Où en suis-je avec la justice ?

Je ne cesse de me plaindre depuis maintenant plusieurs décennies d’écoutes illégales dont mes proches et moi-même avons tous constamment été victimes depuis le mois de janvier 1993.

En fait, pour moi, cela avait commencé encore plus tôt. Les premières écoutes illégales dont j’ai été victime avaient servi aux proxénètes et trafiquants d’armes et en tous genres qui alors me harcelaient à identifier tous mes proches, lesquels se retrouveront eux-mêmes tous sur écoute à compter du mois de janvier 1993, car mes harceleurs s’étaient rendu compte que je ne parlais plus vraiment par téléphone lorsque que je recevais des appels téléphoniques ou en donnais à partir de mon domicile.

En effet, je préférais sortir et appeler d’une cabine publique pour éviter d’être enregistrée et harcelée dès le lendemain sur mon lieu de travail avec les contenus de mes conversations téléphoniques de la veille au soir – parce que cela se passait comme ça au quotidien… c’est une méthode de harcèlement dont le but est de conduire la victime à se jeter par la fenêtre assez rapidement, tant le viol est profond, d’une brutalité, d’une violence inouïes, et totalement insupportable lorsqu’il se répète tous les jours, et d’ailleurs, à chaque défenestration d’un salarié sur son lieu de travail, je soupçonne immédiatement ce type de harcèlement, sachant très bien ce qu’il peut produire, et aussi qu’il est bien pratiqué pour obtenir des effets aussi radicaux.

Donc, au mois de janvier 1993, pour ne plus perdre aucune de nos conversations téléphoniques, mes harceleurs avaient décidé de mettre aussi l’intégralité de mes proches sur écoute, ainsi que toutes les cabines téléphoniques de mon quartier, dans un certain rayon autour de mon domicile, ce qui donnera lieu à partir d’un peu plus tard à des agressions physiques systématiques à mon encontre par les hommes de la milice qui désormais ne me quittaient plus d’une semelle à chacune de mes sorties de mon domicile, lorsque j’essayais de téléphoner à partir de cabines publiques qui ne se trouvaient pas dans le périmètre de celles qui étaient toutes sur écoute, ceci afin de m’empêcher de donner des appels qui échappent à ces écoutes…

Certains de mes lecteurs pourraient s’imaginer que contrairement à ce que je soutiens, toutes ces écoutes auraient toujours été légales, et que mes harceleurs de la bande du cybercriminel et mythomane Pascal Edouard Cyprien Luraghi ne seraient pas alimentés en informations sur l’intimité de ma vie privée par le biais d’écoutes illégales, mais toujours à l’aide d’écoutes parfaitement légales et justifiées je ne sais comment. Je sais bien que les auteurs de ces écoutes toutes illégales ont effectivement toujours inventé n’importe quoi pour les justifier auprès de tiers qui pouvaient leur poser des questions. Ainsi, par exemple, dans les années 1990, disaient-ils à mes collègues de travail qu’il s’agissait de prouver que j’étais bien une prostituée comme ils le leur affirmaient, bien sûr mensongèrement. Sauf que dans ce cadre-là, des écoutes téléphoniques ne peuvent se justifier au-delà de six mois, et que dans mon cas et celui de mes proches, elles perdurent maintenant, sans discontinuer, depuis plusieurs décennies…

Je tenais donc à bien mettre les choses au point à l’attention de tous mes lecteurs.

Non, je ne me trouve sous le coup d’aucune accusation régulière, ne fais l’objet d’aucune poursuite judiciaire, et ne me trouve mise en examen strictement dans aucun dossier.

Les seules poursuites judiciaires dont j’aie jamais fait l’objet restent à ce jour celles que la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest avait engagées contre mon ancien hébergeur de blog OverBlog et moi-même avec ses plaintes avec constitution de partie civile d’août et décembre 2011, qui n’étaient en fait rien d’autre que des dénonciations calomnieuses caractérisant des tentatives d’escroquerie au jugement, comme celles de ses complices Jean-Marc Donnadieu de Béziers dans l’Hérault, également contre mon ancien hébergeur de blog OverBlog, de 2011 à 2017, et Pascal Edouard Cyprien Luraghi contre moi-même à Paris à compter du printemps 2016 et jusqu’au 11 avril 2018 (cf. les six pages de ce blog consacrées à ces affaires).

Je rappelle que ces poursuites se sont conclues par ma relaxe totale et définitive en appel à Rennes le 2 décembre 2015 et que les procédures parisiennes de Pascal Edouard Cyprien Luraghi à mon encontre se sont également toutes les deux soldées par des échecs, et il n’y a bien évidemment jamais eu aucune écoute judiciaire dans le cadre d’aucune de ces procédures.

Officiellement, je n’ai jamais été mise sur écoute de ma vie, nulle part, par aucune autorité.

Je suis pourtant effectivement sur écoute de manière continue depuis de très nombreuses années, et tous mes proches également.

Ces écoutes ont toujours été, toutes, totalement illégales.

Depuis le début, elles sont le fait de criminels agissant hors tout cadre légal, elles le sont toujours.

Et il en va de même pour tous les piratages informatiques dont je suis aussi victime.



Laurent Dejean est-il vraiment l’assassin de Patricia Bouchon ?

Il est vraisemblablement l’homme aperçu dans une Clio de couleur claire sur les lieux du crime, tous les témoignages recueillis à ce sujet par les enquêteurs sont concordants, et dès le début du procès, il l’a lui-même enfin reconnu.

Cependant, ceux qui le connaissent ne le croient pas coupable du crime, en dépit de comportements devenus violents à l’époque des faits.

Son ADN n’a pas été retrouvé sur le corps de la victime, ce sont d’autres ADN qui sont mis en évidence par les analyses.

Il n’y a pas plus de preuves dans le dossier pourtant très volumineux de l’information judiciaire, ce qui est totalement incompréhensible : les preuves formelles se trouvent chez le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi, il n’était pas compliqué d’aller les y chercher.

Je relève ici que l’amie de Laurent Dejean se prénomme Emmanuelle.

C’est bien la « déconnologue » pseudonymée « Manue » (dont le vrai prénom est aussi Emmanuelle) qui amène le futur assassin de Patricia Bouchon dans le groupe de ses amis et complices « déconnologues » lors de leur réunion organisée du côté de Toulouse les 13 et 14 février 2011, probablement à L’Union, commune voisine de Bouloc.

Je ne suis pas du tout sûre de son patronyme, qui pourrait être Thomas, s’il ne s’agit pas d’une confusion avec une autre Emmanuelle de la bande.

En tous les cas, elle n’était pas dans la région de Toulouse depuis très longtemps, elle y est arrivée courant 2010 en provenance de Strasbourg.

Il est possible d’envisager que Laurent Dejean ait fait le guet à proximité du domicile de Patricia Bouchon en sachant qu’elle allait sortir à 4h30 pour son jogging habituel, tandis qu’un certain nombre de ses potes « déconnologues » l’attendaient en embuscade dans l’impasse non éclairée.

J’ai été habituée à ce genre de choses quand j’avais constamment la milice sur les talons : dès que je sortais de chez moi j’étais prise en chasse par au moins un individu qui m’attendait, et j’en trouvais régulièrement en embuscade un peu plus loin.

