Je décline toute responsabilité quant aux mentions qui s'affichent dans les cinq lignes ci-dessus du pavé "Recherchez aussi" sur lequel je n'ai aucun contrôle.
Mes statistiques sont bloquées depuis le 2 février 2015.
7 février 2015
Mes statistiques sont de retour, tout fonctionne.
16 février 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 12 février.
22 février 2015
Mes statistiques "basiques" ont été débloquées hier soir après la publication de mon dernier article concernant NEMROD34. Belle reprise simultanée de l'activité du Chinois.
23 février 2015
Statistiques "basiques" toujours sujettes à blocages : le 21 février au soir, à peine étaient-elles débloquées, puis à nouveau hier, 22 février, à peine étaient-elles débloquées.
24 février 2015
Statistiques "basiques" débloquées. Pas de nouveau pic d'activité du Chinois depuis le 21 février.
25 février 2015
Je n'ai pas mes statistiques "basiques" du jour, ça bloque encore... et Justinpetitcoucou est toujours bloqué depuis le 8 février... Faudrait penser à le débloquer, lui aussi, il y a du laisser-aller, là...
26 février 2015
Statistiques "basiques" des deux blog débloquées. Merci pour Justin, il était temps !
27 février 2015
Statistiques "basiques" des deux blogs de nouveau bloquées depuis le 26 février. Ce petit jeu pourrait-il cesser ? On n'en voit pas l'intérêt... Complément de 22 h: merci de m'avoir rendu ces statistiques !
25 mars 2015
Statistiques "basiques" de nouveau bloquées depuis le 20 mars.
26 mars 2015
Merci de m'avoir débloqué mes statistiques "basiques". Encore une fois, je ne vois pas l'intérêt de ce petit jeu. Ce serait aussi bien de cesser de bloquer ces statistiques pour oublier de les débloquer jusqu'à ce que j'aie signalé le problème.
31 mars 2015
Merci de bien vouloir me débloquer les statistiques "basiques" de Justinpetitcoucou, restées bloquées depuis le 14 mars - cf. avis du 25 mars sur Justin.
2 avril 2015
Merci de m'avoir rendu les statistiques de Justin.
7 mai 2015
Je n'ai plus de statistiques depuis deux jours, ni "basiques" ni "avancées".
10 mai 2015
Retour des statistiques "basiques". Merci. Manquent encore les statistiques "avancées".
14 mai 2015
Toutes mes statistiques sont de retour depuis hier. Merci.
3 octobre 2015
Depuis hier, les compteurs de mes statistiques avancées sont tous à zéro. Merci de me les rendre.
#Lemômenéant – Quoi qu’y dit? – Y dit rin. – Quoi qu’y fait ? -Y fait rin. – A quoi qu’y pense ? – Y pense à rin. – Pourquoi qu’y dit rin? Pourquoi qu’y fait rin? Pourquoi qu’y pense à rin ? – Y ‘xiste pas. #Macron#ConférenceDePresse
Ben, rin… ah si, il semblerait qu’il lâche du lest sur la suppression des 120 000 postes de fonctionnaires. Il a dû finir par comprendre que les fonctionnaires ça fait plus d’électeurs que les chasseurs, dt que c’est pas Arnault qui va assurer les services publics.
Ça n’a jamais été rien d’autre qu’une ligue marchande, comme il y en a eu bien d’autres dans le passé. Juste un truc de merde pour engraisser les gras et amaigrir les maigres.
… ou ne les aime plus du tout depuis qu’il a perdu sa taupe au Commissariat de Cahors…
En effet, son « meilleur ami » surnommé « Titou », « simple flic », qui en 2009 lui prêtait sa casquette de policier de la Police nationale pour s’en coiffer et s’afficher ainsi dans les commentaires du site Rue89, où de son propre chef il avait décidé de faire la police, n’y travaille plus et n’est même plus dans la police.
