Terrorisme : attention, 192 visites des Pays-Bas d’un coup sur Satanistique

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L’Etat islamique a revendiqué les attentats de Pâques au Sri Lanka

 

 

 

Ce n’est franchement pas une surprise…

Par ailleurs, ces attentats n’ont pas été perpétrés en représailles à ceux de Christchurch, en Nouvelle-Zélande, le 15 mars dernier, pas plus que les attentats du 13 novembre 2015 à Paris n’avaient été commis en représailles aux premières frappes françaises en Syrie, vu qu’en réalité ils se préparaient déjà bien avant que la France n’eut radicalement changé sa politique en la matière, au cours de l’été 2015.

Ces histoires de représailles ne sont que des prétextes, des justifications faciles fournies uniquement lorsque des évènements récents peuvent s’y prêter.

Rien de tel, par exemple, fin janvier de cette année pour le double attentat commis contre la cathédrale de l’île de Jolo aux Philippines, lequel avait déjà spécifiquement visé des Chrétiens :

http://petitcoucou.unblog.fr/2019/01/29/daech-a-revendique-le-double-attentat-de-dimanche-contre-une-cathedrale-aux-philippines/

En réalité, l’EI attaque là où les conditions de sécurité le lui permettent encore sans trop de difficultés.

Quant au choix de ses cibles, il se trouve toujours en symbiose totale avec les haines exprimées par le duo de malades mentaux extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi et Jean-Marc Donnadieu.

 

https://www.lemonde.fr/international/article/2019/04/23/l-organisation-djihadiste-etat-islamique-revendique-les-attentats-commis-au-sri-lanka_5453846_3210.html

L’Etat islamique diffuse une preuve de son implication dans les attentats au Sri Lanka

 

Le groupe djihadiste a diffusé une vidéo d’allégeance des kamikazes ainsi qu’un communiqué détaillé sur les attaques qui ont fait au moins 321 morts dimanche.

Le Monde avec AFP Publié aujourd’hui à 14h00, mis à jour à 20h21

Temps de Lecture 3 min.

 

Devant l’une des églises touchées par un attentat, le 22 avril 2019.

Devant l’une des églises touchées par un attentat, le 22 avril 2019. JEWEL SAMAD / AFP

 

Le groupe djihadiste Etat islamique (EI) a revendiqué les attentats qui ont touché des églises et des hôtels, faisant 321 morts dimanche au Sri Lanka, rapporte, mardi 23 avril, l’organe de propagande de l’organisation, Amaaq. L’EI a diffusé une vidéo d’allégeance des kamikazes, ainsi qu’un communiqué détaillant les attaques et les noms des « combattants » qui les auraient commises :

  • des djihadistes présentés sous les noms de guerre d’Abou Oubeida, Abou Baraa et Abou Moukhtar ont perpétré les attaques contre le Cinnamon Grand Hotel, le Shangri-La et le Kingsbury.
  • trois autres combattants, Abou Hamza, Abou Khalil et Abou Mohamad ont mené, selon la même source, les attaques contre les trois églises à Colombo, Negombo et Batticaloa.
  • un septième djihadiste, Abou Abdallah, a, selon l’EI, tué trois policiers dans une attaque dans la banlieue de Colombo.

Sur une photo diffusée avec le communiqué, dont l’authenticité n’a pas été vérifiée de source indépendante, huit hommes, dont sept au visage couvert et trois portant des couteaux, posent devant le drapeau noir traditionnel de l’EI. Le seul homme au visage découvert arbore une barbe noire et porte une mitrailleuse.

Lire aussi Le djihadisme frappe les chrétiens du Sri Lanka

 

Deux frères islamistes au cœur du carnage

Quarante personnes ont été arrêtées mais des suspects sont encore en fuite, d’après le premier ministre Ranil Wickremesinghe. Le groupe local islamiste National Thowheeth Jama’ath (NTJ) est accusé par les autorités d’avoir commis les attentats au Sri Lanka, en lien avec un groupe islamiste radical indien, connu comme le Jamaat-ul-Mujahideen India (JMI).

