chekatt se met en scène dans son appartement du 20 rue Tite-Live, à Strasbourg. Il y apparaît porteur d’un keffieh rouge. Puis il prête allégeance en français et en arabe à l’organisation Etat islamique (EI) en reprenant les leitmotivs classiques du groupe terroriste.

Lire aussi Attentat de Strasbourg : une vidéo d’allégeance à l’EI retrouvée sur une clé USB de Cherif Chekatt

 

le djihadiste avait déjà confié à un de ses codétenus « sa haine des policiers, des magistrats, et des juifs » ainsi que son intention de « commettre un braquage avant de partir en Syrie ou de mourir en martyr ».

Les enquêteurs n’ont pas pu dater avec précision cette vidéo. En bas de l’écran, une date assez ancienne a été remarquée : le 14 novembre 2015. A cette époque, le djihadiste avait déjà confié à un de ses codétenus, croisé au cours d’une de ses multiples incarcérations, « sa haine des policiers, des magistrats, et des juifs » ainsi que son intention de « commettre un braquage avant de partir en Syrie ou de mourir en martyr ». Mais une photo de Cherif Chekatt portant la même tenue que sur la vidéo, datant du 10 novembre 2018, a été découverte sur la clé USB. La justice estime donc très probable que les images aient été réalisées le même jour, soit quelques semaines seulement avant l’attaque…

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https://www.francetvinfo.fr/faits-divers/terrorisme/fusillade-a-strasbourg/info-france-3-attentat-a-strasbourg-comment-cherif-chekatt-a-prepare-pendant-des-mois-son-projet-terroriste_3144731.html

INFO FRANCE 3. Attentat à Strasbourg : comment Cherif Chekatt a préparé pendant des mois son projet terroriste

 

Selon les informations de France 3, l’auteur de l’attentat à Strasbourg, fiché S et surveillé par les services de renseignement, avait un projet terroriste préparé de longue date. Il tentait notamment depuis plusieurs semaines de se procurer des armes.

 

Des forces de police sécurisent l\'entrée du centre-ville de Strasbourg (Bas-Rhin), après l\'attaque menée par Chérif Chekatt, le 11 décembre 2018.

Des forces de police sécurisent l’entrée du centre-ville de Strasbourg (Bas-Rhin), après l’attaque menée par Chérif Chekatt, le 11 décembre 2018. (CHRISTOPH SCHMIDT / DPA / AFP)

Les policiers en ont désormais acquis la conviction : lorsqu’il s’élance dans le centre-ville de Strasbourg (Bas-Rhin), le soir du mardi 11 décembre, Cherif Chekatt n’a pas agi sur un coup de tête, mais a accompli un projet terroriste mûrement réfléchi. Selon les informations de France 3, les enquêteurs ont recueilli les confidences d’un des ex-codétenus du terroriste, à qui il a confié en 2015 vouloir « commettre un braquage avant de partir en Syrie ou mourir en martyr ». L’été dernier, le jeune homme de 29 ans avait également assuré à sa famille vouloir mourir, mais ses proches ne l’avaient pas pris au sérieux.

Une vidéo d’allégeance à l’Etat islamique enregistrée un mois plus tôt

Plusieurs autres éléments accréditent la thèse d’un projet préparé de longue date. Notamment sa vidéo d’allégeance au groupe Etat islamique, qui a revendiqué l’attentat de Strasbourg. Cherif Chekatt a enregistré cette séquence mi-novembre, un mois avant de passer à l’acte. Les policiers chargés de le surveiller sont-ils passés à côté de cet élément ? Pas sûr, car rien n’indique qu’il a envoyé cette vidéo à des correspondants en Syrie ou en Irak. 

Le terroriste, fiché S et suivi par les services de renseignement, recherchait activement des armes depuis plusieurs semaines et avait tenté de rencontrer des personnes connues dans le milieu du trafic d’armes. Il a essuyé un refus, avant de tenter de se fournir dans la ville de Metz (Moselle). Pour l’heure, rien n’indique où il s’est procuré le 22 long rifle saisi par les gendarmes au domicile de son père, puis le revolver de 1892 avec lequel il a commis l’attentat. Suspecté d’avoir aidé le terroriste à se procurer une arme, un homme a tout de même été placé en détention provisoire et mis en examen le 17 décembre dernier. Il nie toutefois toute complicité.