« Autant de paroles qui montrent l’état d’esprit qui règne dans le corps policier : racisme, virilisme, certain de son impunité, qui mène une véritable guerre contre la population. »
Paroles de flics
Suite au slogan « suicidez-vous » lancé à la face des flics, lors de l’acte XXIII, nos camarades de Nantes révoltée ont monté une vidéo où sont capturées insultes et autres menaces proférées par…
À Strasbourg quand je franchissais le Rhin, les flics allemands me faisaient un peu moins peur que leurs immondes collègues français. Et alors la première fois que j’avais été en Hollande, incroyable : leurs flics étaient polis et serviables. Hallucinant.
Voilà, polis, serviables, et faisant preuve d’empathie. Une copine que je ne vois plus avait plus l’attitude d’une assistante sociale que d’une flic. Mais il fallait pas trop la chercher !
Non mais dans le pays des Français, depuis Fouché y a eu que des brutasses mafieuses et/ou fachos au ministère de l’Intérieur. Alors faut pas rêver : c’est juste des racailles comme celles qu’ils foutent en prison, pour la plupart.
Celles et ceux qui soutiennent le terroriste #GaspardGlanz oublient un peu vite qu’il a fait un doigt d’honneur à un policier innocent. Derrière l’uniforme il y a un homme, un homme désormais meurtrit à vie.
Si un doigt les meurtrit, on se demande où ils les embauchent.
Cyprien Luraghi
@CyprienLuraghi
En réponse à
@krisz_terik
@We_Shrubbery
et
@Team_Macron_
Oui ben mon ami ex (simple) flic, s’il avait dû être meurtri pendant sa carrière de (simple) flic, il ne serait plus qu’une gigantesque meurtrissure. C’est plus des flics élevés sous la mère, mais des poulets de batterie tout mous, de nos jours.
Il était gardien de la paix et il tenait beaucoup à cette appellation. Sinon pour nous et les autres copains c’était « mon poulet ». C’est toujours, d’ailleurs. Maintenant il a un joli gilet jaune…
Il suffisait d’attendre qu’il se croit chez lui sur Twitter et lâche l’info.
Voilà qui est fait en date du 25 avril 2019, Cyprien Luraghi vient de désigner sur Twitter comme étant son financier l’ancien riverain de Rue89 « Hulk, Gros Con de Droite », devenu depuis « Rigobert le Rhino » :
C’est qui « les riches « ? Les classes moyennes supérieures qui casquent pour tout le monde ? Ah oui.
Oui et puis alors un vrai riche, pas un minable de la classe moyenne supérieure. Avoir un vrai riche dans sa poche c’est comme y avoir un sou au premier chant du coucou au mois d’avril.
#Lemômenéant – Quoi qu’y dit? – Y dit rin. – Quoi qu’y fait ? -Y fait rin. – A quoi qu’y pense ? – Y pense à rin. – Pourquoi qu’y dit rin? Pourquoi qu’y fait rin? Pourquoi qu’y pense à rin ? – Y ‘xiste pas. #Macron#ConférenceDePresse
Oui et puis alors un vrai riche, pas un minable de la classe moyenne supérieure. Avoir un vrai riche dans sa poche c’est comme y avoir un sou au premier chant du coucou au mois d’avril.
C’est au moins aussi décoratif que le buffet Henri II de tata Henriette.
Il est certain que l’efficacité attendue n’est pas au rendez-vous quand le coucou se défend…
Cela dit, ce « vrai riche » pas « minable de la classe moyenne supérieure » ayant donc payé l’avocat du cybercriminel et psychopathe extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi pour l’ensemble de ses procédures parisiennes à mon encontre à compter du mois d’avril 2016, c’est aussi lui qui, très probablement, avait déjà payé l’assassin de Patricia Bouchon au mois de février 2011, qu’il s’agisse de Laurent Dejean ou d’un autre.