Deux frères sri-lankais musulmans, figurant parmi les kamikazes, ont joué un rôle-clé dans ce déchaînement de violence, au cours duquel un autre attentat-suicide a échoué dans un quatrième hôtel de luxe à Colombo, ont révélé mardi des sources proches de l’enquête.

Les deux frères, dont les noms n’ont pas été révélés, d’origine aisée et fils d’un riche commerçant d’épices, avaient près de 30 ans. Selon les policiers, ces suspects, qui sont morts dans les attaques, dirigeaient une « cellule terroriste » familiale et jouaient un rôle-clé au sein du NTJ.

Lire la tribune d’Eric Paul Meyer : « Nul ne s’attendait à ce que le Sri Lanka soit visé par des attentats d’une telle ampleur »

 

Premiers éléments de l’enquête

Les premiers éléments de l’enquête montrent que les attentats de dimanche ont été commis pour riposter au carnage des mosquées de Christchurch, en Nouvelle-Zélande, a déclaré mardi le vice-ministre de la défense sri-lankais. Il fait référence à l’attaque qui a fait 50 morts le 15 mars dans deux mosquées de la grande ville du sud de la Nouvelle-Zélande.

Le ministre a ajouté que le Sri Lanka bénéficiait d’une aide internationale pour l’enquête, sans autre précision. « Ces actes ignobles devront être punis. La coopération internationale contre le terrorisme exige la mobilisation de tous et elle sera au cœur de nos priorités », a déclaré Emmanuel Macron mardi, au côté du premier ministre japonais, Shinzo Abe, à l’Elysée.

Article réservé à nos abonnés Lire aussi Attentats au Sri Lanka : chez les chrétiens, le deuil et l’incompréhension

 

L’Organisation des Nations unies à Genève a annoncé mardi qu’au moins 45 enfants et adolescents, dont un bébé de 18 mois, ont été tués au cours de ces attentats. « Et ce chiffre pourrait encore augmenter », a ajouté un porte-parole du Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef), Christophe Boulierac. Lors d’une conférence de presse, il a souligné que d’autres jeunes victimes « sont blessées et luttent actuellement pour leur vie ».

 

Le personnel de sécurité monte la garde devant le sanctuaire Saint-Antoine de Colombo le 23 avril 2019, deux jours après une série d’attentats à la bombe visant des églises et des hôtels de luxe au Sri Lanka. Le 23 avril, le Sri Lanka a entamé une journée de deuil national avec trois minutes de silence en l’honneur de plus de 300 personnes tuées dans des attentats-suicides à la bombe perpétrés par un groupe islamiste local. / AFP / Jewel SAMAD

Le personnel de sécurité monte la garde devant le sanctuaire Saint-Antoine de Colombo le 23 avril 2019, deux jours après une série d’attentats à la bombe visant des églises et des hôtels de luxe au Sri Lanka. Le 23 avril, le Sri Lanka a entamé une journée de deuil national avec trois minutes de silence en l’honneur de plus de 300 personnes tuées dans des attentats-suicides à la bombe perpétrés par un groupe islamiste local. / AFP / Jewel SAMAD JEWEL SAMAD / AFP

 

Enterrements en série

Dimanche, quatre hôtels et trois églises, en pleine messe de Pâques, avaient été visés dans plusieurs endroits de l’île. A Negombo, une localité située à une trentaine de kilomètres au nord de la capitale, Colombo, 27 mineurs ont péri, et 10 autres ont été blessés lors de l’attentat à la bombe qui a visé l’église Saint-Sébastien, a rapporté l’Unicef.

A Batticaloa, sur la côte orientale de l’île, 13 mineurs ont été tués, dont un bébé de 18 mois, a ajouté l’agence, en précisant que ces 40 enfants et adolescents morts étaient tous de nationalité sri-lankaise. A Colombo, 20 enfants ont été hospitalisés, dont quatre placés en unité de soins intensifs.