 

 

https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/haute-garonne/toulouse/proces-du-meurtrier-presume-patricia-bouchon-desinvolture-temoins-perturbe-audience-1642788.html

Procès du meurtrier présumé de Patricia Bouchon : la désinvolture des témoins perturbe l’audience

 

Le procès devant la cour d'assises de Haute-Garonne de Laurent Dejean prend fin le 29 mars 2019. / © Jean-Pierre Duntze/France 3 Occitanie
Le procès devant la cour d’assises de Haute-Garonne de Laurent Dejean prend fin le 29 mars 2019. / © Jean-Pierre Duntze/France 3 Occitanie

 

Depuis le début du procès de Laurent Dejean, jugé pour le meurtre de Patricia Bouchon en 2011, les débats sont perturbés par l’absence à la barre de plusieurs témoins cités par les parties. Ce vendredi 22 mars 2019, l’audience a carrément été suspendue à 10 heures.

Par Marie Martin Publié le 22/03/2019 à 10:17 Mis à jour le 22/03/2019 à 10:30

C’est une attitude qui déplaît souverainement à la cour et aux différentes parties…
77 témoins sont cités dans le procès du meurtrier présumé de Patricia Bouchon et certains ne se présentent purement et simplement pas à la barre, malgré leur convocation.

Cette désinvolture contraint le président de la cour d’assises de Haute-Garonne à modifier les ordres du jour et ce vendredi 22 mars 2019, 7ème jour du procès, l’audience a été suspendue au bout d’une heure, du fait de l’absence de plusieurs témoins, principalement des habitants de Bouloc, des proches de Laurent Dejean. Et ce , le temps que la gendarmerie puisse aller les chercher pour les emmener au tribunal.

Le président a plusieurs fois regretté cet état de fait. Maître Guy Debuisson, avocat de Laurent Dejean, l’a quant à lui dénoncé, évoquant une attitude irresponsable, « que l’on n’aurait jamais vue il y a encore quelques années« . Les témoins se sentent désormais libres de venir ou non, explique-t-il, et ce n’est pas notre conception de la justice.

Le président, ce matin, a signé plusieurs mandats d’amener, en espérant « toucher » au plus vite ces témoins dilettantes. Sans doute agacé, il a commis un lapsus : « Je signe trois mandats d’arrêt« …
La famille de Patricia Bouchon qui assiste aux débat depuis le 14 mars 2019 est atterrée par la situation.

L’audience devrait reprendre à 11 heures.

 

https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/haute-garonne/toulouse/proces-du-meurtrier-presume-patricia-bouchon-clio-blanche-au-coeur-debats-1643190.html

Procès du meurtrier présumé de Patricia Bouchon : la Clio blanche au cœur des débats

 

La Clio blanche a été longtemps été recherchée, en vain. / © France 3 Occitanie
La Clio blanche a été longtemps été recherchée, en vain. / © France 3 Occitanie

 

Vendredi 22 mars 2019, il a (encore) beaucoup été question de la Clio blanche aperçue par le témoin-clé, le matin du meurtre de la joggeuse de Bouloc et à proximité des lieux du crime. Alors que l’accusé a toujours nié en avoir possédé une, 31 personnes assurent le contraire.

Par Marie Martin Publié le 22/03/2019 à 17:16 Mis à jour le 22/03/2019 à 17:30

Une Clio blanche, 1ère génération. Au moment des faits, en 2011, on en dénombre 60 000 dans les seuls départements de la Haute-Garonne, du Tarn et du Tarn-et-Garonne.

Celle qui intéresse aujourd’hui la cour d’assises est un élément-clé de l’affaire Patricia Bouchon, tuée le 14 février 2011.  Et ce, pour trois raisons : elle est aperçue le jour et à proximité du lieu du meurtre, des proches assurent que Laurent Dejean en possédait une alors que lui l’a toujours nié, on ne l’a jamais retrouvée.

Nicolas Gelis l’a confirmé mardi 19 mars 2019, lors du 4ème jour du procès de Laurent Dejean : à 4h30, ce matin du 14 février 2011, il croise Patricia Bouchon, puis un peu plus loin une Clio blanche ou gris clair, 1ère génération, aux feux éteints et qui « mord » sur la voie de circulation sur laquelle roule le témoin. La vitre du conducteur est baissée, il a le temps de voir que les sièges arrières sont rabattus et d’apercevoir le visage du conducteur, dont il fera plus tard une description précise qui permettra la réalisation d’un portrait-robot.

Naturellement, dès que les enquêteurs commencent à s’intéresser à Laurent Dejean (qu’un de ses amis reconnaît d’après le portrait-robot), l’une des premières questions est : « Possédez-vous une Clio blanche ? » Non, répond invariablement celui qui est aujourd’hui jugé pour le meurtre de Patricia Bouchon.

Des dénégations d’autant plus surprenantes que dans ce dossier, 31 personnes attestent que le jeune homme en possédait une à cette époque. Des voisins mais aussi des proches qui sont persuadés de son innocence mais ne peuvent passer sous silence cette appartenance.

Et leurs témoignages sont très précis. Laurent avait une vieille Clio blanche. Il en rabattait toujours les sièges arrières, voire les retirait complètement, pour transporter tout un tas de matériel. Sur la vingtaine de personnes venue déposer à la barre depuis sept jours, plusieurs sont même montés dans sa voiture. Le doute n’est plus permis.

Qu’a-t-il fait de cette voiture ? Là encore, ses proches ont une hypothèse. Emmanuelle B., par exemple, qui est son amie et le croit innocent, dit aussi : « Laurent était capable de démonter une voiture en une 1/2 journée. Je l’ai vu en débarder une en une matinée. Après, il amenait la ferraille à la casse« .

Christian G. ne dit pas autre chose : « Il démontait des voitures dans une casse « sauvage ». Cette casse a d’ailleurs été incendiée en 2013. Il a été demandé au propriétaire du terrain d’évacuer les carcasses« . Il dit aussi – et il est formel – que la vitre côté conducteur était cassée, qu’il fallait la remonter à la main et la coincer au niveau souhaité. « J’ai vu Laurent remonter la vitre de cette façon« .
Le matin du 14 février 2011, Nicolas Gelis note justement une vitre baissée.

A l’ouverture du procès, jeudi 14 mars 2019, Laurent Dejean a dit rapidement : « La Clio, c’est vrai, c’est moi« . Après l’avoir nié durant de nombreuses années. La cour l’entendra à ce sujet – entre autres – mardi 26 mars.

 

https://www.ladepeche.fr/2019/03/22/meurtre-de-la-joggeuse-de-bouloc-les-temoins-ont-defile-a-la-barre,8084959.php

Meurtre de la joggeuse de Bouloc : les témoins ont défilé à la barre

 

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  • Le procès de Laurent Dejean s'est poursuivi ce vendredi devant la cour d'assises de la Haute-Garonne
Le procès de Laurent Dejean s’est poursuivi ce vendredi devant la cour d’assises de la Haute-Garonne DDM-MICHEL VIALA
Publié le 22/03/2019 à 19:47

l’essentiel

 

Le procès de Laurent Dejean s’est poursuivi ce vendredi devant la cour d’assises de la Haute-Garonne. Il est accusé du meurtre de Patricia Bouchon le 14 février à Bouloc.

Le procès de Laurent Dejean, 39 ans, se poursuit devant la cour d’assises de la Haute-Garonne à Toulouse. Il est accusé d’avoir tué, le 14 février 2011, Patricia Bouchon, une mère de famille qui faisait son jogging en pleine nuit à Bouloc. Ce vendredi, à la fin de l’audience, en son absence, le président Roussel a lu les déclarations d’un ami du suspect, formulées devant les enquêteurs. « Laurent disait qu’on était en deuil » après le meurtre de Patricia Bouchon. « Il disait aussi que c’est un sale type qui a tué cette femme, poursuit le témoin. Il n’arrêtait pas de m’en parler. Cette affaire l’a bouleversé car il est sensible ».
À l’issue de l’audience, les avocats de Laurent Dejean, Mes Guy et Pierre Debuisson, sont revenus sur cette question du deuil pour compléter : « En garde à vue aussi, il a parlé de deuil en disant qu’à l’époque, tous les jours il pensait à cette affaire et se demandait qui était le meurtrier mais que désormais il n’y pensait plus ».
Ce témoin absent est aussi celui qui a conduit Laurent Dejean en urgence chez une psychiatre à Toulouse, neuf jours après le meurtre de Patricia Bouchon. « Il parlait très vite, il était très nerveux, il disait qu’il voulait arrêter de fumer du shit. Il était pas bien par rapport à la drogue, il entendait des voix, il voulait un arrêt de travail ».