Et c’est bien lui qui quelques jours avant le crime parlait effectivement de « louer les services de bandes de racailles » pour « traiter » les « différends » de leur bande de cyberharceleurs et calomniateurs publics avec leurs victimes, principalement trois femmes et leurs « alliés », du moins ceux qui à ce stade de toutes les violences commises à leur encontre résistaient encore et pouvaient même sérieusement menacer les criminels de procès et condamnations, « sans attendre cinq ans de procédure, et pour le même coût » (on rappelle ici que la bande de pervers a toujours systématiquement mensongèrement inversé toutes les situations) :
Je suis bien d’accord, mais faut être réaliste : vu le délabrement et le manque de moyens criant de la Justice en France, c’est pas demain la veille qu’on verra un tel dispositif se mettre en place.
S’il y avait eu un tel machin, jamais cette histoire de corbaques malades des boyaux de la tête n’aurait pu se produire. Hé : depuis combien de temps ça dure ? depuis avril dernier, que la minable connasse chtarbée de Brest affiche nos noms en les amalgamant avec des faits-divers sordides et que l’autre salope de Clichy l’aiguillonne et l’excite en en rajoutant à la louche.
Alors oui : il faudrait. Mais y a pas un rond en caisse ni les gens compétents pour ça au pouvoir. Et je dis même pas ça parce que c’est la droite, actuellement : les socialoches n’ont pas fait mieux auparavant.
Oui. La façon dont les gouvernements traitent les moyens de la justice depuis trente ans ça incite à une chose très simple : la loi du talion et se faire justice soi-même. Belle société que ça nous prépare, et tout ça à cause de ce jacobinisme français d’ancien régime qui n’a pas été modifié la Révolution et qui veut que le judiciaire soit soumis à l’exécutif. Comme la constitution ne le permet pas, on compense en affamant et privant de moyens.
Il y a bien des victimes qui ont du mérite de ne pas louer les services de bandes de racailles pour « traiter » leur différend sans attendre cinq ans de procédure, et pour le même coût.
Mais ça, c’est parce que la France issue de l’Ancien Régime avec les circonstances aggravantes de la Révolution et du CNR est profondément anti-libérale (au sens de Montesquieu). Depuis 45, on a eu une seule période de gouvernement libéral, c’était Giscard. 7 ans sur 66 ans… Bravo le résultat.
C’est bien ce que je fais en publiant les noms et les histoires de gniasses Ici : riposter en profitant comme elles l’ont fait, du monstrueux bordel qu’est l’internet.
Peinard : j’ai de quoi alimenter la chaudière très longtemps avant qu’il ne se passe quelque chose. Pourquoi je me ferais chier, hein ? Œil pour œil, dent pour dent. Et toc.
Pour le reste, y a du vrai dans ce que tu dis… moi je pense surtout que la spécialité de ce pays (c’est pas le seul), c’est de pondre des usines à gaz qui ne marchent pas.
Par exemple la CNIL, elle sert à quoi ? de manière pratique pour le particulier emmerdé par des ordures masquées sur le Net : à rien. Que dalle. À engraisser des bureaucrates, point barre. Et tous les autres dispositifs en place − on a tout essayé, je peux te dire − : pareil. Des sites minables et mal branlés avec des formulaires abscons et des liens morts.
La CNIL elle sert à ce que s’il n’y avait pas de CNIL ce serait encore largement pire. Dans les entreprises un peu sérieuses, respecter les règlements CNIL, c’est pris au sérieux. Chez nous on paye un responsable données/CNIL à temps plein pour ça. On a beau savoir que le risque de procès grave en cas de non respect est faible, on sait aussi que sans mise en œuvre de tout le risque est quand même trop fort.
Mais c’est vrai que tant que la CNIL n’aura pas des moyens d’investigation et d’accusation devant les tribunaux plus importants, ça restera trop faible.
Aujourd’hui, pas un particulier, pas une entreprise, pas un site, ne respecte les lois de protection de l’information et des données personnelles.
C’est pour ça que je précisais : pour les particuliers. Là, c’est le néant. Ils te renvoient vers le dépôt de plainte et basta. Aucune solution plus soft, pas d’action rapide.
