Comment Patricia Bouchon a été tuée le 14 février 2011 21 mars
Selon la mère « dodu », femme médecin épouse de médecin (« Samaj » chez les tarés du blog Luraghi) se partageant entre Paris et Montpellier, « déconnologue » et soeur masculiniste notoire, pas du tout opposée aux fellations entre collègues de travail, bien au contraire, mais ne tolérant pas celles qui s’y refusent et peuvent se plaindre de harcèlement sexuel ou pire lorsqu’elles y sont contraintes, là où le corps de Patricia Bouchon avait été caché, il ne serait sans doute pas retrouvé avant un an et la décomposition ayant fait son oeuvre, il ne pourrait plus « parler ».
Sitôt après l’assassinat, elle était donc tranquille, ne s’inquiétait pour aucun de ses complices et les rassurait publiquement à peu près dans les termes que je viens de rapporter.
Finalement, le corps a été découvert de manière fortuite un mois et demi après les faits, autopsié, et la presse s’est dès lors fait l’écho des conclusions des légistes avec suffisamment de précisions pour que quiconque ayant alors la curiosité de lire ou relire les discussions publiques des « déconnologues » sur leurs blogs privilégiés, ceux du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi, puisse reconnaître l’une après l’autre, chacune des violences précises qui furent infligées à Patricia Bouchon par son agresseur le 14 février 2011 dans tous les délires publics de cette bande de cinglés durant les trois semaines ayant suivi les faits. Ils en hurlaient de rire tous ensemble.
Personnellement, je l’ai fait beaucoup plus tard, pour les besoins des procédures nous opposant, et c’est seulement là que j’ai compris tous ces délires qui bien évidemment ne m’évoquaient pas grand-chose à l’époque des faits, lorsque calomniée à outrance par toute la bande, son chef en tête, je consultais régulièrement leurs écrits pour ce qui me concernait : je n’y voyais que les délires quotidiens de cette bande de tarés, avec toutes leurs violences et ordures habituelles, ne pouvant soupçonner que cette fois ils évoquaient tous les détails d’un crime bien réel – personne ne savait ce qui était arrivé à Patricia Bouchon, hormis son agresseur, elle avait simplement disparu – et de manière rétrospective, je me demande de combien d’autres crimes aussi réels ils ont pu publiquement s’amuser de la même manière, toujours à l’insu de leurs lecteurs innocents, tous dans l’incapacité de comprendre leurs délires publics par défaut d’information parfaitement claire sur leurs activités criminelles non assumées.
Précisons encore que le malade mental extrêmement dangereux et non moins rusé Pascal Edouard Cyprien Luraghi a supprimé de l’espace public tous ces textes concernant directement l’assassinat de Patricia Bouchon le 14 février 2011 dès le mois d’avril 2011, et qu’il fallait donc les avoir enregistrés avant pour pouvoir les reconsulter ultérieurement, comme je l’ai fait quand j’en ai eu besoin beaucoup plus tard, après avoir, dans l’intervalle, pris connaissance des résultats de l’autopsie tels que rapportés par la presse à compter de ce mois d’avril 2011.
Je suivais cette affaire depuis le début car j’avais bien compris dès l’annonce de la disparition de Patricia Bouchon que l’internaute localisé à Bouloc qui avait consulté très peu de temps auparavant le blog où je m’exprimais alors, « Un petit coucou » chez OverBlog, était très probablement son agresseur. Certains de mes harceleurs, ou peut-être toujours le même, sans que je puisse savoir quels ils étaient, avaient ensuite continué à attirer discrètement mon attention sur cette affaire, concernant des personnes que je ne connaissais absolument pas, et dont, par conséquent, je ne voyais pas le rapport, ni avec mes affaires personnelles, ni avec mes harceleurs clairement identifiés, les « déconnologues » de la bande du cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi.
Tout s’est définitivement éclairé lorsqu’à l’automne 2014 j’ai relu les discussions publiques du premier trimestre 2011 de cette bande de cinglés, que je ne pouvais pas comprendre à l’époque des faits et n’avais alors nullement mémorisées.
Ils étaient donc tous bien au courant de tous les détails de l’agression de Patricia Bouchon, tuée sur ordre du chef Pascal Edouard Cyprien Luraghi craignant d’être poursuivi pour tous ses harcèlements à mon encontre, passant notamment par des piratages informatiques et des écoutes illégales.
Cela pose la question de savoir comment ils avaient tous été si bien renseignés sur les faits sitôt après leur commission : en ont-ils tous été témoins ? étaient-ils tous présents lors de l’agression ? ou l’agresseur, peut-être aidé d’un complice, leur avait-t-il fourni un rapport très détaillé sur toutes les violences subies par la victime ?
J’ai lu dans leurs écrits y relatifs que la scène de l’agression, qui s’est produite en un lieu sans éclairage public par une nuit noire (la pleine lune n’arrive effectivement que le 18 févier 2011), aurait été éclairée par une lampe à xenon, donc possiblement les phares du véhicule, ou peut-être, comme le laisse entendre l’écrit, une lampe frontale.