Comment a-t-il pu mener ces recherches sans éveiller les soupçons des services de renseignement censés le surveiller ? C’est l’une des questions qui se posent aujourd’hui. Reste que l’âge de l’arme ainsi que ses difficultés logistiques semblent démontrer qu’il ne faisait pas partie d’un réseau très structuré, contrairement aux terroristes du 13-Novembre.

Une interpellation manquée, élément déclencheur de l’attaque

Si l’attaque était planifiée, l’élément déclencheur reste, selon les informations de France 3, l’arrestation manquée de Cherif Chekatt, le matin même de l’attentat à Strasbourg. Ce jour-là, les gendarmes tentent de l’interpeller pour une affaire de droit commun, mais chez son père. Le jeune homme ne se cache pas, mais se trouve en réalité chez sa mère à ce moment-là. « Lundi soir [le 10 décembre], il est venu chez moi, on a fait la prière, on a mangé et le mardi matin [le 11 décembre], il est parti vers 7 heures », a expliqué cette dernière à France 2. Prévenu de la visite des gendarmes, Cherif Chekatt a quitté précipitamment l’appartement, avant de mettre à exécution son projet terroriste le soir-même, faisant cinq morts et une dizaine de blessés.

 

https://www.lalsace.fr/actualite/2019/01/14/attentat-de-strasbourg-chekatt-avait-prevu-son-passage-a-l-acte-de-longue-date

Attentat de Strasbourg : Chekatt avait prévu son passage à l’acte de longue date

 

Hier 20:21 , actualisé Aujourd’hui à 11:25 Vu 7100 fois
Des policiers à Strasbourg le 13 décembre dernier. Photo Sébastien BOZON/AFP
Des policiers à Strasbourg le 13 décembre dernier. Photo Sébastien BOZON/AFP

 

Les derniers éléments de l’enquête sur l’attaque de Strasbourg, qui a fait 5 morts et 11 blessés le 11 décembre dernier tendent à démontrer que Cherif Chekatt avait bien planifié son passage à l’acte. Sa vidéo de revendication serait bien antérieure à son passage à l’acte, tout comme sa volonté de se fournir en armes, selon les détails dévoilés par notre consœur du Monde.

Une vidéo datée du mois de novembre ?

Les gendarmes venus arrêter Cherif Chekatt le 11 décembre au matin avaient fait chou blanc. Ou presque : lors de la perquisition à son domicile, le jeune homme de 29 ans est absent, mais les militaires trouvent des armes et une clé USB, sur laquelle se trouve une vidéo d’allégeance à Daech. Les enquêteurs n’ont pu la dater avec précision, mais ils estiment qu’elle a été tournée courant novembre, près d’un mois avant l’attaque.

Chekatt cherchait des armes

Avant l’attaque du marché de Noël, Cherif Chekatt s’était mis en quête d’armes. Il avait fait appel à l’un de ses anciens codétenus, depuis mis en examen et placé en détention provisoire. Lors de son audition, Audrey M. a indiqué que Chekatt lui avait demandé des armes dès septembre 2018, évoquant des braquages. Une demande renouvelée à plusieurs reprises au cours de l’automne, qui aurait poussé ce proche de Chekatt à le mettre en relation avec des membres de la communauté des gens du voyage, impliqués dans le trafic d’armes. C’est par ce biais notamment que le terroriste se serait procuré le vieux revolver Lebel retrouvé sur son corps.

Confidences familiales

Le passage à l’acte de Cherif Chekatt ne semble pas surprendre sa famille, selon les éléments téléphoniques exploités par les enquêteurs. D’autre part, le terroriste de 29 ans aurait confié à sa mère « son intention de mourir », « environ cinq mois » avant l’attaque. Elle ne l’a pas pris au sérieux.

 

https://www.lexpress.fr/actualite/societe/justice/l-attentat-de-strasbourg-etait-premedite_2057365.html

L’attentat de Strasbourg était prémédité

 

Par LEXPRESS.fr , publié le 15/01/2019 à 08:29 , mis à jour à 16:12

Une photo de Cherif Chekatt, obtenue par l'AFP le 12 décembre 2018.