« C’était un bon gars, un bon vivant »

Le comportement de l’accusé, après le meurtre de la mère de famille, a « choqué » une femme qui l’a pourtant connu tout jeune. « Un matin, en attendant le bus à 6 heures à Fronton, un jeune nous a agressés, explique le témoin. C’était quinze jours ou un mois après la disparition. Il s’est arrêté en voiture, il a baissé sa vitre et a agressé une jeune fille pour une cigarette. Je me suis approchée pour lui dire de se calmer. Il était shooté. J’ai eu peur pour la jeune fille. Il la traitait de tous les noms. Quand il a vu mon fils, il est parti en trombe ». Elle ne met pas immédiatement un nom sur le visage de l’automobiliste. « C’est mon fils qui l’a reconnu. Je me suis dit « Il a bien changé, il m’a déçue ».
Des témoins, dont certains sous mandat d’amener, ont défilé à la barre. Ils ont tous confirmé que Laurent Dejean possédait une Clio blanche première génération. Ils ont aussi parlé d’un garçon « accessible, agréable, avenant ». « C’était un bon gars, un bon vivant, décrit l’un d’eux. Mais il n’était pas bien fin 2010 ».

 



Novembre 2014 : Laurent Dejean devient l’unique meurtrier de Patricia Bouchon

J’ai communiqué aux enquêteurs l’essentiel de mes éléments sur l’assassinat de Patricia Bouchon le 14 février 2011 au mois d’octobre 2014, en deux fois, par lettres des 17 et 31 octobre 2014. Ils sont bien plus nombreux que ceux que j’ai déjà évoqués ici même et ne laissent planer aucun doute sur l’identité des principaux auteurs des faits et leurs mobiles.

Je rappelle qu’il s’agit de cyberdélinquants qui me harcèlent sur Internet depuis l’année 2008 avec des éléments de ma vie privée qu’ils obtiennent par piratages informatiques et écoutes illégales. Ils sont aussi les auteurs de campagnes de calomnies publiques absolument démentielles à mon encontre.

Cela a commencé sur le site d’information Rue89 où je me suis inscrite sous pseudonyme au mois de décembre 2007 et ai commenté anonymement quelques articles jusqu’au 31 juillet 2009, jour où j’en ai été bannie de manière définitive alors que je commentais l’affaire toute récente de l’assassinat de l’ancien audioprothésiste brestois Jean-Jacques Le Page à Plougonvelin, près de Brest, et ce pour mes commentaires sur le milieu brestois où venait de se produire le crime. Manifestement, j’étais trop bien renseignée, et cela dérangeait…

Mes harceleurs, quant à eux, y sont arrivés pour la plupart au printemps 2008.

Au départ, je n’en connais strictement aucun. A l’exception notable du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi, ils sont de toute façon tous anonymes.

En revanche, quoique je sois moi-même toujours restée anonyme et n’aie jamais fourni à quiconque, ni par message privé, ni dans mes commentaires publics, aucun élément qui permette de m’identifier, dès le mois d’août 2008, ces personnes qui commencent tout juste à m’adresser quelques messages inamicaux et même à me traiter de « paranoïaque » ou de « folle » sont déjà très bien renseignées à mon sujet par une source qu’il m’est très facile d’identifier comme étant de la section brestoise de la LCR, étant données les réflexions totalement délirantes qui me sont faites – entre autres, je suis qualifiée par le Rennais Dominique Le Brun, alias « Charles Mouloud » sur la toile, un ancien Brestois originaire de Douarnenez, d’ »ultra-gauchiste », une étiquette fourre-tout sous laquelle se retrouvent, quels qu’ils soient et pêle-mêle, tous les concurrents et opposants de ses camarades de la LCR qui ne sont pas étiquetés à l’extrême-droite.

Je reconnais donc bien tous ses délires me concernant, ils sont ceux d’Hubert Casel de la LCR de Brest, par ailleurs époux d’une parente dont je me suis toujours demandé ce qu’elle faisait avec ces criminels, surtout en ce qui concerne tous leurs crimes contre ma famille, mais ceci est une autre question…

Il s’avèrera au mois de juin 2010 que leur source d’ »informations » me concernant était en fait la criminelle Josette Brenterch, du même groupe d’extrême-gauchistes brestois, qui m’a toujours fait surveiller illégalement par divers moyens frauduleux depuis les années 1990.

La troisième des « têtes » de ce groupe se nomme Arnaud Hell. Ils ont pour chef officiel le cégétiste d’EDF André Fichaut jusqu’à son décès le 1er juillet 2009, et depuis le syndicaliste de SUD-PTT André Garçon, un technicien de France Télécom qui leur est très utile pour toutes leurs surveillances illégales contre leurs cibles, dont tous mes proches et moi-même.

A l’automne 2014, leurs complices magistrats ultra CORROMPUS du Tribunal de Grande Instance de Brest ont déjà décidé de rendre un non-lieu dans l’affaire de toutes les infractions qu’ils commettent à notre encontre avec la bande de cyberdélinquants du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi depuis l’année 2008. En fait, pour ces magistrats, il n’a jamais été question de poursuivre ou condamner qui que ce soit dès lors que les victimes étaient mes proches ou moi-même, ou les coupables nos harceleurs depuis plusieurs décennies. En réalité, il n’y a donc jamais eu aucune information judiciaire véritable sur aucun des faits dont nous sommes victimes depuis de très nombreuses années.

Celle menée cette fois-ci par la juge Céline Verdier avait consisté en deux auditions de la partie civile, moi, la première au mois d’octobre 2012, et la seconde au mois d’octobre 2013. Dès le mois d’octobre 2012, elle m’avait opposé – très violemment et méchamment – des déclarations – évidemment mensongères – du psychopathe et mythomane Pascal Edouard Cyprien Luraghi faites lors de son unique audition du 14 mars 2011 à la gendarmerie de Puy-L’Evêque, suite à mes premières plaintes, déposées à compter de l’année 2010. Après classement sans suite de toutes mes plaintes de 2010 et 2011, j’avais déposé le 10 février 2012 une plainte avec constitution de partie civile rédigée sans l’aide de mon avocat qui lui attendait toujours que lui soient communiqués les dossiers de mes plaintes classées sans suite et se plaignait – assez mollement – de ne rien obtenir du parquet de Brest. Les trois délinquants Pascal Edouard Cyprien Luraghi, Josette Brenterch et Jean-Marc Donnadieu ayant déjà fait quelques rapports publics à la suite de leurs auditions de 2011, nous savions qu’ils avaient menti, et j’avais par conséquent déjà porté plainte contre eux pour faux témoignages et dénonciations calomnieuses à raison de ces faits nouveaux – plainte derechef classée sans suite, sans aucune forme d’enquête préliminaire. Il était donc évident que leurs complices ultra CORROMPUS du Tribunal de Grande Instance de Brest refuseraient toujours de nous communiquer les dépositions correspondantes, attestant de manière irréfutable de ces faits de faux témoignages et dénonciations calomnieuses, au moins tant que le délai de prescription de trois ans ne serait pas dépassé. C’est effectivement ce qui s’est produit, puisque nous n’en avons jamais eu communication avant 2014, la juge Céline Verdier, qui pourtant s’appuyait dès 2012 sur ces déclarations mensongères pour m’opposer irrégulièrement des refus d’informer, ayant toujours refusé de les intégrer au dossier de l’information judiciaire jusqu’en 2014. Mon avocat n’y avait ainsi toujours aucun accès. Les seuls actes de son information judiciaire, décrétée terminée à l’été 2014, n’auront donc consisté qu’en deux auditions de la partie civile aussi nulles l’une que l’autre, mon avocat n’ayant en fait jamais eu accès à l’entier dossier de l’information judiciaire, nombre de ses pièces, pourtant essentielles, n’y ayant jamais été cotées avant l’année 2014. Encore certaines d’entre elles, sans doute les plus sensibles aux yeux de la juge, ne seront-elles cotées qu’après la fin de l’information judiciaire… En effet, mon avocat m’avait communiqué au cours de l’été 2014 l’unique entier dossier de l’information qui venait de lui être communiqué sur sa demande après que la fin de l’information judiciaire nous ait été signifiée, un premier lot de pièces ayant enfin été coté, mais pas les suivantes, que je ne découvrirai que plus d’un an plus tard, en allant consulter le dossier qui se trouvait alors au greffe de la Chambre de l’Instruction de Rennes.

