L’Etat islamique a revendiqué les attentats de Pâques au Sri Lanka

 

 

 

Ce n’est franchement pas une surprise…

Par ailleurs, ces attentats n’ont pas été perpétrés en représailles à ceux de Christchurch, en Nouvelle-Zélande, le 15 mars dernier, pas plus que les attentats du 13 novembre 2015 à Paris n’avaient été commis en représailles aux premières frappes françaises en Syrie, vu qu’en réalité ils se préparaient déjà bien avant que la France n’eut radicalement changé sa politique en la matière, au cours de l’été 2015.

Ces histoires de représailles ne sont que des prétextes, des justifications faciles fournies uniquement lorsque des évènements récents peuvent s’y prêter.

Rien de tel, par exemple, fin janvier de cette année pour le double attentat commis contre la cathédrale de l’île de Jolo aux Philippines, lequel avait déjà spécifiquement visé des Chrétiens :

http://petitcoucou.unblog.fr/2019/01/29/daech-a-revendique-le-double-attentat-de-dimanche-contre-une-cathedrale-aux-philippines/

En réalité, l’EI attaque là où les conditions de sécurité le lui permettent encore sans trop de difficultés.

Quant au choix de ses cibles, il se trouve toujours en symbiose totale avec les haines exprimées par le duo de malades mentaux extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi et Jean-Marc Donnadieu.

 

https://www.lemonde.fr/international/article/2019/04/23/l-organisation-djihadiste-etat-islamique-revendique-les-attentats-commis-au-sri-lanka_5453846_3210.html

L’Etat islamique diffuse une preuve de son implication dans les attentats au Sri Lanka

 

Le groupe djihadiste a diffusé une vidéo d’allégeance des kamikazes ainsi qu’un communiqué détaillé sur les attaques qui ont fait au moins 321 morts dimanche.

Le Monde avec AFP Publié aujourd’hui à 14h00, mis à jour à 20h21

Temps de Lecture 3 min.

 

Devant l’une des églises touchées par un attentat, le 22 avril 2019.

Devant l’une des églises touchées par un attentat, le 22 avril 2019. JEWEL SAMAD / AFP

 

Le groupe djihadiste Etat islamique (EI) a revendiqué les attentats qui ont touché des églises et des hôtels, faisant 321 morts dimanche au Sri Lanka, rapporte, mardi 23 avril, l’organe de propagande de l’organisation, Amaaq. L’EI a diffusé une vidéo d’allégeance des kamikazes, ainsi qu’un communiqué détaillant les attaques et les noms des « combattants » qui les auraient commises :

  • des djihadistes présentés sous les noms de guerre d’Abou Oubeida, Abou Baraa et Abou Moukhtar ont perpétré les attaques contre le Cinnamon Grand Hotel, le Shangri-La et le Kingsbury.
  • trois autres combattants, Abou Hamza, Abou Khalil et Abou Mohamad ont mené, selon la même source, les attaques contre les trois églises à Colombo, Negombo et Batticaloa.
  • un septième djihadiste, Abou Abdallah, a, selon l’EI, tué trois policiers dans une attaque dans la banlieue de Colombo.

Sur une photo diffusée avec le communiqué, dont l’authenticité n’a pas été vérifiée de source indépendante, huit hommes, dont sept au visage couvert et trois portant des couteaux, posent devant le drapeau noir traditionnel de l’EI. Le seul homme au visage découvert arbore une barbe noire et porte une mitrailleuse.

Lire aussi Le djihadisme frappe les chrétiens du Sri Lanka

 

Deux frères islamistes au cœur du carnage

Quarante personnes ont été arrêtées mais des suspects sont encore en fuite, d’après le premier ministre Ranil Wickremesinghe. Le groupe local islamiste National Thowheeth Jama’ath (NTJ) est accusé par les autorités d’avoir commis les attentats au Sri Lanka, en lien avec un groupe islamiste radical indien, connu comme le Jamaat-ul-Mujahideen India (JMI).