Une photo de Cherif Chekatt, obtenue par l’AFP le 12 décembre 2018.afp.com/Handout

 

Une enquête du Monde révèle que Cherif Chekatt préparait son attaque depuis plusieurs semaines.

 

La virée meurtrière de Cherif Chekatt, le 11 décembre à Strasbourg, ne doit rien à la précipitation. Tout était en réalité minutieusement préparé : les armes, l’envie de mourir, la vidéo de revendication… Une enquête du Mondepubliée lundi révèle comment le djihadiste est passé à l’acte.

Des indices dès 2015

La vidéo où l’homme prête allégeance à Daech, retrouvée sur une clef USB, semble être datée du jour de l’attaque ou du mois de novembre. Un ancien codétenu de Cherif Chekatt a aussi expliqué que, dès 2015, il aurait exprimé « sa haine des policiers, des magistrats, et des juifs » et son intention de « commettre un braquage avant de partir en Syrie ou de mourir en martyr ».

LIRE AUSSI >> Les dernières heures de Chérif Chekatt

Un proche du terroriste, qui a témoigné juste avant qu’il soit abattu, a expliqué que son ancien ami l’a contacté à plusieurs reprises, y compris le matin de l’attaque, pour se procurer des armes. « Tu seras le prochain sur ma liste, tu vas entendre parler de moi à BFMTV », lui aurait lancé Cherif Chekatt début décembre, après une dispute.

Il avait confié son « intention de mourir »

Les enquêteurs ont aussi écouté des messages audio envoyés entre membres de la fratrie Chekatt. « Cela devait arriver un jour », a déclaré un frère à l’une de ses soeurs. La mère du terroriste a aussi avoué que son fils lui avait confié « environ cinq mois » avant l’attentat « son intention de mourir ».

Son père, le matin de l’attentat, l’avait prévenu par SMS qu’il était recherché. « ‘Les chiens’ sont venus chez moi », lui avait-il écrit, tout en ajoutant qu’il ne l’avait pas dénoncé.

 



Le terroriste d’extrême-gauche italien Cesare Battisti est enfin sous les verrous

C’est une excellente chose, enfin une bonne nouvelle édificatrice à l’égard des foules qui en ont besoin, et des terroristes eux-mêmes : ils mentent et se mentent à eux-mêmes quand ils prétendent tout à la fois que nos vieux pays européens seraient des démocraties et qu’un quelconque terrorisme pourrait s’y justifier.

Ce ne sont pas ou ce ne sont plus ou de moins en moins des démocraties, particulièrement la France, précisément à cause de ces terroristes, toujours de l’extrême-gauche.

Ils y font régner la terreur en toute impunité avec pour objectif l’installation d’un régime dictatorial comparable à celui des soviets.

Ce n’est pas un secret, il a toujours été assez clairement exprimé.

La LCR fut d’ailleurs conçue dès sa création à la fin des années 1960 comme un embryon d’Armée Rouge.

En février 2009, elle est devenue le NPA pour une question d’image identique à celle qui en 2002 avait vu son vieil associé le RPR renaître de ses cendres sous l’appellation d’UMP.

Cependant, elle est toujours restée la milice ultra-violente doublée d’un service de renseignement occulte aux ramifications internationales qu’elle fut dès ses débuts.

Avec la bande de cybercriminels du psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi, elle s’attaque très violemment à toutes les formes de journalisme participatif qui apparaissent sur la toile à compter de l’année 2007 et poursuivra son travail de sape de toute liberté d’expression sur Internet jusqu’à l’organisation d’attentats terroristes particulièrement meurtriers à compter de l’année 2012, ces attentats « islamistes » étant tous destinés à soutenir toutes ses revendications judiciaires illégales parallèles à mon encontre.

Il est inutile de rappeler à quel point ces dernières sont ahurissantes.

Pour leurs promoteurs, l’enjeu en est la viabilité de toutes leurs organisations criminelles.

 

https://www.francetvinfo.fr/monde/italie/l-ex-militant-italien-d-extreme-gauche-cesare-battisti-a-ete-arrete-en-bolivie_3142843.html

Condamné à perpétuité en Italie pour homicides, l’ex-militant d’extrême gauche Cesare Battisti a été arrêté en Bolivie

 

En Italie, il a été condamné par contumace en 1993 à la prison à perpétuité pour quatre homicides et complicité de meurtres dans les années 1970.