Voilà donc comment travaille la juge d’instruction brestoise Celine Verdier, réputée « pugnace » – elle l’est uniquement avec les victimes et ne fait que des courbettes aux pires criminels. Il n’y a aucune justice à Brest. Nos magistrats sont bien tous CORROMPUS.

Nous venons de voir que l’information judiciaire suivie à Brest sur ma plainte avec constitution de partie civile du 10 février 2012 ne fut en fait qu’une lutte de trois bonnes années avec la juge d’instruction pour obtenir communication de dossiers de plaintes que le parquet de Brest refusait de nous communiquer depuis 2011. Il n’y a jamais eu ni enquête ni instruction.

Mais cela ne s’arrête pas là…

Fin août 2014, j’ai reçu le réquisitoire de non-lieu du procureur, signé de la faussaire notoire Isabelle Johanny, qui cette année-là s’est amusée à produire toute une collection de faux en écritures publiques en tout ce qui me concerne. Dans ses textes de plusieurs pages chacun, il n’existe quasiment pas une ligne qui ne contienne au moins un gros mensonge. C’est véritablement effrayant.

On y retrouve bien sûr toutes les affabulations délirantes de mes harceleurs à mon encontre, mais pas seulement, parce que ces idiots ont quand même reconnu une partie des faits que je leur reprochais, et qu’il s’agit de les blanchir entièrement et de me charger, moi, au maximum. Les magistrats brestois ont donc inventé sur plusieurs points essentiels de nouvelles versions des faits, en contradiction totale avec toutes celles soutenues par les différents protagonistes, les miennes, bien sûr, mais aussi celles de mes harceleurs, dont ils ont pourtant fait avec grand plaisir des témoins à charge contre moi pour tout ce qu’il leur agréait de cautionner.

Pourquoi tant de haine ?

Ces magistrats savent qui je suis et connaissent très bien tout mon parcours professionnel depuis très longtemps. Ils savent que je n’ai bien toujours exercé que comme ingénieur d’études en informatique, sur des projets importants, dont certains classés Secret Défense et Confidentiel Défense, et aussi que j’ai subi à compter des années 1990 des opérations de harcèlement moral en entreprise particulièrement graves, avec plusieurs tentatives d’assassinat. Ils en connaissent très bien les motifs auxquels ils adhèrent totalement et me reprochent donc ouvertement d’avoir toujours refusé d’obéir aux proxénètes et trafiquants d’armes qui me harcelaient. En particulier, ils me reprochent mon travail d’ingénieur concepteur sur le dernier projet classé auquel j’ai participé, en 1993 et 1994. Celui-ci satisfaisait pleinement les autorités militaires, mais pas ces magistrats CORROMPUS qui avaient pris fait et cause pour les criminels qui me harcelaient dans mon travail et partout ailleurs, en relation avec leurs complices de la LCR de Brest.

Une avocate qui m’a assistée à Brest en 2014 m’a dit être convaincue que ces magistrats, dont les comportements à mon égard et aussi à son endroit l’effrayaient autant que moi, en avaient déjà tellement fait par le passé contre mes proches et moi-même qu’ils étaient déterminés à aller jusqu’au bout de leurs entreprises criminelle à notre encontre – ils nous font assassiner les uns après les autres.

C’est ce que j’ai fini par comprendre moi aussi. Quand le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi a commencé à révéler mon identité à ses lecteurs et agiter la toile autour de mon nom au début de l’été 2010, je pensais que le juge ultra CORROMPU Raymond André, qui en avait été prévenu très tôt, pourrait, pour une fois, appuyer mes plaintes ou aller dans le même sens de son côté, compte tenu des désordres importants et particulièrement dangereux que toutes ces révélations me concernant allaient provoquer. Mais finalement, non, pas du tout. Que tout le monde puisse voir quel était son degré de CORRUPTION personnel, puisque désormais tout était public, même cela, il n’en avait que faire. Ce qui lui importait encore une fois, c’était d’anéantir complètement ce qui pouvait me rester de famille et d’ersatz de vie. Aussi, il semble avoir décidé très tôt d’utiliser le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi pour identifier tous les témoins de ses propres exactions à notre encontre, pour la plupart de simples témoins de nos vraies vies, particulièrement ceux qu’il n’a jamais eus sous son contrôle, dans la région brestoise, dans le but de pouvoir enfin les éliminer afin que la « justice » (la sienne) autant que le prétendu « écrivain » Pascal Edouard Cyprien Luraghi puissent ensuite très tranquillement substituer toutes leurs inventions calomnieuses à notre encontre à nos vraies biographies pour effacer définitivement toute trace de celles-ci, comme ce dernier l’avait annoncé à ses lecteurs dès l’année 2009. Cela concernait notamment toutes mes anciennes connaissances et anciens collègues de travail, hors Finistère. En 2004, il y avait déjà eu une grosse vague de décès suspects parmi les protagonistes des négociations controversées des contrats d’armement Agosta et Sawari II, mais ce n’était pas suffisant pour le juge ultra CORROMPU Raymond André, il restait encore de nombreux témoins gênants à identifier, afin de pouvoir les éliminer.

Ceci étant, avec le réquisitoire de non-lieu d’août 2014 et les dépositions de mes harceleurs de 2011, nous voyons apparaître un second train de motifs à la rétention totalement anormale des dossiers de plaintes classées sans suite : les magistrats ne sont pas seulement préoccupés par ma volonté déjà exprimée d’obtenir des poursuites pour faux témoignages et dénonciations calomnieuses, ils craignent également de nous voir discuter sur la base des faits qui ont été reconnus par les délinquants, soit dans le cadre de l’information judiciaire, soit au moyen d’une citation directe et du procès subséquent, c’est-à-dire un débat public qui n’aurait pas tourné à leur avantage.

C’est une chose que j’aurais pu tenter, évidemment pas à Brest ni avec un avocat brestois, puisqu’ils sont tous tenus par leur règlement intérieur d’obéir aux magistrats ultra CORROMPUS du Tribunal de Grande Instance de Brest, lesquels veulent bien me poursuivre et me condamner pour n’importe quoi, des faits imaginaires ou que je n’ai pas commis, mais certainement pas poursuivre ni condamner mes agresseurs pour les faits délictueux ou criminels dont ils se sont réellement rendus coupables à mon encontre.