Et sinon, pour les données confidentielles, je vais t’en conter une qui va bien te faire marrer : le mois dernier je reçois une lettre de… Tarnac. Une demande de soutien financier pour l’assoce des juliencoupistes, qu’on avait soutenus dans la rue (dm) et pour laquelle j’avais signé une pétition en ligne…
Ben ils se sont pas gênés pour se servir de mes coordonnées, les juliencoupistes
Le prochain coup de Tarnac, je peux te dire qu’ils iront se faire empapaouter au Poteau 62, les néo-situs du plateau de Millevaches.
A moins qu’une belle jurisprudence utilisant la nouvelle loi ne se mette en place …
Mon avocat est d’un point technique très intéressé par l’histoire, c’est pas pour rien …
Et en plus ça pourrait profité à mon ami Claude père du pauvre petit Rayan qui a fait plusieurs sujets tv et papiers pour harcèlement sur facebook appelant à la castration de claude, l’euthanasie de Rayan et j’en passe … http://www.google.fr/search?hl…..67cc5aa934
A mon humble avis une fois que j’aurais fais condamner Over-blog les choses vont changer, je vais faire de mon mieux pour médiatiser le truc mais ça va faire du bruit …
Je trouve que c’est une cause valable à défendre : l’histoire du malheureux Rayan est ignoble et édifiante.
La nôtre n’est pas mal non plus : les gniasses anonymes − de moins en moins, d’ailleurs − sont un fléau à éradiquer radicalement de l’internet.
Une fois qu’elle sera achevée et que les responsables et leurs complices seront sanctionnés par la loi, ce sera mon cheval de bataille : faire en sorte que de telles horreurs ne puissent plus jamais se reproduire en France.
Là, les gniasses pensent que nous nous contentons de rester les bras ballants : elles se trompent lourdement. Elles n’ont aucune idée de ce qui se trame en coulisses. Aucune. Et elles n’en auront pas avant que ça leur tombe sur le coin de leurs sales gueules de corbeaux de l’internet.
Le « Gros Con de Droite » étant donc selon les dires du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi celui qui paie ses avocats, c’est aussi lui qui doit verser des prébendes aux magistrats qui ne demandent pas mieux que de se faire acheter, notamment ceux de Brest, et avait permis à son psychopathe préféré, le « Konducator » de l’ICYP, de s’arrêter de travailler au mois de mai 2011 pour une durée d’environ un an qu’il aurait dû entièrement consacrer à sa rédaction de ma soit-disant « biographie » mais avait d’abord mise à profit pour s’éclater avec ses piratages informatiques sous le pseudonyme de « SaMo_Dz ».
Enfin, très clairement, il finance aussi le terrorisme islamiste.
Bravo !
« Allez hop : VNP, Ouko, Bardamu, Pierrrrre, Béatrice1, Gaétan/Tégéna, Pedro66 et compagnie : pilori pour tout le monde ! »
L’une d’elles, révélée cette semaine par deux hebdomadaires, porte sur une installation électrique précaire qui pourrait être à l’origine d’un court-circuit.
Or, Cyprien Luraghi évoquait déjà cette installation dans un tweet du 17 avril 2019 prouvant qu’il connaissait donc bien l’état des lieux au moment où l’incendie s’est déclaré :
Incendie de Notre-Dame : les hypothèses, les défaillances, les questions en suspens
Par LEXPRESS.fr , publié le 25/04/2019 à 10:06 , mis à jour à 13:25
La police scientifique commence ses prélèvements et ses constatations ce jeudi pour connaître l’origine du feu qui a ravagé la cathédrale dans la nuit du 15 au 16 avril.
Dix jours après l’impressionnant incendie qui a détruit en partie la cathédrale Notre-Dame de Paris, la police scientifique commence ce jeudi ses prélèvements et ses constatations dans les décombres pour identifier l’origine du sinistre. Alors que la piste accidentelle est privilégiée, plusieurs hypothèses émergent. L’Express fait le point.
Un dysfonctionnement des cloches électrifiées ?
