Jean-Marc Manach refuse d’entendre parler des échecs judiciaires de Pascal Edouard Cyprien Luraghi 13 mars
Dès que j’ai commencé à évoquer le cas de Jean-Marc Manach après les révélations du mois dernier sur la Ligue du LOL, le cybercriminel et harceleur Jean-Marc Donnadieu s’est empressé d’aller le lui dire sur son blog, dans les commentaires sous l’article qu’il avait consacré à ce sujet, ici :
http://bugbrother.blog.lemonde.fr/2019/02/17/david-doucet-et-la-presomption-de-culpabilite/
J’y ai répondu de la même manière après avoir vainement signalé ce commentaire comme calomnieux à mon égard, car je ne suis pas dérangée et ne pratique pas le cyberharcèlement, contrairement à mes harceleurs et leurs complices journalistes, dont Jean-Marc Manach lui-même, qui m’avait présentée mensongèrement comme coupable de tels faits à l’encontre de mes harceleurs de la bande du cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi dans son émission du 10 septembre 2013, alors que la situation a toujours été inverse depuis le début de leurs harcèlements à mon encontre sur le site Rue89 en 2008.
Voilà ce commentaire, qui fait suite au précédent :
Ce premier commentaire que j’ai posté sur cet article n’a dérangé personne, il est toujours en place.
Après ma troisième publication concernant Jean-Marc Manach, je suis allée la lui signaler moi-même au moyen d’un nouveau commentaire assez bref sur son blog, en précisant qu’il ne s’agissait toujours pas de harcèlement de ma part, cette question ayant été tranchée de manière définitive le 11 avril 2018 en conclusion de la procédure parisienne du dénommé Pascal Edouard (Cyprien) Luraghi à mon encontre, comme exposé sur cette page de mon blog :
http://petitcoucou.unblog.fr/11-avril-2018-cyprien-luraghi-a-encore-perdu/
En effet, tant que je me contente de raconter tout ce dont je suis victime d’une manière honnête et sans menacer personne, il n’y a aucun harcèlement de ma part contre quiconque.
Tout au plus ceux qui estiment que mes récits et explications, pourtant toujours parsemés de nombreux éléments de preuves, ne correspondraient pas à la réalité, pourraient-ils se plaindre d’injures ou de diffamations publiques à leur encontre après m’avoir vainement demandé de corriger mes textes.
Cependant, à ce jour, hormis un journaliste du Télégramme pour une petite coquille dans une des mes publications sur mon ancien blog « Un petit coucou » chez OverBlog, ainsi qu’un ami de feu Thierry Chatbi en 2010, puis Cathy Luraghi en 2012, que j’avais tous trois satisfaits immédiatement, personne ne m’a jamais demandé de corriger quoi que ce soit ni de publier le moindre droit de réponse.
Mes harceleurs de la bande du cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi exigent toujours quant à eux, tout comme aux tout débuts de leurs harcèlements à mon encontre sur le site Rue89, la suppression de la totalité de mes écrits publics, car ils ne supportent toujours pas que je puisse donner dans mes écrits publics quelques éléments de ma propre biographie, ni que je puisse me faire connaître d’un public pour ce que je suis vraiment à travers tous ces écrits, quels qu’en soient les sujets, et même en restant anonyme.
Leurs démarches ne sont pas honnêtes, elles procèdent de la volonté des chefs de bande de ne faire connaître au public que leur version de ma biographie, laquelle est presque entièrement fausse, calomnieuse et particulièrement infamante pour moi comme pour mon entourage et toutes les personnes qui au cours de mon existence ont pu m’accorder leur confiance, notamment dans le domaine professionnel.
Elles ont donc été sanctionnées par une fin de non-recevoir définitive le 11 avril 2018 par la Cour d’Appel de Paris.
Le dénommé Pascal Edouard dit Cyprien Luraghi n’en a jamais informé son public.
Je suis la seule à écrire et publier à ce sujet.
Or, je me suis aperçue hier soir que mon second commentaire sur le blog de Jean-Marc Manach, portant mention de cet échec judiciaire de mes harceleurs, avait été supprimé depuis peu, alors que le cybercriminel et harceleur professionnel Jean-Marc Donnadieu avait annoncé dans la matinée avoir été contacté par un journaliste pour parler de cyberharcèlement :
http://petitcoucou.unblog.fr/2019/03/12/un-journaliste-sinteresse-au-cybercriminel-et-harceleur-jean-marc-donnadieu/
Au contraire, le troisième commentaire que j’avais posté sur le même article s’y trouvait toujours. C’est celui-ci par lequel j’annonçais une cinquième publication concernant Jean-Marc Manach :
J’en ai déduit assez logiquement que ce ne sont pas ces annonces qui dérangent l’intéressé et que mon second commentaire sur son blog avait donc été supprimé parce qu’il comportait un lien hypertexte menant vers la page de mon blog relative à l’échec du cybercriminel et harceleur Pascal Edouard Cyprien Luraghi devant le Cour d’Appel de Paris l’année dernière, celui-ci ayant été précédé d’un autre échec, en première instance, devant le Tribunal de Grande Instance de Paris, où je m’étais défendue seule, sans avocat.