Cependant, puisque je dispose encore d’un délai de trois mois pour faire des observations sur le réquisitoire de non-lieu, c’est ce que je fais alors… jusqu’au moment où je tombe sur les échanges publics de février et mars 2011 de mes harceleurs concernant à l’évidence l’assassinat de Patricia Bouchon le 14 février 2011 à Bouloc, prends par conséquent contact avec les enquêteurs de Toulouse et communique au directeur d’enquête un premier lot de pièces par lettre du 17 octobre 2014.

Et alors là, que se passe-t-il ?

Mon juge d’instruction de Brest rend aussi sec son non-lieu, le 21 octobre 2014.

Il n’a pas le droit. Il me reste encore trois semaines de délai pour faire des observations.

Son ordonnance sera finalement annulée pour ce motif.

Mais dans l’immédiat, il a tout loisir de claironner auprès des Toulousains que je suis une grosse menteuse folle à lier qui accuse ce pauvre Luraghi de n’importe quoi, alors que c’est un saint, juré craché !

Et s’il n’a jamais rien fait de mal, ni aucun de ses amis « déconnologues », évidemment on ne voit pas ce qu’ils pouvaient craindre de Patricia Bouchon, dont je maintiens qu’ils la percevaient bien comme une grosse menace de dénonciation, procès et condamnation, par rapport à mon affaire.

Mes harceleurs, violant l’intimité de ma vie privée par divers moyens tous illégaux, se seraient fait prendre ou surprendre par elle, ou peut-être un client du cabinet d’avocats où elle travaillait, ou à la demande d’un tel client, apparemment en lien avec moi, alors que surveillant illégalement l’intégralité de mes communications téléphoniques et cybernétiques, ils n’avaient pas vu ce lien ni pu prévenir quoi que ce soit, ce qui est normal, puisque qu’effectivement je n’ai jamais eu aucune relation avec elle, du moins à ma connaissance, pas plus qu’avec un avocat de Toulouse.

Il n’empêche que cette bande de malades en a toujours été tellement persuadée qu’au mois de février 2014 encore, un internaute anonyme poste sur le forum de discussion de l’émission « Non élucidé » des commentaires publics où mon nom est associé à celui de Christian Bouchon ou vient même s’y substituer. Je suis tombée dessus en 2015 et me suis naturellement empressée de les enregistrer, si bien que je les ai toujours, alors que ce fil de discussion a aujourd’hui disparu…

Nous sommes donc assimilés l’un à l’autre. Le – forcément – très très méchant Christian Bouchon serait un de mes copains. Ah… Si ce n’est pas l’employeur, dont les dossiers ont dû être examinés par les enquêteurs, alors c’est le mari… Je ne connais ni l’un ni l’autre.

En revanche, il est tout à fait possible qu’une des très nombreuses personnes que menaçait alors le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi ait effectivement contacté un avocat à Toulouse.

C’est ce que j’explique au directeur d’enquête de Toulouse, éléments de preuves à l’appui, jusqu’au 31 octobre 2014.

Environ trois semaines plus tard, très exactement le 24 novembre 2014, il me rappelle pour m’annoncer que le meurtrier de Patricia Bouchon a été identifié et m’en parler un peu. C’est un crime de rôdeur. Il ne reste que quelques vérifications à effectuer avant que cela ne devienne public. Je campe sur mes positions et le lui dis clairement. Je ne connais pas Laurent Dejean. Il est peut-être mêlé au crime, mais pas tout seul, il y a toute la bande de « déconnologues » du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi.

Ce dernier captant toujours toutes mes conversations téléphoniques et me voyant aussi, grâce à ses piratages informatiques, rédiger tous mes courriers quasiment en temps réel, connaît parfaitement bien tous mes échanges avec les enquêteurs de Toulouse. Etant aussi en relation avec les magistrats ultra CORROMPUS du Tribunal de Grande Instance de Brest, il en sait même toujours bien plus que moi sur mes propres affaires et n’ignore pas, naturellement, que lui et ses complices ont récemment bénéficié d’un non-lieu à Brest. Au mois de mai 2014, ma mère ayant elle aussi porté plainte contre lui, il avait décidé de disparaître de la toile jusqu’à des temps meilleurs pour lui, et a déjà fait sa réapparition sur le site Rue89 le 7 novembre 2014. Et là, le 24 novembre 2014, ne pouvant pas cacher sa joie, il explose complètement :

http://petitcoucou.unblog.fr/2014/11/28/24-novembre-2014-luraghi-explose/

L’analyse de l’activité de son comparse Jean-Marc Donnadieu de Béziers à l’époque montrait exactement les mêmes humeurs :

http://petitcoucou.unblog.fr/2014/11/28/de-lactivite-du-troll-tout-en-un-nemrod34/

Voilà, je suis très isolée face à très forte partie, il ne me reste que mes neurones pour me battre.

J’analyse, j’enregistre, je mémorise, et je balance quand cela me semble opportun.



Comment Patricia Bouchon a été tuée le 14 février 2011

Selon la mère « dodu », femme médecin épouse de médecin (« Samaj » chez les tarés du blog Luraghi) se partageant entre Paris et Montpellier, « déconnologue » et soeur masculiniste notoire, pas du tout opposée aux fellations entre collègues de travail, bien au contraire, mais ne tolérant pas celles qui s’y refusent et peuvent se plaindre de harcèlement sexuel ou pire lorsqu’elles y sont contraintes, là où le corps de Patricia Bouchon avait été caché, il ne serait sans doute pas retrouvé avant un an et la décomposition ayant fait son oeuvre, il ne pourrait plus « parler ».

Sitôt après l’assassinat, elle était donc tranquille, ne s’inquiétait pour aucun de ses complices et les rassurait publiquement à peu près dans les termes que je viens de rapporter.

Finalement, le corps a été découvert de manière fortuite un mois et demi après les faits, autopsié, et la presse s’est dès lors fait l’écho des conclusions des légistes avec suffisamment de précisions pour que quiconque ayant alors la curiosité de lire ou relire les discussions publiques des « déconnologues » sur leurs blogs privilégiés, ceux du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi, puisse reconnaître l’une après l’autre, chacune des violences précises qui furent infligées à Patricia Bouchon par son agresseur le 14 février 2011 dans tous les délires publics de cette bande de cinglés durant les trois semaines ayant suivi les faits. Ils en hurlaient de rire tous ensemble.

Personnellement, je l’ai fait beaucoup plus tard, pour les besoins des procédures nous opposant, et c’est seulement là que j’ai compris tous ces délires qui bien évidemment ne m’évoquaient pas grand-chose à l’époque des faits, lorsque calomniée à outrance par toute la bande, son chef en tête, je consultais régulièrement leurs écrits pour ce qui me concernait : je n’y voyais que les délires quotidiens de cette bande de tarés, avec toutes leurs violences et ordures habituelles, ne pouvant soupçonner que cette fois ils évoquaient tous les détails d’un crime bien réel – personne ne savait ce qui était arrivé à Patricia Bouchon, hormis son agresseur, elle avait simplement disparu – et de manière rétrospective, je me demande de combien d’autres crimes aussi réels ils ont pu publiquement s’amuser de la même manière, toujours à l’insu de leurs lecteurs innocents, tous dans l’incapacité de comprendre leurs délires publics par défaut d’information parfaitement claire sur leurs activités criminelles non assumées.

Précisons encore que le malade mental extrêmement dangereux et non moins rusé Pascal Edouard Cyprien Luraghi a supprimé de l’espace public tous ces textes concernant directement l’assassinat de Patricia Bouchon le 14 février 2011 dès le mois d’avril 2011, et qu’il fallait donc les avoir enregistrés avant pour pouvoir les reconsulter ultérieurement, comme je l’ai fait quand j’en ai eu besoin beaucoup plus tard, après avoir, dans l’intervalle, pris connaissance des résultats de l’autopsie tels que rapportés par la presse à compter de ce mois d’avril 2011.

