Victimes de la Ligue du LOL et autres harceleurs : aucun droit d’exister, aucun droit à la vie…

 

 

Voilà encore des témoignages de victimes de la Ligue du LOL décrivant exactement ce que j’ai subi moi aussi de 2008 à 2010 sur les sites Rue89 et le Post, après m’être révélée sur le premier comme victime de harcèlement moral en entreprise.

J’en ai déjà parlé dans cet article il y a deux jours, en oubliant les usurpations d’identité qui commencent dès les mois de février et mars 2009 sur le site Rue89 – une vraie manie du psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi :

http://petitcoucou.unblog.fr/2019/02/19/quand-la-ligue-du-lol-faisait-du-luraghi-pascal-edouard-cyprien/

Seule différence avec les victimes de la Ligue du LOL, mais de taille : j’étais totalement anonyme et n’avais jamais fourni dans aucun de mes commentaires aucun élément qui permette de m’identifier ou d’identifier des tiers, hors un ancien psychiatre brestois déjà plusieurs fois condamné par contumace pour des faits de pédophilie ou d’agressions sexuelles sur plusieurs de ses jeunes patients handicapés mentaux, le  dénommé Serge Rodallec, en fuite à l’étranger depuis l’automne 2005, et qui sera retrouvé en Thaïlande au mois de janvier 2010, puis rejugé et condamné pour tous ses crimes en première instance comme en appel, cette fois en sa présence; or, j’étais bien harcelée avec de nombreuses allusions à ma vie privée et mon passé professionnel, qu’aucun de mes harceleurs, que je ne connaissais pas, n’était censé connaître. Comme cela sera amplement confirmé par la suite par de nombreux éléments de preuve ne présentant aucune ambiguïté, j’étais en fait piratée et illégalement écoutée par ces personnes qui alors agissaient toutes masquées hormis leur chef Pascal Edouard Cyprien Luraghi, et étaient aussi alimentées à mon sujet en de nombreuses fausses informations ou inventions calomnieuses émanant de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest qui dirigeait déjà tous les harcèlements dont j’étais victime à Brest depuis mon arrivée dans cette ville en 1995, après m’avoir aussi fait harceler dans mon travail auparavant, à tel point que j’avais dû me réfugier à Brest pour échapper à des tentatives d’assassinat devenues itératives.

En parallèle, j’étais aussi régulièrement calomniée sur le blog Luraghi, comme sur des pages du Post ou de Rue89 où je n’intervenais même pas.

Ces harcèlements primitifs prendront une tournure beaucoup plus violente en 2010, notamment à compter du mois de juin 2010, du fait qu’après avoir été bannie successivement des sites Rue89 et Le Post à la demande – très insistante – de mes harceleurs, j’avais ouvert un blog dénommé « Un petit coucou » sur la plateforme OverBlog, où je racontais un peu pour la toute première fois ce que j’avais subi sur ces deux sites durant deux ans, tout en continuant à commenter des faits de l’actualité : mes harceleurs ne supportant absolument pas que je qualifie leurs agissements de harcèlements s’étaient mis dès lors à m’accuser de les « diffamer » ou les « calomnier »… ce qui à leurs yeux justifiait pleinement une sévère escalade dans les violences qu’ils me faisaient déjà subir depuis deux ans…

Mais ils n’admettaient pas davantage de voir sauter leurs comptes sur Rue89 au motif du « harcèlement personnel » auquel ils se livraient en meute sous forme de raids à l’encontre d’autres internautes, ne reconnaissant toujours que des « moqueries » selon eux parfaitement justifiées…

Au mois d’avril 2010, donc, ils vont recruter de nouveaux harceleurs quasi professionnels dont, notamment, le psychopathe Jean-Marc Donnadieu, en vue d’obtenir la suppression de ce blog comme ils avaient déjà obtenu mon bannissement des sites Rue89 et Le Post, mais aussi, des condamnations judiciaires les plus lourdes possible et un internement psychiatrique « à vie », puis se mettent, à compter du mois de juin 2010, à révéler au public mon identité et tout ce que leur contait à mon sujet depuis le début de leurs harcèlements à mon encontre, en 2008, la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest qui, appelée à la rescousse par son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi, participe dès lors aux harcèlements et campagnes de calomnies publiques de la bande à mon encontre sans plus se cacher.