Sachant que le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi donne déjà dans le snuff book (sa marotte est d’écrire des bouquins sur des gens qu’il hait et prend plaisir à torturer et faire assassiner), je pense qu’elle a pu être filmée puis visionnée par chacun des membres de la bande.
Par ailleurs, comme déjà dit, la victime a été frappée avec des pierres.
Procès de Laurent Dejean : les blessures de Patricia Bouchon expliquées aux jurés
Jeudi 21 mars 2019, 6ème jour du procès de Laurent Dejean, la cour d’assises de Haute-Garonne entend les experts scientifiques, et notamment le médecin légiste qui a procédé à l’autopsie du corps de Patricia Bouchon et livré les derniers iinstants ainsi que les causes de la mort de la victime.
Par Marie Martin Publié le 21/03/2019 à 11:59 Mis à jour le 21/03/2019 à 12:09
Le 29 mars 2011, 42 jours après sa disparition, le corps de Patricia Bouchon est retrouvé par un chasseur, à Villematier, à quelques kilomètres de Bouloc. Il repose dans une buse, en contrebas d’une petite route, dans une quarantaine de centimètres d’eau.
Dès le lendemain, le corps de la joggeuse est confié aux mains du docteur Norbert Talmon, médecin légiste au CHU de Rangeuil à Toulouse. C’est lui qui vient livrer ce jeudi 21 mars 2019 les conclusions de son expertise, aux jurés de la cour d’assises de Haute-Garonne qui jugent pendant 12 jours Laurent Dejean, accusé du meurtre de Patricia Bouchon.
« Ce n’est pas une autopsie très compliquée« , explique-t-il à la barre.
Le visage présente, sur la face gauche, des plaies contuses, de 1 à 1,5 centimètres. Ce sont elles qui ont saigné, laissant une importante trace de sang dans l’impasse où Patricia Bouchon a été tuée.
Ces plaies sont le résultat de coups portés avant la mort, avec un « objet » contondant qui peut être un bout de bois, un barre de métal, une pierre. Ou un poing.
Un gant de latex déchiré ainsi que quelques cheveux sont retrouvés dans la bouche, juste derrière les dents.
Le corps présente également un traumatisme cervical grave dû à un mouvement de rotation et de flexion violent de la tête, une fracture du rocher droit, un hématome sur l’épaule droite. Des blessures infligées avant la mort mais également une fracture du nez et une fracture de l’os hyoïde post-mortem.
La partie inférieure du corps ne présente aucune blessure, ce qui exclut l’hypothèse d’un accident de la circulation.
Bien que le pantalon de jogging de Patricia Bouchon soit baissé sous les fesses, le tee-shirt et le soutien-gorge relevés, aucune lésion de la sphère génitale n’est constatée. Patricia Bouchon n’a pas subi d’agression sexuelle.
Le docteur Talmon est clair : il n’est pas là pour formuler une opinion mais les blessures constatées amènent à une hypothèse « probable » : Patricia Bouchon, qui mesurait 1,64 mètres et pesait 43 kilos, a été frappée au visage par son agresseur qui lui a ensuite infligé, par derrière, des mouvements violents à la tête, provoquant une tétraplégie. Une pression très forte est alors imprimé sur le cou, c’est l’asphyxie. L’os hyoïde est alors brisé.
Le corps de la victime est ensuite transporté un peu plus loin dans l’impasse où l’on retrouve son chouchou, une boucle d’oreille et un piercing. Et une importante trace de sang. Entre le premier coup et le décès, une dizaine de minutes…
Patricia Bouchon a par la suite été amenée à Villematier, dans cette buse où on la retrouvera plus d’un mois après. Son transport, vraisemblablement en voiture, a pu causer la fracture post-mortem du nez.
Les traces ADN retrouvées sur Patricia Bouchon mais aussi sur les lieux du crime et du transport du corps ont fait l’objet de très nombreuses analyses. Ce sont elles qui seront au coeur des débats, cet après-midi…
Meurtre de la joggeuse de Bouloc : l’agression a duré une dizaine de minutes selon les médecins légistes
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l’essentiel
Les spécialistes de la médécine légale ont été entendu ce jeudi matin par la cour d’assises de la Haute-Garonne. Ils ont établi que l’agression de Patricia Bouchon, qui a duré entre dix et quinze minutes a mené à sa mort par asphyxie.
Matinée difficile ce jeudi pour les proches de Patricia Bouchon, cette mère de famille tuée alors qu’elle effectuait son jogging le lundi 14 février 2011 à Bouloc au nord de Toulouse. Le médecin légiste et l’experte en anatomocytopathologie se sont succédé à la barre pour détailler les blessures de la victime. Il en ressort qu’elle a été frappée à trois reprises à la joue gauche, entraînant une hémorragie importante et peut-être sa chute violente qui lui a fracturé l’arrière de la tête.
Mais ce ne sont pas ces coups qui l’ont tuée. Patricia Bouchon a été violemment secouée au niveau du cou, si fortement qu’elle ne pouvait plus respirer. « Ce n’est pas une lésion qui tue d’emblée, a précisé le légiste. Mais elle est incapacitante, vous devenez paraplégique. Vous devenez une poupée de chiffon. » Patricia a également été longuement étranglée, jusqu’à mourir.