Je suivais cette affaire depuis le début car j’avais bien compris dès l’annonce de la disparition de Patricia Bouchon que l’internaute localisé à Bouloc qui avait consulté très peu de temps auparavant le blog où je m’exprimais alors, « Un petit coucou » chez OverBlog, était très probablement son agresseur. Certains de mes harceleurs, ou peut-être toujours le même, sans que je puisse savoir quels ils étaient, avaient ensuite continué à attirer discrètement mon attention sur cette affaire, concernant des personnes que je ne connaissais absolument pas, et dont, par conséquent, je ne voyais pas le rapport, ni avec mes affaires personnelles, ni avec mes harceleurs clairement identifiés, les « déconnologues » de la bande du cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi.

Tout s’est définitivement éclairé lorsqu’à l’automne 2014 j’ai relu les discussions publiques du premier trimestre 2011 de cette bande de cinglés, que je ne pouvais pas comprendre à l’époque des faits et n’avais alors nullement mémorisées.

Ils étaient donc tous bien au courant de tous les détails de l’agression de Patricia Bouchon, tuée sur ordre du chef Pascal Edouard Cyprien Luraghi craignant d’être poursuivi pour tous ses harcèlements à mon encontre, passant notamment par des piratages informatiques et des écoutes illégales.

Cela pose la question de savoir comment ils avaient tous été si bien renseignés sur les faits sitôt après leur commission : en ont-ils tous été témoins ? étaient-ils tous présents lors de l’agression ? ou l’agresseur, peut-être aidé d’un complice, leur avait-t-il fourni un rapport très détaillé sur toutes les violences subies par la victime ?

J’ai lu dans leurs écrits y relatifs que la scène de l’agression, qui s’est produite en un lieu sans éclairage public par une nuit noire (la pleine lune n’arrive effectivement que le 18 févier 2011), aurait été éclairée par une lampe à xenon, donc possiblement les phares du véhicule, ou peut-être, comme le laisse entendre l’écrit, une lampe frontale.

Sachant que le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi donne déjà dans le snuff book (sa marotte est d’écrire des bouquins sur des gens qu’il hait et prend plaisir à torturer et faire assassiner), je pense qu’elle a pu être filmée puis visionnée par chacun des membres de la bande.

Par ailleurs, comme déjà dit, la victime a été frappée avec des pierres.

 

https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/haute-garonne/toulouse/proces-du-meurtrier-presume-patricia-bouchon-ce-que-dit-autopsie-du-corps-victime-1642234.html

Procès de Laurent Dejean : les blessures de Patricia Bouchon expliquées aux jurés

 

Le corps de Patricia Bouchon a été retrouvé le 29 mars 2011, dans une buse en contrebas d'une route, à Villematier. / © MaxPPP

Le corps de Patricia Bouchon a été retrouvé le 29 mars 2011, dans une buse en contrebas d’une route, à Villematier. / © MaxPPP

 

Jeudi 21 mars 2019, 6ème jour du procès de Laurent Dejean, la cour d’assises de Haute-Garonne entend les experts scientifiques, et notamment le médecin légiste qui a procédé à l’autopsie du corps de Patricia Bouchon et livré les derniers iinstants ainsi que les causes de la mort de la victime.

Par Marie Martin Publié le 21/03/2019 à 11:59 Mis à jour le 21/03/2019 à 12:09

Le 29 mars 2011, 42 jours après sa disparition, le corps de Patricia Bouchon est retrouvé par un chasseur, à Villematier, à quelques kilomètres de Bouloc. Il repose dans une buse, en contrebas d’une petite route, dans une quarantaine de centimètres d’eau.

Dès le lendemain, le corps de la joggeuse est confié aux mains du docteur Norbert Talmon, médecin légiste au CHU de Rangeuil à Toulouse. C’est lui qui vient livrer ce jeudi 21 mars 2019 les conclusions de son expertise, aux jurés de la cour d’assises de Haute-Garonne qui jugent pendant 12 jours Laurent Dejean, accusé du meurtre de Patricia Bouchon.

« Ce n’est pas une autopsie très compliquée« , explique-t-il à la barre.
Le visage présente, sur la face gauche, des plaies contuses, de 1 à 1,5 centimètres. Ce sont elles qui ont saigné, laissant une importante trace de sang dans l’impasse où Patricia Bouchon a été tuée.
Ces plaies sont le résultat de coups portés avant la mort, avec un « objet » contondant qui peut être un bout de bois, un barre de métal, une pierre. Ou un poing.
Un gant de latex déchiré ainsi que quelques cheveux sont retrouvés dans la bouche, juste derrière les dents.

Le corps présente également un traumatisme cervical grave dû à un mouvement de rotation et de flexion violent de la tête, une fracture du rocher droit, un hématome sur l’épaule droite. Des blessures infligées avant la mort mais également une fracture du nez et une fracture de l’os hyoïde post-mortem.

La partie inférieure du corps ne présente aucune blessure, ce qui exclut l’hypothèse d’un accident de la circulation.
Bien que le pantalon de jogging de Patricia Bouchon soit baissé sous les fesses, le tee-shirt et le soutien-gorge relevés, aucune lésion de la sphère génitale n’est constatée. Patricia Bouchon n’a pas subi d’agression sexuelle.

Le docteur Talmon est clair : il n’est pas là pour formuler une opinion mais les blessures constatées amènent à une hypothèse « probable » : Patricia Bouchon, qui mesurait 1,64 mètres et pesait 43 kilos, a été frappée au visage par son agresseur qui lui a ensuite infligé, par derrière, des mouvements violents à la tête, provoquant une tétraplégie. Une pression très forte est alors imprimé sur le cou, c’est l’asphyxie. L’os hyoïde est alors brisé.

Le corps de la victime est ensuite transporté un peu plus loin dans l’impasse où l’on retrouve son chouchou, une boucle d’oreille et un piercing. Et une importante trace de sang. Entre le premier coup et le décès, une dizaine de minutes…

Patricia Bouchon a par la suite été amenée à Villematier, dans cette buse où on la retrouvera plus d’un mois après. Son transport, vraisemblablement en voiture, a pu causer la fracture post-mortem du nez.

Les traces ADN retrouvées sur Patricia Bouchon mais aussi sur les lieux du crime et du transport du corps ont fait l’objet de très nombreuses analyses. Ce sont elles qui seront au coeur des débats, cet après-midi…

 

https://www.ladepeche.fr/2019/03/21/meurtre-de-la-joggeuse-de-bouloc-lagression-a-dure-une-dizaine-de-minutes-selon-les-specialistes,8082007.php

Meurtre de la joggeuse de Bouloc : l’agression a duré une dizaine de minutes selon les médecins légistes

Abonnés

  • Patricia Bouchon allait avoir 50 ans en mars 2011 quand elle a été agressée et tuée.
Patricia Bouchon allait avoir 50 ans en mars 2011 quand elle a été agressée et tuée. DDM

 

Publié le 21/03/2019 à 12:32 , mis à jour à 12:34

l’essentiel

Les spécialistes de la médécine légale ont été entendu ce jeudi matin par la cour d’assises de la Haute-Garonne. Ils ont établi que l’agression de Patricia Bouchon, qui a duré entre dix et quinze minutes a mené à sa mort par asphyxie.

Matinée difficile ce jeudi pour les proches de Patricia Bouchon, cette mère de famille tuée alors qu’elle effectuait son jogging le lundi 14 février 2011 à Bouloc au nord de Toulouse. Le médecin légiste et l’experte en anatomocytopathologie se sont succédé à la barre pour détailler les blessures de la victime. Il en ressort qu’elle a été frappée à trois reprises à la joue gauche, entraînant une hémorragie importante et peut-être sa chute violente qui lui a fracturé l’arrière de la tête.