Deux frères sri-lankais musulmans, figurant parmi les kamikazes, ont joué un rôle-clé dans ce déchaînement de violence, au cours duquel un autre attentat-suicide a échoué dans un quatrième hôtel de luxe à Colombo, ont révélé mardi des sources proches de l’enquête.

Les deux frères, dont les noms n’ont pas été révélés, d’origine aisée et fils d’un riche commerçant d’épices, avaient près de 30 ans. Selon les policiers, ces suspects, qui sont morts dans les attaques, dirigeaient une « cellule terroriste » familiale et jouaient un rôle-clé au sein du NTJ.

Lire la tribune d’Eric Paul Meyer : « Nul ne s’attendait à ce que le Sri Lanka soit visé par des attentats d’une telle ampleur »

 

Premiers éléments de l’enquête

Les premiers éléments de l’enquête montrent que les attentats de dimanche ont été commis pour riposter au carnage des mosquées de Christchurch, en Nouvelle-Zélande, a déclaré mardi le vice-ministre de la défense sri-lankais. Il fait référence à l’attaque qui a fait 50 morts le 15 mars dans deux mosquées de la grande ville du sud de la Nouvelle-Zélande.

Le ministre a ajouté que le Sri Lanka bénéficiait d’une aide internationale pour l’enquête, sans autre précision. « Ces actes ignobles devront être punis. La coopération internationale contre le terrorisme exige la mobilisation de tous et elle sera au cœur de nos priorités », a déclaré Emmanuel Macron mardi, au côté du premier ministre japonais, Shinzo Abe, à l’Elysée.

Article réservé à nos abonnés Lire aussi Attentats au Sri Lanka : chez les chrétiens, le deuil et l’incompréhension

 

L’Organisation des Nations unies à Genève a annoncé mardi qu’au moins 45 enfants et adolescents, dont un bébé de 18 mois, ont été tués au cours de ces attentats. « Et ce chiffre pourrait encore augmenter », a ajouté un porte-parole du Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef), Christophe Boulierac. Lors d’une conférence de presse, il a souligné que d’autres jeunes victimes « sont blessées et luttent actuellement pour leur vie ».

 

Le personnel de sécurité monte la garde devant le sanctuaire Saint-Antoine de Colombo le 23 avril 2019, deux jours après une série d’attentats à la bombe visant des églises et des hôtels de luxe au Sri Lanka. Le 23 avril, le Sri Lanka a entamé une journée de deuil national avec trois minutes de silence en l’honneur de plus de 300 personnes tuées dans des attentats-suicides à la bombe perpétrés par un groupe islamiste local. / AFP / Jewel SAMAD

Le personnel de sécurité monte la garde devant le sanctuaire Saint-Antoine de Colombo le 23 avril 2019, deux jours après une série d’attentats à la bombe visant des églises et des hôtels de luxe au Sri Lanka. Le 23 avril, le Sri Lanka a entamé une journée de deuil national avec trois minutes de silence en l’honneur de plus de 300 personnes tuées dans des attentats-suicides à la bombe perpétrés par un groupe islamiste local. / AFP / Jewel SAMAD JEWEL SAMAD / AFP

 

Enterrements en série

Dimanche, quatre hôtels et trois églises, en pleine messe de Pâques, avaient été visés dans plusieurs endroits de l’île. A Negombo, une localité située à une trentaine de kilomètres au nord de la capitale, Colombo, 27 mineurs ont péri, et 10 autres ont été blessés lors de l’attentat à la bombe qui a visé l’église Saint-Sébastien, a rapporté l’Unicef.

A Batticaloa, sur la côte orientale de l’île, 13 mineurs ont été tués, dont un bébé de 18 mois, a ajouté l’agence, en précisant que ces 40 enfants et adolescents morts étaient tous de nationalité sri-lankaise. A Colombo, 20 enfants ont été hospitalisés, dont quatre placés en unité de soins intensifs.

Le porte-parole a par ailleurs fait savoir que cinq enfants et adolescents étrangers avaient péri dans les attentats, sans révéler leur nationalité ni le lieu où ils se trouvaient. Trois des quatre enfants du milliardaire danois Anders Holch Povlsen, qui était en vacances au Sri Lanka avec son épouse, figurent parmi les victimes, a confirmé un porte-parole de son groupe de prêt-à-porter, Bestseller.