Le porte-parole a par ailleurs fait savoir que cinq enfants et adolescents étrangers avaient péri dans les attentats, sans révéler leur nationalité ni le lieu où ils se trouvaient. Trois des quatre enfants du milliardaire danois Anders Holch Povlsen, qui était en vacances au Sri Lanka avec son épouse, figurent parmi les victimes, a confirmé un porte-parole de son groupe de prêt-à-porter, Bestseller.

 

Dimanche 21 avril 2019, l’intérieur de l’église Saint-Sébastien endommagée par l’explosion à Negombo, au nord de Colombo, au Sri Lanka.

Dimanche 21 avril 2019, l’intérieur de l’église Saint-Sébastien endommagée par l’explosion à Negombo, au nord de Colombo, au Sri Lanka. Chamila Karunarathne / AP

 

Le Sri Lanka a rendu mardi un hommage poignant aux 321 morts des attentats. L’île de 21 millions d’habitants est restée silencieuse durant trois minutes à 8 h 30 locales, heure de la première explosion d’un kamikaze deux jours auparavant, à l’église catholique Saint-Antoine de Colombo.

Le gouvernement a décrété une journée de deuil national. Les magasins vendant de l’alcool étaient fermés, les drapeaux en berne et les radios et télévisions devaient adapter leur programmation musicale.

Lire aussi Les attentats au Sri Lanka, les plus meurtriers contre les chrétiens depuis 1970

 



L’escroc Jean-Marc Donnadieu est bien motivé par l’argent

On le savait déjà depuis longtemps, on l’avait bien compris dès ses premières plaintes contre moi au printemps 2010.

Il vient de le réaffirmer sur Facebook aujourd’hui même :

 

 

Vu sur facebook:

Aucune description de photo disponible.
Commentaires
  • Jean-marc Donnadieu
    Jean-marc Donnadieu Ma réponse: La 9 . Parce que mourir en bonne santé avec plein de privations c’est bien ? Mourir en me disant « Bon je me suis privé d’un tas de trucs, j’ai raté pleins de choses qui font qu’on se sent vivant, je meurs mais en bonne santé. », j’y arriverais pas, je me suiciderais avant …On meurt quoi qu’il arrive, ce qu’il faut vivre c’est de la naissance à la mort inévitable, alors bien remplir ce temps et avec du pognon c’est plus simple… Ça n’empêche pas de passer une partie de ce temps à aider les autres, ou des choses comme ça, mais une vie il n’y en a qu’une et en plus il faudrait que volontairement on s’y emmerde ?

 

 

Pour mémoire, voilà ce qu’il écrivait sur le blog de son complice le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi le 1er avril 2011, alors que le corps de leur victime Patricia Bouchon venait tout juste d’être retrouvé et qu’ils n’attendaient tous qu’une condamnation contre OVERBLOG le 8 avril 2011 (c’est finalement lui, Jean-Marc Donnadieu, qui à cette date sera condamné à verser quelques centaines d’euros à mon ancien hébergeur de blog OVERBLOG pour ses frais de justice) :

 

109692

NEMROD34 répond à 109685

Le 1 avril 2011 à 11:06 | Permalien

En plus excellente nouvelle au courrier !
D’après l’avocat c’est gagné! 22 000€ pour le NEM !
un bon vikend quoi …
Je repars en thailande dès que c’est encaissé, on va se faire une bringue d’enfer !

Bon comme je vais être absent, je signale pour certaines mononeurone qu’on est le 1er avril … ;-)

 

 



Violences sexuelles : en médecine aussi

Et l’on rappelle encore une fois que plusieurs médecins ainsi que des infirmiers ou infirmières font ou ont fait partie de la bande des cybercriminels dits « déconnologues » de la bande du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi, laquelle donne notamment dans le harcèlement sexuel à l’encontre des femmes qu’elle vise sur la toile et ailleurs… et pour certaines, telle Patricia Bouchon à Bouloc le 14 février 2011, jusque sur les routes ou dans les petits chemins où elles vont faire leur jogging…

Sur le site le Post où elle m’a abondamment calomniée puis harcelée à compter du printemps 2009, calomniant aussi mon médecin traitant pour ses diagnostics me concernant, sans aucun rapport avec une quelconque maladie mentale, cette bande de cyberharceleurs qui voulait déjà me faire interner se faisait d’ailleurs appeler « les guerriers de l’hôpital »…

Mais… mais… Jean-Marc Donnadieu lui-même a travaillé comme brancardier dans un hôpital, celui de Béziers, durant quatorze années dont la moitié en psychiatrie.