Leur logique n’a jamais varié : estimant avoir eux-mêmes tous les droits, ils avaient décrété dès 2008 que j’aurais dû être interdite de toute expression publique, la fin, selon eux parfaitement justifiée, justifiant aussi tous les moyens employés, et le tout rendant nécessairement à leurs yeux totalement inacceptable toute résistance comme toute forme de réponse ou de dénonciation de ma part, qu’elle soit publique ou judiciaire. Notamment, je n’ai pas le droit de démentir ou corriger toutes les informations, fausses pour la plupart, qu’ils publient à mon sujet à compter de juin 2010 en violation de mon droit au respect de la vie privée et mes démentis et droits de réponse justifient dès lors des poursuites judiciaires totalement hallucinantes où la charge de la preuve est toujours abusivement ou illégalement renversée, outre que je suis aussi systématiquement accusée mensongèrement de faits que je n’ai pas commis (et qui sont de même nature que les faits délictueux dont je suis moi réellement victime de la part de mes harceleurs donnant désormais dans la dénonciation calomnieuse) : c’est à moi qu’il appartient ainsi de me justifier quant à mes allégations publiques anonymes sur ma propre vie privée, pas à eux qui clament partout haut et fort en avoir publié la vraie version… et prétendent avoir été, selon les cas, « diffamés » ou « harcelés » par mes démentis et droits de réponse consécutifs à leurs campagnes de calomnies publiques à mon encontre…

Nous en sommes toujours là aujourd’hui. En 2016, le psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi demandait encore au juge des référés du Tribunal de Grande Instance de Paris la suppression de la totalité de mes écrits publics et mon interdiction définitive de toute expression publique, estimant en cela être dans son bon droit, tout comme lorsqu’il exigeait en 2009 et au cours des années suivantes la suppression de mes comptes et de la totalité de mes écrits publics sur les sites Rue89 et Le Post, puis sur la plateforme de blogs OverBlog. Tout comme lui, son complice Jean-Marc Donnadieu de Béziers, qui avec lui et toute sa bande continue à violer l’intimité de ma vie privée de toutes les manières possibles et imaginables, m’accuse toujours de le « harceler » alors que je me contente de raconter et d’expliquer ce qu’ils me font subir en toute impunité depuis maintenant plus de dix ans, avec la complicité, il est vrai, des magistrats ultra CORROMPUS du Tribunal de Grande Instance de Brest (nous y reviendrons).

Mais revenons-en à la Ligue du LOL et ses méfaits, comparables aux harcèlements du psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi et de sa bande de « déconnologues » contre nombre d’autres internautes, parfois aussi des journalistes, sur les sites Rue89 et Le Post à compter de l’année 2008.

« Quand on nous dit qu’on n’a pas le droit d’exister virtuellement, on se dit qu’on n’a pas le droit d’exister non plus dans la vraie vie », conclut Thomas Messias, qui en a été victime.

En ce qui me concerne, je n’avais déjà plus aucun droit d’exister dans la vraie vie lorsque je me suis inscrite sur le site Rue89 pour y commenter quelques articles. Je ne pouvais plus depuis de nombreuses années tenter de m’insérer où que ce soit ou de me lier avec qui que ce soit sans être automatiquement harcelée et agressée par des personnes au service de mes anciens employeurs harceleurs, c’est-à-dire principalement, à Brest depuis l’année 1995, la criminelle Josette Brenterch de la LCR de Brest et ses sbires, tous pervers ou psychopathes.

Internet était la seule, la dernière, l’ultime fenêtre ouverte sur l’extérieur qui me restait.

Josette Brenterch n’a pas lésiné sur les moyens pour m’y interdire l’accès comme elle m’avait déjà fermé toutes les autres portes ou fenêtres – termes qu’elle utilise bien d’elle-même dans ses plaintes contre moi en évoquant tous ses précédents succès à mon encontre, alors qu’elle me surveillait depuis des lustres par divers moyens illégaux pour être en mesure de me faire exclure absolument de tout lieu ou tout tissu social où je tentais de m’insérer, toujours en mobilisant tous ses réseaux, politiques et autres, notamment journalistiques.