La cathédrale abritait six cloches électrifiées qui auraient pu générer un court-circuit, révèlent en milieu de semaine Marianne et le Canard Enchaîné. Trois cloches avaient été installées en 2007 au-dessus de la clé de voûte du transept, et trois autres, remises en service en 2012 au moment de la rénovation des grandes cloches des beffrois, se trouvaient dans la flèche de Viollet-le-Duc, désormais disparue.
« Des fils électriques courraient dans les combles, placés à la demande expresse du clergé. Au risque de court-circuit, et en infraction à tous les règlements de sécurité édictés par les architectes en chef des monuments historiques », souligne l’hebdomadaire satirique. Cette installation devait par ailleurs être provisoire mais elle est restée en place pendant sept ans.
Mais pour le porte-parole de la société, Marc Eskenazi, il est « hors de question » que cette négligence soit à l’origine de l’incendie. Il a fait valoir : « Si n’importe qui a déjà essayé d’allumer un feu de cheminée, ce n’est pas en mettant un mégot sur une bûche en chêne qu’il va se passer grand chose ».
Les ascenseurs des échafaudages hors de cause ?
Pour assurer la titanesque campagne de travaux autour de la flèche, un échafaudage électrifié avec ascenseurs et éclairage aux néons avait été installé l’an dernier autour du toit et de son immense charpente en bois de chêne, tous deux engloutis par les flammes.
Evoquant la piste d’un feu provoqué par les moteurs électriques des ascenseurs de l’échafaudage, Marc Eskenazi de l’entreprise Le Bras Frères a souligné que ces moteurs « ne posaient aucun problème ». « De toute façon, ils sont loin de la flèche alors que ce qui est établi c’est que l’incendie a démarré à l’intérieur de l’édifice », a-t-il argué, avant d’insister : « En aucun cas, ils peuvent être responsables de l’incendie ».
Des « erreurs humaines » dévastatrices ?
Deux alertes incendie ont retenti le soir de l’incendie de Notre-Dame. La première à 18h20, qui a été suivie d’une levée de doute, et la seconde 20 minutes plus tard, alors que le feu était déjà en train de se propager. Selon BFMTV, qui cite une source proche de l’enquête, la personne chargée de vérifier la première alarme s’est rendue au mauvais endroit de la cathédrale pour une raison encore inconnue.
Le Canard Enchaîné assure par ailleurs que les soldats du feu n’ont été appelés que trente-cinq minutes après la première alerte incendie, contre vingt minutes annoncé officiellement. Un retard dû, d’après l’hebdomadaire, à « une série d’erreurs humaines ».
Autre défaillance mise en avant par le journal : le plan incendie, mis en place par la direction régionale des affaires culturelles, n’aurait pas été respecté. Un PC sécurité 24h/24, avec deux surveillants payés par l’Etat, aurait dû être mis en place. Or, un seul homme était présent, de 8 à 23 heures.
Une rumeur assure que la fumée jaune qui s’échappe de Notre-Dame est due à de la thermite, un mélange chimique hautement inflammable. Cette couleur s’explique pourtant par la fonte du plomb, présent dans la toiture et dans la flèche.
Question posée le 20/04/2019
Bonjour,
Vous êtes nombreux à nous interroger sur la fumée jaune qui s’échappait, lors de l’incendie de la charpente et de la flèche de Notre-Dame de Paris, le 15 avril. A ce sujet, un post conspirationniste relayé plusieurs milliers de fois sur Facebook, affirme que le feu de Notre-Dame «n’est évidemment pas un accident ! Rien ne peut créer un tel incendie, dans un lieu hautement surveillé, sauf un acte volontaire et délibéré. Alors, à qui profite le crime ?» Pour étayer sa thèse, il assure que ces fumées jaunes «indiquent sans hésitation, l’utilisation de thermite».
«La thermite est un mélange d’aluminium métallique et d’oxyde de fer. Sa réaction est dite « aluminothermique ». […] Cette réaction chimique génère une chaleur intense permettant d’atteindre une température de 2 204,4°C en quelques secondes», poursuit l’internaute en paraphrasant la page Wikipédia de ce mélange utilisé «le plus souvent pour souder ou faire fondre de l’acier».