Et ce ne fut pas le dernier à me harceler sexuellement après avoir rejoint la bande sous son pseudonyme de NEMROD34 n’ayant jamais caché son identité véritable, au printemps 2010.

 

https://www.bastamag.net/Six-etudiantes-en-medecine-sur-dix-ont-subi-des-violences-sexuelles

Six étudiantes en médecine sur dix ont subi des violences sexuelles

 

par Nolwenn Weiler 4 avril 2019

 

Les deux tiers des étudiantes en médecine ont subi des violences sexuelles dans le cadre de leurs études. C’est l’une des conclusions de l’enquête menée par deux doctorantes en médecine, Line Zou Al Guyna et Malyza Mohamed Ali [1]. « L’objectif, c’était de mettre en chiffres ce que tout le monde sait : les victimes de violences sexuelles sont très nombreuses parmi les étudiant.es de médecine », détaille le docteur Martin Coutellier, co-directeur avec Cécile Cousyn, des thèses soutenues par Line Zou Al Guyna et Malyza Mohamed Ali.

Le risque de subir des violences est majeur pour les femmes, puisqu’il concerne 60 % d’entre elles en fin d’externat, lorsque, à la fin de leurs études, les étudiants en médecine partagent leur temps entre université et hôpital, où ils enchaînent des stages dans plusieurs spécialités (pédiatrie, gynécologie, urgences, chirurgie, médecine interne et obstétrique). Ce risque concerne également les hommes : 11 % d’entre eux hommes déclarent avoir vécu au moins une situation de violence sexuelle.

 
© illustration : Thomas Mathieu, co-auteur du projet « Crocodiles », histoires de harcèlement et de sexisme ordinaire mises en BD.

« Le risque augmente à mesure que l’on multiplie les expériences de travail », souligne Malyza Mohamed Ali. Plus on fait de stages en hôpital, plus la probabilité d’être victime augmente. Les services de chirurgie, et dans une moindre mesure les services d’urgence ou de réanimation, sont les plus dangereux. La plupart des agresseurs sont les supérieurs hiérarchiques des victimes. Et ils agressent en général à plusieurs reprises. « La question de la hiérarchie revient très souvent, et on sait que les blocs opératoires sont des endroits où la hiérarchie est très présente », précise Line Zou Al Guyna. Diverses études ailleurs dans le monde confirment la forte probabilité de subir des violences sexuelles dans le bloc opératoire.

80 % des étudiantes ignorent le caractère illégal des actes imposés

Les deux jeunes médecins ont remarqué qu’il existe une accoutumance aux violences, qui fait durer le phénomène. « On peut être choqué par la première fois, et puis, on s’habitue. Comme personne ne semble voir le problème, on minimise », explique Malyza Mohamed Ali. La banalisation vient aussi du fameux « esprit carabin », un « humour » à forte connotation sexuelle, dont les médecins auraient besoin pour faire face à la mort et aux corps en souffrance. « Personnellement, je n’ai pas besoin de ça ni pour respecter les corps de mes patients ni pour être équilibrée mentalement », commente la médecin.

Autre constat : une large majorité d’étudiantes – huit sur dix – ne sont pas au courant que les actes subis tombent sous le coup de la loi. Le résultat n’a pas étonné les deux enquêtrices qui remarquent que, pour les externes, aucune sensibilisation sur les violences sexuelles que l’on peut subir dans le cadre des études n’est prévue. « La reconnaissance du caractère illégal des situations est plus facile si on est formée, et si on ne trouve pas ces situations drôles. » Le groupe de travail contre les violences sexuelles auquel appartient le docteur Martin Coutellier (département de médecine générale de Paris 7) aimerait en finir avec cette impasse. S’appuyant sur les résultats de l’enquête menée par ces collègues Line Zou Al Guyna et Malyza Mohamed Ali, le groupe de travail aimerait monter une pièce de théâtre-forum qui serait jouée systématiquement devant les jeunes étudiantes, en début de quatrième année, quand elles commencent leur externat.

