Juin 2010 : Pascal Edouard Cyprien Luraghi ouvre son blog Tique Toc 8 mars
Ici, je vous propose de découvrir une sélection des tout premiers textes du maître sur son blog Tique Toc, sachant qu’il n’était pas seul à y écrire, que toute sa bande de « déconnologues » y postait des commentaires aussi injurieux et calomnieux à mon égard à longueur de journée et même la nuit, comme le montre l’extrait de ce blog que j’ai publié dans mon précédent article, et qui en constitue une page intégrale.
En règle générale, Cyprien Luraghi était l’auteur du billet de blog ouvrant les vannes pour ce flot continu d’ordures quotidiennes, tout comme sur son blog principal, toujours actif à l’identique durant le même temps, c’est-à-dire que j’y étais aussi injuriée, calomniée, menacée, mise en danger quotidiennement par toute la bande de « déconnologues » en délire.
Cependant, parfois, ce billet ouvreur était le fait d’un de ses complices, comme celui du 14 juin 2010 dont copie ci-dessous, écrit par la riveraine de Rue89 et « déconnologue » répondant au pseudonyme de « Félicité-Mafoi », dont nous apprendrons un an plus tard qu’elle était un de nos pirates les plus actifs, puisque c’est elle qui, au moins au printemps 2011, renvoyait tous les jours à ses complices cybercriminels tous nos courriers électroniques volés. Or, de sa véritable identité Sylvie Depierre-Zabel, elle n’est autre que la petite soeur du journaliste sportif Roger Zabel…
J’ignore quelle peut être la personne dont elle avait publié une photographie dans son article du 14 juin 2010 destiné à me salir. En tous les cas, ce n’est pas moi.
En ce qui concerne leurs prétentions me concernant, elles sont bien évidemment toutes mensongères, et pour ce qui est des accusations proférées alors par le « Konducator », il s’était en fait amusé à m’attribuer mensongèrement tous leurs comportements délictueux à mon égard, particulièrement les siens, alors qu’à cette date, je n’avais révélé aucune identité ni adresse mail ou IP et n’ai bien évidemment jamais traqué ni harcelé personne sur Internet. Je ne révélais pas davantage d’éléments de leurs vies privées, que de toute façon je ne connaissais pas, et ne m’intéressais pas non plus à leurs enfants, quoique j’aie bien déjà été harcelée par certains d’entre eux, notamment sur le site Rue89 en 2009 par Gaspard Luraghi agissant comme son père sous son vrai nom ou sans cacher son identité. En réalité, c’est moi qui étais alors une de leurs cibles depuis deux ans et subissais de leur part tous ces agissements qui n’ont jamais été les miens.
Par ailleurs, les tombereaux d’insultes qu’ils déversaient partout sur le net à mon sujet étant d’eux-mêmes suffisamment clairs, je ne les commente pas et fais simplement observer que pour les juges brestois, Pascal Edouard Cyprien Luraghi a parfaitement le droit de me traiter de « guenon putride » et tout le reste, alors que quand en retour, et pour répondre à toutes les inventions calomnieuses qui sont publiées à mon sujet sur ses deux blogs sous le pseudonyme de « Chepita » à compter du 30 juin 2010, j’évoque cette « guenon » en n’utilisant que son pseudonyme pour la citer, c’est tellement grave qu’après ma condamnation du 11 juin 2013 (annulée en appel le 2 décembre 2015) mon propre avocat de 2011 à 2013 me dira en présence de ma mère, outrée par ses propos de ce jour-là, cette décision bien justifiée par cette insulte… et restera comme toujours totalement muet à l’évocation de tout ce que je subissais de la part de cette criminelle et de ses complices « déconnologues » depuis l’année 2008 – là, pour les « juristes » brestois, qu’ils soient magistrats ou avocats, tout est toujours parfaitement normal, il n’y a qu’ailleurs que ça choque…
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