Selon l’auteur, l’incendie de Notre-Dame, comme les attentats du 11 Septembre, prouvent que les «criminels qui nous gouvernent usent de tous les pires stratagèmes, les plus diaboliques, pour se maintenir au pouvoir».
Pas de thermite dans la cathédrale selon les experts
Certaines théories font en effet la part belle, pour expliquer leur effondrement, à la présence de thermite dans les tours de Manhattan. Il en irait donc de même pour l’incendie de Notre-Dame. Pascal Paillard, responsable de l’équipe «ingéniérie des matériaux et métallurgie» à l’Institut des matériaux de Nantes, confirme que la fumée produite par la combustion de thermite «pourrait être jaune». Mais cela n’étaye pas pour autant la thèse complotiste de l’incendie volontaire.
D’une part, car il n’y a pas de raison que de la thermite ait été présente sous la charpente ou dans la zone de travaux. «Je n’ai pas le souvenir de présence d’oxyde de fer [un composant possible de la thermite] dans les combles lors de ma visite», répond le professeur de mécanique à l’Université Versailles Saint-Quentin Paolo Vannucci, auteur d’un rapport sur la sécurité des cathédrales paru en 2016 et classé «Confidentiel défense», dont CheckNews vous parlait précédemment.
Le porte-parole de Notre-Dame André Finot insiste à son tour : il n’y a pas de raison qu’il y ait eu de la thermite car «il n’y avait pas de soudures sur les échafaudages.» Ce que confirme à CheckNews l’entreprise en charge des travaux. Or, c’est précisément pour effectuer de soudures qu’est utilisée la thermite – «par exemple pour des rails de chemin de fer», note le chercheur Pascal Paillard.
D’autre part, la fumée jaune pourrait s’expliquer autrement que par la présence de thermite. Selon le scientifique, c’est le plomb qui a donné cette couleur à la fumée de l’incendie de Notre-Dame. «La couleur de la fumée au-dessus de Notre-Dame correspond tout à fait à une combustion de plomb», appuie Pascal Paillard. Il y en avait 250 tonnes dans la flèche, et 210 tonnes dans la toiture de Notre-Dame, selon le site internet de la cathédrale.
D’autres exemples de fumée jaune dans l’histoire
Et l’histoire semble lui donner raison. L’incendie de Notre-Dame est un événement historique mais il ne s’agit pas du premier embrasement d’une cathédrale française. «Nous avons des exemples dans l’histoire, à Chartres et Reims notamment, qui auraient pu permettre de prendre des mesures pour éviter que cela se reproduise», commente l’auteur du rapport sur la sécurité des cathédrales Paolo Vannucci.
Or, dans ces deux cas, les fumées s’échappant des lieux de culte en flammes étaient… jaunes selon les récits de l’époque. Ainsi, sur le site de la ville de Reims, on peut lire cette description de l’incendie de 1914 : «A 15 heures, un obus touche l’échafaudage en bois de pin qui depuis mai 1913 ceinturait la tour nord de la cathédrale et l’enflamme. Vers 15h30, la toiture prend feu rendant l’incendie visible de loin ce qui amène les Allemands à cesser leur tir. Mais la chaleur de l’incendie met en ébullition les 400 tonnes de feuilles de plomb qui recouvrent la toiture. Le plomb fondu se répand alors sur les voûtes et coule par les gargouilles, provoquant une spectaculaire fumée couleur jaune d’or.»
De même il est fait mention d’une «fumée épaisse, à la teinte jaunâtre, sulfureuse et plombée» lors de l’incendie de la cathédrale de Chartres de 1836 dans le livreHistorique de la cathédrale de Chartres.
La thèse de Pascal Paillard, d’une fumée jaune due à la combustion de plomb, est ainsi confirmée par l’histoire.