 



Harcèlement sexuel : un professeur de l’Université Panthéon-Assas suspendu fin mars

Après les révélations concernant la Ligue du LOL au mois de février dernier, des enseignants dénonçaient l’existence dans l’Education nationale d’une « Ligue du LOL » composée d’un certain nombre de leurs collègues professeurs extrême-gauchistes qui les harcelent sur Twitter, un peu comme ceux, professeurs ou instituteurs, qui s’amusent à harceler notamment des victimes de harcèlement dans le travail avec leur ami et complice le cybercriminel et pervers notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi :

http://petitcoucou.unblog.fr/2019/03/28/cyberharcelement-des-professeurs-aussi/

Aujourd’hui, c’est un professeur de droit de l’Université Paris II Panthéon-Assas dont les comportements de « prédateur » sont révélés au public à la suite de dizaines de plaintes d’étudiantes et de l’ouverture subséquente d’une procédure par le procureur de la République de Paris.

C’est l’occasion de rappeler que le p’tit prof’ Laurent Morillon dit lamorille faisant partie des assassins de Patricia Bouchon le 14 février 2011 à Bouloc alors qu’il me harcelait déjà sexuellement sur la toile avec tous ses amis et complices « déconnologues » de la bande du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi depuis juin 2010 étale de drôles de fantasmes sur Twitter depuis le début du mois.

Je l’avais signalé dans cet article du 16 avril 2019 :

http://petitcoucou.unblog.fr/2019/04/16/le-deconnologue-laurent-morillon-dit-lamorille-sur-twitter/

Il est toujours en crise aujourd’hui.

 

https://etudiant.lefigaro.fr/article/assas-les-temoignages-effarants-d-etudiantes-harcelees-par-un-professeur-predateur_1bde7c20-62bc-11e9-a94d-14edf702530a/

Assas: les témoignages effarants d’étudiantes harcelées par un professeur «prédateur»

 

Par Jeanne Sénéchal • Publié le 20/04/2019 à 09:46

 

Harcèlement sexuel : un professeur de l'Université Panthéon-Assas suspendu fin mars dans AC ! Brest XVMb78a1840-62e0-11e9-a94d-14edf702530a

«C’était un prédateur.» Un chargé de TD d’Assas a été renvoyé après qu’une soixantaine d’étudiantes l’ont accusé de harcèlement. Crédits photo: Jeanne Sénéchal/Le Figaro

 

TÉMOIGNAGES – La faculté de droit parisienne Paris II a saisi la justice après les plaintes de dizaines d’étudiantes auprès de l’administration à la suite de comportements inappropriés d’un enseignant. Des étudiants et professeurs témoignent.

«C’était un prédateur, il partait à la chasse.» Depuis plusieurs semaines, une histoire circule dans les couloirs de l’Université Paris II Panthéon-Assas: Monsieur B.*, un chargé de travaux dirigés, a été renvoyé après avoir été accusé par une soixantaine d’étudiantes de comportements insistants et inappropriés à leur égard. Interrogée par Le Figaro, l’université Panthéon-Assas confirme les faits: «Le professeur a été suspendu de ses fonctions le 26 mars, et une procédure a été lancée auprès du procureur de la République le 10 avril 2019.»

» LIRE AUSSI – La difficile mue des écoles de journalisme pour éviter l’apparition de nouvelles «ligues du LOL»

Le chargé de travaux dirigés âgé de 27 ans en poste depuis 3 ans a eu des relations sexuelles avec une dizaine d’entre elles, selon plusieurs témoignages que nous avons recueillis. Selon nos informations, il serait porteur d’une maladie sexuellement transmissible, et aurait imposé à ses étudiantes des rapports non protégés.