 

Dimanche 21 avril 2019, l’intérieur de l’église Saint-Sébastien endommagée par l’explosion à Negombo, au nord de Colombo, au Sri Lanka.

Dimanche 21 avril 2019, l’intérieur de l’église Saint-Sébastien endommagée par l’explosion à Negombo, au nord de Colombo, au Sri Lanka. Chamila Karunarathne / AP

 

Le Sri Lanka a rendu mardi un hommage poignant aux 321 morts des attentats. L’île de 21 millions d’habitants est restée silencieuse durant trois minutes à 8 h 30 locales, heure de la première explosion d’un kamikaze deux jours auparavant, à l’église catholique Saint-Antoine de Colombo.

Le gouvernement a décrété une journée de deuil national. Les magasins vendant de l’alcool étaient fermés, les drapeaux en berne et les radios et télévisions devaient adapter leur programmation musicale.

Lire aussi Les attentats au Sri Lanka, les plus meurtriers contre les chrétiens depuis 1970

 



L’escroc Jean-Marc Donnadieu est bien motivé par l’argent

On le savait déjà depuis longtemps, on l’avait bien compris dès ses premières plaintes contre moi au printemps 2010.

Il vient de le réaffirmer sur Facebook aujourd’hui même :

 

 

Vu sur facebook:

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Commentaires
  • Jean-marc Donnadieu
    Jean-marc Donnadieu Ma réponse: La 9 . Parce que mourir en bonne santé avec plein de privations c’est bien ? Mourir en me disant « Bon je me suis privé d’un tas de trucs, j’ai raté pleins de choses qui font qu’on se sent vivant, je meurs mais en bonne santé. », j’y arriverais pas, je me suiciderais avant …On meurt quoi qu’il arrive, ce qu’il faut vivre c’est de la naissance à la mort inévitable, alors bien remplir ce temps et avec du pognon c’est plus simple… Ça n’empêche pas de passer une partie de ce temps à aider les autres, ou des choses comme ça, mais une vie il n’y en a qu’une et en plus il faudrait que volontairement on s’y emmerde ?

 

 

Pour mémoire, voilà ce qu’il écrivait sur le blog de son complice le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi le 1er avril 2011, alors que le corps de leur victime Patricia Bouchon venait tout juste d’être retrouvé et qu’ils n’attendaient tous qu’une condamnation contre OVERBLOG le 8 avril 2011 (c’est finalement lui, Jean-Marc Donnadieu, qui à cette date sera condamné à verser quelques centaines d’euros à mon ancien hébergeur de blog OVERBLOG pour ses frais de justice) :

 

109692

NEMROD34 répond à 109685

Le 1 avril 2011 à 11:06 | Permalien

En plus excellente nouvelle au courrier !
D’après l’avocat c’est gagné! 22 000€ pour le NEM !
un bon vikend quoi …
Je repars en thailande dès que c’est encaissé, on va se faire une bringue d’enfer !

Bon comme je vais être absent, je signale pour certaines mononeurone qu’on est le 1er avril … ;-)

 

 



Violences sexuelles : en médecine aussi

Et l’on rappelle encore une fois que plusieurs médecins ainsi que des infirmiers ou infirmières font ou ont fait partie de la bande des cybercriminels dits « déconnologues » de la bande du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi, laquelle donne notamment dans le harcèlement sexuel à l’encontre des femmes qu’elle vise sur la toile et ailleurs… et pour certaines, telle Patricia Bouchon à Bouloc le 14 février 2011, jusque sur les routes ou dans les petits chemins où elles vont faire leur jogging…

Sur le site le Post où elle m’a abondamment calomniée puis harcelée à compter du printemps 2009, calomniant aussi mon médecin traitant pour ses diagnostics me concernant, sans aucun rapport avec une quelconque maladie mentale, cette bande de cyberharceleurs qui voulait déjà me faire interner se faisait d’ailleurs appeler « les guerriers de l’hôpital »…

Mais… mais… Jean-Marc Donnadieu lui-même a travaillé comme brancardier dans un hôpital, celui de Béziers, durant quatorze années dont la moitié en psychiatrie.