Rumeurs contre enquête
De nombreuses théories circulent à propos de l’incendie de Notre-Dame. Certains ont cru voir une personne sur le toit pendant que le feu dévorait le toit - il s’agissait en fait d’une statue. D’autres ont assuré qu’un gilet jaune, visible sur les tours pendant l’incendie en était le responsable – mais c’était un pompier. D’autres encore se sont étonnés d’une vidéo où l’on aperçoit une personne près de la flèche, à côté de laquelle on discerne des flashs lumineux – et CheckNews a retrouvé plusieurs vidéos permettant de voir les ouvriers travailler l’après-midi du 15 avril.
La thèse de l’accident, parfois remise en cause, est pourtant «privilégiée» par le procureur de Paris. «Les combles de Notre-Dame étaient une forêt de bois sec, saturée en poussières et avec un système de tirage naturel à cause de la flèche. Je ne suis pas surpris que les pompiers n’aient pas pu circonvenir le feu. L’accès est très compliqué. C’est pourquoi nous avions préconisé l’installation d’un système d’extinction automatique en 2016», commente Paolo Vannucci. Le New York Times est du même avis, puisqu’il a produit une infographie intitulée «Pourquoi Notre-Dame était une poudrière».
L’enquête pour «destruction involontaire par incendie» ouverte par le parquet de Paris et confiée à la Direction régionale de la police judiciaire de la préfecture de police de Paris (DRPJ) est toujours en cours, et devra permettre de déterminer comment le feu a démarré puis s’est propagé. Le parquet s’est pour l’heure refusé à commenter l’hypothèse de la thermite, ou même donner des pistes concernant l’origine de la fumée jaune.
C’est la question qui se pose assez logiquement et très légitimement après la parution de l’ensemble des informations qui suivent quand on sait que l’intéressé, qui a travaillé deux ans aux Monuments Historiques dans les années 1970, est resté très lié au conservateur du patrimoine Alain Pougetoux, à telle enseigne que ce dernier a acheté pour lui sa maison de Puy-l’Evêque au début des années 2000.
Son billet de blog du 18 avril 2019, traitant précisément ce sujet, est aussi très clair :
Enfer et Dame Nation
Autant le dire tout de suite : pas plus que la Moutche sur le rebord de la fenêtre, je n’en ai quoi que ce soit à foutre de l’incendie de la grosse église moche parisienne…
Notre-Dame et la Nation unies dans la même haine du pays qui l’a vu naître…
Rappelons là, d’une part, son goût prononcé pour les attaques en tous genres contre l’Etat et ses autres cibles habituelles, dont moi-même et tous mes « alliés », le jour de la Fête nationale, et d’autre part, l’attentat raté de début septembre 2016 sur l’île de la Cité alors que nous devions nous y rencontrer pour la toute première fois le 13 septembre 2016, au tribunal, selon son propre choix, à sa demande.
Cet attentat visait déjà Notre-Dame et celle de mes « alliées » contre lui qui s’y rendait tous les jours…
Une réunion du Centre des monuments nationaux (CMN) a eu lieu le soir de l’incendie dans une des tours. Le CNM assure que ce n’est pas une première, et que ça n’a rien à voir avec l’incendie.
Question posée par Eric le 23/04/2019
Bonjour,
Voici l’une des questions que vous nous avez posées à ce sujet : «Le lundi 15 avril 2019, au soir duquel un incendie a ravagé partiellement la cathédrale Notre-Dame, le circuit des tours était exceptionnellement fermé à 17h30. Quelle était la raison de cette fermeture ?»
Vous faites référence à la publication par le site d’extrême droite Panamza de l’article «Notre-Dame: les tours étaient « exceptionnellement » fermées». L’auteur s’appuie sur les archives de la page internet des tours de Notre-Dame de Paris. On y lit bien, en bandeau : «Le lundi 15 avril, le circuit des tours de Notre-Dame fermera exceptionnellement à 17h30», au lieu de 18h30 normalement.
Dès le 11 avril, une internaute prévenait sur Twitter de cette fermeture avancée.