Un prédateur aux allures de prof «cool»

Monsieur B. avait la réputation d’être proche de ses élèves. D’après Alphonse*, l’un de ses étudiants, il avait «au début une approche sympathique». «C’est quelqu’un de fin d’esprit, qui parle bien et qui a une pédagogie différente de celle de l’archétype du chargé de TD», indique l’étudiant de deuxième année. «Au dernier cours de tutorat, il nous avait proposé d’aller au bar. On est resté jusqu’à 3 heures du matin, je me suis dit que ce type était fabuleux [...] C’est ensuite devenu un ami.»

Mais à côté de son allure «cool et détendue», Monsieur B. aurait harcelé de nombreuses élèves. Ce sont 69 filles qui sont concernées. Avec l’aide du professeur en charge de l’équipe pédagogique dont faisait partie Monsieur B, ces dernières ont constitué un dossier transmis à l’administration avec des preuves matérielles. «Je pense qu’il y en a beaucoup plus», explique au Figaro une professeur d’un établissement privé qui aide les élèves à préparer les travaux dirigés d’Assas. «Une première fille est venue se confier à moi, une deuxième, puis une troisième. J’ai décidé d’agir, et de demander à mes autres élèves si elles étaient concernées, et plusieurs dizaines ont réagi», confie la professeur de prépa.

«Il savait très bien ce que lui procurait son statut, et savait très bien derrière s’en servir»Georges, un des étudiants de Monsieur B.

Pour Alphonse, Monsieur B. «était très réaliste concernant [la] situation». «Il me disait qu’il ne se faisait pas de films, que s’il n’avait pas été chargé de TD, ces filles d’Assas ne se seraient jamais retournées sur lui dans la rue. Il savait très bien ce que lui procurait son statut, et savait s’en servir», souligne l’étudiant. «Je ne sais pas s’il pensait à mal. C’est la question qui me revient souvent en tête: “est-ce que c’est quelqu’un de fondamentalement méchant, ou est-ce qu’il est complètement irresponsable?” Mais à la fois, il était tellement fin d’esprit que je ne peux pas croire que c’était juste de la maladresse», conclut l’étudiant.

«Il avait un vrai mode opératoire»

Cliquez ici pour agrandir l'infographie

Capture d’écran entre une étudiante et Monsieur B.

Certaines étudiantes ont reçu des messages complètement déplacés, dont cette étudiante en première année de droit. «Je l’ai eu en chargé de TD. Alors que j’étais en première année, j’ai reçu un premier mail où il m’a demandé de ne parler de notre conversation à personne. Il m’a dit qu’il me trouvait jolie et qu’il voulait qu’on aille boire un verre. Ce à quoi j’ai répondu non. Une autre fois, alors que je passais un exposé, il m’a complimentée sur ma tenue, et m’a dit qu’elle ‘‘m’allait à ravir’’. J’étais vraiment mal», continue-t-elle. «Quand on voit ce genre de message, ça fait toujours un peu peur. Tu te demandes si ça va avoir des répercussions sur tes notes».

Pour avoir les adresses mails ou les numéros de téléphone des étudiantes, ce n’était pas compliqué: il cherchait les jeunes filles sur les réseaux sociaux, Instagram ou Facebook. Pour Marie, qui passait les rattrapages en septembre 2018, il s’est servi de sa carte étudiante. «J’avais déposé ma carte comme tout le monde sur la table des surveillants, et Monsieur B. était lui-même chargé de surveillance à ce moment-là. Il m’a fixée pendant toute l’épreuve, ce qui m’a mise très mal à l’aise. En sortant du partiel, et en rallumant mon portable, j’avais un message de lui: ‘‘Tu es aussi mignonne que sur ta photo de carte étudiante’’.» Plusieurs témoignages confirment aussi qu’il s’est rendu en bas de l’appartement d’une de ses étudiantes, en trouvant l’adresse sur les fiches d’informations remplies lors du premier cours de travaux dirigés de l’année.