Afin de vérifier la validité de mes déductions, j’ai posté hier soir sur le même blog un commentaire beaucoup plus long que les précédents, dans lequel je posais franchement la question des raisons de la suppression du second de ces commentaires en expliquant de manière assez explicite ce qu’est cet arrêt du 11 avril 2018 qui depuis lors fait jurisprudence en matière de cyberharcèlement et devrait donc intéresser tous ceux qui actuellement en sont accusés et s’en défendent, considérant – à tort ou à raison – qu’ils n’ont harcelé personne.
Bingo ! Ce matin à la première heure, il avait déjà disparu…
On savait déjà Jean-Marc Manach fort malhonnête, cela se confirme encore une fois…
A lire ou à relire :
http://petitcoucou.unblog.fr/2019/02/11/jean-marc-donnadieu-de-beziers-son-echappee-en-solitaire-de-la-ligue-du-lol/
http://petitcoucou.unblog.fr/2019/02/16/ligue-du-lol-le-journaliste-david-servenay-a-encore-perdu-une-bonne-occasion-de-se-faire-discret/
http://petitcoucou.unblog.fr/2019/02/19/quand-la-ligue-du-lol-faisait-du-luraghi-pascal-edouard-cyprien/
http://petitcoucou.unblog.fr/2019/02/20/ligue-du-lol-apres-les-journalistes-deux-agents-de-la-mairie-de-paris-suspendus/
http://petitcoucou.unblog.fr/2019/02/21/ligue-du-lol-les-inrocks-des-harceleurs-issus-de-rue89/
http://petitcoucou.unblog.fr/2019/02/21/victimes-de-la-ligue-du-lol-et-autres-harceleurs-aucun-droit-dexister-aucun-droit-a-la-vie/
http://petitcoucou.unblog.fr/2019/02/26/ligue-du-lol-et-autres-jean-marc-manach-darret-sur-images-aime-beaucoup-trop-les-cyberharceleurs/
http://petitcoucou.unblog.fr/2019/02/27/pascal-edouard-cyprien-luraghi-de-puy-leveque-et-jean-marc-donnadieu-de-beziers-deux-predateurs/
http://petitcoucou.unblog.fr/2019/02/27/ligue-du-lol-et-autres-jean-marc-manach-defend-lindefendable/
http://petitcoucou.unblog.fr/2019/02/28/ligue-du-lol-jean-marc-manach-provoque-la-colere-des-victimes-et-le-degout-des-abonnes-dasi/
http://petitcoucou.unblog.fr/2019/03/01/cybercriminalite-jean-marc-manach-ou-la-comprenette-tout-a-lenvers/
http://petitcoucou.unblog.fr/2019/03/02/ligue-du-lol-les-cool-kids-ont-pour-mere-une-prostituee-nommee-jean-marc-manach/
http://petitcoucou.unblog.fr/2019/03/04/ligue-du-lol-deux-nouveaux-journalistes-remercies-ou-licencies-toujours-rien-sur-rue89/
http://petitcoucou.unblog.fr/2019/03/05/jean-marc-manach-et-ses-gentisl-trolls-haro-sur-la-dissidence/
http://petitcoucou.unblog.fr/2019/03/06/comment-cyprien-luraghi-exige-mon-exclusion-de-rue89-en-2009/
http://petitcoucou.unblog.fr/2019/03/06/des-precurseurs-de-la-ligue-du-lol-sur-le-site-rue89/
http://petitcoucou.unblog.fr/2019/03/07/ligue-du-lol-nouvelles-pierres-dans-le-jardin-de-jean-marc-manach-en-provenance-des-inrocks/
http://petitcoucou.unblog.fr/2019/03/08/journee-de-la-femme-2019-encore-une-pierre-dans-le-jardin-de-jean-marc-manach/
http://petitcoucou.unblog.fr/2019/03/08/juin-2010-pascal-edouard-cyprien-luraghi-ouvre-son-blog-tique-toc/
http://petitcoucou.unblog.fr/2019/03/10/jean-marc-manach-bien-en-vue-sur-google-avec-la-ligue-du-lol/
Ajout du 14 mars 2019 :
Mon commentaire du 12 mars au soir sur le blog de Jean-Marc Manach, qui en avait été promptement supprimé, y est revenu aujourd’hui :