Elle a bien bénéficié de la complicité de journalistes proches de la LCR pour me faire harceler sur Internet, et d’abord sur le site Rue89 en 2008.

J’ai déjà évoqué à plusieurs reprises le cas de David Servenay, auteur des premières violences que j’ai subies sur ce site, début septembre 2008 :

http://petitcoucou.unblog.fr/2015/04/26/du-commencement-de-mes-problemes-sur-le-site-rue89-en-2008/

http://petitcoucou.unblog.fr/2018/10/29/pourquoi-et-comment-david-servenay-me-fait-passer-pour-folle-depuis-2008/

http://petitcoucou.unblog.fr/2018/11/11/de-la-violence-du-pervers-narcissique-david-servenay/

Voilà les deux courriers électroniques qu’il m’avait envoyés coup sur coup le 6 septembre 2008 après avoir supprimé mon premier compte sur le site Rue89, « existe », et l’intégralité des commentaires y afférents depuis sa création au mois de décembre 2007 :

 

Le 06/09/2008 à 13:17, david servenay a écrit :

Cher exist,
J’ai, à plusieurs reprises, été obligé de dépublier vos commentaires (échanges ?) avec pomponette sous l’article consacré au harcèlement, notamment parce qu’il relevait de l’insulte gratuite et qu’il n’était en aucune mesure en relation avec le sujet de l’article.
Vous contrevenez ainsi aux principes de notre charte des commentaires que je vous invite à relire.
Si vous persistez dans cette voie, nous serons alors contraint de désactiver votre compte.
Cordialement,
DS


David Servenay
Journaliste Rue89
01 55 25 74 98

Le 06/09/2008 à 15:38, david servenay a écrit :

Exist,
Comme je vous l’indiquai lors de mon précédent mail, nous avons dû désactiver votre compte.
Vous n’avez respecté la charte des commentaires de Rue89, prohibant notamment les insultes et les interventions hors sujet.
Nous regrettons ce genre de comportement qui ne contribue pas à améliorer la qualité des débats.
Cordialement,
DS


David Servenay
Journaliste Rue89
01 55 25 74 98

 

Quoiqu’ils aient été envoyés avec plus de deux heures d’écart, je ne les avais reçus, tous les deux en même temps, qu’après la suppression du compte – et non sa seule désactivation.

Tenter d’accéder au compte « existe » ne me renvoyait plus alors que la mention : « does not exist ».

Pourquoi m’avoir appelée dans ces deux mails « exist » et non « existe » ?

Manifestement, il s’agit de pure perversité.

Il m’a toujours semblé qu’il ne supportait pas que je puisse être une femme compte tenu de mon profil d’ingénieur ayant de plus travaillé pour la Défense nationale sur des projets classés.

Par ailleurs, contrairement à ce qu’il prétend, ce n’est pas moi qui insultais ou tenais des propos hors sujet, mais bien la riveraine « Pomponette », non intéressée par le sujet de débat et venue brutalement m’y attaquer, avec sa complicité évidente.

Je m’étais inscrite avec ce pseudonyme, de mon point de vue non genré, non pas dans l’idée de dire « j’existe », mais dans celle de m’exprimer spécifiquement sur des sujets habituellement peu ou pas traités par les médias, afin d’informer le public : « ça existe », il faut le savoir.

En en retirant la marque d’un féminin hypothétique, c’est bien la personne qu’il attaquait directement, qu’il supprimait de la manière la plus radicale qui soit, me signifiant ainsi que je n’existais pas, ou plus.

Je ne suis pas la seule à me plaindre de sa part de négationnisme :

http://petitcoucou.unblog.fr/2018/10/26/david-servenay-le-negationnisme-pour-profession-de-foi/

Après ce coup-là, ayant été autorisée à me réinscrire sur le site Rue89 par Arnaud Aubron à la suite de protestations de plusieurs autres riverains qui tous appréciaient mes commentaires sur le site et avaient été assez choqués par ce qui s’était passé, j’étais revenue sous le pseudonyme de « jexiste, si, si » répondant évidemment à cet assassinat virtuel faisant écho aux différentes tentatives d’assassinat dont j’avais déjà été victime dans la « vraie vie », comme le savait bien le pervers David Servenay.