Il avait un vrai mode opératoire, relève la professeur de prépa, une information confirmée par Alphonse. «Il te faisait penser que tu étais quelqu’un de spécial, il arrive à te déconnecter de la réalité, à te faire croire que tu as des trucs en plus», raconte Alphonse. «J’ai vu les messages qu’il envoyait aux filles, et ce sont les mêmes à chaque fois. Il lançait son filet en envoyant plein de mails à tout le monde et il voyait les poissons qu’il attrapait», ajoute-t-il.

«Il nous a signalé qu’il avait l’hépatite B, et qu’il prendrait ses responsabilités»

Au-delà du harcèlement répétitif, d’après de nombreux témoignages, Monsieur B. a eu des relations sexuelles avec une dizaine d’étudiantes de l’Université. «Et je pense qu’il y en a plus, car d’autres filles n’ont pas dû oser parler», nous confie Julie, qui a elle-même eu des rapports avec le chargé. «On s’est rendu compte qu’on était plusieurs grâce au bouche-à-oreille», nous témoigne-t-elle.

Selon plusieurs témoignages, Monsieur B. aurait insisté au cours des rapports pour ne pas se protéger. «Il s’était confié à moi un peu avant l’histoire concernant sa maladie, nous raconte Alphonse, et je lui avais demandé s’il prévenait ses partenaires sexuels.» «Bien sûr que oui, tu me prends pour qui», lui avait-il répondu. C’est alors qu’Alphonse et deux de ses amis découvrent en questionnant les filles qu’elles n’étaient au courant de rien. Ils menacent alors Monsieur B., et lui demande de prévenir toutes celles concernées. Ce qu’il a fait, en envoyant un mail à chacune d’entre elles, mail que nous avons consulté: «Il nous a signalé qu’il prendrait ses responsabilités», explique Julie.

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Capture d’écran du mail envoyé par Monsieur B. à une étudiante avec laquelle il a eu des relations intimes.

La réaction de l’Université

D’après la professeur de prépa et les étudiants concernés, certains professeurs ont eu une réaction exemplaire. Après tous ces faits, Julie et d’autres filles concernées ont écrit une lettre au président, et sont ensuite allées voir le professeur qui dirigeait l’équipe de Monsieur B., Monsieur G. «Il a tout de suite été à notre écoute, et a immédiatement réagi», nous confient Julie ainsi que d’autres étudiantes. «Monsieur B. a immédiatement été mis à pied et remplacé le jour même», nous indique Alphonse. D’autres professeurs ont aussi pris la parole en amphithéâtre, et dans les cours de travaux dirigés: «N’hésitez pas à parler si vous êtes concernés», leur a dit l’une des professeurs de troisième année.

«Il y a bien eu des témoignages d’étudiantes avec des preuves matérielles», confie Manuel Miller de Azevedo, directeur adjoint chargé des études et de la vie universitaire à Paris II. «L’université a fait un signalement auprès du procureur, maintenant c’est à la justice de qualifier les faits et d’éventuellement décider des poursuites à mener, si les faits sont avérés, de condamner», affirme-t-il.

Pour la professeur de prépa, il faut aller plus loin, et que la faculté se constitue partie civile. «Les filles ont peur de porter plainte. J’ai vu des étudiantes terrorisées. Les profs ont des auras qui font qu’on est dans une position d’infériorité. On leur répond “vous êtes consentantes”. Non, on n’est pas consentantes, non, pas de consentement sain quand on est face à un chargé de travaux dirigés qui peut nous noter et qui, à un point près, peut changer notre année.»

* Les noms ont été modifiés

 

https://www.francetvinfo.fr/societe/harcelement-sexuel/harcelement-sexuel-un-professeur-decrit-comme-un-predateur-suspendu-a-l-universite-pantheon-assas_3407439.html

Harcèlement sexuel : un professeur décrit comme un « prédateur » suspendu à l’université Panthéon-Assas

 

Un chargé de travaux dirigés de 27 ans a été suspendu fin mars. Il aurait harcelé sexuellement une soixantaine d’étudiantes et aurait eu des relations sexuelles non protégées avec plusieurs d’entre elles.