Et ce ne fut pas le dernier à me harceler sexuellement après avoir rejoint la bande sous son pseudonyme de NEMROD34 n’ayant jamais caché son identité véritable, au printemps 2010.

 

https://www.bastamag.net/Six-etudiantes-en-medecine-sur-dix-ont-subi-des-violences-sexuelles

Six étudiantes en médecine sur dix ont subi des violences sexuelles

 

par Nolwenn Weiler 4 avril 2019

 

Les deux tiers des étudiantes en médecine ont subi des violences sexuelles dans le cadre de leurs études. C’est l’une des conclusions de l’enquête menée par deux doctorantes en médecine, Line Zou Al Guyna et Malyza Mohamed Ali [1]. « L’objectif, c’était de mettre en chiffres ce que tout le monde sait : les victimes de violences sexuelles sont très nombreuses parmi les étudiant.es de médecine », détaille le docteur Martin Coutellier, co-directeur avec Cécile Cousyn, des thèses soutenues par Line Zou Al Guyna et Malyza Mohamed Ali.

Le risque de subir des violences est majeur pour les femmes, puisqu’il concerne 60 % d’entre elles en fin d’externat, lorsque, à la fin de leurs études, les étudiants en médecine partagent leur temps entre université et hôpital, où ils enchaînent des stages dans plusieurs spécialités (pédiatrie, gynécologie, urgences, chirurgie, médecine interne et obstétrique). Ce risque concerne également les hommes : 11 % d’entre eux hommes déclarent avoir vécu au moins une situation de violence sexuelle.

 
© illustration : Thomas Mathieu, co-auteur du projet « Crocodiles », histoires de harcèlement et de sexisme ordinaire mises en BD.

« Le risque augmente à mesure que l’on multiplie les expériences de travail », souligne Malyza Mohamed Ali. Plus on fait de stages en hôpital, plus la probabilité d’être victime augmente. Les services de chirurgie, et dans une moindre mesure les services d’urgence ou de réanimation, sont les plus dangereux. La plupart des agresseurs sont les supérieurs hiérarchiques des victimes. Et ils agressent en général à plusieurs reprises. « La question de la hiérarchie revient très souvent, et on sait que les blocs opératoires sont des endroits où la hiérarchie est très présente », précise Line Zou Al Guyna. Diverses études ailleurs dans le monde confirment la forte probabilité de subir des violences sexuelles dans le bloc opératoire.

80 % des étudiantes ignorent le caractère illégal des actes imposés

Les deux jeunes médecins ont remarqué qu’il existe une accoutumance aux violences, qui fait durer le phénomène. « On peut être choqué par la première fois, et puis, on s’habitue. Comme personne ne semble voir le problème, on minimise », explique Malyza Mohamed Ali. La banalisation vient aussi du fameux « esprit carabin », un « humour » à forte connotation sexuelle, dont les médecins auraient besoin pour faire face à la mort et aux corps en souffrance. « Personnellement, je n’ai pas besoin de ça ni pour respecter les corps de mes patients ni pour être équilibrée mentalement », commente la médecin.

Autre constat : une large majorité d’étudiantes – huit sur dix – ne sont pas au courant que les actes subis tombent sous le coup de la loi. Le résultat n’a pas étonné les deux enquêtrices qui remarquent que, pour les externes, aucune sensibilisation sur les violences sexuelles que l’on peut subir dans le cadre des études n’est prévue. « La reconnaissance du caractère illégal des situations est plus facile si on est formée, et si on ne trouve pas ces situations drôles. » Le groupe de travail contre les violences sexuelles auquel appartient le docteur Martin Coutellier (département de médecine générale de Paris 7) aimerait en finir avec cette impasse. S’appuyant sur les résultats de l’enquête menée par ces collègues Line Zou Al Guyna et Malyza Mohamed Ali, le groupe de travail aimerait monter une pièce de théâtre-forum qui serait jouée systématiquement devant les jeunes étudiantes, en début de quatrième année, quand elles commencent leur externat.

 



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