 

Cesare Battisti lors d\'un entetien avec l\'AFP à Cananeia (Brésil), le 20 octobre 2017.

Cesare Battisti lors d’un entetien avec l’AFP à Cananeia (Brésil), le 20 octobre 2017. (MIGUEL SCHINCARIOL / AFP)

 

L’ex-militant d’extrême gauche italien Cesare Battisti, qui était en cavale depuis sa disparition au Brésil en décembre, a été capturé en Bolivie, annonce un conseiller du président brésilien, dimanche 13 janvier. Les principaux médias brésiliens ont indiqué que le fugitif avait été intercepté dans la ville de Santa Cruz de la Sierra (Bolivie), en citant des sources de la police fédérale brésilienne.

Traqué par une équipe d’Interpol composée d’Italiens, de Brésiliens et de Boliviens, Cesare Battisti a été arrêté dans la rue et n’a pas opposé de résistance, selon plusieurs médias italiens, dont le Corriere della sera (en italien). Lors de son arrestation, précise le quotidien, le fugitif portait une fausse barbe.

« Le terroriste italien Cesare Battisti a été arrêté en Bolivie cette nuit et sera ramené d’ici peu au Brésil, d’où il sera probablement envoyé en Italie pour purger sa peine à perpétuité, en accord avec la décision de la justice italienne », a tweeté Filipe G. Martins, conseiller spécial du nouveau président brésilien Jair Bolsonaro pour les affaires étrangères.

Le président Bolsonaro favorable à une extradition

L’ex-président brésilien Michel Temer avait signé mi-décembre l’acte d’extradition réclamé depuis des années par l’Italie, où Cesare Battisti a été condamné par contumace en 1993 à la prison à perpétuité pour quatre homicides et complicité de meurtres dans les années 1970. Ancien militant d’un groupe d’extrême gauche classé comme terroriste par la justice italienne, les Prolétaires armés pour le communisme, Cesare Battisti affirme être innocent et vivait exilé au Brésil depuis 2004, après avoir passé près de quinze ans en France.

Au terme d’un séjour en prison et d’un long processus judiciaire pour l’extrader, le président brésilien de gauche Luiz Inacio Lula da Silva (2003-2011) avait décidé en 2010 de ne pas livrer le fugitif à l’Italie. Jair Bolsonaro, président d’extrême droite qui a pris ses fonctions le 1er janvier, avait, lui, réitéré en décembre son intention d’extrader l’ancien militant, affirmant sur Twitter que le gouvernement italien pouvait « compter » sur lui pour le renvoyer vers son pays d’origine.

« Le Brésil n’est plus une terre de bandits. Matteo Salvini [le ministre de l'Intérieur italien], le ‘petit cadeau’ va arriver », s’est félicité le fils du nouveau président brésilien, le député Eduardo Bolsonaro. L’ambassadeur d’Italie au Brésil, Antonio Bernardini, a également accueilli la nouvelle avec satisfaction : « Battisti est en prison ! La démocratie est plus forte que le terrorisme. »

 



Si comme Mélenchon, tu es lion du troisième décan, 2019 s’annonce… compliquée…

Né un 22 août ?

T’as qu’à suivre la cote du Maître pour savoir où tu vas…

 

https://www.bfmtv.com/politique/la-gauche-denonce-la-derive-de-jean-luc-melenchon-en-forte-baisse-dans-les-sondages-1609462.html

La gauche dénonce la « dérive » de Jean-Luc Mélenchon, en forte baisse dans les sondages

 

11/01/2019 à 11h24
La gauche dénonce la "dérive" de Jean-Luc Mélenchon, en forte baisse dans les sondages

Jean-Luc Mélenchon à l’Assemblée nationale – Image d’illustration – Alain Jocard – AFP

 

Selon un récent sondage, le leader de la France insoumise connaît ces dernières semaines une forte baisse de sa cote de popularité.

 

Jean-Luc Mélenchon est-il en train de perdre du terrain sur ses concurrents à quelques mois des élections européennes? Selon le tout dernier baromètre Elabe pour Les Echos et Radio Classique, l’homme fort de la France insoumise connaît un net recul puisque depuis trois mois, ce dernier a perdu pas moins de 18 points.