Mais ce ne sont pas ces coups qui l’ont tuée. Patricia Bouchon a été violemment secouée au niveau du cou, si fortement qu’elle ne pouvait plus respirer. « Ce n’est pas une lésion qui tue d’emblée, a précisé le légiste. Mais elle est incapacitante, vous devenez paraplégique. Vous devenez une poupée de chiffon. » Patricia a également été longuement étranglée, jusqu’à mourir.

 



Fusillade d’Utrecht aux Pays-Bas : la piste terroriste est confirmée

Comme d’habitude, je n’ai pas eu besoin de cette confirmation pour affirmer d’emblée de quoi il s’agissait, le jour même des faits dès leur annonce :

http://petitcoucou.unblog.fr/2019/03/18/terrorisme-encore-une-attaque-de-diligence-cette-fois-aux-pays-bas/

Depuis le temps que je les ai sur le dos, je connais mes harceleurs par coeur, et pour le cas où j’aurais un peu de mal à comprendre, par-dessus le marché, ils ne manquent jamais de me faire signe…

Cela me permet d’être affirmative quand les autorités, ou les enquêteurs immédiatement appelés sur les lieux de l’attentat, ne savent pas encore de quoi il retourne.

Noter que la presse française, surtout celle de gauche, s’abstient de dire clairement à ses lecteurs qu’il s’agit bien d’un acte terroriste.

 

https://www.midilibre.fr/2019/03/20/attentat-dutrecht-une-lettre-retrouvee-dans-le-vehicule-du-presume-tireur-renforce-la-piste-terroriste,8080233.php

Attentat d’Utrecht : une lettre retrouvée dans le véhicule du présumé tireur renforce la piste terroriste

 

  • Trois personnes ont péri dans la fusillade.
    Trois personnes ont péri dans la fusillade. MAXPPP
Publié le 20/03/2019 à 19:33 / Modifié le 20/03/2019 à 19:33

 

Le parquet néerlandais « envisage sérieusement une motivation terroriste » à la fusillade qui a fait trois morts et cinq blessés lundi matin à bord d’un tramway à Utrecht, dans le centre des Pays-Bas.

Le tireur présumé, Gökmen Tanis, 37 ans, né en Turquie, a été arrêté lundi après sept heures de chasse à l’homme. Deux autres personnes sont également en détention mais leur rôle dans cette fusillade reste mal établi.

Une lettre retrouvé dans le véhicule

« Pour le moment, un motif terroriste est sérieusement envisagé », ont déclaré les procureurs mardi dans un communiqué, évoquant « la nature de la fusillade et une lettre retrouvée dans la voiture » qui a permis au suspect de prendre la fuite.

« D’autres motifs ne sont pas exclus »

« D’autres motifs ne sont pas exclus », précise toutefois le communiqué. Le suspect était déjà connu des services de police pour des affaires de droit commun. Les trois personnes qui ont péri dans la fusillade sont une jeune femme de 19 ans et deux hommes âgés de 28 et 49 ans. Trois autres personnes, âgées de 20 à 74 ans, ont été grièvement blessées.

Le parquet n’a pu établir pour l’instant de liens entre les victimes et le tireur présumé. Mahmut Tanis, un oncle de Tanis qui vit aux Pays-Bas, a déclaré à l’agence de presse turque Anadolu qu’il doutait que son neveu soit un terroriste.

C’est peut-être une affaire de coeur

« C’est peut-être une affaire de coeur », a-t-il dit, précisant qu’il ne l’avait pas vu depuis plusieurs années. Les drapeaux ont été mis en berne mardi sur les édifices publics dans tous les Pays-Bas en hommage aux victimes. D’après le journal Algemeen Dagblad, le tireur a visé une femme dans le tramway puis a tiré sur les personnes qui tentaient d’intervenir.

La fusillade a eu lieu dans le Kanaleneiland, un quartier résidentiel et habituellement calme où vivent de nombreux immigrés.

Cette fusillade est survenue trois jours après l’attaque de deux mosquées à Christchurch en Nouvelle-Zélande, dans laquelle 50 personnes ont péri.

LAURE DUCOS

 

https://www.lemonde.fr/international/article/2019/03/19/utrecht-ville-vide-apres-une-fusillade-aux-motivations-incertaines_5438141_3210.html

Pays-Bas : Utrecht, ville meurtrie par une fusillade aux motivations incertaines

 

Le « motif terroriste est pris en compte sérieusement » par les enquêteurs, même si « les autres motifs ne sont pas exclus » après le meurtre de trois personnes lundi.

Par Jean-Pierre Stroobants Publié le 19 mars 2019 à 10h19 – Mis à jour le 19 mars 2019 à 13h30

 

Fusillade d'Utrecht aux Pays-Bas : la piste terroriste est confirmée dans AC ! Brest 70f21ae_5466131-01-06
JOHN THYS / AFP

 

Beaucoup de cafés, généralement bondés, étaient fermés et les terrasses des autres étaient vides, lundi 18 mars au soir : Utrecht, d’habitude si joyeuse, jeune et pétillante, avait connu une journée de frayeur. La quatrième ville des Pays-Bas, réputée pour sa douceur de vivre, venait d’être frappée par une attaque meurtrière. « Cela a été un jour noir », a commenté le maire, Jan van Zanen.

A 10 h 45, sur la place du 24-Octobre – jour de la création des Nations unies –, à l’ouest de la cité, un homme a fait feu dans un tramway jaune et noir de la ligne 61, qui se dirigeait vers la gare centrale. Il a tué trois personnes et blessé cinq autres, dont trois grièvement. « J’ai eu l’impression qu’il visait spécialement une femme », dira un témoin. Une jeune vendeuse de 19 ans figure, en tout cas, au rang des victimes, et le tireur a visé des personnes qui voulaient porter secours à cette passagère.

Huit heures plus tard, Gökmen Tanis, 37 ans, a été appréhendé par des unités spéciales de la police dans le quartier d’Oudenoord, où il vivait. Il avait fui à bord d’une Clio rouge volée, retrouvée grâce à la vigilance d’une habitante. Deux autres personnes, dont le rôle éventuel n’a pas été précisé, ont été appréhendées, mais libérées mardi matin.

Ce que l’on sait : de la fusillade à Utrecht qui a fait trois morts

 

« Un vrai fou, un demeuré, un dealer »

 

 dans Attentats
PIROSCHKA VAN DE WOUW / REUTERS

 

Qui est le tireur, dont la photo, obtenue grâce aux caméras de surveillance du tramway, a été rapidement diffusée par la police dans le cadre d’un appel à témoins ? « Un vrai fou, un demeuré, un dealer », dit de lui l’un de ses voisins turcs. « Mais pas un terroriste, pas un religieux », affirme un autre, qui l’a connu dans sa jeunesse, quand il vivait dans le quartier populaire de Kanaleneiland. « Un gars accro aux drogues dures », volontiers provocateur, issu d’une famille désunie. En 2011, il apparaissait par hasard dans un reportage, dénigrant une journaliste qu’il traitait de « mongolienne » et de « démocrate ».

Déjà jugé pour tentative de meurtre, vol, menace sur un agent, Tanis était en liberté conditionnelle et devait de nouveau comparaître dans deux semaines pour une affaire de viol. La femme qui l’accuse a affirmé, lundi, au quotidien AD qu’il était un « psychopathe » que la police aurait eu le tort de ne pas suivre d’assez près.