Et à peine avais-je recommencé à commenter des articles relatifs au problème du harcèlement moral en entreprise que j’étais menacée de mort par des inconnus venus cogner à la porte de mon domicile comme des malades deux nuits consécutives… Ils hurlaient dans la rue à mon adresse en évoquant mes commentaires sur le sujet du harcèlement moral sur le site Rue89.

Que le harcèlement commence ou se termine par Internet, il s’agit bien d’une négation totale du droit à la vie, comme cela m’a maintes fois été signifié on ne peut plus clairement par mes harceleurs, dans la vraie vie comme sur Internet.

 

https://www.francetvinfo.fr/societe/harcelement/ligue-du-lol/video-il-faut-le-dire-vous-vous-effondrez-victimes-de-la-ligue-du-lol-ils-temoignent_3192137.html

VIDEO. « Il faut le dire : vous vous effondrez » : des victimes de « La Ligue du LOL » témoignent

 

Un groupe Facebook actif depuis 2009, « La Ligue du LOL », a été à l’origine d’un harcèlement ciblé et organisé sur les réseaux sociaux. Quatre de leurs victimes témoignent auprès de franceinfo.

« Ils étaient vraiment plusieurs, en tirs groupés. Et c’était ça qui était très, très angoissant. » Florence Porcel est l’une des victimes de « La Ligue du LOL ». La vulgarisatrice scientifique a subi pendant des années un violent harcèlement sur les réseaux sociaux qui s’est même traduit dans la vie réelle. La scène s’est déroulée il y a près de sept ans, mais celle qui travaillait à l’époque sur l’émission « Le Grand Webzé » n’a rien oublié. « Ils sont venus me trouver, m’encercler, pour me demander de leur présenter François Rollin, qui était le coanimateur » de l’émissionse remémore-t-elle. Ce harcèlement avait commencé par des vagues de tweets malveillants, venant de plusieurs comptes, identifiables ou anonymes.

>> ENQUETE FRANCEINFO. « La Ligue du LOL » : comment un groupe Facebook « pour s’amuser » s’est transformée en machine à humilier

Le même mode opératoire est raconté par les victimes contactées par franceinfo. Des dizaines de personnes humiliaient, insultaient et menaçaient des internautes connus sur Twitter.

Une « bande de copains » influents

En 2009, lorsque le groupe est créé, les internautes sont encore peu à avoir investi le réseau social au petit oiseau bleu. Les jeunes journalistes, communicants et blogueurs présents se connaissent, au moins de nom ou de pseudo. Parmi eux, les membres de « La Ligue du LOL » sont influents et travaillent pour la plupart dans les médias, la communication et la publicité. « Une bande de copains« , selon Galliane, ancienne blogueuse et community manager. Ils décident de s’attaquer aux personnes « qui avaient de la visibilité sur Twitter« , d’après Christophe Ramel, lui aussi community manager freelance et blogueur pendant plusieurs années.

Leurs cibles sont souvent des femmes qui travaillent dans les mêmes milieux qu’eux. « Ma femme, qui est également journaliste, était blogueuse à l’époque, et tenait un blog qui parlait de sa vie de femme, de mère, de sa vie professionnelle », explique Thomas Messias, professeur de mathématiques dans le Nord et pigiste à Slate. Il a lui aussi été victime de harcèlement de la part de membres de « La Ligue du LOL » : « Ces gens, à chaque publication (…), se moquaient quel que soit le sujet. »

Ils avaient créé un hashtag avec le nom de mon blog et ils partageaient tout un tas de contenus vraiment obscènes par ce biais-là. Une fois, une personne a même donné [sur Twitter] mon adresse, ma vraie adresse.