A l’heure actuelle, le député des Bouches-du-Rhône se retrouve ainsi à une inconfortable 18e place du classement, juste derrière l’ancien président François Hollande.

« Dérive insupportable »

Toujours selon Les Echos, les raisons de ce net recul seraient multiples. Dans un premier temps, les scènes de sa colère lors de la perquisition du siège de son parti, largement diffusées, auraient précipité ce glissement soudain.

Au sein même de la gauche, les critiques fusent. Plus tôt cette semaine, c’est le Premier secrétaire du PS, Olivier Faure, qui a dénoncé sa « dérive insupportable, il a quitté les rives de la gauche » a-t-il lancé sur FranceInfo. Est notamment pointé du doigt ici le soutien de Jean-Luc Mélenchon à Eric Drouet, l’un des leaders des gilets jaunes.

Du côté de la France insoumise, c’est Manon Aubry qui a été intronisée comme tête de liste pour la prochaine échéance électorale. Pour Bernard Sananès, président de l’institut Elabe, Jean-Luc Mélenchon donne toutefois l’impression  »de se recroqueviller », de limiter « sa capacité à rassembler ».

 



En Grèce, une organisation d’extrême-gauche revendique un attentat du 17 décembre 2018

Elle n’existe que depuis 2013 et s’appelle l’OLA – tiens, comme Lola, la jeune femme condamnée pour l’assassinat de Jean-Jacques Le Page à Plougonvelin le 24 juillet 2009…

Ses cibles ou les motivations de ses attentats sont les mêmes que celles de ses homologues de la bande des terroristes Pascal Edouard Cyprien Luraghi, de Puy-l’évêque, Jean-Marc Donnadieu, de Béziers, et Josette Brenterch, du NPA de Brest, à savoir : presse ou liberté de la presse, et justice, à travers au moins une cour d’appel le 22 décembre 2017, et un magistrat de cour de cassation le 13 novembre 2018.

Deux différences notables, toutefois :

1°/ elle ne sous-traite pas ses attentats et les revendique clairement, même si un peu timidement… avec près d’un mois de retard sur les faits ;

2°/ elle n’a semble-t-il encore tué ni blessé personne.

 

https://www.dhnet.be/dernieres-depeches/afp/grece-une-organisation-d-extreme-gauche-revendique-un-attentat-contre-un-groupe-de-medias-5c360fd37b50a6072484be1e

Grèce: une organisation d’extrême gauche revendique un attentat contre un groupe de médias

 

Publié le mercredi 09 janvier 2019 à 15h58 à Athènes (AFP)

 

En Grèce, une organisation d'extrême-gauche revendique un attentat du 17 décembre 2018 dans AC ! Brest 5c360fd37b50a6072484be1d 

Un groupe d’extrême gauche a revendiqué mercredi un attentat à la bombe perpétré le mois dernier à Athènes contre un des principaux groupes de médias grecs.

L’explosion de l’engin artisanal, qui visait un bâtiment abritant le siège de la radiotélévision privée Skaï, dans la banlieue balnéaire d’Athènes, n’avait pas fait de victime. Mais elle avait provoqué des dégâts sur la façade de l’immeuble qui héberge également le quotidien Kathimérini, principal journal de centre-droit d’opposition.

Dans sa revendication, le Groupe des combattants populaires (OLA, extrême gauche) a dénoncé les liens corrompus prévalant selon lui entre les médias et la classe politique. L’OLA avait déjà revendiqué au moins cinq attentats similaires depuis son apparition en 2013.

Le gouvernement du Premier ministre Alexis Tsipras avait aussitôt fustigé un « attentat contre la démocratie » tandis que la Commission européenne condamnait « toutes les attaques contre la liberté d’expression et la liberté de la presse ».

Les attentats visant des radiotélévisions, banques, établissements publics ou représentations diplomatiques sont récurrents en Grèce depuis des années, imputés à des groupes anarchistes ou d’extrême gauche.

 

https://www.lemonde.fr/international/article/2018/12/17/grece-une-bombe-explose-devant-le-siege-d-une-chaine-de-television-sans-faire-de-victimes_5398856_3210.html

Grèce : une bombe explose devant le siège d’une chaîne de télévision, sans faire de victime

 

Le groupe de radiotélévision privé Skai, dont le siège est à Athènes, a déploré d’importants dégâts matériels.