 

Des étudiants devant l\'université Panthéon-Assas, le 23 février 2016 à Paris.
Des étudiants devant l’université Panthéon-Assas, le 23 février 2016 à Paris. (ISA HARSIN / SIPA)

Les témoignages décrivent un « prédateur », qui menait une véritable « chasse » aux étudiantes. Un enseignant de l’université Paris 2 Panthéon-Assas a été suspendu de ses fonctions fin mars, selon les informations du Figaro. « Une procédure a été lancée auprès du procureur de la République le 10 avril 2019″, indique l’administration de la faculté, contactée par le journal. Franceinfo revient sur cette affaire.

Quels sont les faits reprochés ?

Les témoins interrogées par Le Figaro et Le Parisien décrivent un mode opératoire bien huilé. L’homme contactait les étudiantes sur les réseaux sociaux, notamment Instagram, et par e-mail. « Je te trouve plutôt très mignonne », « Fais gaffe, je suis assez sensible aux filles mignonnes comme toi », « Au passage, sachez que votre tenue de ce matin vous allait à ravir », leur glissait-il. De premiers messages rapidement suivis d’invitation à se rencontrer : « Es-tu dispo par hasard ce soir ? », « Tu préfères un verre ? ».

J’ai vu les messages qu’il envoyait aux filles et ce sont les mêmes à chaque fois. Il lançait son filet en envoyant plein d’e-mails à tout le monde et il voyait les poissons qu’il attrapait.Un étudiantcité par « Le Figaro »

Des avances difficiles à repousser pour certaines victimes. « On ne pourrait voir que de la drague dans tout cela si ce monsieur n’avait le pouvoir de mettre un point en plus ou en moins sur une copie », contextualise une enseignante dans Le Parisien.

Dans un cursus aussi compétitif, un point peut être décisif pour la suite de ses études. Je comprends que dans ces conditions, une jeune fille de 18 ans hésite à envoyer balader le prof.Une enseignantedans « Le Parisien »

Légalement, rien n’interdit à un professeur de sortir avec une étudiante. Mais le rapport de hiérarchie entre les deux peut toutefois être retenu comme une cause aggravante en cas de harcèlement.

Selon Le Figaro, cette affaire ne se résume pas à ces faits de harcèlement. Plusieurs témoignages assurent que le professeur a insisté pour avoir des rapports non protégés, alors qu’il se sait atteint d’une maladie sexuellement transmissible : l’hépatite B. Le quotidien publie une capture d’écran d’un message dans lequel il reconnaît auprès de l’une de ses relations être atteint de cette maladie.

Combien y a-t-il de victimes ?

En poste depuis trois ans, le professeur a contacté des dizaines d’étudiantes. Selon Le Parisien, 69 victimes ont témoigné contre lui auprès de l’administration de l’école.

Qui est le harceleur ?

Agé de 27 ans, celui que la presse présente comme « Monsieur B. » était chargé de travaux dirigés au sein de l’université. Un étudiant décrit au Figaro un enseignant proche de ses élèves, « fin d’esprit, qui parle bien et qui a une pédagogie différente de celle de l’archétype du chargé de TD ». Le genre de professeur qui propose d’aller au bar pour le dernier cours. « On est resté jusqu’à 3 heures du matin, je me suis dit que ce type était fabuleux. (…) C’est ensuite devenu un ami », témoigne encore cet étudiant.

Comment a réagi l’université ?

L’université Panthéon-Assas a indiqué au Figaro que le professeur avait été suspendu le 26 mars et que les faits avaient été signalés au parquet de Paris le 10 avril. Contacté par franceinfo, le parquet a confirmé avoir reçu ce signalement, « lequel est actuellement en cours de traitement ». Les étudiantes interrogées par le quotidien soulignent l’attitude compréhensive du professeur qui dirige l’équipe du harceleur. « Il a tout de suite été à notre écoute et a immédiatement réagi », indique l’une d’elles au Figaro.

 



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