Christophe Ramel, ancien community manager et blogueurà franceinfo

Les membres de « La Ligue du LOL » forment une communauté soudée et réactive. Le harcèlement qu’ils exercent à l’encontre de leurs cibles est organisé au sein du groupe Facebook, comme l’explique Christophe Ramel : « Dès qu’il y avait une personne qui en parlait, dans les 20, 25 minutes, il y en avait une dizaine qui rebondissaient. » 

« On se dit qu’on n’a pas le droit d’exister »

Les insultes sont misogynes, racistes, homophobes, antisémites, grossophobes. Des victimes découvrent leur visage sur des montages humiliants, souvent à caractère pornographique. Un harcèlement d’autant plus violent que les membres de « La Ligue du LOL » sont très suivis sur Twitter. Leurs messages sont relayés par leurs followers, augmentant la souffrance de leurs victimes. « Si tous les jours, à chaque fois que vous tweetez, quelqu’un vient pour vous harceler, vous pétez un plomb », raconte Galliane.

La vingtaine de victimes contactée par franceinfo espère que ces révélations alerteront sur la réalité du cyberharcèlement : « Quand on nous dit qu’on n’a pas le droit d’exister virtuellement, on se dit qu’on n’a pas le droit d’exister non plus dans la vraie vie », conclut Thomas Messias.

 



Ligue du LOL, Les Inrocks : des harceleurs issus de Rue89 ?

Quand la presse va-t-elle approfondir la question ?

Arnaud Aubron a quitté Rue89 pour Les Inrocks fin 2009.

En 2008 et 2009, je l’ai vu soutenir les harcèlements de la bande de « déconnologues » du psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi par plusieurs actes positifs.

A l’automne 2008, c’est lui qui avait autorisé la publication sur le site Rue89 d’un billet d’humeur du blogueur Charles Mouloud visant les femmes victimes de harcèlement moral en entreprise qui étaient déjà harcelées sur ce site par le cybercriminel et ses amis. Elles se trouvaient là qualifiées de « trolls » et cette publication, comme annoncé au préalable sur le blog Luraghi, n’était que prétexte à les pourrir massivement sur Rue89 où leur présence dérangeait. Elles y avaient pourtant été attirées par des invitations explicites à témoigner et débattre sur se sujet du harcèlement moral en entreprise qu’elles connaissaient bien dans les commentaires sur des articles du site y consacrés.

Au mois d’août 2009, Yann Guégan ayant supprimé des centaines de commentaires hors charte de ces cyberharceleurs qui se nommaient « déconnologues », ceux-ci ne pouvant le tolérer avaient tous quitté le site Rue89 pour se retrouver sur le blog de leur « Konducator ».

Ce sont là deux grands événements fondateurs de son groupe, avec l’arrivée du pseudonymé « Hulk, gros con de droite » au mois de mars 2009.

Or, Arnaud Aubron avait ensuite tenté de les faire revenir sur le site, ce qu’ils feront effectivement, mais pas tout de suite.

En attendant, son courrier électronique adressé à « Hulk » avait été immédiatement publié dans les commentaires de l’ICI-BLOG.

 

https://fr.sputniknews.com/france/201902191040088519-ligue-lol-les-inrocks/

Mediapart

Quand l’entre-soi masculin de la Ligue du LOL empoisonne Les Inrocks, enquête de Mediapart

 

© AFP 2018 Lionel BONAVENTURE

France

18:40 19.02.2019URL courte
315

 

Certaines méthodes de la Ligue du LOL, notamment le machisme et le harcèlement, semblent «avoir contaminé la rédaction» du magazine culturel Les Inrockuptibles, dont deux collaborateurs se sont avérés être membres de ce groupe, révèle Mediapart dans son enquête.

Peu après qu’il a été révélé que deux journalistes des Inrocks — David Doucet, rédacteur en chef du service Web, et François-Luc Doyez, son adjoint – faisaient partie de la Ligue du LOL, ce groupe Facebook fermé dont des membres ont harcelé en ligne plusieurs personnes, Mediapart a contacté vingt personnes travaillant ou ayant travaillé pour ce magazine branché pour faire la lumière sur l’ambiance.

«Le tableau qu’ils et elles dépeignent est effarant. La plupart d’entre eux ont demandé à rester anonymes. « Par peur des représailles », au niveau « professionnel » ou  » personnel », nous ont confié plusieurs journalistes. Y compris parmi celles et ceux qui ont retrouvé du travail ailleurs», lit-on dans l’enquête du journal en ligne.