Le Monde avec AFP Publié le 17 décembre 2018 à 16h32 – Mis à jour le 17 décembre 2018 à 16h32

 

La façade de la chaîne de TV grecque Skai après l’explosion d’une bombe, le 17 décembre 2018.
La façade de la chaîne de TV grecque Skai après l’explosion d’une bombe, le 17 décembre 2018. ANGELOS TZORTZINIS / AFP

 

Une bombe artisanale a explosé dans la nuit de dimanche à lundi 17 décembre, devant le bâtiment où siège le groupe de radiotélévision privée Skai, dans la banlieue balnéaire d’Athènes, sans faire de victime.

Le gouvernement a condamné cet « acte terroriste », le premier ministre Alexis Tsipras dénonçant un « attentat contre la démocratie ». La police antiterroriste a ouvert une enquête, privilégiant la piste des groupes extrémistes grecs.

La bombe artisanale de « grande puissance » a explosé vers 2 h 30, heure locale (00 h 30 GMT), quarante minutes après un appel téléphonique anonyme à une autre chaîne de télévision et à un site d’information pour prévenir de l’imminence de l’explosion, selon une source policière.

Après cet appel, la police a aussitôt bouclé les rues avoisinantes et évacué l’immeuble où siège la radiotélévision Skai, l’une des plus importantes du pays, appartenant à la famille d’armateurs Alafouzos.

Selon la police, la bombe a été placée dans une rue étroite près de la clôture entourant l’immeuble, ce qui a causé une « grosse déflagration ». Les vitres de la façade du bâtiment de Skai ont volé en éclat, provoquant « d’importants dégâts », selon un communiqué de la station.

« Un attentat contre la démocratie »

Les attentats visant des radiotélévisions, banques, établissements publics ou représentations diplomatiques sont récurrents en Grèce depuis des années, et sont imputés à des groupes anarchistes ou d’extrême gauche.

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Le 13 novembre, une tentative d’attentat à l’engin incendiaire avait eu lieu devant le domicile d’un vice-procureur de la Cour de cassation, à Athènes. Le dispositif avait été découvert par la police et désamorcé à la suite de deux appels téléphoniques anonymes d’avertissement à deux médias.

L’attentat contre Skai est « un attentat des puissances lâches et obscures contre la démocratie ; elles ne vont pas toutefois réussir leur objectif, de terroriser ou de désorienter », a déclaré Alexis Tsipras, cité dans un communiqué de ses services.

Le chef du gouvernement de coalition, menée par son parti de gauche Syriza et le petit parti souverainiste de droite Anel, a exprimé « son soutien sincère aux journalistes et à tous ceux qui travaillent à la chaîne ».

Menaces récurrentes contre la station

Kyriakos Mitsotakis, le chef du parti de droite Nouvelle Démocratie, principal parti d’opposition, s’est rendu sur place pour exprimer « son soutien aux employés ». « La démocratie et la pluralité ne peuvent être muselées », a-t-il déclaré.

L’immeuble de plusieurs étages de Skai abrite également le quotidien Kathimerini, principal journal de centre droit d’opposition, comme la radiotélévision.

« L’attentat terroriste ne va pas nous décourager (…). Nous allons continuer à faire notre travail en surveillant le pouvoir avec indépendance », a indiqué Skai dans un communiqué, accusant le gouvernement de ne pas protéger suffisamment les médias malgré « les menaces récurrentes contre la station ». « Certains cadres gouvernementaux et des mécanismes de propagande ont transformé la station en une cible », poursuit ce communiqué.

Le porte-parole du gouvernement, Dimitris Tzanakopoulos, a rejeté ces accusations et « toute tentative de lier cet acte terroriste à la confrontation politique ».

L’attentat n’a pas été pour le moment revendiqué mais, selon certains experts, le mode d’action renverrait au groupe grec d’extrême gauche OLA (Groupe des combattants populaires), qui a revendiqué au moins cinq attentats similaires, sans victime, depuis son apparition en 2013. Son dernier attentat à la bombe avait eu lieu le 22 décembre 2017 contre la cour d’appel d’Athènes, provoquant des dégâts matériels.



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