Panamza ajoute que «c’est précisément durant la tranche horaire de 17h30-18h30 que le foyer du feu fut activé… Accidentellement… Ou délibérément». Esquissant l’idée que l’incendie de la cathédrale, en plus d’être intentionnel, était prémédité. Ce papier a été intégralement repris par une nébuleuse de sites à tendance conspirationnistes (Pro Fide Catholica, Wikistrike, Alter Info, etc.).
Réunion du CNM
Les archives du site de Notre-Dame retrouvées par Panamza sont authentiques. Contactée à propos de cette fermeture anticipée des tours le jour de l’incendie, la fondation qui gère la cathédrale renvoie vers le Centre des monuments nationaux (CMN), responsable des visites des tours.
Le CNM nous répond : «La fermeture du circuit des Tours de Notre Dame le lundi 15 avril à 17h30 était prévue depuis quinze jours afin d’organiser une réunion administrative avec les agents du Centre des monuments nationaux. Ces réunions sont organisées régulièrement afin d’échanger avec les personnels sur place.»
«La coïncidence peut paraître étrange, mais il n’y a rien de louche là-dedans, il arrive régulièrement qu’on ouvre plus tard ou qu’on ferme plus tôt l’accès au public, pour que nous puissions nous réunir, avec l’équipe du CNM, dans la salle haute normalement dévolue à l’accueil des groupes», poursuit notre interlocuteur. Selon lui, à 18h30, «tout le monde était descendu», et personne n’avait allumé de feu.
Comme nous vous l’expliquions dans un précédent article, une première alarme a sonné à Notre-Dame ce 15 avril, à 18h20. Puis une autre à 18h43. La première a donné lieu à une «levée de doute négative», selon les mots du parquet de Paris : l’agent se serait déplacé sans constater d’incendie, une erreur du dispositif d’alerte l’ayant envoyé à un mauvais endroit. C’est seulement 23 minutes plus tard que l’agent a constaté le départ, situé à l’angle de la flèche. Une enquête pour «destruction involontaire par incendie» a été ouverte par le parquet de Paris et confiée à la Direction régionale de la police judiciaire de la préfecture de police de Paris (DRPJ).
Tous les dimanches de mon enfance, contraint et forcé d’assister à leur culte débile dans une église affreuse, plus le cathé obligatoire à l’école publique (vu que c’était en Alsace) : je sais pourquoi je les hais, ces saletés.
Je vis dans une vieille bicoque en pierre au beau milieu d’un quartier de vieilles bicoques en pierre. Je causais des monuments et particulièrement des édifices religieux, que je déteste tous
Je ne fous plus jamais les pieds dans des lieux de culte, un point c’est tout. Et je ne les trouve pas beaux : à mes yeux ils ne sont que la projection de modes de pensée qui ne sont pas miens et me sont totalement aliènes, pour tout dire.
C’est sans doute parce que pendant deux ans j’avais bossé aux monuments historiques et que ça m’avait appris une chose essentielle : c’est juste de l’usine à touristes. Et puis pendant quinze ans comme guide de voyages, j’en ai trop fréquenté par obligation, des monuments
Saint Laurent et son grill, je me le suis farci tous les dimanches matin de mon enfance, à la messe. Il était sur un vitrail hideux au cul de l’église. C’est vraiment un truc de tarés sadiques, cette religion, sans déconner.
Je suis un gens de rien, comme me le serine le chef en chef des Français. Alors j’en ai rien à foutre de tout ça. Ces émois collectifs ne me concernent en rien. #NothingPowa#Anihilisme
Tu m’étonnes. Le vieux conservateur insistait déjà à mort pour qu’on laisse nos clopes et nos briquets au rez-de-chaussée. Y avait juste un chemin de planches au dessus du plafond de la nef.
Vu de l’intérieur (dans les années 70 j’ai eu plusieurs fois l’occasion de monter là-haut dans la « forêt », vu que je bossais à la Culture), elle était pas mal du tout, la charpente de la flèche. C’était de la belle ouvrage. Par contre la déco extérieure, argh