Les mots qu’une partie d’entre eux répètent ne sont autres que «peur», «intimidations», «humiliations», «un système de domination», «piques répétées», «entre-soi masculin».

La Tour Eiffel à Paris
© AFP 2018 Alain Jocard

 
Harcèlement: la «ligue du LOL» fait des remous jusqu’au sein de la mairie de Paris

Certains se disent notamment avoir été victimes de harcèlement, de photomontages calomnieux et mentionnent des pratiques de flicage. Qui plus est, certains évoquent celle de la consultation des ordinateurs des collaborateurs.«Les sources interrogées par Mediapart décrivent aussi une ambiance de « boy’s club » proche de celle parfois en vigueur à la Ligue du LOL, ou de « vestiaire de foot », où une certaine sociabilité masculine règne en maître, écartant de facto les femmes et les hommes n’entrant pas dans ce schéma», écrit Mediapart.

Contacté par ce média, David Doucet a affirmé «avec force n’avoir jamais commis les actes» décrits.

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Arnaud_Aubron

Arnaud Aubron

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Arnaud Aubron
Données clés
Naissance 16 mai 1974 (44 ans)
Nationalité Française
Profession
Journaliste
Activité principale
Président de Courrier international (depuis 2014)

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Arnaud Aubron (né en 1974) est un journaliste français, co-fondateur du site Rue89 et président du directoire de l’hebdomadaire Courrier international depuis février 20141.

Carrière

Diplômé de Sciences-Po Paris en 1996, Arnaud Aubron intègre par la suite le Centre universitaire d’enseignement du journalisme (CUEJ) de Strasbourg2. Il rejoint en 1998 le quotidien Libération comme secrétaire de rédaction et y écrit notamment de nombreux articles sur les drogues.

En mai 2007, alors rédacteur en chef adjoint à Libération, il quitte l’entreprise avec les journalistes Pierre Haski, Pascal Riché et Laurent Mauriac pour fonder le site d’information Rue893 dont il devient rédacteur en chef adjoint. À la fin de 2009, il est recruté par Matthieu Pigasse pour rejoindre la nouvelle équipe des Inrockuptibles en tant que rédacteur en chef et directeur du numérique4.

En mars 2012, il publie chez Don Quichotte (Seuil) Drogues Store5, dictionnaire rock, historique et politique des drogues. La même année, à la suite du départ de David Kessler pour l’Élysée, Arnaud Aubron est nommé directeur général des Inrockuptibles6 aux côtés d’Audrey Pulvar. Il quittera finalement l’entreprise au bout de quelques mois à la suite de sa mésentente avec la directrice éditoriale7, qui quittera elle-même les Inrockuptibles peu de temps après.

Après avoir monté sa société de conseil fin 2012, il est finalement nommé président du directoire et directeur de la publication de l’hebdomadaire Courrier international en février 20148.

Notes et références

  1. « Fiche d’Arnaud Aubron » [archive], sur whoswho.fr, 22 juin 2015 (consulté le 17 juillet 2015)
  2. « Arnaud Aubron » [archive], sur franceinter.fr, 21 février 2012
  3. « Des anciens de Libération lancent Rue89.com » [archive], sur obsession.nouvelobs.com, 6 mai 2007
  4. Audrey Cerdan, « Arnaud Aubron aux Inrocks » [archive], sur gqmagazine.fr, 11 décembre 2009
  5. Stéphanie Estournet, « Dico Imprégnation stupéfiante » [archive], sur liberation.fr, 31 mars 2012
  6. « Audrey Pulvar et Arnaud Aubron nommés à la direction générale des Inrockuptibles » [archive], sur lesinrocks.com, 13 juillet 2012
  7. Emmanuelle Anizon et Olivier Tesquet, « L’arrivée d’Audrey Pulvar fait tanguer les Inrocks » [archive], sur telerama.fr, 4 septembre 2012
  8. Fabienne Schmitt, « Arnaud Aubron, le patron geek de Courrier international » [archive], sur lesechos.fr, 27 février 2014

 



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