Mardi matin, les réelles motivations du tireur restaient encore floues. Les enquêteurs et le parquet ont annoncé, mardi, qu’un « motif terroriste est pris en compte sérieusement » après la découverte d’une lettre dans la Clio volée. Mais « les autres motifs ne sont pas exclus, ils sont aussi l’objet d’investigations », ont-ils ajouté.

Des sources non officielles ont indiqué que des documents retrouvés à son domicile démontreraient ses sympathies pour l’islam radical et même sa volonté de « répondre » à l’attentat de Christchurch, en Nouvelle-Zélande, où un extrémiste a tué 50 personnes dans deux mosquées. Les experts en terrorisme qui se sont succédé sur les plateaux de télévision tout au long de la soirée de lundi ont tracé un portrait plus complexe du tireur, soulignant que l’un de ses deux frères aurait affiché sa sympathie pour l’organisation Etat islamique.

 

Des attentats déjoués depuis 2005

 

Le bâtiment où le tireur a été arrêté.
Le bâtiment où le tireur a été arrêté. Peter Dejong / AP

 

Toutes les activités politiques ont été suspendues dans le pays et, de la gauche à l’extrême droite, les partis se sont mis d’accord pour annuler un grand débat qui devait les réunir sur la chaîne publique lundi soir, deux jours avant les élections provinciales et sénatoriales du mercredi 20 mars. « C’est le moment d’être unis », résumait le dirigeant écologiste Jesse Klaver, appuyé par tous ses homologues, sauf un, Thierry Baudet. Le dirigeant du parti nationaliste et antieuropéen Forum pour la démocratie (FvD) a maintenu un rassemblement de ses partisans, au cours duquel il a dénoncé la politique « laxiste et naïve » de son pays en matière d’immigration et de sécurité.

S’ils n’ont pas connu de grandes vagues d’attentats, les Pays-Bas ont vécu d’autres événements dramatiques depuis l’assassinat du leader populiste Pim Fortuyn – par un défenseur de la cause environnementale –, en 2002. En 2004, le réalisateur Theo Van Gogh était poignardé par un islamiste radical qui l’accusait d’avoir offensé la religion musulmane.

En 2005, sept membres d’un autre groupe terroriste étaient appréhendés in extremis alors qu’ils s’apprêtaient à passer à l’action. En septembre 2018, les autorités indiquaient qu’un « attentat majeur » avait pu être déjoué avec, à la clé, sept arrestations. Et quelques jours plus tôt, un Afghan avait semé la panique à la gare d’Amsterdam, poignardant deux touristes américains avant d’être neutralisé par la police.

Jean-Pierre Stroobants (Utrecht, Envoyé spécial)

 

https://www.huffingtonpost.fr/2019/03/19/fusillade-dutrecht-une-lettre-accredite-le-motif-terroriste_a_23695525/

INTERNATIONAL

19/03/2019 12:04 CET | Actualisé 19/03/2019 12:55 CET

 

Fusillade d’Utrecht: Une lettre accrédite le motif terroriste

 

Lundi 18 mars, trois personnes ont été tuées après qu’un homme a ouvert le feu dans cette ville du centre des Pays-Bas.

  • Le HuffPost avec AFP

 

La lettre a été retrouvée dans le véhicule de Gökmen Tanis, le tireur présumé de la fusillade.

JOHN THYS via Getty Images
La lettre a été retrouvée dans le véhicule de Gökmen Tanis, le tireur présumé de la fusillade.

 

PAYS-BAS – La piste terroriste est considérée « sérieusement » au lendemain des fusillades survenues à Utrecht aux Pays-Bas, ont annoncé mardi 19 mars les enquêteurs, disant se baser notamment sur une lettre retrouvée dans la voiture du principal suspect.

Dans un communiqué commun, le parquet et la police locale ont précisé n’avoir à ce stade établi « aucun lien » préalable entre Gökmen Tanis, ce suspect de 37 ans né en Turquie et les victimes de la tuerie du tramway, qui a fait trois morts et cinq blessés lundi matin.

 

@PolitieUtrecht

Three people were killed by the shooting. The victims are a 19 y/o woman from Vianen and two men from Utrecht. They were 28 and 49 y/o. Also three people were severely injured (a woman (20) from Utrecht, a man (74) from De Meern and a woman (21) from Nieuwegein.

137 people are talking about this

 

 

Ce dernier a été arrêté lundi à l’issue d’une chasse à l’homme de huit heures. Une arme à feu a été saisie lors de son interpellation, ont précisé les enquêteurs. Le Premier ministre néerlandais Mark Rutte avait affirmé qu’on ne pouvait « exclure » d’autres pistes que la motivation terroriste, notamment celle d’une dispute familiale.

« Il y a beaucoup de questions et de rumeurs », a-t-il dit lors d’une conférence de presse à La Haye. « Quel est le motif, terroriste ou autre, nous ne le savons pas encore, mais nous ne pouvons rien exclure », a-t-il ajouté. « Les autres motifs ne sont pas exclus, ils sont aussi l’objet d’investigations », ont renchéri mardi le parquet et la police.

Outre le suspect principal, deux autres hommes âgés de 23 et 27 ans étaient encore en garde à vue mardi après leur arrestation lundi soir. Aucune précision n’a été donnée sur leur degré d’implication présumé.

Une jeune femme et deux hommes tués par les balles

Dès le début de matinée, des habitants de cette ville de quelque 350.000 habitants, la quatrième des Pays-Bas, ont commencé à déposer des fleurs sur les lieux du drame en hommage aux victimes. « Je suis ici pour rendre hommage aux victimes et soutenir leurs proches », a dit à l’AFP Yvette Koetjeloozekoot, 29 ans, une habitante du quartier.

La tuerie a fait trois morts et sept blessés dont trois grièvement, selon un bilan actualisé. Les personnes décédées sont une femme de 19 ans et deux hommes de 28 et 49 ans, tous originaires de la province d’Utrecht, a-t-on appris mardi.

Au lendemain du drame, les trams roulaient à nouveau après l’interruption du service, le temps que la police scientifique achève son travail sur la scène de crime, une place très fréquentée du centre-ville. Alors que les drapeaux étaient en berne sur de nombreux bâtiments du pays, Mark Rutte a présidé une réunion de cabinet la tuerie, qui fait craindre pour la sécurité publique à la veille d’importantes élections provinciales aux Pays-Bas.

La Turquie réunit des renseignements sur le suspect

Lundi le niveau de menace terroriste avait été porté à cinq à Utrecht (son plus haut niveau), dans la foulée de l’attaque. Il avait été abaissé après l’interpellation de Gökmen Tanis. Sur cet homme déjà connu de la justice néerlandaise, considéré comme le suspect principal, les services de renseignement turcs sont en train de « rassembler des informations », a indiqué lundi soir le président turc Recep Tayyip Erdogan.

« Certains disent que (la fusillade) est un différend familial, d’autres disent que c’est un acte terroriste », a-t-il ajouté lors d’un entretien avec la chaîne de télévision turque Ulke TV. Selon la radio-télévision publique néerlandaise NOS, Gokmen Tanis avait comparu il y a deux semaines en justice aux Pays-Bas dans une affaire de viol.

Certains membres de sa famille auraient des liens avec des groupes de musulmans radicaux, mais, a précisé NOS, Gokmen Tamis est également connu pour son comportement instable depuis la séparation d’avec sa femme il y a deux ans. Des témoins de la tuerie dans le tramway ont rapporté que le tireur avait pris pour cible une femme et des personnes tentant de l’aider, selon des médias.

Écoles et mosquées avaient été fermées lundi jusqu’à l’arrestation de Gokmen Tanis par des policiers d’élite lourdement armés. L’Union européenne, les États-Unis et la Russie notamment ont exprimé leur solidarité avec les Pays-Bas.

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